PERRIN OLIVIER (FR)
LEGASTELOIS SYLVIE (FR)
SALCIARINI CHRISTIAN (FR)
PERRIN OLIVIER (FR)
LEGASTELOIS SYLVIE (FR)
US2054004A | 1936-09-08 |
REVENDICATIONS
1. Boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps, solide ou pâteux ou pulvérulent, comportant un corps (2) muni d'un fond (2A) et d'un bord libre (2B) et contenant une coupelle (5) contenant un produit solide, pâteux ou pulvérulent, et un couvercle (3) monté pivotant par rapport au corps entre une configuration dans laquelle l'accès au produit est possible et une configuration fermée, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un équipement mobile (11 ) comportant la coupelle (5) et une zone d'articulation (9, 10) par laquelle le couvercle (13) lui est articulé et qui est mobile en translation perpendiculairement au fond, et au moins un ensemble élastiquement compressible (40) à deux positions stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal, qui est interposé entre le corps et l'équipement mobile (11 ) en sorte de délimiter pour cet équipement une configuration d'enfoncement maximal et une configuration d'enfoncement minimal, ces configurations étant telles que, lorsque l'équipement mobile (11 ) est en configuration d'enfoncement maximal et le couvercle (3) est en configuration fermée, la zone d'articulation de l'équipement (9, 10) et au moins une partie de ce couvercle sont escamotées dans le corps tandis que, lorsque cet équipement (11 ) est en configuration d'enfoncement minimal, la zone d'articulation (9, 10) est au moins en partie en dehors du corps en sorte de permettre le pivotement du couvercle entre ses configurations et le couvercle offre une prise suffisante à une utilisatrice pour provoquer ce pivotement.
2. Boîtier selon la revendication 1 , caractérisé en ce que la configuration d'enfoncement minimal de l'équipement mobile est telle que la coupelle (3) est en affleurement avec le bord libre (2B) du corps.
3. Boîtier selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé en ce que l'équipement mobile (11 ) et le corps comportent des éléments définissant des pieds (11A) de guidage en translation.
4. Boîtier selon la revendication 3, caractérisé en ce que lesdits pieds (11A) sont conçus en sorte d'empêcher l'équipement mobile de se dégager du corps au-delà de la configuration d'enfoncement minimal.
5. Boîtier selon la revendication 3 ou la revendication 4, caractérisé en ce que ces pieds (11A) sont à distance des éléments constitutifs de l'ensemble élastiquement compressible.
6. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que ces pieds (11A) sont munis d'éléments élastiquement compressibles tendant à écarter l'équipement mobile vis-à-vis du fond du corps.
7. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que des moyens complémentaires d'accrochage (45, 46) sont prévus entre l'ensemble formé du couvercle et de l'équipement mobile et le corps de boîtier pour permettre un maintien temporaire du couvercle en sa configuration fermée.
8. Boîtier selon la revendication 7, caractérisé en ce que ces moyens (45, 46) sont portés par le couvercle et un poussoir que comporte l'ensemble élastiquement compressible. 9. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l'équipement mobile comporte un cadre mobile (11 ) comportant la zone d'articulation (9, 10), coopérant avec l'ensemble élastiquement (40) compressible et dans lequel la coupelle (3) est engagée de manière réversible. 10. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins un poussoir qui comporte deux portées (41 , 43) mobiles l'une par rapport à l'autre en étant sollicitées l'une vers l'autre par au moins un ressort, l'une des portées étant solidaire d'une piste de guidage fermée en forme de cœur (42), globalement située dans un plan perpendiculaire au plan moyen du fond et l'autre des portées étant muni d'un doigt suiveur (44) destiné à suivre cette piste de guidage lors des mouvements relatifs de cette portée.
11. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins un poussoir qui comporte deux portées formées de deux couronnes (21 , 22) mobiles l'une par rapport à l'autre en rotation et en translation en étant appliquées l'une vers l'autre par au moins un ressort (23), l'une de ces couronnes (21 ) comportant des saillies radiales appliquées contre une piste annulaire solidaire de l'autre couronne (22), cette piste annulaire comportant étant en dents de scie avec des creux ayant au moins deux profondeurs différentes. 12. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 11 , caractérisé en ce que l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins deux poussoirs (60) élastiquement compressibles à deux positions stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal qui sont disposés de part et d'autre d'un plan de coupe du boîtier traversant la zone d'articulation.
13. Boîtier selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins deux poussoirs élastiquement compressibles qui comportent des éléments de synchronisation. |
Boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps à articulation escamotable
Etat de la technique
L'invention concerne un boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps, solide, pâteux ou pulvérulent, tel qu'une poudre ou une crème notamment.
Un tel boîtier est classiquement globalement aplati (avec une hauteur sensiblement plus faible que ses autres dimensions), avec une forme qui peut être ronde, carrée (éventuellement avec des angles arrondis), rectangulaire, polygonale, etc. Il est généralement composé d'un corps typiquement formé d'un fond et d'une paroi latérale, et d'un couvercle articulé sur la paroi latérale et muni d'un rebord venant, en configuration fermée du boîtier, dans le prolongement de cette paroi, voire coiffant celle-ci. Pour assurer un large débattement du couvercle vis-à-vis du corps, par exemple pour permettre à l'utilisatrice de profiter du miroir que peut comporter la face intérieure du couvercle (cela explique que ce débattement est typiquement supérieur à 90°, par exemple de l'ordre de 120°), l'articulation longe généralement les surfaces extérieures de la paroi latérale et du couvercle (de son rebord le plus souvent). Il en découle que cette charnière est donc visible, ce qui peut nuire à l'esthétique d'ensemble du boîtier.
En outre, la manœuvre du couvercle d'un tel boîtier est généralement obtenue par action sur une saillie que présente le couvercle à distance de l'articulation ; cette saillie coopère souvent avec une autre saillie prévue sur la paroi latérale pour assurer une retenue, voire un verrouillage, du
couvercle sur la paroi latérale en configuration fermée. Il s'agit par exemple de saillies s'étendant près de l'interface entre le couvercle et le corps.
On connaît également des conteneurs pour produits cosmétiques ou pour l'hygiène du corps qui comportent, comme précédemment, un corps et un couvercle, mais dans lesquels ce couvercle, au lieu d'être articulé, est maintenu en configuration fermée par vissage, voire par clipsage. Toutefois, une telle structure n'est guère utilisable pour des formes plates, de sorte que ces conteneurs sont généralement plus volumineux que les boîtiers précités (on les désigne généralement sous le terme de « pots »). En outre, elle présente l'inconvénient que le couvercle est ainsi indépendant du corps, ce qui oblige l'utilisatrice à le poser indépendamment du corps lorsqu'elle souhaite accéder à l'intérieur du conteneur ; en outre, l'ouverture (et la fermeture) du conteneur implique l'usage des deux mains, selon des mouvements complexes qui peuvent être malaisés, surtout lorsque l'utilisatrice n'est pas assise à une table ou se trouve dans des endroits publics. Cela explique la préférence souvent accordée, pour des raisons de compacité, de simplicité d'usage et de fiabilité, à des boîtiers dont le couvercle reste en permanence lié au corps.
Mais il vient d'être expliqué que les boîtiers pour produit cosmétique ou pour l'hygiène du corps qui comportent un couvercle lié en permanence au corps du boîtier présentent généralement une (ou plusieurs) charnière(s) visible(s) ainsi que des saillies, ce qui a l'inconvénient de constituer au moins des discontinuités visuelles par rapport au corps et au couvercle, lesquelles peuvent nuire à l'esthétique d'ensemble. Un autre inconvénient de telles charnières ou saillies est qu'elles peuvent provoquer un accrochage avec des objets adjacents, voire avec la toile intérieure d'une poche ou d'un sac de femme, et, lorsque cet accrochage intervient à cause des saillies servant à ouvrir ou déverrouiller le couvercle, conduire à une ouverture intempestive du boîtier.
Présentation générale de l'invention
II existe donc le besoin de disposer d'un boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps comportant un couvercle lié en permanence
à un corps de boîtier, qui est à la fois compact, simple et fiable d'usage, avec le moins possible de saillies et, en particulier, des charnières invisibles.
L'invention a ainsi pour objet un boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps comportant un couvercle articulé dont l'articulation n'est pas visible de l'extérieur en configuration fermée, permettant un grand débattement de ce couvercle en pivotement à partir d'une configuration escamotée dans le corps de boîtier, sans gêne pour la manœuvre de pivotement et sans jeu exagéré entre le bord du couvercle et le bord libre du corps de boîtier.
Il faut noter ici que le simple déplacement vers l'intérieur de l'articulation classique des boîtiers au corps de boîtier ne permet pas d'atteindre l'objectif. En effet, l'articulation serait ainsi disposée sous le couvercle et dans le volume du corps de boîtier, de sorte qu'au début du pivotement du couvercle la partie arrière de celui-ci (près de l'axe d'articulation) commencerait par reculer vers le bord libre, ce qui provoquerait un coincement ; pour éviter un tel coincement il faudrait prévoir un jeu significatif entre le bord libre du couvercle et le bord libre du corps, mais ce jeu nuirait à la fois à l'esthétique du boîtier et à la protection de son contenu vis-à-vis de l'extérieur (et inversement).
L'invention propose un boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps, solide ou pâteux ou pulvérulent, comportant un corps muni d'un fond et d'un bord libre et contenant une coupelle contenant un produit solide, pâteux ou pulvérulent, et un couvercle monté pivotant par rapport au corps entre une configuration dans laquelle l'accès au produit est possible et une configuration fermée, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un équipement mobile comportant la coupelle et une zone d'articulation par laquelle le couvercle lui est articulé et qui est mobile en translation perpendiculairement au fond, et au moins un ensemble élastiquement compressible à deux positions stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal, qui est interposé entre le corps et l'équipement mobile en sorte de délimiter pour cet équipement une configuration d'enfoncement maximal et une configuration d'enfoncement minimal, ces configurations étant telles que, lorsque l'équipement mobile est en configuration d'enfoncement maximal et le couvercle est en configuration
fermée, la zone d'articulation de l'équipement et au moins une partie de ce couvercle sont escamotées dans le corps tandis que, lorsque cet équipement est en configuration d'enfoncement minimal, la zone d'articulation est au moins en partie en dehors du corps en sorte de permettre le pivotement du couvercle entre ses configurations et le couvercle offre une prise suffisante à une utilisatrice pour provoquer ce pivotement.
Compte tenu de ce que le couvercle est articulé sur un équipement mobile par rapport au fond du corps, on comprend que, lorsque le couvercle est en configuration fermée, il forme conjointement avec l'équipement mobile un ensemble qui peut être escamoté, sans jeu important, dans le corps d'une manière suffisante pour masquer l'articulation et minimiser la possibilité que le couvercle puisse s'accrocher à son environnement au point de s'ouvrir de manière intempestive ; en outre, l'esthétique du boîtier est très épurée, puisque le couvercle ne présente aucune portion en saillie vis-à-vis du corps et que ni l'articulation, ni aucune saillie d'ouverture/fermeture ne viennent en saillie.
Par contre, le fait que cet ensemble ait aussi une configuration stable dans laquelle l'articulation et le couvercle sont au moins en partie dégagés du corps permet d'une part la venue en prise d'un doigt, ou au moins d'un ongle, d'une utilisatrice sur le couvercle pour en commander le pivotement, ainsi qu'un pivotement sur une amplitude significative, permettant l'usage d'un éventuel miroir disposé sur la face interne du couvercle.
La mise en œuvre de l'ensemble élastiquement compressible permet de garantir que, par pression sur le couvercle (donc sur l'équipement mobile lorsque celui-ci est en configuration fermée, on obtient en conséquence du caractère bistable de cet ensemble, la venue de l'ensemble dans la configuration permettant le pivotement.
Pourtant, la structure du boîtier est compatible avec une grande compacité, y compris en épaisseur, tout en conférant à l'utilisatrice un grand confort et une grande fiabilité d'utilisation (notamment, le contenu du produit est efficacement protégé vis-à-vis de l'extérieur, et inversement).
Selon une caractéristique particulièrement avantageuse de l'invention, la configuration d'enfoncement minimal de l'équipement mobile est telle que la coupelle est en affleurement avec le rebord libre du corps. Cela a l'avantage que, en configuration ouverte de service, le boîtier reprend l'apparence habituelle d'une coupelle occupant sensiblement tout le volume du corps, alors que cette coupelle peut reculer vers le fond, lors de la fermeture du couvercle, pour permettre l'escamotage de ce dernier.
De manière également avantageuse, l'équipement mobile et le corps comportent des éléments complémentaires définissant des pieds de guidage en translation ; cela a notamment l'avantage que le mouvement en translation de l'équipement mobile par rapport au corps de boîtier peut être obtenu de manière fiable même si la poussée d'une utilisatrice sur le couvercle pour actionner l'ensemble élastiquement compressible n'est pas correctement centrée.
De manière préférée, lesdits pieds sont conçus en sorte d'empêcher l'équipement mobile de se dégager du corps au-delà de la configuration d'enfoncement minimal ; cela a notamment pour avantage d'éviter une extraction intempestive de l'équipement hors du corps du boîtier. Ces pieds sont de préférence à distance des éléments constitutifs de l'ensemble élastiquement compressible ; cela a notamment pour avantage de dissocier la fonction de guidage et la fonction de délimitation des configurations d'enfoncement de l'équipement mobile.
Ces pieds sont avantageusement munis d'éléments élastiquement compressibles tendant à écarter l'équipement mobile vis-à-vis du fond du corps ; bien entendu, ces éléments élastiquement compressibles ne doivent pas suffire en soi à amener l'équipement mobile dans sa configuration d'enfoncement minimal, lorsque l'ensemble élastiquement compressible est dans sa position stable la plus enfoncée dans le corps de boîtier ; la présence de cette sollicitation élastique peut avoir pour avantage de faciliter la translation de l'équipement mobile vers l'extérieur, lorsque l'ensemble élastiquement
compressible est actionné pour faire remonter cet équipement, même si cet ensemble est localisé de manière excentrée par rapport au corps de boîtier.
Selon une autre caractéristique avantageuse, des moyens complémentaires d'accrochage sont prévus entre l'ensemble formé du couvercle et de l'équipement mobile et le corps de boîtier pour permettre un maintien temporaire du couvercle en sa configuration fermée ; cela a notamment pour avantage de minimiser une sortie intempestive du couvercle hors du corps de boîtier, notamment suite à un choc violent. Ces moyens complémentaires sont de préférence portés par le couvercle et un poussoir que comporte l'ensemble élastiquement compressible ; cela a notamment pour avantage de permettre que le changement de configuration commande l'accrochage ou le détachement entre ce couvercle et le corps de boîtier.
Selon une autre caractéristique avantageuse, l'équipement mobile comporte un cadre mobile comportant la zone d'articulation, coopérant avec l'ensemble élastiquement compressible et dans lequel la coupelle est engagée de manière réversible ; cela a notamment pour avantage que la coupelle peut être remplacée sans avoir à modifier le reste de l'équipement mobile ; par ailleurs, ce cadre occupe avantageusement toute la section interne du corps de boîtier, ce qui contribue à faciliter le guidage du mouvement d'ensemble, tout en donnant une certaine rigidité à l'équipement mobile.
Selon une autre caractéristique avantageuse, l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins un poussoir qui comporte deux portées mobiles l'une par rapport à l'autre en étant sollicitées l'une vers l'autre par au moins un ressort, l'une des portées étant solidaire d'une piste de guidage fermée en forme de cœur, globalement située dans un plan perpendiculaire au plan moyen du fond et l'autre des portées étant muni d'un doigt suiveur destiné à suivre cette piste de guidage lors des mouvements relatifs de cette portée.
Selon une variante, également intéressante, l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins un poussoir qui comporte deux portées formées de deux couronnes mobiles l'une par rapport à l'autre en rotation et en translation en étant appliquées l'une vers l'autre par au moins un ressort, l'une de ces couronnes comportant des saillies radiales appliquées contre une piste annulaire solidaire de l'autre couronne, cette piste annulaire étant en dents de scie avec des creux ayant au moins deux profondeurs différentes.
Bien entendu, d'autres configurations sont possibles. La notion de poussoir signifie que l'équipement mobile ne vient qu'en appui sur un tel poussoir, de sorte qu'il n'y a pas de retenue dans le sens de l'écartement. En variante, il est possible, au choix, que celle des portées qui n'est pas solidaire du corps de boîtier soit solidaire de l'équipement mobile, ce qui établit un attelage dans les deux sens de translation entre l'équipement mobile et le corps de boîtier.
Selon encore une autre caractéristique avantageuse, l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins deux poussoirs élastiquement compressibles à deux positions stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal qui sont disposés de part et d'autre d'un plan de coupe du boîtier traversant la zone d'articulation ; cela a notamment pour avantage de répartir les zones où l'ensemble élastiquement compressible agit sur l'équipement mobile. De manière avantageuse, l'ensemble élastiquement compressible comporte au moins deux poussoirs élastiquement compressibles qui comportent des éléments de synchronisation.
De manière également avantageuse, le corps a globalement la forme d'un rectangle ou d'un carré (voire d'un polygone à un nombre pair de côtés) ; dans un tel cas, la zone d'articulation peut être unique et l'ensemble élastiquement compressible peut comporter un poussoir unique, cette zone et ce poussoir étant disposés sensiblement au milieu de deux côtés opposés, ce qui correspond à une forme compacte et élégante tout en permettant des
mouvements faciles. Selon une variante (parmi d'autres), ce corps peut aussi avoir une forme quelconque, circulaire ou ovale notamment, en ayant un plan de symétrie, cette articulation et ce poussoir, pouvant être uniques et situés sur ce plan de symétrie.
Liste des figures
Des objets, caractéristiques et avantages de l'invention ressortent de la description qui suit, donnée à titre d'exemple illustratif non limitatif, en regard des dessins annexés sur lesquels : - la figure 1 est une vue en perspective d'un boîtier conforme à l'invention, la figure 2 en est une vue éclatée en perspective, la figure 3 en est une vue en perspective, la figure 4 est une vue en coupe de l'articulation entre le couvercle et l'équipement mobile contenu dans le corps du boîtier, la figure 5 est une vue en coupe du boîtier en configuration fermée, la figure 6 en est une vue similaire après enfoncement d'une zone d'action du couvercle sur une course limitée, - la figure 7 en est une vue similaire après dégagement du couvercle hors du boîtier, la figure 8 en est une vue similaire en configuration ouverte, la figure 9 est un schéma en coupe d'un poussoir selon une variante de réalisation du poussoir comportant des éléments d'accrochage, dans la configuration correspondant à la figure 5, la figure 10 en est une vue correspondant à la figure 6, la figure 11 en est une vue correspondant à la figure 7, la figure 12 est une vue de détail montrant un autre exemple de poussoir bistable d'appui du couvercle en configuration fermée, correspondant à la figure 5, la figure 13 en est une vue correspondant à la figure 6, et la figure 14 en est une vue correspondant à la figure 7.
Description détaillée de l'invention
La figure 1 représente de manière schématique un boîtier pour produit cosmétique ou d'hygiène du corps (solide ou pâteux ou pulvérulent) conforme à l'invention, tandis que la figure 2 en est une vue éclatée (sans la totalité des éléments de manœuvre).
Ce boîtier, désigné par la référence 1 dans son ensemble, comporte un corps 2 muni d'un fond 2A et d'un bord libre 2B, ainsi qu'un couvercle 3 monté pivotant entre une configuration dans laquelle l'accès au produit est possible (c'est le cas de la figure 1 ) et une configuration fermée où le couvercle obture l'accès à l'intérieur du boîtier. Le couvercle est donc relié en permanence au corps (quoique de manière indirecte, ainsi que cela sera expliqué ci-dessous).
Dans ce corps est disposé une coupelle 5, couramment appelée « grille », contenant le produit en question, ici désigné sous la référence 6, parfois appelé « cake » lorsqu'il est solide. Ce produit peut être une poudre, mais aussi un élément de maquillage, etc.
Dans l'exemple représente, le bord libre 2B est défini par le bord supérieur d'une paroi latérale 2C raccordée par son bord inférieur au fond 2A. En outre, ce corps a une forme globalement rectangulaire, plus précisément sensiblement carrée, avec des côtés bombés.
Plus précisément, tel que cela ressort de la figure 2, le fond 2A est, dans l'exemple représenté, un élément rapporté à une paroi latérale; le fond et cette paroi latérale peuvent donc, si cela est souhaité, être en des matériaux différents et avoir des apparences différentes, voire contrastées. En variante non représentée, le corps est d'une seule pièce.
Le couvercle comporte à la figure 1 , le long de sa surface interne, un miroir 7 pouvant aider une utilisatrice à appliquer le produit 6 sur son visage.
Contrairement à un montage classique où le couvercle serait articulé directement sur le corps de boîtier, le couvercle 3 est articulé, en une zone 9, sur un équipement mobile comportant la coupelle et qui est mobile en translation perpendiculairement au fond ; le boîtier est en outre muni d'un
ensemble élastiquement compressible à deux positions stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal, qui est interposé entre le corps et l'équipement mobile en sorte de délimiter pour cet équipement une configuration d'enfoncement maximal et une configuration d'enfoncement minimal, ces configurations étant telles que, lorsque l'équipement mobile est en configuration d'enfoncement maximal et le couvercle est en configuration fermée, la zone d'articulation de l'équipement et au moins une partie de ce couvercle sont escamotées dans le corps tandis que, lorsque cet équipement est en configuration d'enfoncement minimal, la zone d'articulation est au moins en partie en dehors du corps en sorte de permettre le pivotement du couvercle entre ses configurations et le couvercle offre une prise suffisante à une utilisatrice pour provoquer ce pivotement. Ces diverses configurations seront commentées ci-dessous.
L'équipement mobile comporte principalement un cadre 11 , et le couvercle 3 est, dans l'exemple représenté, articulé sur ce cadre au moyen d'une charnière désignée par la référence générale 10 ; cette charnière est de tout type connu approprié. Dans l'exemple considéré, elle est simplement formée d'un axe d'articulation qui traverse des oreilles 3B solidaires du couvercle, d'une part, et des oreilles 8 solidaires du cadre, d'autre part. En variante, cette articulation peut être constituée de deux rivets traversant chacun une oreille 3B du couvercle et une oreille 8 du cadre ; d'autres types connus d'articulation et/ou de charnière sont bien entendu possibles.
Cette simple charnière est sensiblement située au milieu d'un des côtés du corps de boîtier, compte tenu de ce que ce corps a une section polygonale.
La coupelle ou grille 5 est avantageusement une pièce amovible, engagée dans le cadre 11 , ce cadre étant ici lui-même de préférence monté sur au moins un élément élastique, ici des ressorts (dont l'un est représenté sous la référence 12), qui le sollicite vers l'extérieur du corps. Ce cadre comporte avantageusement des pieds 11A qui définissent, par venue en butée contre le fond à rencontre des ressorts, une position de recul maximal de ce cadre. Cette coupelle est avantageusement reliée de manière réversible à ce cadre de
manière à lui rester solidaire en service, tout en pouvant, lorsque cela est souhaité (par exemple pour un entretien ou un remplacement du produit) être temporairement détaché. Cette fixation réversible est par exemple réalisée par encliquetage relatif entre des éléments complémentaires (non représentés) prévus sur cette coupelle et ce cadre. En variante non représentée, la coupelle est solidaire en permanence de son cadre ou forme, conjointement avec le cadre une seule et même pièce constituant l'équipement mobile.
Dans l'exemple représenté, le cadre 11 est, en configuration ouverte du boîtier (voir la figure 3), de préférence en retrait (c'est-à-dire plus bas) par rapport au bord libre 2B du corps, ce qui permet que la coupelle 5, une fois engagée dans le cadre 11 , est en affleurement avec le bord libre 2B. Ce cadre (avec la coupelle) peut en outre reculer vers le fond du corps de boîtier, de manière à permettre que le couvercle puisse venir, en configuration fermée, en affleurement avec ce bord libre, en étant ainsi suffisamment escamoté dans ce corps pour empêcher un accrochage intempestif du couvercle sur un élément extérieur au point de forcer l'ouverture du couvercle.
En effet, la coupelle est mobile entre une configuration enfoncée (voir la figure 4) dans laquelle elle est en retrait par rapport au bord libre du corps et une configuration de service dans laquelle, avantageusement, elle affleure à ce bord libre.
L'ensemble élastiquement compressible à deux configurations stables de recul par rapport à une position d'enfoncement maximal comporte en pratique au moins un poussoir tel que celui représenté sous la référence 40 à la figure 2 et qui sera décrit plus en détail aux figures 9 à 11. Le cadre est avantageusement retenu dans le corps (sans en sortir), avec un faible jeu avec la paroi latérale 2C du corps. Cette retenue est avantageusement réalisée par un encliquetage avec jeu entre des plots complémentaires dont le dessous du cadre et le fond du corps sont munis (ces plots peuvent comporter les pieds 11A dont le cadre est muni ainsi que des tubes cylindriques 11 B solidaires du fond ici entourés par les ressorts).
Il ressort clairement de la figure 3 que le cadre est, dans l'exemple considéré, soumis à la poussée d'au moins deux ressorts identiques distribués
de manière sensiblement symétrique par rapport à un plan de symétrie (plan vertical coupant la zone d'articulation 9, par exemple le plan de la figure 4).
Au lieu d'une zone d'articulation unique 9, le couvercle peut être articulé en plusieurs zones, par exemple deux zones d'articulation disposées de manière symétrique par rapport à un éventuel plan de symétrie du boîtier.
La zone d'articulation 9 est plus courte que le côté du corps près duquel il est situé (par exemple pas plus de la moitié, typiquement entre % et Vi de la longueur d'un tel côté). En effet, il suffit d'une charnière s'étendant sur de l'ordre d'un quart de la longueur de ce côté (voire moins) pour assurer un pivotement précis sans torsion.
Le cadre est avantageusement soumis à la poussée de plusieurs ressorts (ici dans chaque coin du corps), ce qui optimise le guidage tout en minimisant les risques de voilage du cadre et donc de coincement de l'équipement mobile. En variante, il peut y avoir un nombre différent de ressorts, notamment inférieur.
Ces éléments élastiques sont en pratique juste suffisants pour soulever le cadre et sa coupelle jusque dans la configuration ouverte du boîtier, sans toutefois gêner le maintien de l'équipement mobile (et du couvercle) dans leurs configurations d'enfoncement maximal. La paroi latérale est avantageusement parallèle en tout point à la direction de mouvement du poussoir (c'est-à-dire vers le haut), ce qui signifie que le volume interne délimité par cette paroi est de section horizontale constante.
Les figures 5 à 8 représentent quatre phases dans l'ouverture d'un boîtier tel que celui qui vient d'être décrit.
A la figure 5, le couvercle affleure au bord libre du corps du boîtier, et l'ensemble bistable (c'est-à-dire l'ensemble élastiquement compressible à deux positions stables) est en une configuration rétractée (figure 9). Dans cette position, l'axe de l'articulation se trouve sous le niveau du bord supérieur libre de la paroi latérale du corps de boîtier.
Lorsqu'une utilisatrice souhaite avoir accès au produit, elle applique au couvercle, donc à l'équipement mobile, en une quelconque zone (de
préférence sensiblement centrale) une poussée P vers le fond du corps (figure 6). Il en découle que l'ensemble bistable (donc le poussoir 40) est amené à sa configuration d'enfoncement maximum, ou à proximité de celle-ci (figure 10) ; il s'agit d'une configuration instable d'enfoncement maximal qui, lors du relâchement de la poussée sur le couvercle, va se traduire par la venue spontanée du poussoir dans sa configuration détendue (figure 1 1 ) ; il en découle que l'équipement mobile, ainsi que le couvercle, remontent légèrement vers le haut, voir la figure 7, mais cela suffit pour offrir une prise (notée D à la figure 7) suffisante pour que, à l'aide d'un doigt ou au moins d'un ongle, l'utilisatrice puisse amener le couvercle dans une configuration d'ouverture qui lui convient (figure 8), en tirant profit de ce que l'articulation 10, qui a suivi le mouvement de l'ensemble de l'équipement et du couvercle, est remontée suffisamment au-dessus du bord libre de la paroi latérale du corps de boîtier pour permettre un pivotement de grande amplitude, typiquement supérieure à 90°, pouvant par exemple atteindre, voire dépasser, 120°.
En variante non représentée, un ressort est associé à la charnière, en sorte d'appliquer un couple au couvercle pour l'amener spontanément à sa configuration d'ouverture maximale (sans pour autant suffire à empêcher ce couvercle de rester dans sa configuration fermée lorsque cela est souhaité). Selon une autre variante, un élément élastiquement déformable peut aussi être prévu pour contribuer au maintien du couvercle dans l'autre de ses positions angulaires extrêmes, à savoir la configuration fermée ; il peut par exemple s'agir de protubérances longeant intérieurement le bord libre en sorte d'assurer une légère retenue du couvercle lorsqu'il est en configuration fermée. L'assistance au maintien du couvercle dans l'une et/ou l'autre de ses configurations extrêmes peut aussi être obtenue au moyen d'un point dur formé par une déformation de l'axe de la charnière coopérant avec un lame élastique, un aimant, ou tout autre élément approprié.
Pour refermer le couvercle, l'utilisatrice rabat le couvercle et lui applique une poussée suffisante pour provoquer l'enfoncement du poussoir jusque dans sa configuration d'enfoncement maximum (ou à proximité de celle- ci), de sorte que celui-ci vienne ensuite dans sa configuration rétractée dans
laquelle il permet au couvercle d'être en affleurement avec le bord libre, sans exercer sur lui d'effort visant à le faire sortir de sa configuration d'escamotage ; en fait, l'existence d'un effort tendant à soulever l'équipement mobile au-dessus de sa configuration d'enfoncement minimal est acceptable lorsqu'il existe des retenues entre les plots 11A et 11 B mentionnés ci-dessus, constituant des butées définissant la position haute de l'équipement mobile ; ces retenues sont avantageusement capables de se déclipser.
On comprend aisément que le fait que le couvercle n'offre pas de prise à une ouverture intempestive lorsqu'il est en configuration fermée n'implique pas que le couvercle soit escamoté en totalité dans le volume du boîtier, notamment lorsqu'il est bombé comme dans le cas ici considéré. Il est même suffisant que seule une partie de l'épaisseur du bord libre du couvercle soit escamoté dans le volume du corps de boîtier.
L'ensemble bistable comporte au moins un poussoir bistable (il y a de préférence deux poussoirs identiques, disposés à une distance significative l'un de l'autre).
Tel que représenté schématiquement aux figures 9 à 11 , le poussoir noté 40 comporte deux parties mobiles l'une par rapport à l'autre en étant sollicitées l'une par rapport à l'autre par au moins un ressort. L'une des parties, 41 , est solidaire d'une piste de guidage fermée en forme de cœur (ici entourant une portion en saillie 42 en forme de pointe de flèche), qui est globalement située dans un plan perpendiculaire au plan moyen du fond, c'est-à-dire vertical. L'autre des parties, 43, est munie d'un bras 44 muni d'un doigt suiveur destiné à suivre cette piste de guidage lors des mouvements relatifs entre ces portées. Les parties ont un mouvement relatif de rotation, ou le doigt suiveur a un débattement en pivotement (cas représenté). Lorsque le doigt suiveur est retenu dans le creux 42A (en partie inférieure) du chemin, le poussoir est rétracté, tandis que, lorsque le doigt suiveur est en partie haute du chemin, le poussoir est en configuration détendue. La partie 41 est ici solidaire du corps de boîtier, tandis que la partie
43 est une partie mobile sur laquelle l'équipement mobile vient en appui pour les changements de configuration.
Le fait que le poussoir 41 comporte une piste globalement située dans un plan vertical a pour conséquence que ce poussoir peut avoir une section aplatie, ce qui permet de le localiser le long d'une portion de la paroi latérale 2C du corps de boîtier. On peut noter que, aux figures 9 à 11 , le bras 44 se prolonge au-delà du doigt suiveur, jusqu'à une extrémité notée 48. Un tel prolongement (ici rectiligne, mais qui peut en variante être coudé) permet une liaison entre les doigts suiveurs de plusieurs poussoirs, par exemple au moyen d'une tringle 48 à la figure 2. Cela permet une synchronisation entre divers poussoirs faisant partie de l'ensemble bistable.
De manière avantageuse, au moins l'un des poussoirs est adapté, en configuration d'enfoncement maximal, à venir en prise avec des éléments complémentaires d'accrochage prévus sur l'équipement mobile (voire sur le couvercle, au travers de cet équipement) ; cela permet d'assurer un bon maintien du couvercle en position fermée, indépendamment de la force des ressorts 12 ; cela permet d'assurer un bon guidage de l'équipement mobile, même lorsque le poussoir est unique en une position excentrée par rapport au boîtier pris dans son ensemble.
Plus précisément, la partie 43 mobile du poussoir comporte ici des griffes 45 et globalement orientées vers le couvercle et montées coulissantes perpendiculairement au fond conjointement avec cette partie 43, entre une configuration supérieure dans laquelle ces griffes sont écartées et une configuration inférieure dans laquelle ces griffes sont maintenues rapprochées. Par ailleurs, l'équipement mobile ou le couvercle comporte une protubérance 46 (voir la figure 2) adaptée à s'engager entre les griffes en configuration fermée du couvercle.
Dans l'exemple représenté, les griffes d'accrochage sont solidaires de la partie mobile du poussoir, c'est-à-dire que le poussoir est d'un type à accrochage (ou verrouillage) intégré. On comprend toutefois que, en variante, les fonctions de poussoir et de verrouillage peuvent être dissociées en des éléments distincts.
De manière avantageuse, la partie mobile dont les griffes sont solidaires comporte une butée, ici une butée centrale, contre laquelle vient appuyer la protubérance pour provoquer la pénétration des griffes entre des rampes 47 adaptées à forcer les griffes à se rapprocher. Les figures 12 à 14 représentent une variante de réalisation d'un poussoir faisant partie de l'ensemble bistable. Ce poussoir 60 est d'un type comportant deux portées formées de deux couronnes 61 et 62 mobiles l'une par rapport à l'autre en rotation et en translation en étant appliquées l'une contre l'autre par au moins un ressort 63. L'une des couronnes, 61 , mobile par rapport au fond, comporte des saillies radiales appliquées axialement contre une piste annulaire solidaire de l'autre couronne, 62 solidaire du fond, cette piste orientée vers le fond étant en dents de scie avec des creux (vers le haut) qui présentent l'une ou l'autre de deux hauteurs différentes. On comprend que, selon que les saillies radiales sont en regard des creux peu profonds, ou en regard des creux profonds, le poussoir prend l'une ou l'autre de deux configurations, selon que la couronne mobile 61 a pu monter, ou non, dans la couronne fixe 62.
Ce type de poussoir est assez proche du principe du bouton- poussoir des stylos-bille. Ce type de poussoir semble mieux adapté que le poussoir 40 à un emplacement situé à distance de la paroi latérale du corps de boîtier. Mais le poussoir 40 semble préférable en ce sens qu'il est plus facilement logeable au sein d'un boîtier.
On peut prévoir un asservissement (passif) entre l'ouverture du couvercle et l'abaissement de l'équipement mobile, pour que l'ouverture du couvercle ne soit possible que lorsque l'équipement mobile est en position haute et, à l'inverse, pour que l'abaissement de l'équipement mobile ne soit possible que lorsque le couvercle est rabattu contre cet équipement mobile. Il peut s'agir par exemple d'une cale située sur la paroi latérale du corps 2, à proximité de la charnière, qui coopère avec un doigt solidaire du couvercle.
Bien entendu les boîtiers selon l'invention peuvent avoir bien d'autres formes, notamment polygonales, voire rondes ou ovales.
Par ailleurs les constituants de ces boîtiers peuvent être différents de ceux explicitement décrits ci-dessus. C'est ainsi que les ressorts spirale 12 peuvent, notamment, être remplacés par des ressorts à lame ou tout autre type d'élément élastique. A titre d'exemple illustratif non limitatif :
- le corps du boîtier est en matière plastique du type ABS, recouverte par un vernis de protection, avec une longueur de 70 mm et une largeur de 70 mm (sa section est donc sensiblement carrée) et une profondeur de 15 mm, le fond ayant une épaisseur de 2 mm et sa paroi une épaisseur de 1 ,5 mm, les plots 11 ayant un diamètre de 6 mm,
- le poussoir a une course d'enfoncement de 1 ,2. mm par rapport à sa configuration rétractée et une course d'extension de 2,2 mm entre la configuration détendue et cette configuration rétractée,
- la coupelle est en une matière plastique de type PP et a une épaisseur de 1 ,5 mm,
- le couvercle est en matière plastique appropriée, avantageusement vernie, avec de préférence un miroir sur sa face interne (en variante il s'agit d'une matière plastique munie d'un enjoliveur en alliage d'aluminium, ou d'un alliage d'aluminium anodisé, d'un alliage ferreux, le miroir et le couvercle étant éventuellement formés d'un même matériau et a une épaisseur de 1 ,5 mm.
Next Patent: REMOVABLE LIGHTING DEVICE FOR A SWIMMING POOL, FIXED AROUND AN OUTLET NOZZLE OR A CLEANING CONNECTOR