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Title:
COLLAPSIBLE COAT HANGER
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1998/053725
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a clothes hanger collapsible into a reduced volume for use, transport and storing (Figure 3). It consists of a cardboard sheet comprising a series of folds resulting from industrial creasing (1,2 - Figure 1 and 3, 4, 5, 6, 7, 8 - Figure 2) in a rhombic shape enabling the user to shape it with a simple continuous movement (Figures 4, 5, 6, 7, 8). Two matching half-hooks (A and B - Figure 1) are arranged to be folded inside the rhombus.

Inventors:
REDEUILH PATRICK (FR)
RAULT PHILIPPE (FR)
Application Number:
PCT/FR1998/001039
Publication Date:
December 03, 1998
Filing Date:
May 25, 1998
Export Citation:
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Assignee:
REDEUILH PATRICK (FR)
RAULT PHILIPPE (FR)
International Classes:
A47G25/36; (IPC1-7): A47G25/36
Foreign References:
FR2758070A11998-07-10
FR2703577A11994-10-14
GB650516A1951-02-28
US2355969A1944-08-15
US1760352A1930-05-27
Other References:
None
Attorney, Agent or Firm:
Redeuilh, Patrick (Montigny-le-Bretonneux, Montigny-le-Bretonneux, FR)
Redeuilh, Patrick (Montigny-le-Bretonneux, Montigny-le-Bretonneux, FR)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. 1) Cintre porte vêtement pliable caractérisé par le fait qu'il est obtenu en pliant un losange découpé à partir d'une feuille de carton, rainé sur au moins un premier pli (1) orienté selon la grande diagonale de ce losange, ledit premier pli étant concave, vu selon une première face du losange du cintre, sur une partie intérieure de sa longueur et convexe sur les deux parties d'ex trémité de cette grande diagonale. Cette face du cintre comportant par ailleurs deux demiattaches ou crochets de suspension rapportées (A,B), ellesmêmes repliables à l'intérieur du périmètre et du volume du cintre replié.
2. Cintre porte vêtement pliable selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comporte un second pli rainé (2) orthogonal au premier pli (1) selon la petite diagonale du losange et qui est par référence à ladite première face (Figure 1) en creux ou concave.
3. Cintre porte vêtement pliable selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte également quatre autres plis rainés (3,4,5,6) qui sont en creux ou concaves par référence à une deuxième face (Figure 2) opposée à la première. Ces quatre plis (3,4,5,6) reproduisant la forme d'un second losange ou losange intérieur à la forme du cintre dénommée premier losange, dont deux des sommets coïncident avec deux sommets du premier losange situés sur sa petite diagonale, les deux autres sommets (P) dudit second losange étant placés sur la grande diagonale du premier losange, I'orientation des quatre plis (3,4,5,6) par rapport aux lignes du bord du cintre obtenue en faisant varier sur la grande diagonale la place du point P détermi nant l'amplitude et la largeur de quatre zones en forme de bords abaissés (9,10,11,12) extérieures au second losange.
4. Cintre porte vêtement pliable selon la revendication 3 caractérisé en ce que l'inversion du pli (1) de la grande diagonale à ses extrémités droite et gauche en plis convexes (7, 8) est effectuée aux sommets (P) du second losange, ces plis (7, 8) permettant la réalisation de l'angle structurant (P) créant une conti nuité du dispositif d'épaulement par deux angles plongeants ou emmanche ments, et à angle déterminé par la variation sur la grande diagonale de la place du point P l'abaissement en profil portant de quatre zones en forme de bords abaissés (9,10,11,12).
5. Cintre porte vêtement pliable selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que les deux demiattaches ou crochets de suspension sont réalisées avec un pli oblique (26) et trois faces apparentes (25, 27, 28) dont la partie portant les faces 27 et 28 en étant rabattue en position utile vient contre vanter le pli médian (2) et empêcher que le cintre ne se plie involontairement en deux suivant le pli (2) sous le poids du vêtement qui lui est destiné.
6. Cintre porte vêtement pliable selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 caractérisé en ce que les deux demiattaches ou crochets de suspension sont réalisées avec deux plis (32, 34) et cinq faces apparentes (29, 30, 31, 33, 35) dont la partie portant les faces 30 et 35 en étant rabattue vient contrevanter le pli médian (2) et empêcher que le cintre ne se plie involontairement en deux suivant le pli (2) sous le poids du vêtement qui lui est destiné, les deux plis de l'attache (32, 34) étant perpendiculaires et de concavités différentes.
Description:
CINTRE-PORTE VETEMENT PLIABLE La présente invention concerne un cintre ou porte-vêtement pliable présenté plié (Figure 3) avant son utilisation et qui peut être replié après celle ci pour être réutilisé.

D'abord et traditionnellement cet objet est réalisé soit en bois soit en plastique. Ils sont donc des objets contondants, encombrants, difficiles à transporter, à stocker, à ranger. Ils sont d'un poids qui nie leur utilité.

Ensuite, bien qu'il existe des cintres taillés dans des panneaux de carton, celui-ci se doit d'être d'une épaisseur qui, étant le seul élément de structure, sera dimensionné de telle façon que cette épaisseur devra à elle seule assurer la rigidité apte à supporter le poids du vêtement qui lui est destiné. Dans ce cas d'emploi de matière comme dans ceux cités plus haut, le cintre est tou- jours un objet encombrant, contondant, et également d'un poids qui épuise son intérêt pratique d'utilisation.

Ces deux catégories de cintres impliquent aussi de lourdes consé- quences environnementales.

Traditionnellement il s'agit donc toujours d'un objet pratique qui ne l'est d'abord pas lui-même.

La conception de cette invention permet de remédier et dépasser ces inconvénients.

Cette invention a pour but de proposer un cintre pliable réalisé avec une feuille de carton fin ondulé du type micro-cannelures. Cette légèreté de gram- mage de carton choisie ne contredit pas la résistance du cintre puisque le lien majeur avec sa capacité mécanique de portage est celui que le cintre acquiert par la structuration qu'ordonne les plis qui le composent et qui en sont sa mécanique. Ces plis sont représentés sur les figures en traits pleins lorsqu'il s'agit de leurs angles convexes et en traits pointillés lorsqu'il s'agit de leurs angles concaves.

Un but de l'invention est de substituer à l'emploi excessif de matière une résistance acquise par les plis créant des angles qui la rigidifie.

Un autre but de l'invention est de proposer un cintre plié susceptible d'être conditionné, rangé, stocké ou transporté dans un espace réduit avant son utilisation.

Un autre but de l'invention est de proposer un cintre susceptible d'être replié pour être stocké ou transporté après son utilisation.

Selon l'invention, il a été imaginé de rechercher un principe de pliage et

une géornétrie des plis qui permettent de réaliser d'un geste simple et fluide le corps d'un cintre en carton dont les capacités et avantages cumulés de por- tage sont supérieurs aux cintres connus de taille équivalente, notamment grâce à la longueur de l'envergure, la forme des angles, leurs degrés, déterminant surtout une largeur de maintien unique. On y parvient selon l'invention par le fait que le cintre est obtenu en pliant un losange découpé à partir d' une feuille de carton, rainé sur au moins un premier pli (1 - figure 1) orienté selon la grande diagonale de ce losange, ledit premier pli étant concave, vu selon une pre- mière face du losange du cintre (Figure 1), sur une partie intérieure de sa lon- gueur et convexe sur les deux parties d'extrémité de cette grande diagonale.

Cette face du cintre comportant par ailleurs deux demi-attaches ou crochets de suspension rapportées ( A, B - Figure 1) elles-mêmes repliables à l'inté- rieur du périmètre et du volume du cintre replié.

Selon une particularité intéressante de l'invention et pour son rangement, le cintre comporte aussi un second pli rainé (2 - Figure 1) orthogonal au premier pli (1 - Figure 1) selon la petite diagonale du losange et qui est par référence à ladite première face (Figure 1) en creux ou concave.

Selon une autre caractéristique de l'invention le cintre comporte aussi quatre autres plis rainés (3, 4, 5! 6 - Figure 2) qui sont en creux ou concaves par référence à une deuxième face représentée (Figure 2) opposée à la première (Figure 1). Ces quatre plis (3, 4, 5, 6 - Figure 2) reproduisent la forme d'un second losange ou losange intérieur à la forme du cintre dénom- mée premier losange dont deux des sommets coïncident avec deux sommets du premier losange situés sur sa petite diagonale, les deux autres sommets (P - Figure 1) dudit second losange étant placés sur la grande diagonale du premier losange, I'orientation des quatre plis (3, 4, 5, 6 - Figure 2) par rapport aux lignes du bord du cintre obtenue en faisant varier sur la grande diagonale la place du point P (Figure 1) déterminant l'amplitude et la largeur de quatre zones en forme de bords abaissés (9, 10, 11, 12 - Figure 1) extérieures au second losange.

La présente invention restitue ainsi l'amplitude de volume nécessaire à l'intégrité des formes du vetement que ce cintre porte.

Cette structure est particulièrement simple à réaliser. Le passage de l'état plié ou replié à celui de mise en volume fonctionnel, c'est à dire l'obtention de sa forme utile. n'est que la conséquence d'un geste qui, ouvrant le cintre ou

le dépliant, créera l'entraînement dynamique des plis inscrits par rainage dans le carton qui sont autant d'axes de rotation autour desquels, suivant des arcs variés, s'articuleront les fractions de surface qui sont les parties de l'en- semble formel du cintre prêt à son emploi.

C'est donc à partir de sa forme dite pliée (Figure 3), en soulevant les deux pointes de la forme (Figure 4) jusqu'à obtenir l'ouverture suffisante du cintre (Figure 5) qui permettra de déplier les deux demi-attaches ou crochets à suspendre (Figure 6), puis en joignant les deux moitiés de la suspension ou crochet (Figure 7) qu'un utilisateur en l'ouvrant et suivant les contraintes prédéterminées industriellement dans le carton obtiendra un cintre prêt à l'emploi (Figure 8). Dans cette description et par convention sera nommée première face celle qui porte les attaches ou crochets à suspendre et qui sera donc celle où sont numérotés les plis concaves 1 et 2 (Figure 1), et nommée deuxième face celle qui lui est opposée, celle où seront donc numérotés les plis concaves 3, 4, 5, 6, 7, 8 (Figure 2). Suivant donc cette présentation et constatant que la valeur d'angle d'un pli considéré sur la face où il a été rainé est inversée Si on le considère sur la face opposée à son rainage, la deuxième face (Figure 2) représentera donc les plis 1 et 2 convexes, et la première face (Figure 1) représentera donc les plis 3, 4, 5, 6, 7, 8 convexes.

L'inverse sera symétnquement du même ordre de simplicité. Le cintre se formera et se repliera suivant les contraintes industriellement déterminées par rainage dans la masse du carton.

Selon l'invention ce but d'être plié et déplié est obtenu par une forme de réalisation préférée qui utilise une fine feuille de carton. Selon cette forme particulière de l'invention, cette feuille présente deux surfaces planes ou faces opposées de telle sorte qu'elles puissent recevoir des impressions directes ou bien être contrecollées par des feuilles de papier imprimées sépa- rément.

Selon l'invention cette feuille de carton est découpée en forme de losange dénommé le premier losange, qui en a toutes les caractéristiques géomé- triques, notamment les côtés égaux et dont les diagonales qui sont les bissectrices des angles se coupent à angle droit (Figure 1).

II est également prévu selon l'invention que les dimensions choisies de cette forme de losange déterminent des tailles différentes de cintres néces-

saires aux variations des tailles de vêtements qui lui sont destinés.

Selon l'invention cette forme est industrialisée avec un ensemble de huit plis rainés (1. 2 - Figure 1 - 3, 4 5, 6, 7, 8 - Figure 2) qui en sont sa méca- nique faisant qu'un seul mouvement en assure la servitude fonctionnelle.

Selon cet aspect de l'invention et comme cas non limitatif, le carton de corps du cintre est rainé de huit plis qui, par référence à la face présentée Figure 1 sont en creux ou concaves lorsqu'il s'agit des deux plis orthogonaux selon les diagonales du second losange (1,2 - Figure 1), et par référence à la face présentée Figure 2 sont en creux ou concaves lorsqu'il s'agit des quatre autres plis (3, 4, 5, 6 - Figure 2) qui forment le périmètre du second losange, et toujours par référence à la face présentée Figure 2 sont en creux ou concaves lorsqu'il s'agit des deux autres plis (7, 8 - Figure 2) qui sont le pro- longement de la grande diagonale au delà du périmètre du second losange en plis inversés (7, 8 - Figure 2) à partir du point P (Figure 1). Ces valeurs d'angles sont évidemment inversées si on les considère pour chacun d'eux sur la face du cintre opposée à leur rainage.

L'ensemble de ces huit plis sur les deux faces (Figures 1-2) détermine 16 zones: - Pour la Figure 1 qui porte les attaches ou crochets de suspension (A,B) ce sont les zones 9-10-11-12 et 17-18-19-20.

- Pour la Figure 2, c'est à dire l'autre côté du cintre ou la face opposée à celle représentée Figure 1, ce sont les zones 13-14-15-16 et 21-22-23-24.

Selon ce mode particulier et non limitatif de l'invention les quatre plis (3,4,5,6 - Figure 2) représentes concaves du côté de leur rainage repro- duisent la forme du losange, dénommé second losange par rapport au premier losange qui est la forme générale du cintre.

A l'intérieur du second losange formé par ces quatre plis (3, 4, 5, 6 - Figure 2) et à l'endroit de leurs diagonales se coupent orthogonalement deux plis en creux ou concaves (1,2-Figure 1).

Selon l'invention, à l'extérieur du périmètre des quatre plis ( 3, 4, 5, 6 - Figure 2) formant le second losange, la grande diagonale (1- Figure 1) se termine de part et d'autre par un renversement de la nature du pli qui, sur la face considérée, deviennent convexes sur la Figure 1 et sont représentés concaves du côté de leur rainage (7, 8 - Figure 2).

Selon cette caractéristique de l'invention cette inversion du pli 1 (Figure 1)

de la grande diagonale à ses extrémités droite et gauche en plis convexes 7, 8 considérés ici Figure 1 sur la face opposée à leur rainage (Figure 2), est effectuée aux sommets (P) du second losange, ces plis (7, 8) permettant la réalisation de l'angle structurant (P) créant une continuité du dispositif d'épau- lement par deux angles plongeants ou emmanchements, et à angle déterminé par la variation sur la grande diagonale de la place du point P ( Figure 1), I'abaissement en profil portant de quatre zones en forme de bords abaissés (9, 10, 11, 12-Figure9).

Selon l'invention ce point d'inversion P (Figure 1) détermine un élément de structuration particulier qui forme l'inflexion de l'emmanchement du cintre, assurant dans cette option particulière d'inversion terminale du pli concave en pli convexe de la grande diagonale et dans la contrainte structurante qu'elle produit, un paramètre cardinal de rigidité et un élément de continuité de por- tage s'engageant dans la manche, propre à restituer l'ampleur du vêtement destiné au cintre.

Cette terminaison inversée de concave en convexe du pli de la grande diagonale en déterminant deux angles plongeants (P - Figure 8) permet une continuité et un accroissement du dispositif d'épaulement.

Suivant des cas précis et non limités de l'invention, l'orientation des quatre plis (3, 4, 5, 6 - Figure 2) formant le second losange par rapport aux lignes du bord du cintre formant le premier losange détermine entre leur rainage et la ligne de bord du cintre quatre zones (9,10,11,12 -Figure 1) en forme de bords abaissés (9,10,11,12 - Figure 9) qui viennent créer, en posi- tion utile, un profil portant, une largeur de portage et de maintien du vêtement propre à lui restituer son ampleur.

Selon cette forme particulière de l'invention, L'angle que l'on donnera entre eux à ces 4 plis (3,4,5,6 -Figure 2), en faisant varier sur la grande diagonale la place du point P (Figure 1) déterminera d'abord une importance en surface dédiée aux bords abaissés ( 9, 10, 11, 12 - Figure 9) et par consé- quent une zone de portage ou de support plus ou moins importante et struc- turée, venant plus ou moins augmenter cette valeur de portage.

Selon l Invention et pour être suspendu à une barre ou un porte-manteau le cintre est doté de deux derni-attaches rapportées ou crochets à suspendre (A,B -Figurel) en carton plat pliables entièrement rétractables qui, en position de stockage. sont intégralement contenues dans le périmètre et le volume du

cintre replié. Ces deux demi-attaches ou crochets à suspendre disparaissant intégralement à l'intérieur du cintre replié.

Cette caractéristique de l'invention est réalisée selon deux possibilités techniques qui sont Selon cette caractéristique, la première forme de l'attache ou crochet à suspendre (Figures 10, 11) est formée de deux parties réalisées avec un pli oblique (26 - Figure 11) et trois faces apparentes ( 25, 28 - Figure 10, 27 - Figure 11) articulées entre elles par ce pli (26 - Figure 11). La première de ces deux parties portant la face 25 (Figure 10) dont la face qui lui est oppo- sée est collée au corps du cintre et en rend l'attache solidaire, est bordée par un pli oblique (26 - Figure 11) qui permet à l'articulation de ramener la partie active du crochet (27 - Figure 11) à l'intérieur du périmètre et du volume de l'ensernble du cintre une fois celui-ci replié et qui permet de rabattre en posi- tion utile la deuxième partie portant les faces 27 (Figure 11) et 28 (Figure 10) sur le pli médian (2 - Figure 1) pour contrevanter et palier l'inconvénient que ce cintre ne se plie involontairement en deux suivant le pli 2 (Figure 1) sous le poids du vêtement.

Cette deuxième partie portant les faces 27 (Figure 11) et 28 (Figure 10) de cet aspect caractéristique de première forme d'attache est celle sur laquelle dans ce cas là s'exercera la suspension proprement dite. Celle-ci est en forme de crochet à pans et possède un guide d'accrochage oblique à l'amorce de sa partie évidée.

Selon l'autre aspect de cette caractéristique la deuxième forme de l'attache ou crochet à suspendre (Figures 12, 13, 14) est formée de trois parties réali- sées avec deux plis (32 - Figure 13, 34 - Figure 14) et cinq faces apparentes (29, 30 - Figure 12, 31 - Figure 13, 33, 35 - Figure 14).

La première de ces trois parties est le talon (33 - Figure 14) dont la face opposée à la face apparente (33 - Figure 14) est collée au corps du cintre et en rend l'attache solidaire, ce talon est bordé sur son grand côté par un pli (34 - Figure 14) qui permet l'articulation avec la deuxième partie de l'attache (35-Figure14), cette deuxième partie qui porte les faces 35 (Figure 14) et 30 (Figure 13), en étant rabattue vient contrevanter et couvrir le pli médian (2-Figure 1) qui permet la position repliée ou de rangement et empêcher la conséquence que ce cintre ne se plie involontairement en deux suivant le pli 2 (Figure 1) sous le poids du vêtement qui lui est destiné. Cette deuxième

partie de l'attache portant les faces 35 (Figurel4) et 30 (Figure 13) qui est reliée au talon (33-Figure 14) solidaire par un pli (34-Figure14) est bordée orthogonalement à ce pli par un autre pli (32-Figure 13) qui permet l'articula- tion avec la troisième partie portant les deux faces 31 (Figure 13) et 29 (Figure 12) de l'attache ou crochet à suspendre qui est la partie sur laquelle s'exercera la suspension proprement dite. Cette troisième partie de l'attache ou crochet à suspendre est en forme de crochet à pans et possède un guide d'accrochage oblique à l'amorce de sa partie évidée. Selon ce modèle d'attache les plis 32 et 34 sont perpendiculaires et de concavités différentes.

Selon ces deux cas de cette caractéristique de l'invention, chaque attache entière ou crochet à suspendre complet est formée de deux éléments séparés (A,B - Figure 1) mais solidaires pour chacun d'eux de la même face du cintre.

La présente invention sera maintenant décrite plus en détail, en référence aux dessins, et d'autres particularités et avantages de l'invention ressortiront encore de la description ci-après relative à des exemples non limitatifs.

- Dessins annexés- La figure 1 montre un cintre selon l'invention vu du côté où se fixent les attaches ou crochets à suspendre (A,B - Figure 1). Sa forme générale est celle d'un losange ayant ses caractéristiques géométriques, notamment les côtés égaux et les diagonales qui sont les bissectrices des angles qui se coupent à angle droit.

Sur cette face ont été rainés deux plis (1-2) qui sont donc en creux ou concaves par rapport à la face considérée.

La Figure 2 montre le mëme cintre de l'autre côté. II a été retourné de telle façon que le bord Nord Figure 1 devienne le bord Sud sur la Figure 2.

Sur cette face ont été rainés six plis (3-4-5-6-7-8) qui sont donc en creux ou concaves par rapport à la face considérée. Chacun de ces plis de la figure 1 et de la figure 2 a donc une valeur d'angle inversée si on le considère sur la face opposée à celle où il a été rainé.

La Figure 3 montre un cintre replié présentant sa structure au stockage.

La Figure 4 représente le mouvement à effectuer pour ouvrir le cintre.

Elle indique le sens de l'impulsion nécessaire à l'obtention de sa forme utile.

La Figure 5 montre en suivant l'impulsion d'ouverture le moment où cette Impulsion provoque une énergie élastique suffisante pour contraindre les plis

rainés (3, 4, 5, 6, 7, 8 - Figure 2) à orienter les zones (9, 10, 11, 12) dont ils sont les limites.

La Figure 6 illustre la position d'accessibilité à l'ouverture ou au déploie- ment des deux demi-attaches ou crochets de suspension et donc à la rotation des deux renforts qui viennent contrevanter et empêcher ainsi la conséquence du pli 2 (Figure 1).

La Figure 7 montre l'amorce du mouvement de mise en configuration utile qui entraîne l'orientation des deux emmanchements que provoquent les angles d'épaulement (P).

La Figure 8 représente le cintre en position utile. Les angles d'épaulement (P) ainsi que les pointes d'emmanchement étant alors formés. Cet angle (P) est provoqué par la terminaison inversée de concave en convexe des extré- mités du pli 1 concave situées de part et d'autre du second losange en plis 7 et 8 convexes. C'est cette inversion des plis sur un même axe, le pli 1 (Figure 1) concave devenant à sa suite droite et gauche les plis 7 et 8 convexes si on les considère sur la face opposée à celle de leur rainage (7, 8 - Figure 2), qui produit l'angle structurant P (Figure 8).

La Figure 9 représente une vue par dessus du cintre. Cette figure permet de voir la forme de profil et sa largeur offerte au maintien du volume du vêtement. Cette largeur est donnée par la juxtaposition des zones (9,12) et (10,11) qui, jointives deux à deux, forment un large rebord de maintien.

La Figure 10 représente la première forme d'une demi-attache ou crochet à suspendre en position repliée autour du pli (26 - Figure 11) ce qui lui permet de se rétracter entièrement dans le périmètre et le volume du cintre replié.

La Figure 11 représente cette même demi-attache dépliée en position d'utilité. Elle se compose de quatre faces, dont une collée au corps du cintre, la face opposée à la face 25 ou deuxième face de ce talon, qui par collage rend l'attache solidaire du corps du cintre, la face 27 qui en se relevant vient contrevanter le pli 2 (Figure 1) et palier l'inconvénient qu'il aurait à se plier en deux suivant le pli 2 (Figure 1) sous le poids d'un vêtement.

La face 28 qui apparat Figure 10 est la face externe de l'attache ou cro- chet à suspendre. A ce titre elle sera susceptible d'être imprimée et décorée.

La Figure 12 représente la position repliée de la deuxième forme d'une demi-attache ou crochet à suspendre. Cette position est repliée autour des plis 32- Figure 13 et 34-Figure 14, ce qui lui permet de se rétracter entière- ment à l'intérieur du périmètre et du volume du cintre replié.

La Figure 13 représente le premier mouvement d'ouverture de cette deuxième forme de demi-attache ou crochet à suspendre. La première rota- tion d'ouverture s'effectue autour du pli 32.

La Figure 14 représente le deuxième mouvement d'ouverture de cette deuxième forme d'une demi-attache ou crochet à suspendre. La deuxième rotation d'ouverture s'effectue autour du pli 34. La face 30 vient contrevanter le pli 2 (Figure 1) et le renforcer pour palier l'inconvénient que le cintre aurait à se plier en deux suivant le pli 2 (Figure 1) sous le poids d'un vêtement.

La face 31-Figure 13 est la face externe de cette demi-attache ou crochet à suspendre et à ce titre aura vocation à être imprimée.

Ces deux formes d'attaches sont en forme de crochets à pans et pourvues d'un guide d'accrochage oblique à l'amorce de leurs parties évidées.

Selon un mode particulier de réalisation ces attaches ou crochets à suspendre pourront être rendues solidaires du corps du cintre et fixés à lui par un rivet.




 
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