Pompe à béton

Domaine technique auquel se rapporte l'invention

La présente invention a pour objet principal une pompe à béton à réducteur hydraulique ou mécanique. La pompe à béton est généralement utilisée dans le domaine des travaux publics, particulièrement dans la préparation, le malaxage du béton. Cette pompe à béton peut être dotée d'un réducteur hydraulique ou mécanique. Le premier réducteur est solidaire et entraîné par une pompe hydraulique à double corps. Ce réducteur hydraulique assure la transmission d'un mouvement rotatif pour entraîner l'arbre de malaxage muni de pales.

Etat de la technique antérieure

On connaît plusieurs variétés de pompes à béton dans le domaine de la préparation et le malaxage du béton. Ces pompes sont décrites dans nos différents brevets d'inventions délivrés et publiés dans le bulletin officiel. Cette nouvelle pompe se caractérise par son nouveau système de réducteur hydraulique commandé par une pompe hydraulique à double corps permettant une marche avant-arrière pendant les opérations et ses différents stabilisateurs au nombre de six pour donner à cette machine un maximum de sécurité et de stabilité durant son exploitation sur les chantiers ou ailleurs.

But de l'invention

La présente invention a pour principal but une pompe à béton pour la préparation, le malaxage du béton et son transfert sur le lieu même de son coulage. Ce transfert peut être vertical ou horizontal. Cette machine est tractable et donc peut être facilement acheminée sur chantier.

Enoncé des figures

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description suivante donnée en regard des dessins annexés à titre illustratif mais nullement limitatif, dans lesquels :

• La figure 1 est une vue générale de la pompe à béton. • La figure 2 est une vue en coupe de la cuve de malaxage.

• La figure 3 est une vue des modèles palettes

• La figure 4a est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 4b est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 4c est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 4d est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 4e est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 4f est une vue d'un modèle de stabilisateur

• La figure 5 est une vue de la pompe avec montée sur le châssis.

• La figure 6 est une vue de la cuve avec son réducteur raccordée au moteur hydraulique.

• La figure 7 est une vue arrière de la pompe.

• La figure 8a est une vue d'un modèle de cuve avec son stabilisateur

• La figure 4b est une vue d'un modèle de cuve avec son stabilisateur

• La figure 4c est une vue d'un modèle de cuve demi-ronde

Présentation de l'essence de l'invention et son mode de réalisation

En référence aux figures précitées, la pompe à béton comporte au moins un skip (4), assurant l'alimentation de la cuve de malaxage en matériaux de construction. Afin de faciliter la tache aux opérateurs de la machine, ce skip (4) est doté intérieurement d'un support de sac (5) et une ligne de coupe sacs de ciment. La mobilité de bas en haut du skip (4) est assurée grâce à un vérin hydraulique (13). Un triangle d'assemblage permet de fixer le skip et la trémie (7).

Ce vérin est placé du coté bas du skip (4). Le mélange des matériaux de constructions contenus dans le skip (4) est versé directement dans la cuve de malaxage (2) par le biais de la trémie (7) placée directement sur le côté haut de la cuve. La cloche (47) est fixée directement à la cuve (2) par boulons. Cette trémie (7) est protégée par une grille de sécurité pour éviter les éventuels cas de projection de gr vats_QU_autr.es_lors_des_opérations_de--transferts-du-béto n. Cette-trémie (7-)-est mobile grâce au support de la trémie. La cuve de malaxage peut être demi-ronde, c'est-à-dire le haut de la cuve est plat contrairement à d'autres modèles où le haut de la cuve est ronde ou carrément bombée. La cuve de malaxage est équipée d'un couvercle de fermeture (7) très résistante aux fortes pressions exercées par le compresseur d'air lors des opérations de transfert de béton. Cette étanchéité est assurée grâce à un joint en caoutchouc inséré sur toute la circonférence du couvercle. La fermeture et l'ouverture du couvercle de fermeture est assurée grâce au levier de fermeture (9). La cuve de malaxage est dotée d'un arbre de malaxage (21) de forme carré sur lequel sont fixées des pâles (20) au nombre de quatre ou plus. Les pâles (10) de malaxage sont fixées à l'arbre de transmission par deux systèmes. La sortie de cuve est munie d'un flexible d'air de 7 bars de pression.

Le premier système est un logement en forme de U et le second système est en forme de menottes. L'arbre de transmission (21) est solidaire d'un réducteur hydraulique commandé par une pompe hydraulique à double corps ou un réducteur mécanique entraîné par un système de cardan. L'arbre de transmission avec son réducteur est équipé d'un cardan assemblé entre le manchon de l'arbre et le manchon du réducteur. Les deux flexibles (43), (44) servent pour la rotation du moteur vers la droite ou la gauche.

L'arbre d'entraînement (21) est entraîné par un bloc réducteur composé d'un pignon d'attaque, d'un pignon à deux étages et d'un pignon simple. Le bloc réducteur est équipé à l'entrée d'une poulie reliée au moteur du compresseur par une courroie montée sur une autre poulie assurant ainsi son entraînement par le biais de l'axe du compresseur. Le moteur hydraulique est fixé par quatre boulons. La rotation de ce moteur hydraulique donne la possibilité au malaxeur de malaxer sur les deux sens, à droite comme à gauche, en plus d'un point mort pour l'arrêt d'urgence de la machine. Cette poulie montée sert aussi à entraîner la pompe hydraulique (25). L'arbre de malaxage (21) est fixé de part et d'autre sur le palier central arrière (12)eLle-pa I ier_centra Lava nt(22) .._ La cuve de la machine est fixée directement au support du châssis (10) par des boulons. Le compresseur à air est également fixé au dessus du châssis par boulons. Toutes les manipulations sont exécutées par un levier de distribution placé sur le côté du compresseur.

Un tableau de bord est également monté sur le compresseur pour avoir des informations sur le bon fonctionnement de la machine. On notera un indicateur d'huile, un manomètre de pression, un compteur horaire et un neiman pour le démarrage et l'arrêt de la machine. Afin de pouvoir travailler même la nuit, il est prévu sur le toit du compresseur un projecteur lumineux. De part son emplacement ce projecteur, permet d'éclairer clairement au moins le skip et la bouche de cuve de malaxage. Le compresseur à air est monté sur un châssis muni de deux roues dotées de pneumatiques à l'arrière avec des gardes boue. La machine repose sur deux roues montées sur l'essieu.

A l'avant est placée une roue stabilisante (14). Le fonctionnement et la mise en route du compresseur à air sont simples. La grande pression d'air fournie pour bonne marche est fournie par un moteur diesel. Lors des déplacements, un attelage est prévu à l'avant du compresseur de la pompe à béton.

La stabilité de la machine est assurée par des stabilisateurs. Les différents stabilisateurs sont fabriqués en tube rond, en tube carré et fer à U. Ces stabilisateurs sont placés à l'arrière comme à l'avant. Ces stabilisateurs sont déployés avant la mise en marche de la machine.