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Title:
ASSEMBLY FOR ABSORBING SHOCKS ON AN ELECTRICAL ENGINE OF A VEHICLE AND ASSOCIATED ASSEMBLY METHOD
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2021/038145
Kind Code:
A1
Abstract:
The present invention relates to an assembly comprising an electrical engine (ME) of a vehicle, an attachment interface (IF) intended to be mounted on the electrical engine and comprising at least two first through-holes (TT1), a functional part (PF) comprising at least two second through-holes (TT2), the assembly being characterised in that it further comprises a plate (PL) bearing at least two studs (G) which are prevented from rotating relative to the plate, thus forming a stud-holder plate (PLG) capable of securing the functional part (PF) to the attachment interface (IF) when the at least two studs (G) pass through the at least two first (TT1) and the at least two second (TT2) through-holes. A second subject matter of the invention is an associated assembly method.

Inventors:
DORE MARTIAL (FR)
Application Number:
PCT/FR2020/051227
Publication Date:
March 04, 2021
Filing Date:
July 09, 2020
Export Citation:
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Assignee:
PSA AUTOMOBILES SA (FR)
International Classes:
B60K5/12; B60K1/00
Foreign References:
FR3070337A12019-03-01
US20180208247A12018-07-26
FR2921032A12009-03-20
FR1909522A2019-08-29
Attorney, Agent or Firm:
BOURGUIGNON, Eric (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

[Revendication 1] Ensemble comportant une machine électrique (ME) de véhicule, une interface de fixation (IF) prévue pour être montée sur la machine électrique et comprenant au moins deux premiers trous traversants (TT1), une pièce fonctionnelle (PF) comprenant au moins deux deuxièmes trous traversants (TT2, caractérisé en ce qu’il comporte en outre une plaque (PL) portant au moins deux goujons (G) bloqués en rotation par rapport à la plaque, formant ainsi une plaque porte-goujons (PLG) apte à solidariser la pièce fonctionnelle (PF) avec l’interface de fixation (IF) lorsque les au moins deux goujons (G) traversent les au moins deux premiers (TT1) et les au moins deux deuxièmes (TT2) trous traversants.

[Revendication 2] Ensemble selon la revendication 1 , caractérisé en ce que l’interface de fixation (IF) comporte deux faces latérales (FL), l’une des deux faces latérales (FL) étant prévue pour venir en appui contre une face de la pièce fonctionnelle (PF), l’autre des deux faces latérales (FL) étant prévue pour venir en appui contre la plaque porte-goujons (PLG).

[Revendication 3] Ensemble selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la plaque porte-goujons (PLG) porte un troisième goujon (G) prévu pour traverser un troisième trou traversant s’additionnant aux deux premiers traversants (TT1) et un troisième trou traversant s’additionnant aux deux deuxièmes trous traversants (TT2).

[Revendication 4] Ensemble selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la machine électrique (ME) est dotée d’un réseau de nervures (NERV) destiné à absorber les ondes acoustiques et les vibrations.

[Revendication 5] Ensemble selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la plaque porte-goujons n’est pas en contact avec la machine électrique (ME), lorsqu’elle solidarise la pièce fonctionnelle (PF) avec l’interface de fixation (IF).

[Revendication 6] Véhicule automobile comportant un ensemble conforme à l’une quelconque des revendications précédentes.

[Revendication 7] Procédé d’assemblage d’un ensemble comportant une machine électrique (ME) de véhicule, une interface de fixation (IF) prévue pour être montée sur la machine électrique et comprenant au moins deux premiers trous traversants (TT 1 ), une pièce fonctionnelle (PF) comprenant au moins deux deuxièmes trous traversants (TT2), l’ensemble comportant en outre une plaque (PL) portant au moins deux goujons (G) bloqués en rotation par rapport à la plaque, formant ainsi une plaque porte-goujons (PLG) apte à solidariser la pièce fonctionnelle (PF) avec l’interface de fixation (IF) lorsque les au moins deux goujons (G) traversent les au moins deux premiers (TT1) et les au moins deux deuxièmes (TT2) trous traversants, caractérisé en ce que le procédé d’assemblage comporte les étapes suivantes :

- On monte la pièce fonctionnelle (PF) sur la machine électrique (ME) du véhicule,

- On positionne les deuxièmes trous traversants (TT2) en regard des premiers trous traversants (TT1),

- On introduit simultanément l’ensemble des goujons (G) dans l’ensemble des trous en regard,

- On fixe la plaque porte-goujons (PLG).

[Revendication 8] Procédé d’assemblage selon la revendication 7 caractérisé en ce qu’on fixe la plaque porte-goujons (PLG) au moyen d’écrous prévus pour coopérer avec l’extrémité libre des goujons.

[Revendication 9] Procédé d’assemblage selon la revendication 7, caractérisé en ce qu’on fixe la plaque porte-goujons (PLG) au moyen d’une clef apte à coopérer avec tout ou partie des extrémités libres des goujons.

[Revendication 10] Procédé d’assemblage selon la revendication 7, caractérisé en ce qu’il comporte une étape préalable dans laquelle l’ensemble des goujons (G) est soudé ou clippé sur une plaque (PL), de manière à bloquer les goujons en rotation par rapport à la plaque. !

Description:
DESCRIPTION

TITRE : ENSEMBLE POUR AMORTIR LES CHOCS SUR UNE MACHINE ELECTRIQUE DE VEHICULE ET PROCEDE D’ASSEMBLAGE ASSOCIE

La présente invention revendique la priorité de la demande française 1909522 déposée le 29.08.2019 dont le contenu (texte, dessins et revendications) est ici incorporé par référence.

La présente invention concerne un ensemble pour amortir les chocs sur une machine électrique de véhicule en particulier automobile et un procédé d’assemblage associé.

Certains véhicules, généralement de type automobile, comprennent une machine électrique, faisant éventuellement partie de leur groupe motopropulseur, et comportant une interface de fixation permettant de solidariser fixement un dispositif d’amortissement de choc (ou impacteur). Ce dernier comprend actuellement une pièce monobloc (ou mono-corps) munie d’une partie protubérante destinée à s’appuyer, en cas de choc subi par le véhicule, contre une pièce dédiée de ce dernier pour amortir une partie de ce choc et ainsi éviter que la machine électrique entre directement en contact avec des éléments constituant la superstructure du véhicule (comme par exemple le tablier séparant le compartiment moteur de l’habitacle). Cette pièce dédiée, généralement appelée « contre-impacteur », est généralement solidarisée à un berceau du véhicule.

Habituellement, l’impacteur est solidarisé fixement à l’interface de fixation de la machine électrique au moyen de vis qui traversent des trous traversants (non filetés (ou lisses)) qu’il comprend et qui sont vissées dans des trous filetés définis dans l’interface de fixation. Cet agencement monobloc (ou mono-corps) de l’impacteur s’avère tout à fait satisfaisant.

Cependant, cet agencement monobloc n’est plus optimal dans le cas où l’on doit utiliser une interface de fixation comportant des trous non filetés et non plus des trous filetés. Une telle interface de fixation sert en effet dans certains véhicules à solidariser fixement une biellette anti-couple et une pièce de fixation d’une partie inférieure d’un moteur et non pas un impacteur. Pour assurer le serrage de l’impacteur sur la machine électrique, il faut assurer le blocage en rotation des vis du côté machine électrique, tout en manipulant les moyens de vissage des trois écrous en face avant de celle-ci.

Les moyens mis en oeuvre pour assurer ce blocage, ne sont d’une part pas très ergonomique en termes de facilité de montage de l’ensemble, et sont d’autre part trop intrusifs lorsque la machine électrique comporte un nervurage pour le traitement acoustique et vibratoire.

L’invention a donc notamment pour but d’améliorer la situation en proposant un ensemble d’amortissement de choc facile à monter sur une machine électrique, dans le cas d’une interface de fixation comportant des trous non filetés, afin de réduire la diversité des machines électriques.

L’invention a également pour but d’améliorer les propriétés acoustiques et vibratoires de l’ensemble.

L’invention a en particulier pour objet un ensemble comportant une machine électrique (ME) de véhicule, une interface de fixation (IF) prévue pour être montée sur la machine électrique et comprenant au moins deux premiers trous traversants (TT 1 ), une pièce fonctionnelle (PF) comprenant au moins deux deuxièmes trous traversants (TT2), ladite pièce fonctionnelle étant préférentiellement munie d’une partie protubérante (PP) destinée à s’appuyer en cas de choc subi par ledit véhicule contre une pièce dédiée de ce dernier pour amortir une partie dudit choc, caractérisé en ce qu’il comporte en outre une plaque (PL) portant au moins deux goujons (G) bloqués en rotation par rapport à la plaque, formant ainsi une plaque porte-goujons (PLG) apte à solidariser la pièce fonctionnelle (PF) avec l’interface de fixation (IF) lorsque les au moins deux goujons (G) traversent les au moins deux premiers (TT1) et les au moins deux deuxièmes (TT2) trous traversants.

Des caractéristiques optionnelles de l'invention, complémentaires ou de substitution sont énoncées ci-après.

Selon certaines caractéristiques, l’interface de fixation peut comporter deux faces latérales, l’une des deux faces latérales étant prévue pour venir en appui contre une face de la pièce fonctionnelle, l’autre des deux faces latérales étant prévue pour venir en appui contre la plaque porte-goujons. Selon d’autres caractéristiques, la plaque porte-goujons peut être dotée d’un troisième goujon prévu pour traverser un troisième trou traversant s’additionnant aux deux premiers traversants et un troisième trou traversant s’additionnant aux deux deuxièmes trous traversants .

Selon d’autres caractéristiques encore, la machine électrique peut être pourvue d’un réseau de nervures destiné à absorber les ondes acoustiques et les vibrations.

Selon d’autres caractéristiques encore, la plaque porte-goujons n’est pas en contact avec la machine électrique, lorsqu’elle solidarise la pièce fonctionnelle avec l’interface de fixation.

L’invention a également pour objet un véhicule automobile comportant un ensemble conforme à l’invention.

L’invention a également pour objet un procédé d’assemblage d’un ensemble comportant une machine électrique de véhicule, une interface de fixation prévue pour être montée sur la machine électrique et comprenant au moins deux premiers trous traversants, une pièce fonctionnelle comprenant au moins deux deuxièmes trous traversants, ladite pièce fonctionnelle étant préférentiellement munie d’une partie protubérante destinée à s’appuyer en cas de choc subi par ledit véhicule contre une pièce dédiée de ce dernier pour amortir une partie dudit choc, l’ensemble comportant en outre une plaque portant au moins deux goujons bloqués en rotation par rapport à la plaque, formant ainsi une plaque porte-goujons apte à solidariser la pièce fonctionnelle avec l’interface de fixation lorsque les au moins deux goujons traversent les au moins deux premiers et les au moins deux deuxièmes trous traversants, caractérisé en ce que le procédé d’assemblage comporte les étapes suivantes :

- On monte la pièce fonctionnelle sur la machine électrique du véhicule,

- On positionne les deuxièmes trous traversants en regard des premiers trous traversants,

- On introduit simultanément l’ensemble des goujons dans l’ensemble desdits trous en regard,

- On fixe la plaque porte-goujons. Selon un mode de réalisation particulier, on fixe la plaque porte-goujons au moyen d’écrous prévus pour coopérer avec l’extrémité libre des goujons.

Selon une alternative, on fixe la plaque porte-goujons au moyen d’une clef apte à coopérer avec tout ou partie des extrémités libres des goujons.

De manière optionnelle, le procédé peut comporter une étape préalable dans laquelle l’ensemble des goujons est soudé ou clippé sur la plaque PL, de manière à bloquer les goujons en rotation par rapport à la plaque.

D’autres avantages et particularités de l’invention apparaîtront à la lecture de la description détaillée de mises en oeuvre et de modes de réalisation nullement limitatifs, et des dessins annexés suivants :

[Fig.1 ] Cette figure illustre schématiquement, dans une vue en perspective, une partie d’un exemple de machine électrique comprenant un ensemble d’amortissement de choc selon l’invention.

[Fig.2] Cette figure illustre schématiquement, dans une vue en perspective, une partie de l’ensemble d’amortissement de choc selon l’invention.

[Fig.3] Cette figure illustre schématiquement, dans une vue en perspective, une autre partie de l’ensemble d’amortissement de choc selon l’invention montée sur une machine électrique.

[Fig.4] Cette figure illustre schématiquement, dans une vue en perspective, une autre partie de l’ensemble d’amortissement de choc selon l’invention.

A des fins de clarté et de concision, les références sur les figures correspondent aux mêmes éléments.

Les modes de réalisation décrits ci-après étant nullement limitatifs, on pourra notamment considérer des variantes de l'invention ne comprenant qu'une sélection de caractéristiques décrites, isolées des autres caractéristiques décrites (même si cette sélection est isolée au sein d'une phrase comprenant ces autres caractéristiques), si cette sélection de caractéristiques est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier l'invention par rapport à l'état de la technique antérieure. Cette sélection comprend au moins une caractéristique, de préférence fonctionnelle sans détails structurels, ou avec seulement une partie des détails structurels si cette partie uniquement est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier l'invention par rapport à l'état de la technique antérieure.

Dans ce qui suit, on considère, à titre d’exemple non limitatif, que l’ensemble pour amortir les chocs est destiné à équiper un véhicule de type automobile, comme par exemple une voiture. Mais l’invention n’est pas limitée à ce type de véhicule. En effet, un ensemble d’amortissement de choc, selon l’invention, peut équiper n’importe quel type de véhicule (terrestre, maritime (ou fluvial), ou aérien), dès lors qu’il comprend au moins une machine électrique comportant une interface de fixation à trous traversants (non filetés (ou lisses)).

Sur la figure 1 , on a représenté un ensemble d’amortissement de choc pour une machine électrique ME de véhicule.

Sur la figure 4, il est montré que l’ensemble d’amortissement de choc comporte une interface de fixation IF comprenant trois premiers trous traversants TT1 et montée sur la machine électrique.

L’ensemble des premiers trous traversants TT1 sont des trous non filetés ou lisses.

Par exemple, cette machine électrique ME peut être destinée à faire partie du groupe motopropulseur d’un véhicule, de type tout électrique ou hybride.

L’interface de fixation IF est représentée solidarisée avec une pièce fonctionnelle PF de l’ensemble, ladite pièce fonctionnelle comprenant trois deuxièmes trous traversants TT2.

L’ensemble des premiers trous traversants TT2 sont également des trous non filetés ou lisses.

Tel que représenté sur la figure 4, la pièce fonctionnelle PF est avantageusement munie d’une partie protubérante PP destinée à s’appuyer en cas de choc subi par ledit véhicule contre une pièce dédiée de ce dernier pour amortir une partie dudit choc.

Tel que représenté sur la figure 2, l’ensemble comprend une plaque PL portant trois goujons G bloqués en rotation par rapport à la plaque PL, formant ainsi une plaque porte-goujons PLG apte à solidariser la pièce fonctionnelle PF avec l’interface de fixation IF lorsque les trois goujons G traversent les trois premiers TT1 et les trois deuxièmes TT2 trous traversants. Tel que représenté sur la figure 3, l’interface de fixation IF comporte deux faces latérales FL, sensiblement planes et parallèles entre elles, l’une des deux faces latérales FL étant prévue pour venir en appui contre une face de la pièce fonctionnelle PF, et l’autre des deux faces latérales FL étant prévue pour venir en appui contre la plaque porte-goujons PLG.

Selon une variante, l’ensemble d’amortissement de choc pourrait être doté d’une plaque porte-goujons PLG portant deux goujon G prévu pour ne traverser que deux premiers trous traversants TT 1 et que deux deuxièmes trous traversants TT2.

Avantageusement et tel que représenté sur la figure 1 , la machine électrique ME est dotée d’un réseau de nervures NERV destiné à absorber les ondes acoustiques et les vibrations.

De manière préférentielle, la plaque porte-goujons n’est pas en contact avec la machine électrique ME, lorsqu’elle solidarise la pièce fonctionnelle PF avec l’interface de fixation IF.

Ainsi, lorsque la machine électrique produit des vibrations lors de son fonctionnement, ces vibrations ne sont pas transmises à la plaque.

Cet ensemble d’amortissement de choc est particulièrement dédié aux véhicules automobiles qui intègrent dans la plupart des cas de telles machines électriques ME.

Le procédé d’amortissement de choc pour une machine électrique ME de véhicule, va maintenant être décrit.

Le procédé comporte les étapes suivantes :

- On approvisionne un ensemble comportant une machine électrique ME de véhicule, une interface de fixation IF prévue pour être montée sur la machine électrique et comprenant au moins deux premiers trous traversants TT1 , une pièce fonctionnelle PF comprenant au moins deux deuxièmes trous traversants TT2, l’ensemble comportant en outre une plaque PL portant au moins deux goujons G bloqués en rotation par rapport à la plaque, formant ainsi une plaque porte-goujons PLG apte à solidariser la pièce fonctionnelle PF avec l’interface de fixation IF lorsque les au moins deux goujons G traversent les au moins deux premiers TT1 et les au moins deux deuxièmes TT2 trous traversants, caractérisé en ce que le procédé d’assemblage comporte les étapes suivantes : - On monte la pièce fonctionnelle PF sur la machine électrique ME du véhicule,

- On positionne les deuxièmes trous traversants TT2 en regard des premiers trous traversants TT 1 ,

- On monte la pièce fonctionnelle PF sur la machine électrique ME du véhicule,

- On positionne les deuxièmes trous traversants TT2 en regard des premiers trous traversants TT 1 ,

- On introduit simultanément l’ensemble des goujons G dans l’ensemble des trous en regard,

- On fixe la plaque porte-goujons PLG.

Selon un certain mode de réalisation, on fixe la plaque porte-goujons PLG au moyen d’écrous prévus pour coopérer avec l’extrémité libre des goujons.

Selon un autre mode de réalisation, on fixe la plaque porte-goujons PLG au moyen d’une clef apte à coopérer avec tout ou partie des extrémités libres des goujons.

Dans ce cas, ladite clef a pour fonction de se fixer au niveau des extrémités libres des goujons, et d’assurer le serrage de l’interface de fixation IF contre la pièce fonctionnelle PF.

La plaque porte-goujons PLG peut être montée sur la pièce fonctionnelle PF, auquel cas elle est positionnée en retrait de partie protubérante PP de la pièce fonctionnelle PF.

La plaque porte-goujons PLG peut être montée sur l’interface de fixation IF, auquel cas elle n’est plus du tout exposée à un choc frontal.

Le procédé comporte une étape préalable dans laquelle l’ensemble des goujons G est soudé ou clippé sur une plaque PL pour former la plaque porte-goujons PLG et bloquer la rotation des goujons par rapport à la plaque.

D’autres variantes sont envisageables, comme celles comportant l’encliquetage ou bien le clippage des goujons sur la plaque.

A noter, les différentes caractéristiques, formes, variantes et modes de réalisation de l’invention peuvent être associés les uns avec les autres, selon diverses combinaisons dans la mesure où ils ne sont pas incompatibles ou exclusifs les uns des autres. L’introduction d’une plaque porte-goujons selon permet l’invention de faciliter le montage des ensembles d’amortissement de choc.

Le montage ainsi obtenu permet également d’améliorer le comportement vibratoire et acoustique de la machine électrique.