Avec les précédent accidents notamment aux Etats Unis, le détournement d'un avion peut avoir des conséquences très graves et notamment pour les populations. Conséquences qui peuvent s'avérer bien supérieures à celles des passagers et du personnel de l'avion qui le composent et qui en soi sont déjà incompréhensibles quels qu'en soient les motifs.

II doit pourtant exister des moyens d'éviter ce type d'accident intolérable, et c'est pourquoi nous proposons une forme de solution, mme si elle n'est que partielle, qui du moins aurait l'immense avantage d'éviter le décès de personnes au sol complètement étrangères au vol en cours.

Dans l'art antérieur, le document FR2584842 décrit un système de prise de commande par la tour de contrôle de l'aéronef en difficulté sans prendre en compte le contexte où l'aéronef est en vol loin de sa base de départ.

Dans ce type de détournement il convient de considérer la prise en main par une unité maître en vol puis à l'atterrissage avec la gestion adaptée.

On le sait les avions dits de Ligne sont tous ou presque désormais équipés d'un dispositif A. T. T. c'est à dire d'un dispositif Atterrissage Tous Temps qui permet à l'appareil de se poser seul, sans l'aide du ou des pilotes . L'appareil, une fois au sol, une fois passé le passage sans visibilité, est alors repris en mains par le ou les pilotes de l'appareil pour pouvoir l'amener au terminal souhaité via le taxi-way qui lui est commandé par l'aéroport sur lequel il vient d'atterrir.

C'est donc de ce dispositif qu'il faut bénéficier pour résoudre vraisemblablement en partie le problème.

Chaque appareil pourrait tre équipé d'un dispositif spécial commandé par une commande simple, type coup de poing ou Coup de Pied par exemple (plus discret) et qui ne nécessiterait pas de codification vocale ou manuelle toujours problématique à composer on a pu le remarquer sur le vol qui s'est écrasé près de Pittsburgh. Pour des raisons de sécurisation et afin d'éviter les déclenchements intempestifs on peut imaginer une commande double à savoir deux pieds et ou deux mains ou l'une des deux composantes jumelée avec l'autre version c'est à dire 1 commande pied + 1 commande main pour que l'ordre soit exécuté.

Cette commande type Coup de Poing ou Coup de Pied par exemple serait disposée de chaque coté de l'appareil c'est à dire accessible pour l'une ou pour l'autre par le pilote ou le Copilote avec les mmes effets. En

effet quand il y a pirates de l'air dans un avion ils ne peuvent entrer dans le poste de pilotage qu'un à la fois étant donnée t'exiguïté de la porte d'entrée.

A supposer que le commandant de bord soit aussitôt"braqué"par le premier pirate le co-pilote lui aurait, en un temps de réflexe, toujours la possibilité d'enclencher les"dispositif'que nous appellerons"dispositif de secours d'agression".

II s'agirait en fait d'un dispositif radio-électrique commandé par un bouton poussoir double ou autre manipulateur électrique ultra rapide pour permettre la mise en service du système dit dispositif de secours d'agression.

Celui-ci neutralisera toutes les commandes permettant le vol directionnel, les commandes moteurs, la vitesse de l'appareil, le train d'atterrissage, qui ne pourront alors tre commandées que par un signal radio extérieur à l'appareil piraté.

Ce dispositif aurait alors pour rôle de supprimer complètement le rôle de tous les appareils de commande de vol de l'avion concerné. Les gouvernes, palonniers et autres commandes moteurs seraient irrémédiablement neutralisés..

Tout deviendrait inefficace seul resterait en service le dispositif d'A. T. T. qui prendrait ainsi en fonction"secours d'agression"les commandes de l'appareil, auquel viendrait s'ajouter éventuellement un « vol perturbé » c'est à dire reproduisant les conditions d'un passage en intempéries de façon à neutraliser les passagers et donc les pirates en faisant partie, qui d'une part seront malades donc plus ou moins inhibés, et d'autre part n'arriveront plus à se déplacer du fait de son instabilité, . Cette mise en « vol sous dispositif d'agression provoquerait donc en plus un ralentissement de l'appareil à une vitesse économique, mise en service de signaux extérieurs de détresse. le tout éventuellement concomitant avec le déclenchement d'airbags (marque déposée) dorsaux des sièges des pilotes et copilotes, et ou, sur les parois verticales et horizontales derrière les pilote et copilote ces coussins gonflables de sécurité, suffisamment résistants pour résister aux impacts de balle ou autre objet contondant, permanents ou non neutralisant physiquement les agresseurs et occupant tout ou partie modulable ou non en fonction du nombre de personnes normalement présentes dans la cabine de pilotage de façon à mieux isoler encore le personnel de pilotage, déclenchement commandés par des contacts tels par exemple des capteurs de présence sous les sièges derrière les pilotes et copilotes permettraient ou non de neutraliser les coussins gonflables correspondants.

II s'agirait en fait d'un dispositif radio-électrique comprenant des moyens de déclenchement d'au moins un coussin gonflable neutralisant de type « Airbag @ » dans le poste de pilotage pour neutraliser, lors de son déploiement, permanent ou non, commandé par ledit signal d'agression, les personnes notamment situées dans des espaces prédéterminés par exemple les espaces non occupés par le personnel navigant.

Ce dispositif sera réalisé de façon à ce que le (s) coussin (s) gonflables<BR> neutralisant (s) comprenne (nt) au moins une enveloppe résistante aux impacts de balle ou autre instrument contondant.

On peut concevoir que dans cette configuration un programme spécial de pilotage aura été inclus dans le dispositif A. T. T. ou autre système de pilotage automatique déjà présent.

Ceci amènerait alors l'avion à diminuer sa vitesse de façon sensible, a ne voler que de façon rectiligne, ou circulaire, à une altitude universelle internationale pour éviter tous accidents et qui ne serait réservée qu'à cet effet. De plus cette altitude commandée serait bien sur au dessus des nuages de façon à pouvoir rendre l'avion bien visible depuis une grande distance.. Il serait ensuite pourvu d'un dispositif visuel extérieur qui permettrait d'une part de le personnaliser dès son approche et d'autre part de vérifier le stade de la mission du système ATT.

Dans le mme temps, le dispositif"secours d'agression"signalerait aux services de surveillance des avions, les aiguilleurs du ciel en l'occurrence, que le pilotage de secours dit""dispositif de secours d'agression"a été enclenché.

Il s'agit en fait d'un dispositif radio-électrique qui comprend des moyens de commande activés par le signal d'agression de montée ou descente à une altitude prédéterminée de type internationale de secours, des moyens de commande activés par le signal d'agression de ralentissement de l'appareil à une vitesse prédéterminée de type économique, des moyens de commande activés par le signal d'agression d'une trajectoire prédéterminée de type droite ou circulaire. Complété par un dispositif dont ladite trajectoire du premier aéronef présente un profil particulier pour reproduire des conditions de stabilité incommodantes pour perturber les occupants notamment les agresseurs.

Ce dispositif radio-électrique serait complété par des moyens d'activation de signalisation extérieure de détresse du premier aéronef, activés par le signal d'agression notamment de type signaux extérieurs radioélectriques, sonores ou lumineux de détresse reconnaissables tels une accélération des flash lumineux provoqués par les tubes à éclats en bout d'aile ou en queue ou sur et sous l'appareil, la sortie du train d'atterrissage et/ou l'allumage de tout ou partie de l'éclairage d'atterrissage {2 figure 1} Ce dispositif radioélectrique pourra tre neutralisé par un autre appareil "Maître" {1 figure 1} bénéficiant lui des commandes radio de neutralisation du dispositif"Secours d'agression"pour obliger l'appareil devenu Esclave, victime de l'agression, d'exécuter les ordres radio donnés par le pilote de l'appareil devenu Maître

Toutefois ledit appareil maître, ou t'aéroport. d'atterrissage choisi , (suivant le système MaîOtre pilotant l'appareil esclave à ce. moment là) pouvant si le danger interne à l'appareil esclave est totalement et définitivement écarté, lui rendre ses capacités de pilotage autonome de vol normal (en supposant que le ou les agresseurs ont définitivement été mis hors d'état de nuire par exemple) Le fait de diminuer la vitesse de l'avion concerné est que d'une part il diminuerait sa consommation et pourrait en cas de besoin se rendre sur un aéroport plus loin en distance que là ou il serait allé avec la quantité de carburant lui restant normalement, et, d'autre part de pouvoir tre pris en charge plus rapidement par un autre appareil spécialement équipé qui pourrait l'amener à l'endroit choisi.

L'autre appareil dit appareil"Maître"quant à lui pourrait par exemple tre équipé d'un système embarqué qui viendrait, comme les aéroports, prendre le contrôle du système ATT de l'avion piraté. On peut d'ailleurs envisager que ce type d'appareil soit un avion de chasse beaucoup plus rapide par définition qu'un avion dit"De Ligne". donc qui pourrait le rejoindre rapidement. ( De plus ce dispositif spécial s'il équipait les avions de ligne pourrait laisser envisager qu'un second groupe de pirates, ayant procédé différemment, pourrait alors venir neutraliser un second appareil et rendre inefficace la sécurité du système par le fait mme qu'ils enverraient alors eux mme l'avion esclave sur un immeuble).

Les commandes moteurs, et gouvernes de l'appareil seraient alors, par système électronique, synchronisées sur celle de l'appareil type Avion de Chasse par exemple"ou radiocommandées par ce dernier pilote et l'on aurait ainsi un avion esclave et un avion Maître.

Pour que le pilote de l'avion Maître soit certain du bon fonctionnement du dispositif et contrôler qu'il a bien pris en main l'appareil piraté on envisagera alors un dispositif qui permettra lors de cette prise de contrôle, de remettre les signes extérieurs"en l'état"et non plus en signal de détresse comme ils avaient été précédemment configurés. (flash remis en service normal, feux d'atterrissage éteint ou train d'atterrissage rentré.

L'avion Maître disposerait donc de moyens de désactivation desdits moyens d'activation de signalisation extérieure de détresse commandés par l'unité Maître lors de sa prise de contrôle du premier aéronef pour valider visuellement sa prise de contrôle L'appareil"Maître"entraînerait alors l'avion"esclave"vers un aéroport indiqué, spécialement équipé et dégagé.

A l'approche dudit aéroport, ou un dispositif d'accueil aura été spécialement prévu, tant policier que médical, c'est alors le dispositif ATT de

l'aéroport concerné, plus puissant, qui prendrait le relais, et qui viendrait couvrir en quelque sorte le signal émis par l'avion"Maître" ; Ce dispositif radioélectrique de l'appareil Maître pourra rendre les commandes au dispositif"Atterrissage Tous Temps"de l'aéroport ou aérodrome lors de l'approche du terrain d'atterrissage choisi qui, lui, prendra alors le relais automatiquement ou non de l'appareil esclave jusqu'au complet arrt de l'avion.

Le fait de déclencher à nouveau le train d'atterrissage ou de remettre les dispositifs lumineux en"fonctionnement normal ou différencié"par exemple permettrait au pilote de l'avion"Maître"de se rendre compte de "l'état électronique"de l'avion qu'il avait en esclave et d'interrompre la communication électronique de pilotage.

Ce dispositif radioélectrique sera réalisé de telle sorte que le signal radio émis par l'avion Maître"sera de puissance nécessaire et suffisante pour obtenir les résultats nécessaires à la prise en charge du contrôle de l'avion mais pourra tre automatiquement ou non neutralise lorsque le système A. T. T. de l'aéroport choisi et en approche sera capable techniquement d'assurer le contrôle de l'appareil esclave.

Ce dispositif radioélectrique permettra ainsi que la mise en service ou l'arrt de signaux extérieurs tels accélération notable des flash des tubes à éclats de position, sortie de train d'atterrissage etc... ou l'inverse suivant l'état précédent choisi par la technique, pourra permettre au pilote de l'appareil Maître ou à un autre avion voisin. de se rendre compte de l'état de prise de contrôle ou d'abandon de contrôle de l'appareil esclave.

On peut d'ailleurs envisager qu'un second appareil militaire accompagne le premier et que le maître volant devant, à distance radio nécessaire, le second, plus loin derrière (si les pirates venaient à faire exploser l'avion en plein vol après s'tre rendu compte de leur impossibilité de mener à bien leur objectif), il pourrait alors renseigner radiophoniquement et au fur et à mesure, le pilote de l'avion Maître sur l'état des signes extérieurs de l'avion esclave donc lui permettre de prendre les dispositions nécessaires en fonction de ce qui lui est rapporté.

Ce dispositif radio-électrique sera réalisé de telle façon que le fait de déclencher le signal d'agression engendrera automatiquement le<BR> déclenchement d'un dispositif type Air Bag intégré cette fois au dossier du pilote et du copilote, non dégonflable, sauf manoeuvre de neutralisation externe et increvable, destiné d'une part à neutraliser le ou les agresseurs et d'autre part à isoler plus encore les équipages de l'appareil.

On peut aussi imaginer qu'un dispositif spécial tel explosif contrôlé ferait alors, dès l'arrt de l'appareil en bout de piste, ouvrir certaines portes d'accès permettant alors aux services d'intervention rapide qui se seraient rendues sur place d'exécuter le plus rapidement possible leur dispositif de

protection vis à vis des passagers et du personnel de bord de l'appareil piraté.

Ce dispositif radio-électrique permettrait donc que le fait d'avoir déclenché le signal d'agression, engendrera dès l'immobilisation au sol de l'appareil la mise en service d'explosifs contrôlés destinés à ouvrir certaines portes d'accès nécessaires aux services policiers d'intervention rapide.

Toutefois l'appareil Maître, ou l'aéroport d'atterrissage choisi , (suivant le système pilotant l'appareil esclave à ce moment là) pourra, si le danger interne à l'appareil esclave est totalement et définitivement écarté, lui rendre ses capacités de pilotage autonome de vol normal (en supposant que le ou les agresseurs ont définitivement été mis hors d'état de nuire par exemple) Il s'agirait donc d'un dispositif radio-électrique comprenant des moyens de gestion de validation maîtrelesclave pouvant redonner « la main » des commandes de gouverne au premier aéronef selon une procédure prédéterminée de sécurisation pour désactiver le signal d'agression.

Dans le cas d'un arrt complet au sol de l'appareil sous le régime « dispositif d'agression » La neutralisation du"dispositif"secours d'agression"ne pourrait bien entendu se faire qu'au sol et seulement par les services techniques appropriés dûment équipés d'un matériel spécifiquement étudié avec un code propre à chaque appareil pour cette fonction. y compris le dégonflage des airbags @ (marque déposée) restés éventuellement gonflés jusque là.

II s'agirait en fait d'un dispositif radio-électrique ne permettant que seul un dispositif au sol spécialement conçu avec un code spécifique à chaque appareil ne pourra annuler les exécutions de pilotage automatique et autres commandes d'accessoires qui auront été précédemment activées.