Login| Sign Up| Help| Contact|

Patent Searching and Data


Title:
DEVICE FOR HOLDING CABLES AND SUPPORTING A CONTROL BOX, FOR PASSAGE THROUGH AN OPENING DEFINED IN A PIECE OF EQUIPMENT DURING THE MOUNTING OF THE CONTROL BOX ON SAID PIECE OF EQUIPMENT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2015/007968
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a device (D) for equipping a system comprising a piece of equipment provided with an opening, said device comprising a holding element (EM) which is to be housed in the vicinity of the opening and used to hold at least one cable (C1-C3) which is secured to a control housing and is to be passed through the opening, and a riser block (RB) which is to be secured in a fixed manner to the piece of equipment and to the control box (BC) in order to raise same (BC). The riser block (RB) comprises a first protrusion (P1) which is to be at least partially pressed against an upper face of a selected part (P2) of the holding element (EM), in order to immobilise same in relation to the piece of equipment, at the level of the opening thereof.

Inventors:
CONVERS GERMAIN (FR)
MORLOT LIONEL (FR)
BOUVROT FREDERIC (FR)
ROBERT PASCAL (FR)
LE BARS FRANCK (FR)
Application Number:
PCT/FR2014/051432
Publication Date:
January 22, 2015
Filing Date:
June 12, 2014
Export Citation:
Click for automatic bibliography generation   Help
Assignee:
PEUGEOT CITROEN AUTOMOBILES SA (FR)
International Classes:
B62D21/17; B60K20/04; B62D65/02
Foreign References:
DE102007021834A12008-11-13
DE102010028965A12011-11-17
JP2008049993A2008-03-06
FR2913947A12008-09-26
EP2101089A12009-09-16
FR2925404A12009-06-26
FR2950575A12011-04-01
Other References:
None
Attorney, Agent or Firm:
BESNARD, SEBASTIEN (FR)
Download PDF:
Claims:
REVENDICATIONS

1 . Dispositif (D) comprenant un élément de maintien (EM), propre à être logé au niveau d'une ouverture (OV) définie dans un équipement (PL) et à maintenir au moins un câble (Ci) solidarisé à un boîtier de commande (BC) et devant traverser ladite ouverture (OV), et un rehausseur (RB) propre à être solidarisé fixement audit équipement (PL) et audit boîtier de commande (BC) afin de rehausser ce dernier (BC), ledit rehausseur (RB) comprenant une première protubérance (P1 ) propre à être au moins partiellement plaquée contre une face supérieure (FS) d'une partie choisie (P2) dudit élément de maintien (EM), afin de l'immobiliser par rapport audit équipement (PL) au niveau de ladite ouverture (OV), ledit dispositif (D) étant caractérisé en ce que ledit élément de maintien (EM) comprend une deuxième protubérance (P2), orientée vers ledit rehausseur (RB), constituant ladite partie choisie et comportant ladite face supérieure (FS) sur laquelle est plaquée ladite première protubérance (P1 ).

2. Dispositif selon la revendication 1 , caractérisé en ce que ladite deuxième protubérance (P2) comprend deux parois (PLI) sensiblement perpendiculaires à ladite face supérieure (FS) et sensiblement parallèles entre elles afin de définir avec cette dernière (FS) un logement propre à recevoir étroitement une partie au moins de ladite première protubérance (P1 ), afin d'immobiliser la deuxième protubérance (P2) par rapport à ladite première protubérance (P1 ) suivant une direction perpendiculaire à une direction de plaquage.

3. Dispositif selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que ladite face supérieure (FS) de la deuxième protubérance (P2) comprend un premier moyen à coopération de forme (MC1 ) propre à coopérer étroitement avec un second moyen à coopération de forme (MC2) que comprend ladite première protubérance (P1 ), afin d'immobiliser ladite deuxième protubérance (P2) par rapport à ladite première protubérance (P1 ) suivant au moins l'une de deux directions perpendiculaires entre elles et perpendiculaires à une direction de plaquage.

4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que lesdits premier (MC1 ) et second (MC2) moyens à coopération de forme sont choisis dans un groupe comprenant au moins une nervure, un logement, un pion et une rainure.

5. Dispositif selon la revendication 1 , caractérisé en ce que ladite partie choisie de l'élément de maintien (EM) est située soit dans une zone centrale, soit dans au moins l'une de deux zones latérales encadrant ladite zone centrale.

6. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que ledit élément de maintien (EM) comprend une troisième protubérance (P3) définie à l'opposé dudit rehausseur (RB) et destinée à traverser ladite ouverture (OV) afin d'être logée sous une partie d'une paroi dudit équipement (PL) délimitant cette ouverture (OV).

7. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que ledit élément de maintien (EM) comprend une première pièce (EM1 ) propre à être logée dans ladite ouverture (OV) et comprenant un trou traversant central (TT), et une seconde pièce (EM2) propre à être couplée à ladite première pièce (EM1 ) et comportant ladite partie choisie (P2) comprenant ladite face supérieure (FS).

8. Dispositif selon la combinaison des revendications 6 et 7, caractérisé en ce que ladite première pièce (EM1 ) comprend ladite troisième protubérance (P3).

9. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il est adapté au maintien de câble(s) (Ci) au travers d'un équipement (PL) constituant un plancher d'un système constituant un véhicule.

Description:
DISPOSITIF DE MAINTIEN DE CABLE(S) ET DE SUPPORT D'UN BOITIER DE COMMANDE, POUR LA TRAVERSEE D'UN OUVERTURE DEFINIE DANS UN EQUIPEMENT LORS DU MONTAGE DU BOITIER DE COMMANDE SUR LEDIT EQUIPEMENT

L'invention concerne la traversée d'une ouverture d'un équipement par au moins un câble connecté à un boîtier de commande.

On entend ici par « câble » tout élément flexible plein ou creux, électrique, mécanique ou hydraulique, et destiné à coupler l'un à l'autre deux équipements distants. Il pourra donc s'agir de câbles de commande, de câbles électriques, de faisceaux électriques, ou de tuyaux, par exemple.

Dans certains domaines techniques, comme par exemple celui des véhicules, éventuellement de type automobile, on doit faire passer des câbles au travers d'une ouverture d'un équipement alors même que l'une de leurs extrémités est déjà raccordée à un boîtier de commande. C'est par exemple le cas des câbles de commande de boîte de vitesses qui sont destinés à coupler la boîte de vitesses (généralement située dans le compartiment moteur) aux moyens de commande de boîte de vitesses qui font partie d'un boîtier de commande situé au moins partiellement dans l'habitacle au-dessus du plancher qui fait partie de la « caisse ».

Afin que les câbles assurent correctement leur fonction, ils sont couplés à un élément de maintien (parfois appelé boîtier (ou joint) de passage de câble(s)) qui est logé fixement dans l'ouverture de l'équipement à traverser et chargé de les maintenir de façon permanente grâce à des gaines (ou conduits) qu'il comprend. La solidarisation de cet élément de maintien par rapport à l'équipement, au niveau de son ouverture, se fait actuellement par clippage ou par vissage. Les extrémités libres des câbles sont ensuite raccordées à un équipement comme par exemple la boîte de vitesses.

La solidarisation par clippage s'avère fréquemment difficile du fait de l'effort que le technicien doit exercer dans une position très peu ergonomique.

De plus elle nécessite généralement un point de vérification sous l'équipement comportant l'ouverture à traverser (par exemple le plancher) du fait de la difficulté rencontrée lors du clippage, ce qui ne peut se faire qu'une fois que le véhicule se trouve dans une position surélevée et donc sensiblement après le clippage, et ce qui fait en outre perdre du temps.

La solidarisation par vissage s'avère difficile car le lieu d'implantation de l'une des vis est généralement masqué par les câbles et les masses d'amortissement que ces derniers peuvent comporter. De plus, chaque vis constitue un pont phonique qui fait remonter des bruits dans l'habitacle (dans le cas d'un véhicule).

L'invention a donc pour but d'améliorer la situation.

Elle propose notamment à cet effet un dispositif comprenant un élément de maintien, propre à être logé au niveau d'une ouverture définie dans un équipement et à maintenir au moins un câble solidarisé à un boîtier de commande et devant traverser l'ouverture, et un rehausseur propre à être solidarisé fixement à l'équipement et au boîtier de commande afin de rehausser ce dernier.

Ce dispositif se caractérise par le fait que son rehausseur comprend une première protubérance propre à être au moins partiellement plaquée contre une face supérieure d'une partie choisie de son élément de maintien, afin de l'immobiliser par rapport à l'équipement au niveau de l'ouverture.

Grâce à ce dispositif permettant une immobilisation de l'élément de maintien par appui (ou plaquage), on n'a plus besoin d'utiliser des vis (ce qui facilite le montage et évite de créer des ponts phoniques), ou des clips (ce qui facilite le montage pour le technicien qui en a la charge et évite d'avoir à effectuer des vérifications).

Le dispositif selon l'invention peut comporter d'autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment :

- dans un premier mode de réalisation son élément de maintien peut comprendre une deuxième protubérance, orientée vers son rehausseur, constituant la partie choisie et comportant la face supérieure sur laquelle est plaquée la première protubérance ;

la deuxième protubérance peut comprendre deux parois sensiblement perpendiculaires à la face supérieure et sensiblement parallèles entre elles afin de définir avec cette dernière un logement propre à recevoir étroitement une partie au moins de la première protubérance, afin d'immobiliser la deuxième protubérance par rapport à la première protubérance suivant une direction perpendiculaire à une direction de plaquage ;

la face supérieure de la deuxième protubérance peut comprendre un premier moyen à coopération de forme propre à coopérer étroitement avec un second moyen à coopération de forme que comprend la première protubérance, afin d'immobiliser la deuxième protubérance par rapport à la première protubérance suivant au moins l'une de deux directions perpendiculaires entre elles et perpendiculaires à une direction de plaquage ;

• les premier et second moyens à coopération de forme peuvent être choisis parmi au moins une nervure, un logement, un pion et une rainure ;

- dans un second mode de réalisation la partie choisie de son élément de maintien peut être située soit dans une zone centrale, soit dans au moins l'une de deux zones latérales encadrant cette zone centrale ;

- son élément de maintien peut comprendre une troisième protubérance définie à l'opposé du rehausseur et destinée à traverser l'ouverture afin d'être logée sous une partie d'une paroi de l'équipement qui délimite cette ouverture ;

- son élément de maintien peut comprendre une première pièce propre à être logée dans l'ouverture et comprenant un trou traversant central, et une seconde pièce propre à être couplée à la première pièce et comportant la partie choisie qui comprend la face supérieure ;

la première pièce peut comprendre la troisième protubérance ;

- il peut être adapté au maintien de câble(s) au travers d'un équipement constituant un plancher d'un système constituant un véhicule, éventuellement de type automobile ;

chaque câble peut être destiné à coupler une boîte de vitesses du véhicule. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés (obtenus en CAO/DAO, d'où le caractère apparemment discontinu de certaines lignes), sur lesquels :

- la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, un exemple de réalisation d'un dispositif selon l'invention couplé à un boîtier de commande, mais avant qu'il ne soit solidarisé à un équipement,

- les figures 2 et 3 illustrent schématiquement, dans des vues en perspective du dessus et du dessous, un exemple de réalisation d'une première pièce d'un élément de maintien du dispositif de la figure 1 ,

- les figures 4 et 5 illustrent schématiquement, dans des vues en perspective du dessus et du dessous, un exemple de réalisation d'une seconde pièce d'un élément de maintien du dispositif de la figure 1 , destinée à être couplée à la première pièce des figures 2 et 3,

- la figure 6 illustre schématiquement, dans une vue de côté, l'élément de maintien constitué des première et seconde pièces des figures 2 à 5,

- la figure 7 illustre schématiquement, dans une vue en coupe longitudinale (dans un plan ZX), une partie du dispositif de la figure 1 une fois qu'il a été solidarisé à un équipement, et

- la figure 8 illustre schématiquement, dans une vue en coupe transversale (dans un plan ZY), une variante de réalisation des première et seconde protubérances du dispositif de la figure 1 .

L'invention a notamment pour but de proposer un dispositif D destiné à maintenir au moins un câble Ci solidarisé à un boîtier de commande BC et devant traverser une ouverture OV définie dans un équipement PL, et à supporter et rehausser ce boîtier de commande BC par rapport à cet équipement PL.

Dans ce qui suit, on considère, à titre d'exemple non limitatif, que l'équipement PL est le plancher d'une caisse d'un véhicule (éventuellement de type automobile). Mais l'invention n'est pas limitée à ce type d'équipement. Elle concerne en effet tout type d'équipement auquel est solidarisé au moins un autre équipement au voisinage d'une ouverture destinée à permettre le passage d'au moins un câble.

Par ailleurs, on considère dans ce qui suit, à titre d'exemple non limitatif, que le boîtier de commande BC est destiné à commander la boîte de vitesses d'un véhicule. Par conséquent, les câbles Ci sont des câbles de commande de boîte de vitesses qui sont destinés à coupler le boîtier de commande BC à la boîte de vitesses via une ouverture OV définie dans le plancher PL de la caisse. Mais l'invention n'est pas limitée à ces types de boîtier de commande et de câble. Elle concerne en effet tout boîtier de commande devant être connecté à au moins un élément flexible plein ou creux, électrique, mécanique ou hydraulique. Ainsi, les câbles Ci pourront être des câbles de commande, des câbles électriques, des faisceaux électriques, ou des tuyaux, par exemple.

Sur les figures la direction X est une direction dite longitudinale, ici sensiblement parallèle aux côtés longitudinaux du véhicule V, la direction Y est une direction dite transversale, laquelle est perpendiculaire à la direction longitudinale X, et la direction Z est une direction dite verticale, laquelle est perpendiculaire aux directions longitudinale X et transversale Y.

On a schématiquement représenté sur la figure 1 un exemple non limitatif de dispositif D selon l'invention. Comme indiqué ci-avant, et comme illustré sur les figures 6 et 7, ce dispositif D est notamment destiné à maintenir au moins un câble Ci au niveau d'une ouverture OV définie dans un équipement (ici un plancher) PL.

On notera que dans l'exemple non limitatif illustré le dispositif D maintient trois câbles C1 à C3 (i = 1 à 3). Mais il pourrait n'en maintenir qu'un seul ou deux, ou bien il pourrait en maintenir plus de trois. Comme illustré sur les figures 1 et 4 à 7, le maintien de l'un au moins des câbles Ci selon une orientation sensiblement prédéfinie peut être favorisé par la présence d'un conduit (ou gaine) CD dans lequel il est introduit à coulissement.

Comme illustré, ce dispositif D comprend un élément de maintien EM et un rehausseur RB.

L'élément de maintien EM est propre à être logé au niveau de l'ouverture OV de l'équipement PL et à maintenir au moins un câble Ci solidarisé à un boîtier de commande BC et devant traverser cette ouverture OV. On notera qu'il est parfois appelé boîtier (ou joint) de passage de câble(s).

Le rehausseur RB est propre à être solidarisé fixement à l'équipement PL (ici un plancher) et au boîtier de commande BC afin de rehausser ce dernier (BC). Par exemple, le boîtier de commande BC est solidarisé par vissage au rehausseur RB. Mais en variante cette solidarisation pourrait se faire par clippage. Par ailleurs, le rehausseur RB est de préférence solidarisé par vissage au plancher PL via des pattes de fixation PF munies de trous traversant. Mais en variante cette dernière solidarisation pourrait se faire par clippage.

Selon l'invention, le rehausseur RB comprend une première protubérance P1 qui est propre à être au moins partiellement plaquée contre une face supérieure FS d'une partie choisie P2 de l'élément de maintien EM, afin de l'immobiliser par rapport au plancher PL au niveau de l'ouverture OV.

On comprendra que lorsque la première protubérance P1 entre en contact avec cette face supérieure FS lors de l'opération de solidarisation du rehausseur RB au plancher PL (par exemple par vissage), cela provoque son plaquage suivant la direction Z contre le plancher PL, au niveau de l'ouverture OV, et donc son immobilisation une fois que la solidarisation précitée est effective.

La première protubérance P1 peut être une patte s'étendant suivant la direction longitudinale X et destinée à plaquer une partie choisie de l'élément de maintien EM qui est située soit dans une zone centrale, soit dans au moins l'une de deux zones latérales encadrant cette zone centrale. Dans ce cas, pour améliorer l'immobilisation de l'élément de maintien EM dans une position prédéfinie, ce dernier (EM) peut comprendre, comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 7, deux parois latérales PLC sensiblement définies dans le plan ZX, sensiblement parallèles entre elles et destinées à passer au travers de l'ouverture OV pour empêcher ses déplacements suivant au moins la direction transversale Y (le déplacement suivant la direction verticale Z étant déjà interdit par le plaquage assuré par la première protubérance P1 ).

Cette immobilisation peut être encore renforcée au moyen de petites pattes de fixation légèrement flexibles, munies de cran, définies à la périphérie de l'élément de maintien EM et destinées à passer au travers de trous définis dans le plancher PL à la périphérie de son ouverture OV.

Dans une variante de réalisation illustrée non limitativement sur les figures 1 à 7, l'élément de maintien EM peut comprendre une deuxième protubérance P2, orientée vers le rehausseur RB, constituant la partie choisie et comprenant la face supérieure FS sur laquelle est plaquée la première protubérance P1 . Les première P1 et deuxième P2 protubérances peuvent être des pattes s'étendant suivant la direction longitudinale X et orientées l'une vers l'autre.

On notera, comme illustré non limitativement sur les figures 4 à 7, que la deuxième protubérance P2 peut optionnellement comprendre deux parois PLI sensiblement perpendiculaires à la face supérieure FS et sensiblement parallèles entre elles, afin de définir avec cette dernière (FS) un logement qui est propre à recevoir étroitement une partie au moins de la première protubérance P1 . Cela permet d'immobiliser la deuxième protubérance P2 par rapport à la première protubérance P1 suivant la direction transversale Y qui est perpendiculaire à la direction de plaquage (ici Z), ce qui est avantageux non seulement pendant la phase de solidarisation du rehausseur RB au plancher PL, mais également après.

Egalement en option, et éventuellement en complément de l'option précédente, la face supérieure FS de la deuxième protubérance P2 peut comprendre, comme illustré sur la figure 8, un premier moyen à coopération de forme MC1 qui est propre à coopérer étroitement avec un second moyen à coopération de forme MC2 que comprend la première protubérance P1 . Cela permet en effet d'immobiliser la deuxième protubérance P2 par rapport à la première protubérance P1 suivant au moins l'une de deux directions (ici Y et éventuellement X) perpendiculaires entre elles et perpendiculaires à la direction de plaquage (ici Z).

Ces premier MC1 et second MC2 moyens à coopération de forme peuvent être choisis parmi au moins une nervure, un logement, un pion et une rainure. Dans l'exemple non limitatif illustré sur la figure 8, le premier moyen à coopération de forme MC1 est un pion (par exemple de section carrée ou rectangulaire) ou une nervure (de section rectangulaire avec son grand côté parallèle à la direction longitudinale X), tandis que le second moyen à coopération de forme MC2 est un logement (de forme homologue à celle du pion) ou une rainure (de forme homologue à celle de la nervure). Mais une combinaison inverse de celle illustrée est également possible (à savoir MC1 concave et MC2 convexe).

Comme illustré non limitativement sur les figures 2, 6 et 7, l'élément de maintien EM peut optionnellement comprendre une troisième protubérance P3 définie à l'opposé du rehausseur RB (et donc ici à l'opposé de la seconde protubérance P2) et destinée à traverser l'ouverture OV afin d'être logée sous une partie d'une paroi du plancher PL délimitant cette ouverture OV. Cette troisième protubérance P3, qui constitue une espèce de bec, sert avantageusement à positionner initialement une partie « avant » de l'élément de maintien EM par rapport à l'ouverture OV avant que ne commence la solidarisation du rehausseur RB par rapport au plancher PL. Elle sert également à empêcher un déplacement vers l'avant (suivant la direction longitudinale X) de l'élément de maintien EM une fois la solidarisation précitée réalisée.

On notera, comme illustré non limitativement sur les figures 2, 6 et 7, que l'élément de maintien EM peut optionnellement comprendre de petites pattes de fixation PCL légèrement flexibles et munies de crans destinés à traverser l'ouverture OV afin d'être logés sous une partie de la paroi du plancher PL qui délimite cette ouverture OV une fois l'élément de maintien EM plaqué contre le plancher PL, pour l'immobiliser suivant la direction verticale Z en coopération avec la troisième protubérance P3.

On notera également, comme illustré non limitativement sur les figures 1 à 6, que l'élément de maintien EM peut être optionnellement constitué de première EM1 et seconde EM2 pièces couplées l'une à l'autre. La première pièce EM1 est propre à être logée dans l'ouverture OV et comprend un trou traversant central TT. Elle est de préférence réalisée dans un matériau rigide (par exemple en plastique). La seconde pièce EM2 comporte la partie choisie P2 qui comprend la face supérieure FS. Elle est de préférence réalisée dans un matériau souple (par exemple un élastomère). Par exemple, et comme illustré, la première pièce EM1 peut comprendre l'éventuelle troisième protubérance P3, les éventuelles pattes de fixation PCL et les éventuelles parois latérales PLC qui sont sensiblement définies dans le plan ZX et destinées à empêcher les déplacements de l'élément de maintien EM suivant au moins la direction transversale Y. Comme illustré, elle peut également et éventuellement comprendre une quatrième protubérance P4 similaire à la deuxième protubérance P2 et destinée à servir de support rigide à cette dernière (P2). Egalement comme illustré, cette quatrième protubérance P4 peut éventuellement comprendre deux parois PLI' sensiblement perpendiculaires à sa face supérieure, sensiblement parallèles entre elles, et destinées à être introduites dans des fentes que comprennent les éventuelles parois PLI similaires qui sont perpendiculaires à la face supérieure FS de la seconde pièce EM2.

La seconde pièce EM2 comprend ici l'éventuelle seconde protubérance P2 (avec ses éventuelles parois PLI munies d'éventuelles fentes) et deux conduits CD dans lesquels sont introduits à coulissement deux des trois câbles Ci.

Dans l'exemple illustré, les première EM1 et seconde EM2 pièces sont deux éléments initialement distincts qui sont ensuite couplés l'un à l'autre, par exemple par introduction en force de la première pièce EM1 dans la seconde pièce EM2 (comme illustré sur la figure 6). Mais dans une variante de réalisation, la seconde pièce EM2 pourrait être surmoulée sur la première pièce EM1 .

On notera également que l'élément de maintien EM pourrait être de type monobloc (c'est-à-dire constitué d'une unique pièce).

On notera également, comme illustré non limitativement sur la figure 7, qu'un joint d'insonorisation Jl peut être avantageusement placé sur la face supérieure du plancher PL, sous le rehausseur RB et autour de l'élément de maintien EM. Dans ce cas, le joint d'insonorisation Jl est avantageusement plaqué contre le plancher PL, d'une part, par la première protubérance P1 et une partie de l'éventuelle deuxième protubérance P2, et, d'autre part, par un bord d'appui BA défini à la périphérie de l'élément de maintien EM (et plus précisément ici de sa seconde pièce EM2). Ce mode de plaquage du joint d'insonorisation Jl permet en effet d'éviter d'avoir à utiliser un moyen de fixation de type vis ou rivet pour le solidariser au plancher PL, ce qui évite la création de ponts phoniques additionnels.