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Title:
CAROUSEL MOULDS, MOBILE MOULDS WITH FIXED STATIONS, SIMULTANEOUS INJECTIONS BEFORE BEING MADE INTEGRAL WITH MATCHING ELEMENTS AS SINGLE-PIECE CLOSURE-DRINKING STRAW FOR DRINK CONTAINERS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2001/005576
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns mould devices (A-B) and (C-D) on carousels 'ONE' and 'TWO' for simultaneous injections of matching elements, for example: a 'single-piece closure' and a 'suction straw'. The shell moulds (A-B) and (C-D) are fixed on two arms arranged on the diameter of each carousel, separated by a hub, rotating with four breaks offset on separate planes, with a converging point on their tangents, corresponding to a common alternating break, (two) and (one). Located at each of the breaks (one), with fixed stations: in low position one mould vertically mobile upwards, in high position a vertical injection station mobile downwards. The moulds (A-B) have a unilateral injection point (13a) corresponding to the horizontal injection station located in the surface area of the carousel 'ONE', enabling said common break, and by translation, to make integral by overmoulding the matching elements.

Inventors:
NATAF PAUL (FR)
Application Number:
PCT/FR2000/001095
Publication Date:
January 25, 2001
Filing Date:
April 25, 2000
Export Citation:
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Assignee:
NATAF PAUL (FR)
International Classes:
B29C45/00; (IPC1-7): B29C69/00
Domestic Patent References:
WO2000007795A12000-02-17
WO1998000280A11998-01-08
Other References:
PATENT ABSTRACTS OF JAPAN vol. 1998, no. 11 30 September 1998 (1998-09-30)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Dispositifs, en acier de préférence, constitués par des moules à coquilles sur manèges et des moules à postes fixes, pour injections simultanées d'éléments complémentaires en matière plastique, rendus solidaires par surmoulage et ou auto. soudage, comme par exemple une "Fermeture monobloc"et une"Paille d'aspiration" ; sur les deux bras disposés sur le diamètre du manège"UN", séparés par le moyeu, sont fixés au moins deux moules"A"et"B"à coquilles (5a. 5a'), et pour le manège"DEUX", au moins deux moules"C"et"D"à coquilles (5. 5'), caractérisés en ce que leurs rotations, qui s'effectuent sur des plans séparés de préférence horizontaux, sont synchronisés et coupés de quatre pauses aux emplacements décaties, mais comportant sur leurs tangentes un point de convergence qui correspond à la pause (deux) du manège"UN"et à la pause (une) du manège"DEUX", en ce que la position des bras d'un manège, se situent toujours et à n'importe laquelle des quatre pauses, dans une position perpendiculaire en regard des bras de l'autre manège, que les affrontements des coquilles des moules s'effectuent dans le sens des rotations, ou en perpendiculaire de celles. ci, ce qui définit une pause commune utilisée, en alternance, par les moules"C","A", "D"et"B"; à la; à la pause (une) de chacun des manèges, où s'effectue l'injection séparée et simultanée des éléments complémentaires ; est situé en position haute un poste fixe d'injection, capable de se mouvoir verticalement du haut vers le bas et vice. versa, pour venir aux points d'injections (13) situés sur les faces supérieures des moules à coquilles, et en position basse à poste fixe, un moule unitaire, respectivement mâle (7a) pour le manège"UN"et femelle (7) pour le manège"DEUX, capables de se mouvoir verticalement du bas vers le haut et vice. versa pour venir se mettre en affrontement avec les faces inférieures des moules à coquilles de leur manège respectif.
2. Disposifs selon la revendication 1, caractérisés en ce qu'une canule rectiligne, en acier de préférence, constitue le point d'injection horizontale (13a), logée dans des aménagements creusés unilatéralement sur la tranche des faces d'affrontement des coquilles (5a. 5a') des moules"A"et "B"du manège"UN", quand celui. ci s'effectue dans le sens du mouvement rotatoire des manèges, tandis que si cet affrontement s'effectue en perpendiculaire de leurs rotations, ce point d'injection horizontale (13a), toujours constitué par la canule rectiligne, sera aménagé par le creusement de la face arrière, de l'une des coquilles et par exemple la coquille (5a), dans l'axe de leurs affrontements et dans celui qui en découle : les éléments complémentaires devant tre rendus solidaires ; dans ces deux éventualités l'orifice interne de la canule formant le précité point d'injection horizontale vient au contact du moule unitaire môle (7a), ce qui l'obture pendant l'injection de la"fermeture monobloc"depuis le point d'injection verticale (13), en constituant un vide dans la jupe (1) mais pas autour de la canule, ce qui forme un trou dans cette jupe (1) au retrait du précité moule (7a), pour permettre la phase rendant solidaire la précitée"fermeture monobloc"avec la"paille d'aspiration"suivant la phase 2 des manèges"UN"et"DEUX" ; en fin d'injection, le trou de la jupe (1) utilisé à cet effet, est colmaté.
3. Dispositifs selon les revendications 1 et 2, caractérisés en ce que faire de rotation du manège"UN"comporte, à hauteur de sa pause (deux), et situé entre le moyeu du manège et le passage des moules"A"ou"B"à coquilles (5a. 5a'), un poste fixe d'injection, capable de se mouvoir d'arrière en avant et vice. versa pour pénétrer leur point d'injection horizontale (13a), après le départ de la pause (une) du manège"DEUX"des moules"C"ou"D"à coquilles (5. 5'), utilisés pour l'injection de 1'ensemble formant cette"paille d'aspiration", et !'arrivée du précité moule"A"ou"B"à cette pause commune, mais une fois que le moule unitaire femelle du manège"DEUX"soit remonté de sa position basse avec la précité"paille d'aspiration"pour venir en affrontement avec les moules"A"ou"B", retenant entre leurs coquilles (5a. 5a') I'ensemble formant la"fermeture monobloc"injectée à la pause (une) du manège"UN", avec le concours du moule unitaire mâle (7a), ce qui définit le mouvement de translation, le surmoulage rendant solidaire les deux éléments complémentaires injectées séparément et simultanément, ce surmoulage pouvant tre un complément à l'auto. soudage de ces éléments lors de I'affrontement de leurs moules respectifs c'est à dire le moule à coquilles"A ou "B"et le moule unitaire femelle (7).
4. Dispositifs selon la revendication1 caractérisés, en ce que le moule unitaire femelle (7) et le moule"C"ou"D"à coquilles (5. 5') sont mis en affrontement, en définissant entre eux 1'espace d'injection d'une"paille d'aspiration", les précités moules comportent des aménagements pour l'injection d'éléments complémentaires leurs permettant d'tre rendus solidaires d'une"fermeture monobloc"pour capacitaires avec boissons plates ou lactée ; la face d'affrontement du moule unitaire femelle (7) située dans une zone à diamètre (R) réduit à partir de I'aplat (a), est creusé à l'identique sur son diamètre de deux canaux (C) séparés, ayant leurs débouchés latéraux au contact des parois circulaires du moule"C"ou"D"en position d'affrontement, I'ensemble représenté en coupe longitudinale par la coquille (5), et en coupe restreinte et aussi transversale par les coquilles (5. 5') ; ces dernières comportent chacune, sur leur face inférieure et terminale, deux saillies identiques (5") (5") séparées longitudinalement ; en affrontement ces saillies se réunissent en deux blocs (5". 5"), toujours séparés sur le diamètre et qui, latéralement sont inférieures à 1'espace entre les parois verticales des canaux (C), mais situées à l'aplomb des précités canaux (C) ; lors de l'affrontement entre le moule femelle (7) remontant et le moule"C"ou"D"à coquilles (5. 5'), les canaux (C) du précité moule (7) viennent envelopper chacun des blocs (5". 5") des saillies du moule"C"ou"D"à coquilles (5. 5') tout en aménagent entre les précités blocs (5". 5") deux espaces d'injection limités par les parois verticales des précités canaux (C), ce qui définit les membranes parallèles (M'), I'injection s'effectuant depuis le point double d'injection verticale (13) situé à partir des faces supérieures terminales et dans l'affrontement des coquilles (5. 5') ; la séparation des canaux (C) du moule unitaire femelle (7), est provoquée par la présence de l'un des éléments connus qui sont, et pour une meilleure compréhension ci. après énumérés, et à savoir : un tunnel central cylindique longitudinal (12), avec lequel les canaux (C) communiquent par les ouvertures verticales pratiquées au travers de la paroi du tunnel (12) et visibles en pointillés verticaux sur l'agrandissement de la FIG. 13, qui tient un rôle d'élément femelle traversé coaxialement par un tube creux central (12a), qui tient un rôle d'élément mâle d'injection, et plus long que le tunnel (12) et d'un diamètre inférieur à celui. ci, de manière à créer un espace d'injection et définir un tube cylindrique interne (16a), le tunnel (12) est solidaire de l'élément femelle (7), lui. mme solidaire d'une pièce de soutien (7') comportant des vérins (7"), la pièce de soutien est creusée d'une cavité circulaire par laquelle est fixée la partie inférieure du tube creux central (12a) avec l'autre extrémité fermée, et fait saillie du tunnel (12), pour pénétrer dans un tunnel identique provenant du creusement d'un demi. tunnel vertical sur chacune des faces d'affrontement des coquilles (5. 5'), pour définir 1'espace d'injection de la tubulure saillante (16), le refroidissement du tube central (12a) est obtenu par un liquide, de l'eau par exemple, amené par un tube (4) relié au tube central (12a), et dans lequel tube (4) est logé un tube (4a) au diamètre permettant une circulation du liquide de refroidissement tout autour, et qui est relié à une canule rectiligne (4b), logée dans le tube central (12a), en étant espacé de celui. ci de manière à permettre une circulation, figurée par les flèches directionnelles, du liquide de refroidissement.
5. Dispositifs selon les revendications de 1,2 et 4, caractérisés en ce que le moule unitaire mâle (7a) et le moule"A"ou"B"à coquilles (5a. 5a') sont en affrontement, en définissant entre eux 1'espace d'injection d'une "fermeture monobloc" ; les précités moules comportent les aménagement complémentaires devant leurs permettre de se rendre solidaire d'une"paille d'aspiration"pour capacitaires avec boissons plates ou lactée ; le moule unitaire mâle (7a) est creusé à l'identique sur ses faces horizontales d'affrontement, de deux cavités (2a), avec un fond (C'), le précité moule (7a) est associé au moule"A"ou"B"représenté par sa coquille (5a), tous les deux sont figurés en coupes longitudinales et transversales ; les pointillés horizontaux délimitent les faces horizontales à partir desquelles ont été creusées les précitées cavités (2a) à fonds (C') qui ne communiquent pas entre elles, et ont leurs ouvertures latérales limitées par la partie de la surface horizontale d'affrontement du précité moule (7a) qui n'a pas été creusée, et occupe provisoirement, deux espaces d'injection ( (2a') tandis que dans sa partie cylindrique longitudinale, le précité moule (7a), vient au contact de l'orifice du point d'injection (13a) en saillie de la face interne des coquilles (5a. 5a') et en ferme provisoiremen son orifice, tout en occupant annulairement un espace d'injection dans celui de la jupe (1), ce qui définit le trou aménagée à travers la paroi de la précitée jupe (1) ; les précitées coquilles (5a. 5a') forment, en affrontement, un puits circulaire avec différents diamètres, en rapport avec les diamètres du moule unitaire mâle (7a), incluse sa partie proéminente qui les pénètre, en définissant entre eux, et à partir du point d'injection (13), les éléments nouveaux selon l'invention, et les éléments connus d'une"Fermeture monobloc"et à savoir : la partie fermée (4) du capuchon (3) lequel comporte deux artes verticales ( (3') se logeant dans des creusements aménagés sur les faces d'affrontement des coquilles (5a. 5a'), mais peuvent tre disposées d'une manière nouvelle à partir de creusements effectués dans le fond de chacune des précitées coquilles (5a. 5a') et dans I'axe de leurs affrontements, la ligne circulaire (19) de moindre épaisseur à faiblesse contrôlée, délimite les élément inamovibles de la"Fermeture monobloc", depuis la partie inférieure du capuchon (3), qui se prolonge par une partie couvrante (2) prolongée des appendices (2a) injectés dans les cavités (2a) du moule unitaire mâle (7a) venu en affrontement avec les coquilles (5a. 5a') des précités moules"A"ou"B", avec le point d'injection horizontale (13a) constituée de la canule rectiligne dont l'orifice est obturé par le précité moule (7a) venant en affrontement, en occupant annulairement une parttie de 1'espace d'injection, ce qui définit une jupe (1), prolongeant la partie coiffante (2), et son trou obtenue par l'injection qui s'effectue autour de la partie en saillie interne de la précité canule du point d'injection horizontale (13a) ; une fois le précité moule (7a) retourné à sa position basse et le moule "A"ou"B"rejoignant sa pause (deux)"pour tre mis en affrontement, par et avec le précité moule femelle (7) revenant de sa position basse avec la"paille d'aspiration"libérée du moule à coquilles"C"ou"D", et rendre solidaires les éléments complémentaires dépendants de la"fermeture monobloc"et de la "paille d'aspiration"par surmoulage, depuis le précité poste fixe d'injection situé à hauteur de la pause (deux), dans faire du mouvement rotatoire du manège"UN", jpar le point d'injection horizontale (13a) du moule"A"ou"B".
6. Dispositifs selon les revendications de 1,2,4 et 5, caractérisés en ce que pour réaliser une"fermeture monobloc", pour capacitaires avec boissons gazeuses pouvant recevoir une"paille d'aspiration", le moule"A"ou "B"à coquilles (5a. 5a'), qui est représenté en coupe longitudinale par sa coquille (5a), en affrontement avec le moule unitaire môle (7a) représenté en coupe longitudinale restreinte, et conjointement, en coupes transversales où l'on retrouve en cercles homocentrés, les éléments des Figures 9 et 13, comportent unilatéralement sur la tranche des faces d'affrontement des précitées coquilles (5a. 5a') le point d'injection horizontale (13a) précédemment décrit ; ces coquilles (5a. 5a') forment, en position d'affrontement, un puit circulaire avec différents diamètres, en rapport avec les diamètres du moule unitaire mâle (7a), incluse sa partie proéminente qui pénètre les précitées coquilles (5a. 5a'), en définissant entre eux, à partir du point d'injection (13), les éléments connus et nouveaux et à savoir : la partie fermée (4) du capuchon (3) lequel comporte deux artes saillantes et verticales (3') pouvant tre disposées des différentes manières précédemment décrites, et une ligne circulaire de moindre épaisseur (19), une partie couvrante (2'), suivie d'une autre partie couvrante (2), pour se terminer par une jupe (1) avec un trou obtenu et disposé selon les explications précédemment données ;.
7. Dispositifs selon les revendications 1,2,3,4 et 6, caractérisées en ce que le moule unitaire femelle (7) venant en affrontement avec un moule "C"ou"D"à coquilles (5 (. 5') pour obtenir une"paille d'aspiration"rendue solidaire avec"une fermeture monobloc"pour capacitaires contenant une boisson gazeuse, le moule unitaire femelle (7), comporte superposées, deux zones à partir des aplats (a) et (a') deux zones successives à diamètres décroissants : (R) et (R') cette dernière à une face d'affrontement creusées à l'identiques sur son diamètres de deux canaux (Ca), ayant leur débouché central sans communication entre eux et sont recouvert par la face inférieure d'affrontement du moule"C"ou"D", représenté part la coquille (5), qui pénètre dans la moitiée supérieure des précités canaux (Ca) et ferme à moitié leurs débouchés latéraux en laissant libre, entre la paroi (R) et I'aplat (a') un espace d'injection prolongeant ainsi les canaux (Ca), en créant dans cette zone centrale supérieure, deux espaces d'injection pour définir dans chacun des canaux (Ca), dont ne figurent que les parois, une membrane (M') qui occupe toute la hauteur des précités canaux, limités par le cercle de la zone à diamètre (R') rétréci, tandis que la membrane (M") repose sur I'aplat (a') situé entre le premier et le deuxième cercle représentant respectivement les zones des diamètres rétrécies (R) et (R'), ce dernier cercle est, par intermittence, remplacé par des pointillés qui montrent que la zone du deuxième diamètre (R') rétréci, se situe bien à partir de I'aplat (a') sur lequel est injectée la membrane (M") ; les parties connues du moule ( (5. 5') sont les mmes que celles mentionnées et expliquées à la revendication 4, ainsi qu'en complément la création de la fine lamelle circulaire (L), obtenue par un creusement ; à cet effet on creuse horizontalement une fine ouverture en arc de cercle des moules"C"et"D", la paroi du le tunnel (12) est creusée d'ouvertures situées au mme niveau que celles en arc de cercle des précités coquilles (5. 5'), dans ce tunnel (12) se situe coaxialement un tube creux (12a) fermé à son extrémité supérieure, dont le diamètre plus petit que celui du tunnel (12) definit une tubulure saillante (16) d'où part circulairement la fine lamelle (L), on reconnait les autres éléments connus et à savoir : la canule (4) d'un diamètre plus petit, du circuit de refroidissement, situé sans les toucher entre la parois interne du tube creux (12a), la tubulure saillante (16) avec son prolongement interne (16a), le tunnel (12), avec les ouvertures en pointillés verticaux qui donnent sur les nouveaux canaux (Ca, après l'injection de cette "paille d'aspiration", et ouverture des coquilles (5. 5') pour permettre la descente à sa position basse du précité moule femelle (7) avec la"paille d'aspiration", le moule"A"ou"B"à coquilles (5a. 5a') du manège"UN"vient à sa pause (deux), ce qui permet au précité moule (7) de remonter avec la "paille d'aspiration"pour venir en affrontement avec les faces inférieures du moule"A"ou"B"à coquilles (5a. 5a') tout en y faisant pénétrer sa zone à diamètre (R) rétrécie jusqu'à son aplat (a), le précité moule (7) vient circulairement en affrontement avec la partie supérieure de la jupe (1), en laissant libre les espaces d'injections (2a'), tout en aménagent entre eux, un espace circulaire d'injection (2a"), constitué entre sa partie la plus étroite et la paroi interne de la précitée jupe (1), ce qui permet de relier entre eux les deux espaces d'injection (2a') ; le poste d'injection horizontale, situé dans faire de rotation du manège"UN", vient pénétrer le point d'injection horizontale (13a).
8. Dispositifs selon les revendications1, et 5 à 7, caractérisés en ce que la"paille d'aspiration"peut très bien tre injectée longitudinalement plus grande que l'intérieur du capacitaire auquel elle est destinée, et notamment en utilisant de préférence un matériau de la mme famille que les polyéthylènes et ou polypropylènes, ainsi que pour la"fermeture monobloc", dans la mesure où ces matériaux permettent d'une part, de rendre solidaires par surmoulage et éventuellement compléter leur auto. soudage, de la"paille d'aspiration"avec la"fermeture monobloc", et d'autre part pour cette dernière, d'tre rendue solidaire de la paroi du goulot (15) d'un capacitaire en matière plastique, par soudage ou serrage thermique par exemple ou pour cette dernière, tre applicable au goulot d'un capacitaire en verre, ou toutes matières susceptibles de pouvoir tre obturées par ce dispositif"fermeture monobloc. paille d'aspiration" ;.
9. Dispositifs selon les revendications 1,5 et 6, caractérisés en ce que le fond de chaque coquille (5a et 5a') des moules"A"ou"B", sont creusés à l'identique d'une tranchée verticale étant longitudinalement de la mme dimension que le capuchon (3), en dessous de sa partie coiffante (4) et au dessus de sa ligne circulaire de moindre épaisseur (19) ; I'affrontement entre le moule"A"ou"B"et le moule unitaire mâle (7a), aménage entre eux un espace d'injection, qui définit, entre autres, des artes verticales et saillantes (3'), disposées à 180° dans le sens perpendiculaire à celui de l'affrontement des coquilles (5a. 5a') des précités moules"A"ou"B".
10. Procédés de réalisation d'artes verticales et saillantes selon les revendications 5,6, et 9, caractérisés en ce qu'au moins deux artes verticales et saillantes (3') sont disposées à 180° dans le sens de I'affrontement des coquilles du moule utilisé sur l'un des éléments connus constituant une capsule de fermeture (20) classique et à savoir : la jupe (3) comportant dans sa partie inférieure une ligne circulaire de moindre épaisseur (19), et sur sa face interne un filetage spirolé (21), la capsule (20) est fermée en sa partie terminale supérieure (4) d'où part son injection ; la jupe (3) peut comporter également, ou à la place, des artes verticales et saillantes (3") représentés en pointillés parallèles et verticaux, et disposées à 180° en perpendiculaiure du mouvement d'affrontement des coquilles du moule utilisé, enfin la jupe (3) peut, tout à la fois, tre filetée spirolée sur ses deux faces, I'une ou l'autre de ses dispositions ne constituent pas une gne ou un obstacle à la formation des artes qu'elles soient disposées par deux à 180° dans le sens de I'affrontement des coquilles ou en perpendiculaire à cet affrontement, étant parties intégrantes de la jupe (3), à l'instar des artes verticales et saillantes du capuchon également (3) d'une"fermeture monobloc" ; elles peuvent en respectant ces dispositions et en utilisant quatre artes verticales et saillantes disposées alors à 90° l'une de l'autre.
11. Procédés de réalisation d'un point d'injection horizontale selon la revendications 2, caractérisés en ce que celui. ci est constitué par une canule rectiligne au diamètre uniforme, en acier de préférence, qui est longitudinalement infimement supérieure à chacun des tunnels semi. cylindriques et identiques, creusés unilatéralement et horizontalement à partir de la tranche frontale des coquilles (5a. 5a') des moules"A"et"B"du manège "UN", de manière à former, lors de leurs affrontements, un tunnel cylindrique comportant à l'intérieur la précitée canule qui vient sensiblement en saillie de la face interne de chacune des précitées coquilles (5a. 5a') ; à cet effet on dispose le demi. diamètre longitudinal de la canule sur la paroi de l'un des tunnels semi. cylindriques de l'une des coquilles, par exemple la coquille (5a) et on les rend solidaires par soudage, de préférence au laser ; lors de l'affrontement des coquilles (5a. 5a') des moules précités, qui devra tre total et sans faille, I'autre demi. diamètre longitudinal de la canule vient se loger dans le tunnel semi. cylindrique de la coquille (5a') pour en épouser les contours et former le point d'injection horizontale (13a) ; pour le cas où l'affrontement des coquilles des moules des manèges devrait s'effectuer en perpendiculaire des mouvements rotatoires, il est évident que le tunnel serait toujours et de préférence cylindrique, mais creuser uniquement à partir de la face arrière de la coquille (5a) donnée pour exemple, des moules"A"et"B".
Description:
Moules en manèges, moules mobiles à postes fixes, d'injections simultanées avant solidarisation, d'éléments complémentaires comme une Fermeture monobloc-Paille d'aspiration pour capacitaires avec boissons.

Depuis le Brevet français n°98.09983 du 4 Août 1998, PCT/FR/01925 (WO 00/07795), il est connu que la tubulure interne et saillante qui constitue la"paille d'aspiration"d'un Flacon-Chalumeau, suivant le Brevet français n°96.08141 du 28 Juin 1996 (PCT/FR/97/01162 (WO 98/00280) passe par l'intérieur du goulot, solidarisé avec la paroi interne de celui-ci.

Suivant ce mme brevet français du 4 Août 1998, il est également connu d'utiliser un dispositif de fermeture inamovible, prolongé d'un capuchon amovible, pour obturer simultanément le goulot et l'orifice de la partie saillante de la tubulure d'un flacon-chalumeau Jusqu'à ce jour, ce dispositif de fermeture obture inamoviblement le goulot, et d'une manière amovible la partie saillante de la tubulure interne du Flacon-Chalumeau dans lequel elle est intégrée, rendant interdépendants ce dispositif de fermeture et ce type de Flacon-Chalumeau, ce qui restreint son champ d'application.

La présente invention permet entre autres, une extension d'utilisation aux capacitaires venus d'extrusion-soufflage, et qui ne peuvent, pour des raisons techniques évidentes, avoir une tubulure interne et saillante, sans l'obligation de matricer longitudinalement, dans un moule à coquilles la paraison extrudée (Voir le Brevet français n°1453848 du 24 Mars 1965, et ses Additions n°88.270 du 5 Juin 1965, n°93.060 du 22 Octobre 1966 et n°95.492 du 18 Mars 1968). Ainsi qu'aux capacitaires obtenus par l'injection-soufflage d'une préforme du type"éprouvette"qui, pour des raisons techniques différentes, ne peuvent avoir une tubulure interne et saillante, (Voir le Brevet français du 28 Juin 1996) obstacle à l'élongation de cette préforme si le matériau thermoplastique injecté est un Polyéthylènetéréphtalate (PET) difficilement étirable pour l'allonger et I'amincir (Bi-Orientation).

Contrairement à son Brevet français du 4 Août 1998, où la tubulure injectée dans ce qui devient le corps du Flacon, est rendue solidaire avec la paroi interne de son goulot, le demandeur dans le cadre de la présente

invention injecte notamment et simultanément, à partir de manèges, la fermeture inamovible prolongée d'un capuchon amovible, avec une tubulure notamment injectée, qui comporte des aménagements venant en complément avec ceux de la partie inamovible de la précitée Fermeture, ce qui permet de les rendre solidaires par surmoulage notamment. Les différentes solutions représentées sur les Figures à l'appui de la présente invention sont susceptibles de se combiner entre elles et peuvent s'appliquer indifféremment à un ensemble destiné à un capacitaire contenant une boisson plate, lactée ou bien encore gazeuse ; ce qui amène le demandeur à faire l'impasse sur des Figures, notamment en ce qui concerne l'autre disposition possible des artes saillantes 3', celles utilisées étant suffisantes pour comprendre la présente invention.

La présente invention permet, entre autres, d'installer une tubulure plus longue que l'intérieur du capacitaire, avec un matériau ayant des qualités de souplesse, pouvant se courber en rejoignant son fond Dès sa fermeture il se transforme en"flacon-chalumeau", avec les avantages suivants : a)-Ces dispositifs peuvent tre utilisés indifféremment avec des capacitaires obtenus par injection-soufflage, extrusion-soufflage, en carton plastifié, métallique, ainsi qu'en verre. b)-Ces dispositifs permettent l'utilisation d'un matériau thermostatique différent pour la tubulure et par exemple de la famille des Polyolefines, que celui utilisé éventuellement pour l'obtention du capacitaire, les seuls critères à retenir sont la compatibilité de cette tubulure, avec la boisson dans laquelle elle se trouve immergée ; quant à la partie saillante de cette tubulure, elle est protégée du milieu extérieur par le capuchon amovible du dispositif de fermeture inamovible qui peut tre également en un matériau de la mme famille par exemple, répondant aux mmes critères. c)-Ces dispositifs n'interviennent pas dans la technique choisie pour l'obtention des capacitaires, donc du matériel de mise en oeuvre qui n'a à subir aucune modification. d)-Ces dispositifs permettent de dégager une partie d'une production déterminée, pour la transformer en"flacons-chalumeaux"sans répercussion sur son coût, et sans perturber sa cadence de fabrication.

Par commodité pour les explications à l'appui des Figures choisies pour la présente invention, le demandeur désignera l'ensemble de la tubulure interne et saillante simplement par : "la paille d'aspiration"", il en sera de mme pour la fermeture inamovible prolongée d'un capuchon amovible, qui sera simplement désignée par :"la fermeture monobloc".

Pour les références des éléments constitutifs, aussi bien des moules, de"la paille d'aspiration"ou de"la fermeture monobloc", le demandeur reprendra, dans la mesure du possible, les mmes références que celles utilisées dans les deux brevets français des 28 juin 1996 et 4 Août 1998 déjà mentionnés.

Pour l'utilisation des techniques de refoidissement et des aménagements internes de certains moules, le demandeur en fera l'évocation, en se référant à son brevet PCT/FR/97/01162 du 30Juin 1997.

Certains éléments constitutifs des moules, au contact de la matière injectée, pourront tre revtus d'une matière anti-adhésive comme par exemple le Poiyététrafiuoréthylène, suivant son Brevet français n°1.505.492 du 15 Janvier 1963.

Dans le cadre de la présente invention le demandeur revendique les applications nécessitant l'utilisation de deux manèges permettant des injections simultanées d'éléments complémentaire et rendus solidaires, dans également de nombreux domaines industrielles, comme par exemple dans l'industrie électrique, électronique ou encore et par exemple celui de I'automobile, évitant ou limitant des opérations d'assemblage.

Suivant la présente invention, le demandeur utilise un double Manèges"UN"et"DEUX", schématisé par les Figures 1 et 2 pour expliquer le processus de fabrication qui comprend quatre phases.

Chaque manège comporte sur son diamètre deux bras, séparés par un moyeu central de rotation, sur lesquels sont installés, au moins un moule à coquilles A et B pour le manège"UN"et C et D pour le manège"DEUX", de préférence en acier comme les manèges, leurs circuits rotatoires s'effectuent avec quatre pauses aux emplacements décaties, sur des plans séparés, mais comportent sur leurs tangentes un point de convergence.

Les bras de chaque manège se caractérisent pour se trouver, à n'importe laquelle des quatre pauses, toujours dans une position perpendiculaire en regard des bras de l'autre manège Cette particularité permet à ces Moules à coquilles, ayant une pause commune de ne jamais y tre en mme temps, celle-ci étant utilisée en alternance par les moules de chaque manège. Le sens de la rotation des manèges est arbitraire et n'influe pas sur la portée de l'invention.

L'affrontement des moules à coquilles représentés s'effectuent dans le sens de la rotation des manèges, mais peut aussi s'effectuer en perpendiculaire de celle-ci ; ce qui amènera aux aménagements creusés initialement à partir des faces d'affrontement des coquilles des moules, de I' tre à partir de la face arrière des ou d'une de ces coquilles, et dans I'axe de leurs affrontements.

Eléments à Postes fixes dépendants du manège"UN" à la pausel, un poste d'injection verticale (non figuré) situé en position haute capable avec un vérin, de descendre au point d'injection 13 situé sur la ligne d'affrontement supérieure du Moule à coquilles A (ou B), suivant les Figures 6 ou 11.

-à la pause1, mais situé en position basse (non figurée), le moule unitaire mâle 7a, caractérisé pour avoir une partie femelle, est capable de se mouvoir verticalement avec un vérin, pour venir en affrontement par sa face supérieure, avec la face inférieure des moules A (ou B), en aménagent un espace d'injection ce qui définit la"Fermeture-monobloc", suivant les mmes Figures. 6 ou 11.

-a la Pause2, en position médiane (non figurée) dans I'aire de révolution du manège, un poste d'injection horizontale et perpendiculaire au passage des Moules A ou B, capable avec un vérin semblable, de venir au point d'injection 13a constitué d'une canule rectiligne, en acier de préférence, logée dans des aménagements creusés unilatéralement sur les faces d'affrontement des coquilles 5a 5a'des moules précités, cette canule a son orifice interne en saillie qui est obturé temporairement par le moule mâle 7a, suivant les Figures 6 et 11.

Éléments à Poste Fixe dépendants du manège"DEUX" -a la pausel, un poste d'injection verticale de préférence double, situé en position haute (non figuré), capable avec un vérin semblable, de descendre aux points d'injection 13 aménagés sur les faces supérieures d'affrontement des coquilles 5 et 5'des moules C ou D, suivant les Figures 3 et 13.

-a la Pausel mais situé en position basse (non figuré), un moule femelle 7 caractérisé pour avoir une partie mâle, capable de se mouvoir verticalement avec un vérin identique, pour venir en affrontement par sa face supérieure, avec la face inférieure des moules C ou D suivant les mmes Figures 3 et 13 en aménagent entre eux un espace d'injection, ce qui définit la"paille d'aspiration" PROCESSUS D'INJECTIONS SIMULTANÉES Manège UN. Phase 1 A la pause 1 d'injection, le moule A, coquilles en affrontement, reçoit le moule mâle 7a remontant de sa position basse, tandis que le moule B est à la pause 3. Après l'injection de la"fermeture monobloc"le moule male 7a revient à sa position basse ce qui libère l'orifice interne du point d'injection horizontale (13a), laissant le produit d'injection entre les coquilles toujours en affrontement du moule A.

Manège DEUX. Phase 1 A la pause 1 d'injection, le moule C, coquilles en affrontement, reçoit le moule femelle 7 remonté de sa position basse, tandis que le moule D est à la pause 3. Après injection de la"paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactées, le moule femelle 7 revient à sa position basse, mais avec la "paille d'aspiration", pour permettre aux coquilles 5 et 5'du moule C qui comportent une partie venue s'insérer dans le moule femelle 7 de ne plus tre en affrontement Alors que pour ces mmes moules C et D en mme position, mais pour"une paille d'aspiration"pour boissons gazeuses, il faut d'abord que les coquilles 5 et 5'cessent leur affrontement pour pouvoir amener le moule femelle 7 à sa position basse avec la"paille d'aspiration" ; certains éléments utilisés pour l'injection peuvent tre revtus d'une matière anti- adhésive.

Manège UN. Phase 2 De la pause 1 le moule A va à la pause 2, tandis que le moule B de la pause 3, avec ses coquilles ouvertes va à la pause 4.

Manèges UN et DEUX. Phase 2 Parallèlement au moule A du Manège UN, le moule C du manège DEUX quitte la pause 1 pour la pause 2, tandis que le moule D va à la pause 4. Cette translation simultanée, permet au moule femelle 7 du manège DEUX en poste fixe à la pause 1, toujours avec la"paille d'aspiration", de remonter en position haute et de pénétrer dans le moule A de"la fermeture monobloc", limité par I'affrontement de sa face terminale supérieure, avec la face terminale inférieure du moule A du manège UN, ce qui permet depuis le poste fixe d'injection situé dans son aire de rotation, d'injecter de la matière plastique par le point d'injection horizontale 13a, à travers le trou obtenu dans la jupe, autour de l'orifice en saillie, de la canule rectiligne qui constitue le point d'injection horizontale (13a), qui n'est plus obturé, depuis le départ du moule mate 7a. Dans certaines circonstances les éléments complémentaires injectées, peuvent aussi tre rendus solidaires, en complément du surmoulage, par auto-soudage.

Manège UN. Phase 3 De la pause 2, le moule A, avec l'ensemble"fermeture monobloc- paille d'aspiration", va à la pause 3, tandis que le moule B qui a quitté la pause 4 vient à la pause 1 d'injection, pour recommencer le processus effectué par le moule A à la Phase 1.

Manège DEUX. Phase 3 De la pause 2, le moule C va à la pause 3, avec à nouveau les coquilles en position d'affrontement, tandis que le moule D quitte la pause 4 et vient à la pause 1 d'injection, pour recommencer le processus effectué par le moule C à la Phase 1.

Manège UN et DEUX. Phase 4 Alors que le moule D, coquilles ouvertes, du manège DEUX quitte la pause 1 pour la pause 2, ce qui permet au moule femelle 7 du manège DEUX en poste fixe à la pause 1 avec"la paille d'aspiration", de refaire le processus déjà effectué avec le moule C à la Phase 2, ce dernier allant à la

pause 4. Simultanément le moule B quitte la pause 1 pour venir à la pause 2 du manège UN, et effectue le mme processus que le moule A, quand celui-ci était à la pause 2. Quant au moule A, il quitte la pause 3 pour venir à la pause 4 où ses coquilles s'ouvrent pour libérer I'ensemble"fermeture monobloc- paille d'aspiration"pour le diriger par un dispositif de translation (non figuré) vers les postes de conditionnement et de fermeture avec les protections d'hygiène qui s'imposent et qui sont multiples et connues.

Pour les différents mouvements décrits avec les manèges UN et DEUX selon l'invention, le demandeur tient compte du cycle d'injection le plus long, pour que les vitesses de rotation des manèges qui peuvent tre différentes, fassent coïncider les pauses des Moules A et B, lors de leur collaboration d'injection avec le moule mâle 7a, ou le moule femelle 7, ainsi que pour l'injection horizontale. Pour ce faire, on effectuera l'automatisation et la régulation des cycles de fabrication à I'aide d'un ordinateur, ainsi que la surveillance par thermorégulateur, des températures d'injection et du circuit de refroidissement, visualisés sur écran avec tableau de contrôle, suivant une technique connue et utilisée, notamment dans la fabrication par injection- soufflage de capacitaires à partir de préformes, aussi bien en cycle chaud qu'en cycle froid.

Le point d'injection horizontale 13a est constitué par une canule rectiligne, en acier de préférence (non figurée), longitudinalement supérieure à chacun des demi-tunnel semi-cylindriques creusés unilatéralement sur la tranche frontale des coquillers 5a 5a', suivant la technique décrite dans le Brevet français du 28 Juin 1996, de manière à former en affrontement un tunnel cylindriqsue, en tenant compte du diamètre extérieure de cette canule, qui est disposée dans le fond de l'un des précités demi-tunnels, I'ensemble est soudé au laser de préférence ; lors de l'affrontement des coquilles 5a 5a', qui doit tre sans faille, I'autre demi-tunnel de l'autre coquille, vient s'emboiter autour de l'autre moitiée longitudinale de la canule, et former un tunnel dont l'orifice en saillie interne est obturé par la présence du moule unitaire mâle 7a, en créant un vide dans 1'espace d'injection de la jupe de la"Fermeture- monobloc", provoqué par la présence de cette partie de la canule autour de cette jupe qui comporte alors un trou, ce qui permet après le remplacement du

moule mâle 7a par le moule femelle 7, une injection à travers le trou (non référencé) de cette jupe, qui aura sa face interne colmatée en fin d'injection.

Le capuchon amovible de la fermeture inamovible suivant le Brevet français du 4 Août 1998, comporte deux artes verticales en saillie 3', obtenues par des aménagements creusés sur les faces d'affrontement des coquilles 5a et 5a'. Dans le cadre de la présente invention, les artes 3' viendront de deux tranchées verticales, creusées à l'identique dans fond de chacune des coquilles 5a et 5a', en perpendiculaire de leurs affrontements, pour qu'elles ne fassent pas obstacles à leurs ouvertures, compte tenu de leurs excroissances verticales relativement importantes. Pour la facilité des dessins et la clarté des Figures, les artes 3', qui n'ont aucune influence sur les dispositifs se rapportant au surmoulage des éléments complémentaires permettant de les rendre solidaire, sont représentées commes celles du Brevet ci-dessus mentionné, alors que ces artes 3'devraient tre représentées sur la tranche par des pointillés verticaux, en coupant, longitudinalement en deux, la représentation du capuchon 3 des Figures : 6,8, 11 et 17, et de surcroit la tubulure saillante 16 pour les Figures 21,22 et 23., mais qui est mis en évidence sur la Figure24, qui ne nécesite pas, et pour cause, de tubulures d'aspirations ni d'éléments complémentaires.

Les dessins annexés, donnés à titre d'exemples non limitatifs, permettront de mieux comprendre la présente invention.

Les Figures 1 et 2 sont une représentation schématisée des Manèges UN et DEUX selon l'invention, leurs processus ayant été expliqués précédemment.

-La Figure 3 représente la coupe longitudinale de la"paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactées et la coquille 5 du moule d'injection fixé amoviblement à un moule femelle 7 capable de se mouvoir verticalement au moyen au moins d'un vérin.

-La Figure 4 est la coupe longitudinale restreinte du moule femelle 7 et des coquilles 5 et 5'avec les puits aménagés, suivant la ligne A A de la Figure 3.

-La Figure 5 est la coupe transversale des coquilles 5 et 5'du moule d'injection, et du moule femelle 7, suivant la ligne B B de la Figure 3

-La Figure 6 représente la coupe longitudinale d'une"fermeture monobloc"pour boissons plates ou lactées et la coquille 5a du moule d'injection fixé amoviblement à un moule mâle 7a, pouvant se mouvoir verticalement au moyen au moins d'un vérin.

-La Figure 7 est une coupe restreinte des coquilles 5a et 5a'et du moule 7a, suivant la ligne C C de la Figure 6.

-La Figure 8 représente la coupe longitudinale la"fermeture monobloc"avec la coquille 5a de la Figure 6, et celle restreinte de la"paille d'aspiration"et du moule femelle 7 de la Figure 3, -La Figure 9 est une coupe restreinte des coquilles 5a et 5a'et du moule femelle 7, suivant la ligne D D de la Figure 8.

-La Figure 10 est la coupe transversale de l'ensemble des Moules de la figure 8, suivant la ligne E E de la Figure 9.

-La Figure 11 est la coupe longitudinale d'une"fermeture monobloc"pour boissons gazeuses, de la coquille 5a du moule d'injection, fixé amoviblement au moule mâle 7a représenté sans sa partie terminale inférieure, identique à celle de la Figure 6.

-La Figure 12 est la coupe transversale des coquilles 5a et 5a', et des autres éléments de la Figure 11, suivant la ligne F F de la Figure 11. En pointillés verticaux et circulaires, les éléments de la Figure 16, installés sur la Figure 17, vus par en dessous.

-La Figure 13 est la coupe longitudinale restreinte d'une"paille d'aspiration"pour boissons gazeuses, et de la coquille 5 du moule d'injection, ainsi que celle du moule femelle 7 identique à celle de la Figure 3.

-La Figure 14 est la coupe transversale des coquilles 5 et 5'et des éléments inclus, suivant la ligne G G de la Figure 13.

-La Figure 15 est la coupe longitudinale des coquilles 5 et 5'et du moule femelle 7 avec les éléments inclus, vue à partir de la sécante de la ligne H H de la Figure 14.

-La Figure 16 est la coupe longitudinale de la"paille d'aspiration" pour boissons gazeuses, ainsi que celle du moule femelle 7 représenté sans sa partie inférieure, identique à celle de la figure 3.

-La Figure 17 est la coupe longitudinale restreinte de"la paille d'aspiration", ainsi que celle du moule femelle 7, de"la fermeture monobloc", et de la coquille 5a de la figure 11.

-La Figure 18 est la coupe transversale suivant la ligne i i de la Figure 17, représentant les deux coquilles 5a et 5a'et le moule 7, avant de rendre solidaire, par surmoulage, la"fermeture monobloc"avec"la paille d'aspiration".

-La Figure 19 est la mme représentation que celle de la Figure 18, mais après le surmoulage des éléments rendant solidaire"la fermeture monobloc"avec"la paille d'aspiration", et qui peut aussi tre un complément à I'auto-soudage pouvant tre obtenu, lors de la mise en affrontement des moules de la Figure 17.

-La Figure 20 est la coupe longitudinale, d'un ensemble"fermeture monobloc-paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactées.

-La Figure 21 est la coupe longitudinale, d'un ensemble"fermeture monobloc-paille d'aspiration"pour boissons gazeuses.

-La Figure 22 représente schématiquement, et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire venu d'extrusion-soufflage pour boissons plates ou lactées avec son dispositif"fermeture monobloc-paille d'aspiration".

-La Figure 23 représente schématiquement, et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire venu d'injection-soufflage pour boissons gazeuses, avec son dispositif"fermeture monobloc-paille d'aspiration".

-La Figure 24 représente schématiquement et en élévation, une capsule de fermeture classique, avec une jupe pouvant tre filetée spirolée sur l'une ou les deux faces, à laquelle on rend solidaire par injection, deux ou quatre artes saillantes, dans le sens de l'affrontement ou en perpendiculaire de celui-ci, à 180° si il y en a deux, et à 90° si elles sont quatre, ce qui permet notamment, si la capsule de fermeture (20) à un diamètre plus important que celles utilisées sur des capacitaires allant jusqu'à 150cl, et notamment de ceux utilisés pour des boissons ; ces artes (3') et ou (3") permettent une préhension, sans ripage, pour effectuer une torsion destinée à rompre la ligne circulaire de moindre épaisseur (19) de la partie de la jupe (3) restant solidaire du goulot d'un capacitaire, notamment et par exemple par serrage

thermique, en servant d'arrt de blocage aux doigts généralement utilisés à cet effet, tout en nécessitant moins d'effort li doit tre entendu que les descriptions qui précèdent ou qui vont suivre, ne sont données qu'à titre d'exemples et qu'elles ne limitent nullement le domaine de l'invention, dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécutions décrits, par tout autre équivalent.

Le demandeur précise que les techniques de mise en oeuvre pour la fabrication et l'aménagement des moules, sont les mmes que celles décrites dans son Brevet français du 28 Juin 1996 déjà cité (avec les améliorations autorisées apportées à son dépôt PCT du 30 Juin 1997, entré en phase national). Se limitant, à ce sujet, de renvoyer à ce Brevet, pour se consacrer dans le cadre de la présente invention. à fournir les explications techniques sur les moyens mis en oeuvre pour rendre solidaire par surmoulage notamment"la fermeture monobloc"avec"la paille d'aspiration" ainsi que celles concernant les améliorations apportées au capuchons de fermeture de toute nature : filetés spirolés ou non, de son Brevet français du 4 Août 1998, La Figure 3 représente en coupe longitudinale un Moule d'injection d'une"paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactées, obtenue à partir des deux orifices d'injection 13, situés sur la ligne d'affrontement de la face supérieure des coquilles 5 et (5'non figurée). Le dit moule étant fixé amoviblement à un Moule femelle 7 qui est solidarisé ou encastré dans un plateau circulaire 7'. L'ensemble de ces deux éléments pouvant se mouvoir verticalement au moyen des vérins 7". Pour la formation du tunnel 12, creusé à travers la masse du moule, ici femelle 7, qui se prolonge dans le moule d'injection, une fois ses coquilles 5 et (5'non figurée) creusées chacune verticalement sur leur face d'affrontement, sont en position d'affrontement. La mise en place d'un tube 12a, fermé à son extrémité supérieure, dans le tunnel 12 creusé dans le moule femelle 7 et son prolongement entre les coquilles 5 et (5'non figurée), s'effectue a partir d'une ouverture pratiquée dans le plateau 7'. La canule 4b fixée à l'intérieur du tube 12a est raccordée avec un tuyau 4a qui est interne à un tuyau 4 raccordé à l'orifice inférieure du tube 12a

pour le circuit de refroidissement de celui-ci. Le tube 12a ayant un rôle mâle d'injection, et le tunnel 12 un rôle femelle, avec entre eux un espace annulaire d'injection qui permet d'obtenir une tubulure 16 prolongée par une tubulure 16a. Les techniques utilisée sont décrites par le demandeur dans le Brevet français du 28 Juin 1996 et dans le dépôt PCT déjà mentionné, notamment la technique de refroidissement utilisée Suivant la présente invention le moule femelle 7 est caractérisé pour avoir, dans la zone d'affrontement, un diamètre R plus petit que celui de sa partie inférieure et terminale, par l'aménagement d'un aplat (a). Cet aménagement, suivant la Figure 8, permet lors de l'affrontement de la face frontale de ce moule femelle 7 avec la face frontale du moule à coquilles 5a et (5a'non figurée) de pouvoir pénétrer à l'intérieure de la jupe 1 au contact de la paroi interne de celle-ci. Contrairement au Brevet français du 4 Août 1998, la face d'affrontement du moule, ici femelle 7, n'est pas creusée d'une tranchée verticale dont l'orifice est recouvert par la face d'affrontement des coquilles 5 et 5'du moule secondaire. Suivant la présente invention la face d'affrontement du moule femelle 7 est creusée dans son diamètre, de chaque coté du tunnel 12, d'un canal C non visible sur cette figure, à l'exception du fond. Ce canal C est pénétré par la partie en saillie 5", non visible sur cette figure, de la face d'affrontement des coquilles 5 et (5'non figurée) et d'une taille permettant de ménager, entre ses parois un espace d'injection ce qui définit deux membranes verticales M', et qui confère également aux coquilles de ce moule a rôle femelle, un rôle mâle d'injection. Le tunnel 12 comporte deux fentes (non figurées) dans I'axe de chacun des canaux C pour permettre leur injection, suivant la technique décrite dans le Brevet français du 4 Août 1998 déjà mentionné.

La Figure 4 représente les éléments de la Figure 3 en coupe longitudinale restreinte, suivant la ligne A A de la Figure 3. On retrouve le moule femelle 7 avec sa partie supérieure ayant un diamètre réduit R obtenu par I'aplat (a). Sa face d'affrontement creusé d'un canal C. Le moule d'injection à coquilles 5 et 5'qui comportent sur leur face terminale inférieure une saillie 5"qui au moment de l'affrontement avec le moule femelle 7, pénètre dans le canal C, tout en laissant un espace d'injection entre cette

saillie 5"et les parois latérales du canal C pour obtenir l'injection de deux membranes M'. En arrière plan et en pointillés verticaux et parallèles, le tunnel 12 à l'extérieur, le tube creux 12a à l'intérieur avec, entre eux, la paroi de la tubulure 16 dans le moule à coquille 5 et 5', et qui se prolonge dans le moule femelle 7 par la tubulure 16a.

La Figure 5 représente en coupe transversale, suivant la ligne B B de la Figure 3, les coquilles 5 et 5'du moule, avec sa partie saillante 5"à l'intérieur du canal C figuré en pointilles obliques de gauche à droite, entre les parois M'qui viennent de l'injection de la tubulure 16, entre le tunnel 12 et le tube creux 12a avec la canule 4b du circuit de refroidissement.

La Figure 6 est la coupe longitudinale d'une"fermeture monobloc" pour boissons plates ou lactée, et la coquille 5a du moule d'injection, ainsi que la coupe du moule môle 7a se mouvant verticalement par son vérin 7a" pour venir en affrontement avec le moule d'injection représenté par la coquille 5a, en aménagent entre eux un espace d'injection pour former, selon le Brevet français du 4 Août 1998, la jupe 1, prolongée par la partie couvrante 2 et le capuchon 3 comportant une ligne circulaire de moindre épaisseur 19, avec les artes en saillies 3'et sa partie terminale 4 qui sont injectés à partir du point d'injection 13 aménagé sur la ligne d'affrontement des coquilles 5a et 5a' (non figurée). Selon la présente invention la face d'affrontement du moule mâle 7a, est creusée de deux cavités 2a dont le fond C'correspond à la face d'affrontement d'une forme identique au canal C mais aux dimensions plus étroites que les parties saillantes 5"des coquilles 5 et 5'représentées à la Figure 4. Ces cavités 2a qui communiquent avec la partie partiellement couvrante 2 sont injectées en mme temps, mais ces cavités 2a n'arrivent pas jusqu'à la jupe 1 par suite de la présence du moule mâle 7a dans la zone circulaire jouxtant la jupe 1 qui obture provisoirement le trou obtenu à travers la paroi de celle-ci suivant les indications techniques fournies précédemment par le demandeur pour former le point d'injection horizontale 13a. Le retrait du moule maie 7a et son remplacement par le moule femelle 7 aménage 1'espace d'injection 2a'visible à la Figure 10.

La Figure 7 représente en coupe longitudinale restreinte, suivant la ligne C C de la Figure 6, les coquilles 5a et 5a'du moule"A"et du moule

unitaire mâle 7a avec sa cavité 2a à fond C'délimitée par les pointillés horizontaux de laface d'affrontement des coquilles 5a et 5a'du moule d'injection. Cette cavité 2a, constitue sous cette précité cavité 2 un appendice également 2a,. en pointillés verticaux et parallèles, les limites du capuchon 3 et sa ligne de moindre épaisseur 19.

La Figure 8 représente en coupe longitudinale la"fermeture monobloc"pour boisson plates ou lactées, et la coquille 5a du moule d'injection suivant la Figure 6,"la paille d'aspiration", ainsi que la coupe du moule femelle 7 correspondants, seuls, à la Figure 3, en ayant interne : le tube creux 12a, la tubulure 16a et le tube creux 12a ; libérés des coquilles 5 et 5' : le tube creux 12a et le prolongement 16 de la tubulure 16a de"la paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactée, positionnés entre la paroi interne du capuchon amovible 3, ce qui a été possible par le diamètre réduit R constitué par I'aplat (a) du Moule Femelle 7, lui permettant de s'insérer dans le moule à coquilles 5a et (5a'non figuré) ; non visible sur cette Figure : la partie injectée 2a suivant la Figure 6, qui vient s'insérer entre les membranes parallèles M'suivant la Figure 5, et le fond du canal C suivant la Figure 4, en conservant toujours libre les deux espaces d'injection 2a', I'un de ces deux espaces s'ouvrent sur l'orifice interne en saillie du point d'injection horizontale 13a, après le retrait du moule mâle 7a de la Figure 6 remplacé par le moule femelle (7). On reconnaît la jupe 1 avec son trou constitué autour de la canule saillante du point d'injection horizontale 13a, et la partie couvrante 2 faisant corps avec la partie 2a insérée entre les membranes M', dont une seule est visible, reposant sur le fond du canal C du moule femelle (7) A l'opposé la partie 2 se prolonge par le capuchon 3 avec sa ligne de moindre épaisseur 19 et les deux artes verticales en saillies 3', compte tenu de l'avertissement de la page 2 des lignes 9 à 12 et des explications fournies à la page 8, des lignes 10 à 18. La partie terminale 4, du capuchon 3, peut ne pas obturer l'orifice de la"paille d'aspiration"16, pour faciliter l'enlèvement par torsion du capuchon en laissant entre elle, un espace mme minime, ce qui permet en mme temps lors de la mise en place de celle-ci dans le capacitaire, en pénétrant dans la boisson conditionnée, de laisser I'air se trouvant dans"la paille d'aspiration", s'évacuer au fur et à mesure de sa pénétration dans la

boisson. Après la mise en place de cet ensemble :"fermeture monobloc-paille d'aspiration", et au cours de manipulations diverses, la quantité de boisson s'échappant par cet espace sera extrmement faible et ne pourra que retourner dans le capacitaire avec la boisson en empruntant 1'espace annulaire devant constituer t'évent 17, sans affecter extérieurement celui-ci.

-La Figure 9 est une coupe longitudinale et tranversale restreinte suivant la ligne D D de la Figure 8. limité à la partie inférieure des coquilles 5a et 5a', ainsi qu'à la partie supérieure du moule femelle 7, On retrouve le moule femelle 7 avec son diamètre réduit R constitué par I'aplat (a) et sa face 7 terminale qui se trouve en affrontement avec la partie partiellement couvrante 2 et son prolongement 2a, dans le moule à coquilles 5a et 5a'suivant la Figure 7, et venu se loger dans le canal C entre les membranes parallèles M' de la Figure 4, obtenues avec le concours de la partie saillante 5"des coquilles 5 et 5'de cette mme Figure. Les membranes parallèles M', avec le canal C dont on ne distingue que son fond, sont tributaires du moule femelle 7, qui s'est inséré entre la jupe 1 des coquilles 5a et 5a', en laissant un espace circulaire d'injection 2a". En pointillés verticaux et parallèles on retrouve le capuchon amovible 3, avec sa ligne de moindre épaisseur 19, entourant sans la toucher la tubulure 16, avec entre eux un espace annulaire 17.

-La Figure 10 représente en coupe transversale selon la ligne E E de la Figure 9, I'ensemble des Moules de cette Figure avec les coquilles 5a et 5a', le point d'injection horizontale 13a sur leur ligne d'affrontement qui débouche sur 1'espace d'injection 2a', constitué entre le diamètre réduit du moule femelle 7, et la jupe 1 dans la zone jouxtant la partie couvrante 2, et se continuant par le deuxième espace circulaire d'injection 2a"constitué entre la partie plus étroite du moule femelle 7 et la jupe 1. On retrouve les coquilles 5a et 5a'avec le point d'injection horizontale 13a qui communique avec l'un des deux espaces provisoires 2a', mais les deux cavités 2a sont injectées par l'intermédiaire de la partie partiellement couvrante 2 depuis le point d'injection verticale 13, non visible sur cette Figure, et autour desquelles, en t'encadrant, sont venues avec le moule femelle 7, les membranes parallèles M'suivant la

Figure 4, qui communiquent avec la tubulure 16 située entre le tunnel 12 et le tube creux 12a comportant interne la canule 4b du circuit de refroidissement.

La Figure 11 représente en coupe longitudinale une"fermeture monobloc"pour boissons gazeuses, et la coquille 5a du moule d'injection, en affrontement avec le moule mâle 7a représenté en coupe longitudinale restreinte, sans sa partie inférieure identique à celle de la Figure 6. On retrouve à partir du point d'injection verticale 13, la partie terminale 4, le capuchon 3 et ses artes saillantes 3', la ligne de moindre épaisseur 19, la partie surélevée 2'suivie de la partie partiellement couvrante 2 ; la jupe 1 ayant un orifice provisoire provoqué par la canule du point d'injection 13a en saillie interne, selon les explications précédemment fournies La Figure 12 représente en coupe transversale suivant la ligne F F de la Figure 11, les coquilles 5a et 5a'en affrontement, et le point d'injection horizontale 13a. Obtenue par le point d'injection verticale 13 de la Figure 11, la jupe 1 comporte l'orifice provoqué par la précitée canule, suivant les explications déjà fournies ace sujet. Le premier cercle intérieur représente, entre lui et la jupe 1, la partie couvrante 2. Entre ce cercle et celui interne correspondant au capuchon 3, se situe la partie couvrante surélevée 2'; à l'intérieur du capuchon 3 se situe sa partie terminale 4. Par anticipation et en pointillés circulaires, les éléments faisant parties des moules de la Figure 13, et à partir du cercle délimitant le capuchon 3 : le tube creux 12a, et le tunnel 12, avec entre eux, la tubulure 16 ; entre la tubulure 16 et le capuchon 3, t'évent annulaire 17 ; en pointillés extérieurs, entre le capuchon 3 et la partie couvrante surélevée 2', la fine lamelle L ; entre cette partie couvrante 2' jouxtant la jupe 1, la limite interne de 1'espace provisoire d'injection 2a" suivant la Figure 9 ; en pointillés verticaux et parallèles les limites d'une membrane pleine M', sur laquelle débouche l'orifice de la canule du point d'injection 13a, pouvant compléter par surmoulage un auto-soudage entre la membrane M'et la partie couvrante 2.

-La Figure 13 représente, en coupe longitudinale restreinte, une "paille d'aspiration"pour boissons gazeuses qui comporte déjà à cet effet la fine lamelle L décrite dans le Brevet français du 4 Août 1998. La coquille 5 du Moule d'injection en affrontement avec le moule femelle 7 avec son aplat (a)

et son diamètre R réduit, comporte un deuxième aplat (a') avec un diamètre plus réduit R'non visible sur cette Figure, mais qui le seront dans les Figures suivante, et leur utilités expliquées. Cette face terminale R'est creusée sur son diamètre de canaux Ca, de chaque coté du tunnel 12 et communiquent avec lui par des ouvertures obtenues suivant la technique décrite dans le Brevet français du 4 Août 1998. A partir des points d'injections verticales 13 disposés comme ceux de la Figure 3, la matière injectée forme la tubulure 16, puis la tubulure 16a, entre le tunnel 12 et le tube creux 12a comportant interne la canule 4b du système de refroidissement, et la fine lamelle circulaire L. La face d'affrontement des coquilles 5 et 5'qui recouvrent l'orifice de chaque canal Ca et pénètre partiellement dans leur parties latérales en devenant éléments mates d'injection, permettent d'obtenir les membranes M'et provisoirement les membranes M"à partir de la matière injectée par les ouvertures pratiquées à travers le tunnel 12 et figurés en pointillés verticaux, suivant la technique décrite également dans le brevet français du 4 Août 1998.

La Figure 14 est la coupe transversale des coquilles 5 et 5'des Moules de la Figure 13, suivant la ligne G G de cette Figure, qui représente en son entier ce moule avec ses coquilles 5 et 5'et le moule femelle 7 avec son premier diamètre réduit R, son aplat n'est pas visible sur cette Figure, mais on voit son deuxième aplat (a') et la deuxième réduction R'de son diamètre qui sont recouverts par les coquilles 5 et 5'du moule d'injection. Les deux canaux Ca sont également recouverts, mais pour la clarté de la Figure, le demandeur n'a pas voulu faire chevaucher les différents traits obliques. On remarque les parois Ca des canaux, les membranes M'injectées à partir des ouvertures pratiquées dans le tunnel 12 et figurées en pointillés semi-circulaires, la tubulure 16a injectée entre le tunnel 12 et le tube creux 12a dans lequel se situe la canule 4b du système de refroidissement. Aux deux extrémités des membranes M'et en pointilles, les membranes M"de moindre hauteurs.

La Figure 15 est la coupe longitudinale des éléments vus à partir de la sécante de la ligne H H de la Figure 14. On retrouve le moule femelle 7, avec les aplats (a) de la première réduction R de son diamètre, les coquilles 5 et 5'du moule d'injection, I'aplat (a') de la deuxième réduction R'du diamètre du moule femelle 7 dans sa partie terminale creusée des canaux Ca,

recouverts par les faces terminales des coquilles 5 et 5', en affrontement avec le moule femelle 7, dans sa partie réduite R et la partie latérale des canaux Ca dans lesquels sont injectées les membranes M". Les éléments de la Figure 14, au delà de la sécante, sont représentés en pointillés sans tre référencés, mais simplement décrits. Au dessus de la membrane M"et en pointillés obliques, la membrane M'avec de chaque coté en pointillés parallèles et verticaux : le tube creux 12a, le tunnel 12 avec entre eux, la tubulure 16 et en pointillés horizontaux et parallèles la fine lamelle L.

La Figure 16 représente, en coupe longitudinale le moule femelle 7, une fois libéré des coquilles 5 et 5'du moule d'injection suivant la Figure 13. On retrouve ce moule avec son diamètre réduit R et son aplat (a) ; le deuxième aplat (a') et la deuxième réduction R'de son diamètre ne peuvent tre représentés. Les membranes M', reposant dans les canaux Ca, dont on ne voit que le fond, et les membranes M". Le tunnel 12 qui permet par ses ouvertures figurées en pointillés l'injection des Membranes M'et M", ainsi que la fine lamelle circulaire L. La tubulure 16 libérée du prolongement du tunnel 12 creusés dans les coquilles 5 et 5', se situe autours du tube creux fermé 12a avec, à l'intérieur de celui-ci, la canule 4b de refroidissement. La tubulure 16 se prolonge dans le corps du moule femelle 7 par la tubulure 16a, qui, quant à elle, est toujours entre le tunnel 12 et le tube creux 12a.

La Figure 17 représente en coupe longitudinale restreinte les éléments situés dans les moules des Figures 11 et 13 qui se trouvent maintenant en affrontemen, soit. la coquille 5a du moule d'injection et le moule femelle 7, le capuchon amovible 3, ses artes verticales et saillantes 3' et sa ligne de moindre épaisseur 19. Le capuchon 3, séparé de la tubulure 16 par un espace annulaire 17 qui communique avec le logement 17'de la lamelle L, est suivi d'une partie couvrante surélevée 2', prolongée d'une partie partiellement couvrante 2 reliée à la jupe 1 I'ensemble décrit, et à partir de la ligne de moindre épaisseur 19 constituent la partie inamovible. Cette jupe 1 comporte un trou formée autour de la canule rectiligne qui constitue le point d'injection horizontal 13a, dont l'orifice en saillie interne était provisoirement fermé par la présence du moule mâle 7a en affrontement avec la coquille 5a et (5a'non figurée), Ce point d'injection 13a débouche dans un espace

d'injection Co au dessus de la membrane M"qui est le prolongement de la membrane M'solidaire de la tubulure 16 encore située contre le tube creux 12a comportant à l'intérieure la canule 4b de refoidissement, cette tubulure 16 se prolonge 16a dans le Moule femelle 7, entre le tunnel 12 et le tube creux 12a.

La Figure 18 représente en coupe transversale suivant la coupe ii de la Figure 17, avant que"la paille d'aspiration"soit rendue solidaire de"la fermeture monobloc" ; les coquilles 5a et 5a'en affrontement pour former le point d'injection horizontale 13a qui débouche au dessus de la membrane M" dans 1'espace d'injection qui est prolongé circulairement par un corridor circulaire Co constitué par I'aplat (a'), la partie terminale R'du moule femelle 7 et la paroi interne de la jupe 1, cette membrane M"est le prolongement de la membrane M'reliée à la tubulure 16 encore accolée au tube creux 12a et sa canule 4b de refroidissement.

-La Figure 19 est la mme coupe tranversale représentée à la Figure 18 mais une fois, qu'à partir du point d'injection horizontale 13a, le corridor circulaire Co a été injecté pour se transformer en une membrane circulaire Ma, reliée à la membrane M'et à la paroi interne de la jupe 1. La membrane M"ayant disparue ou plutôt ayant été surmoulée. On retrouve les autres éléments c'est à dire la tubulure 16, le tube creux 12a avec la canule de refroidissement 4b.

-La Figure 20 est la représentation en coupe longitudinale d'un ensemble"fermeture monobloc-Paille d'aspiration"pour boissons plates ou lactée. On retrouve le capuchon amovible 3 avec sa partie coiffante 4, ses artes saillantes 3, sa ligne de moindre épaisseur 19. La partie partiellement couvrante 2 qui se prolonge par la jupe 1, et qui constituent la partie inamovible. La jupe 1 est solidarisée avec la lamelle M'de chaque coté de la tubulure 16 qui se prolonge par la tubulure 16a. Entre le capuchon et la tubulure 16, un espace annulaire 17 qui se transforme en évent, dès qu'il y a séparation du capuchon 3. sur sa ligne de faiblesse 19.

-La Figure 21 est la représentation en coupe longitudinale d'un ensemble"fermeture monobloc-paille d'aspiration"pour boissons gazeuses.

On retrouve le capuchon amovible 3 avec sa partie coiffante 4, ses artes

saillantes 3', sa ligne de moindre épaisseur 19 ; la partie surélevée 2', servant de logement à la lamelle L, est reliée à la partie partiellement couvrante 2 qui rejoint la jupe 1. La lamelle L rejoint la tubulure 16 et celle-ci se prolonge par la tubulures 16a, la membrane M'relie la jupe 1 à la tubulure 16a Entre la lamelle M'et la partie surélevée 2', le logement 17'de la fine lamelle L. Ce logement 17'communique avec 1'espace annulaire17 formant l'évent ; une fois que le capuchon amovible 3 est séparé sur sa ligne de moindre épaisseur 19.

-La Figure 22 représente, schématiquement et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire pour boissons plates ou lactées venu d'extrusion-soufflage avec son corps 14 et son fond 14b incurvé pour une meilleure assise, son goulot 15 avec la collerette (ou méplat) 18', sur laquelle repose la jupe 1, est rendu solidaire de la face interne de la jupe 1 de la "fermeture monobloc", par des moyens techniques connus, étant elle-mme rendue solidaire avec la membrane M'qui, quant à elle, est rendue solidaire de la face interne de la partie (2), devenue ainsi, entièrement couvrante et conjointement solidaire de la tubulure 16 ; cette partie (2) est suivie du capuchon 3 avec ses artes (3'), et sa partie coiffante 4 qui recouvre l'orifice de la tubulure 16, séparée du capuchon 3 par un espace annulaire 17 formant un évent, et se prolonge par la tubulure 16a qui arrive très près du fond 14b, en formant ensemble, la"paille d'aspiration"du dispositif"Fermeture monobloc-paille d'aspiration", en précisant que cette"paille"peut tre, suivant le matériau utilisé, longitudinalement plus grande que l'intérieur du capacitaire. ce qui donne à la tubulure (16a) une certaine souplesse et flexibilité, pour pouvoir, en lui donnant longitudinalement la possibilité de se courber, d'arriver dans le pourtour du fond du capacitaire (14) en toute matière, ou encore d'tre capable de dévier sur un fond incurvé interne d'un capacitaire en matière plastique, suivant la technique décrite dans la 2eme addition n°89 212 du 25 juin 1964 du brevet français n°1.386.210 du 15 Janvier 1963, et ou encore un capacitaire en verre, ayant un fond incurvé interne, ce qui permet en mme temps et au besoin, de pouvoir faire pénétrer extérieurement la"fermeture monobloc"dans ce type de capacitaire à fond incurvé, à partir de son assise, ce qui stabilise et facilite le gerbage en prenant moins de place.

-La Figure 23, représente schématiquement et en élévation avec arrachement partiel, un capacitaire pour boissons gazeuse, venu d'injection- soufflage avec son corps 14 et son fond 14b également incurvé, son goulot 15 avec sa collerette 18' (ou méplat), sur laquelle repose la jupe 1, est rendue solidaire de la face interne de la jupe 1 de la"fermeture-monobloc"par les moyens thermiques connus, cette jupe 1, étant elle mme rendue solidaire avec la membrane M'qui, quant à elle est rendue solidaire de la face interne de la partie partiellement couvrante 2 se poursuivant par la partie couvrante 2', rendue solidaire de la tubulure 16.. La partie couvrante surélevée 2'qui rejoint la base du capuchon 3 forme un logement 17'pour la fine lamelle circulaire L solidaire de la partie de la tubulure 16 qui est séparée du capuchon 3 avec ses artes 3', par un espace annulaire 17 formant évent. La tubulure 16 se prolonge par la tubulure 16a qui arrivent très près du fond 14b, en formant ensemble, la paille d'aspiration du dispositif"Fermeture monobloc- Paille d'aspiration"en précisant que cette paille peut tre, suivant le matériau utilisé, longitudinalement plus grande que l'intérieure du capacitaire ce qui donne à la tubulure (16a) une certaine souplesse et flexibilité, pour pouvoir, en lui donnant longitudinalement la possibilité de se courber, d'arriver dans le pourtour du fond du capacitaire (14) en toute matière, ou encore d'tre capable de dévier sur un fond incurvé interne d'un capacitaire en matière plastique, et ou encore un capacitaire en verre, ayant un fond incurvé interne, ce qui permet en mme temps et au besoin, de pouvoir faire pénétrer extérieurement la"fermeture monobloc"dans ce type de capacitaire à fond incurvé, à partir de son assise, ce qui stabilise et facilite le gerbage en prenant moins de place.

--La Figure 24 représente schématiquement et en élévation, une capsule de fermeture (20) avec sa partie coiffante 4, d'un type connu, avec une jupe 3 ayant une ligne circulaire de moindre épaisseur (19), la jupe (3) peut comporter uniquement sur sa face interne un filetage spirolé, et peut aussi avoir ses deux faces face filetée spirolée, caractérisée pour comporter deux ou quatre artes verticales et saillantes, disposées à 180° si elles sont ea nombre de deux, et à 90° si il y en a quatre, obtenue par injection en mme

temps que l'ensemble de cette capsule de fermeture 20, suivant la mme technique que celles utilisées pour obtenir les artes saillantes sur le capuchon amovible (3) d'une"fermeture monobloc".