CREATION CHIMIQUE D'HYDROGENE ET SUPPRESSION DE POLLUTION Le monde de l'énergie est une préoccupation essentielle de nos voyages sur terre et la condition journalière de déplacement. Le pétrole, fuel, a supplanté l'approche de la machine à vapeur, le charbon et le bois couvrent encore et reprennent un certain essor pour le chauffage domestique et industriel. L'hydrogène est un composant intéressant, mais dangereux à stocker. Il ne comporte pas de pollution pour sa combustion et assainit la pollution dans sa participation complémentaire à tout autre combustible comme le fuel. Il existe le système Pantome pour un apport d'hydrogène, mais les applications, les résultats sont fortement mitigés, et surtout inconstants. La présente demande de PCT concerne l'obtention d'énergie d'hydrogène et d'oxygène en complément de combustible, de fuel ou d'essence dans des circonstances qui ne produisent pas de danger, car la production est réalisée suivant la demande en temps pratiquement instantané. Les résultats tous confondus sur plusieurs moteurs thermiques, diverses cylindrées, avec ce procédé et ces appareils, apportent systématiquement un gain en puissance qui se manifeste par un couple parfaitement linéaire, depuis les bas régimes aux régimes maximums du moteur, donné par le constructeur. Le couple est constant et fort sur toute la plage des tours minutes du moteur, aussi les reprises de puissance sont fortes. La consommation est réduite, descendue dans des proportions qui s'étendent entre 18% et 25% de la consommation admise. La particularité est l'absence de bruit qui est une particularité spécifique de l'usage de l'hydrogène, et a un fonctionnement extrêmement fluide, souple, sans à- coup. Les caractéristiques constatées, de cette technologie, Fig.1 sont la mise en place d'un procédé piézo, de poly-cristal ou céramique, silice, qui lève toutes tensions de charges électromagnétiques, et qui en cette circonstance de l'évaporation de l'eau diminue les forces de tensions de verrouillage des liaisons « valence » entre les particules H ² 0, pendant la phase de mise en vapeur d'eau (1) et de son cheminement turbulent jusqu'à l'admission des cylindres (2,3,4,5), par et dans les tubulures d'admission d'air (6,7,8). La proximité du compartiment contenant l'eau (9) proche d'une source de chaleur moteur(10) ou échappement (11) contribue à un minimum de température 20°/50° pour l'évaporation de l'eau (12) étant dans un compartiment « contenant » particulier de l'admission d'air (13) modifié pour recevoir l'eau avec un filtre à air (14) adapté à cette condition humide. Le plasma piézo (15) recouvre le contenant eau/air à l'intérieur et/ou sur les admissions d'air, ce qui permet d'éradiquer, d'absorber les charges électromagnétiques dispersées par les organes du moteur et aussi pendant la phase particulière de l'évaporation de l'eau et de ses turbulences, de diminuer les forces de liaisons, entre les particules d'oxygène/ d'hydrogène. Les liaisons restantes s'effondrent sans effort dans les explosions avec le combustible fuel, essence ou gasoil. La forme du contenant définit la quantité de l'hydrogène obtenue. Ce principe de mise en oeuvre est un exemple non limitatif de réalisation par l'homme de l'art, sur ce moteur 4 cylindres. Il en est ainsi pour toutes les cylindrées et types de moteurs à combustion, voir aussi les turbines de moteur d'avion. En vitesse constante, sans accélération, le silence de fonctionnement apporté est surprenant, et apporte un confort exceptionnel. Les perturbations électromagnétiques des moteurs en sont grandement diminuées, et permettent une réception téléphonique exceptionnelle. Pour les chaudières, chauffages et industrie, cette technologie apporte un rendement excellent et du silence, sans pollution. Le PCT sur le plasma piézo ou gel peinture chauffage est une composition adaptée à ce problème, qui est une autre application spécifique : celle-ci reposant sur la combinaison caractérisée, 1 °- de l'évaporation de l'eau par aspiration venturi forcée de l'admission d'air jusqu'aux cylindres, 2°-en présence du contenant de l'eau, et des admissions d'air, où est appliqué un produit piézo simple ou complexe, sensible absorbeur gloutons en électrons. En effet, par exemple la piézo est de la silice, poly-cristal silice ou du plâtre renforcé de silicate, et d'un excipient peinture à l'eau par exemple non limitatif avec ou non du métal en poudre. Les proportions du mélange ainsi fait sont de 1/3 poudre métallique, 1/3 de piézo et 1/3 de peinture, ce qui permet une solution applicable sur les surfaces en interne ou externe recouvrant les admissions et le contenant/admission boite à air avec son filtre. Silicate et poudre de cuivre ou d'aluminium ou de substances métalliques sont de l'ordre de plusieurs microns, pour un mélange homogène. Des mélanges grossiers, de dixièmes de millimètres, pour de grosses machines, fonctionnent aussi. La peinture est un excipient support de mélange, et sert d'applicateur sur les parois. Les composants piézo et poudres métalliques peuvent être insérés directement dans la matière du contenant à la création, l'injection du réservoir 'contenant', ou des tubulures d'admissions d'airs. Les poudres métalliques peuvent être d'une unique matière de cuivre, ou mélangées entres elles, cuivre/fer et aluminium par exemple, elles permettent de capter les électrons pendant la circulation des vapeurs d'eau ainsi modifiées. Pour assurer l'apport d'eau suffisant dans le contenant, une pompe externe, de type électrique par exemple et un détecteur de niveau d'eau minimum/maximum dans le ou les contenants de l'admission d'air permet de maintenir le niveau d'eau. Une réserve d'eau externe de 20 à 60 litres peut être mise à disposition suivant la grandeur des moteurs. Pour les grosses génératrices diesels, une très grande réserve est à prévoir. Ce procédé et sa mise en œuvre permet de diminuer considérablement les pollutions atmosphériques aux normes les plus élevées avec un rendement moteur exceptionnel. L'admission de l'ad Blue en fin de cycle de la carburation moteur au niveau de l'échappement, après le turbo est par ce principe rendu inutile, car les pollutions sont éliminées dès leur origine, et n'existent plus. Ces procédés ne peuvent donc se confondre dans leurs mises en œuvre et dans les résultats obtenus.