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Title:
APPARATUS HAVING AN ELECTRONIC PHOTORECEPTOR-CONTROLLED SOUND OR LIGHT SIGNALLING SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1994/023408
Kind Code:
A1
Abstract:
An advertising, synoptic or other signalling apparatus using differential photoresistors to control indicator lights, wherein a single compensating photoresistor is used alongside a number of operative photoresistors which sequentially (never simultaneously) generate commands by means of a sequencer assembly for defining time slots in the same way as a clock, separating the resulting independent commands, with lights that come on in staggered fashion, all overlaps being avoided to reduce current consumption, enabling current from photovoltaic cells to be used so that the apparatus has a self-contained power supply. The apparatus has the ability to carry out system tests using a phenomenon provided by using said differential system, and can provide for its own safety by means of an internal arrangement of said device.

Inventors:
PEREZ JOAQUIN (FR)
Application Number:
PCT/FR1994/000365
Publication Date:
October 13, 1994
Filing Date:
March 31, 1994
Export Citation:
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Assignee:
PEREZ JOAQUIN (FR)
International Classes:
G09B29/10; (IPC1-7): G09B29/10
Foreign References:
FR2503431A11982-10-08
US4247766A1981-01-27
DE3307720A11984-09-06
DE4009389A11991-09-26
US4553143A1985-11-12
US4492896A1985-01-08
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Claims:
R E V E N D I C A T I O N S
1. Appareil à " témoins lumineux ou luminescents " commandés par des photorésistances ( PR ) qui s'associant temporairement par paires grâce au système décrit pour former des couples éphé¬ mères à l'issue de cycles rapides et répétés constituant ainsi pendant des durées très brèves mais continues donnant l'illusion de la permanence lors de leurs manifestations optiques dans les' té¬ moins des "PR" qui ont pour objet la détection d'un déséquilibre au niveau de 1 'éclairement agissant concurremment sur chacune des deux " PR " simples qui les constituent se caractérisant en ce que la première de ces deux "PR " appelée " PR active " dans le couple ainsi fugace ent formé à l'issue de chaque cycle et spéci¬ alement réservée aux sollicitations sur la façade de cet appareil par masquage de l'effet de 1 ' éclairement ambiant agissant sur el¬ le et déclenchant par là une commande qui par cette rupture co opère à cette occasion avec la seconde "PR " appelée " PR'de com¬ pensation " se caractérisant ellemême en ce qu'elle demeure uni¬ que dans chaque unité et commune à tour de rôle à tous les couples constituant ainsi une quelconque unité réunissant plusieurs com¬ mandes dans le même appareil susceptible à son tour de contenir plusieurs unités afin de déclencher l'allumage des témoins opti¬ ques qu'elles contrôlent grâce à l'intervention d'un circuit inté¬ gré agissant en " comparateur analogique " assurant le " sé quençage " des étapes de comparaison avec l'appui d'un" oscil¬ lateurinverseur logique"attaquant plusieurs compteurs " montés en anneau " qui divisent le temps en séquences régulières à l'ins¬ tar d'une horloge en contraignant ponctuellement à chaque cycle et chacune à son tour les " PR actives " choisies pour permettre à l'échéance du cycle le déclenchement des commandes individuelles animant les témoins qui en dépendent et se produisant dès que les signaux non optiques comparés auront fait ressortir la différence de 1 'éclairement agissant sur les deux " PR" composant un couple par la volonté du système qui les asservit et cela après chaque cycle aboutissant au front d'horloge désigné.
2. L'Appareil selon la précédente Revendication est caractérisé en ce que bien que coopérant avec une seule et unique " PR " de compensation " toutes les " PR actives " dénombrées ici de PRi à pD>25 dans l'exemple proposé pour la démonstration ayant recours à FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) cette seule " PR de compensation " vont chacune à l'aide des di des antiretour dénombrées de Di à D2e intervenant ici pour em¬ pêcher la formation d'un réseau anarchique et inextricable série/ parallèle et garder une totale indépendance chacune visàvis de ses semblables qui restent seules et chacune de son côté à commander les témoins lumineux qui leur sont assujettis en propre et cela même si plusieurs " PR actives " qui tout en gardant leur totale indépendance les unes par rapport aux autres sont toutes ensemble soumises à l'effet de l'obscurité alors que la " PR de compensa tion " continue de rester éclairée .
3. L'appareil selon l'une quelconque des précédentes Revendica¬ tions est caractérisé en ce qu'en amont de la " PR de compensation" commune à tous les couples différentiels successifs formés à tour de rôle avec les " PR actives " se situe un"oscillateur astable" luimême branché sur un"compteurdécodeur"agissant comme une hor¬ loge fractionnant le temps en séquences pour gérer régulièrement ces dernières en les affectant à la mission qui leur a été impar¬ tie selon l'ordre chronologique qui se traduit au niveau des témoins lumineux par un clignotement extrêment rapide et régulier des lu eurs résultant de ce que lesdites " PR actives " sont séquentielle¬ ment scrutées avec un décalage imposé et cela à chaque déclenche¬ ment et chacune à son tour sans que le rythme immuable des séquen¬ ces et celui de la révolution du cycle aboutissant au front d'hor¬ loge en soient perturbésce qui assure à chacune des commandes poten tielles le droit d'agir et chacune à sa séquence particulière sans tenir compte des séquences non utilisées pour des commandes néanmoins comptées dans une progression régulière et permanente.
4. L'appareil selon l'une quelconque des précédentes Revendica¬ tions est caractérisé en ce que plusieurs compteurs réunis "en an neau " n'en forment qu'un seul à plusieurs sorties branchées sur les " PR actives " permettant ainsi de scruter à tour de rôle les¬ dites" PR"et chacune séparément après un délai égal à la durée to¬ tale impartie au tour complet de cette exploration pour aboutir aux effets particuliers du seul poste de commande sollicité par obturation le sa "PR active " tout en ménageant l'indépendance enti¬ ère de chaque poste même si plusieurs postes se trouvent sollicités simultanément car chaque poste ne réagira qu'à sa propre séquence.
5. L'appareil selon l'une quelconque des précédentes Revendica¬ tions est caractérisé en ce que les témoins s'allument par inter ittences de durées égales selon un rythme très rapide imposé par les oscillations du "multivibrateuroscillateur permettant une dis FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) tribution régulière de ses ordres quand interviennent les"scruts tions séquentielles " pendant que les compteurs "montés en anneau" remplissent inlassablement leurs fonctions pour ne laisser finalement s'al¬ lumer que le seul voyant assujetti à la commande qui profite de l'ar rivée de son propre tour pour être déclenchée en inhibant du même coup les effets des autres commandes attendant leur propre tour ce cji réduit considérablement les besoins en courant de cet appareil .
6. L'appareil selon l'une quelconque des précédentes Revendica¬ tions est caractérisé en ce qu'il peut être alimenté par des cellules photovoltaîques parceque ses besoins en courant électriques sont réduits du fait que seul un poste de commande fonctionne à la fois pendant qu'il est branché car les autres restent inhibés pendant qu ' il "arche.
7. L'appareil selon l'une quelconque des précédentes Revendications est caractérisé en ce que l'on peut intercaler un "compteurdécodeur" à plusieurs étages complémentaire entre"l 'oscillateur astable" et l'en¬ trée de son"compteurdécodeur" afin de multiplier la fréquence des oscillations permettant ainsi la multiplication des voyants solidai¬ res de chaque poste de commande dépendant d'une "PR active" pour géné¬ rer des signaux lumineux supplémentaires pouvant encore être surrnul tipliés en ajoutant des moyens similaires car le temps peut être di¬ visé à l'infini jusqu'à saturation .
8. L'appareil selon l'ensemble des Revendications précédentes est caractérisé en ce que l'on peut exploiter une dernière sortie déco¬ dée dans les " compteurs montés en anneau à la fin de son tour complet.
9. L'appareil selon l'ensemble des précédentes Revendications est caractérisé en ce qu'un autre poste utilisant une simple "PR" non accouplée est agencée dans le même circuit mais tournée vers 1 'intérieurmême de cet appareil pour assurer sa sécurité en captant toute éventuelle entrée de lumière afin de déterminer s'il y a effraction.
10. L'appareil selon la précédente Revendication est caractérisé en ce qu'il comporte un système intégré d'alarme dérivant du mê.e montage pour assurer sa propre sécurité mais il se caractérise aussi en ce que le susdit système autorise le remplacement de la "PR" par d'autres types de capteurs pouvant dans les limites du circuit com mander d'autres sortes d'avertisseurs comme des trembleurs(Buzzers ; et autres systèmes sonores ou optiques sans autres modifications que les valeurs et capacités des composants en faisant intervenir ampli¬ ficateurs et relais pour éventuellement utiliser une sirène ou autre dont l'apparition nécessiterait un réajustage du niveau de la tension. FEUILLE DE REi ACEMEHT (RÈGLE î«.
Description:
APPAREIL A SYSTEME DE SIGNALISATIONS LUMINEUSES OU SONO¬ RES COMMANDEES PAR DES PHOTORECEPTEURS ELECTRONIQUES

L'appareil, décrit dans le présent texte, prend plus particuliè¬ rement l'aspect d'un tableau, bien que cela ne constituât pas une stricte obligation. Agencé selon le service que l'on en attend, il servira dans des domaines très variés, allant de la publicité à la pé- dagogie,la présentation d'organigrammes ou diagrammes et synoptiques animés, en passant, entre autres, par la signalétique pour indiquer des lieux, les bureaux dans les étages d'une mairie, d'un ministère, les rayons dans les grands magasins, les services d'un hôpital ou les salles d'un musée, par exemple. La façade de cet appareil ,strietement semblable à celle décrite dans le Brevet N° 8106629 déposé à Paris, le 2 Avril 1981 et reproduisant extérieurement les mêmes phénomènes lumineux provoqués par les mêmes photorésistances sollicitées de ma¬ nière identique, pourrait donc être livrée, à la vue des intéressés sans que l'invention soit réputée divulguée; la différence de fonc- tionnement,objet du présent texte, résultant de la conception élec¬ tronique entièrement renouvelée, répondant à des exigences totalement distinctes, restant à l'abri de la curiosité à l'intérieur du tableau.

Extérieurement, ce qui différencie le fonctionnement du système, c'est une plus grande rapidité de réponse, une fiabilité plus grande, et un élargissement notable des limites des plages d 'éclairement qui deviennent exploitables .Le nouvel agencement permet de capter une source extrêmement faible d 'éclairement . C'est ce qui fait la grande diffé¬ rence entre les deux conceptions; les opposant presque par la même oc¬ casion. Cette façade est animée par des repères lumineux ou "voyants" (micro-lampes à incandescence ou diodes électro-luminescentes " LED").Les LED's sont préférables .Sous tension, elles s'allument en clignotant .Elles o- béissent ainsi à l'arrière-plan électronique de l'unité de commande, à laquelle el¬ les sont liées dans le tableau. L'allumage des LED,est commandé par des"pho- torésistances différentielles" qui, à la différence des photorésis- tances ordinaires ( PR ) , sont constituées par deux photorésistances PR de valeurs et capacités égales.Des boîtiers contenant les deux PR réunies existent dans le commerce. On retiendra cependant dans la pré¬ sente démonstration une "différentielle" constituée par deux PR sépa¬ rées et strictement semblables.Bien que similaires ces deux PR auront des fonctions contradictoires:1 'une guettant un moment d'incapacité de l'autre à capter la lumière ambiante pour donner l'alerte. Pour les distinguer il convient de les nommer différemment. La première de ces "PR" sera la "PR active" :spécialement affectée aux sollicitations de l'intéressé cherchant l'information dans le tableau et la seconde sera la " PR de compensation". Ces deux PR ne fonctionnent que par paires pour constituer une "différentielle" .Dans le cas présent, la

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" PR de compensation" reste seule vis-à-vis des "PR actives" nombreuses dans l'u¬ nité de commande où elles se trouvent intégrées ensemble. Un tableau pourrait receler plusieurs unités de commande. Chaque unité, étant circonscrite dans un circuit , constitue un module. Un tableau pourrait contenir plu- sieurs modules. Ces modules sont ce qui nous intéresse plus particu¬ lièrement. Ils sont pareils; répétitifs. Il s'agit d'un produit indus¬ triel, à ce titre. Leur fabrication en série permet d'abaisser les coûts de production. Il est interchangeable dans tous les appareils répon¬ dant à la description technique qui suit. Hormis la présence d'une PR simple, pour un usage interne annexe, toutes les autres doivent se pré¬ senter par paires, en ayant recours à une "PR de compensation", pour former des couples. Or, il n'existe dans l'unité qu'une seule "PR de compensation" pour l'ensemble des " PR actives ".Elle s'associera, tour à tour, avec chacune des " PR actives", pour former des couples éphémè- res. Grâce à cette intéressante particularité, chaque fois qu'une " PR active" sera sollicitée, il n'y aura guère qu'une seule"LED" à s'allu¬ mer. La"photorésistance simple" déjà citée plus haut, est réservée à la sécurité de l'appareil. En cas de vandalisme sur la voie publique. On y reviendra plus loin. Le problème est accessoire, mais bien d 1 actualité. La"photorésistance différentielle" réagit devant une différence d'é- clairement agissant sur l.-* une des deux photorésistances indépendan¬ tes qui la constituent pendant un bref moment. Dès qu'il y a une différence du niveau d' éclairement entre les deux cellules, ce déséquilibre suscitera une comman¬ de de la part de la "PR différentielle" pendant que le couple est formé. En consé- quence, en obturant la"PR active", la privant de la lumière provenant de 1 ' éclairement ambiant qui continue d'agir sur la "PR de compensati¬ on", on provoque infailliblement la réaction qui est ici exploitée . Ré¬ duire à une seule "PR de compensation"est un facteur appréciable d'économie .

La commande citée plus haut, émise lors d'un déséquilibre du niveau d 'éclairement .allumera la, ou les,LED apparaissant sur la façade et qui dépendent de la " PR active" sollicitée. Le signal de ce témoin lumi¬ neux, repère ou voyant, se traduira par une lumière qui paraîtrait con¬ tinue. En réalité, il s'agira d'un clignotement extrêmement rapide, diffi¬ cilement perceptible par l'oeil humain. Il dénote un asservissement in- dispensable au fonctionnement du système. En effet, si par un moyen quelconque, on masquait ensemble toutes les PR d'un module, toutes les LED qui en dépendent s'allumeraient dans ce qui ne serait qu'une illu¬ sion de simultanéité. Mais ce ne serait là qu'une illusion; car ces LED ne s'allumeront jamais ensemble. Leurs signaux lumineux seront tous dé- calés, les uns par rapport aux autres. C'est dans les intervalles où les LED's s'éteignent, lorsqu'elles émettent de la lumière par intermitten¬ ce que leurs voisines s'allumeront à un rythme extrêment rapide .

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La"PR de compensation" aura donc formé un couple avec une"PR active" chaque fois qu'une émission électrique se traduisant par un flash bref dans la LED se sera produit.Cela résulte d'un cycle imposé par un sys¬ tème d'horlogerie électronique. L'extrême économie de courant qui en est la conséquence, rend le procédé intéressant .Non pas en matière de coûts d 'exploitation,mais parceque cela autorise enfin l'usage pratique des cellules photovoltaïques , pour assurer l'alimentation de l'appa¬ reil,si on voulait le rendre autonome. Nul n'ignore que les photopiles sont très parcimonieuses en matière de production de courant. Il eût fallu disposer de surfaces considérables, aux prix où sont les photopiles actuellement,pour fournir le ourant nécessaire à l'alimentation d'un appareil qui ne bénéficierait pas de l'as¬ tuce citée. Ce qui rend cela possible, déterminant un rythme continu et rapide, c'est l'intervention du comparateur, de l'oscillateur astable et des"compteurs montés en anneau". L'usage d'un système ayant recours des paires de cellules agissant de manière à constituer le système différentiel a été évoqué dans le Brevet N°8106629 déjà cité. Le phé¬ nomène est connu des spécialistes .Chaque paire ayant pour mission, en masquant la"PR active" qui contraint la "PR de compensation" à mani¬ fester son rôle pour délivrer ainsi une commande par une émission de cou- rant. Mais la similitude, ici aussi, n'est qu'apparente. Les montages décrits étaient effectués avec des composants fournis par l'industrie dans l'état de la technique et de l'art de l'époque; c'était en 1981. De très grands progrès ayant été accomplis, le présent texte permet d'en profiter. Les producteurs de photorésistances avaient bien signa- lé alors que les photorésistances différentielles conféraient une plus grande sensibilité aux montages, ce qui avait amené à vérifier et à citer le phénomène. Cependant les prix atteints par un système qui nécessitait deux photorésistances ( PR ),ρar poste de commande, étant prohibitifs, s'opposaient radicalement à son adoption. Si un tableau représentant, par exemple, un Plan de Ville, avec des témoins lumineux en façade, ou un tableau synoptique à repères lumineux, ou autres, em¬ ployant les alternatives évoquées dans le Brevet N°8106629, sans re¬ courir au système différentiel, devait être utilisé, il eût fallu l'ex¬ ploiter impérativement à la lumière du jour, sur la voie publique .L 'ap- pareil, pour fonctionner eût été tributaire d'un éclairement puissant, faute de quoi, les signalisations espérées ne pouvaient fonctionner. Dans la pénombre, très tôt en hiver; en plein après-midi, par exemple il devenait inutilisable. Dès lors, il devenait évident, que seules les photorésistances différentielles, apportant une solution satis- faisante,pouvaient être retenues. Mais les composants adéquats manquaient,.

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Fonctionnant irrégulièrement par temps couver ,selon le niveau d ' éclairement . De plus, on avait recours à un"commutateur cré- pusculaire"pour éviter que tous les repères lumineux ne fonc¬ tionnent à la fois, si toutes les photorésistances étaient sou- mises à l'effet de l'obscurité ou même de la pénombre . Sur une plage ensoleillée, en plein été,cela aurait parfaitement marché; ce qui réduisait considérablement la portée de l'invention.

Cependant les bases étaient établies pour une étude ultérieure afin de parfaire les résultats acquis. Les nouveaux composants mis su point ces toutes dernières années ont comblé les espérances investies dans la création d'un tel appareil, fonctionnant dans des conditions optimales. Cela se traduit par des résultats ob¬ tenus dans des niveaux d 'éclairement qui s'évaluent en "lux" ou en "candel a "; ils se révèlent extrêmement favorables. A telle enseigne que de tels tableaux, peuvent fonctionner à l'intérieur d'une galerie, ou d'un magasin, dans un wagon de métro ou de train, dans des couloirs souterrains faiblement éclairés. Les perspectives d'utilisation deviennent soudain infinies, avec ce¬ pendant un système différentiel, à double cellule! Comment cela a-t-il pu être rendu possible ? Comme on a pu le voir des astuces permirent des économies notables et des résultats étonnament plus sensibles que naguère. La commutation crépuscu¬ laire a ,elle-même ,disparu. Les photorésistances sont toujours les mêmes que jadis; ce sont les ' nouvelles générations de compo- sants qui autorisèrent ces résultats. Arrivés à ce staie, il n' est plus nécessaire de chercher plus loin, car on n'en demande strictement pas plus. Ce qui n'était pas possible à la fin des années soixante dix, l'est aujourd'hui de manière exemplaire. L'arrière-plan électronique nécessaire à chaque photorésistεnce est complètement modifié. Une seule photorésistsnce de compensa¬ tion, dans le système des cellules dites différentielles, suffit à la totalité des " cellules actives " grâce à des composants adéquats qui ne déclenchent qu'un seul signal lumineux à la fois. Si toutes ces photorésistances étaient masquées d'un seul coup, les signaux lumineux fonctionneraient tous, bien sûr, mais par impulsions intermittentes , avec toutes les précautions pour éviter qu'il n'y en ait deux à la fois qui s'allument. De ce fait, la consom¬ mation de courant en est très réduite et le remplacement des an¬ ciens repères lumineux par d'autres types de voyants, le réduit encore plus.Les " flashes " luminescents s' évaluant en millisecondes, le phénomène de la persistance de l'image dans les centres ré-

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cepteurs de l 'oeil et du cerveau donne l'illusion de sa perma¬ nence D'autre part les"voyants à flashes " , sont beaucoup plus durables que les anciens repères lumineux : ce qui ne gâte rien, bien au contraire. Ces témoins lumineux , ces " voyants",sont aussi moins chers. Plan de Ville publicitaire, comme décrit dans le brevet précé¬ dent , ou indication d'un comptoir à l 'étage d'un Grand Magasin ou ,encore ,celle d'un stand dans une exposition ou un Salon Pro¬ fessionnel, ou encore tableau synoptique pour démontrer le che¬ minement des phénomènes scientifiques au cours d'une quelconque démonstration dans une salle universitaire ou hospitalière, tout devient désormais possible et les exemples cités ne sont nulle¬ ment limitatifs, comme on peut le comprendre sans peine. Ainsi le système se prête à la fois à une gamme infinie de possibili¬ tés allant d'un banal repérage géographique ou topographique à une utilisation dans le domaine pédagogique, en passant par la nomenclature des étages, et leurs. occupants dans un immeuble pro¬ fessionnel ou résidentiel. Une mairie, par exemple a de nombreux services annexes extérieurs qu'il convient de signaler et de si¬ tuer éventuellement sur un plan de la cité qu'elle contrôle?Et ce ne sont là que des exemples fort li ités.Le but de la descrip¬ tion qui va suivre est de permettre d'élaborer un tableau dont l 'usage dépendra de l'utilisateur, à condition de demander aux constructeurs de ce panneau de l'aménager et de le concevoir de sorte qu'il puisse ef ectivement s'en servir selon ses propres besoins. Le principe des montages restant le même pour tous les usages que l'on voudrait en faire. L'un de ces montages peut h son tour être exploité comme une unité. Si l'on ne désire pas se lancer dans la construction de tableaux ayant recours au principe décrit, avec une infinité de cellules, ce qui reste possible, comme on l'a vu, on pourrait toujours utiliser une combinaison de plusieurs unités qui, par leur cumul, donneraient le même ré¬ sultat. En conséquence, on se dirige vers la conception d'une unité à multiples usages , dont la fabrication sera répétitive, sans cependant se limiter à cette seule solution, car avec le même principe, on pourrait fort bien passer à la confection d'u¬ nités plus importantes en nombre de postes de commandes et de voyants. Inversement, on pourrait, en débranchant des voyants luminescents ,les réduire à un nombre inférieur à celui déjà prévu dans l'utilisation d'une unité. Le système reste donc très souple et pourrait ainsi répondre à des besoins très variés.

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On passera maintenant au complément du précédent brevet dont le but recherché est essentiellement basé sur l'acquisition d'une sen¬ sibilité plus grande dans les réponses aux sollicitations , 1 ' aug¬ mentation de la durée de vie, la réduction de la consommation en courant, le remplacement de la photorésistance commandant la commutation crépusculaire qui apparaît à la surface du panneau par une cellule similaire qui est utilisée comme cellule de com¬ pensation ,par ses aménagements électroniques internes pour la totalité des postes de commande grâce à un système d'horlogerie électronique qui en fait un vigile pour la totalité des postes de commande, son utilisation dans la pénombre, l' adoption des LED supportant bien les impulsions répétitives , en lieu et place des an¬ ciens repères .Leur foisonnement avec peu de courant et peu de tension et aussi une durée de vie beaucoup plus prolongée à ce niveau également. Les anciens voyants pouvaient être la proie de pannes intempestives ; le choix s 'étant finalement porté sur les sources de lumière d'un type en¬ tièrement différent, il. en découle tfes résultats pratiques qui rejail¬ lissent forcément sur les caractéristiques du tableau en tant que tel et que l'on décrira dans ce qui va suivre. Le but du montage étudié , après des essais innombrables, est d'utiliser une seule cellule de compensation: ce sera la photo- résistance PR26. Elle servira de cellule de compensation en re¬ gard des " x " autres cellules, agissant selon le phénomène de fonctionnement des"cellules différentielles". Ces " x " autres cellules seront à la portée du curieux , du chaland, ou de la per¬ sonne désireuse de chercher un renseignement procuré par le ta¬ bleau; ces photorésistances, de PR} à PR24 , dans le module exé¬ cuté qui a comporté, au niveau des essais et expériences .moins de vingt-cinq postes de commande mais pouvant être augmentés en nom- bre, comme on l'a vu ,( n ' ayant d'autre objectif ue d'en prouver, sa " faisabilité ", maquette opérationnelle à 1 ' appui,)seront des¬ tinées donc au fonctionnement normal du tableau qu'il soit desti¬ né a la publicité ou aux tableaux synoptiques, ou autres, au choix Il n'y a plus, dans la nouvelle conception du montage, de cir- cuit électronique agissant en guise de commutateur crépusculaire, ou, comme il s'agit d'un phénomène " en tout ou rien ", de com¬ mutateur d'obscurité car le couple de cellules , formé tour à tour, par chacune d'entre elles de P i à PR2 i f,que l'on désigne¬ ra dans leur ensemble par PR X ^ssociées successivement à la

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fonction assumée par PR26 '• la photorésistance restant de garde pour assurer le phénomène des cellules différentielles, soit PR χ - — PR26, montées en pont diviseur potentiométrique donnera toujours la même tension de sortie quel que soit 1 ' éclairement auquel el- les sont soumises à condition que son niveau soit à peu près i- dentique sur les deux éléments du couple ainsi formé pendant la durée de la séquence de fonctionnement. Il s'agit bien là d'un système di f f érentiel .(PR20 masquée. les ''voyants"cessent de fonctionner.) Les Photorésistances, numérotées de R1 à PR2 > sur le pro- jet, identique, dans son fonctionnement, à la maquette opérationε^ le de laboratoire, sont scrutées séquentiellement, avec toujours l'assistance de la même cellule de compensation :1a Photorésistance PR26- Cela permet d'aboutir ainsi au système différentiel. Ce qui a pour notable avantage de minimiser la consommation pendant qu'elles sont soumises à un éclairement brutal et optimal. Comme le soleil en été, à l'heure de midi, sans tenir compte des modifications ho¬ raires saisonnières comme c'est le cas à Paris ou les variations de luminosité dues aux incidences des changements de ' latitude . A ce moment-là, en pleine lumière, la valeur ohmique des cellules est très faible ( de l'ordre du K β . ) .

Du fait de ce qui précède, l 'alimentation ne " voit " qu'un seul couple de cellules à la fois. En conséquence il en résulte, en théorie, l'alimentation étant très peu sollicitée , que l'on-pεut monter autant de cellules que l'on désire, les unes à la suite des autres, avec cependant 1 ' arrière-plan électronique qui leur sera propre, .à chacune d'entre elles .L ' utilisation des voyants à luminescence répétitive, intermittente, en lieu et place des anciens repères lu¬ mineux nécessite une approche différente du problème. Cela se tra¬ duit d'abord par un avantage certain dans le domaine de la conso- mation de courant, car ils se contentent de très peu. D'autre part ils sont pratiquement inusables, comparés aux premiers ci¬ tés , quand bien même ces derniers, seraient garantis pour une durée de vie de 100.000 heures. Les lampes classiques peuvent tou¬ jours sauter, même si elles sont arrivées à un grand degré de fi- abilité; ce sont des accidents qui peuvent toujours se produire . Il n'en est pas de même des voyants luminescents qui ont la faculté de bien se prêter à un régime permanent de scintillements par inter- ittance.Leur durée de vie est réputée illimitée si l'on respecte

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les spécifications du ' producteur. L'utilisation de ce type de vo y ants a pour corollaire une augmentation de la durée de vie de l'appa¬ reil nécessitant un bouleversement interne, dans le domaine élec tronique avec une approche très différente du problème qui avec le phénomène des " flashes " intermittents change aussi le typε- même du tableau bien qu'appelé à une utilisation identique de celui précédemment décrit, dans le Brevet N°81 06629, dans la partie concernant l'application du système différentiel. Les si¬ gnalisations, elles-mêmes en seront modifiées. En tout étεt de cause, pour que des voyants électro-luminescents apparaissent dé¬ jà en surface, à la vue du public, il faut aussi recourir à un ar¬ rière-plan électronique approprié se contentant d'une très faible consommation de courant. Les limites de cette consommation, el¬ les-mêmes, impliquent le choix- des voyants électro-luminescents • qui, à leur tour ,. modi fient totalement, par leur emploi. le typε- même de l'appareil ainsi que le genre de voyants lumineux corres- r pondant à 1 'information recherchée . On ne connaît pas à ce jour un tableau représentant^par exemple, des indications sur un plan de ville, ayant recours à une si faible alimentation, ce qui n'a pu être obtenu que grâce à l'arrière-plan électronique adéquat; cela a demandé de gros efforts de recherche et de mise au point. Car avec une alimentation de moins de cinq volts on pourrait alimenter des di¬ zaines de cellules» répartis sur une grande surface:un mur^sr exemple. L'alimentation de ces voyants électro-luminescents est double- ment séquence pour deux raisons primordiales: a) Si deux cellules sont masquées simultanément dans ce que nous conviendrons temporairement d'appeler une"unité"de vingt quatre postes de signalisation, et donc de vingt quatre voyants Electro-luminescentS j Scintillants , il en résulte bien sûr un ai- lumage de deux voyants ensemble. Le montage a été réalisé de telle sorte que ces deux " voyants " ne s'allument pas simultané¬ ment car la " scrutation séquentielle " des Photorésistancεs PR^ à P >2 Λ s -i- également sur la commande de tous les voyants Vis-à-vis de l'alimentation, il n'y a qu'un seul voyant , k 1~ fois , qui lui réclame du courant. Dans ce cas, il n'est pas éton. nant que la consommation soit réduite de manière extraordinai¬ re et vraiment exceptionnelle. b) Ce dispositif étant destiné à attirer l'oeil de la personne sollicitant le renseignement souhaité, il a été fait appel aux connaissances d'ingénieurs de sécurité , oeuvrant dans différents

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corps de métier , sur tout en ce qui concerne les balises signa¬ lant des situations anormales, un danger ainsi repérable, par exemple. La meilleure signalisation lumineuse existant actuel¬ lement pour attirer visuellement l'attention réside dans l'é- mission d'un "f lashe"-éclair d'une récurrence de 3,3 Hz, soit un espacement, dans ce cas, entre deux éclairs d'environ un tiers de seconde en tout . La séquence de scrutation pour provoquer l'éclair dans le " voyant " dans les conditions ci-dessus énoncées est donc utili- sée avec une certaine astuce. De plus, cette brusque émission de courant dans ce même voyant , aussi courte soit-elle, présente l'avantage d'être bien visible à plusieurs mètres de distance, en plein jour: placé dans l'axe du point lumineux , avec une con- sommation extrêment minime, pendant une brève ' fraction de seconde, on en- registre une luminosité de 500 illicandela .

La technologie employée dans ce dispositif est de type Métal Oxyde Silicon que l'homme de l'art connaît bien sous l'abbrévia- tion " M. O.S. ". Ce type de composant ne consomme intrinsèquement pas de courant, il est insensible aux variations de la tension d'alimentation et, sa .très bonne immunité aux bruits électriques, aux parasites d'origines diverses , rendent son utilisation parti¬ culièrement intéressante dans le domaine présentement choisi.

Pour la réalisation de cette"unité" disposant de vingt-quatre postes de commande, au moyen de photorésistances PR^ à P 2_ t > il a été utilisé un oscillateur à inverseurs logiques C M.0.S .(Ccrnple- entary M. O.S.). La fréquence d'oscillation est déterminée par une résistance et un condensateur ,soit R2 et C , avec la formule suivante f os c :, . . — ; — =- — (R 2 = 51 KΛ et C. = 0,1/<F) donnant un nombre de'Ηz". Une autre résis¬ tance Ri dix fois plus grande que R2 assure la stabilité en fréquence de l'os- cillateur quelle que soit la tension d '• alimentation- entre 3 et 15 V. Cet oscillateur attaque le point " CPo" (Cloc Puise ),1 'entrée zéro du corno teur, constitué, en fait, de trois compteurs"montés en anneau ( IC3, IC,, IC5) pour obtenir les vingt quatre postes de commande. Le compteur avance à chs- que fois que son entrée " voit " une transition basse-haute, ou " front montant " quand ce dernier est à l'état "bas". Chacun des compteurs assurant huit commandes ,on aboutit au total de 24 commandes de base. A noter cependant .qu'une vingt cinquième, pourrait, par astuce, être encore exploitée dans le dernier compteur de l'ensemble. Ce qui n'exclut pas l'ad-

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jonction d'autres compteurs pour augmenter beaucoup plus le nom ¬ bre de commandes avec des composants accessoires similaires à ceux utilisés pour assister les trois premiers compteurs. Mais pour les besoins de la démonstration , il a été temporairement ad¬ mis que l'on limitait arbitrairement cette dernière à la confec- tion d'une unité de vingt quatre postes de commande qui, è son tour pourrai t , en tant qu'unité ,être associée à plusieurs autres pour obtenir des résultats identiques, avec cependant une alimen¬ tation propre à chacune d'entre elles, dans ce cas précis. Qu'il y ait trois compteurs dans une unité ou dix ou vingt et plus, le demis? co p- teur disposant d'une sortie restée libre pourrait être aménagée en poste es com¬ mande, tout comme les autres. En conséquence si l'on mentionne une unité es vingt quatre postes de commande, la sortie restée libre pourrait être exploitée Cette particularité reste constante; même si l'on aligne dix ou vingt compteurs en série, selon le principe démontré. Chaque comp- teur dispose de huit sorties exploitables avec, en plus, uns sor¬ tie supplémentaire utilisable dans le dernier compteur .Autrement dit, une dizaine de compteurs,montés à la suite les uns des au¬ tres, en anneau , déploieraient quatre vingt et un postes de coπtnan- ce de signalisations lumineuses et non pas seulement quatre vingts Dans tout ce qui précède, on a pu remarquer qu'un seul voyant correspondait à une photorésistance ( PR ). Le dispositif recèle cependant des avantages annexes, qui peuvent se révéler d'une très grande utilité.Quelques exemples, relativement faciles à cerner, pourraient les illustrer, sans en constituer des limites, car le système pourrait donner lieu à des applications tellement multi¬ ples qu'on pourrait pratiquement utiliser le terme " illimitées". En effet,quel rapport pourrait-il y avoir entre ce qui précède et la confection de véritables tableaux de commande, des claviers op- to-électroniques et autres qui restent dans le domaine des possibi- lités parmi toutes les autres applications réalisables et que l'on ne pourrait, exhaustivement , énumérer ici.

On ne signalera donc que cinq idées parmi d'autres, pour il¬ lustrer la portée de ces recherches dans ce domaine. Si dans le plan d'une cité figurent plusieurs bureaux de poste signalisées par des voyants, il est aussi possible pour chacun d'entre eux -d 'envisa¬ ger l'indication des emplacements où se trouvent disposées lεs boE tes aux lettres qui en dépenden .Sur un tableau représentant lε réseau du métro urbain, chaque station pourrait, par sa commande, indiquer les correspondances pour passer d'une ligne à une autre.

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Des combinaisons extrêmement astucieuses pourraient être exploi¬ tées dans ce domaine. Dans un tableau publicitaire, de type " Plan de Ville " qui, comme on le sait, est un plan entouré d'espaces in¬ diquant les coordonnées et les spécialités des annonceurs; on pour- rait imaginer des réflecteurs dans chacun de ces espaces , situés sous la plaque transparente posée en surface et portant l'annonce. Chacun de ces réflecteurs pourrait constituer un magasin' de petits voyants luminescents. Ces derniers pourraient être animés par un effet "chenillard" . Avec un clavier opto-électronique on pourrait commander des "voyants" sur un tableau. Or ceux-ci pouvant être sur¬ multipliés on pourrait ainsi former des lettres et par conséquent aborder une manière de délivrer des messages. En temporisant les signaux on leur donnerait le temps d'être déchiffrés.Une disposition liné¬ aire de ces cellules surune planche, permettrait de repérer des ni- veaux de liquides, de produits pulvérulents ou granuleux. Des hau¬ teurs différentes, détermineraient des quantités différentes et un tel dispositif ,.comparable à une suite de "jauges", ermettrait lors¬ que les niveaux fixés sont atteints, de déclencher, par impulsions électriques, des signaux ou de bloquer des robinets d'arrêt. u la variété de ces applications on ne saurait fix.er une limite.

Comment cela devient-il possible avec si peu de moyens? Dans le tableau publicitaire pris comme exemple, au départ, on s'est diri¬ gé vers un principe relativement simple: on anime un "voyant lumi¬ neux ou luminescent " pour indiquer le siège de l'annonceur sur un " Plan de Ville " en masquant une photorésistance ( PR ) corres¬ pondante.Or on pourrait avoir recours à un"appel" de type " che¬ nillard " dans chacun des espaces acquis par l'annonceur. Comme aussi chaque station de métro serait, sur un plan adéquat, suscep¬ tible d'indiquer le cheminement de la correspondance intéressant l'usager et permettant le changement de ligne. Ou aussi l'indica¬ tion des boîtes aux lettres dépendant d'un bureau de poste quel¬ conque. Il est possible avec le dispositif décrit d'intercaler un compteur-décodeur à dix étages du genre IC3, entre le décodeur et l 'oscilla teur IC-| ( A et B ) afin de multiplier, la fréquence des oscil- lations.Par dix^par exemple,dans ce cas précis pour? compteur-déco¬ deur sollicité . H conviendra d'ajouter à chaque sortie de ce compteur- décodeur, dix adaptateurs de puissance et leurs dix LED,pour chacun d'eux f afin de matérialiser tous les signaux.Il faut se rappeler que ce sous-ensemble étant, lui-même ," multiplexe" il n'existerait pas d ' augmentation de la consommation en courant.Les "flashes" étant ce-

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pendant sumultipliés, il pourrait en résulter, dans une certaine mesure , une diminution de la luminosité.

Ce qui précède, constitue donc un sous-ensemble, ou sous-module pour un annonceur donné: il peut être théoriquement exploité par les autres annonceurs également.Comme il existe des " LED " en trois couleurs ou plus, on pourrait également personnaliser un sous- ensemble.

Les exemples cités ne sont pas limitatifs et le dispositif se révèle éclectique. Il existe d'ores et déjà une maquette opérationelle Une"valeur haute" sur le MR ( aster Reset) remet le compteur à zéro, retrouvant ainsi l'indépendance vis-à-vis des entrées . P - et " C 7 (transition basse ).Les condensateurs "C";"3","4" et"5" sont destinés à arrondir,par leur action,les "fronts", en cours d'utili¬ sation,pour éviter des comptages intempestifs dans l'ensemble IC3, IC4 et IC5, constituant l'unité décrite,provoquant ainsi une anarchie. Les circuits I 2- A et B, permettent aux trois compteurs agis¬ sant de concert ,comme un seul, d'assurer les séquences de manière cohérente et progressive .Ces compteurs,-seulement pris comme exemple, ont 24 sorties ,sans préjudice pour les possibités d'en augmenter leur nombre . .Les vingt-quatre sorties décodées"attaqueront " ,chacu¬ ne à son tour, les photorésistance de PR-) à PR24 assurées indivi¬ duellement contre le phénomène du retour de signal par les dio - des,de D- j à D2 .Sans cette précaution on verrait apparaître des per¬ turbations et un brouillage des séquences bien définies et propres à chaque impulsion .Ainsi la photorésistance sollicitée ne se mani¬ festera que par un effet solitaire,sans que ses semblables inter¬ viennent provoquant ainsi les désordres que l'on a cherché à éviter.

Il a été calculé que les " flashes-éclairs" ne se produiront que pendant quelques millisecondes,chaque fois que le tour du disposi- tif en anneau aura été accompli.Le phénomène étant accéléré , 1 'oeil ne perçoit même pas cette intermittence luminescente; le tour com¬ plet d'une telle unité ne prenant qu'une petite fraction de seconde. On conviendra d'appeler ce phénomène "la scrutation séquentielle de la photorésistance". Celle qui est commune à 1 'ensemble des autres photo- résistances, pour assurer la compensation nécessitée , réclame ce ty¬ pe de division pour séparer, les scrutations séquentielles, les unes, des autres. L'ensemble des photorésistances aura, cellule par cellu¬ le, à quelques dispersions près et pour un éclairement global don¬ né, la même valeur ohmique. Pour l'oeil humain le"flashe" lumines¬ cent aura l'apparence de la permanence, puisqu'il ne peut vraiment

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distinguer le phénomène-de l'intermittence accélérée selon ce qui a été dit.

Vpn étant l'alimentation du dispositif diviseur, à la sortie décodée du séquenceur , sera divisée à peu près par moitiés puisqu' elle sert, à la fois la cellule de compensation et celle qui est sollicitée. En masquant cette dernière, ce que l'on appellera le " Bus de données " (BD) sera déséquilibré par rapport à l'éclaire- ent ambiant et la tension va être trop forte par rapport aux capa ¬ cités de la cellule restée en " vigile ":PR 2 6- La sortie décodée "V ς " de la tension va diminuer au maximum, vers " zéro Volts ". Une diode en εέrie^ avec la photorésistance P 26 assurant le phénomène des cellules différentiel¬ les dans toute l'unité , l'assiste à ce niveau pour compenser la chute de tension du composant anti-retour de signal;il s'agit de la diode D 52 . Les photorésistances étant explorées, analysées, une par une et ja¬ mais ensemble, on retrouvera, dans le laps de temps écoulé sur le même " BD ", toutes les valeurs de V$ de chaque dispositif divi¬ seur successivement et par cumul. A chaque fois qu'un dispositif diviseur potentiométrique est déclenché par une sortie décodés ,il lui est associé un voyant correspondant. Par suite d 'un' ultiplexa¬ ge', phénomène bien connu des spécialistes, le voyant concerné, cor¬ respondant à la cellule PR, émettra une luminescence intermittente par impulsions accélérées, à la condition que cette cellule photo¬ résistante PR soit soustraite à l 'éclairement ambiant et dans la mesure ou le transistor commandant le voyant est, lui-même comman¬ dé par la même sortie de compteur qui " actionne" la photorésiε- tance correspondante.

Un amplificateur opérationnel IC^ dont le courant de repos est de 1Q_A, réglé par une résistance R9, comprenant un pont diviseur potentio- métrique créé par la résistance R 7 ,la résistance ajustable P j , et la résistance Rg produit le seuil de référence auquel peut êtrecom- paré le bus de données "BD". A chaque fois que la valeur V5 du bus de don¬ nées chute au-dessous du seuil de référence, la sortie du compara¬ teur 1C& passe à l'état " haut". Ce signdl est associé à un autre petit signal d'inhibition dans une porte IC 2 ' dérivant du réseau: 2 ( . un condensateur.) , une diode D 1 et une résistance R3. Ce signal est issu du séquenceur . Ainsi la sortie " 2 " d'ICj , le maintenant à l'état bas pendant un délai correspondant au temps matériel de réaction des photorésistances associées à l'amplificateur opérationnel agissant en comparateur et qui dispose de son propre temps de réponse pεr

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met d'inhiber l' allumage du voyant correspondant . Cela évitera à la photorésistance masquée et donc sollicitée d'allumer le voyant réservé aux effets de la photorésistance voisine. Ainsi, en sortie de la porte concernée du circuit intégré IC2, on retrou- ve un inverseur logique ICj (D) qui permettra de mettre le signal . dans le bon sens pour attaquer aussitôt un transistor M. O.S., canal "P", agissant en adaptateur de puissance portant le repère " 6 .

Les voyants se trouvent être pris en"sandwiche" entre les adap¬ tateurs de puissance T j à T 2 4 ( M. O.S. canal "N") et Î26- Ce s - m ~ pie détail explique pourquoi un seul voyant est alimenté à la fois La résistance R4 limite le courant à 100 mA dans les voyants. Ces voyants rendus luminescents pendant le temps rapide de l'é¬ clair mentionné, reste éteint vingt trois fois plus longtemps. On ne fait, en réalité, passer que 10 à 20 mA dans un voyant, a- lors que le producteur de ces voyants autorise un courant continu de 100 mA. Les queues-mêmes des composants font office ,dans ces conditions.de radiateur pour dissiper les calories engendrées par le passage d'un courant aussi faible.

Il est possible d'augmenter la fréquence des oscillations du système de commande nn la multipliant par dix. Cela donnerait l'impression de voir les voyants éclairés en continu: il s'agit là d'un autre artifice de ce système qui résulte des moyens offerts oar ce montage , oermet- tant des divisions en " séquences plus courtes encore. On pourrait par d'autres moyens réussir à réduire même la tension nécessaire , mais étant arrivés à ne pas dépasser le seuil de cinq volts, pour un tel montage, on peut considérer qu'il atteint un résultat fort ap¬ préciable. L'alimentation est assurée dans ce cas par quatre bat¬ teries rechargeables, de 1 V,2, ce qui permet de songer à l'utili¬ sation de photopiles déjà citées dans le précédent brevet N°S106629. Ces mêmes batteries seront associées à un condensateur qui fera office de ré¬ servoir d'énergie.

Dans l'obscurité, afin " d'éponger " les dispersions des valeurs ohmiques des photorésistances, il a été prévu un pont potentiométrique (R5, É) sur le B D . Il a été calculé de manière à ne pas trop réduire la"dynamique" du fonctionnement des P R au crépuscule , par exemple Un tel appareil, destiné à être au service du public, a intérêt à être proté¬ gé contre le vandalisme. Il a été prévu un circuit, qui peut , opportu- nément,être intégré à la lisière du précédent système. Ce circuit pré¬ sente l'avantage de se prêter à plusieurs types d'alarmes. Une alarme photosensible, constitue la première alternative.

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La photorésistance PR ' _ | à haute sensibilité ,à la lumière vi¬ sible, est soumise à un filtrage antidéclenchements intempestifs pouvant être provoqués par des parasites ou autres. Ce filtrage est assuré par le condensateur C ' - j . L'ensemble est branché sur un "pont diviseur potentiométrique d'équilibrage ": " R' - R'3 >ce qui atteint et,ensuite t traverse un autre ensemble de trois résistan¬ ces, dont l'une est ajustable: R'5 , P'^ , R ' ή , qui permet de cori férer " le niveau de référence de comparaison en tension". Cela a- boutit à la borne positive du comparateur programmable en courant d'alimentation " IC'-] " assisté d'une résistance de programmation du courant consommé: R'g . L'entrée " 7 " d' IC'- j est branchés sur la borne positive de l'alimentation par l'intermédiaire d'un condensateur *2 : " I * - j " est un amplificateur opérationnel.

L'action de cet amplificateur traverse,à son tour, une combinai¬ son formée de composants tels que résistances,condensateurs et diodes assistant le circuit intégré IC " ' 2 . décomposé en sections

A,B,C,D. Au niveau "D",à proximité immédiate de l'inverseur S " Arrêt-marche" la résistance R' 7 ,le condensateur C'3 temporisent la misé en marche,soit"Tp. _" . Entre les niveaux " A " et " B ",1a résistance R'10 e - le conden¬ sateur C'ή ont pour objet de temporiser après détection , soit "Tp ". Entre les niveaux "B" et "C" se situent la résistance R ' ^^ et le condensateur C'j. Par leur intervention ,ils constituent les élé¬ ments de la temporisation de l'alarme proprement dite,soit " T 3"« On arrive ainsi à la phase ultime du fonctionnement du disposi¬ tif de l'alarme elle-même, c ' est-à-dire , les signaux optiques et/ou accoustiques , ou encore d'autres sortes de manifestations élec¬ triques, comme des commandes d'autres dispositifs ,comme on le ver¬ ra plus loin et aussi/les éléments assurant la fréquence de l'os¬ cillateur qui conditionne cette alarme. Le circuit intégré " IC3", dans ses niveaux " A " et " B ",avec l 'assistance, d'une résistan- ce R'13 et du condensateur C' pourvoient à cette dernière fonc¬ tion. C'est dans cette section que se trouvent branchés les tre - bleurs: les " buzzers " qui peuvent atteindre quatre vingt déci¬ bels en cours de signal,qui font l'effet de petites sirènes d'alarme.

Si l'essai de "faisabilité" a été effectué avec un seul"buzzεr" , le montage prévoit l'adjonction d'un second trembleur de même puis¬ sance. Dans ce même essai de faisabilité ,il a aussi été adjoint des voyants luminescents qui fonctionnent de concert avec les buz¬ zers. L'essai démontre que plusieurs trmbleurs pourraient s'y ajouter. On peut, bien entendu, inhiber les uns au profit des autres se-

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Ion ce qui conviendrait le mieux, en débranchant, tout simplement, le type de signal devenu inutile. Le circuit d'ailleurs se prête à de nombreux autres aménagements, comme cela a déjà été dit,qui permettent d'autres types d'alarme, comme on va le voir. L'inverseur " Arrêt-Marche" électro-mécanique "S- | " se trouvant au niveau "D" de IC'2 ι pourrait être remplacé par son homologue verrouillable à clef "S2". Le réseau R'g,R' ,D'2 et D'3 inhibent les monostables à la position " Arrêt ".

Ce circuit peut, en soi, servir à d'autres sortes d'alarmes, qu'il s'agisse du tableau à protéger lui-même que dans le domaine de la sécurité en général. PR'-] pourrait être remplacé par des capteurs d'un genre très différent.

Il y en a qui fonctionnent avec des contacts magnétiques ( in¬ verseurs s sortie de fils) ou à contacts mécaniques. Il y en a qui sont à contact normalement ouvert " N.0.''au repos.Et aussi des détecteurs de choc à asselotte. Un panneau équipé de ce dernier système, fixé sur une vitrine, servirait à la fois, à la protec¬ tion du tableau et de la vitrine elle-même. C'est pourquoi son uti¬ lisation déborde de notre propos principal:la sécurité de l'appa¬ reil. Ce qui ne saurait constituer une complexité dans le texte présent, puisque l'un découle normalement du précédent.

Son utilisation étant d'une grande souplesse,on pourrait se ser¬ vir de ce circuit de manière parfaitement indépendante dans le do¬ maine de la sécurité en général. On pourrait, par exemple, le rac¬ corder à un tapis-contact: il signalerait la présence de quelqu'un qui se tiendrait dessus. Un détecteur inertiel pourrait y être fa¬ cilement adapté. En remplaçant les buzzers par un relais de 12 V. on actionnerait un avertisseur de type " Klaxon " ou aussi les feux d'une auto. Inversement, on pourrait y mettre un coupe-circuit ou provoquer un court-circui ,soit localisé ,soit au niveau de la batterie.

La photorésistance PR'-) , cachée à l'intérieur de l'appareil, étant maintenue dans l'obscurité interne de ce dernier,déclenche¬ rait, dans tous les cas, les buzzers dès qu'elle se trouvera ex¬ posée à la lumière, par l'ouverture-même de cet appareil. Cepεπ- dant, une fois ouvert, l'appareil sera immédiatement à la merci d'un quelconque acte de vandalisme complémentaire: il serait trop tard pour réagir. Par contre, les nombreux exemples d'autres adap¬ tations citées, dont 1 'énumération n'est nullement limitative ,pour_ raient, sans aucun doute, être plus efficaces, car ils déclenche-

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raient l'alarme avant l'ouverture du panneau. Ce circuit à usages multiples donne lieu à un système d'une grande souplesse dans le domaine particulier de la sécurité de l'appareil tout spécialement et de la sécurité en général. Comme il se prête à de nombreuses applications et que le présent texte couvre son utilisation par¬ tielle ou totale, c'est-à-dire dans d'autres secteurs aussi que la protection du tableau, car les deux alternatives vont de pair, il pourrait aussi faire une carrière indépendante en l'exploitant aussi dans des domaines aussi différents que les accès d'immeu- blés ou dans les dispositifs antivol de voitures en passant par la détection de l'ouverture d'un coffre-fort ou d'un simple placard à produits réglementés dans une pharmacie.

Le tableau n'est complet qu'avec un système de sécurité assu¬ rant son inviolabilité .Ce système peut d'ailleurs faire l'objet d'une extension dans le même circuit du tableau à signalisations lumineuses. C'est sa protection qui a mené aux réflexions qui a- boutirent à la mise au point de ce type d'alarme à multiples usa¬ ges. En conséquence, ses possibles utilisations , hors de l'appareil ou dérivant à l'extérieur de l'appareil lui-même, si elles sont accessoires ou annexes, n'en ouvrent pas moins des perspectives in¬ dépendantes et individuelles, fort intéressantes qu'il convient de couvrir par le présent texte.

Dans le brevet N°81 06629, il est fait mention d'un rouleau tournant à régime syncopé au moyen d'un moteur asservissant un se- cond. Ce rouleau délivrait un message au cours de ses stations di¬ verses. Dans l'état actuel de l'art et de la technique, si le sys¬ tème paraît dépassé et s'il faut privilégier à sa place, l'autre alternative à cristaux liquides déjà mentionnée, il n'en reste pas moins que le système à double moteur: l'un asservissant l'autre par un jeu de cames à encoches et tournant à régimes différents ou é- quivalents, pourra être utilisé dans une colonne verticale pou¬ vant servir de socle tournant, selon le même phénomène, pour sup¬ porter le tableau porteur de photorésistances à solliciter par masquage et délivrant un signal luminescent par des voyants.liés à chacune de ces photorésistances.

Avec trois tableaux similaires, on pourrait constituer géomé¬ triquement un prisme, monté sur un tel socle tournant et syncopé.

La c e nt ral e él ec t roni que in te rne pouva nt ê tre -commune aux t ro i s ta bl e a ux sel on ce qui a été précé demment décri t . En ma t i è r e de com- muni ca t i ons , l ' e f fe t publ i c i ta i re d 'un tel support serait attrayant .

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Bien évidemment, cette disposition triangulaire des panneaux n'est nullement limitative .Seule l'utilisation du système é- lectronique décrit, dans n'importe quel agencement est concer¬ née dans la présente proposition. Dans un panneau publicitaire, le but étant d'attirer l'oeil, on a souvent recours à des moyens divers. Un simple miroir inté¬ gré sur le support incite des personnes à s'y regarder; une hor¬ loge retiendrait l'attention. Or, il existe actuellement un ty¬ pe d'horloge à quartz , fonctionnant grâce aux photopiles dont l'utilisation est retenue pour assurer l'autonomie du fonc¬ tionnement de l'électronique du tableau; si son ensemble et ses sous- ensembles ne consomment pas trop de courant . Autrement l'alimentation serait assurée par des batteries rechargeables, de simples piles, ou le courant du secteur traversant un transformateur pour le ré- duire au voltage souhaité . L 'horloge est de type Solems.

Une telle horloge pourrait être adjointe au tableau. On pour¬ rait fort bien ajouter son mécanisme pour faire tourner des ai¬ guilles sur sa façade. Le Plan de Ville proprement dit, occupant une position centrale sur le tableau peut être mis à profit pour une telle utilisation. Comme un plan est conçu en plusieurs cou¬ leurs et qu'il est le plus souvent rectangulaire ou quadrangu- laire, on peut fort bien"réserver" des espaces dépourvus de cou¬ leurs,ou tranchant par leur teinte,pour marquer les heures sur la périphérie. Les pivots des aiguilles traverseraient le centre du plan qui n' en subirait pas un grand dommage et ne constitueraient pas une grande qêne pour ceux qui le consulteraient. Ces photopiles au silicium amorphe sont des générateurs de courant continu, de fai¬ ble intensité, transformant le rayonnement lumineux en énergie. Leurs deux inconvénients majeurs sont qu'ils utilisent beaucoup d'espace au détriment de celui réservé à la publicité et leur faible production de courant avec leur basse tension .Cette alterna¬ tive est parfaitement exploitable dans le cas présent, puisque grâce à la nouvelle conception électronique, on est parvenus à réduire considérablement les besoins en courant. Cette horloge pourrait, bien sûr, être placée sur une autre partie d'un support utilisant le système électronique décrit. Les exemples donnés ne constituent aucune limitation à son éventuelle adjonction à un système comparable à celui qui a été cité dans les utilisations suggérées . Illustrés par l'existence d'une maquette opérationnel- le couvrant une gamme d' utilisations assez vaste , les perspec-

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tives d'exploitation du système ne paraissent pas connaître de limites précises; il faudrait seulement assurer son adaptation aux divers usages aux_.quels on veut le destiner. En effet, quε l'on procède au masquage d'une cellule, sur un appareil, comme ceux qui sont évoqués dans ce texte, que cela se fasse avec le doigt, ou avec le niveau d'un produit opaque remplissant un réci¬ pient transparent, cela importe peu. Ce qu'il faut retenir, bien évidemment, c'est le système multiplexe dans cette application particulière et plus spécialement dans les domaines de la publi- cité, des tableaux synoptiques, des plans à repères, des démons¬ trations dans le domaine pédagogique, des indications topographi¬ ques ou d'emplacements particuliers dans un étage de grand Maga¬ sin ou d'une manifestation comme une exposition, par exemple, où il faut rechercher un stand, ou un comptoir. Le présent texte est le complément indispensable du brevet N° 81 06629 qu'il complète en le perfectionnant notablement .Les uti¬ lisations variées citées, n'ont été évoquées qu'à titre indicatif et ne sauraient constituer des limites à l'exploitation du systè¬ me. En l'adaptant aux divers usages auxquels on veut le destiner ses applications sont multiples.Et bien sûr, sans limitations.

Dans ce type d'appareil pouvant être très plat et très léger, la seule amélioration prévisible se situe dans le développement d'un circuit intégré réunissant l'ensemble des compteurs en an¬ neau avec un oscillateur interne, mais cela requiert une étude distincte de longue durée et particulièrement onéreuse. Son éven¬ tuelle apparition ne modifierait en rien la présente démonstration, qui se caractérise par un abord très spécial de l'usage que l'on fait de la photorésistaπce et du phénomène de compensation par la cellule dite " différentielle", commune à l'ensemble des "cel- Iules actives" .L 'arrière-plan électronique étant indispensable pour y parvenir. L'extension du circuit par son propre système de ' protection est justifié car il s'agira, dans la plupart des cas d'un appareil exposé au vandalisme.Que ce même système de pro¬ tection soit assez astucieux pour pouvoir être utilisé de diffé- rentes manières et même de pouvoir s'en servir indépendamment n'en¬ lève rien à ses performances. Des maquettes en état de marche e- xistent actuellement. Elles confirment la " faisabilité " de ce type d 'appareil,comprenant les deux systèmes jumelés.

On procédera, dans ce qui va suivre, à la nomenclature des di- verses phases de leur fonctionnement tel qu'il est illustré dans les synoptiques " a " et " b " avec des symboles en chiffres romains.

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a) Synoptique du système de signalisations optiques selon " a " en FIG. 2/2: I - Compteur-Décodeur de 24 étages : IC 2 ( A et B ), IC3, IC/. , IC $ . Il reste une vingt-cinquième possibilité d'exploitation éven¬ tuellement . II- Multivibrateur astable à réaction positive: IC. ( A et B i . III- Création du temps de non-allumage des voyants luminescents par intermittence pour favoriser la compensation et le temps es ré¬ ponse des photorésistances: I C-j ( C ) -> €2^ n 51"> P>3 • IV- Diode et régulation dans l'éventualité de l'utilisation de pho¬ topiles pour charger les batteries. V - Alimentation par batteries rechargeables totalisant 4,8 Volts: de Bi*- à >B . VI- Diodes antiretour de signal analogique D-j à D24 ou éventuelle¬ ment D-, si l'on ajoutait un vingt-cinquième poste. VII- Ajustage du courant de repos du comparateur par la résistance R 9.

VIII- Référence du seuil de comparaison réglable par le potentiomè¬ tre " - ] " assisté par les résistances R 7 et Rg . IX- Alimentation par le courant du secteur 110 ou 220 Volts avec transformateur, redresseur et régulation, si le choix se perte sur cette solution.

X - Filtrage de l'alimentation par les condensateurs Cg et C- constituant un réservoir d'énergie d'autre part. XI- Vingt-quatre photorésistancεs de détection de " noir ", soit de PRl à PR24 . ou allant jusqu'à PR2 si cette option est choisie. I bis- Photorésistance de compensation d'obscurité " PR26" placée à cet endroit pour annuler les variations lentes de l 'éclairement ambiant et diode " n 52". XII- Pont potentiométrique de compensation " obscurité ": R5 et Rg . XIII- Comparateur analogique à sorties numériques par Circuit Intégré ICg. XIV- Inhibition d'allumage des"voyants" luminescents par circuit intégré"IC2(C)'. ' XV- Mécanisme de l'horloge à quartz, si une telle horloge existant dans le commerce,est ajoutée au tableau. XVI- Vingt quatre transistors adaptateurs de puissance et de sélec¬ tion des " voyants: T-j à T24 . Le vingt- cinquième poste, s'il est ajouté aura recours à l'addition de " T25" • XVII- Vingt. quatre " voyants ", luminescents par intermittence, par suite de la "scrutation séquentielle" opérée sur les photoré- sistahees de " D26 " - " D49 " e dans le cas de l'utilisation d'un vingt-cinquième " voyant ", le recours à "D50" s 'impose . XVIII- Résistance " R A " limitant le courant au seuil admissible:100 mA.

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XIX- Adaptateur de puissance " T 2 g ", commun à l'ensemble. XX- Inversion logique du signal de commande par circuit intégré "IC- j (D) . Remarque: La rubrique " XI " mentionne vingt quatre ou vingt cinq photo- résistances. Elles vont de PRi à PR24 ou PR25 . pour des raisons pratiques on les désignera, dans leur ensemble par PR X . La rubrique' " XI bis "* mentionne la photorésistance PR26- Cette dernière photorésistance, PR26- forme un couple différentiel avec chacune des cellules comprises dans PR χ . Et cela successi¬ vement: séparément et à tour de rôle. Les rubriques XI et XI bis vont donc de pair, même s'il faut les distinguer l'une de l'autre. b) Synoptique de l'alarme de sécurité à plusieurs fonctions exploitables FIG.2/2 XXI- Photorésistance de haute sensibilité à la lumière visible: "PR 1 .,". XXII- Niveau de référence de comparaison en tension : Potentiomè¬ tre P ' - j et résistances R'^et R'5. XXIII - Temporisation " Tp .2 " après détection par monostable . Cir¬ cuit intégré IC'2 ( A'et B') ainsi que R' 1Q - C* Δ . XXIV- Alimentation 9 Volts courant continu par pile ou autres;fil- trage par condensateur C'g .Dans le brevet N°Ô1 06629 on a vu comment on pourrait procéder pour élever la tension par un cir- cuit convertisseur en Fig.4/IV. Cette solution permettrait d'assurer l'alimentation en 9V. en ayant recours à celle, plus bass ' e, de l'ensemble du tableau tel que décrit .L 'alarme étant appelée à agir exceptionnellement ne solliciterait que peu de courant. Cette alternative serait donc viable. XXV- Petite sirène de type " buzzer " (trembleur à haut rendement) 80 décibels à un mètre. Ce buzzer " B '_. "fonctionne en 9V.Le système prévoit l'adjonction d'un second buzzer "B ' 2 "• XXVI- Condensateur C'^ agissant en filtre anti-déclenchements in¬ tempestifs ( parasites ... ) XXVII- Comparateur programmable en courant d'alimentation: IC'_,. XXV III- Temporisation Tp .3 par monostable: Circuit intégré I C ' 21 B et C), Résistance R',, , Condensateur C'5 . XXIX- Inhibition des monostables à la position " arrêt " par: cir¬ cuit intégré IC'2 ( niveau D ), Résistance R'g , R' 9 et Dio- des D' 2 et D'3 .

XXX- Oscillateur bloqué d'alarme et commande de puissance par cir¬ cuit intégré IC'3 ( A' et B' ), Condensateur C' 7 et résis¬ tances R'12 e ^ 'l3 •

XXXI- Pont diviseur potentiométrique d'équilibrage: Résistances R'2 et R'3 •

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XXXII- Résistance de programmation de courant consommé : " R'g ".

XXXIII- Inverseur ( Switch ) d ' arrêt-marche .électro-mécanique : " S- | "

XXXIV- Temporisation "Tp.-)" de mise en marche par le réseau formé par la résistance R' 7 et le condensateur C'3 . XXXV- Voyants luminescents à haut rendement ainsi que limitation de courant par les Résistances R'^e R 'j. et les diodes D' Λ à D'~ . Conclusions : a' ) Plan de Ville, Tableau synoptique et autres...: 1° L'alimentation a été assurée dans la maquette de faisabilité par des batteries rechargeables de dimensions réduites d'une tension de 4., 8 V. 2° On pourrait modifier les valeurs de la résistance R4 et du con¬ densateur Cg pour adapter l'alimentation entre 4V. et 15V. , ce qui illustre la grande souplesse dans l'utilisation du système. 3° En conséquence on peut recharger les batteries par le courant du secteur ou celui provenant de l'utilisation de photopiles , ce qui rendrait le système parfaitement autonome.

4° La nuit, non sollicité ,l 'appareil dormant, sous 4,8 V. n'aurait qu'une consommation minime et négligeable .De jour, le système non- sollicité ,à l'état de veille, consommerait un seul milliampèrs/heure Lesystè e mis en activité consommerait au cours de l'allumage d' un voyant luminescent 5mA par impulsion, dans l'unité à 24/25 postes . 5° Le "flashe-éclair" luminescent dispense une luminosité de cinq cents illicandela . 6° Les Photorésistances "PR" fonctionnent au cours d'un éclaire¬ ment ambiant allant de 10 lux à iôθ.000 lux (plein soleil ). 7° Dans la disposition des compteurs"en anneau", il est rappelé que l 'on dispose de 24 sorties, à fonction normale, mais il reste l'al¬ ternative d'y ajouter une vingt-cinquième possibilité permet- tant d'y adjoindre un vingt-cinquième voyant luminescent de si¬ gnalisation, grâce aux composants qui lui seront propres. 8° La photorésistance PR26 forme successivement un " couple " a- vec chacune des photorésistances actives de PR χ ;soit 24 ou 25 phc- torésistances . C'est pourquoi elles figurent dans les deux rubri- ques voisines "XI" et"XI bis". En masquant " PR χ " tous les voyants fonc¬ tionneront par intermittence; il en sera de même si l'on éclaire violemment la Photorésistance PR26 : Cela constitue un test. Il en sera de même dans la dé¬ marche contraire: PR2fimasquée ^empêcherait les voyants d'émettre leurs signaux. 9° Les composants, choisis dans la gamme industrielle, fonctionnent de -20°C à plus (+) 70°C. En-deçà ou au-delà, il faut avoir re-

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cours à des composants dits"de qualité militaire", à prix élevés. 10°Le système utilise à fond la technologie dite M.O.S. ( Métal Oxyde Silicone) qui se caractérise, à la fois,par son insensibilité à des perturbations susceptibles de gêner d'autres types de co po- sants à fonctions réputées analogues et par une très faible con¬ sommation de courant.

11°Pâr une résistance ajustable interne, on peut régler au mieux, pendant les essais de fonctionnement,1a sensibilité des éléments de commande. 12°Sans le recharger, le jeu de batteries dispensant une tension de 4,8 V. peut être autono me pendant une certaine durée se¬ lon que l'appareil se trouve "dormant" ou à l'état de "veille'Ou en cours de fonctionnement. En moyenne, dans les deux premiers cas cette alimentation non rechargée durerait un mois.Si une cellule photorésistante était sollicitée en permanence, ce qui entraîne¬ rait le fonctionnement d'un voyant luminescent délivrant son si¬ gnal,de manière continue, l'alimentation durerait cinq jours. En conséquence, la recharge est nécessaire pour compenser les fui¬ tes ou la consommation normale. Le voltage réduit permet l'exploi- tation des photopiles, dans ce but. b') Système d'alarme à fonctions multiples...:

13°L'alarme est basée sur l'utilisation d'une photorésistance pos¬ tée en "sentinelle"à l'intérieur de l'appareil où règne l'obscuri¬ té. Le système est branché avant la fermeture de l'appareil et ne sera sensible à l'intrusion de la lumière qu'après un court dé¬ lai permettant la mise en place des conditions favorables à la dé¬ tection.Lorsque l'appareil est ouvert l'alarme est déclenchée, si elle n'est pas immédiatement débranchée;après un court délai elle se manifestera par des signaux sonores et/ou optiques.Tout un circuit électronique permet à cette photorésistance sensible à la lumière de transmettre ses"instructions" aux "buzzers", sirènes ou"voyants'. Ce circuit sera couplé avec le premier. Appelé à fonctionner rare¬ ment, mais puissamment ,pendant une courte durée , il fera appel à une alimentation commune.La complémentarité des deux systèmes devient ainsi évidente: l'appareil exposé à la portée du public comporte en soi, son propre système de protection, qui,plus est, se trouve inclus dans le même circuit imprimé et alimenté aux mêmes sources. 14°En lieu et place de la photorésistance on pourrait brancher d' autres types de capteurs vendus couramment dans le commerce,comme par exemple ceux à contact normalement ouvert (N.0) au repos, le

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circuit s'y prête parfaitement. On pourrait par exemple obtenir des déclenchements du système par:

1°) Des détecteurs de choc à masselotte 2°) Des contacts magnétiques ou mécaniques' Si l'appareil est fixé sur une vitrine, faisant partie d'un ensemble vitré de façade de magasin, par exemple, on pourrait par des dérivations, brancher les deux exemples qui précèdent sur l'en, semble de toutes les vitrines avec un dispositif à rajouter et iπs- pire du multiplexage évoqué précédemment. En tous cas, une dér.iva- tien sur la vitrine supportant l'appareil et permettant l'instal¬ lation du système de détection, protégerait la vitrine elle-même par une alarme sonore et,de plus, des voyantj délivreraient un si¬ gnal lumineux,sur un tableau de contrôle, à l'intérieur de l'en¬ treprise.En tout état de cause, c'est le circuit décrit qui per et- tra la matérialisation de l'alarme.

3°). Toujours avec des dérivations on pourrait utiliser un tapis contact de haute sécurité. 4°) De même on pourrait adapter un détecteur inertiel qui si¬ gnalerait des déplacements d'éléments ainsi équipés. 15°Le signal sonore peut être amplifié en branchant, à la place des " buzzers ",un relais de 12 V. qui, à son tour, pourrait com¬ mander une sirène de type "Klaxon".

16°Cette dernière alternative pourrait être utilisée sur un véhi¬ cule de démonstration, équipé de tableaux sur ses flancs. On pour- rait alors mettre à profit l'avertisseur-même de ce véhicule.

17°Par le même moyen, on 'pourrait déclencher les feux de signali¬ sation ou les phares. Ou aussi provoquer un court-circuit eu seu¬ lement provoquer la rupture du circuit dans un lieu choisi d'avan¬ ce ,situé discrètement. 18°Même si son rôle essentiel est d'assurer la sécurité du tableau ou du véhicule porteur de ce tableau en vue oes démonstrations s la clientèle éventuelle, les capacités individuelles du système ne peuvent être ignorées. Sa présence protégerait déjà la vitrine sur laquelle on serait amenés à le fixer, comme on l'a déjà vu. Il pourrait aussi fonctionner de manière autonome, avec sa propre a - limβntation et faire carrière tout seul. ;Les exemples cités, n'é¬ tant que des indications , ne sont nullement limitatifs. L'utili¬ sation partielle ou totale du système étant couverte par le pré¬ sent texte. Dans la même foulée,on pourrait donner un autre exem-

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pie très simple: le système de détection par photorésistance pour¬ rait être dissocié de l'ensemble et cependant contribuer à la pro¬ tection de l'appareil lors de la prospection commerciale nécessi¬ tant une démonstration des tableaux. Si l'on recouvrait le véhicu- le d'une housse de protection contre 1 'empoussièrement, le système fixé à l'intérieur étant dans l'obscurité, l'alarme réagirait si el¬ le était branchée, sous l'effet de la lumière, en retirant cette housse. Il y a ainsi toujours un rapport entre les tableaux eux- mêmes et leur point d'ancrage, la protection des deux allant de pair. Mais si les tableaux ,étant fixés sur les flancs du véhicule, venaient à être retirés et déposés ailleurs, le système de détec¬ tion,étant resté à l'intérieur, serait toujours en état de fonction¬ ner? ...

Les signalisations lumineuses de l'appareil et la réaction du système de sécurité relèvent d'un phénomène strictement identique même si leurs manifestations divergeaient. De plus l'ensemble étant compact et constitué des systè esde signalisation ou d'alarme for¬ me nécessairement un tout. Les deux étant confondus ensemble dans ce circuit exploitent un phénomène similaire à l'intérieur du même appareil ; c 'est pourquoi l'alarme est incluse dans le présent texte. Pour plus de commodité,on s'est référé au Plan de Ville animé, au tableau synoptique ou de signalisation ou toute autre application pouvant utiliser les phénomènes décrits, par un mot simple: l'appa¬ reil. Le système de sécurité est appelée souvent :l'alarme. Pour les repères lumineux, ou témoins qui pourraient être des diodes é- lectro-luminscentes " LED " ou des micro-lampes à filament et à in¬ candescence, il a été souvent utilisé le terme de " voyants" ' .L.'oscil¬ lateur astable est un multivibrateur également. Les compteurs " mon¬ tés en anneau, sont une suite de compteurs-décodeurs "branchés à la suite l'un de l'autre pour disposer d'un nombre important de sorties afin de répondre aux besoins d'un appareil ayant un nombre aussi im¬ portant de commandes. Par photorécepteur, on entend tous les compo ¬ sants électroniques tels que photodiodes, photocouples, etc., sus¬ ceptibles de capter la lumière et de la transformer en signal élec- trique. Ils sont d'ailleurs couverts par le présent texte, où l'on parle d'un autre membre de cette famille: les photorésistances.

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L'invention concerne donc un appareil à " témoins lumineux ou luminescents " commandés par des photorésistances ( ou PR ) qui , s'associant temporairement par paires, forment des couples éphémè¬ res, à l'issue de cycles , rapides et répétés, pendant des durées très brèves mais continues. Donnant l'illusion de la permanence lors des manifestations optiques, ( dans les témoins des PR ). Ces PR ont pour objet la détection d'un déséquilibre au niveau de l'éclaire- ent agissant concurremment sur chacune des deux PR simples, ( cons¬ tituant ces couples). Se caractérisant en ce que la première de ces deux "PR" appelée "PR active ",dans le couple ainsi fugacement formé à l'issue de chaque cycle, est spécialement réservée aux sollicita¬ tions sur la façade de cet appareil. Elles s'opèrent par masquage de l'effet de l 'éclairement ambiant agissant sur elle. Il déclenche, par là, une commande par cette rupture,après avoir coopéré à cette occasion, avec la seconde PR appelée " PR de compensation ".Cette dernière se caractérise elle-même en ce qu'elle demeure unique dans chaque unité. Elle est commune, à tour de rôle, à tous les couples constituant ainsi une quelconque unité réunissant plusieurs comman¬ des dans le même appareil. ( Lequel est susceptible,à son tour,de contenir plusieurs unités). Afin de déclencher l'allumage des té¬ moins optiques qu'elles contrôlent grâce à l'intervention d'un cir¬ cuit intégré agissant en "comparateur analogique" assurant le " sé- quençage" des étapes de comparaison avec l'appui d'un "oscillateur- inverseur logique" attaquant plusieurs compteurs " montés en an- neau "qui divisent le temps en séquences régulières,à l'instar d'u¬ ne horloge. Contraignant ainsi ponctuellement, à chaque cycle, et chacune à son tour, les " PR actives"choisies. Leur permettant,à l'échéance du cycle,de déclencher des commandes individuelles ani¬ mant les témoins qui en dépendent. Elles se produisent dès que les signaux, non optiques, comparés auront fait ressortir la différen¬ ce de 1 'éclairement agissant sur les deux PR composant ce couple par le moyen du système qui les asservit et cela après chaque cycle aboutissant au front d'horloge désigné. L'appareil est également caractérisé en ce que bien que coopérant avec une seule et unique "PR de compensation " toutes les " PR actives " dénombrées ici de PRl & PP-25 dans l'exemple proposé pour la démonstration , ayant recours à cette seule " PR de compensation" vont,chacune à l'aide des diodes anti-retour,dénombrées de D- j à D2 , intervenant ici pour empêcher la formation d'un réseau anarchique et inextricable (série/parallè- le)et garder une totale indépendance chacune vis-à-vis de ses sem¬ blables qui restent seules, et chacune de son côté, à commander les

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témoins lumineux qui leur sont assujettis en propre et cela même si plusieurs"PR actives" qui, tout en gardant leur totale indépen¬ dance, les unes par rapport aux autres, sont toutes ensemble soumi¬ ses à l'effet de l'obscurité, alors que la"PR de compensation" con- tinue de rester éclairée. L'appareil est aussi caractérisé en ce qu'en amont, de la " PR de compensation"commune à tous les couples différentiels successifs, formés à tour de rôle avec les " PR actives" . , se situe un'Oscillateur astable", lui-même branché sur un " comp - teur-décodeur" , agissant comme une horloge, fractionnant le temps en séquences, pour gérer régulièrement ces dernières, en les affec¬ tant à la mission qui leur a été impartie selon l'ordre chronologi¬ que qui se traduit, au niveau des témoins lumineux, par un clignote¬ ment,extrêmement rapide et régulier, des lueurs résultant de ce que lesdites " PR actives " sont séquentiellement scrutées, avec un dé- calage imposé et cela à chaque déclenchement et chacune à son tour, sans que le rythme immuable des séquences et celui de la révolution du cycle, aboutissant au front d'horloge, en soient perturbées ; ce qui assure,à chacune des commandes potentielles,1e droit d'agir et, chacune à sa séquence particulière, sans tenir compte des séquences non utilisées pour des commandes néanmoins comptées dans une progres¬ sion régulière et permanente.

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