La présente invention se rapporte à un système de lutte contre le vol, en particulier le vol à l'étalage, en vue de protéger des articles en vente libre service dans un établissement commercial de vente au détail, notamment des articles vestimentaires du type vêtements, chaussures, de maroquinerie. Les dispositifs antivol connus pour ces articles en vente libre service sont le plus souvent du type macaron comprenant deux parties, une partie s'attachant après l'article à protéger et se présentant sous forme de clou piqué dans l'article et le traversant, et une autre partie accueillant la pointe du clou, et logeant le système électronique antivol et un système de verrouillage apte à retenir emprisonnée la pointe du clou.

La demande de brevet FR 2 395 553 décrit par exemple un tel dispositif. L'article à protéger est ainsi traversé par le clou et pincé contre la partie opposée du dispositif retenant ledit clou. Cette même partie comporte le système électronique antivol tel qu'un circuit électrique résonnant susceptible de répondre à la présence d'un champ magnétique, radio fréquence ou électromagnétique d'interrogation d'un système de détection extérieur. Lorsque l'article pourvu du dispositif antivol traverse une zone de contrôle ou d'interrogation, le circuit électrique du dispositif antivol coopère avec le système de détection mis en place, engendrant le déclenchement d'un signal d'alarme à la fréquence de résonance du circuit électrique du dispositif.

Le retrait du dispositif antivol est effectué au moyen d'un outil connu de support et aimanté, sur lequel on applique la partie du dispositif pourvue du système de verrouillage du clou. Le système de verrouillage du dispositif comprend une pièce de retenue en matériau magnétique apte à être mobile et associée à un ressort. En positionnant le macaron portant le système de verrouillage contre l'aimant, la création d'un champ magnétique autour de la pièce de retenue magnétique et sensible à ce champ, engendre l'attirance de ladite pièce de retenue ; le déplacement de la pièce libère la tige du clou qui est alors repoussée élastiquement par le ressort. Le clou ainsi dissocié de la pièce opposée du macaron, peut alors être retiré de l'article.

Cependant, ce type de dispositif présente l'inconvénient de devoir piquer l'article, risquant fortement de l'abîmer, en particulier pour les articles de maroquinerie. En outre, l'endroit d'association du macaron antivol est parfois imposé en raison du type d'article et de l'obligation de transpercer cet article. Or le point d'attache n'est pas toujours commode pour certains articles, tels que des chaussures, car gênant notamment leur essayage. L'invention remédie aux inconvénients précités en proposant un dispositif antivol écartant l'obligation de piqûre dans l'article à protéger, tout en étant simple d'utilisation pour l'associer et le dissocier de l'article.

Selon l'invention, le dispositif antivol pour article en vente libre comporte d'une part un boîtier dont le corps loge un système de détection antivol et des moyens de verrouillage, et d'autre part et un élément d'attache apte à être verrouillé dans le corps du boîtier, notamment en position d'association du dispositif avec l'article. Le dispositif est caractérisé en ce l'élément d'attache est filiforme et est associé au boîtier de façon mobile, ledit élément comprenant une extrémité proximale solidaire du corps du boîtier et une extrémité distale apte à adopter soit une position d'attache en étant retenue verrouillée dans le corps du boîtier (dite « position fermée du dispositif »), soit une position de dissociation en étant libre et séparée du boîtier (dite « position ouverte du dispositif »).

L'élément d'attache est fait d'un matériau qui nécessite un outil pour être sectionné, à savoir que l'élément d'attache est un matériau qui ne peut être sectionné aisément, c'est-à-dire un matériau qui nécessite, pour être découpé, un outil du type pince, scie, et non un outil plus usuel de découpage tel que des ciseaux.

Le dispositif est plus particulièrement conçu pour certains types d'articles ou accessoires d'articles qui présentent en particulier une partie formant anneau (telle qu'une lanière inamovible) ou un trou autorisant le passage de l'élément d'attache via son extrémité amovible.

L'élément d'attache est constitué d'un matériau rigide, tel que du métal. On entend par matériau rigide, un matériau qui engendre une inviolabilité de l'élément d'attache en position fermée sur un article à protéger et en place dans un magasin.

L'élément d'attache filiforme comporte des formes droites et/ou courbes. Il suffit qu'en position fermée du dispositif, l'élément d'attache reproduise la géométrie d'une ligne fermée à ses deux extrémités, cette ligne étant refermée sur l'article à protéger.

Le dispositif selon l'invention est ainsi avantageusement utilisé à la manière d'un cadenas, le corps du boîtier étant sensiblement parallélépipédique, et l'élément d'attache ayant par exemple une forme de U inversé, l'âme du U constituant une anse, et les branches du U formant respectivement deux tiges espacées dont l'une est fixée au corps du boîtier de manière permanente tout en autorisant au moins un degré de liberté de l'élément, et l'autre tige est fixée au corps du boîtier de manière détachable.

L'anse de l'élément d'attache permet au dispositif d'être suspendu et retenu après une lanière inamovible ou à l'alésage d'un article autorisant au travers lui, le passage de l'élément d'attache. Ainsi, le dispositif permet une association simple et rapide en passant l'arceau autour de la partie d'accueil de l'article.

Le profil de l'élément d'attache et la dimension du dispositif seront plus particulièrement adaptées aux articles à protéger.

L'amovibilité de la tige détachable une fois associée au boîtier n'est rendue possible que par un outil spécifique et approprié pour assurer le dégagement de la tige hors du boîtier. Le ou les matériaux constitutifs de l'élément d'attache ainsi que le système de verrouillage interne au boîtier rendent par conséquent inviolable la séparation de l'élément d'attache en position associée avec le boîtier.

L'extrémité proximale de l'élément d'attache fixée au boîtier est crochetée et sertie, en étant apte à pivoter, à un ergot de fixation interne au corps du boîtier, et est encapsulée dans le corps du boîtier. Cette fixation donnée à titre d'exemple assure une solidarisation inviolable de cette extrémité au boîtier, tout en permettant la mobilité de l'élément d'attache.

En variante de fixation, l'extrémité proximale de l'élément d'attache associée au boîtier est enserrée dans un ressort logé entre deux butées à l'intérieur du boîtier, et est apte à pivoter et subir une translation pour l'engagement et le dégagement de l'extrémité distale dans et respectivement hors du boîtier. Selon une caractéristique, le corps du boîtier comporte une cavité destinée à accueillir l'extrémité distale amovible de l'élément d'attache, et dans laquelle un organe de verrouillage est apte à être mobile, de préférence transversalement à cette extrémité, de façon à venir coopérer avec celle-ci pour son blocage en position.

L'extrémité distale amovible de l'élément d'attache et le système de verrouillage comportent en particulier des moyens de coopération mutuelle de retenue. Avantageusement, l'extrémité distale amovible de l'élément d'attache est pointue de manière à faciliter son introduction à l'intérieur du boîtier.

Les moyens de verrouillage verrouillant en position introduite l'extrémité distale amovible de l'élément d'attache, sont agencés dans une partie du corps faisant saillie du reste du corps. Cette configuration facilite la coopération par application contre cette partie en saillie d'un outil adapté assurant le déverrouillage sans contact de l'extrémité amovible de l'élément d'attache. Enfin, le système de détection antivol est un système électronique de détection de vol du type par radiofréquence ou magnéto-acoustique

L'invention sera bien comprise à la lumière de la description qui suit, montrant des exemples non limitatifs de formes de réalisation du dispositif de l'invention, et se rapportant aux dessins annexés dans lesquels : - la figure 1 est une vue en perspective d'un dispositif antivol de l'invention en position ouverte;

- la figure 2 représente une vue perspective du dispositif en position fermée selon une variante de forme du boîtier;

- la figure 3 est une vue en coupe et de dessus du dispositif de la figure 2;

- la figure 4 est une vue en coupe et de dessus du dispositif de la figure 2 en position ouverte;

- les figures 5a à 5c illustrent en vue de dessus et schématiquement des variantes de forme de l'élément d'attache du dispositif;

- la figure 6 illustre une vue en perspective du dispositif de la figure 1 en position fermée et associé à une chaussure à protéger;

- la figure 7 montre le dispositif de la figure 5 en position ouverte grâce à sa coopération avec un outil approprié de déverrouillage ; - la figure 8 illustre une variante supplémentaire en vue de dessus de l'intérieur du dispositif.

Les figures 1 et 2 illustrent un dispositif antivol 1 selon l'invention destiné à être attaché autour d'une lanière inamovible, ou passé au travers d'un orifice, d'un article en vente libre par exemple des articles vestimentaires, de maroquinerie ou de sport, pour les protéger du vol à l'étalage.

Le dispositif a l'apparence d'un cadenas. Il adopte une position ouverte, telle que visible sur la figure 1 , ou une position fermée, visible sur la figure 2, de manière à être par exemple passé dans un œillet 7 de chaussure à lacets de la manière montrée sur la figure 6.

Le dispositif comporte un boîtier 2 et un élément d'attache 3 (dit "attache" dans la suite de la description) destiné à coopérer avec le boîtier pour y être maintenu bloqué en position d'attache. L'élément d'attache 3 de forme allongée et courbe, à la manière d'une boucle, est destiné à entourer une lanière d'article, ou être passé au travers de l'orifice d'un article. Selon les figures 2 et 3, le boîtier 2 présente un corps 20 de forme par exemple sensiblement parallélépipédique, qui loge un système de détection contre le vol représenté schématiquement par le bloc 4, et des moyens de verrouillage 5 bloquant en position de retenue l'élément d'attache 3 lorsqu'il est introduit dans le corps du boîtier 2.

Le système de détection 4 est un système électronique résonnant de type connu, destiné à coopérer avec un émetteur-récepteur de détection et d'alarme (non représenté) extérieur au boîtier 2. Les moyens de verrouillage 5 seront détaillés plus loin.

Le corps 20 du boîtier est de préférence fait d'une matière plastique rigide, telle qu'en polychlorure de vinyle (PVC). Le corps 20 est de préférence constitué, tel que visible sur la figure 2, de deux demi-coquilles 21 et 22 qui sont assemblées de façon inamovible l'une à l'autre, après avoir agencé à l'intérieur (figure 3 ou 4) le système électronique antivol 4, les moyens de verrouillage 5, et avoir fixé l'une des extrémités 31 a de l'élément d'attache 3.

Les deux demi-coquilles sont par exemple assemblées par soudure aux ultrasons.

Le corps peut en variante être formé d'une unique pièce moulée autour des éléments logés à l'intérieur du boîtier. En regard des figures 2 et 3, l'élément d'attache 3 est en forme d'arceau ou de U inversé, et comporte une anse 30 (en forme sensiblement de demi cercle ou demi ellipse) et deux tiges ou branches 31 et 32 prolongeant l'anse de chaque côté, de manière parallèle.

L'une des tiges 31 par son extrémité 31 a, opposée à l'anse 30, est solidaire du corps du boîtier. Si l'attache 3 est en matériau rigide, elle doit être fixée au corps 2 de manière à permette au moins un degré de liberté. Dans ce cas, selon l'exemple montré, l'attache 3 est montée articulée (en son extrémité proximale 31 a) sur le boîtier 2 selon le plan dudit boîtier. L'autre tige 32 présente son extrémité distale 32a, opposée à l'anse, qui est amovible. Elle est soit détachée du corps du boîtier (figure 1 ), le dispositif antivol étant ouvert et prêt à être attaché à un article, soit fixée au corps en y étant maintenue bloquée (figures 2 et 6), le dispositif antivol étant fermé et verrouillé et ainsi attaché à un article (chaussure par exemple).

La tige 32 à l'extrémité libre est de préférence plus longue que l'autre tige, son extrémité 32a et une portion 33 devant être insérées suffisamment vers l'intérieur du boîtier pour coopérer avec les moyens de verrouillage 5.

L'élément d'attache est fait d'un matériau qui ne peut pas être sectionné par des moyens usuels de découpe du type ciseaux. Il ne doit effectivement pas être possible de le découper ou de le rompre soit manuellement, soit avec des ciseaux, pour ainsi empêcher de le détacher de l'article auquel il est fixé en magasin. A cette fin, le matériau est de préférence en métal, soit sous forme d'un câble tressé, soit filiforme rigide. Il est constitué par exemple d'un matériau métallique, en particulier en acier traité pour ne pas rouiller.

En variante, le matériau est à base d'une matière plastique rigide renforcée de fibres.

Au moins le matériau de la portion 33 destinée à être insérée dans le boîtier est à base au moins d'un matériau magnétisé, tel que du fer, de manière à pouvoir coopérer avec les moyens de verrouillage qui sont aimantés comme il sera vu ultérieurement.

L'élément d'attache 3 peut prendre diverses formes dont différents exemples géométriques sont illustrés sur les figures 5a à 5c. La ligne constitutive de l'élément d'attache située entre les deux extrémités 31 a et 32a présente des segments droits et/ou courbes.

Les extrémités 31 a et 32a sont séparées d'une distance telle qu'en position fermée du dispositif (figures 2 et 3), l'extrémité 32a coopère avec les moyens de verrouillage 5

En regard des figures 3 et 4, l'extrémité proximale 31 a est fixée au corps du boîtier. Elle est rendue solidaire de sorte qu'elle ne puisse pas se rompre ou se desceller si l'on tire sur la tige 31 du dispositif. Elle est par exemple fixée fermement en présentant une forme de virole ou crochet serti autour d'un tenon 23 solidaire du corps du boîtier. En outre, le maintien de cette extrémité 31 a est renforcé par son encapsulation entre les deux demi-coquilles du corps 20 du boîtier. Cette extrémité est rigide ou pourrait être souple pour assurer sa mobilité par rapport au boîtier pour l'insertion de l'autre extrémité 32a dans le boîtier. La souplesse nécessite néanmoins que le matériau soit résistant à la rupture, pour qu'en magasin, l'attache soit inviolable.

Lorsque l'attache est réalisée en un matériau rigide, la fixation de l'extrémité 31 a est telle que l'attache 30 puisse être mise en mouvement de manière à permettre la fixation (amovible) ou la désolidarisation de l'extrémité opposée 31 a par rapport au corps 2.

L'autre extrémité distale 32a est libre et est apte à être introduite dans une cavité ou logement approprié 24 agencé dans le corps du boîtier (figures 3 et 4). Ce logement est de forme oblongue pour qu'outre l'extrémité 32a, une portion longiligne d'extrémité 33 de la tige soit également accueillie.

Le bord du corps du boîtier comporte un orifice 25 d'entrée vers le logement 24 pour l'introduction de l'extrémité 32a.

Avantageusement, l'orifice 25 présente une forme sensiblement en entonnoir, tandis que l'extrémité 32a est pointue de manière à favoriser l'insertion de l'extrémité de la tige par guidage mutuel.

Sur les vues des figures 3 et 4, sont visibles les moyens de verrouillage 5 bloquant en position la portion 33 de la tige à l'intérieur du boîtier. Les moyens de verrouillage illustrés sont donnés à titre d'exemple mais ne son pas limitatifs. D'autres moyens de verrouillage pourraient être imaginés. Ces moyens de verrouillage 5 comportent un premier système 50 d'appui et mobile via un ressort et un second système 51 mobile via un ressort et aimanté pour assurer le verrouillage. Tel que visible sur la figure 4, le premier système 50 d'appui comporte un axe 52 monté d'une tête plate 53, et un ressort 54 disposé autour de l'axe. L'axe est monté coulissant dans le logement d'accueil 24 grâce au ressort entre une butée haute et une butée basse. En regard de la figure 3, lorsque la tige 32 est introduite dans le boîtier, l'extrémité 32a prend appui sur la tête 53 et repousse l'axe 52 jusqu'à la butée basse, engendrant la compression du ressort 54. Concomitamment, le système de verrouillage 51 est activé comme on le verra ensuite, pour empêcher le retrait de la tige 32.

En position de déverrouillage du second système 51 , le ressort 54 qui était comprimé se détend engendrant l'éjection de la tige 32 hors du boîtier. Le système de verrouillage 51 est transversal au premier système (figures 3 et 4). Il comporte un organe de verrouillage 55 aimanté de forme cylindrique et un ressort 56 prenant appui entre le bord du boîtier et l'une des extrémités de l'organe de verrouillage. L'extrémité de l'aimant opposée au ressort est destinée à déboucher dans la partie supérieure du logement 24.

Lorsque la portion 33 de la tige 32 est introduite dans le logement 24, son matériau étant métallique, l'organe de verrouillage aimanté 55 est attiré contre elle. Avantageusement, l'organe de verrouillage présente une terminaison biseautée 57 qui coopère avec une encoche 34 agencée dans la portion 33 de l'élément d'attache, empêchant ensuite le retrait de la tige. D'autres moyens de retenue et de coopération mutuelle que les éléments illustrés 57 et 34 peuvent être envisagés. Avantageusement, les moyens de verrouillage verrouillant en position introduite l'extrémité distale amovible de l'élément d'attache, sont agencés dans une partie 26 du corps faisant saillie du reste du corps. Cet agencement permet de disposer plus facilement contre le boîtier, un outil de déverrouillage couramment employé pour les macarons antivol usuels, tel que l'outil 6 visible sur la figure 7, qui présente une cavité ou renfoncement pour accueillir par applique la partie formant saillie du boîtier.

Le fonctionnement du dispositif antivol de l'invention va à présent être décrit.

Le dispositif antivol est en position ouverte pour l'attacher à un article.

On passe l'anse 32 de l'élément d'attache du dispositif après une lanière ou, comme ici en figures 6 et 7, après l'œillet d'une chaussure à lacets.

On introduit la tige libre 32 dans l'orifice 25 du boîtier, et on la pousse vers l'intérieur du boîtier jusqu'à enclenchement du système de verrouillage 5, la tige 32 étant en position bloquée par la coopération de la pointe 57 de l'aimant dans l'encoche 34 de l'élément d'attache. Le dispositif est alors fermé et verrouillé.

Pour retirer le dispositif de l'article, tel qu'illustré sur la figure 7, on positionne un outil 6 adapté au déverrouillage du système de verrouillage contre la partie du corps 26 du boîtier logeant le système 51 . Il s'agit d'un aimant puissant qui permet d'attirer l'organe de verrouillage 55 dans un sens opposé à la portion 33 en place dans le logement 24. Le déplacement de l'organe de verrouillage 55 libère son accouplement avec la portion 33, et sous l'effet du ressort de compression 54 du système d'appui 50, la tige 32 est éjectée en dehors du boîtier. Le dispositif est à nouveau ouvert.

Le dispositif de l'invention est extrêmement maniable et manipulable en étant simple d'utilisation, et évite de transpercer l'article à protéger.

D'autres variantes d'association de l'élément d'attache 3 au boîtier par son extrémité proximale 31 a sont bien entendu envisageable. La figure 8 illustre un exemple supplémentaire. La tige 31 présente son extrémité proximale 31 a enserrée dans un ressort 8, lui-même agencé entre deux butées dans un logement du boîtier. En position ouverte du dispositif, la tige 31 est libre de pivoter permettant d'agencer aisément l'autre extrémité 32 autour du produit à protéger. Une fois l'anse rigide 30 associé au produit, l'utilisateur fait pivoter la tige 31 de manière à agencer l'extrémité 32a de l'autre tige 32 en regard de la cavité 24 du boîtier. En appuyant sur la tige 31 associée au ressort 8, l'ensemble de l'élément d'attache 3 est translaté de sorte que l'extrémité 32a est introduite dans la cavité 24 dans laquelle les moyens de verrouillage 5 se déclenchent.