L'invention se rapporte également à un tel mitigeur installé sur baignoire et qui coopère avec un dispositif de fermeture automatique dès que le niveau de remplissage est atteint.

Dans le robinet simple ('ouverture s'effectue par faction de l'usager qui, par l'intermédiaire d'un volant, entraîne en rotation une came agissant sur l'extrémité d'une soupape rectiligne dont l'autre extrémité porte le clapet. Celui-ci se trouve ainsi écarté de son siège d'étanchéité.

Pour provoquer la fermeture, I'usager ramène le volant de commande à sa position initiale et c'est alors la pression de t'eau qui repousse le clapet contre son siège d'étanchéité.

Un tel dispositif qui fait coopérer une came avec une soupape est déjà connu dans son principe notamment par le brevet W095/33102 issu du PCT FR 95/000136-dans lequel la fermeture de la soupape s'effectue par faction d'un flotteur et non par celle de l'usager et dans lequel il n'y a pas de moyens de réglage du débit.

Dans le robinet selon l'invention, la soupape porte, fixé en aval du siège d'étanchéité, un obturateur qui, en position de fermeture, se place en correspondance avec une fente ménagée dans le corps du robinet.

Avec le recul de la soupape ladite fente se trouve progressivement dégagée pour permettre l'écoulement de t'eau avec un débit détermine par I'amplitude du coulissement de la soupape.

La forme de la came est établie de manière à ce qu'à une variation angulaire donnée de sa rotation corresponde une variation linéaire donnée de la soupape, les deux valeurs respectivement angulaire et linéaire étant proportionnelles.

A son extrémité opposée à celle du clapet la soupape est munie d'une membrane par exemple à déroutement, qui assure l'étanchéité du compartiment de l'obturateur sans entraver de manière sensible le coulissement de ladite soupape.

Cette disposition est la condition nécessaire pour garantir la fermeture, mme avec une pression très faible.

En mme temps l'extrme souplesse du mouvement offre la possibilité d'adapter sur t'axe du volant de commande une minuterie mécanique qui réalise, par exemple au bout de quelques minutes, la fermeture automatique du robinet qui aurait été laissé ouvert par oubli de l'usager. Le robinet comporte également une

disposition de la soupape visant à éviter les dysfonctionnements liés à la présence dans t'eau de particules solides notamment de calcaire.

-Le mitigeur monocommande est constitué par deux robinets du type qui vient d'tre décrit disposés symétriquement de part et d'autre d'une pièce centrale qui pivote autour de I'axe de symétrie pour le réglage de la température et qui coulisse le long de ce mme axe pour le réglage du débit.

Les brevets U. S. A. 3207183 et CH. A 232331 se rapportent à de tels mitigeurs mais ceux-ci manquent de précision quant au réglage des débits du fait que ces débits sont uniquement déterminés par l'écartement plus ou moins grand du clapet de chaque soupape par rapport à son siège d'étanchéité.

Cet inconvénient est aggravé par le fait que la pièce centrale de commande est un éiément de cône dont la rotation autour d'un axe génère des coulissements de valeurs différentes entre les deux soupapes.

Dans le mitigeur selon l'invention, la pièce centrale est aménagée dans sa forme pour que, lors de son pivotement, elle provoque un coulissement simultané et de valeur égale de chacune des soupapes, I'une s'avançant pendant que l'autre recule.

Elle est également aménagée dans sa forme pour que, dans une position angulaire donnée, son coulissement ne modifie pas le rapport des surfaces d'écoulement et qu'ainsi les proportions du mélange soient conservées.

Les axes des robinets peuvent tre soit confondus soit parallèles.

Dans ce dernier cas le mitigeur se présente sous la forme d'un corps évidé à l'intérieur duquel se place le mécanisme constitué par une cartouche amovible sur laquelle se branche un collecteur qui traverse le corps pour, dans sa partie externe, constituer le verseur.

La cartouche qui se trouver ainsi maintenue à l'intérieur du corps comporte à sa base deux tubulures qui s'emmanchent de manière étanche sur des gaines fixées sur le fond du corps.

Ces gaines prolongent à l'intérieur dudit corps les tuyaux d'arrivée des eaux respectivement froide et chaude.

On comprend qu'une telle disposition considérée dans son ensemble se traduit par une économie considérable dans la fabrication du corps du mitigeur et par une très grande facilité de montage de la cartouche.

Elle trouve une application particulièrement intéressante dans les mitigeurs alimentés latéralement comme c'est généralement le cas pour ceux qui équipent les douches et les baignoires.

Elle permet alors, grâce au coulissement des tubes latéraux, de régler l'entraxe des conduits de branchement pour le faire coïncider exactement avec t'écartement des arrivées.

Le mitigeur sur baignoire avec arrt automatique du remplissage est du

type dont l'ouverture s'effectue par enfoncement de la pièce centrale. ii est doté de moyens par lesquels la position douche de l'inverseur neutralise le dispositif de fermeture automatique afin de permettre à l'usager d'utiliser ladite douche sans provoquer t'arrt intempestif de I'écoulement.

Pour bien comprendre l'invention on pourra utilement se référer aux figures ci-annexées données à titre d'exemples non limitatifs et qui sont : 1 et 2 des vues en coupes longitudinale et transversale du robinet simple en position respectivement d'ouverture et de fermeture ; 3,4 et 5 des vues en coupe d'un mitigeur dans lequel les axes des robinets sont en alignement et ceci dans les différentes phases de son fonctionnement ; 6 est une vue de dessus de ce mme mitigeur ; 7 et 8 sont des vues en coupe d'une cartouche dans deux options différentes à savoir respectivement : a/celle où c'est par sa partie externe que la pièce centrale agit sur les organes d'ouverture et fermeture ; b/celle où c'est par sa partie interne que la pièce centrale évidée à cet effet, agit sur lesdits organes ; 9 est une vue de côté d'un mitigeur dans lequel un collecteur branché sur la cartouche de manière amovible traverse le corps du mitigeur pour assurer la fonction de verseur ; 10 est une vue en coupe transversale de ce mme mitigeur ; 11 et 12 sont des vues en coupe et de dessus d'un mitigeur avec entrées latérales ; 13,14 et 15 montrent, dans ses différentes phases de fonctionnement, le mitigeur sur baignoire avec son dispositif d'arrt automatique du remplissage.

Pour une simplification des figures et une bonne compréhension de t'exposé qui va suivre, on conviendra que dans les vues en coupe, le robinet et les mitigeurs se présentent verticalement, t'arrivée de l'eau s'effectuant par le bas.

Egalement que, dans les mitigeurs, les robinets sont figurés schématiquement et que n'y sont reproduits avec le mme numéro que les organes qui interviennent dans la description.

Enfin les organes identiques d'un mme mitigeur seront désignés par le mme numéro affecté de la lettre (a) pour t'eau froide et (b) pour t'eau chaude.

Le corps (1) du robinet simple comporte, d'amont en aval a/Un compartiment (2) d'arrivée de t'eau ; b/Un siège d'étanchéité (3) toge dans le fond de (2) ; c/Un compartiment (4) dans lequel est ménagé une fente (5) débouchant sur l'écoulement ; d/Une portée cylindrique (6).

A l'intérieur du corps (1) se place une soupape rectiligne (7) qui, à son

extrémité inférieure, porte un clapet (8).

Ce clapet (8) est un tronc de cône dont la petite base (9) porte une tige (10) parallèle à 1'axe général (11) du robinet et de la soupape (7), laqueile tige (10) se trouve ainsi excentrée par rapport à lui.

Cette disposition, en ménageant une surface maximale entre les compartiments (2) et (4) permet le passage des particules solides à travers le robinet.

Une secteur de cylindre (12) fixé sur l'extrémité de la tige (10) est disposé de manière à obturer la fente (5) dans la situation où le clapet (8) s'applique contre le siège (3).

A son extrémité supérieure, la soupape (7) porte un cylindre (13) qui est coiffé par une membrane (14) par exemple à déroulement afin que t'eau qui pénètre dans le compartiment (4) n'ait pas d'autre sortie possible que celle de la fente (5).

En appui sur le côté externe de la membrane (14) et coulissant dans la portée (6) se place un poussoir cylindrique (15) surmonté d'un téton (16) dont l'extrémité (17) se trouve au contact de la tranche d'une came plate (18).

La soupape (7) est constituée par 1'ensemble que forment le clapet (8), la tige (10), 1'obturateur (12), le cylindre (13) et le poussoir (15) avec sont téton (16).

La came (18) s'inscrit dans un plan vertical qui, par convention, est celui de la figure 1 et elle pivote autour d'un axe perpendiculaire à ce plan et qui le coupe au point (19) lui-mme placé sur I'axe (11).

Dans la position de fermeture du robinet l'extrémité (17) est en contact avec la came (18) en un point (20) distant de (19) d'une longueur (21a). A partir de cette position, la forme exteme de la came (18) se définit de la manière suivante : Si on imprime au point (20) un double mouvement continu d'éloignement linéaire par rapport au point (19) et de rotation autour de ce mme point (19), on obtient une courbe (22a) qui est un segment d'une spirale ayant pour pote le point (19).

L'autre extrémité de cette courbe (22a) est un point (23) qui est le point de son intersection avec I'axe (11) et ce point (23) est distant de (19) d'une longueur (21 b).

En reportant alors cette courbe (22 a) symétriquement par rapport à I'axe (11) on obtient une autre courbe (22 b) ayant également pour pote le point (19) et qui, accotée à (22 a), forme avec elle une boucle fermée (29) qui représente le pourtour de la came (18). La caractéristique de cette boucle (29) est que si on tire une droite passant sur le pote (19) elle coupe ladite boucle (29) en deux points qui déterminent entre eux une distance de valeur constante quelle que soit la direction de la droite.

Le fonctionnement du dispositif est le suivant : Lorsque, à partir de la position de fermeture, on fait pivoter la came (18) jusqu'à amener le point (23) au contact de l'extrémité (17), on provoque un enfoncement du téton (16) d'une amplitude égale à la différence entre (21a) et (21 b).

Cela correspond à l'ouverture totale du robinet et le mouvement peut s'effectuer indifféremment dans un sens ou dans I'autre.

Toutefois, afin de respecter à la fois les usages en la matière et les normes en vigueur, il-convient de limiter la course angulaire de la came (18) à sa zone opérationnelle de 180 degrés, les mouvements respectivement d'ouverture et de fermeture s'effectuant alors en sens contraire.

Cette disposition permet en outre l'adaptation d'un dispositif de sécurite/fermeture par minuterie.

La came (18) est entraînée en rotation par un volant (26) qui, à sa périphérie, porte une languette (27) laquelle, en position de fermeture du robinet, se trouve en contact avec une butée fixe (28a).

Une rotation de 180 degrés du volant (26) dans le sens de la flèche (25) amène la languette (27) contre une autre butée fixe (28 b) diamétralement opposée à (28 a).

Le volant (26) est solidarisé avec une minuterie mécanique (33) de type courant ici figurée schématiquement. Le mouvement en ouverture arme la minuterie qui, en se détendant librement dès qu'on tâche le volant (26) entraîne celui-ci en sens contraire jusqu'à la fermeture du robinet.

Dans le mitigeur où les axes sont dans le prolongement l'un par rapport à I'autre, la pièce centrale (30) pivote autour d'un tourillon cylindrique fixe (31) et coulisse le long de ce mme tourillon dont I'axe (32) est 1'axe de symétrie des robinets.

Le volume de la pièce (30) est une enveloppe (41) délimitée par deux bases parallèles entre elles et perpendiculaires à I'axe (32). La petite base (34) est un disque dont le centre se place sur l'axe (32) et la grande (35) est une boucle de mme forme que celle de la came (18) dans laquelle le pote commun (36) se place également sur I'axe (32).

Les deux bases (34) et (35) sont à la fois parallèles entre elles et perpendiculaires à t'axe (32).

L'enveloppe (41) se définit comme suit : Si on considère dans une direction quelconque un plan (37) rattaché à I'axe (32) et qui de ce fait est perpendiculaire aux plans des bases, ce plan coupe les limites extérieures desdites bases respectivement aux points (38) pour la petite et (39) pour la grande.

Si on tire une droite (40) entre les points (38) et (39) pour obtenir un segment (40a) et que l'on fait pivoter le plan (37) de 360 degrés autour de I'axe

(32) ledit segment (40a) engendre une surface qui constitue l'enveloppe (41).

Le fonctionnement du dispositif est le suivant à partir de la position de repos ou les deux robinets sont fermés, les tétons (16 a) et (16 b) étant au contact de la petite base (34) comme le montre la figure 3.

Lorsque l'on pousse la pièce (30) vers le bas, par exemple en conservant la position angulaire de la figure 3, le téton (16 a) restera en place et t'eau froide restera fermée tandis qu'à l'issue de cette translation, le téton (16 b) sera totalement repoussé-et t'eau chaude entièrement ouverte, les positions intermédiaires déterminant le débit.

II. va de soi qu'à chacune des positions intermédiaires, on peut faire varier les proportions du mélange en faisant pivoter la pièce (30) puisqu'à un enfoncement de valeur donnée de l'une des soupapes correspond une avancée d'une valeur égale de l'autre soupape. La figure 5 montre le mitigeur en positions intermédiaires à la fois de débit et de mélange.

Les figures montrent un ensemble dans lequel l'ouverture de l'écoulement s'effectue en poussant la pièce (30) vers le bas mais l'on pourrait naturellement, sans sortir du cadre de l'invention, inverser les positions respectives des bases de manière à ce que l'ouverture s'effectue en tirant la pièce (30) vers le haut et la fermeture en la poussant vers le bas.

Dans le mitigeur où les axes des robinets sont parallèles, la pièce centrale (30) agit simultanément sur deux cames (42 a) et (42 b) disposées symétriquement par rapport à I'axe (32) et pivotant autour de tourillons fixes (43a) et (43 b) dont les axes, également symétriques par rapport à (32), sont perpendiculaires au plan dans lequel s'inscrivent les axes (32), (11a) et (11b) et qui est celui de la figure elle-mme.

Chaque came a la forme générale d'une équerre dont l'une des branches (44) se place, par son extrémité (45) au contact de l'extrémité (17) du téton (16).

Cette branche (44) est en position approximativement horizontale.

L'autre branche (46) qui est approximativement verticale et dirigée vers le haut porte, fixé sur son extrémité (47) un ergot horizontal (48) dont l'extrémité (49) se place au contact de la pièce centrale (30).

Cette pièce centrale (30), en coulissant verticalement dans le sens de l'ouverture, repousse les ergots (48) dont le recul entraîne le pivotement des cames (42) dans le sens des flèches (50). Chacune des branches (44), en appuyant sur l'extrémité (17) du téton (16) provoque alors l'ouverture du robinet correspondant.

Lorsque la pièce (30) coulisse en fermeture, la pression de t'eau provoque le pivotement des cames (42) en sens contraire ce qui maintient les extrémités (49) au contact de ladite pièce (30).

Les deux robinets jumelés forment, avec la pièce (30) une cartouche (51)

sur la face avant de laquelle se fixe une plaque (52) qui comporte deux fentes verticales (53a) et (53b) se plaçant en correspondance avec les fentes (5a) et (5b) de sortie des eaux respectivement froide et chaude. La cartouche (51) se fixe de manière amovible dans le corpsdu mitigeur lequel dans sa partie cylindrique verticale (54) comporte un trou (55) qui se place au regard de la plaque (52).

Celle-ci a une section de forme extérieure arrondie, par exemple ovale ou circulaire pour recevoir un joint logé (56) par exemple torique.

Sur cette plaque (52) qui comporte également un trou vertical (57) s'emmanche un élément creux (58) qui traverse la partie cylindrique (54) par le trou (55) pour, à l'extérieur, constituer le verseur (59).

Dans sa partie d'emmanchement sur (52), il comporte un trou vertical de mme calibre que (57) et qui se place en correspondance avec lui pour, au moyen d'une clavette (60), permettre sa fixation à la fois étanche et amovible sur la plaque (52).

Les eaux respectivement froide et chaude entrent dans les compartiments (2) par des tubes cylindriques verticaux (88) qui s'emmanchent de manière étanche sur des gaines (89) égaiement cylindriques fixées sur le fond (90) du corps et qui, à l'extérieur de celui-ci, se prolongent par les tuyaux d'alimentation (91).

Dans le mitigeur qui fait l'objet des figues 11 et 12, le fond (90) porte une plaque verticale (92) qui s'inscrit dans le plan (93) de symétrie des robinets.

Sur cette plaque et symétriquement par rapport à (93) sont fixés deux tubes borgnes horizontaux (94) dont les extrémités ouvertes (95) se placent au regard de trous (96) ménagés à la base de la partie cylindrique verticale (54).

Sur le dessus des tubes (94) et au voisinage de (92) sont branchées les gaines verticales (89) sur lesquelles s'emmanchent les tubes (88) d'alimentation de la cartouche.

Les eaux entrent dans le mitigeur par les tuyaux latéraux (97) qui, à l'intérieur de (54) s'emmanchent de manière étanche sur les tuyaux (94).

A leurs extrémités opposées les tuyaux (97) sont coudés à 90 degrés pour constituer les éléments parallèles (98) dont les extrémités se branchent sur les arrivées.

Les éléments (98) déterminent entre eux un entraxe qui peut tre régie de manière précise en faisant coulisser les tuyaux (97) à l'intérieur de (54).

On peut alors fixer et brancher le mitigeur sans recourir à des pièces excentrées de raccordement ce qui représente une économie importante.

Après fixation on ajuste le corps en position médiane et on le solidarise avec chacun des tubes (97) au moyen des vis pointeau (99) logées dans le fond (90) et disposées verticalement de manière à ce que leurs axes croisent la droite (100) qui est I'axe général des tuyaux (94) et (97). Pour une efficacité maximale

des vis (99) leurs extrémités se placent à l'intérieur des rainures longitudinales (101) ménagées sur la partie exteme des tubes (97).

'Le mitigeur sur baignoire est du type dans lequel l'ouverture s'effectue par enfoncement de la pièce centrale (30).

II est fixé sur le rebord horizontal (61) de la baignoire adjacent avec la paroi verticale (62) dans laquelle est toge le trou (63) de trop plein.

Sur la paroi (62) et en correspondance avec le trou (63) se fixe un boîtier (64) dans lequel débouche, dirigé vers le bas, le tube vertical (65) qui est relié à l'écoulement de vidange de la baignoire, ici non figuré.

Ce tube (65) se prolonge à l'intérieur du boîtier (64) par un élément de tube vertical (66) dont l'extrémité supérieure s'inscrit dans le plan horizontal (67).

Par un conduit horizontal (68) le boîtier (64) communique avec une cavité (69) placée en contrebas par rapport au plan (70) dans lequel s'inscrit le point le plus bas (71) du trou (63). Sur le fond (72) de la cavité (69) est branché un tuyau (73) qui est dirigé vers le bas et se raccorde avec le tube (65) en un confluent (74) se situant en dessous du plan de (72).

Sur le dessous de la pièce centrale (30) de commande est fixée une tige verticale (75) qui, lorsque ladite pièce (30) est enfoncée, se place, par son extrémité (76) au contact de la face supérieure (77) d'un flotteur (78) toge dans le fond de la cavité (69).

A partir de cette situation d'enfoncement de la pièce (30) le fonctionnement du dispositif est le suivant : Lorsque le niveau de remplissage atteint le plan (70) I'eau passe directement du boîtier (64) à la cavité (69) qui se remplit. Le flotteur (78) est alors soulevé et, en repoussant la tige (75) vers le haut, provoque la fermeture du mitigeur.

La cavité (69) se vidange ensuite dans le tube (65) par l'intermédiaire du tuyau (73) qui est calibré de manière à ce que le débit de vidange de la dite cavité (69) soit très inférieur à celui du remplissage de la baignoire.

La hauteur comprise entre les plans (67) et (70) est établie de manière à correspondre au volume d'eau déplacé par une personne de corpulence normale entrant dans la baignoire lorsque celle-ci est pleine.

Sur la partie horizontale du verseur (79) se place l'inverseur (80) dont le piston (81) est disposé verticalement. Dans les figures, cet inverseur est du type dans lequel la position relevée correspond à la douche et la position abaissée au bain mais il pourrait aussi, sans sortir du cadre de l'invention, tre de fonctionnement inverse.

Sur le piston (81) est fixée, dirigée vers le bas, une tige verticale (82) dont l'extrémité inférieure (83), porte un clapet (84) qui se loge à l'intérieur d'un compartiment vertical (85).

Le clapet (84) est constitué par une plaque (86) qui comporte un trou calibré (87) de manière à ce que, en position abaissée de t'invërseur, ledit trou (87) se place en correspondance avec la section intérieure du conduit (68). A contrario, dans la position relevée de l'inverseur, la plaque (86) obture le conduit (68) de manière à empcher tout écoulement vers la cavité (69).

Le clapet (84) qui vient d'tre décrit est du type à tiroir mais il va de soi que l'on pourrait, toujours sans sortir du cadre de l'invention, utiliser un clapet de type différent.