Le diabète est une maladie qui touche, selon les régions, de 3 à 10 % de la population. La personne atteinte de cet- te maladie est, encore à l'heure actuelle, totalement dé- pendante de la prise de médicaments et/ou de l'injection d'insuline.

Pour tenter d'y apporter une solution, des recherches bi- bliographiques ont été effectuées et ont abouti à la pro- position d'un dispositif qui, placé dans le système vas- culaire (ou à sa proximité de manière à y avoir un effet) ou à proximité des tissus en formation (ou pas) en dehors de la présence d'un système vasculaire, permet soit de combattre la maladie et/ou ses complications, soit de pré- venir l'apparition de celle-ci.

L'apparition du diabète (de type sucré) et de ses compli- cations est essentiellement due à un déséquilibre entre l'apport énergétique en glucose dans le sang et son"in- ternalisation"au niveau de l'organisme (cellules-cibles), mais aussi, à un taux trop élevé d'hormones sexuelles mâ- les. Pour ce dernier cas, il est surtout considéré la pré- vention.

Il arrive un moment où le déséquilibre (qui se forme pro- gressivement mais lentement, conjointementà un"ré-équi- libre constant par la formation de réserves énergétiques, entre-autres) perturbe la fonction de l'insuline qui ne peut plus travailler convenablement ou mme plus du tout et ceci car les deux raisons essentielles d'apparition du diabète (excès de glucose et/ou d'hormones sexuelles mâ- les) sontdes cas où interviennent des substances de type "réducteur"et/ou"basique"et ont vraisemblablement un effet direct sur la structure de l'insuline, qui devient alors non fonctionnelle (ou moins fonctionnelle).

Dès lors, un dispositif qui contrecarrerait cette situa- tion en présentant un pouvoir de type"oxydant"et/ou "acide"rétablirait la situation et/ou en tout cas permet-

trait qu'elle ne se déséquilibre pas.

Le dispositif proposé est un fil métallique (ou composé de sel (s) métallique (s) rendu inoxydable et entouré d'une gaine synthétique protectrice empchant, d'une part, la dissolution du (des) sel (s) métallique (s) et/ou du métal et permettant, d'autre part, le bon déroulement de la réacti- on"rédox"et/ou"acido-basique"qui doit avoir les effets expliqués ci-dessus.

Le choix du métal (son pouvoir oxydant) est 3 déterminer en fonction du cas pathologique (c'est-à-dire du patient et de la gravité de la maladie) et/ou des prévisions (pour la prévention) faites en relation avec le milieu social, le milieu familial et/ou les habitudes.

N. B. : le métal peut aussi tre un alliage métallique au- tre qu'un sel.