Pendant un déplacement, surtout chez les femmes dont les vtements ne sont pas forcément dotés de poches suffi- samment grandes pour recevoir le téléphone mobile, appuyer sur le bouton de celui-ci pour répondre à l'appel prompte- ment pose souvent des problèmes. Car la majorité des femmes mettent leur appareil dans leur sac. Il arrive qu'avant de sortir leur portable la sonnerie soit déja coupée. Il arrive également qu'à cause des bruits ambiants, elles n'entendent mme pas la sonnerie.

Il existe déjà des sacs dotés d'une poche extérieure prévue pour mettre un téléphone portable, ainsi que des étuis spécifiques aux téléphones avec un passant pour atta- cher l'ensemble à la ceinture. Cependant, de tels acces- soires ne conviennent pas forcément à tous les styles de tenue vestimentaire.

La création de ce nouvel accessoire remédie à cet in- convénient. Il fixe l'appareil à l'endroit le plus sûr.

C'est-à-dire dans la paume de la main. Grâce à la diminution du poids et de la taille des téléphones mobiles, le modèle courant de nos jours, posé obliquement sur la paume de la main, la partie supérieure dépassant entre le pouce et l'index, ne touche que très légèrement ces deux doigts.

Cette innovation qui consiste à attacher le téléphone mobile à la paume de la main apporte deux autres avantages non négligeables : 1°) Du fait que la plupart des téléphones mobiles actuels sont dotés de systèmes de vibration qui remplacent la son- erie, en laissant l'appareil dans cette position, le por- teur de téléphone peut saisir immédiatement l'appel par la vibration sans gner son entourage.

2°) Le fait d'attacher le téléphone à sa main pendant tout déplacement évite la perte de l'appareil par oubli ou par vol. Le porteur de l'appareil, non seulement rassuré de ne manquer aucun appel téléphonique, est aussi rassuré sur ce plan. C'est un avantage psychologique non négligeable.

Ce nouvel accessoire se compose de deux paries : La partie qui entoure la main, au niveau de la racine du pouce et en dessous des jointures des autres doigts, de fa- çon à donner une bonne prise, est une bande (1) semblable à un bracelet de montre. La grande bande ci-après. L'autre qui fixe le téléphone mobile est une bande étroite (2) qui entoure l'appareil entre le clavier et l'écran d'affichage.

La petite bande ci-après.

La réalisation de cet accessoire peut se faire de deux manières différentes : 1°) Tout d'une pièce, autrement dit, la grande bande (1) et la petit bande (2) d'un seul tenant avec une séparation entre les deux parties.

2°) Deux parties separées, autrement dit, la grande bande (1) et la petite bande (2) préparées séparément et assem- blées ensuite.

En cas de la réalisation en une pièce, il est préfé- rable de confectionner cet accessoire en matière élastique.

La séparation entre la grande bande et la petite bande sera faite par une couture. Ou mieux encore, avec une pièce ser- vant à marquer la séparation des deux parties, tel un anneau (3), ou une pièce triangulaire (4) du mme type que celles employées au croisement des bretelles pour pantalon. En fonction des contours de sa main et de son appareil on fait coulisser la bande en un seul morceau afin que la pièce se trouve au bon endroit pour marquer la séparation. (FIG 2,3) La réalisation en une seule pièce peut se faire de deux façons : 1°) Deux bandes fermées. Pour le meilleur ajustement, on peut employer, pour chacune des deux, ou pour l'une des deux un système constitué d'un anneau (5) et d'une pièce coulis- sante (6), semblable à celles qu'on trouve sur les bretelles de soutien-gorge pour en régler la longueur. (FIG 2) 2°) Une bande fermée et l'autre ouverte. Cette dernière munie d'une boucle (7) permettant à la fois réglage en lon- gueur et fermeture de l'accessoire. (FIG 3) L'accessoire ainsi fabriqué tout d'une pièce, en mati-

ère élastique peut tre rendu attrayant selon de multiples exemples déjà existants dans le domaine des sous-vtements féminins et dans celui des accessoires pour cheveux. Les fabricants peuvent apposer sur les bandes ou sur la pièce d'ajustement leurs sigles ou leurs symboles de marque.

On peut également, en suivant les principes de fabrica- tion sus-cités, réaliser cet accessoire en deux matières différentes : pour la partie apparente au dos de la main, c'est-à-dire, la majeure partie de la grande bande (1), en n'importe quelle matière employée pour le bracelet montre, cuir, textile, métal, etc.. Et pour le reste, c'est-à-dire, la petite bande (2) et une partie de la grande bande qui sera cachée par le téléphone, en matière élastique. (FIG 4) L'assemblage des deux matières differentes peut tre fait par une couture ou par tout autre moyen sûr.

Aussi, la matière employée pour la partie apparente peut recouvrir la grande bande (1) déja confectionnée en une pièce avec la petite bande (2).

Dans le cas de la réalisation d'un seul tenant, il est préférable de faire en sorte que lajpatie petite bande (2) soit suffisammenttroite pour ne gner ni l'écran, ni le clavier. Ce, enr inuaor--prngDessLy&ment la largeur de la bande, si l'accessoire est fait en une seule matière. Et waugeant vla_lgeLIr sfitre la pirtie.. app_rente etopour 1< Reste, si l'accessoire est fait en deux matières différentes Dans le cas d'une réalisation en deux parties séparées, il y a le choix entre l'assemblage définitif et l'assemblage amovible.

Dans le cas de l'assemblage définitif, on attache la petite bande (2) et la grande bande (1) ensemble par couture ou par tout autre moyen sur.

Bien entendu, l'assemblage des deux parties ne doit pas tre perpendiculaire. La petite bande (2) doit s'incliner d'environ 30° par rapport à la grande bande (1), pour ne pas gner les doigts.

Dans le cas d'une réalisation de la grande bande (1) en métal, évidemment, il est préférable d'éviter l'anneau rigi-

de comme certains modèles de bracelet montre. Il est préfé- rable de la réaliser en maillons métaliques successifs. Il exite des modèles de bracelet dont les maillons métalliques sont attachés de telle sorte que l'ensemble soit élastique.

Pour l'assemblage avec une petite bande (2), on peut em- ployer du fil solide qui entoure ou qui pénètre un ou plu- sieurs maillons.

Dans le cas d'un assemblage amovible, il y a plusieurs systèmes : Tel un système de Bouton qui consiste à fixer sur la petite bande (2) un bouton pénétrant dans une boutonnière placée sur la grande bande (1). Ou alors, sur cette derni- ère (1) on fixe un bouton (8) pénétrant dans une boutonni- ère (9) placée sur l'autre bande (2). (FIG 5) Avec ce sys- tème, l'inclinaison d'environ 30° se fait naturellement une fois que le téléphone a pris sa place dans l'accessoire et dans la paume de la main. Car, évidemment, le bouton tourne dans sa boutonnière.

Cependant, le système le plus simple et le plus sûr consiste à former la petite bande (Z) en anneau, fermé par couture ou par une boucle, et à faire passer une extrémité (a), par dessus la grande bande (1) et à travers le vide formé par l'autre extrémité (b). (FIG 6) Dans tous les cas sus-cités, il est préférable de con- fectionner la petite bande (2), qu'elle soit dotée de sys- tème d'ajustement ou non, en matière élastique. Ce, pour la meilleure prise de téléphone mobile de tailles variables.

Cette petite bande (2) doit tre de largeur réduite, du fait de l'espace réduit entre le clavier et l'écran d'affi- chage.

Quant à la longueur de la bande (2), on peut la conce- voir de trois façons : 1°) La longueur qui correspond au contour en moyenne, au niveau de la séparation du clavier et de l'écran d'affichage des téléphones mobiles existants. Bien entendu, dans ce cas l'emploi de la matière élastique est obligatoire, mais l'em- ploi du système d'ajustement n'est pas indispensable.

2o) Dû à la différence considérble de la taille des télé- phones mobiles, entre les derniers modèles actuels de haut de gamme et les modèles ayant plus d'un an, si la bande (2) enmatière élastique n'est pas munie d'un système de réglage de longueur, on peut la fabriquer en plusieurs tailles, tel- les S. M. L., pour pouvoir choisir la taille en fonction du contour du modèle concerné.

3°) La longueur qui correspond à la longueur du modèle dont le contour est le plus long. Dans ce cas, l'emploi de la matière élastique n'est pas obligatoire. En revanche, l'emploi d'un système d'ajustement est indispensable.

La partie autour de la main, la grande bande (1), peut tre considérée comme analogue à un bracelet, à un bracelet de montre, mme à une ceinture ou à un collier du type dit "collier du chien". Par conséquent, on peut la fabriquer pratiquement suivant les mmes principes. Pour l'ajuster au contour de la main, tous les systèmes existants qui visent à fixer la longueur voulue tels que la boucle, la bande velcro etc., peuvent tre employés. En cas d'utilisation de fer- moir ne réglant pas la longueur, on peut procéder à la cou- pure de la bande, si elle est faite en cuir ou en textile ou en plastique, pour ajuster au contour de la main, telle une ceinture dotée d'une boucle amovible pour ajuster au tour de taille de la personne concernée. Aussi, peut-on procéder à l'enlèvement de maillons, si la bande est faite en pièces métalliques successives, tel un bracelet de montre fait de la mme façon.

A la différence du bracelet de montre qui est souvent un complément du cadran, avec ce nouvel accessoire, c'est surtout cette bande autour de la main qui se voit.

Les fabricants peuvent, par conséquent, y déployer leur savoir-faire en matière d'esthétique et leurs styles, en ap- posant, par exemple, sur les systèmes de fixation leurs sigle. s. ou leurs symboles de marque. Il n'est pas exclu de fixer un cadran de montre sur cette grande bande (1), au côté dos de la main.

Ainsi, cette innovation apporte aux utilisateurs du téléphone mobile la simplification des comportements vis-à- vis de leurs appareils lors des déplacements.

Cette innovation apporte, également, aux fabricants concernés par tout ce qui touche l'apparence, un nouveau créneau.

Quand cet accessoire sera largement répandu, les fabri- cants des téléphones mobiles pourront incorporer les pas- sants pour la petite bande (2) sur l'appareil, soit sur les côtés, soit au dos, afin que cette bande passe uniquement derrière l'appareil pour ne gner ni l'écran, ni le clavier.