La présente invention concerne un escalier modulaire et modulable, préfabriqué, destiné à être installé d'une façon rigide, et présentant au moins un côté équipés d'un raidisseur (l).Par marche et par côté pésentant un raidisseur, un seul dit élément, de l'escalier, qui est une traverse à talon (7a), ou une cale (6), est à ajuster ou est prédéterminé pour obtenir la hauteur de marche désirée. "Définitions de termes employés dans la description et les revendications". Espacement sol à sol des planchers : Espace qui sépare les niveaux d'un étage, c'est à dire la dimension verticale entre le sol supérieur et le sol inférieur du lieu ou doit être installée la présente invention. Fond de marche : Partie opposée au nez de marche..

Giron : Espacement horizontal entre deux nez de marche mesuré suivant la ligne de foulée.

Largeur de marche: Espacement horizontal, peφendiculaire au giron mesuré entre les - extrémités des marches. Hauteur de marche: Dimention verticale entre le sol inférieur et la première marche ou entre deux marches consécutives,ou entre la dernière marche et le niveau du sol supérieur.

Hauteur de marche constante: Hauteur obtenue en divisant l'espacement sol à sol des planchers par le nombre de marche plus une.

La présente invention, tendant à apporter des améliorations au brevet N° 92 06170 Publié sous le N° 2691 489, se différencie des techniques antérieures par sa possibilité de réglage des hauteurs de marches et ou de son giron et ou de la largeur de chaque marche, ce qui rend cet escalier polyvalent et apte à être implanté dans des espaces à volumes dissemblables.

Ainsi l'installation de l' escalier peut former que des hauteurs de marches constantes. La pluspart des escaliers industriels connus nécessitent un socle de départ d'escalier recoupable en hauteur; qui comparé aux espacement verticaux des autres marches présente une disparité de hauteur pénalisant la cadence de monté ou de descente de l'utilisateur. Ce socle rend la structure inconfortable et dangereuse du fait de cette disparité de hauteur.

Suivant un mode d'exécution particulier, la présente invention, est un escalier installé entre deux niveaux de sols fig 1. Sur cette figure nous voyons un élément raidisseur (1) relié à la pièce verticale (3B) faisant fonction de poteaux bas et au poteau haut (3E) ,ainsi que des pièces verticales (4a), (4al) (3B) traversant des modules périphériques (12) et reliées aux traverses présentant un talon (7a) ou cale (6) équipant une traverses (7), lesquelles supportent les marches (5) (16).

Il y a trois types de pièces verticales(4A )(4A1) (3B) fixées au raidisseur (1), évc ituellement de section rectangulaires aux arrêtes arrondies:. Le bas des pièces verticales (4 A) ( Al) sont percés de deux fente verticale (9a) (9b) supeφosées de hauteurs différentes. La Fente (9a) la plus haute est de type haute par rapport à la fente (9b) .

La pièce verticale (3B) est percée dans sa partie inférieure d'une fente (9a) de type haut.

La pièce verticale (4 Al) est différent de la pièce verticale (4 A) par sa longueur légèrement supérieure. L'entr'axe des fentes (9a) et (9b) étant identique sur l'une et sur l'autre des pièces verticales dont la hauteur est différente. Au niveau de chaque fentes (9a) et (9b) sont prévus peφendiculairement à leur axes, des percements (14) supeφosés et placés de façon à permettre le passage des organes de fixation, éventuellement des tourillons (8)

La forme particulière des traverse (7a) ou traverses (7) équipées de cales (6), permettent de régler le giron et la hauteur de marches.

Les traverses s'encastrent dans la fente supérieure (9a) fig 2 des pièces verticales (4 A) (4 Al) ou dans la fente inférieur de la pièce verticale (3B).

La partie inférieur des dites traverses (7a) comporte un talon, partie saillante, ou une cale (6) qui prend appui sur la partie inférieure de la fente (9 A) de chacun des pièces verticales. Les fentes (9b) prenant appui chacune sur la partie supérieure de chaque traverse (7) (7a).

Les marches (5) et (16) fig 1 et 3, sont percées à chacune de leurs extrémités de trous (9) (15), éventuellement rectangulaires à angles arrondis, permettant le passage des pièces verticales (3B) (4a) (4al) qui les transpercent en laissant libre accès aux fentes(9a) et (9b).

Les dites fentes sont de forme éventuellement rectangulaires aux angles arrondis.

La fente (9b), est prévue pour accueillir la partie la plus haute de la traverse (7a) ou de la traverse (7) équipée de sa cale (6).La partie la moins haute de la traverse (7) ou (7a) étant destinée à être introduite dans la fente (9b) : fig 1.2.

Dans chaque marches (5) ou(16) sont aménagés des trous (9) ou(15) dont la dimension dans le sens du giron est supérieure à la dimension, dans le même sens, des pièces verticales (4A), (4A1) traversant les trous (9), ou (3B) traversant les trous (15). Cette disposition alliée à la possibilité de faire coulisser les traverses (7), (7a) dans les fentes (9a), (9b) permet le réglage des pièces verticales (4 A), (4 Al) ou (3B) par rapport aux marches (5) ou (16), aux traverses (7), (7a) et aux cales (6). Cela permet d'obtenir entre autres le réglage du giron des marches. Il est possible de modifier l'espace horizontal entre les pièces verticale (4 A) et (Al) de chacune des marches.

Des modules périphériques (12) (12 A) comportant un trou (9c) dans lesquels passent des pièces verticales (4A) (4A1) (3B) coulissent et viennent se poser sur chacune des marches (5) (16) qu'ils contribuent à immobiliser avec le concours d'organes de fixation traversant les marches (5) (16). La géométrie de ces modules périphériques permet de masquer les trous (9), (15) des marches.

Au moins une marche de la présente invention, comprend sur sa face supérieure, un système qui la rend parciellement ou totalement antidérapante.

Le fond de marche présente un relief servant de butée pour empêcher le pied d'aller plus loin.

On se réfère ici aux dits dessins, pour décrire le mode d'exécution intéressant, mais non limitatif de cet escalier selon l'invention.

D'autres mode d'exécution de cet escalier dont la lignede foulée peut présenter des courbes et ou des lignes brisées sont possible selon la présente invention.