La présente invention vise à proposer un dispositif de maquillage et/ou de soin des matières kératiniques, et plus particulièrement la peau.

Plus généralement, un « produit cosmétique » est un produit tel que défini dans le

Règlement (CE) N°1223/2009 du Parlement Européen et du Conseil, daté du 30 novembre 2009, relatif aux produits cosmétiques.

D'une manière générale, les compositions cosmétiques dédiées au soin et/ou au maquillage de la peau et plus particulièrement du visage sont appliquées selon le mode suivant : un ou plusieurs dépôts ponctuels de la composition sont effectués en une zone ou plusieurs zones localisées du visage puis ce ou ces dépôts sont étalés, généralement au doigt ou à l'éponge, pour couvrir l'intégralité de la surface du visage.

Pour les raisons qui suivent, il serait avantageux de disposer d'un nouveau mode d'application de ce type de compositions de maquillage et/ou de soin.

Tout d'abord, ce mode d'application conventionnel ne permet pas de garantir une épaisseur de film appliqué qui soit homogène sur toutes les zones du visage.

Généralement, les zones où la composition a ponctuellement été déposée bénéficient d'une épaisseur plus importante en film de maquillage. En revanche, les zones du visage les plus éloignées de la ou des zone(s) précitée(s) sont revêtues d'un film de maquillage d'épaisseur plus réduite. Cette inhomogénéité de dépôt se révèle généralement au niveau de l'effet de maquillage. Pour des raisons évidentes, elle n'est pas appréciée par l'utilisateur. Elle n'est notamment pas compatible avec la manifestation d'un rendu dit

« naturel » en termes d'effet de maquillage. En effet, l'application ne permet pas une homogénéité suffisante pour éviter les traces.

En outre, ce mode d'application peut plus particulièrement dans le cas d'un étalement au doigt, poser un problème sur le plan de la propreté, voire de l'hygiène.

Enfin, les utilisateurs sont toujours à la recherche de nouvelles technologies d'application qui soient innovantes en termes de mise en œuvre, d'effet visuel procuré par le type de dépôt de maquillage qu'elles forment, voire en termes de sensations générées au moment de l'application.

Parmi les gestes des esthéticiennes, on connaît le tapotement sur la peau avec les doigts. Il permet de redonner une certaine tonicité à la peau, par activation localisée des circulations sanguine et lymphatique. Ce mouvement est difficile à reproduire parce qu'il nécessite, pour être efficace, d'avoir toujours un appui sur une surface libre. Dans le cas contraire, le mouvement se transfert quasi intégralement à la main qui tient l'applicateur.

Sur le visage ou le décolleté, l'appui fixe d'un dispositif sur une surface à traiter peut endommager la surface elle-même. Notamment, il est difficile de prendre un appui fixe sur certaines zones du visage. En général, la personne prend directement appui sur la peau à proximité de la zone traitée. Le résultat obtenu n'est pas optimal.

Il existe un besoin pour remédier à tout ou partie des inconvénients des applicateurs et procédés de maquillage connus, que ce soit pour le maquillage ou le soin de la peau du visage ou de toute autre région du corps. En particulier, on souhaite fournir un dispositif d'application de produit cosmétique qui:

- soit fiable,

- soit peu onéreux,

-procure une sensation agréable et

- procure un dépôt de produit uniforme et naturel.

L'invention vise à répondre à ce besoin.

L'invention a pour objet un dispositif cosmétique comportant :

- un corps définissant un logement,

- une surface d'appui délimitée par le logement,

- un organe d'application comportant une face d'application,

- un moyen de mise en mouvement de l'organe d'application,

la face d'application et la surface d'appui étant agencées pour venir alternativement en contact avec une zone corporelle.

De préférence, la face d'application vient en contact périodique avec une portion de la zone corporelle et la surface d'appui vient en contact périodique avec la périphérie de ladite portion.

En particulier, l'organe d'application est mobile axialement le long de son axe longitudinal (X). Il décrit avantageusement un mouvement d'oscillation le long de cet axe (X), afin de provoquer une sensation de tapotement sur la zone corporelle traitée.

En particulier, le moyen de mise en mouvement est un moyen électrique.

Le dispositif permet d'obtenir un dépôt de produit cosmétique plus lisse sur la peau, notamment avec un moindre risque de formation de stries. La pénétration des actifs et la couvrance peuvent s'en trouver augmentées.

Le dispositif peut encore accroître l'accrochage de la composition sur la surface traitée, par exemple dans le cas d'un blush ou d'une poudre teintée.

L'invention peut également permettre d'étaler plus facilement la composition sur la surface à traiter.

Dans le cas d'un blush par exemple, l'invention peut permettre une grande uniformité de couleur et, dans le cas d'un fond de teint, un dépôt plus homogène.

En outre, le dispositif selon l'invention permet d'obtenir un effet massant sur la peau, avec une sensation de bien-être.

Ainsi, le dispositif selon l'invention s'avère d'une part aisé à utiliser et d'autre part de nature à procurer des sensations agréables pour l'utilisateur.

Organe d'application

Dans une variante de réalisation, l'organe d'application peut être muni d'un frein amovible qui permet de bloquer ou de freiner si nécessaire son mouvement.

La face extérieure de l'organe d'application (face d'application) est formée au moins en surface d'un matériau propice au dépôt de la composition cosmétique et à sa rétention jusqu'à son application consécutive sur la peau.

Par exemple, la face d'application dédiée à un contact avec une matière kératinique peut notamment être une mousse à cellules ouvertes ou fermées, éventuellement floquées, un flocage, un élastomère, un matériau fritté, un matériau tissé ou un matériau non-tissé.

La surface extérieure de l'organe d'application peut être lisse ou non. Ainsi, cet organe d'application peut avantageusement posséder en surface, des reliefs, généralement bombés et arrondis avantageux pour procurer conjointement un effet massage.

Avantageusement, la face d'application est de forme aplatie. Le mouvement de l'organe d'application est plus tonique.

Lorsque le dispositif est observé de dessous, la surface d'appui ne peut déborder avantageusement que d'une faible distance, par exemple inférieure ou égale à 5 mm, du contour extérieur de la face d'application. Par exemple, le plus grand diamètre apparent de la surface d'appui est de 60 mm et le plus grand diamètre apparent de la face d'application est de 55 mm, ces valeurs n'étant pas limitatives. Cela peut permettre d'avoir une surface d'application relativement étendue, si on le souhaite, ce qui peut être avantageux pour traiter des régions du corps situées ailleurs que sur le visage.

La hauteur de la portion apparente de l'organe d'application, mesurée le long de l'axe longitudinal du dispositif, peut être inférieure ou égale à 20 mm, ce qui peut permettre de bénéficier d'une surface de préhension relativement étendue, diminuant le risque pour l'utilisateur de toucher avec ses doigts l'organe d'application.

L'organe d'application peut présenter dans certains exemples de réalisation une épaisseur de paroi sensiblement constante, par exemple comprise entre 0,1 et 10 mm, L'épaisseur de paroi peut être constante à ± 20 %, par exemple.

Mouvement de l'organe d'application

Avantageusement, l'organe d'application est au moins partiellement logé dans le logement. Le dispositif est plus ergonomique et plus sécurisé.

Plus avantageusement, l'organe d'application est mobile entre une position d'escamotage maximal à l'intérieur du logement et une position de dégagement maximal hors du logement. L'organe d'application décrit une course entre deux positions extrêmes parfaitement définies.

Encore plus avantageusement, l'organe d'application est en position de dégagement maximal hors du logement en mode éteint du moyen de mise en mouvement. La face d'application peut venir au contact de la zone corporelle avant la mise en marche du dispositif, pour une meilleure précision du traitement cosmétique.

De préférence, l'organe d'application est en contact avec le fond du logement en position d'escamotage maximal. Le fond du logement sert de butée pour une meilleure définition de la course.

Plus préférentiellement, l'organe d'application effectue un mouvement d'oscillation le long de son axe longitudinal (X). L'utilisateur ressent un mouvement bénéfique de tapotage sur la peau. Il redonne de la vigueur à la surface traitée.

Selon un mode de réalisation préféré du dispositif, l'amplitude (δ) du mouvement de l'organe d'application est comprise entre 5 mm et 12 mm, mieux entre 8 mm et 10 mm. Selon un mode de réalisation particulièrement préféré du dispositif, la période (T) du mouvement de l'organe d'application est comprise entre 1 seconde et 40 secondes, mieux entre 10 secondes et 30 secondes.

La partie de préhension peut être en toute matière thermoplastique connue, par exemple une polyoléfme, par exemple du polyéthylène ou du polypropylène, un polyamide, du PET, du POM, du PS, du RILSAN ^® .

La partie de préhension peut présenter une forme généralement allongée

Moyen de mise en mouvement de l'organe d'application

Avantageusement, le mouvement de l'organe d'application est un mouvement d'oscillation le long de l'axe longitudinal (X).

La mise en mouvement peut être obtenue de diverses manières, par voie mécanique, hydraulique, pneumatique, électronique ou électromécanique.

La source de mise en mouvement peut comporter par exemple un moteur entraînant une masselotte, un excentrique, un électroaimant, un vibreur piézoélectrique ou mécanique.

Le contact entre la source de mise en mouvement et la partie applicatrice pourra être ponctuel ou étendu, selon par exemple l'amplitude, la fréquence et l'orientation des vibrations.

La fréquence des vibrations est de préférence inférieure ou égale à 20 Hz, encore plus préférentiellement inférieure ou égale à 10 Hz et mieux inférieure ou égale à 5Hz.

Les vibrations peuvent être orientées transversalement à l'axe longitudinal de l'élément d'application ou parallèlement à celui-ci ou autrement encore.

La face d'application peut être éventuellement élastiquement déformable.

Dans certains exemples de réalisation, l'organe d'application est monté à l'extrémité d'une tige, laquelle peut être flexible, ce qui peut contribuer à augmenter l'amplitude des vibrations de l'élément d'application et/ou améliorer le confort à l'application.

Le corps peut être moulé d'une seule pièce avec la partie de préhension.

Dans ce cas, la source vibrante peut être fixée de façon amovible dans un logement de la partie de préhension. L'invention concerne aussi un procédé d'application d'une composition cosmétique sur les matières kératiniques, comportant les étapes suivantes :

i) former un dépôt d'une composition cosmétique sur les matières kératiniques,

ii) simultanément à la formation du dépôt ou postérieurement au dépôt, soumettre ce dernier à un mouvement de l'organe d'application du dispositif selon l'invention,

iii) laisser le dépôt sur les matières kératiniques, le dépôt pouvant sécher.

L'invention concerne également un ensemble comprenant :

- un dispositif selon l'invention,

- une composition cosmétique, ladite composition constituant notamment un fard à joues, un fard à paupières, une poudre pour le visage, un fond de teint, un produit anticerne, un rouge à lèvres, un produit de maquillage du corps, un produit de soin pour le visage, un produit de soin du corps ou un produit antisolaire.

Dans les aspects de l'invention, le produit est par exemple un produit de soin, notamment anti-tache, anti-ride, anti-poche, corporel, de traitement des racines, notamment pour favoriser la pousse des cheveux.

L'invention pourra être mieux comprise à la lecture de la description détaillée qui va suivre, d'exemples de mise en œuvre non limitatifs de celle-ci, et à l'examen du dessin annexé, sur lequel :

la figure 1 représente de manière schématique, en perspective, un dispositif conforme à un exemple de réalisation de l'invention,

la figure 2 représente de manière schématique, en perspective, un dispositif conforme à un autre exemple de réalisation de l'invention,

- la figure 3 illustre de manière schématique, en perspective, le dispositif de la figure 2 en position de repos,

la figure 4 illustre de manière schématique, en perspective, le dispositif de la figure 2 encours de montée de l'applicateur,

la figure 5 illustre de manière schématique, en perspective, le dispositif de la figure 2 en position d'escamotage maximal de l'applicateur (rupture de circuit),

On a représenté sur les figures quelques exemples, parmi d'autres, de dispositifs d'application selon l'invention. Les dispositifs représentés aux figures 1 à 5 comportent une base 2, une partie de préhension 1, un organe d'application 3 et un moyen de mise en mouvement de l'organe d'application 3.

La base 2 définit un logement 4 recevant un organe d'application 3. La fixation de la base 2 et de la partie de préhension 1 peut être amovible ou non, s'effectuant par exemple par serrage ou encliquetage.

La base 2 et la partie de préhension 1 peuvent aussi être réalisées en une seule pièce.

La partie de préhension 1 est par exemple une pièce monolithique réalisée d'un seul tenant par moulage.

L'axe longitudinal de l'organe d'application 3 peut être incliné par rapport à l'axe longitudinal Y de la partie de préhension 1 comme représenté sur les figures.

La base 2 délimite une surface d'appui 20 apte à venir en contact permanent avec une zone corporelle. Cette surface d'appui 20 forme un tampon fixe.

Dans l'exemple des figures, l'organe d'application 3 est prévu pour se monter dans le logement 4 ménagé dans la partie de préhension 1. Le logement 4 peut aussi constituer une extension de la partie de préhension 1.

La base 2 peut comporter, le cas échéant, une encoche permettant à l'utilisateur d'avoir accès plus facilement à l'organe d'application 3, notamment pour le retirer.

L'organe d'application 3 est mobile axialement dans son logement 4. Il vient en contact périodique avec la zone corporelle par au moins sa face d'application 30. Cette face 30 définit un tampon mobile.

La face d'application 30 pourra être réalisée de diverses manières, notamment par moulage, surinjection, agrafage, torsadage.

La face d'application 30 pourra être à usage unique, le cas échéant.

Des éléments d'application pourront être fixés par tous moyens sur la face d'application 30, notamment par collage, soudage, matriçage, encliquetage, vissage, avec des aimants, par friction, par accrochage de type VELCRO ^® , par serrage entre des mors ou les branches d'une pince.

La partie de préhension 1 comporte une source d'énergie et un transformateur d'énergie électrique en énergie mécanique. Un choix préféré de transformateur d'énergie électrique en énergie mécanique est un solénoïde équipé d'un noyau aimanté muni d'un ressort mais on peut imaginer d'autres agencements et constituants.

La partie de préhension 1 intègre une source vibrante permettant de soumettre l'organe d'application 3 à des vibrations de fréquence inférieure à 20 Hz, notamment inférieure à 10 Hz, durant l'utilisation du dispositif. Dans l'exemple représenté, la fréquence des vibrations est inférieure à 5 Hz.

L'applicateur 2 comporte un organe de commande 11 permettant à l'utilisateur de déclencher le fonctionnement de la source vibrante. Par exemple, la source vibrante fonctionne tant que l'utilisateur appuie sur l'organe de commande 11.

La source vibrante 50 comporte par exemple un noyau aimanté 53 relié à la base 2. Le noyau aimanté 53 circule librement à l'intérieur d'un solénoïde 5 définissant une bobine 51. Le solénoïde 5 est enroulé sur un support 52. Un contacteur 55 s'appuie au repos sur une lame ressort 54.

La source vibrante 50 est par exemple contenue dans la partie de préhension. La source vibrante est accessible par exemple par ouverture de la partie de préhension 1. Cette dernière peut comporter deux parties reliées par une charnière, notamment une charnière- film, mais il peut en être autrement.

La tension d'alimentation de la source vibrante 50 dans le cas où celui-ci est électrique, est par exemple comprise entre 1 V et 9 V.

Le bouton 12 de l'organe de commande 11 est par exemple moulé d'une seule pièce avec la partie de préhension 1.

La fixation de la source vibrante 50 dans la partie de préhension 1 peut être amovible ou non, s'effectuant par exemple par serrage ou encliquetage.

Le circuit comporte une pile 4 et un ensemble de fils conducteurs 6. Ils ferment ce circuit quand le bouton poussoir 12 est enfoncé.

Dans l'exemple considéré, les vibrations sont produites sensiblement perpendiculairement à l'axe X.

Ces vibrations se propagent le long l'axe X et amènent l'organe d'application 3 à osciller perpendiculairement à l'axe X.

Sur les figures, la face d'application 30 été représentée de manière très schématique pour bien illustrer le fait que l'invention n'est pas limitée à un organe d'application 3 particulier. La face d'application 30 peut être lisse ou comporter un relief, notamment un flocage.

L'organe d'application peut être moulé en une seule pièce, par exemple en élastomère.

Les figures 3 à 5 illustrent trois positions de l'organe d'application.

Sur la figure 3, l'organe d'application est en contact avec la peau. La lame ressort maintient le fer en position basse et l'organe d'application 3 fait sailli hors du logement 4. La surface d'appuie 20 et la face d'application sont espacés d'une distance comprise entre 3 et 6,5 mm. La surface d'appui 20 n'est plus en contact avec la peau.

Sur la figure 4, l'organe d'application se dirige vers le fond du logement 4. Le contact entre le dispositif et la zone corporelle est maintenu par la surface d'appui 20 et l'organe d'application.

Sur la figure 5, l'organe d'application est totalement rétracté dans le fond du logement 4. Il n'exerce plus de pression sur la zone corporelle. En revanche, le contact entre le dispositif et la zone corporelle est toujours maintenu, et ceci grâce à la surface d'appui 20. On obtient un double tapotage avec alternance d'appui de la surface 20 et de la surface 30.

Pour utiliser le dispositif, l'utilisateur appuie sur l'organe de commande 11, le moteur électrique est relié électriquement génère des vibrations orientées transversalement à l'axe X. Le circuit électrique est fermé.

Sous l'action du champ magnétique développé par le solénoïde, le fer remonte l'organe d'application 3. La face d'application 30 se déplace vers la zone corporelle à traiter.

Lorsque l'organe d'application 3 retourne vers sa position d'escamotage à l'intérieur du logement 4, le fer repousse la lame ressort. Le circuit électrique reste fermé.

Puis, le fer continue à remonter en provoquant une torsion accrue de la lame ressort, jusqu'à ce que le contacteur ne soit plus en contact avec la lame ressort. Le circuit électrique s'interrompt et en même temps, le champ magnétique. Sous l'action de la lame ressort, le fer est fortement repoussé dans sa position basse. L'organe d'application 3 fait sailli hors du logement 4. La face d'application 30 vient au contact de la zone corporelle. La surface d'appui 20 est repoussée par la peau. Mais, la lame ressort rejoint le contacteur. Elle rétablit le champ magnétique et un nouveau cycle de tapotage est relancé. L'utilisateur peut appliquer au préalable un produit cosmétique. Dans ce cas, le dispositif selon l'invention favorise la pénétration de ce dernier.

Le maquillage obtenu est uniforme et sans trace, donnant un rendu « naturel », un effet poudré, plus velouté et plus unifiant en couleur et en relief. Le soin est également de meilleure qualité.

Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux exemples illustrés.

On peut notamment combiner entre elles différentes caractéristiques des exemples illustrés, au sein de variantes non illustrées.

Par exemple, le contacteur peut voir son emplacement modifié dans l'une quelconque des réalisations illustrées.

La forme de l'applicateur peut être différente.

L'expression « comportant un » doit être comprise comme étant synonyme de « comportant au moins un », sauf si le contraire est spécifié.