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Patent Searching and Data


Title:
DRAWER OPENING ON OPPOSITE SIDES OF ANY PIECE OF FURNITURE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1993/001737
Kind Code:
A1
Abstract:
A drawer opening on two opposite sides of a piece of furniture to allow access to the contents thereof without unnecessary movement. The drawer consists of two front panels (3) each of which opens on one side of the piece of furniture in question and is fixed to two runners by two angle brackets. The runners allow a tray (2) to be moved on either side of the piece of furniture, and said tray is joins to either one of the front panels to form a standard drawer when pulled since when the assembly is closed said tray rests on all four runners, and when a user pulls one of the front panels the tray is drawn along, either by the lifting of the runners pulled, or by the activation of hooks engaging said tray. Said drawer is particularly useful in angled furniture and may also be used between two rooms. The device may also be used as a mounting base.

Inventors:
RENOUX CLAUDE (FR)
Application Number:
PCT/FR1992/000678
Publication Date:
February 04, 1993
Filing Date:
July 10, 1992
Export Citation:
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Assignee:
RENOUX CLAUDE (FR)
International Classes:
A47B88/04; (IPC1-7): A47B88/04
Foreign References:
DE2054400B
US4002385A1977-01-11
AT326302B1975-12-10
DE62514C
US3023910A1962-03-06
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Tiroir caractérisé en ce qu'il s'ouvre sur deux faces opposées d'un meuble, l'ensemble étant séparé en trois parties : un bac (2) mobile et deux façades (3) s'ouvrant chacune d'un côté du meuble, chacune étant fixée par deux equerres (6) à deux glissières (4) comportant chacune un débordement horizontal (7) destiné à soutenir les parties (8) fixées au bac (2) ; ces parties (8) comportant chacune deux débordements horizontaux (9) destinés à reposer sur les débordements (7) des glissières (4). La traction d'une façade déclenchant la venue du bac (2) du fait du mouvement ascendant des glissières (4) ; les deux glissières tirées soulevant les deux débordements (9) reposant sur elles, les deux autres débordements perdant tout contact avec les deux autres glissières. 2) Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les débordements (7) des glissières (4) ont une forme ondulée, destinée à supporter les débordements (9) du bac (2) ayant la même forme, afin que le bac soit parfaitement maintenu contre les façades, qu'il soit ouvert, fermé, ou en mouvement.
2. Dispositif selon la revendication 2 caractérisé en ce que les pentes (Y) des ondulations ont un degré d'inclinaison inférieur à celui des pentes (X) de montée des glissières ; et en ce que la hauteur (H) de ces ondulations est inférieure àla dénivellation (D) des glissières (4).
3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les débordements (7) des glissières (4) sont remplacés par des roues (19) si les glissières utilisées ne se soulèvent pas.
4. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que chacune des glissières (4) comporte un crochet (10) muni d'un levier (13), ce crochet se trouvant soulevé en position fermée du tiroir du fait de la butée (15) de la partie (5), et s'abaissant lors de l'ouverture d'une façade, entraînant le bac. 6) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que l'accrochage du bac (2) à la façade tirée s'effectue par le fait que les quatre glissières comportent chacune un crochet (10) comportant un levier (13) et un point de pivot (11) pouvant glisser dans une encoche (16) des glissières (4) ; ce crochet maintenant le bac (2), en position fermée et libérant ce bac lorsque l'utilisateur tire la façade opposée, du fait de la butée (15) appartenant à la partie (5) frôlant le levier (13) du crochet (10), et du fait de l'avancée du point de pivot (11) du crochet (10) dans son encoche (16). Le crochet étant ramené en position initiale du fait du ressort (17).
5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la façade non tirée par l'utilisateur se bloque lors de l'ouverture de l'une d'elles, du fait que les parties (5) comportent un crochet (10) à chaque extrémité, mobile autour d'un point de pivot (11) ; ce crochet étant maintenu soulevé en position fermée de la façade (3) correspondante, celleci maintenant son levier (13). Ce crochet s'abaissant et bloquant l'autre façade lorsque son levier n'est plus maintenu par la façade tirée par l'utilisateur. 8) Dispositif selon les revendications 5, 6 et 7, caractérisé en ce que les points d'accrochage (12 ou 18) et les points de pivot (11) de chaque crochet sont placés sur la même droite horizontale.
6. Dispositif selon les revendications 1, 2 et 4, caractérisé en ce que l'écartement vertical entre les débordements (7) des glissières (4) d'un même côté est égal à celui entre les débordements (9) de la partie (8) correspondante.
7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le bac (2) peut être utilisé comme support (20), celuici pouvant être maintenu par l'intérieur.
Description:
Tiroir s'ouvrant sur deux faces opposées d'un meuble quelconque.

La présente invention concerne un tiroir s'ouvrant sur deux faces opposées d'un meuble.

Habituellement, les tiroirs ne s'ouvrent que d'un côté. Dans le cas de meubles en épi, ou de meubles servant de paroi, cela oblige à des déplacements, le contenu n'étant accessible que d'un côté.

Le système présenté permet de remédier, à ces inconvénients. Il comporte selon une première caractéristique un bac indépendant auquel l'utilisateur peut accéder à volonté en tirant sur l'une ou l'autre des façades indifféremment. Chacune de ces façades est fixée sur deux glissières par des equerres ; les glissières maintenant l'une des façades sont superposées à celles maintenant l'autre façade, de telle sorte qu'une glissière (accompagnant une façade) se tire d'un côté du meuble, et la seconde de l'autre côté. On emploie des glissières qui se soulèvent en début de course lorsqu'on les tire. Sur chacune on adjoint un débordement horizontal destiné à supporter un bac. Sur ce bac sont fixées deux parties (une de chaque côté) comportant chacune deux débordements horizontaux superposés, dont l'écartement vertical est exactement le même que celui entre les débordements des glissières d'un même côté, afin que le débordement du haut de la partie fixée au bac repose sur le débordement de la glissière du haut et que celui du bas repose sur celui de la glissière du bas. De ce fait, le bac est toujours maintenu par au moins deux glissières. Ainsi, lorsque l'utilisateur tire une façade, les deux glissières solidaires de celle-ci suivent le mouvement en se soulevant, entraînant alors les débordements du bac reposant sur elles, les deux autres débordements du bac perdant tout contact avec les deux autres glissières ; le bac reste solidaire de la façade tirée. De plus, un système indépendant permet le blocage de la façade non tirée par l'utilisateur dès que celui-ci tire l'une d'elles. Les parois du meuble comportent chacune deux crochets mobiles autour d'un point de pivot, comportant chacun un bras de levier ; ce bras, pour un crochet, étant maintenu par la façade correspondante quand celle-ci est fermée (crochet soulevé). Lorsque l'utilisateur tire une façade, le bras de levier du crochet correspondant n'étant plus maintenu, le crochet s'abaisse et se fixe à la glissière solidaire de l'autre façade. Selon des modes particuliers de réalisation :

— Afin d'éviter un écartement, même minime, entre le bac et la façade au moment de l'ouverture de celle-ci (qui serait dû aux glissements des débordements du bac sur les débordements des glissières), la forme des débordements peut être modifiée de manière à éviter tout glissement. A titre d'exemple, ils peuvent avoir une forme ondulée (sur toute leur longueur ou non) ; cependant les débordements du bac doivent pouvoir se séparer des débordements des glissières sans aucun frottement avec ceux-ci, c'est-à-dire immédiatement. Le principe de fonctionnement restant inchangé, il faut que la hauteur des ondulations et les pentes de montée de chaque ondulation soient inférieures à la pente de montée des glissières et à la dénivellation de celles-ci. — Pour adapter ce système à n'importe quel type de glissière existant (n'ayant pas

de mouvement ascendant), le débordement des glissières est remplacé par deux roues, de telle sorte que le déplacement du bac s'effectue par roulement de ses débordements sur ces roues. L'accrochage du bac se fait alors par un système de crochets fonctionnant du fait de l'écartement entre la façade tirée et les parois du meuble. On peut utiliser plusieurs systèmes d'accrochage : un premier fonctionne par accrochage du bac resté libre en position fermée de l'ensemble ; le bac est accroché au moment où l'on tire une' façade du tiroir. Un second système fonctionne par décrochage du bac, accroché en position fermée ; ce bac est décroché au moment où l'on tire une façade du tiroir.

— Ce tiroir à double ouverture peut, par retournement, être utilisé comme socle pour déplacer différents objets ou ustensiles (fours à micro-ondes, télévisions...) dont on peut alors se servir de part et d'autre du meuble.

— Afin de permettre l'adaptation du système à différentes largeurs de meubles, certaines parties du système peuvent être réglables (les equerres par exemple).

Les dessins annexés illustrent l'invention : La figure 1 représente en perspective le tiroir installé entre deux parois en position fermée.

La figure 2 représente de la même manière ce tiroir en position ouverte. La figure 3 représente de la même manière le bac.

Les figures 4, 5 et 6 représentent schématiquement le tiroir fermé (fig. 4) et ouvert (fig. 5 et 6).

Les figures 7, 8 et 9 représentent schématiquement le fonctionnement du dispositif selon l'invention.

Les figures 10 et 11 représentent schématiquement le fonctionnement du système de blocage de la façade non tirée par l'utilisateur. La figure 12 représente en coupe le dispositif selon l'invention, installé entre la paroi considérée et le bac.

La figure 13 est la coupe éclatée de la figure 12. La figure 14 représente le système selon la coupe BB de la figure 13. La figure 15 représente le système selon la coupe CC de la figure 13. La figure 16 représente le système selon la coupe DD de la figure 13.

La figure 17 représente schématiquement la première variante du dispositif. La figure 18 représente cette même variante en position d'ouverture. La figure 19 représente en coupe la seconde variante du dispositif (les glissières comportant des roues). Les figures 20 et 21 représentent schématiquement le fonctionnement d'un premier système d'accrochage.

Les figures 22 et 23 représentent schématiquement le fonctionnement d'un second système d'accrochage.

La figure 24 représente en coupe un mode d'utilisation du dispositif comme socle ou étagère.

La figure 25 représente ce même mode d'utilisation selon la coupe EE de la figure 24.

En référence à ces dessins, la figure 1 représente en perspective le tiroir installé entre deux parois d'un meuble quelconque. De même qu'un tiroir normal, ce tiroir possède un système symétrique de glissières. Nous étudierons donc ce système d'un seul côté du tiroir. Considérons le système du côté de la paroi (1 A) (figure 1). Il est constitué de deux parties :

— Une partie (5) (figure 13), fixée à la paroi (1A) du meuble et étant de longueur légèrement inférieure à cette paroi (figure 14). Cette partie (5) supporte deux glissières (4A et 4B), distinctes entre elles, superposées, chacune s'ouvrant d'un seul côté du meuble (sur les schémas (figures 4, 5 et 6) la glissière (4A) s'ouvre du côté (A) du meuble et la glissière (4B) du côté (B) ) et étant faites de telle sorte qu'elles se soulèvent en début de course lorsqu'on les tire (du fait de leur pente (X) (figure 16) et de la même pente (X) (figure 14) ). Chacune de ces glissières comporte : • Une équerre (6) à une extrémité, du côté de son ouverture, destinée à être fixée à l'une des façades du tiroir (sur les figures 4, 5 et 6, la glissière (4A) est fixée à la façade (3 A) et la glissière (4B) est fixée à la façade (3B) ). • Un débordement (7) horizontal destiné à supporter le bac (2) (fig. 12 et 13).

— L'autre partie (8) (figures 12 et 13), fixée sur le bac (2), étant de même longueur que la partie (5) fixée à la paroi (Al) (figure 15), comporte deux débordements horizontaux

(9) qui en sont partie intégrante, destinés à reposer sur les débordements (7) des glissières (4) (le débordement (9A) repose sur le débordement (7 A) et le débordement (9B) sur le débordement (7B) (figure 12). L'écartement vertical entre les débordements de la partie (8) doit être exactement le même que celui entre les débordements des glissières (4) quand celles-ci sont rentrées dans le meuble.

En position fermée (figure 4), le bac (2) se trouve entre les deux façades (3A et 3B), celles-ci sont fermées, c'est-à-dire accolées aux parois (1A et 1B) du meuble. Les glissières (4A et 4B) maintenant ces façades par leurs equerres sont rentrées dans le meuble et elles soutiennent le bac (2) par leurs débordements (7A et 7B) (figure 7), ceux-ci supportant les deux débordements (9A et 9B) de la partie (8) fixée au dit bac (2).

Lorsque l'on tire une façade (3A) ou (3B), le bac (2) reste solidaire de celle-ci. Prenons la façade (3 A) : si l'utilisateur entraîne la façade (3 A) (figure 5), la glissière (4A), solidaire de celle-ci, suit le mouvement ; cette glissière (4A) se soulève (figure 8), soulevant alors le débordement (9A) reposant sur son débordement (7A) ; le débordement (9B) étant solidaire de ce débordement (9A) suit également le mouvement ascendant de la glissière (4A), il se sépare donc du débordement (7B) de la glissière (4B), celle-ci restant immobile. La partie (8) fixée au bac (2) ne se trouve plus en contact qu'avec la glissière (4A) et est soutenue par celle-ci. Le déroulement de l'opération est identique si l'utilisateur tire la façade (3B) (figures 6 et 9) ; le bac (2) reprenant sa position d'appui sur les deux glissières (4A et 4B) lors de la fermeture du tiroir (figures 4 et 7).

De plus, un système indépendant permet le blocage de la façade non tirée par l'utilisateur. Selon la forme de réalisation correspondant aux figures (10 et 11), chacune des parties (5), fixée aux parois, comporte deux crochets (10) fixés chacun à une de ses extrémités. Ce crochet est fixé à la partie (5) par un point (11) autour duquel il peut pivoter. Chaque glissière comporte un point d'accrochage (12).

En position fermée des glissières (figure 10), les equerres (6) des façades (3) maintiennent les bras de leviers (13) des crochets (10), soulevant ainsi ceux-ci.

Lorsque l'utilisateur tire la façade (3B) (figure 6), I'équerre (6B) correspondante s'éloigne du crochet (10B) (figure 11), ne maintenant plus son bras de levier (13) ; le crochet s'abaisse, accroche la glissière (4A) qui correspond àla façade (3A) et la bloque. Le déroulement de l'opération est identique si l'utilisateur tire la façade (3A).

Le point d'accrochage (12) et le point de pivot (11) de chaque crochet doivent être situés sur la même droite horizontale de sorte qu'aucune traction de la façade bloquée ne puisse provoquer un décrochage. De plus, les crochets doivent être positionnés de manière à ne pas gêner les déplacements du bac.

Afin d'éviter un écartement, même minime, entre le bac et la façade au moment de l'ouverture de celle-ci (qui serait dû aux glissements des débordements les uns sur les autres), on peut donner à ceux-ci (figure 17) une forme ondulée, destinée à éviter tout glissement. Cependant, la hauteur (H) des ondulations et les pentes (Y) de celles-ci doivent être inférieures aux pentes (X) de montée des glissières et à la dénivellation (D) de celles-ci, ceci afin qu'aucun frottement n'ait lieu. Les figures 17 et 18 montrent le mouvement de séparation de deux débordements : (17) position fermée (selon la figure 7), (18) ouverture (selon la figure 9).

Pour adapter le système aux glissières n'ayant pas de mouvement ascendant, on remplace les débordements des glissières par des roues (19) (figure 19) destinées à permettre le roulement des débordements du bac qui restent alors rectilignes. On peut alors employer de nombreux systèmes d'accrochage du bac :

Selon un premier mode de réalisation, l'accrochage du bac àla façade tirée s'effectue (figure 20) du fait des crochets (10) appartenant aux glissières (4), ces crochets étant maintenus soulevés en position fermée de l'ensemble du fait des butées (15) appartenant aux parties (5). Lors de la traction de la façade (3B) (figure 5), le crochet (10B) pivote du fait que son levier n'est plus maintenu par la butée (15) (figure 21) de la partie (5), et accroche le bac (2). Le déroulement est identique si l'on tire l'autre façade.

Selon un mode de réalisation du système d'accrochage, les glissières (4) comportent chacune un crochet (10) pivotant autour d'un axe (11) pouvant glisser dans une encoche (16) et étant maintenu en position 1 (position sur la figure 22 - extrémité de l'encoche la plus proche de la façade) par un ressort (17) de force suffisante pour déplacer le bac et son contenu. Ce crochet comporte également un bras de levier (13). La partie (5) comporte comme précédemment deux butées (15) frôlant chacune le levier (13) ducrochet (10) de la glissière correspondante quand celle-ci est rentrée (façade fermée). Lorsque

l'on tire une façade (3 A) ou (3B) (figures 4, 5 et 6), le bac (2) reste solidaire de celle-ci. Prenons la façade 3B. Si l'on entraîne cette façade, la glissière (4B), solidaire de celle-ci, suit le mouvement ; or le crochet (10B) (figure 23), fixé à cette glissière, maintient la roulette (18B) du bac, entraînant ainsi le bac. La roulette (18A) est maintenue par le crochet (10A) de la glissière (4A) (solidaire de la façade 3A), cette glissière (4A) ne pouvant être tirée du côté B. Les deux crochets des deux glissières ne peuvent donc pas s'écarter l'un de l'autre. Les points de pivot des crochets (10), pouvant coulisser dans leurs encoches

(16) vont alors s'écarter de leur façade respective (10A de 3A et 10B de 3B) : les ressorts

(17) vont se tendre. Le levier (13A) du crochet (10A) va être bloqué par la butée (15A) alors que le point de pivot (11 A) va continuer d'avancer dans son encoche ; le crochet va alors pivoter, soulevant sa partie horizontale et libérant la roulette (18A) ; le bac (2) se trouve ainsi libéré de la façade (3A). Ce bac, du fait de la force exercée par le ressort (17) sur le crochet (10B), va s'accoler à la façade 3B. A mesure que l'on tire sur la façade 3B, le débordement (9A) du bac (figure 19), roulant sur les roues (19A) de la glissière (4A) va se séparer de celle-ci en conservant sa position horizontale. Le déroulement des opérations est identique si l'on tire la façade 3A.

Selon un autre mode de réalisation (figures 24 et 25), ce système peut être utilisé comme support ; sur la figure 24, la partie mobile (20) est soutenue par l'intérieur. Elle sert alors de support dont les glissières ne sont pas visibles. Son fonctionnement reste inchangé. Les façades (3) (figure 25) peuvent avoir des dimensions quelconques par rapport au support.

Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné aux meubles en épi ou servant de cloison ; il peut également être utilisé entre deux pièces d'un logement ou comme tiroir d'échange (dans les banques et entreprises...). Chacune des quatre parties métalliques correspondant à un côté du tiroir, c'est-à- dire la partie (5), les deux glissières avec leur équerre, la partie (8) sont chacune fabriquées d'une seule pièce, industriellement, comme des glissières courantes. Ces pièces formant un tout destiné à être assemblé par le fabricant de meubles. Les parties menuiserie sont fabriquées selon la revendication 1, par les fabricants de meubles, c'est-à-dire en trois parties : le bac et les deux façades aux formes et dimensions qui leur conviennent.