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Title:
BOX, BLANK, SET OF BLANKS AND DEVICE FOR PROJECTING VIRTUAL IMAGES, AND METHOD FOR MOUNTING SUCH A BOX
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2017/182730
Kind Code:
A1
Abstract:
The present invention relates to a box (1), to a set of blanks or a blank, and to a method for forming a box for projecting to a user virtual images (29) formed from 2-D images generated on a light-emission plane (14). It comprises a frame (2) formed by at least one back lateral face (3), a front lateral face (7) and two side lateral faces, which faces are entirely open on the front lateral face for visual access to the interior of the box. The frame comprises a lower plane (10) and an upper plane (11), which planes are arranged to contain or bear the light-emission plane (14), and a planar screen (16) that is at least partially transparent and inclined with respect to the light-emission plane (14) in order to reflect the light emitted by the light-emission plane so that virtual images (29) corresponding to the 2-D images generated on the light-emission plane (14) appear as being located behind the screen (16) in the frame (2) with respect to the user.

Inventors:
VITORINO FREDDY (FR)
Application Number:
PCT/FR2017/050846
Publication Date:
October 26, 2017
Filing Date:
April 07, 2017
Export Citation:
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Assignee:
VITORINO FREDDY (FR)
International Classes:
G02B27/04; B65D5/00; G02B27/22; G09F13/12
Domestic Patent References:
WO2014207519A12014-12-31
WO2014207519A12014-12-31
Foreign References:
JP2015176141A2015-10-05
US20130135519A12013-05-30
US5890787A1999-04-06
JP2015090408A2015-05-11
JP2015176141A2015-10-05
Other References:
VITASCOFILMS: "OLOD MONTAGE RAPIDE", YOUTUBE, 11 January 2017 (2017-01-11), pages 2 pp., XP054977527, Retrieved from the Internet [retrieved on 20170707]
Attorney, Agent or Firm:
CABINET BENECH (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Boîtier (1) pour projection à un utilisateur d'images virtuelles (29) à partir d'images 2D générées sur un plan (14) d'émission de lumière, comprenant

un châssis (2) formé par au moins une face latérale arrière (3), une face latérale frontale (7) ouverte pour accès visuel à l'intérieur de la boîte par l'utilisateur et deux faces latérales de côté, ledit châssis comprenant deux plans d'extrémité (10, 11), à savoir un plan inférieur (10) et un plan supérieur, le plan supérieur étant agencé (11) pour supporter ledit plan (14) d'émission de lumière,

un écran (16) plan au moins partiellement transparent,

ledit châssis (2) étant agencé pour supporter l'écran (16) de façon inclinée par rapport au plan (14) d'émission de lumière et ledit écran étant agencé pour réfléchir la lumière émise par ledit plan d'émission de lumière de sorte que des images virtuelles (29) correspondantes auxdites images 2D générées sur le plan (14) d'émission de lumière apparaissent comme étant situées derrière l'écran (16) dans ledit châssis (2) par rapport à l' utilisateur,

caractérisé en ce que les faces latérales de côtés sont ajourées et entièrement ouvertes sur la face latérale frontale pour former avec cette dernière une ouverture élargie en forme de mâchoire ouverte. 2. Boîtier selon la revendication 1, caractérisé en ce que le plan inférieur (10) est ouvert.

3. Boîtier selon la revendication précédente, caractérisé en ce que l'écran (16) plan est formé par un film en matière plastique d'épaisseur < 0,5 mm non déformable dans son plan.

4. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le plan d'émission de lumière est un écran de téléphone portable, de tablette ou de PDA.

5. Boitier selon la revendication précédente 4, caractérisé en ce que la partie supérieure est agencée et/ou comporte un logement pour contenir le téléphone portable, la tablette ou le PDA et/ou le cacher à l'œil de l'utilisateur au moins en partie.

6. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie supérieure est munie d'une partie distale du côté arrière du boîtier et d'une partie proximale située du côté de la face latérale frontale ouverte, la partie distale du côté arrière du boîtier étant munie de tenons escamotables entre au moins une première position de repos et au moins une deuxième position de blocage du téléphone en position de projection.

7. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la face latérale arrière comporte une portion ouverte et/ou ouvrable vers l'extérieur de la boîte.

8. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que au moins une face latérale est de plus ajourée du côté de la face latérale arrière, sur une surface comprise entre le 1/8 et la 1/2 de la surface de ladite face latérale concernée.

9. Boitier l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le châssis est montable et démontable manuellement, et formé d'un seul flan en carton ondulé.

10. Boitier l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la face latérale frontale comprend un bandeau inférieur vertical de hauteur déterminée.

11. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le plan inférieur et le plan supérieur du châssis sont inclinés entre eux d'un angle compris entre 2° et 20°

12. Boitier selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le boîtier est en deux parties et est au moins en partie un carton dit « carton mousse ».

13. Boitier selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le châssis est formé à partir d'un flan ou ensemble de flans comprenant une suite d'au moins trois parois agencées pour former les parois latérales de côté et la paroi frontale, et d'un cadre support ajouré pour former au moins en partie la face supérieure, comprenant des bords latéraux de support d'un PDA ou d'une tablette.

14. Boitier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les parois latérales de côté sont solidaires entre elles deux à deux par des premières lignes de pliage, ladite suite comprenant deux parois latérales d'extrémité symétriques par rapport à une paroi intermédiaire formant la face latérale frontale ladite paroi intermédiaire est solidaire du fond par une deuxième ligne de pliage, la suite des parois latérales, de la face frontale et de la face arrière étant reliées entre elles par des lignes de pliage, et solidarisées par une languette d'extrémité insérée dans un évidement complémentaire.

15. Flan pour constitution d'un boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, comprenant une ceinture de quatre volets latéraux reliée deux à deux par des premières lignes de pliage, à savoir deux volets latéraux de côté symétriques par rapport à un volet latéral frontal, comprenant une partie ajourée centrale à cheval de part et d'autre, sur une partie du volet latéral de côté adjacent et terminée par un volet latéral de fond comprenant un rabat propre à former la partie supérieure du boîtier.

16. Flan selon la revendication 15, caractérisé en ce que le volet latéral de fond comprend un rabat d'extrémité propre à coopérer avec un rabat latéral frontal, pour former la fente d'insertion du PDA.

17. Flan selon l'une quelconque des revendications 15 et 16, caractérisé en ce que les volets latéraux de côté et frontal comprennent des trottoirs à la périphérie de l'orifice formé par la partie ajourée. 18. Dispositif de projection d'images comprenant un boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisé en ce qu'il comprend un PDA ou un téléphone portable à écran digital ou l'écran d'un ordinateur détachable ou encore une plaquette numérique .

19. Procédé de fabrication d'un boîtier selon la revendication 13 caractérisé en ce que le châssis étant formé à partir d'au moins un flan, on plie le flan pour former un manchon que l'on referme par encliquetage, on insère l'écran dans le manchon, on plie ou on pose la face supérieure pour former le plan d'émission de lumière, et on l'insère dans le manchon pour former ledit châssis, et on place le PDA, le mobile ou la tablette sur la face supérieure en l'appuyant sur les moyens de blocage.

20. Procédé selon la revendication 19, caractérisé en ce que le châssis étant formé de deux flans comprenant des volets séparés par des lignes de pliage à savoir un premier flan pliable et refermable sur lui-même pour former le manchon, un deuxième flan comprenant un volet formant une face supérieure ajourée et un volet ajouré formant le support de l'écran, le deuxième flan étant inséré à frottement dans le premier formant manchon.

21. Procédé selon l'une quelconque des revendications 19 et 20, caractérisé en ce que le cadre supérieur ou le support formé par le plan supérieur étant réglable entre plusieurs positions pour s'adapter aux formats des PDA mobiles, ou des tablettes du commerce, on règle ces dimensions de façon centrée avant de placer le PDA ou la tablette concernée sur son support.

Description:
BOITIER, FLAN, ENSEMBLE DE FLANS ET DISPOSITIF POUR PROJECTION D'IMAGES VIRTUELLES, ET PROCEDE DE MONTAGE D'UN TEL BOITIER La présente invention concerne un boîtier pour projection d'images virtuelles à partir d'images 2D par exemple générées par un écran de téléphone portable ou par une tablette numérique.

Elle concerne également un dispositif comprenant un tel boîtier, un flan ou un ensemble de flans pour le former et un procédé de montage d'un tel boîtier.

Elle trouve une application particulièrement importante bien que non exclusive dans le domaine de la diffusion d' images de type holographiques pour particuliers, permettant par exemple de voir des clips vidéo d'artistes, des bandes annonces filmées sur fond noir, ou présentant un tel fond par exemple par détourage, ou encore de jouer à des jeux vidéo élaborés pour être visualisés sous forme d'hologrammes ou assimilés.

Avec l'invention, les étudiants vont par exemple pouvoir observer des éléments de géométrie avec un effet 3D.

Une telle invention permet également une présentation (objet, plan, maquette...) d'un projet, par exemple architectural, de prototypes de machine, de voiture etc.. particulièrement attractive et/ou de donner à un tiers, un effet de présence en cas de communication avec un interlocuteur situé à distance.

La projection d'une image sur un écran partiellement réfléchissant, de telle sorte que l'observateur a l'illusion d'optique de voir apparaître une image virtuelle ressemblant à un hologramme à l'arrière de l'écran, est connue sous le nom d' illusion du « fantôme de Pepper » (« Pepper' s ghost » en langue anglo-saxonne) .

De telles projections ont tout d'abord été utilisées par le passé en cas de mises en scène publicitaires ou promotionnelles. Un présentateur se tient à l'arrière d'un grand écran partiellement réfléchissant situé en oblique par rapport au sol. L'écran est formé par une toile transparente tendue, l'image projetée étant quant à elle l'image réfléchie par un miroir sur la toile.

Une telle disposition, qui permet au présentateur de passer au travers de l'image sans l'obstruer présente cependant des inconvénients.

Elle nécessite un appareillage complexe permettant notamment de tendre la toile de façon suffisante pour éviter des rides qui entraîneraient autrement des déformations inadmissibles de l'image.

Des risques de rayures de l'écran, notamment par de la poussière, existent également avec les dispositifs de l'art antérieur.

De plus les lumières parasites inhérentes à la scène enlèvent à l'image ses qualités de couleurs. Pour pallier ce dernier inconvénient, il est alors nécessaire de prévoir des projecteurs très puissants (par exemple > 8 000 lumens) pour obtenir une image suffisamment contrastée avec son entourage immédiat.

L'idée d'utiliser l'illusion du « fantôme de

Pepper », non plus sur une scène de théâtre sombre de grandes dimensions mais dans une boîte démontable laissant passer la lumière de l'extérieur et utilisable avec un PDA présentant un écran numérique de faible luminosité, a ensuite été envisagée.

On connaît ainsi (JP 2015 176141, WO 2014/207 519) des boîtiers de petite taille utilisant l'effet fantôme de Pepper à partir d'un téléphone portable.

De telles boîtes, fermées sur les côtés et présentant un fond horizontal ou sol, d'une part ne permettent pas un champ de vision élargie, ce qui limite le nombre d'utilisateurs à un, et d'autre part ne donnent pas l'impression que l'hologramme est réellement intégré à l'environnement de la pièce dans laquelle il est regardé.

De telles boîtes ne sont pas non plus conçues pour être ajustables ou modulables en fonction de la taille du téléphone portable.

La présente invention vise à fournir un boîtier, un flan, un ensemble de flans, un dispositif et un procédé de montage de boîtier répondant mieux que ceux antérieurement connus aux exigences de la pratique, notamment en ce qu'elle permet l'observation en 3D d'un objet ou d'une personne de dimensions réduites (quelques centimètres) , par plusieurs observateurs, avec un effet de transparence impressionnant et ce dans un petit espace, sans écran visible, sans technologie particulière autre que celle de la tablette ou du PDA, et ce de façon aisément montable/démontable (par exemple par un enfant de moins de dix ans) , pour peu que les images projetées aient été conçues pour être visualisées de cette façon, c'est-à-dire qu'elles aient été filmées sur fond sombre ou fond noir ou qu'elles présentent un tel fond.

De façon magique et en utilisant donc un boîtier de petite dimension s' inscrivant dans un cube de dimensions inférieures à lm x lm x lm, et ce avec une plaque ou une feuille transparente ou en partie transparente, de petite dimension (inférieure à 1 m sur 1 m) , qui ne nécessite dès lors pas de moyen compliqué de mise en tension d'un film, on obtient un résultat étonnant, particulièrement impressionnant et ce avec plusieurs types de dimensions pour le projecteur d'image utilisé.

Son montage est extrêmement simple, le boîtier étant par ailleurs déplaçable et utilisable en tous lieux. Il est simplement nécessaire de pouvoir disposer d'une surface plate qui va servir à la fois de socle et de fond sur laquelle l'image donne l'impression de reposer, ce qui renforce sa présence et son intégration à l'environnement.

Le boîtier est par exemple, posé un peu en dessous ou à la hauteur des yeux des spectateurs/utilisateurs .

Il a ainsi été observé de façon surprenante qu'une telle boîte présentait des résultats de luminosité et de rendu suffisants pour une diffusion en masse à un coût particulièrement faible.

Dans ce but, la présente invention propose notamment un boîtier pour projection à un utilisateur d' images virtuelles à partir d' images 2D générées sur un plan d'émission de lumière, comprenant un châssis formé par au moins une face latérale arrière (ou face arrière) , une face latérale frontale (ou face frontale) ouverte pour accès visuel à l'intérieur de la boîte par l'utilisateur et deux faces latérales de côté (ou faces latérales) , ledit châssis comprenant deux plans d'extrémité, à savoir un plan inférieur et un plan supérieur, le plan supérieur étant agencé pour supporter ledit plan d'émission de lumière,

un écran plan au moins partiellement transparent, ledit châssis étant agencé pour supporter l'écran de façon inclinée par rapport au plan d'émission de lumière et ledit écran étant agencé pour réfléchir la lumière émise par ledit plan d'émission de lumière de sorte que des images virtuelles correspondantes auxdites images 2D générées sur le plan d'émission de lumière apparaissent comme étant situées derrière l'écran dans ledit châssis par rapport à l'utilisateur, caractérisé en ce que les faces latérales de côté sont ajourées et entièrement ouvertes sur la face latérale frontale pour former avec cette dernière une ouverture élargie en forme de mâchoire ouverte.

L'écran plan est quant à lui situé en dessous du plan formé par les côtés inférieurs de ladite mâchoire .

Avantageusement le plan inférieur est ouvert.

Par plan ouvert on entend le fait qu'il est dénué de fond et/ou entièrement ajouré. La boîte va donc reposer sur les bords et/ou éléments de périphérie inférieure des faces latérales frontale, arrière et/ou de côté.

Avantageusement la feuille est formée par un film non déformable dans son plan.

Par non déformable dans son plan on entend non déformable en tension ou en contraction de la surface de la feuille (celle-ci peut donc être ou non déformable en flexion) . Il peut ainsi s'agir d'une plaque rigide comme par exemple une plaque en verre ou en plastique rigide, mais aussi d'une plaque ou feuille flexible.

Plus particulièrement l'écran plan est ainsi et par exemple formé par une feuille en matière plastique transparente, par exemple d'épaisseur inférieure à 0,5 mm par exemple en polycarbonate d'épaisseur inférieure ou égale à 50 μ, par exemple 30 μ.

Dans des modes de réalisation avantageux, on a par ailleurs et/ou en outre recours à l'une et/ou à l'autre des dispositions suivantes :

- le plan d'émission de lumière est un écran de téléphone portable, de tablette ou de PDA ;

- les faces latérales sont ajourées vers la face frontale en présentant une ouverture en forme de V incliné. Cette ouverture en biais augmente encore le champ visuel des utilisateurs tout en assurant une bonne rigidité à la boîte. Le V incliné peut être aussi un U incliné aux jambes écartées, c'est-à-dire formant un trapèze ouvert dont la grande base est dirigée vers la face latérale frontale ; - le plan supérieur est formé et/ou contenu dans une partie ou face supérieure du boîtier au moins en partie ajourée ;

- la partie supérieure est agencée et/ou comporte un logement pour contenir le système (PDA mobile, tablette, ou écran digital déporté d'ordinateur) et/ou le cacher à l'œil de l'utilisateur au moins en partie ;

- la partie supérieure est munie d'une partie distale du côté arrière du boîtier et d'une partie proximale située du côté de la face latérale frontale ouverte. Avantageusement la partie distale est ouverte pour laisser passer la lumière externe à la boîte à l'intérieur du châssis (par le dessus) ; ouverture formant puits de lumière débouchant sur la partie arrière de l'écran ;

- la face latérale arrière comporte une portion ouverte et/ou ouvrable vers l'extérieur de la boîte. Ceci facilite encore l'impression d'intégration de l'image dans l'environnement quand cette portion est ouverte ;

- la partie distale du côté arrière du boîtier est munie de tenons escamotables entre au moins une première position de repos et au moins une deuxième position de blocage du téléphone en position de projection ;

- au moins une face latérale est de plus ajourée du côté de la face latérale arrière, sur une surface comprise entre le 1/8 et la 1/2 de la surface de ladite face latérale concernée. Ces ouvertures dans les faces latérales vont de façon étonnante non pas gêner l'image qui de ce fait pourrait être considérée comme moins contrastée mais au contraire augmenter encore l'effet de recul que l'observateur va pouvoir avoir et en particulier parce qu' il va pouvoir voir au travers des parois le reste de la pièce dans laquelle est disposé le boîtier .

Avantageusement les ouvertures dans les faces latérales de côté sont décalées vers le bas de la boîte ;

le châssis est montable et démontable manuellement, et formé d'un seul flan en carton ondulé ;

- les bords de l'ouverture élargie en forme de mâchoire ouverte comprennent du côté du fond, des trottoirs de largeur déterminée, par exemple comprise entre 1 cm et 3 cm, par exemple 2 cm.

Ces trottoirs permettent une rigidification de la boîte et un abri de lumière sur les côtés inférieurs de ladite ouverture. Cela permet également de cacher la fixation de l'écran plan sur les faces intérieures des faces latérales de côté ;

la face latérale frontale comprend un bandeau inférieur vertical de hauteur déterminée (par exemple compris entre 3 et 8 cm par exemple 6 cm) .

- le châssis s'inscrit dans un parallélépipède L x 1 x h avec 1 < 35cm, L < 30 cm et h < 25 cm.

Ces mesures vont permettre une manipulation facile du boîtier et son démontage de sorte que celui-ci peut être inséré à plat dans une pochette qui peut par exemple être vendue avec un DVD ou un CD ;

- le plan inférieur et le plan supérieur du châssis sont inclinés entre eux d'un angle compris entre 2° et 15° ou 20°, avantageusement entre 12 et 18°, par exemple 15°, ou par exemple entre 5° et 7°.

Cette disposition angulaire va permettre une meilleure disposition du personnage à l'intérieur de l'arrière-plan situé derrière l'écran incliné.

En effet, le ou les observateurs qui vont se trouver face au, ou un peu au-dessus du, boîtier auront d'autant plus une impression de personnage et/ou motif 3D qu'il va, compte tenu de ces angles, regarder le résultat de la projection grâce à une observation légèrement par le dessus.

Celle-ci est possible grâce à cette inclinaison particulière ;

- le châssis est sensiblement parallélépipédique ou de section transversale trapézoïdale ou sensiblement trapézoïdale ;

Par sensiblement parallélépipédique on entend s' inscrivant dans un parallélépipède en occupant sensiblement entre 70% et 95% du volume d'un parallélépipède .

Ceci va permettre une meilleure fabrication et une meilleure mise à plat du boîtier démontable.

A ce sujet, il existe bien entendu la possibilité d' avoir un boîtier dont la face latérale arrière pourrait-être circulaire. Mais le fait de prévoir un boîtier avec châssis plutôt parallélépipédiques permet de donner un effet de « petit théâtre » ;

- Le châssis est en carton, par exemple en carton ondulé.

Cette matière rend le boîtier très léger, aisé à fabriquer et peu coûteux.

- Le boîtier est en deux parties séparables et en carton ;

- Le carton est au moins en partie un carton dit

« carton mousse ».

Le carton mousse est connu pour la fabrication de maquettes ou de stands d'exposition.

Il comprend deux faces lisses et une âme par exemple en polystyrène, lui conférant une grande robustesse et une bonne facilité de découpe.

Il est facilement montable et permet une bonne utilisation de colle et d'adhésif.

Dans un mode de réalisation avantageux le carton est par exemple d'épaisseur 2 mm, 3 mm ou 5 mm ;

- l'écran est formé par un film en matière plastique d'épaisseur < à 0.5 mm, par exemple un rodhoïde transparent ou du polycarbonate < 50 μ.

L'écran peut aussi être en verre transparent, d'épaisseur < 0,5 mm, avantageusement recouvert d'une couche (de quelques centièmes de mm d'épaisseur, par exemple comprise entre 0,01 et 0,06 mm) en silicone transparent .

Avantageusement le verre est un verre dit céramique, et/ou est par exemple formé à partir d'un verre trempé de 0.2 mm d'épaisseur (recouvert donc d'une couche de silicone transparente) .

Avantageusement le matériau plastique ou le verre choisi permettent une transmission de lumière > 85 %, par exemple ≥ 95 %, voire 99 % ;

- le châssis est démontable, les parois latérales et la ou les faces d'extrémité étant au moins en partie solidarisées entre elles de façon amovible ;

- le châssis est démontable et formé à partir de deux flans pliés insérables l'un dans l'autre ;

- le châssis est formé à partir d'un flan ou ensemble de flans comprenant une suite d' au moins trois parois agencées pour former les parois latérales de côté et la paroi frontale, et d'un cadre support ajouré pour former au moins en partie la face supérieure, comprenant des bords latéraux de support d'un PDA ou d'une tablette ;

- la face supérieure comprend des moyens de blocage en butée dudit PDA ou tablette (pour l'empêcher de glisser) ;

- les parois latérales de côté sont solidaires entre elles deux à deux par des premières lignes de pliage, ladite suite comprenant deux parois latérales d'extrémité symétriques par rapport à une paroi intermédiaire formant la face latérale frontale ;

- l'écran comprend des ergots latéraux, insérables dans des fentes complémentaires des parois latérales de côtés, par fixation amovible.

Dans un mode de réalisation ladite paroi intermédiaire est solidaire du fond par une deuxième ligne de pliage ; - la suite des parois latérales de côté, de la face latérale arrière et de la face frontale sont reliées entre elles par des lignes de pliage, et solidarisées par une languette d'extrémité insérée dans un évidement complémentaire.

L' invention propose également un flan ou ensemble de flans permettant d'obtenir les boîtiers tels que décrits ci-avant.

Elle propose aussi un flan comprenant une ceinture de quatre volets latéraux reliée deux à deux par des premières lignes de pliage, à savoir deux volets latéraux de côté symétriques par rapport à un volet latéral frontal, comprenant une partie ajourée centrale à cheval de part et d'autre, sur une partie du volet latéral de côté adjacent et terminée par un volet latéral de fond comprenant un rabat propre à former la partie supérieure du boîtier.

Avantageusement le rabat propre à former la partie supérieure comprend un premier rabat d'extrémité propre à coopérer avec un second rabat d'extrémité solidaire du volet latéral frontal, pour former la fente d'insertion du PDA.

Avantageusement les volets latéraux de côté et frontal comprennent des trottoirs à la périphérie de l'orifice formé par la partie ajourée.

La présente invention propose aussi un dispositif de projection d'images comprenant un boîtier tel que décrit ci-dessus. Ce dispositif comprend un PDA ou un téléphone portable à écran digital ou l'écran d'un ordinateur détachable ou encore une plaquette numérique . L'écran numérique est lui-même programmé pour émettre des images 2D discrètes c'est-à-dire dissociées de leur fond et mouvantes par exemple détournées ou filmées sur un fond noir qui va permettre de donner la pleine puissance à l'image simulée donnant l'impression d'un hologramme et obtenue avec le boîtier selon l'invention.

L' invention propose également un procédé de montage d'un dispositif comprenant un boîtier tel que décrit ci-avant.

Dans un mode avantageux le procédé comprend l'assemblage entre eux d'au moins deux flans l'un avec l'autre.

Avantageusement le procédé est caractérisé en ce que on assemble manuellement les parois latérales, et le cadre supérieur par encliquetage entre eux pour former le châssis rigide du boîtier et on place le PDA ou la tablette sur le cadre, par exemple en l'appuyant sur le trottoir inférieur du cadre support en partie inférieure.

Avantageusement le châssis étant formé à partir d'au moins un flan, on plie le plan pour former un manchon que l'on referme par encliquetage, on insère l'écran dans le manchon, on plie ou on pose la face supérieure pour former le plan d'émission de lumière, et on l'insère dans le manchon pour former ledit châssis, et on place le PDA ou la tablette sur la face supérieure en l'appuyant sur des moyens de blocage .

Dans un autre mode de réalisation avantageux, le châssis étant formé de deux flans comprenant des volets séparés par des lignes de pliage à savoir un premier flan pliable et refermable sur lui-même pour former un manchon, un deuxième flan comprenant un volet formant une face supérieure ajourée et un volet ajouré formant le support de l'écran, le deuxième flan étant inséré à frottement dans le premier formant manchon.

Egalement avantageusement le procédé de montage est tel que, le cadre supérieur ou le support formé par le plan supérieur étant réglable entre plusieurs positions pour s'adapter aux formats des PDA ou des tablettes du commerce, on règle ces dimensions de façon centrée avant de placer le PDA ou la tablette concernée sur son support.

Avantageusement le châssis étant formé à partir de deux flans, on plie le premier flan pour former un manchon que l'on referme par encliquetage, on plie le deuxième flan pour former les supports de l'écran et du plan d'émission de lumière, et on l'insère dans le premier plan pour former ledit châssis.

Dans un mode de réalisation avantageux, le boîtier est caractérisé en ce que on place le PDA ou la tablette sur la face supérieure en l'appuyant sur les moyens de blocage.

L' invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit de modes de réalisation donnés ci-après à titre d'exemples non limitatifs. La description se réfère aux dessins qui l'accompagnent dans lesquels : La figure 1 est une vue en perspective axiométrique d'un boîtier selon un premier mode de réalisation de l'invention.

La figure 1A est une vue latérale schématique d'un dispositif comprenant le boîtier de la figure 1.

La figure 2 est une vue schématique qui montre un deuxième mode de réalisation de l'invention, où la tablette est cette fois-ci disposée sur le sol et non pas sur la face supérieure du boîtier.

La figure 3 est une vue en perspective éclatée des éléments du boîtier de la figure 1, démontés les uns par rapport aux autres.

La figure 4 est une vue en plan d'un flan ou ensemble de flans permettant d'obtenir un boîtier selon un autre mode de réalisation de l'invention.

La figure 5 est un organigramme donnant les étapes du montage d'un boîtier selon le mode de réalisation.

Les figures 6 et 7 donnent des vues en plan de deux autres modes de réalisation de flans ou ensemble de flans selon l'invention.

La figure 8 est une vue en plan d'un autre mode de réalisation de flan selon l'invention.

La figure 9 et une vue en perspective axionométrique d'un boîtier obtenu à partir du flan de la figure 8.

La figure 1 montre un boîtier 1 par exemple en carton mousse de 2 mm d'épaisseur, comprenant un châssis ou enceinte 2 formé par une face latérale dite arrière 3 en trois parois ou volets, à savoir deux parois latérales 4 et 6 et une paroi arrière 5, une face latérale frontale 7 ouverte pour accès visuel 8 par l'œil 9 (cf. figure 1A) d'un utilisateur et deux faces d'extrémité (formant plan) à savoir une face inférieure rectangulaire 10 formée par une pièce de carton pleine et une face supérieure ajourée 11 de support d'une tablette 12 dont l'écran dirigé vers le bas (flèches 13) forme un plan 14 d'émission de lumière quand il est posé allumé sur ladite face supérieure ajourée 11.

Le châssis 2 comprend des moyens par exemple formés par deux fentes 15 latérales en biais présentant un angle β compris entre 30 et 60° par exemple de 45° avec l'horizontal, de support d'un écran 16 transparent au moins en partie agencé pour refléter la lumière.

L'écran formé ici par une plaque transparente de verre ou de plastique incassable rigide de faible épaisseur (< 2 mm, voir 1 mm) est bloqué en partie basse par l'extrémité inférieure de la fente formant butée .

Selon ce mode de réalisation de l'invention, le châssis est parallélépipédique ou sensiblement parallélépipédique, les faces latérales étant sensiblement rectangulaires ou trapézoïdale dont l'un des côtés est d'angle a avec l'horizontale, compris en 5° et 15° par exemple 10° et l'autre côté perpendiculaire avec les bases pour former un trapèze rectangle .

Plus précisément, la paroi arrière 5 est formée par un rectangle muni par exemple d'une ouverture centrale 17 par exemple en forme de losange formant puits de lumière par exemple sur l/8 eme de sa surface. Les deux parois latérales 4 et 6 sont quant-à- elles symétriques par rapport à un plan central 18 (en traits mixtes sur la figure 1), de symétrie du boîtier et présentent une forme trapézoïdale avec une petite base du côté de la paroi arrière et une grande base du côté de la face latérale frontale 7. Chacune de ces parois comporte sur sa partie d'extrémité arrière une ouverture 18 par exemple triangulaire ou en forme de losange, permettant des entrées de lumière derrière l'écran 16, et présente une échancrure frontale du côté de l'ouverture de la face latérale frontale 7, triangulaire, dont les côtés inférieurs en biais 19 sont parallèles aux fentes latérales 15 en biais formant l'angle β ci- dessus mentionné.

Selon ce mode de réalisation la face supérieure ajourée est formée d'un cadre supérieur 20 comprenant des bords latéraux 21 de support de la tablette qui vient par exemple en butée sur une barre 22 d'extrémité délimitant avec le cadre et la partie supérieure 23 du volet central de la face latérale arrière 5 une ouverture 24 permettant également une entrée (flèche 25) de lumière.

La face frontale 7 comprend quant à elle, et de plus, un bandeau 26 permettant de cacher la partie inférieure 27 de l'écran 16.

Selon un mode de réalisation la face d'extrémité inférieure forme avec la face d'extrémité supérieure l'angle a (par exemple donc de 10°) .

Dans un autre mode de réalisation on voit que le plan d'émission de lumière peut être situé (cf. figure 2) sur la face inférieure 10, les rayons lumineux effectuant cette fois-ci un trajet 28 du bas vers l'écran, qui est alors incliné d'un angle Y (compris entre 30° et 60° et avantageusement 45°) par rapport l'horizontal, permettant de former à l'arrière l'image ressemblant à une image 3D 29 dans le volume arrière 30.

On a représenté sur la figure 3 une perspective éclatée des éléments du boîtier 1 de la figure 1 qui permettent notamment de montrer la façon dont ceux-ci peuvent être montés facilement de façon manuelle par encliquetage les uns avec les autres.

Chacun des éléments formant des faces d'extrémité inférieure 10 et supérieure 11 comporte des ergots, par exemple rectangulaires, 31 agencés pour venir coopérer avec les évidements 32 réalisés dans les volets latéraux 4 et 6 en vis-à-vis, de forme complémentaire .

Dans la suite on pourra utiliser les mêmes numéros de référence pour désigner des éléments identiques ou similaires .

Toujours dans ce mode de réalisation de la figure 3 il est prévu un bandeau frontal 26 qui va venir de la même façon s ' encliqueter par l'intermédiaire d'ergots 31, dans les évidements 32 en vis-à-vis et cette fois-ci situés sur la partie inférieure d'extrémité 33 des volets concernés.

Le cadre est quant à lui également fixable par encliquetage cette fois-ci en partie supérieure dans l'extrémité affinée des volets latéraux, la partie de fond du cadre comportant quant à elle un barreau 22 de blocage contre lequel le PDA va venir s'appuyer compte tenu de l'angle formé par la partie supérieure des volets latéraux laissant le puits de lumière 24 en partie supérieure à l'arrière du boîtier.

Ce boîtier comporte de plus l'écran 16 qui va donc être inséré dans les fentes latérales 15 comme indiqué .

On a représenté sur la figure 4 un mode de réalisation d'un ensemble 34 d'éléments ou flans permettant de réaliser un boîtier du type décrit selon un autre mode de réalisation de boîtier selon 1' invention .

Ici le boîtier est obtenu à partir d'un flan 35 formé par une suite de quatre volets à savoir deux volets latéraux 36 et 37 symétriques par rapport à un volet central 38 de type décrit en référence à la figure 1 au niveau de leur forme.

Les volets latéraux 36 et 37 sont sensiblement trapézoïdaux avec une petite base 39 de largeur h du côté du volet central rectangulaire 38, et une grande base 40 de largeur hi, les volets étant reliés entre eux par des lignes de pliage 41 et le volet central 38 comprenant quant à lui sur sa partie inférieure 42, via une ligne de pliage, un panneau 43 destiné à former la face d'extrémité inférieure, munie d'un rabat 44, dirigé du côté opposé par rapport au volet central latéral 38 et destiné à former le bandeau qui va cacher la partie inférieure 27 de l'écran, une fois le boîtier formé.

L'ensemble 34 comprend de plus le cadre 45 du même type que celui décrit en référence à la figure 1, qui va lui-même être fixé de façon identique à ce qui a été décrit en référence à la figure 3.

On va maintenant décrire en référence à la figure 5 un mode de réalisation de montage manuel d'un boîtier selon l'invention plus particulièrement décrit ici en référence à la figure 4.

Le boîtier est par exemple fourni dans un paquet à titre d'élément publicitaire complémentaire dans le cadre d'une vente d'un album musical.

Les pièces sont tout d' abord sorties du paquet

(étape 50), puis on monte en 51 les parois latérales en les pliants pour former trois côtés du châssis. On plie ensuite (étape 52) le fond pour former la face inférieure .

Ensuite (étape 53) on plie et/ou on connecte le bandeau frontal .

L'étape suivante (54) est celle où l'on vient glisser l'écran dans les fentes de support qui viennent en butée sur la partie inférieure desdites fentes.

L'étape (55) suivante est celle du montage de la face supérieure par encliquetage, qui comporte éventuellement un réglage s'il y a lieu de l'ouverture choisie pour le type de tablette et/ou de téléphone utilisé.

Dans le mode de réalisation plus particulièrement décrit ici on insère la butée en forme de trottoir de blocage .

Parallèlement a été filmé en 56 sur écran noir la chanteuse de l'album musical de telle façon qu'elle puisse ensuite être utilisée dans le cadre de l'invention sous forme de graphique.

On la charge alors (étape 57) sur ladite tablette et/ou on se connecte en « streaming » en langage anglo-saxon, avec l'image concernée sur ladite tablette .

Le boîtier ayant donc été monté selon les étapes ci-dessus mentionnées, on vient placer la tablette après l'avoir allumée et réglée et on regarde le spectacle virtuel (étape 58).

La figure 6 montre en plan, un autre mode de réalisation de l'invention.

Le boîtier est ici obtenu à partir d'un flan 59 en carton ondulé, ajouré en 60 dans sa partie centrale, par exemple de 2 mm d'épaisseur, formé par une suite de quatre volets (61, 62, 63, 64) terminés à une extrémité par une languette 65 de pliage, à savoir un premier volet rectangulaire 61 d'extrémité, deux volets 62 et 64 en forme de trapèze symétriques par rapport à un grand volet intermédiaire ajouré 63.

Les deux volets 62 et 64 trapézoïdaux comportent une échancrure centrale en forme de triangle sur leurs grands côtés, elles-mêmes en jonction avec une partie ajourée dans le volet intermédiaire central 63 pour constituer l'ouverture 60.

Le volet intermédiaire 63 est dès lors formé par deux bandes rectangulaires inférieures 63' et supérieures 63'', situées donc de part et d'autre de cette partie ajourée.

Chacun des volets est séparé du volet adjacent par une ligne de pliage 66. La languette 65 est munie d'un côté d'un évidement d'encastrement 67, le volet 61 étant muni de l'autre côté (volet 61) d'un ergo 68 agencé pour venir s' encliquer dans l' évidement 67.

La figure 6 montre en fait deux modes de réalisation de la face supérieure, destinée à former le dessus de la boîte, à savoir un panneau 69 situé d'un côté du flan ou un panneau 69' situé de l'autre côté .

Le panneau 69 est rectangulaire et est situé du côté des lignes d'extrémité, alignées, des volets 61, 62, 63, 64. Il comporte un évidement 71 permettant de laisser passer l'image lumineuse du PDA qui y sera déposé .

Le panneau 69 comporte également un évidement 72 situé du côté du volet 61 qui va servir de puit de lumière, ledit volet 69 étant agencé pour reposer lorsque l'ensemble du flan est formé en le repliant sur lui-même pour former un mandrin, sur des languettes 70 d'extrémité, formant rabat le long des bords inférieurs du flan sur la longueur et rattaché aux volets 62 et 63.

Dans l'autre mode de réalisation, le panneau 69' similaire au panneau 69 avec les évidements 71' et 72' est cette fois-ci agencé pour reposer sur les rabats 70' situés sur les extrémités obliques des trapèzes 62 et 64. De cette façon on peut obtenir soit dans un sens soit dans l'autre, l'angle a autorisant une meilleure vision, comme indiqué. Des fentes F sont par ailleurs prévues sur les faces internes des volets 62 et64, pour support de l'écran (non représenté).

La figure 7 montre un autre mode de réalisation d'un flan ou ensemble de flans 80 selon l'invention, comprenant une partie supérieure S et une partie inférieure I reliées (ou non) entre elles par une ligne de pliage 83.

Plus précisément la partie supérieure S comprend un volet central 81 rectangulaire muni d'un évidement rectangulaire 82 comportant un film F transparent rectangulaire en matière plastique, par exemple collé sur ses bords périphériques sur les bords de 1' évidement 82.

Le volet 81 est relié par la ligne de pliage mentionnée ci-dessus 83, à un deuxième volet rectangulaire 84, percé lui-même d'un évidement central rectangulaire 85 de passage du flux lumineux du PDA qui sera posé sur cette plaque 84 en reposant sur les bords latéraux dudit volet évidé en 85.

De part et d'autre du volet 81 rectangulaire se trouvent deux volets symétriques triangulaires 86 évidés dans leur partie centrale par un triangle ou trapèze ouvert vers l'extérieur et définissant une première paroi 88, rattachée au volet 81 par une ligne de pliage 87, en forme de triangle situé sur et du côté du volet central 81, et une partie d'extrémité 89 par exemple en forme de languette rectangulaire, rattachée à la partie triangulaire 82, et définissant le bord latéral de l' évidement triangulaire ci-dessus mentionné. Le volet 86 est reproduit de façon symétrique par rapport à l'axe 87, de l'autre côté du volet central 81.

Le volet rectangulaire 84 est quand-à-lui muni sur ses deux côtés latéraux, de deux parois 90 symétriques par rapport à l'axe 87. Elles sont de forme trapézoïdale présentant une petite base située du côté du volet 81,, et formant l'angle a avec la ligne de pliage 83 (comme le bord inférieur des volets 86 d'ailleurs).

Cette petite base du trapèze va servir de support à la face inférieure du volet 81 lorsque celui-ci sera replié vers l'intérieur.

Plus précisément ces volets trapézoïdaux 90 comprennent un évidement trapézoïdal 91 et sont reliés par des lignes de pliage 92 au volet central 84.

Les trapèzes sont par exemple des trapèzes rectangles, la grande base étant tracée à partir de l'extrémité inférieure de la ligne de pliage 92 du volet 84.

L'un de ces volets 90 comporte de plus un volet rectangulaire 94 destiné à former le fond du boîtier. Il est plein ou ajouré, par exemple de façon centrée ou non par un orifice 95 par exemple trapézoïdal, et relié au volet 90 par une ligne de pliage 93.

Le volet 94 est muni d'une languette 96 de fixation sur l'extrémité en vis-à-vis du volet 90 lorsque la partie inférieure I est repliée sur elle- même pour former un manchon, de façon connue en elle- même par exemple par un ergot s' encastrant par pliage dans un évidement complémentaire en vis à vis.

Le montage de la partie supérieure se fait alors par encastrement dans le manchon formé par la partie inférieure, une fois repliée.

De façon connue en elle-même, des rebords permettent, par pliage et frottement de sécuriser et mieux bloquer la partie supérieure dans la partie inférieure et/ou consolider les deux flans repliés.

D'autres modes de réalisation d'ensemble de flans ou de flan permettant d' obtenir le boîtier tel que décrit ci-avant sont bien entendu possibles.

On va maintenant décrire en référence aux figures 8 et 9 un flan 100 (figure 8) en carton ondulé double face de faible épaisseur (par exemple en micro ¬ cannelures) , par exemple de 1 à 2 mm d'épaisseur, permettant d'obtenir le boîtier 101 (figure 9) selon un autre mode de réalisation de l'invention.

On utilisera ci-après les mêmes numéros de référence pour désigner les mêmes éléments.

Le flan 100 (et le boîtier 101) comprenant un châssis 102 formé par une suite de quatre volets latéraux reliés entre eux par des lignes de pliage 103 parallèles entre elles, à savoir un volet latéral frontal 104 (ou face latérale frontale) relié de part et d'autre par lesdites lignes de pliage à deux volets latéraux de côtés 105, 106 (ou faces latérales de côté) symétriques par rapport à un axe 107 de symétrie dudit volet latéral frontal, et un volet latéral de fond 108 (ou face latérale arrière) relié à un autre côté du volet latéral de côté 106 par une desdites lignes de pliage.

Les extrémités ou bords périphériques externes 109 et 110, respectivement du volet latéral de côté 105 et du volet latéral de fond 108 comprennent des moyens de fixation amovible de l'un sur l'autre, par exemple par le biais d'une languette 111 venant s'encliquer dans une fente 112 ménagée entre le bord périphérique du volet latéral du fond et un rabat 113 venant s'insérer à l'intérieur du volet du côté 105 lorsque la suite de volets est refermée sur elle-même pour former un manchon polygonal.

Chacun des volets latéraux de côté 105 et 106 comportent en partie supérieure, des premiers rabats 114, 115 sensiblement rectangulaires, reliés au volet par des deuxièmes lignes de pliage 116 comportant deux tétons 117 découpés dans le rabat et faisant ainsi quand ils sont repliés à 90° des évidements 118 dans lesquels vont pouvoir s'encastrer des tenons de blocage du plan supérieur (voir ci-après) .

Chaque premier rabat 114 comporte à son extrémité distale par rapport au volet latéral frontal 104, une partie 119, 120 élargie de soutien supplémentaire du mobile qui va être inséré et posé sur la partie supérieure desdits rabats 114 comme cela sera plus amplement décrit ci-après.

Selon le mode de réalisation de l'invention plus particulièrement décrit ici, les faces 104, 105 et 106 sont ajourées par un évidement central 115 à cheval de part et d'autre sur les lignes de pliage 103 entre volets adjacents, de forme sensiblement trapézoïdale .

La petite base 116 de cet évidement est rectiligne sur toute la longueur du volet 104 et comprend à chaque extrémité et dans la prolongation des lignes de pliage 103 deux échancrures 117 avec tétons de blocage 118 agencés pour coopérer avec des tétons d'extrémité 119, 120 de deuxièmes rabats 120, 121, correspondants, reliés respectivement aux côtés rectilignes du trapèze par des troisièmes lignes de pliage 122.

Chaque deuxième rabat vient ainsi se bloquer en position ouverte inclinée par exemple avec un angle a à 45° par rapport à l'horizontal, en fonction des dimensions en largeur du deuxième rabat, et ce sur la hauteur de la mâchoire inférieure formée par 1' évidement 115 lorsque le boitier est formé.

L' évidement 115 comprend enfin une grande base supérieure 123 présentant par exemple deux parties d'extrémité droites 124 découpées dans les parois latérales de côté 105 et 106 et une partie centrale 125, par exemple courbe, découpée dans le volet latéral frontal 104.

L'évidement 115 délimite ainsi de part et d'autre, d'une part une portion inférieure ou bandeau 126 par exemple rectangulaire avec deux pieds 127, et d'autre part une portion supérieure 128 comprenant une alvéole ou logement 129 d'insertion d'un mobile (voir figure 9) .

Pour ce faire la portion supérieure comprend par exemple un rabat 130 évidé en son centre 131 et relié à la périphérie des deux extrémités d'un échancrement 132 effectué dans une languette pliable 133 en U, par des quatrièmes lignes de pliage 134.

Lorsque la languette 133 et le rabat 130 sont repliés à l'intérieur de la boîte, l'orifice d'insertion permet alors, notamment du fait de l'élasticité du carton, une insertion en frottement qui maintient le mobile bien en place.

Le boîtier comprend de plus des orifices ou fentes 135, par exemple trois de chaque côtés, un peu en dessous des lignes de pliage 122, dans les faces latérales de côté 105 et 106, pour insertion d'ergots situés sur la périphérie de l'écran transparent 136 de section égale ou sensiblement égale à celle du boîtier, en vis-à-vis et dans une position formant un angle β de 45° par rapport à l'horizontal.

Chaque face latérale de côté comprend par exemple et de plus des évidements 137, par exemple triangulaires en partie basse et/ou un évidement complémentaire 138 à l'arrière de l'écran, par exemple également triangulaire ou de forme diverse.

Le flan 100 comprend de plus, relié au volet de côté 106, de l'autre côté du volet 126 par une ligne de pliage 103, un volet latéral arrière 139 par exemple sensiblement rectangulaire comprenant un panneau 140, centré dans le volet et ouvrant sur le bas, découpé, en forme de porte ouvrable autour d'une ligne de pliage 141, qui va permettre de faire entrer la vue de la pièce dans la boîte.

Le volet latéral arrière comprend en partie supérieure et relié par une cinquième ligne de pliage 142, un panneau 143 rectangulaire propre à former la face supérieure du boîtier.

Ce panneau comprend de part et d'autre des rabats latéraux 144 rectangulaires, munis à leur périphérie de languettes 145 propres à coopérer et de forme complémentaire avec les évidements 118 par encliquetage .

Le panneau 143 comprend de plus des languettes 146 et 147, enfonçables situées sur un ou plusieurs rangs 148, 149 et définissant des distances plus ou moins rapprochées de la périphérie externe 150 du panneau qui vient en droit de l'évidement 129 d'insertion du mobile .

En enfonçant le premier rang 148 ou le deuxième rang 149 de languettes formées par une portion découpée du panneau 143 sur trois côtés, il est possible de jouer sur la distance de la butée de blocage que de telles languettes constituent pour le mobile inséré dans la fente 129, ce qui permet d'adapter la dimension longitudinale de l'évidement d'insertion à la taille du mobile.

Enfin, il est avantageusement prévu, pour mieux verrouiller la languette 130 de formation de l'orifice 129, des petits ergots latéraux 151 agencés pour coopérer avec des ouvertures 152 obtenue par enfoncement des languettes 153.

Comme il va de soi et comme il résulte également de ce qui précède, la présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation plus particulièrement décrits. Elle en embrasse au contraire toutes les variantes et notamment celles où le boîtier est formé de façon différente, par exemple avec une paroi latérale courbe, avec des formes de flans constitutifs différentes, en d'autres matériaux comme le plastique ou le métal, avec des orifices de formes différentes, décalés, situés ou non de façon excentrée par rapport à la surface de la paroi où elles sont pratiquées, avec des moyens de support et/ou de fixation de l'écran sur le châssis par collage, encastrement, en étant supporté par une pièce complémentaire, solidaire ou non des précédentes .

La face latérale arrière peut être sphérique, en forme de solide polygonal, comme un pentaèdre, un octaèdre etc les dimensions peuvent être plus importantes pour correspondre à celles d'un dispositif d'arcade.