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Patent Searching and Data


Title:
COOKING VESSEL PROVIDED WITH A COLD TUBULAR HANDLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/109183
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a cooking vessel (1) intended to be placed on a heating source, said cooking vessel (1) comprising a side wall (4) and a handle (10) secured to said side wall (4) by fastening elemens (15, 16), said handle (10) comprising a tubular gripping portion (11) which extends radially to the lateral wall (4) in a longitudinal direction X and which has an attachment end (12) and a free end (13) provided with an orifice (14). According to the invention, the attachment end (12) is closed by an end wall (4a) and the attachment end (12) comprises a closed bottom wall (17) and an upper wall (18) provided with at least one through opening (20) arranged adjacent to the side wall (4) so that rising hot currents which, during cooking, travel along the side wall (4), in the place where the handle (10) is attached create suction near the at least one opening (20) in order to generate an air flow from the orifice (14) to the inside of the tubular gripping portion (11) and thereby cool it.

Inventors:
GUEGAN LAURENT (FR)
Application Number:
PCT/EP2019/082316
Publication Date:
June 04, 2020
Filing Date:
November 22, 2019
Export Citation:
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Assignee:
SEB SA (FR)
International Classes:
A47J45/06
Foreign References:
US5121848A1992-06-16
EP0240225A21987-10-07
GB168062A1922-10-26
EP0240225A21987-10-07
Attorney, Agent or Firm:
BOURRIERES, Patrice (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Récipient de cuisson (1 ) destiné à être posé sur une source de chauffe, ledit récipient de cuisson (1 ) comportant une paroi latérale (4) et une poignée (10) fixée sur ladite paroi latérale (4) par des organes de fixation (15, 16), ladite poignée (10) comportant une partie de préhension tubulaire (11 ) qui s’étend radialement à la paroi latérale (4) selon une direction longitudinale X et qui présente une extrémité de fixation (12) et une extrémité libre (13) munie d’un orifice (14), caractérisé en ce que l’extrémité de fixation (12) est fermée par une paroi d’extrémité (4a) et en ce que l’extrémité de fixation (12) comporte une paroi inférieure (17) fermée et une paroi supérieure (18) munie d’au moins une ouverture traversante (20) agencée de manière adjacente à la paroi latérale (4) de manière à ce que des courants chauds ascendants qui progressent lors d’une cuisson le long de la paroi latérale (4), à l’endroit où la poignée (10) est fixée, créent une aspiration au niveau de l’au moins une ouverture (20) pour générer un courant d’air depuis l’orifice (14) vers l’intérieur de la partie de préhension tubulaire (11 ) et ainsi la refroidir.

2. Récipient de cuisson (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce que l’au moins une ouverture traversante (20) s’étend selon la direction longitudinale X sur au moins 5 millimètres, de préférence sur au moins 10 millimètres.

3. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 2, caractérisé en ce que l’au moins une ouverture traversante (20) présente une surface supérieure à 100 mm2, de préférence supérieure à 200 mm2.

4. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l’au moins une ouverture traversante (20) présente une forme de trapèze dont une base forme une partie antérieure (23) de l’au moins une ouverture traversante (20) qui est adjacente à la paroi latérale (4).

5. Récipient de cuisson (1 ) selon la revendication 4, caractérisé en ce que la forme de trapèze comporte deux cotés (21 , 22) qui s’étendent le long de la direction longitudinale X, chaque coté (21 , 22) créant une zone de décrochage des courants chauds ascendants qui progressent lors d’une cuisson le long de la paroi latérale (4) et autour de l’extrémité de fixation (12) de la partie de préhension tubulaire (11 ) pour générer une dépression au-dessus de l’ouverture traversante (20).

6. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que la paroi d’extrémité (4a) est formée par la paroi latérale (4).

7. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l’extrémité de fixation (12) comporte une collerette (30) qui s’étend transversalement à la direction longitudinale X, l’au moins une ouverture traversante (20) étant agencée entre la paroi latérale (4) et la collerette (30) de manière à ce que les courants chauds ascendants soient canalisés vers l’au moins une ouverture traversante (20).

8. Récipient de cuisson (1 ) selon la revendication 7, caractérisé en ce que la collerette (30) s’étend sur toute la périphérie de l’extrémité de fixation (12).

9. Récipient de cuisson (1 ) selon la revendication 8, caractérisé en ce que les organes de fixation comportent deux pattes latérales (15, 16).

10. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que la partie de préhension tubulaire (11 ) est réalisée en acier inoxydable austénitique.

11. Récipient de cuisson (1 ) selon la revendication 10, caractérisé en ce que la partie de préhension tubulaire (11 ) présente une épaisseur inférieure à 3 millimètres, de préférence inférieure à 2 millimètres.

12. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 11 , caractérisé en ce que la partie de préhension tubulaire (11 ) ne comporte qu’une ouverture traversante (20) entre la paroi latérale (4) sur laquelle est fixée l’extrémité de fixation (12) et l’orifice (14).

13. Récipient de cuisson (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce qu’il est une poêle, une casserole ou une sauteuse.

Description:
RECIPIENT DE CUISSON MUNI D'UNE POIGNEE TUBULAIRE FROIDE

La présente invention concerne un récipient de cuisson destiné à la cuisson d’aliments et qui comporte une poignée tubulaire, notamment une poêle, une casserole ou une sauteuse. Un tel récipient de cuisson est destiné à être posé sur une source de chauffe notamment un réchaud à gaz.

On connaît du document EP0240225 une poignée destinée à être fixée sur une paroi latérale d’un récipient de cuisson. La poignée comporte une partie de fixation prolongée par une partie de préhension tubulaire qui s’étend radialement à la paroi selon une direction longitudinale et qui présente une extrémité libre munie d’un orifice.

La partie de préhension tubulaire comporte une extrémité de fixation et l’extrémité de fixation comporte une paroi inférieure munie d’une première ouverture traversante et une paroi supérieure munie d’une deuxième ouverture traversante. Les première et deuxième ouvertures sont agencées de manière adjacente à la paroi latérale. Lors d’une cuisson sur une source de chauffe notamment un réchaud à gaz, des courants chauds ascendants qui progressent le long de la paroi latérale à l’endroit où la poignée est fixée traversent les première et deuxième ouvertures. Une partie de ces courants chauds peut être déviée après le passage dans la première ouverture à l’intérieur de la partie de préhension tubulaire pour ressortir par l’orifice de l’extrémité libre.

Ainsi, la zone de préhension peut s’échauffer pendant la cuisson et atteindre une température excessive pour qu’un utilisateur puisse la saisir sans des moyens de protection, par exemple un gant.

Le but de la présente invention est de remédier aux inconvénients précités et de proposer un récipient de cuisson muni d’une poignée tubulaire présentant une construction optimisée pour permettre à l’utilisateur de le manipuler en toute sécurité, notamment au niveau de la température d’une partie de préhension de la poignée tubulaire.

Un autre but de l’invention est de proposer un récipient de cuisson muni d’une poignée tubulaire qui soit de conception simple et économique à mettre en œuvre. Ces buts sont atteints avec un récipient de cuisson destiné à être posé sur une source de chauffe, ledit récipient de cuisson comportant une paroi latérale et une poignée fixée sur ladite paroi latérale par des organes de fixation, ladite poignée comportant une partie de préhension tubulaire qui s’étend radialement à la paroi selon une direction longitudinale et qui présente une extrémité de fixation et une extrémité libre munie d’un orifice, caractérisé en ce que l’extrémité de fixation est fermée par une paroi d’extrémité et en ce que l’extrémité de fixation comporte une paroi inférieure fermée et une paroi supérieure munie d’au moins une ouverture traversante agencée de manière adjacente à la paroi latérale de manière à ce que des courants chauds ascendants qui progressent lors d’une cuisson le long de la paroi, à l’endroit où la poignée est fixée, créent une aspiration au niveau de l’au moins une ouverture pour générer un courant d’air depuis l’orifice vers l’intérieur de la partie de préhension tubulaire et ainsi la refroidir.

La température de la partie de préhension de la poignée est donc maintenue à un niveau suffisamment bas par le courant d’air frais qui circule dans la poignée tubulaire pour qu’un utilisateur puisse saisir la partie de préhension sans moyens de protection, à tout moment de la cuisson.

Avantageusement, l’au moins une ouverture s’étend selon la direction longitudinale sur au moins 5 millimètres, de préférence sur au moins 10 millimètres.

Ainsi, l’au moins une ouverture comporte deux cotés qui s’étendent le long de la direction longitudinale, chaque côté créant une zone de décrochage des courants chauds ascendants qui progressent lors d’une cuisson le long de la paroi latérale et autour de l’extrémité de fixation de la partie de préhension tubulaire pour générer une dépression au-dessus de l’ouverture traversante.

De manière avantageuse, la poignée comporte un plan de symétrie vertical qui s’étend le long de la direction longitudinale. Ainsi, dans le cas où la paroi supérieure n’est munie que d’une seule ouverture traversante, cette ouverture traversante s’étend de part et d’autre du plan de symétrie.

De préférence, l’au moins une ouverture traversante présente une surface supérieure à 100 mm 2 , de préférence supérieure à 200 mm2. Une telle surface permet aux courants ascendants de créer une aspiration au niveau de l’au moins une ouverture pour générer un courant d’air suffisant à l’intérieur de la partie de préhension tubulaire pour la refroidir à un niveau de température acceptable pour la préhension à main nue.

Avantageusement, l’au moins une ouverture traversante présente une forme de trapèze dont une base forme une partie antérieure de l’au moins une ouverture traversante qui est adjacente à la paroi latérale.

De manière avantageuse, la forme de trapèze comporte une grande base et une petite base, la grande base étant adjacente à la paroi latérale.

De préférence, la forme de trapèze comporte deux cotés qui s’étendent le long de la direction longitudinale, chaque côté créant une zone de décrochage des courants chauds ascendants qui progressent lors d’une cuisson le long de la paroi latérale et autour de l’extrémité de fixation de la partie de préhension tubulaire pour générer une dépression au-dessus de l’ouverture traversante.

Avantageusement, la paroi d’extrémité est formée par la paroi latérale.

Cette disposition permet d’obtenir une poignée mettant en œuvre peu de matière et donc très économique.

De préférence, l’extrémité de fixation comporte une collerette qui s’étend transversalement à la direction longitudinale, l’au moins une ouverture traversante étant agencée entre la paroi latérale et la collerette de manière à ce que les courants chauds ascendants soient canalisés vers l’au moins une ouverture traversante.

Ainsi, les courants ascendants créent une aspiration plus importante au niveau de l’au moins une ouverture, et donc un courant d’air plus important à l’intérieur de la partie de préhension tubulaire pour mieux la refroidir.

Avantageusement, la collerette s’étend sur toute une périphérie de l’extrémité de fixation.

De préférence, les organes de fixation comportent deux pattes latérales.

Avantageusement, la partie de préhension tubulaire est réalisée en acier inoxydable austénitique. L’acier inoxydable austénitique présente une faible conductivité thermique qui permet de ralentir le flux thermique par conduction vers la partie de préhension.

De préférence, la partie de préhension tubulaire présente une épaisseur inférieure à 3 millimètres, de préférence inférieure à 2 millimètre.

Cette disposition permet d’obtenir un bon compromis entre une épaisseur la plus fine possible pour des raisons thermiques et une épaisseur suffisante pour une bonne tenue mécanique.

De préférence, la partie de préhension ne comporte qu’une ouverture traversante entre la paroi latérale sur laquelle est fixée l’extrémité de fixation et l’orifice.

Avantageusement, le récipient de cuisson est une poêle, une casserole ou une sauteuse.

On comprendra mieux les buts, aspects et avantages de la présente invention, d'après la description donnée ci-après d’un mode particulier de réalisation de l'invention présenté à titre d'exemple non limitatif, en se référant aux dessins annexés dans lesquels :

[Fig 1 ] La figure 1 est une vue en perspective d’un récipient de cuisson muni d’une poignée tubulaire selon un mode particulier de réalisation de l'invention,

[Fig 2] La figure 2 est une vue en perspective de la poignée tubulaire illustrée à la figure 1 ,

[Fig 3] La figure 3 est une vue en coupe suivant le plan de coupe III du récipient de cuisson muni de la poignée tubulaire illustré à la figure 1 .

On notera que, dans ce document, les termes «horizontal», «vertical», «inférieur», «supérieur», «longitudinal», «transversal», «haut», «bas», employés pour décrire le récipient de cuisson muni de la poignée, font référence à ce récipient de cuisson en situation d’usage, lorsqu’il est posé sur un plan horizontal.

Tel que visible aux figures 1 à 3, un récipient de cuisson 1 comporte une calotte 2 comprenant un fond 3 et une paroi latérale 4. La calotte 2 est réalisée en acier inoxydable, par exemple par frappe d’un disque. Le fond 3 comporte une coupelle 5 en acier inoxydable qui renferme une partie 6 en aluminium destinée à répartir la chaleur (Fig.3). Le récipient de cuisson 1 est conçu pour assurer la cuisson de différents aliments sous l'effet d'une source de chauffe externe. Le récipient de cuisson 1 comporte une poignée 10 agencée sur la paroi latérale 4. Le récipient de cuisson 1 présente ainsi un caractère portatif, c'est-à-dire qu'il peut être déplacé manuellement.

La poignée 10 comporte une partie de préhension tubulaire 1 1 qui s’étend radialement à la paroi latérale 4 selon une direction longitudinale X. La partie de préhension tubulaire 1 1 présente une extrémité de fixation 12 et une extrémité libre 13 munie d’un orifice 14. La partie de préhension tubulaire 1 1 présente une section transversale à la direction longitudinale X sensiblement constante. L’orifice 14 présente une surface S1 équivalente à la section transversale.

L’extrémité de fixation 12 comporte deux pattes latérales 15, 16 qui forment des organes de fixation à la paroi latérale 4. Les deux pattes latérales 15, 16 s’étendent transversalement à la direction longitudinale X et sont fixées à la paroi latérale 4 par rivetage. La paroi latérale 4 forme une paroi d’extrémité 4a qui ferme l’extrémité de fixation 12.

L’extrémité de fixation 12 comporte une paroi inférieure 17 fermée et une paroi supérieure 18 munie d’une ouverture traversante 20 agencée de manière adjacente à la paroi latérale 4. La paroi inférieure 17 et la paroi supérieure 18 forment respectivement la moitié de l’extrémité de fixation 12 de la partie de préhension tubulaire 1 1 . La poignée 10, notamment l’extrémité de fixation 12, comporte un plan de symétrie vertical passant par la direction longitudinale X. L’ouverture traversante 20 présente deux cotés 21 , 22 qui s’étendent le long de la direction longitudinale X sur 20 millimètres. L’ouverture traversante 20 comporte une partie antérieure 23 fermée par la paroi latérale 4 et une partie postérieure 24 arrondie.

L’ouverture traversante 20 s’étend de part et d’autre du plan de symétrie vertical passant par la direction longitudinale X sur une distance moyenne Z égale à 10 millimètres. L’ouverture traversante 20 présente une surface S2 = X x Z égale à 200 mm 2 .

De manière avantageuse, le rapport de la surface S1 de l’orifice 14 sur la surface S2 de l’ouverture traversante 20 est inférieur à 1 ,2. Dans ce mode de réalisation, le rapport S2/S1 est égal à 1 . La poignée 10, notamment la partie de préhension tubulaire 1 1 est réalisée à partir d’une tôle en acier inoxydable, de préférence en acier inoxydable austénitique. La poignée 10 ainsi que la partie de préhension tubulaire 1 1 présente donc une épaisseur sensiblement constante égale à 1 ,2 mm.

Lors d’une cuisson, notamment sur un réchaud à gaz, des courants d’air chauds ascendants formés notamment par les gaz de combustion progressent le long de la paroi latérale 4, en particulier au niveau de l’extrémité de fixation 12 de la partie de préhension tubulaire 1 1 . L’écoulement des courants d’air chauds crée une surpression sur la paroi inférieure 17 et une dépression sur la paroi supérieure 18 où est positionnée l’ouverture traversante 20. Ainsi, un courant d’air est généré depuis l’orifice 14 vers l’ouverture traversante 20, en passant par l’intérieur de la partie de préhension tubulaire 1 1 . L’air capté au niveau de l’orifice 14 étant plus frais, la partie de préhension tubulaire 1 1 se trouve refroidie.

Il existe un test normatif imposant des limites de température à ne pas dépasser sur la poignée d’un récipient de cuisson utilisé sur un réchaud à gaz.

Pour une poignée métallique, cette limite est fixée à 55°C suivant un protocole détaillé dans la norme EN 12983-1 (Annexe F). Au-delà de cette température de 55°C, le fabriquant doit indiquer à l’utilisateur qu’il faut utiliser un moyen de protection thermique du type gant ou manique pour saisir la poignée.

La demanderesse a réalisé des mesures de température à différents points de mesure sur la partie de préhension tubulaire 1 1 d’une poêle de diamètre 24 cm sur un bruleur à gaz de diamètre 7,5 cm. La poêle est remplie avec 1 , 5 litre d’eau et le débit de gaz est établi à 185 L/h. Dans ces conditions, on compare les températures à un point correspondant à 1/3 de la longueur de la poignée, en partant de la paroi latérale, pour une poignée standard correspondant à la construction décrite dans le document EP0240225 et pour une poignée améliorée présentant la construction ci-dessus. La poignée 10 améliorée présente une température inférieure de 9 °C par rapport à la poignée standard.

Dans une variante de réalisation, l’extrémité de fixation 12 comporte une collerette 30 qui s’étend transversalement à la direction longitudinale X, dans un plan sensiblement vertical. L’ouverture traversante 20 est agencée sur la paroi supérieure 18 de l’extrémité de fixation 12, entre la paroi latérale 4 et la collerette 30. Ainsi, les courants chauds ascendants qui circulent le long de la paroi latérale 4 inclinée sont concentrés vers l’ouverture traversante 20.

Bien entendu, l'invention n’est nullement limitée aux modes de réalisation décrits et illustrés qui n’ont été donnés qu'à titre d'exemple. Des modifications restent possibles, notamment du point de vue de la constitution des divers éléments ou par substitution d'équivalents techniques, sans sortir pour autant du domaine de protection de l'invention.

Dans une variante de réalisation, la paroi d’extrémité qui ferme l’extrémité de fixation 12 fait partie de la partie de préhension tubulaire 11. Ainsi la zone de raccordement entre la paroi d’extrémité et l’extrémité de fixation 12 ne comporte aucune fuite.