L'invention concerne les présentoirs pour des teintes de vernis à ongles.

Un tel présentoir est parfois appelé onglier. Il est utilisé dans un lieu de vente et permet aux clients de choisir des teintes de vernis à ongles.

Les présentoirs existants de ce type ont la forme générale d'une palette ronde ou rectangulaire avec des sortes de pétales qui sont orientés vers l'extérieur. Les pétales ont la forme de l'ongle d'un doigt, et ils sont décorés. L'utilisateur qui souhaite choisir une couleur ou une décoration pour ses ongles a la possibilité de superposer un des pétales de la palette sur un ongle de sa main. Pour certain ongliers, les pétales sont montés sur la palette avec un système de pince élastique qui permet de les démonter pour le cas échéant les remplacer par d'autres pétales.

Mais ces opérations sont relativement malaisées à effectuer et compliquent le choix des teintes. En particulier, il faut tenir en main toute la palette pour faire la superposition d'un pétale avec un ongle, et en opérant ainsi, aucune des mains ne repose sur un support ferme.

Un but de l'invention est de faciliter ce choix.

À cet effet, on prévoit selon l'invention un présentoir pour des teintes de vernis à ongles, qui comporte un support et des tigelles teintées montées mobiles sur le support indépendamment les unes des autres.

Ainsi, en déplaçant la tigelle par rapport aux autres sans lui faire quitter le support, il est possible de considérer sa teinte indépendamment de celle des autres. On s'épargne donc les opérations de montage et de remontage que l'on connaissait avec le présentoir de l'art antérieur présenté ci-dessus. On peut successivement placer son doigt sous différentes tigelles. Il est donc plus facile et rapide d'essayer différentes teintes à la suite.

De préférence, chaque tigelle est montée librement mobile à rotation sur le support.

Avantageusement, chaque tigelle est montée mobile entre une position de repos et une position d'essai dans laquelle la partie teintée s'étend à plus grande distance d'une paroi de fond du support que dans la position de repos.

Par conséquent, pour essayer une teinte, l'utilisateur glisse son doigt entre la paroi de fond et la tigelle choisie.

On peut prévoir également que chaque tigelle est montée de façon amovible sur le support.

Il est donc facile de remplacer certaines tigelles par d'autres pour mettre à jour les teintes par exemple.

Avantageusement, le support présente des logements de retenue des tigelles, les logements étant profilés suivant une direction perpendiculaire à un plan principal du support.

Il s'agit d'un agencement commode pour le montage des tigelles dans le support.

De préférence, les tigelles sont reçues dans les logements avec un jeu propre à permettre à lui seul une rotation des tigelles par rapport au support.

Ainsi il n'est pas nécessaire de prévoir des moyens spécifiques pour le montage à rotation des tigelles sur le support.

Avantageusement, le présentoir comporte au moins un obturateur apte à obturer une ouverture des logements servant à y introduire les tigelles, en masquant les ouvertures.

L'obturateur assure donc à la fois la fermeture des ouvertures et leur masquage. De préférence, le présentoir comprend des moyens magnétiques de maintien de l'obturateur contre les ouvertures.

Avantageusement, le présentoir comprend :

- au moins deux volets mobiles l'un par rapport à l'autre pour définir des positions respectivement ouverte et fermée du présentoir, et aptes à s'étendre en regard l'un de l'autre en position fermée du présentoir, et

- des moyens magnétiques de maintien du présentoir en position fermée.

De préférence, les obturateurs sont au moins au nombre de deux et forment les moyens de maintien en position fermée.

Ainsi ce sont les mêmes moyens magnétiques qui assurent l'immobilisation des obturateurs sur les ouvertures et celle du présentoir en position fermée.

Avantageusement, chaque tigelle présente une partie teintée dans la masse avec une teinte différente de la teinte d'au moins une autre des tigelles.

La réalisation d'une teinte dans la masse permet de la rendre plus fidèle au vernis qu'elle représente et produit un meilleur rendu.

De préférence, chaque tigelle présente une partie teintée de forme évasée allant en s'élargissant en direction d'une extrémité libre de la tigelle.

De la sorte, la forme de la partie teintée se rapproche de la forme naturelle d'un ongle et permet donc de mieux apprécier l'effet obtenu avec la teinte.

Dans un mode de réalisation, chaque tigelle comprend un corps sur lequel est rapportée la partie teintée.

Ainsi les tigelles peuvent avoir des corps identiques et on simplifie la fabrication du présentoir.

Avantageusement, chaque tigelle comprend un corps qui présente une épaisseur qui diminue à mesure qu'on se rapproche d'une extrémité libre de la tigelle.

De la sorte, on accroît la proximité de la partie teintée avec l'ongle du doigt de l'utilisateur durant l'essai.

De préférence, chaque tigelle présente une cavité ménagée dans une face inférieure de la tigelle au droit de la partie teintée.

Cette cavité permet de recevoir au moins une partie de l'ongle de l'utilisateur lorsqu'il place son doigt sous la tigelle, ce qui permet de mieux apprécier l'effet de la teinte à l'extrémité du doigt.

Avantageusement, le présentoir comprend une paroi de fond et un socle agencés de sorte que, en position de repos de chaque tigelle, la paroi de fond est visible autour de celle-ci et le socle supporte la tigelle à distance de la paroi de fond.

La paroi de fond, qui sera de préférence de couleur uniforme, permet une meilleure comparaison des teintes entre elles. La distance améliore la visibilité des tigelles par rapport à la paroi de fond et facilite l'introduction d'un doigt entre la tigelle et cette paroi.

De préférence, la paroi de fond au moins a une couleur noire.

Cette couleur neutre et sombre fait bien ressortir les parties teintées des tigelles.

On prévoit également selon l'invention un procédé de sélection d'une teinte de vernis à ongles, dans lequel on fournit un présentoir comportant un support et des tigelles teintées, on déplace l'une des tigelles par rapport au support, indépendamment des autres tigelles et de sorte qu'elle demeure reliée au support, et on place un doigt sous la tigelle déplacée.

Nous allons maintenant présenter un mode de réalisation de l'invention en référence aux dessins annexés sur lesquels :

- les figures 1 et 2 sont des vues respectivement en perspective et en élévation d'un présentoir selon un mode de réalisation de l'invention respectivement en position fermée et en position ouverte ;

- la figure 3 est une vue à plus grande échelle d'une partie du présentoir de la figure 2 avec l'un des obturateurs ôté ;

- les figures 4 à 7 sont des vues en perspective, de dessus et de côté du corps d'une des tigelles du présentoir des figures précédentes ;

- les figures 8 à 11 sont des vues en perspective, en coupe longitudinale et en vue d'extrémité de la partie teintée de l'une des tigelles du présentoir des figures 1 à 3 ;

- la figure 12 montre l'agencement des aimants dans le présentoir de ce mode de réalisation ; et

- les figures 13 à 15 sont des vues de côté et en perspective illustrant des étapes de l'utilisation du présentoir des figures 1 à 3.

Nous allons décrire un mode de réalisation du présentoir de l'invention en référence aux figures 1 à 15. Le présentoir 2 comprend ici deux parois principales ou parois de fond 4, en l'espèce de forme rectangulaire, identiques entre elles et reliées l'une à l'autre par une paroi intermédiaire 6 à la façon d'un livre. Ces trois parois sont plates. Ainsi chacune des deux parois 4 est articulée à la paroi intermédiaire et peut venir en regard de l'autre paroi principale pour former la position fermée du présentoir illustrée à la figure 1 ou au contraire s'étendre dans le plan de l'autre paroi principale pour former sa position ouverte illustrée à la figure 2.

En l'espèce, les deux parties du présentoir associées aux parois principales respectives 4 sont identiques l'une à l'autre (mis à part la polarité des aimants comme nous le verrons plus loin) et symétriques l'une de l'autre comme on le voit à la figure 2. Nous allons donc seulement décrire la partie du présentoir située à droite sur cette figure.

Dans la suite, nous désignerons par « direction longitudinale » la direction allant de l'une à l'autre de ces deux parties et par « hauteur » la direction perpendiculaire à cette dernière et parallèle aux parois 4.

La paroi 4 porte un socle plat rectangulaire 8 ayant une face inférieure appliquée contre la face supérieure de la paroi 4. Les côtés du socle s'étendant suivant la hauteur du présentoir coïncident avec ceux de la paroi principale 4. Ses côtés parallèles à la direction longitudinale s'étendent à distance de ceux de la paroi 4 mais parallèlement à ceux-ci.

Le socle 8 porte à son tour une base plate rectangulaire 10 ou porte-tigelles ayant une face inférieure appliquée contre la face supérieure du socle 8. Cette base présente deux bords longitudinaux dans lesquels sont ménagés des logements 12 identiques entre eux. Chaque logement est profilé suivant une direction perpendiculaire au plan de la paroi 4. Le profil a en l'espèce une forme générale en « T ». Chaque logement est ouvert dans cette direction vers le haut et également en direction du bord longitudinal du socle 8 le plus proche.

Le présentoir 2 comprend également des tigelles 14 destinées à être reçues et retenues dans les logements respectifs et que nous allons maintenant décrire en référence aux figures 4 à 11 . Les tigelles ainsi que les logements sont en l'espèce au nombre de 40, mais ce nombre n'est pas limitatif. On peut par exemple prévoir qu'il va de 5 à 100.

Chaque tigelle 14 comprend un corps 15 présentant une forme générale plate allongée délimitée par deux bords longitudinaux rectilignes parallèles entre eux et destinés à s'étendre suivant la direction de la hauteur du présentoir. Le corps présente une extrémité de fixation 16 et une extrémité libre 18 opposées l'une à l'autre suivant la direction longitudinale du corps. L'extrémité de fixation 16 présente en plan une forme de « T » complémentaire de celle des logements 12. Elle est destinée à être reçue dans l'un quelconque de ceux-ci suivant un agencement mâle-femelle en introduisant la tigelle à partir de l'ouverture supérieure du logement. En particulier, cette extrémité présente deux reliefs tels que des oreilles 20 s'étendant en saillie des bords longitudinaux du corps, en directions opposées l'une à l'autre.

Le logement 12 et le corps 15 sont agencés de sorte que, dans cette position, la tigelle est librement mobile à rotation par rapport à la base autour d'un axe de rotation parallèle à la direction longitudinale du présentoir. La retenue de la tigelle dans le logement est assurée par la complémentarité de forme entre l'extrémité 16 et le logement. Quant au mouvement de rotation, il est rendu possible par un biseau 21 qui forme la face arrière de l'élément de fixation 16. Ainsi, cette face plane 21 formant le bord d'extrémité du corps est inclinée légèrement en direction de l'autre extrémité du corps pour faciliter le débattement angulaire de la tigelle illustré aux figures 14 et 15.

On prévoit par exemple que le présentoir est agencé pour autoriser un débattement angulaire maximal de la tigelle sur 17° vers le haut à partir du plan horizontal défini par la face supérieure du socle 8. Cette valeur d'angle est donnée à titre indicatif, et elle n'est pas limitative. On peut ainsi faire passer la distance entre la tigelle et la paroi 4 de 3 à 17 mm par exemple. La distance de 3 mm correspond à la position de repos des tigelles où la face inférieure de leur corps 15 repose contre le socle 8, c'est-à-dire que cette distance est sensiblement égale à l'épaisseur du socle. Plus généralement, on peut prévoir que la distance de départ est comprise entre 2 et 10 mm et la distance finale entre 12 et 30 mm.

Chaque tigelle comporte également une pièce 24 rapportée sur le corps 15, formant un modèle d'ongle et teintée dans la masse. La teinte est choisie pour être différente de celle de toutes les autres tigelles. Elle correspond à la teinte d'un vernis à ongles destiné à être vendu par ailleurs.

La pièce 24 présente ainsi une forme générale plate destinée à être fixée sur la face supérieure du corps 15, à l'extrémité libre 18 et de sorte que, à cette extrémité, les bords de la pièce viennent en coïncidence avec ceux du corps. En vue de la fixation, la pièce 24 porte un relief 26 s'étendant en saillie de sa face inférieure et destiné à pénétrer dans une ouverture 28 du corps 15. Ce relief a lui-même une forme allongée arrondie à une seule de ses deux extrémités, tout comme l'ouverture 28, afin de fournir un détrompage pour la fixation de la pièce sur le corps. Ainsi, seul l'un des bords d'extrémité de la pièce 24 peut venir en coïncidence avec l'extrémité du corps 15. La face inférieure de la pièce 24 a une forme plane tout comme la zone de la face supérieure du corps destinée à la recevoir. On peut par exemple fixer la pièce 24 au corps au moyen d'un soudage par ultrasons.

La face supérieure 30 de la pièce 24 a une forme générale légèrement bombée imitant celle d'un ongle et présente ainsi des courbures dans des plans non parallèles entre eux.

La pièce 24 a en plan une forme générale évasée présentant deux bord latéraux principaux 32 allant en s'éloignant l'un de l'autre à mesure qu'on s'approche de l'extrémité libre 18 de la tigelle. Ainsi, l'extrémité de la pièce 24 contiguë à l'extrémité libre du corps est plus large que l'autre extrémité de cette pièce. Cette forme approche celle d'un ongle naturel et permet un rendu plus réaliste lorsque la pièce 24 se trouve au-dessus du doigt d'un utilisateur comme on le verra plus loin.

Comme illustré à la figure 7, on donne au corps 15 une épaisseur e qui va en diminuant lorsqu'on se déplace le long de la tigelle depuis l'extrémité de retenue 16 jusqu'à l'extrémité libre 18. L'épaisseur plus faible au voisinage de cette extrémité permet de rapprocher la partie teintée de la tigelle du doigt de l'utilisateur qui se trouve au-dessous.

Chaque corps 15 présente une cavité 17 ménagée dans sa face inférieure au droit de la partie teintée. L'orifice 28 s'étend dans cette cavité. Elle permet de recevoir une partie de l'ongle de l'utilisateur lorsqu'il place son doigt sous la tigelle, ce qui permet de mieux apprécier l'effet de la teinte à l'extrémité du doigt.

Sachant que la pièce 24 ne recouvre pas toute la face supérieure du corps 15, la partie libre de cette face peut être revêtue d'inscriptions et de dessins.

Le présentoir comprend en outre un obturateur, ou masque, plat rectangulaire allongé 34 apte à recouvrir la base 10 en obturant tous les logements 12 simultanément et en masquant ceux-ci. Ainsi, la sortie des tigelles hors de leurs logements est interdite.

La fixation rigide de l'obturateur 34 à la base 10 est assurée en l'espèce par des moyens magnétiques formés ici par trois aimants 36 de la base illustrés à la figure 12. La polarité de chaque aimant est orientée suivant l'épaisseur de la base et les aimants se font suite suivant sa direction longitudinale. En l'espèce, le pôle Nord de l'aimant central est orienté vers le bas tandis que celui des aimants situés aux extrémités longitudinales de la base est orienté vers le haut.

Les moyens magnétiques comprennent également dans l'obturateur trois aimants analogues 38 agencés de la même façon que ceux de la base avec des polarités complémentaires de celles des aimants de la base pour assurer la fixation magnétique de l'obturateur à la base.

Dans l'autre partie du présentoir illustrée à gauche sur la figure 12, la fixation de l'obturateur à la base est effectuée par des moyens identiques mis à part que la polarité des aimants est inversée. De la sorte, on assure non seulement la fixation rigide de l'obturateur correspondant 34 à sa propre base 10, mais en outre, on assure le maintien du présentoir dans la position fermée de la figure 1 par le fait que les aimants des deux obturateurs 34 placés l'un contre l'autre dans cette position s'attirent mutuellement. À cette fin, la largeur de la paroi intermédiaire 6 est choisie de sorte que, en position fermée, les faces supérieures des obturateurs 34 viennent en contact et en appui l'une contre l'autre.

La force des aimants est choisie pour permettre de séparer l'obturateur de sa base sans difficulté lorsqu'on le souhaite ou encore pour permettre d'ouvrir le présentoir à volonté.

Les parois 4, les socles 8, les bases 10 et les obturateurs 34 forment ainsi un support pour les tigelles. Mis à part les aimants, ils peuvent être réalisés en matière plastique par exemple, tout comme les tigelles. Le corps des tigelles a par exemple une longueur d'environ 50 mm et une largeur d'environ 10 mm.

Dans le présent exemple, toutes les parois ainsi que les obturateurs sont de couleur noire sur toutes leurs faces visibles. Ce choix met en valeur les différentes teintes portées par les tigelles. Cette couleur noire, également, facilite la lecture des inscriptions portées par la tigelle, en particulier lorsque ces inscriptions sont de couleur blanche. Naturellement, d'autres choix de couleurs sont possibles pour ces parois. Le corps des tigelles est ici réalisé dans un matériau transparent, ceci est un mode de réalisation préféré, mais non limitatif.

Nous allons maintenant présenter l'utilisation du présentoir en référence aux figures 13 à 15.

En référence à la figure 13, on suppose que le présentoir est ouvert, ses parois principales 4 étant horizontales et dans le prolongement l'une de l'autre dans un même plan. Les tigelles sont retenues dans les logements 12 correspondants. Le corps de chaque tigelle repose par gravité sur le socle 8. Grâce à ce support plan de toutes les tigelles, les tigelles s'étendent globalement dans un même plan horizontal. L'extrémité de chaque tigelle portant la pièce teintée s'étend au droit et à distance de la paroi 4, au -delà du socle 8 suivant la hauteur, sans donc que ce dernier soit interposé entre elles. La paroi 4 est donc visible sur une grande partie du pourtour de la tigelle et en particulier autour de son extrémité portant la partie teintée.

Lorsque l'utilisateur souhaite faire l'essai ou le test de l'une des teintes de vernis à ongles, comme illustré aux figures 14 et 15, il introduit son doigt entre la paroi 4 et la tigelle de son choix, ce qui entraîne le soulèvement de cette dernière au niveau de la partie teintée et donc sa rotation par rapport au support pour éloigner cette partie de la paroi 4. L'utilisateur peut donc appliquer son ongle juste sous la partie teintée et observer l'effet obtenu avec cette partie au-dessus de son doigt comme illustré à la figure 15. Il extrait ensuite son doigt et la tigelle reprend par gravité sa position d'origine. L'utilisateur peut ensuite répéter l'opération autant de fois qu'il le souhaite avec chaque tigelle de son choix.

Bien entendu, on pourra apporter à l'invention de nombreuses modifications sans sortir du cadre de celle-ci.

Le support pourrait comprendre un seul ensemble formé par la paroi principale 4, le socle 8, la base 10 et l'obturateur 34.

On pourra se dispenser de prévoir les parois principales 4.

Chaque tigelle pourrait être rendue mobile par rapport au support sans qu'il s'agisse d'un mouvement de rotation. On pourrait imaginer par exemple un mouvement de coulissement.

Les pièces 24 ne sont pas nécessairement teintées dans la masse. Elles pourraient recevoir en surface une couche de vernis ou toute autre décoration monochrome ou polychrome.

Les tigelles avec leur pièce 24 pourraient être construites de façon différente. Par exemple la tigelle et la pièce 24 pourraient être monobloc, moulées en une seule pièce, la zone correspondant à la pièce 24 ayant initialement l'aspect de la tigelle et recevant ensuite une couche de vernis ou une autre décoration monochrome ou avec des motifs de différentes couleurs.

On pourra modifier le nombre ou la disposition des aimants. On pourra assurer le maintien des obturateurs sur les bases ou le maintien du présentoir en position fermée par d'autres moyens que des moyens magnétiques.