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Title:
DEVICE FOR SECURING A LUMINAIRE FITTING BY MECHANICAL CLAMPING WITHOUT THE NEED FOR A TOOL
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2014/114858
Kind Code:
A1
Abstract:
The present invention relates to a device consisting of an intermediate part (PI) intended to be installed firmly on a flush-mounting ceiling box (BE) so as to allow the immobilization and locking of a luminaire fitting in a few seconds and without even using any external tool. Said intermediate part (PI) of the device of the invention is fitted manually by introducing its main threaded rod (TP) into the tapped central shaft (CP) in a flush-mounting box (BE) and by manually turning said intermediate part (PI) of the device until it reaches its chosen final position. The present device is characterized in that the intermediate part (PI) consists of two jaws (MS1) and (MS2) that are hinged about an axis (AR) in order to form a hinge or are fixed together in order form a clamp, so as to retain the luminaire fitting (PL) by clamping between said two jaws (MS1) and (MS2) and not by traditional screwing. Once the luminaire fitting (PL) has been placed and immobilized between the two jaws (MS1) and (MS2) of the intermediate part (PI) of the device, the intermediate part (PI) is locked by means of a manually actuated mechanical element such as a wing nut (EV), for example, or any other securing element that does not require the use of a tool.

Inventors:
OTTAVIANO PATRICE (FR)
Application Number:
PCT/FR2014/000015
Publication Date:
July 31, 2014
Filing Date:
January 21, 2014
Export Citation:
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Assignee:
OTTAVIANO PATRICE (FR)
International Classes:
F21V21/03; F21V17/10; F21V17/12
Domestic Patent References:
WO2004048826A12004-06-10
Foreign References:
DE29715189U11997-10-23
FR2947326A12010-12-31
US20040042222A12004-03-04
US20020118545A12002-08-29
US20020118545A12002-08-29
FR2947326A12010-12-31
US20040042222A12004-03-04
FR2957403A12011-09-16
FR2949535A12011-03-04
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Claims:
REVENDICATIONS

Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique nécessitant aucun outil, caractérisé en ce qu'il est composé principalement d'une pièce intermédiaire (PI) entre d'une part une boîte d'encastrement de plafond (BE) et d'autre part une patère de luminaire (PL), ladite pièce intermédiaire (PI) étant solidarisée à ladite boîte d'encastrement de plafond (BE), par le vissage manuel et sans outil d'un axe fileté (TP) solidarisé de manière fixe ou mobile à ladite pièce intermédiaire (PI), à l'intérieur de la cheminée centrale taraudée (CP) de ladite boîte d'encastrement (BE), pour fixer et maintenir une patère de luminaire (PL) par serrage mécanique manuel et sans recours à un outil, entre deux mors rapprochés (MSI ) et (MS2).

Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique nécessitant aucun outil selon la revendication 1 , caractérisé en ce que la pièce intermédiaire (PI) entre d'une part une boîte d'encastrement de plafond (BE) et d'autre part une patère de luminaire (PL), est constituée d'une charnière mécanique de préférence métallique, portant deux mors (MSI ) et (MS2) préférablement de forme rectangulaire et mobiles l'un par rapport à l'autre, associés entre eux sur un seul de leurs côtés au moyen d'une articulation (AR) et verrouillés en position « fermé » soit plaqués l'un contre l'autre, par un élément de fixation mécanique manuel et sans recours à un outil, tel que par exemple un écrou à oreille dit écrou papillon (EV).

Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon les revendications précédentes, caractérisé en ce que le mors dit « mors de serrage supérieur » (MSI ), opposé à l'autre mors dit « mors de serrage inférieur» (MS2) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, est muni sur son plan extérieur c'est-à-dire son plan opposé au plan constituant l'intérieur de la charnière , de manière fixe ou mobile, de préférence en son milieu et orienté vers l'extérieur de ladite charnière, d'un axe cylindrique fileté (TP) sur tout ou partie de sa longueur, de dimensions et caractéristiques adaptées et compatibles avec la cheminée centrale taraudée (CP) d'une boîte d'encastrement de plafond (BE).

Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le « mors de serrage supérieur» (MSI), opposé au « mors de serrage inférieur» (MS2) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, est muni sur son plan intérieur, c'est-à-dire son plan opposé au plan extérieur portant de manière fixe ou mobile l'axe fileté cylindrique (TP), au plus près du petit côté libre de ce plan et sur un axe perpendiculaire à celui-ci, un « pion de verrouillage » (AV) fileté sur tout ou partie de sa longueur pour recevoir préférablement un écrou à oreilles (EV) dit écrou papillon ou tout autre type d 'écrou à actionnement manuel et sans recours à un outil.

5. Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le « mors de serrage inférieur» (MS2) opposé au « mors de serrage supérieur » (MSI ) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, est aménagé de manière à permettre au pion de verrouillage (AV) solidaire du « mors de serrage supérieur» (MSI ) de traverser de part et d'autre le « mors de serrage inférieur » (MS2), par exemple par un orifice traversant (PO) ou une encoche ouverte (EC).

6. Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, une fois les mors de serrage (MSI ) et (MS2) de la charnière constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif, rabattus l'un sur l'autre pour enserrer entre eux une patère de luminaire (PL), lesdits mors de serrage (MSI ) et (MS2) sont maintenus verrouillés dans cette position au moyen d'un élément mécanique de fixation à actionnement manuel et sans recours à un outil, par exemple un écrou à oreille dit écrou papillon (EV) solidarisé par vissage sur le pion de verrouillage (AV) solidaire du « mors de serrage supérieur » (MSI ) et traversant le « mors de serrage inférieur » (MS2) par l'orifice (PO) ou l'encoche ouverte (EC) prévus à cet effet.

7. Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, une fois les mors de serrage (MSI ) et (MS2) de la charnière constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif, rabattus l'un sur l'autre pour enserrer entre eux une patère de luminaire (PL), lesdits mors de serrage (MSI ) et (MS2) sont maintenus verrouillés dans cette position au moyen d'un élément mécanique de fixation à actionnement manuel et ne nécessitant pas d'outil, par exemple : vissage d'une vis papillon (VP) solidaire du « mors de serrage inférieur» (MS2) dans un taraudage (TR) intégré ou rapporté au « mors de serrage supérieur » (MSI ), pièce coulissante (VC) sur un des mors de serrage enserrant le mors de serrage opposé, axe indépendant (VI) introduit dans des aménagements prévus à cet effet sur les deux mors de serrage, pion mobile solidaire d'un mors de serrage coulissant (PC) à l'intérieur d'une ouverture prévue pour le recevoir sur le mors de serrage opposé, pièce mobile pivotante (VB) solidaire d'un mors de serrage et venant enserrer le mors de serrage opposé ou tout autre dispositif mécanique ne nécessitant pas le recours à un outil.

8. Dispositif pour la fixation de pafère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention est constituée de deux mors de serrages (MSI ) et (MS2) fixes et préférablement parallèles entre eux. distants l'un de l'autre pour constituer par exemple en une seule pièce une pince dans laquelle est insérée une patère de luminaire (PL). Le « mors de serrage supérieur » (MSI ) de ladite pince fixe est muni de manière fixe ou mobile, de préférence sur son plan extérieur, en son milieu et perpendiculairement à celui-ci, d'un axe cylindrique fileté (TP) de dimensions et caractéristiques adaptées et compatibles avec la cheminée centrale taraudée (CP) d'une boîte d'encastrement de plafond (BE). Le « mors de serrage inférieur » (MS2) dispose de manière intégrée ou rapportée à un endroit adapté et compatible avec le fonctionnement du dispositif, d'un axe à oreilles type vis papillon (VT) préférablement muni d'un tampon fixe ou mobile et de matière adaptée et compatible avec une serrage par pression, de manière à exercer sur la patère de luminaire (PL) un effort suffisant pour l'immobilisée en position contre le plan intérieur du « mors de serrage supérieur » (MSI ), par vissage du l'axe à oreilles

(VT).

9. Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, au moins une mais préférablement deux pièces intermédiaires articulées (PI), démunies de leur axe cylindrique fileté (TP), sont solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées préférablement aux deux extrémités d'une plaque dite de jonction (PJ) de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple rectangulaire, portant elle-même sur son plan extérieur, de manière fixe ou mobile et de préférence en son milieu, perpendiculairement et orienté vers l'extérieur, un axe cylindrique fileté (TP) de dimensions et caractéristiques adaptées et compatibles avec la cheminée centrale (CP) d'une boîte d'encastrement de plafond (BE).

10. Dispositif pour la fixation de patère de luminaire par serrage mécanique ne nécessitant aucun outil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, plusieurs pièces intermédiaires (PI) démunies de leur axe cylindrique fileté (TP), sont solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées à une plaque dite de jonction (PJC) de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple en forme de croix à quatre branches, portant elle-même sur son plan extérieur de manière fixe ou mobile et de préférence en son milieu, perpendiculairement et orienté vers l'extérieur, un axe cylindrique fileté (TP) de dimensions et caractéristiques adaptées et compatibles avec la cheminée centrale (CP) d'une boîte d'encastrement de plafond (BE).

Description:
DISPOSITIF POUR LA FIXATION DE PATERE DE LUMINAIRE PAR SERRAGE MECANIQUE NE NECESSITANT AUCUN OUTIL.

On sait que l'installation d'un luminaire sur le plafond d'un logement a toujours généré des difficultés pour les occupants, qui ne sont pas forcément des experts en bricolage ou des adeptes des travaux manuels.

Pour tenter de simplifier cette opération et ainsi la mettre à la portée de tous, une boîte d'encastrement dite boîte DCL a été imaginée et imposée pour toutes les constructions nouvelles. Cette boîte est rapportée le plus souvent au centre du plafond d'une pièce par encastrement et de la même manière que les boîtes d'encastrement utilisées généralement dans les cloisons sèches des appartements.

La boîte DCL imposée dispose le plus souvent d'un moyen de fixer l'élément mécanique de suspension associé à un moyen de connexion des conducteurs électriques.

D'autres boîtes d'encastrement disposent uniquement du moyen mécanique de suspension, les conducteurs électriques étant raccordés à l'intérieur de ladite boîte au moyen d'un connecteur le plus souvent dénommé « Domino ».

Quelle que soit le type de boîte utilisé, il est toujours prévu un moyen de fixer mécaniquement un élément de suspension tel que par exemple un piton fileté sur lequel vient s'accrocher la chape prévue à cet effet sur l'axe de suspension d'un lustre.

Ce moyen inclus dans la boîte d'encastrement pour fixer mécaniquement un élément de suspension est le plus souvent constitué par un cylindre taraudé ci-après désigné « cheminée », installé de manière fixe ou amovible au centre et à l'intérieur de la boîte d'encastrement. Cet élément « cheminée » est parfois utilisé également pour renforcer la fixation de la boîte d'encastrement dans le plafond. Dans ce cas, la boîte d'encastrement vient se visser sur une tige filetée fixée sur la structure solide du bâtiment ce qui assure une résistance à l'arrachement que les étriers seuls ne pourraient assurer.

La boîte d'encastrement est le plus souvent obturée par un couvercle disposant au moins d'un orifice central permettant le passage du piton de suspension.

L'évolution technique des luminaires a conduit à proposer sur le marché des luminaires recourant à des modes de fixation différents de ceux abordés précédemment et ne recourant pas à la boîte d'encastrement.

En effet, la plupart des plafonniers, globes, spots et parfois même certains autres équipements électriques tels que vidéoprojecteurs, enceintes etc. sont livrés avec un dispositif de suspension comprenant le plus souvent une plaque support par exemple métallique, de forme et dimensions adaptées ef compatibles au boîtier de suspension du luminaire qu'elle reçoit par simple vissage d'au moins une vis latérale de fixation. Ladite plaque support de luminaire ci-après désignée « patère » est généralement constituée d'une bande métallique percée dont les extrémités sont pliées à 90 degrés et portent des perforations destinées à recevoir les vis latérale de fixation.

La patère de ces luminaires de plus en plus nombreux, est fixée directement sur le plafond et généralement au moyen de deux points de fixation.

Ainsi, leur installation implique le perçage en deux endroits du plafond du logement.

Décalée de l'axe central de la boîte d'encastrement pour pouvoir laisser libre la connexion des conducteurs électriques, la pafère de luminaire doit être posée à plat sur le plafond et les points de perçage doivent être repérés. Les perçages sont ensuite effectués pour permettre la mise en place de la patère de luminaire par vissage dans des chevilles préalablement posées.

Outre l'exigence d'un bon repérage et les difficultés à percer à la verticale qui conduit à la génération de poussières de plâtre ou béton tombant sur le visage, cette opération implique un soin particulier pour éviter l'altération et la destruction d'éventuels circuits électriques ou hydrauliques intégrés à la dalle du plafond.

Elle entraîne également le plus souvent des salissures autour du point d'attache et des reprises de perçage nuisant sensiblement à l'esthétique.

Constatant que dans de nombreux appartements le fait de percer le plafond n'est pas accepté par le propriétaire, tout semble fait aujourd'hui pour décourager l'auto installation des luminaires et conduire au recours à un professionnel coûteux et pas toujours disponible.

Sensibilisés par ces difficultés qui contrarient le marché des luminaires, certains inventeurs ont imaginé depuis des années des moyens de simplifier l'auto installation de luminaire sur un plafond.

Par exemple, le brevet américain John BUCHER publié le 29/08/2002 sous le numéro US2002/01 18545 décrit un dispositif fondé sur un mode de fixation ne faisant pas appel à une patère de luminaire mais plutôt à des plaques intermédiaires spéciales dont une reçoit par vissage le boîtier de luminaire et l'autre vissée en deux points sur la boîte d'encastrement reçoit par vissage un axe fileté solidarisé à ladite première plaque intermédiaire. Si ce dispositif évite effectivement le perçage de trous dans le plafond, il implique impérativement la fixation par vissage des plaques intermédiaires totalement différenciées des patères de luminaire du commerce. D'autre part. Il fait appliquer le poids total de la suspension à de petites vis fixant une plaque intermédiaire sur l'ouverture de la boîte d'encastrement, ce qui limite son application à des luminaires légers de type plafonnier ou globe. La fixation d'une desdites plaques intermédiaires sur la boite d'encastrement nécessite évidemment le recours à un outillage tel qu'un tournevis.

On peut citer également le brevet TURLIER publié le 31 /l 2/2010 sous le numéro FR 2947326, devancé quelque peu par le brevet américain WOLAR plus ancien et publié le 27/06/1961 , qui fait état d'un dispositif impliquant une plaque intermédiaire fixée dans la cheminée centrale de la boîte d'encastrement et qui offre à la patère de luminaire deux trous permettant de solidariser celle-ci à ladite plaque intermédiaire.

Si cette invention est proche de celle de l'auteur du présent brevet dans son objectif et dans le fait qu'elle évite le perçage dans le plafond support, elle implique obligatoirement le recours à des outils de vissage pour fixer d'une part la plaque intermédiaire dans la cheminée centrale de la boîte d'encastrement et d'autre part assembler la patère de luminaire sur ladite plaque intermédiaire. L'application de ce brevet implique également une patère adaptée tant dans le positionnement des trous que de la taille.

On citera également le brevet américain CHILS HENRY TURNER publié le 04/03/2004 sous le numéro US2004/0042222, qui fait état d'une plaque support de luminaire particulière et étrangère à une patère de luminaire du commerce, adaptée par vissage en travers et sur l'ouverture d'une boîte d'encastrement, cette plaque spéciale permet la mise en place rapide du dispositif d'accrochage d'un lustre par glissement de l'axe de celui-ci dans une encoche. Outre le fait que ce dispositif ne s'appuie pas sur le vissage dans la cheminée centrale de la boîte d'encastrement, il est restreint à la suspension d'un lustre standard et ne peut en aucune manière recevoir les luminaires faisant appel à une patère de luminaire. D'autre part, il implique le recours à un outillage pour assurer le vissage de la plaque sur la boite d'encastrement et serrer les écrous de verrouillage du lustre dans sa plaque.

L'état de la technique révèle également le brevet français MENGIN publié le 16/09/201 1 sous le numéro FR 2957403 qui, beaucoup plus récent que les précédents, décrit un dispositif recourant une nouvelle fois à une pièce intermédiaire qui dans ce cas recourt au vissage dans la cheminée centrale d'une boîte d'encastrement, pour offrir à la patère de luminaire un appui permettant de fixer celle-ci par vissage sur ladite pièce intermédiaire. Si ce dispositif s'apparente dans son objectif à l'invention objet du présent brevet, il en diffère sensiblement par le fait qu'il nécessite le recours à un outillage tant pour la solidarisation de la pièce intermédiaire par vissage dans la cheminée centrale de la boite d'encastrement que pour la fixation de la patère de luminaire sur ladite pièce intermédiaire.

On citera enfin le brevet français HESLOUIN publié le 04/03/201 1 sous le numéro FR 2949535 qui lui fait état d'un dispositif proche du dispositif de l'invention objet du présent brevet et qui utilise le même principe de fixation d'une plaque intermédiaire par axe vissé dans la cheminée centrale de la boîte d'encastrement mais se différencie clairement de l'invention du présent brevet par l'obligation de recourir à un outil pour fixer par vissage la patère de luminaire sur ladite plaque intermédiaire. Le dispositif est également inesthétique compte tenu de son épaisseur.

A l'analyse de l'état de la technique on constate que tous les efforts d'imagination ont été orientés certes vers le besoin de supprimer le perçage des trous de fixation de la patère de luminaire sur le plafond support en introduisant entre le plafond et la patère de luminaire une pièce intermédiaire , mais que beaucoup des brevets existants conservent le mode de fixation de la patère de luminaire sur la pièce intermédiaire par vissage, ce qui implique obligatoirement le recours à un outil extérieur.

L'auteur de la présente invention a poussé plus loin sa réflexion pour parvenir à ce qu'un luminaire puisse être installé sur un plafond en toute simplicité, par une simple manipulation et sans aucun outil auxiliaire.

La présente invention concerne un dispositif consistant en une pièce intermédiaire destinée à être installée solidairement à une boîte d'encastrement de plafond, de manière à permettre l'immobilisation et le verrouillage d'une patère de luminaire en quelques secondes et sans même recourir au moindre outil extérieur.

Ladite pièce intermédiaire du dispositif de l'invention est mise en place manuellement, en introduisant son axe fileté principal dans la cheminée centrale taraudée de la boîte d'encastrement et en tournant la dite pièce intermédiaire du dispositif jusqu'à sa position définitive choisie. Ladite pièce intermédiaire peut être ainsi réglée en hauteur pour adapter au mieux la fixation du luminaire et ne laisser aucun espace disgracieux entre celui-ci et le plan du plafond.

Contrairement à tous les dispositifs existants ou brevetés jusqu'à ce jour qui, pour éviter de percer le plafond support font appel à une pièce intermédiaire sur laquelle vient se solidariser par vissage la patère de luminaire, le présent dispositif et caractérisé par le fait que la patère de luminaire est fixée et retenue dans la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention par serrage préférablement entre une pièce fixe et une pièce mobile comme dans un étau et non pas par vissage consistant en l'Introduction d'un filetage dans un taraudage que celui-ci soit existant ou réalisé par le filetage lui- même.

La pièce intermédiaire du dispositif de l'invention est constituée principalement de deux pièces préférablement métalliques ci-après désignées « mors de se age» de forme et dimensions adaptées et compatibles avec leur fonction et par exemple de forme rectangulaire, superposées l'une sur l'autre et rattachées entre elles de manière fixe ou mobile par un de leurs deux plus petits côtés et préférablement au moyen d'une articulation, de manière à constituer un élément de serrage disposant de deux mors de serrage de préférence mobiles l'un par rapport à l'autre.

Ladite pièce intermédiaire ainsi constituée dispose préférablement au centre d'un de ses deux mors de serrage solidarisée de manière fixe ou mobile et orienté vers l'extérieur de celui-ci, d'un axe fileté perpendiculaire au plan extérieur dudit mors de serrage, de dimensions et caractéristiques compatibles avec les dimensions et caractéristiques de la cheminée centrale de la boite d'encastrement conçue pour le recevoir.

Ainsi, lorsque ledit axe fileté central solidaire de manière fixe ou mobile d'un des deux mors de serrage de la pièce intermédiaire de l'invention est introduit dans la cheminée centrale taraudée de la boîte d'encastrement, le plan supérieur du mors de serrage portant l'axe central est de préférence en contact avec l'extrémité libre de la cheminée centrale de la boîte d'encastrement ou le plan d'ouverture de celle-ci et devient un « mors de serrage fixe », alors que l'autre mors de serrage reste mobile autour de l'articulation pour pouvoir s'ouvrir ou se rabattre sur le mors de serrage fixe de la pièce intermédiaire du dispositif à la manière d'une simple charnière.

Lorsque les deux mors de serrage de la pièce intermédiaire du dispositif sont rabattus l'un sur l'autre, par exemple le « mors de serrage mobile » en contact avec le « mors de serrage fixe », les deux mors ainsi disposés sont verrouillés dans cette position « fermé » par un dispositif mécanique manuel ne nécessitant pas d'outil.

Ainsi installée sur la boîte d'encastrement elle-même solidaire du plafond, la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention a pour fonction de pincer et serrer la patère de luminaire entre d'une part le « mors de serrage fixe » et d'autre part le « mors de serrage mobile », à la manière d'un étau et avec un effort de serrage suffisamment important pour immobiliser solidement en position ladite patère de luminaire.

La patère de luminaire ainsi immobilisée entre les deux mors de serrage de la pièce intermédiaire du dispositif peut alors recevoir sans aucun problème par n'importe quel moyen de fixation le boîtier embase du luminaire.

Le dispositif de l'invention ainsi mis en œuvre offre, contrairement aux autres dispositifs existants, une résistance maximum liée et dépendante exclusivement de la résistance à l'arrachement de la boîte d'encastrement.

Des aménagements non limitatifs de la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention ont été prévus par l'inventeur tant au plan de la pièce intermédiaire elle-même que du mode de verrouillage de celle-ci en position « fermé ».

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le dispositif pour la fixation de patère de luminaire est constitué d'une pièce de serrage de préférence métallique portant deux mors de serrage coopérant entre eux, ci-après dénommés pour une meilleure compréhension « mors de serrage supérieur » et « mors de serrage inférieur ». On entend par « mors de serrage supérieur » le mors portant le moyen de fixation destiné à être solidarisé avec la cheminée centrale d'une boîte d'encastrement et « mors de serrage inférieur », le mors opposé au « mors de serrage supérieur », qui se déplace autour de l'articulation pour se rapprocher du « mors de serrage supérieur» et enserrer la patère de luminaire entre le « mors de serrage supérieur » et le « mors de serrage inférieur » rabattu. Ces mors de serrage sont de forme et dimensions adaptées et compatibles avec la fonction du dispositif et par exemple de forme rectangulaire. Ils sont disposés l'un sur l'autre et reliés entre eux au niveau d'un de leurs plus petits côtés, par exemple au moyen d'une articulation du type de celle communément utilisée dans les charnières mécaniques standard du commerce. Les deux mors de serrage du dispositif sont maintenus dans leur position « fermé » c'est à dire rapprochés l'un de l'autre et verrouillés dans cette position au moyen d'un dispositif mécanique quelconque intégré ou rapporté à l'un ou l'autre ou aux deux mors de serrage , actionnable manuellement et sans recours à un outil extérieur au dispositif.

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage supérieur » de la pièce intermédiaire du dispositif porte solidarisée de manière fixe ou mobile perpendiculairement et préférablement au milieu de son plan extérieur, c'est à dire le plan opposé au plan situé à l'intérieur de la charnière, une tige rigide dite « tige principale », de forme cylindrique et de dimensions adaptées, portant sur tout ou partie de sa longueur, un filetage de dimensions et de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale de la boîte d'encastrement de plafond destinée à recevoir le dispositif de l'invention.

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage supérieur » de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire du dispositif, portant sur son plan extérieur de manière fixe ou mobile et préférablement en son milieu la tige principale destinée à être introduite par vissage dans la cheminée centrale de la boîte d'encastrement, porte sur son plan intérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan porteur de ladite « tige principale », au plus près du petit côté libre de ce plan et sur un axe perpendiculaire à celui-ci, un « pion de verrouillage » fileté sur tout ou partie de sa longueur pour recevoir préférablement un écrou à oreilles désigné le plus souvent écrou papillon ou tout autre type d'écrou à actionnement manuel.

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique, opposé au « mors de serrage supérieur » de ladite charnière mécanique portant la « tige principale » et le « pion de verrouillage », est muni d'au moins une perforation traversante dont la forme, les dimensions et le positionnement permettent au « pion de verrouillage » solidarisé au « mors de serrage supérieur » de passer au travers de ladite perforation pour recevoir sur le plan extérieur du « mors de serrage inférieur » ainsi rabattu, un écrou papillon ou tout autre type d'écrou à actionnement manuel.

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique opposé au « mors de serrage supérieur » de ladite charnière mécanique portant la « tige principale » et le « pion de verrouillage », est muni d'au moins une encoche ouverte en bordure de son plus petit côté, dont la forme, les dimensions et le positionnement permettent au « pion de verrouillage » solidarisé au « mors de serrage supérieur », de passer au travers de ladite encoche ouverte pour recevoir sur le plan extérieur du « mors de serrage inférieur », un écrou papillon ou fout autre type d'écrou à actionnement manuel.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le « mors de serrage supérieur» de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention, portant sur son plan extérieur l'axe fileté permettant sa fixation sur une boîte d'encastrement de plafond, dispose en son extrémité libre et dans des, dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un taraudage intégré ou d'une pièce rapportée portant taraudage, de telle manière que lorsque la charnière du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire, ledit taraudage reçoit par vissage manuel et sans outil, un axe fileté à oreille communément désigné par le terme vis papillon, solidarisé ou associé au « mors de serrage inférieur » opposé.

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage supérieur » ou le « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que, lorsque ladite charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire, le verrouillage des mors de serrage ainsi positionnés est réalisé par le coulissement sur un des mors de serrage, d'une pièce mobile conçue pour accrocher et maintenir le mors de serrage opposé.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le « mors de serrage supérieur » et/ou le « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique constituant préférablement le dispositif de l'invention, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que lorsque ladite charnière du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire, le verrouillage des mors de serrage ainsi positionnés est réalisé par exemple par simple introduction d'un axe indépendant dans l'un et l'autre des aménagements des mors de serrage de ladite charnière constituant préférablement la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention. Selon un mode de réalisation différent de l'invention, chacun des mors de serrage, « mors de serrage supérieur » et « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention, dispose en son extrémité et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que lorsque la charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire, l'aménagement du « mors de serrage supérieur » coopère avec l'aménagement du « mors de serrage inférieur », par exemple par l'introduction et le déplacement d'un pion coulissant solidaire et mobile du « mors de serrage inférieur » dans un logement spécialement prévu pour le recevoir dans le « mors de serrage supérieur » de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire du dispositif de l'invention ou vice et versa.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, l'un des mors de serrage, « mors de serrage supérieur » ou « mors de serrage inférieur » de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire du dispositif, dispose en son extrémité et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'une pièce articulée et pivotante autour d'un axe, de telle manière que lorsque la charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire , ladite pièce articulée pivotante se déplace autour de son axe pour venir rapprocher le mors de serrage opposé du mors de serrage portant la pièce articulée pivotante et verrouiller ainsi les deux mors de serrage dans cette position.

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage supérieur » et le « mors de serrage inférieur » de la pièce intermédiaire constituant le dispositif de l'invention ne sont pas solidarisés entre eux par une articulation mais sont fixes et inamovibles entre eux à une distance précise séparant l'un de l'autre pour constituer une pince , de telle manière que lorsque la patère de luminaire est introduite entre d'une part le « mors de serrage supérieur » et le « mors de serrage inférieur » elle est maintenue plaquée contre un des deux mors de serrage sous la pression d'un axe à oreilles préférablement muni d'un tampon associé au mors opposé et actionnable manuellement.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le dispositif de l'invention est constitué d'au moins deux pièces intermédiaires de l'invention démunies de leur « tige principale » et solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées à une pièce de jonction de préférence métallique, de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple rectangulaire, portant elle-même et préférablement en son milieu, sur un axe perpendiculaire à son plan extérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan portant les pièces intermédiaires du dispositif, la « tige principale » de l'invention portant un filetage de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale de la boîte d'encastrement de plafond destinée à recevoir le dispositif de l'invention.

Ce mode de réalisation de l'invention permet de maintenir, pincer et serrer en au moins deux points distants une patère de luminaire plus longue et ainsi augmenter la résistance à la flexion de ladite patère.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le dispositif de l'invention est constitué de plusieurs pièces intermédiaires de l'invention démunies de leur « tige principale » et solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées à une pièce de jonction de préférence métallique, de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple en forme de croix à quatre branches, portant elle-même et préférablement en son milieu, sur un axe perpendiculaire à son plan extérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan portant les pièces intermédiaires du dispositif, la « tige principale » de l'invention portant un filetage de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale de la boîte d'encastrement de plafond destinée à recevoir le dispositif de l'invention

Ce mode de réalisation de l'invention permet de maintenir, pincer et serrer en plusieurs points distants et par exemple quatre, une patère de luminaire de grandes dimensions ou de même forme et ainsi en rigidifier la fixation. La description suivante en regard des dessins annexés à titre d'exemples non limitatifs, permettra de comprendre comment l'invention peut être mise en pratique

La figure 1 est une vue de face de l'intérieur d'une boîte d'encastrement du commerce montrant la cheminée centrale taraudée.

La figure 2 est une vue de face de la plaque support de luminaire dite plus communément « patère ». La figure 3 est une vue en coupe du montage comme il est fait aujourd'hui, moyennant perçage du plafond support.

La figure 4 est une vue en coupe du montage montrant le dispositif de l'invention de profil et inséré par vissage manuel dans la cheminée centrale taraudée d'une boîte d'encastrement.

La figure 5 est une vue en coupe du montage montrant le dispositif de face, fermé et emprisonnant la plaque support de luminaire dans son milieu.

La figure 6 est une vue de profil de la pièce intermédiaire articulée du dispositif de l'invention, en position « ouvert » montrant son axe fileté et son pion de verrouillage.

La figure 7 est une vue de profil de la pièce intermédiaire articulée du dispositif de l'invention en position « fermé », verrouillée par un écrou papillon. La figure 8 est une vue d'un autre mode de réalisation de l'invention, montrant deux pièces intermédiaires articulées du dispositif de l'invention, montées de manière fixe sur une plaque de jonction pour créer deux points de serrage de la patère de luminaire, une ouverte et une fermée.

La figure 9 est une vue d'un mode de réalisation différent de l'invention, montrant deux pièces intermédiaires articulées du dispositif de l'invention, montées de manière mobile et coulissante sur une plaque de jonction pour créer deux points de serrage réglables de la patère de luminaire.

La figure 10 est une vue d'un mode de réalisation différent de l'invention, montrant une patère de luminaire maintenue et immobilisée en deux points par le dispositif de l'invention.

La figure 1 1 est une vue en perspective partielle montrant une patère de luminaire placée entre les deux mors de serrage de la pièce intermédiaire de l'invention avant serrage. La figure 12 est une vue en perspective partielle d'un mode mécanique manuel de verrouillage du dispositif au moyen d'une pièce mobile et animée autour d'un axe.

La figure 13 est une vue en perspective partielle d'un mode mécanique manuel de verrouillage au moyen d'une pièce mobile coulissante.

La figure 14 est une vue en perspective partielle d'un mode mécanique manuel de verrouillage au moyen de l'insertion d'un axe indépendant liant les aménagements de chacun des deux mors de serrage.

La figure 15 est une vue de profil d'un mode mécanique de verrouillage au moyen d'une pièce taraudée rapportée pour recevoir une vis papillon.

La figure 16 est une vue en perspective partielle d'un mode mécanique de verrouillage au moyen d'un pion coulissant associé à un mors de serrage dans un logement spécial prévu pour le recevoir dans le mors de serrage opposé.

La figure 17 est une vue en perspective partielle de la pièce intermédiaire non articulée du dispositif de l'invention retenant la patère de luminaire sous la pression d'un axe papillon avec tampon. La figure 18 est une vue en perspective de plusieurs pièces intermédiaire articulées de l'invention montées de manière fixe, mobile ou pivotante sur une pièce de jonction en forme de croix.

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le dispositif pour la fixation de patère de luminaire est constitué d'une pièce intermédiaire de serrage (PI) de préférence métallique portant deux mors de serrage (MSI ) (MS2) coopérant entre eux, ci-après dénommés pour une meilleure compréhension « mors de serrage supérieur » (MSI ) et« mors de serrage inférieur » (MS2). On entend par « mors de serrage supérieur » (MSI ) le mors portant de manière fixe ou mobile le moyen de fixation destiné à être solidarisé avec la cheminée centrale d'une boîte d'encastrement (BE) et « mors de serrage inférieur » (MS2), le mors opposé au « mors de serrage supérieur » (MSI ), qui se déplace autour de l'articulation (AR) pour se rapprocher du « mors de serrage supérieur » (MSI ) et enserrer la patère de luminaire (PL) entre le « mors de serrage supérieur» (MSI ) et le « mors de serrage inférieur» (MS2) rabattu. Ces mors de serrage sont de forme et dimensions adaptées et compatibles avec la fonction du dispositif et par exemple de forme rectangulaire. Ils sont disposés l'un sur l'autre et reliés entre eux au niveau d'un de leurs plus petits côtés, au moyen d'une articulation (AR) du type de celle communément utilisée dans les charnières mécaniques standard du commerce. Les deux mors de serrage (MSI ) et (MS2) du dispositif sont maintenus dans leur position « fermé » c'est à dire rapprochés l'un de l'autre et verrouillés dans cette position au moyen d'un dispositif mécanique quelconque, intégré ou rapporté à l'un ou l'autre ou aux deux mors de serrage (MSI ) e† (MS2) , actionnable manuellement et sans recours à un outil extérieur au dispositif. (Voir FIG 1 ,2,6,7)

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSI ) de la pièce intermédiaire (PI) du dispositif porte solidarisée de manière fixe ou mobile, perpendiculairement et préférablement au milieu de son plan extérieur, c'est à dire le plan opposé au plan situé à l'intérieur de la charnière, une tige rigide dite « tige principale » (TP), de forme cylindrique et de dimensions adaptées, portant sur tout ou partie de sa longueur, un filetage de dimensions et de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale (CP) de la boîte d'encastrement de plafond (BE) destinée à recevoir le dispositif de l'invention. (Voir FiG 6,7).

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSl )de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif, portant sur son plan extérieur de manière fixe ou mobile et préférablement en son milieu la « tige principale » (TP) destinée à être introduite par vissage dans la cheminée centrale (CP) de la boîte d'encastrement (BE), porte sur son plan intérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan porteur de ladite « tige principale » (TP), au plus près du petit côté libre de ce plan et sur un axe perpendiculaire à celui-ci, un « pion de verrouillage » (AV) fileté sur tout ou partie de sa longueur pour recevoir préférablement un écrou à oreilles (EV) désigné le plus souvent écrou papillon ou tout autre type d'écrou à actionnement manuel. (Voir FIG 6,7).

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le « mors de serrage inférieur » (MS2) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, opposé au « mors de serrage supérieur » (MSl )de ladite charnière mécanique portant la « tige principale » (TP) et le « pion de verrouillage » (AV), est muni d'au moins une perforation traversante (PO) dont la forme, les dimensions et le positionnement permettent au « pion de verrouillage » (AV) solidarisé au « mors de serrage supérieur » (MSI ) de passer au travers de ladite perforation (PO) pour recevoir sur le plan extérieur du « mors de serrage inférieur » (MS2) ainsi rabattu, un écrou papillon (EV) ou tout autre type d'écrou à actionnement manuel. (Voir FIG 11 ).

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage inférieur » (MS2) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, opposé au « mors de se age supérieur » (MSI ) de ladite charnière mécanique portant la « tige principale » (TP) et le « pion de verrouillage » (AV), est muni d'au moins une encoche ouverte (EC) en bordure de son plus petit côté, dont la forme, les dimensions et le positionnement permettent au (( pion de verrouillage » (AV) solidarisé au « mors de serrage supérieur » (MSI ) de passer au travers de la dite encoche ouverte (EC) pour recevoir sur le plan extérieur du « mors de serrage inférieur» (MS2), un écrou papillon (EV) ou tout autre type d'écrou à actionnement manuel. (Voir FIG 8). Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSI ) de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, portant de manière Fixe ou mobile l'axe fileté (TP) destiné à la fixation du dispositif dans la cheminée centrale (CP), dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un taraudage intégré ou d'une pièce rapportée portant taraudage (TR), de telle manière que lorsque la charnière du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire (PL), ledit taraudage (TR) reçoit par vissage manuel et sans recours à un outil, un axe fileté à oreille communément désigné par le terme vis papillon (VP), solidarisé ou associé au « mors de serrage inférieur » (MS2) opposé. (Voir FIG 15).

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSI ) ou le « mors de serrage inférieur » (MS2) de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que, lorsque ladite charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire (PL), le verrouillage des mors de serrage ainsi positionnés est réalisé par le coulissement sur un des mors de serrage, d'une pièce mobile (VC) conçue pour accrocher et maintenir le mors de serrage opposé. (Voir FIG 13). Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSI ) et/ou le « mors de serrage inférieur » (MS2) de la charnière mécanique constituant préférablement la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que lorsque ladite charnière du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire (PL), le verrouillage des mors de serrage ainsi positionnés est réalisé par exemple par simple introduction d'un axe indépendant (VI) dans les aménagements de l'un et l'autre des mors de serrage (MSI ) et (MS2) de ladite charnière constituant préférablement la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention. (Voir FIG 14). Selon un mode de réalisation différent de l'invention, chacun des mors de serrage, « mors de serrage supérieur » (MSI ) et « mors de serrage inférieur » (MS2) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'un aménagement tel que lorsque la charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire (PL), l'aménagement du « mors de serrage inférieur » (MS2) coopère avec l'aménagement du « mors de serrage supérieur » (MSI ), par exemple par l'introduction et le déplacement d'un pion coulissant (PC) associé au « mors de serrage inférieur » (MS2) dans un logement spécial prévu pour le recevoir dans le « mors de serrage supérieur» (MSI ) de la charnière mécanique constituant la pièce intermédiaire (PI) du dispositif de l'invention ou vice et versa. (Voir FIG 16).

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, l'un des deux mors de serrage, « mors de serrage supérieur » (MSI ) ou « mors de serrage inférieur» (MS2) de la charnière mécanique constituant préféra blement la pièce intermédiaire (PI) du dispositif, dispose en son extrémité libre et dans des dimensions et positionnement adaptés et compatibles avec son fonctionnement, d'une pièce articulée et pivotante (VB) autour d'un axe, de telle manière que lorsque la charnière mécanique du dispositif est fermée et emprisonne la patère de luminaire (PL) , ladite pièce articulée pivotante (VB) se déplace autour de son axe pour venir rapprocher ie mors de serrage libre du mors de serrage portant la pièce articulée pivotante (VB) pour verrouiller ainsi les deux mors de serrage (MSI) et (MS2) dans cette position. (Voir FIG12).

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, le « mors de serrage supérieur » (MSI ) et le « mors de serrage inférieur » (MS2) de la pièce intermédiaire (PI) constituant le dispositif de l'invention ne sont pas solidarisés entre eux par une articulation mais sont fixes et inamovibles entre eux et à une distance précise l'un de l'autre , de telle manière que lorsque la patère de luminaire (PL) est introduite entre d'une part le « mors de serrage supérieur » (MSI ) et d'autre part le « mors de serrage inférieur » (MS2) elle est maintenue plaquée sur le plan intérieur d'un mors de serrage sous la pression d'un axe à oreilles (VT) préférablement muni d'un tampon associé au mors de serrage opposé et actionnable manuellement. (Voir FIG 17).

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le dispositif de l'invention est constitué d'au moins deux pièces intermédiaires (PI) de l'invention démunies de leur « tige principale » (TP) et solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées à une pièce de jonction (PJ) de préférence métallique, de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple rectangulaire, portant elle-même et préférablement en son milieu, de manière fixe ou mobile et perpendiculairement à son plan extérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan portant les pièces intermédiaires (PI) du dispositif, la « tige principale » (TP) de l'invention portant un filetage de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale (CP) de la boîte d'encastrement de plafond (BE) destinée à recevoir le dispositif de l'invention. Ce mode de réalisation de l'invention permet de maintenir, pincer et serrer en au moins deux points distants une patère de luminaire (PL) plus longue et ainsi augmenter ia résistance à la flexion de ladite patère. (Voir FIG 8,9,10).

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, le dispositif de l'invention est constitué de plusieurs pièces intermédiaires (PI) de l'invention démunies de leur « tige principale» (TP) et solidarisées de manière fixe, mobile ou pivotante, intégrées ou rapportées à une pièce de jonction (PJC) de préférence métallique, de forme et dimensions adaptées et compatibles avec le fonctionnement du dispositif et par exemple en forme de croix à quatre branches, (PJC) portant elle-même et préférablement en son milieu, de manière fixe ou mobile et sur un axe perpendiculaire à son plan extérieur, c'est-à-dire le plan opposé au plan portant les pièces intermédiaires (PI) du dispositif, la « tige principale » (TP) de l'invention portant un filetage de caractéristiques adaptées et compatibles avec le taraudage de la cheminée centrale (CP) de la boîte d'encastrement de plafond (BE) destinée à recevoir le dispositif de l'invention. Ce mode de réalisation de l'invention permet de maintenir, pincer et serrer en plusieurs points distants et par exemple quatre, une patère de luminaire (PL) de grandes dimensions ou de même forme et ainsi en rigidifier la fixation. (Voir FIG 18).