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Title:
DEVICE FOR APPLYING A PRESSURE POINT ON AN ORGAN LOCATED IN THE ABDOMEN
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2016/012668
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a secure, modular device with a retractable rod allowing a pressure point to be applied on an organ located in the abdomen, causing the erection and then the ejaculation of the penis. The device includes a rod (1) provided with a piston, which are sealingly inserted into a cylinder (8) having two handles; the rod projects from the cylinder, the rounded section thereof (2) engaging the navel; the handles are pressed manually or by weight (35), causing the piston to compress the air in the cylinder; the rod applies the pressure point on the abdominal organ; and if the pressure is excessive, a safety valve opens, causing the rod to retract into the cylinder thereof. The device according to the invention is intended mainly for solving erectile dysfunction while offering new sexual pleasure.

Inventors:
CIVARDI GUISEPPINO (FR)
Application Number:
PCT/FR2015/000152
Publication Date:
January 28, 2016
Filing Date:
July 20, 2015
Export Citation:
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Assignee:
CIVARDI GUISEPPINO (FR)
International Classes:
A61F5/41; A61H1/00; A61H39/04
Foreign References:
US20070270727A12007-11-22
US20080015474A12008-01-17
US5662686A1997-09-02
US20110224580A12011-09-15
US7060041B12006-06-13
GB2472168A2011-01-26
Other References:
None
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Dispositif sécurisé utilisable en duo ou en solo servant à effectuer un point de compression sur un organe localisé dans l'abdomen permettant d'obtenir l'érection puis l'éjaculation du pénis chez l'homme, caractérisé en ce qu'il comprend une tige rétractable (1) muni d'un roulement (4) inséré dans un piston (5), ce bloc tige est introduit dans un cylindre (8) dont le diamètre est ajusté à celui du piston pour permettre la compression de l'air, ce cylindre possède un couvercle (11) et un chapeau (15) ayant des canaux de passage d'air (17),(18) et (19), ce cylindre est pourvue d'un support amovible (24), qui reçoit 2 poignées (32) servant à l'appui manuel effectué par le partenaire pour le mode duo, des disques en fonte (35) prennent place sur les poignées et de par leurs poids remplacent l'appui manuel dans le mode solo.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend une tige cylindrique (1) qui est graduée (3) pour connaître après réglage sa longueur appropriée qui est relative au volume de l'abdomen de l'intéressé, la tige possède une extrémité arrondie (2) pour ne pas perforer le nombril sur lequel elle prend appui, son autre extrémité est pourvue d'un roulement (4) pour sa libre rotation, celui-ci est inséré dans un piston (5) muni d'un joint torique, le bloc tige (1) roulement (4) piston (5) est introduit dans un cylindre (8), pourvu à l'une de ses extrémités d'un couvercle (11) possédant un trou de passage (12) pour la tige (1), ainsi qu'un petit trou de passage d'air (14), l'autre extrémité du cylindre (8) est pourvue d'un chapeau (15) qui prend place hermétiquement, il est pourvu de canaux de passage d'air (17), (18) et (19).

3. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le canal (19) possède une embouchure externe (20), recevant hermétiquement un bouton pousse-valve servant à ressortir ou bien rentrer la tige (1) du cylindre (8), de même il permet lorsque l'on appuie dessus, de laisser l'air comprimé dans le cylindre (8) s'échapper rapidement, laissant ainsi la tige (1) se rétracter dans son cylindre, le canal (18) possède une embouchure externe (21) recevant hermétiquement un robinet d'air à faible débit servant au réglage de la longueur de tige appropriée, le canal (18) possède une embouchure externe (22) recevant hermétiquement une soupape de sécurité à tarages variables et réglables par visse numérotée, lorsque cette soupape s'ouvre, elle laisse s'échapper l'air comprimé dans le cylindre, faisant que la tige (1) se rétracte dans son cylindre, puis un canal (17) communicant avec les canaux (18) et (19) permet le passage de l'air comprimé dans le cylindre (8).

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'un support amovible (24) possédant deux nervures séparées (27) et (28) ainsi qu'une vis (31) pour leur serrage, prend place sur la circonférence du cylindre (8), il est en appui sur le couvercle (11), il possède deux zones de surépaisseurs cylindriques (25) ayant dans leur axe un raccord femelle (26) recevant le raccord mâle (33) des poignées démontables (32), servant à l'appui manuel du partenaire dans le mode duo, pour le mode solo les deux poignées reçoivent des disques en fonte (35), ceux-ci sont bloqués par des entretoises annulaires (36) ainsi qu'une visse (37) qui prend place dans le raccord femelle (34) en bout des poignées (32).

5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'une entretoise cylindrique (23) utiliser pour le mode solo prend place sur le cylindre (8), elle est en appui sur le couvercle (11) et permet de rehausser le support (24) avec ses deux poignées (32) pourvues de leurs disques (35), afin que ceux-ci soient sur leur circonférence sur le même alignement que le couvercle (11).

6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la tige (1) lorsqu'elle est rétractée dans son cylindre (8), son piston (5) est en appui sur l'embase du chapeau (15), mais une petite longueur de la tige dépasse à l'extérieur du cylindre côté couvercle (11), de manière à pouvoir saisir la tige du bout des doigts pour la faire ressortir.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le piston (5) de la tige (1) vient comprimer l'air dans la chambre de compression du cylindre (8) lors de l'appui manuel sur les poignées (32) par le partenaire dans le mode duo, ou bien par le poids des disques en fonte (35) pour le mode solo, la chambre de compression d'air se situe entre le haut du piston et le chapeau (15) ainsi que ses canaux (17),(18) et (19).

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le positionnement des deux poignées (32), qui sont en extrémité du cylindre (8) côté couvercle (11), font que le cylindre ne vient pas comprimer l'abdomen de l'intéressé lors de l'appui sur les poignées pour effectuer le point de compression.

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la soupape de sécurité possède différents tarages, qui sont réglables par une visse numérotée qui permet d'effectuer le réglage du tarage adapté au volume de l'abdomen de l'intéressé et ce quel que soit son volume .

Description:
Dispositif pour effectuer un point de compression sur un organe localisé dans l'abdomen. La présente invention concerne un dispositif modulable utilisable en duo ou en solo, qui comprend une tige cylindrique, qui vient se positionner sur le nombril de l'homme et qui par des moyens d'appui manuels, exercés par un partenaire sur la tige pour le mode duo ou bien par des moyens d'appui appropriés sur la tige en mode solo, on va faire descendre le nombril sous la pousser de la tige à travers l'abdomen, où se trouve un organe que la tige va plaquer sur la colonne vertébrale, afin d'effectuer sur cet organe un point de compression constant ou intermittent, qui a pour but de provoquer dans un premier temps l'érection du pénis, puis bien après son éjaculation, en outre des moyens servant à la sécurité de son utilisateur sont prévu, tels que des moyens servant au réglage de la longueur de tige approprié, des moyens servant à la rétractation de la tige, ainsi que des moyens servant à la libre rotation de la tige.

Il est possible que le point de compression sur l'organe qui provoque l'érection puis l'éjaculation du pénis, puisse permettre d'obtenir une érection chez l'homme ayant ce genre de problème, de même ce point de compression peut s'établir lors d'un rapport sexuel avec un ou une partenaire, principalement dans la position dite Andromaque, durant ce rapport sexuel, le point de compression sur l'organe doit de préférence se faire de manière intermittente et non constante, pour ne pas provoquer une éjaculation précoce du pénis.

La nature de l'organe sur lequel on va effectuer un point de compression n'est actuellement pas établie, car pour l'établir il faut faire des recherches qui peuvent être coûteuses, de plus le fait de connaître précisément le nom de l'organe n'est d'aucun intérêt dans le cas présent, car que l'on comprime par exemple un nerf ou bien un vaisseau sanguin ou tout autre organe, le mode opératoire pour effectuer le point de compression reste le même, par le fait pour effectuer le point de compression sur l'organe, tout est basé sur la localisation quasiment précise de cet organe quel qu'il soit, ainsi que sur le mode opératoire utilisé pour effectuer sur celui-ci le point de compression et le résultat obtenu par ce point de compression sur l'organe, c'est-à-dire l'érection et l'éjaculation du pénis, cependant il peut être intéressant pour la science de connaître la nature précise de cet organe, aux scientifiques donc ou au corps médical d'effectuer les recherches déterminant la nature de l'organe.

Vu que nous ne connaissons pas précisément le nom de cet organe celui-ci va être nommé en abrégé l'opéé (organe provoquant l'érection et l'éjaculation), de même l'homme sur qui on va exercer le point de compression va être nommé l'intéressé, mais aussi il faut préciser que le partenaire peut être du sexe féminin ou masculin. La localisation quasiment précise de l'opéé est la suivante, sur un homme allongé horizontalement sur le dos, l'opéé est localisé à la verticale du nombril sous celui-ci dans l'abdomen.

On sait que l'opéé est de petite taille et qu'il faut parfois déplacer la tige de quelques millimètres sur le nombril pour réussir à trouver l'opéé, donc au départ pour chaque intéressé il y a un travail de recherche individuel à effectuer, pour trouver à quel endroit précis du nombril il faut placer la tige, peut-être même que cet organe peut pour certains ne pas se trouver sous le nombril mais sous sa périphérie, car l'emplacement des organes de l'homme n'est pas nécessairement identique chez chacun d'eux, il peut varier d'un individu à l'autre de quelques millimètres, de même il faut savoir que ce point de compression sur l'opéé, s'il n'est pas excessif il est sans douleur et l'on peut même dire qu'il provoque un certain plaisir, pour ne pas dire une certaine jouissance à part entière chez l'homme, par contre si l'on exerce sur l'opéé un appui excessif pour effectuer le point de compression sur celui-ci, cela peut provoquer l'apparition de douleurs abdominales.

On sait que pour atteindre l'opéé pour effectuer un point de compression sur celui-ci, il faut faire peser un certain poids sur la tige placée sur le nombril, afin de la faire descendre avec le nombril à travers l'abdomen jusqu'à l'opéé et plaquer celui-ci sur la colonne vertébrale, ce poids d'appui sur la tige est variable, il est relatif au volume de l'abdomen de l'intéressé, à titre d'exemple si l'intéressé possède un ventre plat, donc peu volumineux un poids d'appui sur la tige d'environ 2 kilos peut être suffisant, car le nombril est proche de l'opéé et la tige à une courte distance à parcourir à travers l'abdomen, sur un ventre plus volumineux jusqu'à 7 kilos d'appui environ peut être nécessaire car le nombril est éloigné de l'opéé, de même une fois que la tige est en appui sur l'opéé et que celui-ci est plaqué sur la colonne vertébrale, le poids nécessaire pour effectuer le point de compression sur l'opéé ne doit pas être excessif, quelques centaines de grammes sont suffisants, cependant on peut exercer sur l'opéé et la colonne vertébrale un poids d'appui qui peut être d'environ 1 kilo, qui sert à effectuer le point de compression et ce sans que cela pose de problèmes apparents.

Le point de compression sur l'opéé étant nouveau, il n'existe pas de procédé antérieur spécifique pour l'effectuer, cependant il faut noter qu'effectuer le point de compression sur l'opéé de l'intéressé peut se révéler dangereux pour lui, car si le poids d'appui sur la tige pour effectuer le point de compression est excessif, il n'est pas impossible que la tige perfore le nombril, puis l'abdomen ainsi que les différents organes situés dans l'abdomen sous le nombril, de plus si le poids d'appui sur la tige est excessif, la tige qui comprime l'opéé qui est plaqué sur la colonne vertébrale, cette tige peut briser la colonne vertébrale de l'intéressé, mais aussi lors de l'appui sur la tige en appui sur le nombril, il ne faut pas faire de mouvements de rotation avec cette tige, car la peau du nombril tendue par la pression exercée sur celle-ci, par la tige lors de l'appui, fait que cette peau peut se vriller et se déchirer avec le risque d'une perforation du nombril, puis de l'abdomen par la tige.

Le dispositif visé par l'invention, de par les moyens de sécurité dont il dispose à titre de prévention et de précaution liées à son utilisation, permet d'effectuer un point de compression sur l'opéé quasiment sans danger pour l'intéresser, il comporte en effet selon une première caractéristique une tige cylindrique, qui peut être graduée sur sa longueur et qui possède une extrémité qui est ronde, celle-ci va prendre appui sur le nombril, son arrondie doit avoir une surface d'appui suffisante pour ne pas perforer le nombril, l'autre extrémité de la tige peut être pourvue d'un roulement à billes qui vient s'emboîter dans un piston muni d'un joint torique, ce bloc tige avec roulement plus piston est introduit dans un cylindre dont le diamètre intérieur est ajusté à celui du piston afin de permettre la compression de l'air dans ce cylindre, celui-ci possède une extrémité pourvue d'un couvercle ayant un trou de passage cylindrique pour la tige, ainsi qu'un petit trou servant au passage de l'air atmosphérique, au-dessus de ce couvercle, un support de poignées d'appui cylindrique, qui peut être amovible vient se positionner sur la circonférence du cylindre, il est pourvu de deux demi-nervures séparées par une fente, elles possèdent une visse de serrage servant à bloquer le support sur le cylindre, ce support possède deux zones de surépaisseur cylindrique qui sont sur le même axe, de chaque côté du support opposé l'une à l'autre et sont perpendiculaires à l'axe du cylindre, la terminaison de ces deux zones cylindriques est plane, une poignée d'appui cylindrique vient se visser sur chacune des deux zones cylindriques, ces deux poignées ont un diamètre qui est inférieur à celui des deux zones cylindriques, faisant que ces deux zones cylindriques ont sur leurs circonférences une surface d'appui, ces deux poignées peuvent se visser et dévisser. Sur l'autre extrémité du cylindre vient se visser hermétiquement un chapeau, qui est pourvu de plusieurs canaux cylindriques, dont certains ont une embouchure externe au chapeau, ses canaux communiquent entre eux et sont en liaison avec l'air comprimé dans la chambre de compression d'air du cylindre et ce par le biais d'un de ses canaux, sur l'embouchure externe d'un des canaux vient se visser hermétiquement un bouton pousse-valve, un autre canal qui est perpendiculaire au premier possède deux embouchures externes, sur l'une de ses embouchures vient se visser hermétiquement un robinet d'air et sur l'autre vient se visser hermétiquement une soupape de sécurité, qui peut être à tarages variables réglables par visse numérotée, avec un tarage minimum et un tarage maximum, à titre d'exemple cette soupape peut avoir une visse de réglage des différents tarages ayant une

numérotation avec un n°l ayant un tarage qui peut correspondre à un poids d'appui sur la tige, qui peut être légèrement supérieur à 3 kilos, puis un n°2 avec un tarage qui peut correspondre à un poids d'appui légèrement supérieur à 4 kilos, un n°3 avec un tarage qui peut correspondre à un poids d'appui légèrement supérieur à 5 kilos, un n°4 avec un tarage qui peut correspondre à un poids d'appui légèrement supérieur à 6 kilos, un n°5 avec un tarage qui peut correspondre à un poids d'appui légèrement supérieur à 7 kilos et un n°6 avec un tarage, qui peut correspondre à un poids d'appui qui peut être maximal et qui peut être légèrement supérieur à 8 kilos d'appui sur la tige. Pour ce qui est de la tige une fois que celle-ci est rentrée en quasi-totalité dans son cylindre, elle doit avoir une longueur légèrement supérieure au cylindre, de manière à ce qu'elle dépasse de quelques millimètres à l'extérieur du cylindre au niveau de son couvercle, afin que l'on puisse l'attraper du bout des doigts pour la faire ressortir sur toute sa longueur, on peut à présent effectuer les différents réglages des moyens de sécurités du dispositif et ce dans le cadre d'une utilisation en duo. La tige est rentrée dans son cylindre, la visse de réglage du tarage de la soupape est sur sa numérotation minimale c'est-à-dire sur 1, l'intéresser est allongé sur le dos, le partenaire peut être à califourchon au niveau du bassin de l'intéresser, position dite Andromaque, le partenaire va saisir le dispositif au niveau du chapeau d'une main et va appuyer avec le pouce sur le bouton pousse-valve, avec son autre main il va saisir le bout de la tige qui dépasse du cylindre et va la faire ressortir sur toute sa longueur utilisable, en faisant cela le piston de la tige durant sa descente va aspirer l'air, qui va entrer par le bouton pousse-valve et va ainsi remplir d'air la chambre de compression du cylindre, une fois que la tige est ressortie, le partenaire va relâcher l'appui sur le bouton pousse- valve, faisant que l'air contenu dans la chambre de compression ne peut plus s'échapper, maintenant le partenaire va saisir les poignées du dispositif avec ses deux mains, puis il va placer la tige sur le nombril de l'intéressé, qui lui va maintenir d'une main verticalement le dispositif au niveau du cylindre, puis le partenaire va se pencher légèrement en avant, de manière à faire peser sur les poignées le poids d'une partie de son corps, de par ce poids d'appui sur les poignées, la tige va dans un premier temps se rétracter de quelques centimètres, à l'intérieur du cylindre et ce jusqu'à ce que son piston comprime l'air dans le cylindre, une fois que l'air est comprimé la tige ne se rétracte plus, alors le partenaire va poursuivre son appui sur les poignées, de sorte que la tige va enfoncer progressivement le nombril à travers l'abdomen de l'intéressé, mais en admettant que celui-ci possède un abdomen ayant un volume moyen, comme la soupape a été mise sur sa numérotation 1, qui en se basant sur l'exemple, peut correspondre à un appui légèrement supérieur à 3 kilos, dès que le partenaire va dépasser les 3 kilos environ d'appui sur les poignées, la soupape va s'ouvrir et va laisser s'échapper l'air comprimé dans le cylindre et va laisser ainsi la tige se rétracter à l'intérieur du cylindre, empêchant ainsi de poursuivre l'opération d'appui sur la tige, à ce moment-là le partenaire va mettre la visse de réglage des tarages de la soupape sur le n°2, puis il va ressortir à nouveau la tige et va recommencer l'opération d'appui sur le nombril et si en effectuant l'appui, pour atteindre l'opéé la soupape s'ouvre à nouveau, il va mettre la visse sur n°3, puis il va recommencer son appui sur le nombril, la tige durant sa descente dans l'abdomen, va trouver l'opéé sur lequel elle va venir en appui et en continuant l'appui sur les poignées, la tige va plaquer l'opéé sur la colonne vertébrale de l'intéressé, à ce moment précis l'intéressé va ressentir que la tige est en appui sur sa colonne vertébrale, alors il va demander à son partenaire de stabiliser l'appui sur les poignées, en faisant cela la tige va effectuer de par l'appui constant, un point de compression sur l'opéé plaquer sur la colonne vertébrale, qui va déclencher l'érection du pénis et comme la soupape sur le n"3, ne s'est pas ouverte et à donc permis d'effectuer le point de compression sur l'opéé, cela veut dire que pour le volume moyen de l'abdomen de cet intéressé, il faut exercer un poids d'appui sur les poignées qui peut être légèrement supérieur à 5 kilos environ, cependant une fois que ce réglage de tarage de la soupape appropriée au volume de l'abdomen de l'intéressé a été effectué et que le partenaire, peut exercer un appui stabilisé sur les poignées du dispositif, il n'apparaît pas évident pour le partenaire d'exercer cet appui de manière régulière, car il peut exercer à tout moment un appui supérieur au tarage de la soupape, ce qui va provoquer son ouverture et la rétractation de la tige, ce qui implique qu'à chaque fois que cela se produit, il faut ressortir la tige qui s'est rétractée, aussi pour éviter cela, on va maintenant effectuer le réglage de la longueur de tige appropriée, pour se faire le partenaire va laisser la visse numérotée de la soupape sur le n°3, puis il va ressortir la tige, va la présenter sur le nombril, puis il va effectuer l'appui sur les poignées jusqu'à ce que la tige vienne comprimer l'opéé sur la colonne vertébrale, puis il va stabiliser son appui, à ce moment précis, l'intéressé va avec sa main restée libre ouvrir le robinet d'air, en faisant cela l'air comprimé dans le cylindre va s'échapper lentement, faisant que la tige va se rétracter lentement dans le cylindre et les poignées d'appui vont descendre lentement vers l'abdomen de l'intéressé, et dès que les poignées viennent en appui maximal sur l'abdomen, l'intéressé va fermer le robinet d'air, on a ainsi obtenu la longueur de tige appropriée servant à effectuer le point de

compression sur l'opéé, cette longueur de tige appropriée pour effectuer le point de compression, empêche que le partenaire n'exerce un appui supérieur à celui du tarage de la soupape, car les poignées sont en appui maximal sur l'abdomen et empêchent que la tige ne pénètre plus profondément dans l'abdomen, par le fait le partenaire ne peut plus effectuer un appui excessif sur les poignées et donc la tige, le réglage du tarage de la soupape appropriée à l'abdomen de l'intéressé, ainsi que le réglage de la longueur de tige appropriée pour effectuer le point de compression sur l'opéé, font que si ces deux réglages sont bien effectués, il est quasiment impossible d'effectuer un appui excessif sur l'opéé, et font que le réglage du tarage de la soupape, appropriée au volume de l'abdomen de l'intéressé et que le réglage de la longueur de tige, appropriée au volume de l'abdomen de l'intéressé, sont des éléments de sécurité servant à la protection des organes de l'intéressé, cependant le dispositif possède d'autres éléments de sécurité protégeant l'intéressé, tel que le bouton pousse-valve, celui-ci permet à l'intéressé d'arrêter le point de compression à tout moment, il lui suffit pour cela d'appuyer sur ce bouton pousse-valve, qui va laisser s'échapper en une fraction de seconde l'air comprimé dans le cylindre, laissant ainsi la tige se rétracter dans le cylindre et arrêtant ainsi le point de compression sur l'opéé, puis il y a un autre élément de sécurité, c'est le roulement à billes monté sur la tige, qui permet à celle-ci de rester indépendante, aux mouvements de rotation du cylindre avec ses poignées lors de l'appui, ce roulement empêche que la tige ne suive les mouvements de rotation effectués lors de l'appui et évite, ainsi le risque de déchirure de la peau du nombril durant l'appui de la tige sur celui-ci, maintenant que tous les réglages liés à la sécurité de l'intéressé sont effectués, le partenaire peut à présent ressortir la tige sur sa longueur appropriée au volume de l'abdomen de l'intéressé, pour cela comme la tige est graduée il lui suffit de la ressortir à la même longueur, que celle établie lors du réglage effectué précédemment, de même la soupape va rester sur le n°3 servant pour le volume moyen de l'intéressé, maintenant le partenaire va présenter la tige sur le nombril, va effectuer l'appui sur les poignées jusqu'à ce qu'elles viennent en appui maximal sur l'abdomen, en faisant cela la tige est en appui sur l'opéé, qui est plaqué sur la colonne vertébrale et la tige exerce le point de compression sur l'opéé, qui va provoquer l'érection du pénis et qui peut permettre d'établir un rapport sexuel, et cela quasiment en toute sécurité pour l'intéresser, cependant pour ne pas provoquer une éjaculation précoce durant le rapport, il est préférable d'effectuer le point de compression sur l'opéé par intermittence. Pour le mode solo, l'intéresser va introduire sur les poignées, qui ont pour cela un diamètre approprié, des disques en fonte ayant un revêtement caoutchouté, qui peuvent être du genre utilisé pour les haltères en haltérophilie et qui ont l'avantage d'être commercialisés, ce qui évite d'avoir à les produire, mais comme ses disques en fonte ont un diamètre relativement grand, ils vont dépasser de plusieurs centimètres côté tige, réduisant ainsi la longueur de tige utilisable, pour pallier à cela, on peut introduire sur la circonférence du cylindre une entretoise, elle va s'intercaler entre le couvercle du cylindre et le support de poignées, de manière à rehausser le support de poignées sur une hauteur suffisante, pour que les disques ne réduisent pas la longueur de tige, ses disques en fonte de par leurs poids vont remplacer l'appui manuel effectuer sur les poignées.

L'intéresser va s'allonger sur le dos en position horizontale, puis il va saisir d'une main le dispositif au niveau du cylindre, il va faire ressortir la tige en totalité et va la présenter sur son nombril en maintenant le dispositif verticalement, puis il va introduire sur les poignées des disques en fonte en nombre suffisant, de manière à ce que la tige vienne exercer le point de compression sur l'opéé, puis pour bloquer ces disques, il peut introduire sur les poignées des entretoises qui vont servir à compenser l'espace resté libre des poignées, ses entretoises sont bloquées et serrées contre les disques par une visse placé en bout des poignées, maintenant l'intéressé peut effectuer lui-même tous les réglages servant à sa sécurité comme pour le mode duo, la seule différence est que ce ne sont plus les poignées d'appui qui viennent reposer sur l'abdomen, mais les disques en fonte, maintenant l'intéresser peut maintenir le dispositif verticalement pour effectuer le point de

compression sur l'opéé, afin de provoquer l'érection puis bien après l'éjaculation de son pénis.

Cependant il est aussi possible d'utiliser le dispositif tel qu'il est décrit dans le mode solo, c'est-à-dire avec les disques qui remplacent l'appui manuel et cela en duo, principalement dans la position dite Andromaque et ce, dans le cas où le partenaire lors d'un rapport sexuel dans cette position, ne désirerait pas exercer lui-même l'appui manuel sur les poignées, cet alors l'intéresser lui-même, qui va maintenir verticalement le dispositif muni de ses disques en fonte, pour effectuer le point de compression sur l'opéé. L'invention consiste mise à part les dispositions exposées ci-dessus, en un certain nombre d'autres dispositions dont il sera plus explicitement question ci-après, à propos d'un mode de réalisation particulier, décrit avec référence aux dessins ci-annexés, mais qui n'est nullement limitative.

La figure 1 est une vue de face schématique et simplifiée du dispositif muni de ses disques en fonte, servant pour son utilisation en solo ou en duo.

La figure 2 est une vue de face schématique et simplifiée du dispositif, servant pour son utilisation en duo.

La figure 3 est une vue en coupe éclatée schématique et simplifiée, représentant le cylindre du dispositif avec ses différents composants. La figure 4 est une vue de dessus éclatée schématique et simplifiée, représentant les différents objets du support de poignées.

La figure 5 est une vue de profil schématique et simplifiée, représentant la localisation de l'opéé dans l'abdomen. En référence au dessin FIG 3, une tige cylindrique (1) qui peut être métallique et qui peut avoir une longueur d'environ 20 cm, ainsi qu'un diamètre d'environ 10mm, possède à l'une de ses extrémités un arrondie (2) qui peut être demi-sphérique, dépourvut d'arête vive et non abrasive, cette tige peut être graduée (3) figure 1 sur sa longueur, par exemple tous les 5 mm, l'autre extrémité de la tige est plane, sur l'extrémité de cette tige et sur sa circonférence vient s'emboîter un roulement à billes (4), qui peut être du type à une rangée de billes à contact radial, pour ce faire le diamètre de l'extrémité de la tige est ajusté au diamètre interne de la bague intérieure du roulement, pour permettre leurs emboîtements qui peut être effectué par une presse, un piston (5), celui-ci possède dans son axe un évidement (6) dans lequel vient s'emboîter le roulement (4), pour cela le diamètre de l'évidement est ajusté au diamètre extérieur de la bague externe du roulement, pour permettre leurs emboîtements qui peut se faire par une presse, au-dessus du premier évidement (6) un second évidement (7) de faible profondeur (1mm environ) peut être prévu, il est d'un diamètre légèrement supérieur à celui de la bague intérieur du roulement (4), afin que cette bague ne soit pas en appui sur le piston (5), ce qui la bloquerait et la tige (1) avec, le piston (5) est pourvue d'un joint torique, ce bloc tige (1) avec roulement (4) et piston (5) est introduit à l'intérieur d'un cylindre (8), qui peut être métallique, le diamètre intérieur de ce cylindre est ajusté à celui du piston (5), de sorte que le piston permette l'étanchéité lors de la compression de l'air dans le cylindre, ce cylindre possède à l'une de ses extrémités un filetage externe (9), un support de poignées cylindrique qui peut être amovible (24) FIG4 et qui peut être métallique, est d'un diamètre intérieur ajusté au diamètre extérieur du cylindre (8), ce qui permet à ce support de venir se positionner sur la circonférence du cylindre, juste au-dessus du filetage (9), ce support (24) possède sur son axe « a » deux zones de surépaisseur cylindrique (25), qui sont opposés l'une par rapport à l'autre de chaque côté du support, elles ont une terminaison plane avec dans leur axe un raccord femelle (26) avec un filetage interne non représenté, sur l'axe « b » qui est perpendiculaire à l'axe « a » sur un des coté du support (24), il y a une demi-nervure(27)et une demi-nervure(28), qui sont séparé sur toute leur longueur par une fente de quelques millimètres de large, la demi-nervure (27) possède un trou taraudé (29), qui est dans le même alignement que le trou de passage (30) de la demi-nervure (28), ces trous permettent par le passage puis par le serrage de la visse (31), de se faire rapprocher les deux demi-nervures l'une contre l'autre, de manière à bloquer le support (24) sur le cylindre (8), un couvercle (11) FIG3 est pourvue d'un trou de passage cylindrique (12) pour la tige (1) et d'un autre petit trou de passage d'air (14), qui empêche la compression de l'air dans le cylindre (8) dans la zone comprise entre le couvercle (11) et le dessous du piston (5), ce couvercle (11) vient se visser grâce à son taraudage (13) sur le filetage (9) du cylindre (8), le support de poignées (24) vient prendre appui sur le couvercle (11) FIG2, deux poignées cylindriques (32) FIG4, qui peuvent être métallique, peuvent avoir par exemple une longueur d'environ 8cm chacune et un diamètre d'environ 2,5cm, elles sont pourvues à l'une de leurs extrémités d'un raccord mâle ayant un filetage externe (33) et à leur autre extrémité elles ont un raccord femelle avec un filetage interne (34), ces poignées viennent se visser sur les cylindres (25) du support (24), raccord (33) des poignées dans le raccord (26) des cylindres (25), le diamètre des cylindres (25) peut-être d'environ 3,5cm, créant ainsi une zone d'épaulement sur la circonférence des cylindres, par rapport aux poignées (32) qui peuvent avoir comme déjà évoqué un diamètre d'environ 2,5cm, non représenter des poignées qui peuvent être du type «lock on grips » en mousse et qui possèdent une visse de serrage, prennent place sur les cintres (32) afin d'améliorer le confort de l'appui manuel, elles peuvent se visser et se dévisser, l'autre extrémité du cylindre (8) figure 3 est pourvue d'un filetage externe (10), non représenter une poignée en mousse peut prendre place sur la circonférence du cylindre (8), juste en dessous du filetage (10), elle permet un maintien manuel du dispositif plus confortable. Un chapeau cylindrique (15) qui possède un évidement taraudé (16) avec un joint torique non représenté, vient se visser

hermétiquement sur le filetage (10) du cylindre (8), dans l'axe « c » vertical du chapeau, un canal (17) permet le passage de l'air contenu dans le cylindre (8). Dans l'axe « d » horizontale du chapeau, un canal (18) est percé, il traverse le chapeau de part en part avec deux embouchures femelles taraudées (21) et (22), ce canal est en liaison centrale avec le canal (17), un canal (19) avec une embouchure femelle (20)qui possède un taraudage non représenté est percé, il est perpendiculaire aux canaux (17) et (18) avec une liaison centrale à ceux -ci, tous ces canaux sont donc en liaison avec l'air comprimé dans le cylindre dans la chambre de compression situer entre le haut du piston (5) et le chapeau (15), par le biais du canal (17). on représenté un bouton pousse-valve dont la valve peut être d'un grand diamètre, vient se visser hermétiquement grâce à un joint torique non représenter sur l'embouchure femelle taraudée (20) du canal (19), le diamètre de l'embouchure est ajusté à celui du bouton pousse-valve pour permettre leurs liaisons, non représenter un robinet d'air qui peut être du type à pointeau de petit diamètre, vient se visser hermétiquement grâce à un joint torique non représenter sur l'embouchure femelle taraudée (21) du canal (18), le diamètre de l'embouchure est ajusté à celui du robinet pour permettre leurs liaisons. Non représenté une soupape de sécurité qui peut être à tarages variables et réglables par une visse numérotée, vient se visser hermétiquement grâce à un joint torique non représenter sur l'embouchure femelle taraudée (22) du canal (18), le diamètre de l'embouchure est ajusté à celui de la soupape pour permettre leurs liaisons, en se basant sur l'exemple précédemment cité, cette soupape peut donc avoir à titre d'exemple une numérotation 1, qui peut permettre d'effectuer un poids d'appui sur la tige d'environ 2 kilos et qui peut servir, sur un ventre plat à atteindre l'opéé et le plaquer sur la colonne vertébrale, puis ce n°l peut permettre d'exercer un poids d'appui supplémentaire sur la tige, qui peut être légèrement supérieur à un kilo et qui va permettre d'effectuer le point de compression sur l'opéé, qui est plaqué sur la colonne vertébrale, ce poids d'appui d'un kilo supplémentaire servant à effectuer le point de compression sur l'opéé ne pose apparemment pas de problème pour l'opéé et la colonne vertébrale, qui peuvent le supporter, par le fait cette numérotation 1 peut permettre d'effectuer un appui total qui peut être légèrement supérieur à 3 kilos, avec un tarage de la soupape correspondant à ces 3 kilos d'appui, puis cette soupape peut avoir une numérotation 2, à laquelle on peut rajouter environ un kilo supplémentaire par rapport à la numérotation 1, qui peut permettre d'effectuer un appui total qui peut être légèrement supérieur à 4 kilos avec un tarage de la soupape correspondant à ces 4 kilos d'appui environ, puis on peut avoir une numérotation 3 à laquelle on peut rajouter un kilo par rapport à la numérotation 2 qui peut permettre d'effectuer un appui total, qui peut être légèrement supérieur à 5 kilos avec un tarage correspondant, puis une numérotation 4 à laquelle on peut rajouter environ 1 kilo par rapport à la numérotation 3, qui peut permettre d'effectuer un appui total qui peut être légèrement supérieur à 6 kilos avec un tarage correspondant, puis une numérotation 5 à laquelle on peut rajouter environ 1 kilo par rapport à la numérotation 4, qui peut permettre d'effectuer un appui total qui peut être légèrement supérieur à 7 kilos avec un tarage correspondant, puis pour finir on peut avoir une numérotation 6 à laquelle on peut rajouter environ 1 kilo, par rapport à la numérotation 5 et qui peut permettre d'effectuer un appui total qui peut être légèrement supérieur à 8 kilos, avec un tarage correspondant et ce tarage peut être le tarage maximal de la soupape, par le fait les différents tarages de cette soupape peuvent être échelonnés d'environ 1 kilo d'appui les uns par rapport aux autres, ils permettent d'effectuer un réglage du tarage de la soupape correspondant au volume de l'abdomen de l'intéressé et ce quel que soit son volume, cela fait qu'en termes de sécurité le dispositif est standard puisqu'il protège les intéressés d'un appui excessif et ce quels que soient leurs volumes d'abdomen, la tige (1) lorsqu'elle est rentrée en quasi- totalité dans son cylindre (8), fait que son piston (5) est en appui sur l'embase du chapeau (15), cette tige (1) peut dépasser à l'extérieur du cylindre (8) d'environ 1,5 cm par rapport au couvercle (11), de manière à ce que l'on puisse la saisir du bout des doigts pour la faire ressortir, de même le positionnement des poignées (32) qui sont en bout du cylindre (8), juste au-dessus du couvercle (11) fait qu'il permet le réglage de la longueur de tige appropriée pour exercer le point de compression sur l'opéé, longueur qui est comprise entre l'arrondi (2) de la tige (1) en appui sur l'opéé et les poignées (32) en appui sur l'abdomen, car si par exemple les poignées (32) se trouvaient en haut du cylindre sous le chapeau (15), il serait impossible d'effectuer le réglage de la longueur de tige appropriée, car le cylindre (8) viendrait prendre appui sur l'abdomen et le comprimerait.

Le support de poignées (24) peut posséder un petit repère non représenté qui va coïncider avec un autre repère non représenté sur le cylindre (8), de façon que l'on va bloquer le support (24) sur le cylindre grâce à sa visse (31), de manière à ce que les poignées soient sur leur axe (a) de chaque côté par rapport à l'axe (c) du cylindre et de son bouton pousse-valve qui est face à l'utilisateur comme illustrée FI62. Pour le mode solo, en se référant à la FIG4, des disques en fonte (35) ayant de préférence un revêtement caoutchouté qui leur permet d'être moins froid au toucher, viennent s'introduire sur les poignées (32) qui pour cela sont dépourvues de leurs poignées en mousse qui peuvent être du type « lock on grips » qui sont démontables, ses disques en fonte peuvent être du genre utilisé pour les haltères que l'on trouve dans le commerce, le diamètre des poignées (32) permet leurs introductions car ses disques possèdent dans leur axe un trou de passage cylindrique ayant un diamètre d'environ 2,8cm, alors que les poignées peuvent avoir un diamètre de 2,5cm, ses disques en fonte sont de différents poids et diamètres, cependant il est préférable d'utiliser des poids de 1 kilo qui ont un diamètre réduit par rapport aux autres, ses disques en fonte viennent en applique sur les cylindres (25), qui ont pour cela une zone d'appui qui peut être d'environ 5 millimètres, ces disques (35) de par leur poids vont servir à remplacer l'appui manuel effectuer sur les poignées (32) utiliser dans le mode duo, en se basant sur des disques en fonte de 1 kilo, ceux-ci possèdent un diamètre d'environ 13cm, faisant que les disques dépassent d'environ 5cm par rapport au couvercle (11) et du fait réduisent la longueur de la tige (1) utilisable, aussi on peut utiliser une entretoise cylindrique (23) FIG 1 ayant un diamètre intérieur légèrement supérieur au diamètre externe du cylindre (8), celle-ci vient se positionner sur la circonférence du cylindre, la hauteur de cette entretoise (23) peut-être de 5 cm, elle s'intercale entre le couvercle (11) sur lequel elle prend appui et le support (24) qui lui prend appui sur cette entretoise (23), par le fait le support de poignées (24) est rehaussé d'une hauteur d'environ 5 cm, faisant qu'ainsi la circonférence des disques (35) est plus ou moins sur le même alignement que le couvercle (11), et fait que les disques ne réduisent plus la longueur de tige utilisable, comme on peut le voir sur la FIG 1. Les poignées (32) qui peuvent avoir chacune une longueur de 8 cm environ, permettent que l'on puisse introduire sur celles-ci jusqu'à 4 disques en fonte d'un poids de 1 kilo chacun et ce sur chaque poignée, soit un poids total de 8 kilos, mais pour éviter que ses disques ne tombent lors de l'utilisation du dispositif lorsque l'intéressé va le manipuler, si les poignées comptent 4 disques chacune, on peut utiliser une visse (37) ayant une tête cannelée sur sa circonférence, qui vient se visser en bout des poignées (32) dans le raccord femelle (34) et qui vient bloquer les disques, mais si les poignées comportent moins de 4 disques il va rester un espace vide sur les poignées, aussi pour combler cet espace on peut introduire sur les poignées des entretoises circulaires (36), qui peuvent être en PVC, celles-ci ont un diamètre intérieur légèrement supérieur au diamètre externe des poignées, pour pouvoir s'introduire sur celle-ci, elles peuvent avoir la même largeur que l'épaisseur des disques (35) qu'elles vont remplacer pour combler le vide des poignées, la visse (37) qui peut avoir une tête de même diamètre que les entretoises (36), va donc bloquer les entretoises sur les disques. En référence à la FIG 5, on peut voir la localisation quasiment précise de l'opéé (40), sur lequel on va effectuer le point de compression : Sur un homme allongé à l'horizontale celui-ci se trouve dans l'abdomen (38), à proximité de la colonne vertébrale (41) et sous la verticale du nombril (39).

Le bouton pousse-valve situé sur l'embouchure (20) du chapeau permet lorsque l'on appuie dessus de pouvoir ressortir la tige (1) en tirant dessus, en faisant cela son piston (5) aspire l'air qui pénètre par le canal (19) et (17) et remplit d'air la chambre de compression du cylindre (8), situé entre le haut du piston (5) et le chapeau (15) ainsi que ses canaux (17), (18) et (19), puis en relâchant l'appui sur ce bouton l'air de se retrouve emprisonné dans le cylindre, ainsi lorsque la tige (1) est ressortie de son cylindre sur sa longueur totale, on peut présenter l'arrondi (2) de la tige sur le nombril de l'intéressé, puis par un appui manuel ou par le poids des disques en fonte (35) sur les poignées (32), on peut effectuer le point de compression sécurisé sur l'opéé, pour cela on va effectuer le réglage du tarage de la soupape de sécurité qui va correspondre au volume de l'abdomen de l'intéressé et ce comme déjà évoqué précédemment, ce réglage s'effectue grâce à la visse numérotée des différents tarages de la soupape, si l'on effectue sur l'opéé un appui excessif donc supérieur au tarage qui a été établi lors de ce réglage du tarage de la soupape, cette soupape de sécurité s'ouvre, laisse l'air comprimé s'évacuer par le canal (17) et (18), faisant que la tige (1) se rétracte dans son cylindre (8). Ensuite on va effectuer le réglage de la longueur de tige appropriée au volume de l'abdomen de l'intéressé et ce comme déjà évoqué précédemment, en utilisant le robinet d'air à faible débit localisé sur l'embouchure (21), de manière à ce que la longueur de tige appropriée soit comprise entre l'arrondi (2) de la tige qui est en appui sur l'opéé plaquer sur la colonne vertébrale et les poignées (32) en appui maximal sur l'abdomen de l'intéressé. Le bouton pousse-valve permet aussi d'arrêter à tout moment le point de compression en appuyant dessus, en effet il laisse s'échapper l'air comprimé par le canal (17) et (19) et laisse la tige (1) se rétracter dans le cylindre (8), de même il permet en appuyant dessus de repousser la tige (1) dans son cylindre (8) pour faciliter le rangement du dispositif, le roulement à billes (4) inséré sur la tige (1) et dans le piston (5) permet à la tige de ne pas suivre les mouvements de rotation du dispositif durant son utilisation pour effectuer le point de compression. Lorsque l'on veut monter des disques en fonte (35) sur les poignées (32) il faut rehausser le support (24), pour cela il faut dévisser le couvercle (11) et l'enlever, puis il faut desserrer la visse (31) du support (24) puis on introduit sur le cylindre (8) une entretoise (23) qui va rehausser le support (24), ensuite on visse à nouveau le couvercle (11), l'entretoise vient en appui sur celui-ci et le support (24) lui vient en appui sur l'entretoise (23), il ne reste plus qu'à resserrer la visse (31) du support (24) pour bloquer celui-ci.