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Title:
ELECTRIC LINKING CHAIN FOR PERIPHERAL UNITS OF DATA PROCESSING SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1991/005379
Kind Code:
A1
Abstract:
Electric linking chain (CL) interconnecting a plurality of at the maximum n peripheral units of an information processing system (D1 to D6) and their associated controller (CONT) comprising a series of n dintinct cables (11 to 16) with a plurality of twisted pairs and an assembly of multipoint connection elements (C1 to C6) allowing to electrically interconnect the cables and to connect the peripheral units. According to the invention, the linking chain is characterized in that the chain (CL) forms a unique mechanical assembly, each cable of the series (11 to 16) being mechanically integral with its neighbour by means of a connection assembly (C1 to C6) each connection assembly being associated with a peripheral unit. Utilization in data processing systems.

Inventors:
CARTEAU DANIEL (FR)
Application Number:
PCT/FR1990/000708
Publication Date:
April 18, 1991
Filing Date:
October 04, 1990
Export Citation:
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Assignee:
BULL SA (FR)
International Classes:
G06F13/40; H01R31/02; H05K7/02; H05K7/14; (IPC1-7): G01F19/10; H01R31/02; H05K7/18
Foreign References:
DE2140376B21977-03-17
DE2252393A11973-05-17
DE2545485A11976-04-22
EP0093398A21983-11-09
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Claims:
REVENDICATIONS :
1. Chaîne de liaison électrique (CL) reliant entre elles une pluralité de au maximum n unités périphériques d'un système de traitement de l'informations (Di à De ) et leur contrôleur associé (CONT) comprenant une suite de n câbles distincts (11 à 16) à plusieurs paires torsadées et un ensemble d'éléments de connexions à plusieurs points (Ci à Ce ) permettant de relier électriquement entre eux les câbles et d'y connecter les unités périphériques, et des terminateurs (T, T') d'adaptation d'impédance placés aux deux extrémités de la chaîne, caractérisée en ce que la chaîne (CL) forme un ensemble mécanique unique, chaque câble de la suite (11 à 16) étant solidaire mécaniquement de son voisin, au moyen d'un ensemble de connexion (Ci à Ce ) , chaque ensemble de connexion étant associé à une unité périphérique, l'un des deux terminateurs étant intégré à 1' ensemble de connexion de 1 'extrémité de la chaîne opposée à l'extrémité raccordée au contrôleur.
2. Mémoire de masse magnétique (DA) comprenant une pluralité d'unités amovibles de mémoires magnétiques (Di à De) disposées à l'intérieur d'au moins une armoire (ARM) qui comporte d'une part une pluralité de logements (111 à 116) destinés chacun à recevoir une unité de mémoire, caractérisée en ce qu'elle comprend au moins une chaîne de liaison électrique selon la revendication 1 fixée sur le bâti de l'armoire (ARM) au voisinage immédiat des logements (111 à 116) des unités de mémoire (Di , De) de façon que chacun des ensembles de connexion de la chaîne (Ci à Ce ) soit placé au niveau du connecteur tli à le ) de l'unité de mémoire correspondante, .
3. Chaîne de liaison selon la revendication. 1, caractérisée en ce que chaque ensemble de connexion (Ci à Ce ) comprend un circuit imprimé (CIi ) sur lequel sont soudés d'une part sur un premier côté un connecteur de type SubD (CNi ) destiné à être connecté au connecteur correspondant d'une unité périphérique, et d'autre part deux barrettes autodénudantes (BAi et BA2 ) sensiblement parallèles sur deux autres côtés opposés Δe celuici, chaque barrette étant reliée aux fils de l'extrémité (EXz ) d'un câble (11) de la suite au moyen d'une liaison auto dénudante.
4. Chaîne de liaison selon la revendication 1 caractérisé en ce que chaque ensemble de connexion (Ci ) comprend un premier et un second connecteur (CDi , CD2 ) mâle et femelle de type SubD reliés respectivement par une liaison auto dénudante à l'extrémité (EX∑ ) d'un premier câble (11), le second connecteur étant relié par une autre liaison auto dénudante aux fils de l'extrémité (EX3 ) d'un second câble (12) .
5. Chaîne de liaison selon la revendication 1 caractérisée en ce que chaque ensemble de connexion (Ci ) comprend un connecteur de type microsubD autodénudant (MCDi ) associé à deux barrettes doubles contacts autodénudantes (BDCi , BDC2 ) , la première et la seconde barrette étant respectivement reliées à une première nappe de fils (11A) du premier câble (11) relié à l'ensemble de connexion, et à une première nappe de fils (12A) du second câble (12) connecté à ce même ensemble de connexion, et à une seconde nappe de fils (11B) du premier câble (11) et une seconde nappe (12B) du second câble (12) , les secondes rangées de contact des deux barrettes étant reliées au connecteur (MCDi ) par l'intermédiaire respectivement d'une première nappe de fils (11AB) et d'une seconde nappe de fils (12AB) , le nombre de fils des première et seconde nappes reliant les barrettes autodénudantes au connecteur étant égal au nombre total de fils de chacun des câbles reliés à l'ensemble de connexion.
Description:
CHAINE DE LIAISON ELECTRIQUE POUR UNITES PERIPHERIQUES DE SYSTEME DE TRAITEMENT DE L 'INFORMATION.

La présente invention concerne une chaîne de liaison électrique pour unités périphériques de système de traitement de l'information. Elle est plus particulièrement adaptée pour relier entre elles des unités de mémoires à disques.

Les systèmes de traitement de l'information modernes sont de plus en plus complexes. Ils se composent d'un système central occupant une position géographique déterminée, autour duquel gravitent des systèmes secondaires (ou encore systèmes satellites) qui sont localisés en des endroits géographiques différents de celui occupé par le système central, distants de quelques kilomètres à quelques centaines voire parfois quelques milliers de kilomètres. La structure d'un système, qu'il soit central ou secondaire, est faite d'une unité centrale reliée à différents organes périphériques, parmi lesquels se trouvent les mémoires magnétiques de masse, à savoir mémoires à disques ou mémoires à bandes magnétiques. Le rôle des mémoires magnétiques de masse, en particulier des mémoires à disques est de stocker les informations destinées à être traitées par le système de traitement de l'information (dans son ensemble, systèmes central et

secondaire) lorsqu'un usager situé en lieu géographique quelconque en fait la demande.

Dans chaque système (central ou secondaire) les mémoires à disques sont commandées par un contrôleur de mémoire disposé entre l'unité centrale du système correspondant et les mêmes mémoires, sa fonction essentielle étant de commander le flux des informations qui transitent des mémoires vers l'unité centrale et réciproquement.

Le contrôleur et les mémoires sont reliés entre eux par une chaîne de liaison électrique

Dans la pratique courante, la structure d'une telle chaîne de liaison est, par exemple, celle montrée à la figure 1, et qui est désignée par LC. Elle relie entre eux, le contrôleur de mémoires à disques CONT, et les différentes mémoires à disques Di , Dz , De .

Chacune des mémoires à disques comprend un connecteur d'entrée et un connecteur de sortie. Ainsi, la mémoire à disques Di comprend un connecteur d'entrée Ii et un connecteur de sortie Oi , la mémoire à disques D2 , un connecteur d'entrée I2 et un connecteur de sortie O2 , la mémoire à disques De comprenant un connecteur d'entrée le et un connecteur de sortie O- . Dans chaque mémoire à disques, le connecteur d'entrée est relié, à l'intérieur

de celle-ci, au connecteur de sortie. Le contrôleur CONT comprend un connecteur de sortie Io . Tous les connecteurs d'entrée Ii à le , sont, par exemple, des connecteurs femelles, alors que tous les connecteurs de sortie 0ι à 0ε sont des connecteurs mâles (ou réciproquement) .

La liaison chaînée selon l'art antérieur, LC, comprend une pluralité de liaisons individuelles 1 à 6, la liaison 1 reliant le contrôleur CONT à la mémoire à disques Di , par l'intermédiaire des connecteurs Io et Ii , la liaison 2 reliant entre elles les mémoires à disques Di et Dz , par l'intermédiaire des connecteurs Oi et I2 , et ainsi de suite, la liaison 6 reliant entre elles les mémoires à disques Ds et De par 1'intermédiaire des connecteurs Oo et Iε . Par ailleurs, le connecteur de sortie Oβ de la mémoire à disques De est relié à un terminateur T, par l'intermédiaire d'une liaison 7. De même, le contrôleur CONT contient, en interne, un terminateur T' qui est relié au connecteur Io . Le rôle des terminateurs T et T' est de réaliser l'adaptation d'impédance entre les différentes mémoires à disques Di à De et le contrôleur CONT. Ces terminateurs sont, de façon connue, constitués d'un réseau de résistance à composants discrets ou d'un ensemble hybride constitué de résistances en couches épaisses montées sur un circuit imprimé.

Chacune des liaisons 1 à 6 est, soit de type SCSI, soit de type IPI. Chacun de ces deux types de liaisons est défini par des normes de l'ANSI (American National Standards Institute) . Ces normes définissent la mécanique, la connectique, le câble avec ses différentes caractéristiques (électriques, mécaniques) ainsi que les différents niveaux de tension, les temps de montée, etc, des différents signaux transitant entre les différentes mémoires à disques et le contrôleur. Chaque liaison, également appelée liaison d'interface, est différentielle (ceci est également défini par les normes précitées) . Physiquement, une liaison telle que 1 à 6, se présente sous la forme d'un câble constitué d'une gaine à l'intérieur de laquelle sont situées 25 paires torsadées, le câble étant muni à sa première extrémité d'un connecteur mâle (50 points) et à sa seconde extrémité d'un connecteur femelle (50 points). Lorsque l'on retire une mémoire à disques de la chaîne, D2 par exemple, ceci permet, après avoir déconnecté les câbles 2 et 3 des connecteurs I2 et O2 , de connecter ces câbles entre eux par 1 'intermédiaire de leurs connecteurs mâle et femelle rendus libres par cette déconnexion.

Les exigences du développement économique et la croissance rapide des différents moyens de télécommunications ont pour corollaire une complexité de plus en plus grande des systèmes de traitement de 1'information tels que définis

plus haut : ceux-ci intègrent toujours davantage de fonctions différentes, le nombre d'usagers augmente, ainsi que le nombre de sites où sont situés les systèmes secondaires. Par ailleurs, le nombre d'éléments de chacun des systèmes secondaires et du système central augmente. Parallèlement, l'usager exige désormais que les données qu'il veut utiliser ou dont il a besoin soient disponibles immédiatement. Par conséquent, l'indisponibilité des données est de plus en plus difficilement tolérée. Si on interrompt, pour une raison quelconque l'accès à une mémoire à disques quelconque, il est nécessaire que cette interruption ne cause pas d'interruption simultanée sur les autres mémoires à disques, à laquelle celle-ci est reliée par l'intermédiaire d'une chaîne de liaison. C'est précisément l'inconvénient des chaînes de liaison selon l'art antérieur montrées à la figure 1. En effet, on voit aisément, sur cette même figure, que, le retrait de l'une des mémoires à disques, par exemple D2 , (pour une raison quelconque, soit une panne, soit une opération de maintenance sur celles-ci, soit le retrait des disques qui y sont contenus et leur remplacement par d'autres, etc) provoque une interruption physique de la chaîne de liaison LC, qui entraîne l'indisponibilité de fait, des autres mémoires à disques Di et D3 à Ω~ . Si un usager a, pendant ce temps, besoin d'avoir accès aux données qui sont contenues sur ces dernières, il est obligé d'attendre que la chaîne de liaison LC soit rétablie dans son intégralité

physique, c'est -à-dire que l'on connecte à nouveau la mémoire à disques D2 , ou que l'on connecte directement la mémoire à disques D3 à la mémoire à disques Di .

La chaîne de liaison LC montrée à la figure 1 ne satisfait donc pas les exigences de disponibilité des systèmes de traitement de l'information complexes.

La chaîne de liaison LC montrée partiellement à la figure 2 permet de remédier en partie aux inconvénients mentionnés ci-dessus.

La chaîne LC contient une pluralité d'éléments physiquement indépendants tels que 1' ,2* ,3' . Seul l'élément 2' est montré dans son intégralité à la figure 2. Il comprend un câble de liaison 20 comprenant 25 paires torsadées, ses extrémités étant munies respectivement d'un connecteur de sortie CS2 et d'un connecteur d'entrée CE2. Ces deux derniers connecteurs sont structurellement distincts. Le connecteur CS2 est un connecteur mâle 50 points, analogue au connecteur mâle de la première extrémité des éléments 1 à 6 de la chaîne de liaison LC de la figure 1, alors que le connecteur CE2 est un boîtier plus complexe comprenant d'une part un connecteur mâle CM connecté au connecteur femelle I2 de la mémoire à disques D2 et d'autre part d'un connecteur femelle CF destiné à être connecté au connecteur mâle CS3 de l'élément 3'. Les

connecteurs mâle et femelle CM et CS- " du connecteur CE2 sont reliés mécaniquement et électriquement par la boîte de liaison BL.

La chaîne de liaison LC est par exemple utilisée par le constructeur IMPRIMIS (anciennement CONTROL DATA) dans son sous-système de mémoire de masse MDSi .

On voit que la chaîne de liaison LC de la figure 2 permet le retrait d'une mémoire à disques, par exemple Di , sans que cela affecte la liaison entre le Contrôleur et les autres mémoires à disques D2 à De . L'usager qui utilisait les données contenues sur l'une de ces dernières mémoires n'est donc pas affecté par le retrait de Di . Par contre, il est évident que si l'on veut ajouter une mémoire à disques, par exemple, D7 , à l'ensemble des mémoires Di à O- , il est nécessaire de rompre la chaîne de liaison, par exemple au niveau de la mémoire à disques D2 en déconnectant les connecteurs mâles CS3 et CF, afin de permettre l'insertion de la mémoire D7. Il en serai de même si l'on voulait ajouter la mémoire D7 au bout de la chaîne. En effet, dans ce cas, il est nécessaire de déconnecter l'élément 7' qui relie la dernière mémoire De au terminateur T, afin d'y insérer la mémoire D? .

Par ailleurs, la chaîne de liaison LC présente un autre inconvénient du fait qu'elle est composée d'une succession

d'un grand nombre de connecteurs, ce qui a un impact sur la fiabilité électrique de l'ensemble et la qualité de la liaison, car cela introduit de nombreuses résistances de contact. Cela nécessite en outre la présence de nombreux blindages et il est nécessaire de respecter la continuité des masses électriques.

Enfin, la chaîne LC constitue un ensemble lourd et relativement cher.

La présente invention permet de remédier aux inconvénients des chaînes de liaison selon l'art antérieur en permettant l'adjonction ou la suppression d'une unité de mémoire à disques (ou plus généralement d'une quelconque unité périphérique) sans arrêter le fonctionnement des autres unités de la chaîne (ce qui est appelé rupture de chaîne) , ni même perturber le fonctionnement des autres unités de celles-ci. La chaîne de liaison selon l'invention n'est jamais interrompue, que ce soit mécaniquement ou électriquement, que l'on enlève ou que l'on rajoute une unité de mémoire à disques à la chaîne.

Selon l'invention, la chaîne de liaison électrique reliant entre elles une pluralité de au maximum n organes périphériques et leur contrôleur associé, comprenant une suite de n câbles distincts à plusieurs paires torsadées et un ensemble d'éléments de connexion à plusieurs points

permettant de relier électriquement entre eux les câbles et d'y connecter les organes périphériques, et des terminateurs d'adaptation d'impédance placés aux deux extrémités de la chaîne, est caractérisée en ce que la chaîne forme un ensemble mécanique unique, chaque câble de la suite étant solidaire mécaniquement de son voisin au moyen d'un ensemble de connexion, chaque ensemble de connexion étant associé à une unité périphérique, l'un des deux terminateurs étant intégré à l'ensemble de connexion de l'extrémité de la chaîne opposée à l'extrémité raccordée au contrôleur.

L'invention concerne également une mémoire de masse magnétique comprenant une pluralité d'unités amovibles de mémoires magnétiques disposées à l'intérieur d'au moins une armoire qui comporte d'une part une pluralité de logements destinés chacun à recevoir une unité de mémoire, qui est caractérisée en ce qu' elle comprend au moins une chaîne de liaison électrique selon la revendication 1 fixée sur le bâti de l'armoire au voisinage immédiat des logements des unités de mémoire de façon que chacun des éléments de connexion de la chaîne soit placé au niveau des connecteurs correspondants de l'unité de mémoire, de manière à y être connecté.

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront dans la description suivante donnée

à titre d'exemple non limitatif et en se référant aux dessins annexés.

Sur ces dessins :

- La figure 1 montre un premier exemple d'une chaîne de liaison électrique selon l'art antérieur,

- La figure 2 montre un second exemple de réalisation d'une chaîne de liaison selon l'art antérieur remédiant partiellement aux inconvénients de celle de la figure 1,

- La fi nire 3 composée des figures 3a et 3b montre, sous forme simplifiée une chaîne de liaison selon l'invention,

- Ira figure 4 est une vue en perspective plus détaillée de la chaîne de liaison selon l'invention montrée à la figure 3,

- Ira figure 5 est une vue simplifiée d'un ensemble de mémoires à disques, double accès, reliées entre elles par deux chaînes de liaison selon l'invention,

- La figure 6 montre une armoire contenant deux ensembles de mémoires à disques tels que celui de la figure 5, montées à l'intérieur de cette armoire,

- La figure 7 et la figure 8 montre comment est constitué un premier exemple de réalisation d'un ensemble de connexion appartenant à une chaîne de liaison selon l'invention,

- a figure 9 montre comment est constituée une seconde forme de réalisation d'un ensemble de connexion appartenant à une chaîne de liaison selon l'invention,

- La figure 10 montre, vu de 3/4 en perspective, le mode de réalisation de l'ensemble de connexion montré à la figure 9,

- La figure 10 et la figure 11 montrent deux chaînes de liaison selon l'invention constituées respectivement selon les premier et second exemples de réalisation montrés aux figures 8 et 9,

- La figure 12 montre un troisième exemple de réalisation d'une chaîne de liaison selon l'invention.

On considère les figures 3 et 4.

La chaîne de liaison selon l'invention CL permet de relier le contrôleur de mémoires à disques CONT aux mémoires à disques Di à De . Cette chaîne de liaison comprend 6 câbles de liaison 11 à 16, 6 ensembles de connexion Ci à Ce , et l'ensemble de connexion Co .

L'ensemble de connexion Co permet de connecter la chaîne de liaison CL au contrôleur CONT par 1 'intermédiaire du connecteur femelle de celui-ci Io . Comme dans le cas de la figure 1, le contrôleur inclut un terminateur T' .

Les câbles de liaison sont reliés entre eux deux à deux, par l'intermédiaire d'un ensemble de connexion. Ainsi, les câbles 11 et 12 sont reliés par l'intermédiaire de l'ensemble de connexion Ci , les câbles 12 et 13 par l'ensemble de connexion C2 et ainsi de suite, les câbles 15 et 16 étant reliés par l'ensemble de connexion Cs . L'ensemble de connexion Ce inclut le terminateur T.

Ainsi, chaque ensemble de connexion Ci à Ce , non seulement assure la liaison électrique entre deux câbles voisins, mais les rend également solidaires mécaniquement l'un de 1' autre. On peut donc définir la chaîne de liaison CL selon 1 'invention comme un ensemble mécanique unique formé d'une suite de câbles de liaison liés entre eux électriquement et mécaniquement par des ensembles de connexion.

La chaîne de liaison CL relie entre elles les mémoires à disques Di à De de la manière suivante : l'ensemble de connexion Ci est connecté au connecteur femelle Ii de la mémoire à disques Di , l'ensemble de connexion Cg est connecté au connecteur femelle I2 de la mémoire à disques D2 et ainsi de suite, l'ensemble de connexion Ce étant connecté au connecteur femelle le de la mémoire à disques De .

On voit aisément, en considérant la figure 3, que la chaîne de liaison selon l'invention CL permet de retirer, voire d'ajouter une mémoire à disques à l'ensemble de mémoires à disques déjà reliées entre elles, sans que les liaisons entre ces dernières soient interrompues. Afin de ne pas perturber les liaisons électriques entre ces différentes mémoires à disques et le contrôleur CONT, lorsque l'on retire ou lorsque l'on rajoute une mémoire à disques aux autres, chaque mémoire à disque a une alimentation électrique indépendante et les différentes liaisons d'interfaces sont différentielles.

On voit par ailleurs que la chaîne de liaison selon l'invention permet de laisser libre les connecteurs de sortie Oi à On des mémoires à disques? Di à De . On peut même envisager de supprimer ces derniers.

On considère désormais la figure 4 qui montre l'aspect physique extérieur que revêt désormais une chaîne de liaison CL selon l'invention. On peut y voir les câbles 11, 12 et partiellement les câbles 13 et 16 qui sont donc des câbles 25 paires torsadées revêtus de leur gaine de protection, ainsi que les différents connecteurs Co , Ci , C2 , Ce , dont on ne voit que 1'enveloppe extérieure constituée de boîtiers métalliques (en fait constituée d'un assemblage de deux demi boîtiers) qui contiennent les connecteurs électriques du type de ceux qui sont montrés aux figures 8 à 12 et qui seront décrit plus en détail par la suite. Ces boîtiers assurent non seulement la rigidité mécanique de l'ensemble de connexion, mais jouent également un rôle de protection contre les chocs mécaniques et la corrosion.

On considère désormais les figures 5 et 6 qui montrent un ensemble DA de 6 mémoires à disques Di à De , accessibles par deux contrôleurs différents CONT, CONT' . Un tel ensemble de mémoires à disques est dit ensemble double accès. Il est donc accessible par deux systèmes informatiques différents. Cet ensemble DA comporte deux chaînes de liaison identiques CL, CL', formées respectivement des câbles de liaison 11 à 16, et 11* à 16' , ainsi que des ensembles de connexion Ci à Ce , Ci à Ce , ainsi que des ensembles de connexion Co et Co permettant de relier les deux chaînes de liaison selon

15 l'invention CL, CL' aux deux contrôleurs CONT, CONT 1 . La chaîne de liaison CL est connectée aux mémoires à disques Di à De de la même manière qu'à la figure 3. Par ailleurs, les mémoires à disques Di à De étant munies, aux figures 5 et 6 de seconds connecteurs d'entrée I'i à I'e, (on peut voir comment sont disposés les connecteurs Ii et I'i sur l'arrière du bâti de la mémoire à disques de Di , à la figure 6) , la chaîne CL' relie les différentes mémoires à disques Di à De entre elles de la même manière que la chaîne CL relie ces mêmes mémoires à disques entre elles par leurs connecteurs I'i à 1 ' - . Le connecteur Ci est donc connecté au connecteur femelle I'i de la mémoire à disques Di , et ainsi de suite. On sait que des ensembles de mémoires à disques double accès tels que DA, permettent d'améliorer la disponibilité des données dans les systèmes informatiques.

La figure 6 montre une armoire ARM contenant respectivement deux ensembles de mémoires à disques double accès, à savoir l'ensemble DA montré à la figure 5, et l'ensemble DA' identique à DA, comprenant six mémoires à disques Du à Die et deux chaînes de liaison CLi , CL'i selon l'invention.

L'ensemble DA est disposé dans la partie supérieure de l'armoire ARM (cette armoire est une armoire par exemple

métallique de forme parallélépipédique) alors que l'ensemble DA' est disposé dans sa partie inférieure.

L'armoire ARM comprend un certain nombre de logements de forme parallélépipédique où peuvent être insérées des mémoires à disques dont le bâti a une forme extérieure parallélépipédique. Ainsi dans sa partie supérieure l'armoire ARM dispose de 6 logements 111 à 116 où peuvent être insérées les mémoires à disques Di à De , alors que la partie inférieure de l'armoire comprend 6 logements 211 à 216 pouvant respectivement recevoir les mémoires à disques Du à Die de l'ensemble DA' . Les logements 111 à 113, 211 à 213 d'une part, 114 à 116, 214 à 216, d'autre part sont situés les uns au-dessus des autres (respectivement dans la partie droite et la partie gauche de ARM) .

Ainsi qu'on peut le voir à la figure 6 chacun des câbles 11 à 16, 11' à 16 ' des chaînes de liaison CL, CL' de l'ensemble DA d'une part, 21 à 26, 21* à 26' des chaînes de liaison CLi , CL'i de l'ensemble DA' est fixé de manière appropriée sur le bâti de 1 'armoire ARM de telle sorte que chacun des ensembles de connexion Ci à C- , Ci à Ce soit placé au niveau du connecteur femelle Ii à le , I'i à I'β de l'unité de mémoire à disques Di à De auquel il doit être connecté. Ainsi, l'ensemble de connexion Ci est placé au niveau du connecteur Ii de la mémoire à disques Di , l'ensemble C2 au niveau du connecteur I2 et ainsi de

suite, pour C3 à C- , l'ensemble de connexion Ci étant placé au niveau du connecteur I'i et ainsi de suite. Il est évident que ce qui est écrit ci-dessus est valable pour les ensembles de connexion des chaînes CLi , CL'i et des connecteurs femelles correspondants des mémoires Du à Die. Aussi, avant d'être équipée de ces mémoires à disques Di à De et Di1 à Die , 1'armoire ARM est prééquipée de ces chaînes de liaison CL, CL', CLi , CL'i . On peut donc monter dans cette armoire autant de mémoires à disques qu'il est nécessaire dans la limite de 12. Il est cl*air que par exemple, dans la partie inférieure de l'armoire ARM, on peut disposer, à la place des mémoires à disques Du à Die , le contrôleur CONT sous forme de cartes disposées à l'intérieur d'un panier porte-cartes, ou encore les alimentations des mémoires à disques Di à De .

La principale difficulté de réalisation d'ensembles de connexion tels que Ci d'une chaîne de liaison selon l'invention, telle que la chaîne CL tient à ce qu'il n'est pas évident de relier entre eux deux câbles de 25 paires de fils torsadées et par conséquent volumineux, sous forme d'ensembles de connexion, compacts, bon marché, présentant une bonne rigidité mécanique, et présentant dans le temps une excellente fiabilité.

Les trois exemples de réalisation montrés aux figures 7 à 12 se proposent de remplir ces exigences.

On considère désormais la figure 7 et la figure 8.

La figure 8 montre un exemple de réalisation d'un ensemble de connexion tel que Ci d'une chaîne de liaison CL selon l'invention. La figure 8a est une vue de dessus de cet ensemble de connexion, alors que la figure 8b est une vue de 3/4 en perspective. Les figures 8a et 8b montrent la partie de l'ensemble de connexion qui est située à l'intérieur du boîtier montré, par exemple, à la figure 4.

Un tel ensemble de connexion Ci comprend un circuit imprimé CIi , ayant une forme carrée ou rectangulaire, deux barrettes auto-dénudantes BAi et BA2 , parallèles l'une à l'autre, par exemple du type 8603 de la Société SOURIAU, et un connecteur CNi , par exemple de type SubD (par exemple fabriqué par les Sociétés 3 M, AMP, ANSLEY, etc ...). Le connecteur CNi est soudé sur l'une des extrémités du circuit imprimé CIi . Ainsi qu'on peut le voir sur la figure 8a, la longueur du connecteur CNi est égale à la dimension du côté du circuit imprimé CIi , dans le cas où celui-ci est de forme carrée et à la largeur de celui-ci s'il est de forme rectangulaire. Les deux barrettes auto- dénudantes BAi et BA2 sont disposées sur le côté du circuit imprimé perpendiculairement à la longueur du connecteur CNi . Autrement dit, sur la figure 8a, les deux barrettes auto-dénudantes sont parallèles aux côtés du

19 carré constituant le circuit imprimé CIi qui sont horizontaux. Les barrettes auto-dénudantes sont soudées sur le circuit imprimé CIi . Pour fixer les extrémités des câbles de liaison 11 et 12 sur l'ensemble de connexion Ci, il est nécessaire de mettre à plat les extrémités des 50 fils torsadés qui constituent ces câbles de liaison, ainsi qu'on peut le voir à la figure 7a, où l'on a fait figurer les extrémités EXi et EX2 des 50 fils tors ' adés constituant le câble 11 (le problème est évidemment identique pour chacun des câbles 11 à 16) . Une fois que ces mêmes extrémités sont mises à plat, on insère celles-ci dans les trous correspondants de Ta barrette auto-dénudante correspondante, par exemple BAi pour 1'extrémité EX2 , celle-ci étant ensuite soudée sur le circuit imprimé CIi . II est clair que c'est le circuit imprimé lui-même, par l'intermédiaire de ses conducteurs internes qui assure la liaison électrique entre les extrémités des 50 fils constituant les câbles 11 et 12 et les 50 points que possède le connecteur CNi . L'insertion- es extrémités des 50 fils du câble 11 dans la barrette auto-dénudante est montrée à la figure 7b, qui est une vue de côté des extrémités EXi et EX2 dans le plan formé par 1'ensemble des fils (une fois ceux-ci mis à plat) . Ceci explique que l'on ne voie qu'un seul fil sur les 50 à la figure 7b.

On considère la figure 9 qui montre un second exemple- de réalisation d'un ensemble de connexion d'une chaîne selon

l'invention, supposé être Ci . Seule la partie de l'ensemble de connexion située à l'intérieur d'un boîtier tels que ceux montrés à la figure 4, est montrée aux figures 9d et 9e. Un tel ensemble est formé par l'association de deux connecteurs de type SubD fixés l'un à l'autre en tête-bêche. Le connecteur CDi est un connecteur mâle destiné à être connecté au connecteur femelle Ii du disque Di , alors que le connecteur CD2 est un connecteur femelle destiné à être relié au câble 12.

Le câble 11, ainsi qu'on peut le voir aux figures 9d et 9e est connecté à la fois au connecteur CDi et au connecteur CD2. Pour ce faire, l'extrémité EX2 du câble 11 est d'abord mise à plat (voir figure 9a). Elle est ensuite connectée aux deux connecteurs CDi et CD2 , en étant d'abord insérée dans le connecteur CDi , puis dans le connecteur CD2 (figure 9b). Pour cela, elle est d'abord connectée au connecteur CDi par 1 'intermédiaire des liaisons autodénudantes de ce dernier. Une fois que l'on a fait passer les fils à travers le connecteur CDi , on connecte ceux-ci au connecteur CD2.

Une fois le câble 11 fixé sur l'ensemble de connexion Ci , on fixe l'extrémité EX3 du câble 12 sur le connecteur femelle CD2. A cet effet, après avoir détorsadé les fils, les extrémités de ceux-ci sont serties à l'intérieur de petites douilles cylindriques DO2 (fig. 9e et fig. 9a où

l'on peut voir les fils de l'extrémité EX- j _ du câble 11 munies de leurs douilles de contacts DO- j _) . On introduit ensuite, fil par fil, chaque douille dans un trou correspondant de l'extrémité femelle du connecteur CD2 (voir fig. 9e et également figures 9b et 9& où l'on voit

_?** l'extrémité EX^ du câble 11 introduite dans le connecteur C 0 >-

Une fois l'extrémité EX3 du câble 12 sortie dans le connecteur femelle CD 2 , on fixe mécaniquement l'un à l'autre les deux connecteurs CD^ et CD2 par des moyens appropriés (par exemple, par vissage des deux corps extérieurs des connecteurs) . L'ensemble ainsi constitué est ensuite disposé à l'intérieur des boîtiers formant l'enveloppe du connecteur C- j _ (se reporter à la figure 4) .

On considère les figures 10 et 11 qui montrent respectivement une chaîne de liaison selon l'invention CL réalisée selon le premier et le second ' mode de réalisation. Chaque ensemble de connexion C- j _ à Cg est montré formé d'un ensemble de symboles représentatifs- des différents éléments qui le constituent, ainsi que des modes de liaison entre ces éléments. Toute la symbolique utilisée aux figures 10 et 11 est indiquée sur le tableau 1 joint en fin de description. Ainsi, σn peut voir, à la figure 10, par exemple pour l'ensemble de connexion C- j _ les deux barrettes auto-dénudantes BA et BA2, le circuit

FEUILLE DE REMPLACEMENT

intégré CIi , le connecteur CNi , les trois soudures 50 points qui permettent de relier les deux barrettes auto- dénudantes BAi et BA2 et le connecteur CNi au circuit intégré CIi , ainsi que les liaisons auto-dénudantes 50 points qui permettent de relier respectivement les deux barrettes auto-dénudantes BAi et BA2 aux deux câbles 11 et 12.

L'ensemble de connexion Cε est identique dans sa plus grande partie aux autres ensembles de connexion Ci à Cs, à 1 ' exception de 1'une des deux barrettes auto-dénudantes qui est remplacée par le terminal adaptateur T qui est par conséquent inséré dans cet ensemble de connexion.

Ainsi qu'on peut le voir à la figure 11, l'ensemble de connexion Ci comprend les deux connecteurs CDi et CD2 (à la figure 11, le connecteur CDi est symbolisé deux fois, puisque le câble 11 est relié d'une part au connecteur CD2 par l'intermédiaire du connecteur CDi et d'autre part est relié vers la sortie du connecteur CDi , destiné à être connectée au connecteur femelle Ii de la mémoire à disques

De même qu'à la figure 10, l'ensemble de connexion Ce comprend le terminateur T. Chaque ensemble de connexion tel que Ci comprend donc outre les deux connecteurs CDi et CD2 , deux liaisons auto-dénudantes reliant l'extrémité du

câble 11 à cet ensemble de connexion et un sertissage qui permet de relier cet ensemble à l'autre câble, à savoir 12 pour l'ensemble de connexion Ci.

On considère la figure 12 qui montre un troisième exemple de réalisation d'un ensemble de connexion tel que Ci , construit autour d'un connecteur MCDi de type autodénudant normalisé microsub-D, au pas de 1,27 n entre les contacts, pouvant être utilisé aussi bien suivant la norme ANSI SCSI que suivant la norme ANSI IPI. (Un tel connecteur est par exemple fabriqué par la Société AMP) . Le connecteur MCDi est destiné à être connecté au connecteur femelle Ii de la mémoire à disques Di .

L'ensemble de connexion Ci comprend en outre deux barrettes autodénudantes BDCi et BDC2. Chacune de celles- ci est une barrette à 25 doubles contacts permettant de relier entre elles deux nappes de 25 fils. La structure d'une telle barrette à doubles contacts autodénudants est mise en évidence à la figure 12a. Une telle barrette BDCi

(la structure est évidemment identique pour la barrette

BDC2 ) , qui est vue en coupe suivant un plan parallèle à la grande dimension de la barrette, comprend une première rangée de contacts Ri et une seconde rangée de contacts R2 , chacune de ces rangées comprenant 25 contacts (deux contacts seulement sont montrés à la figure 12a pour chaqμe rangée Ri et R2 , dans un but évident de

simplification de la figure) . Chaque contact d'une rangée est électriquement relié au contact correspondant de l'autre rangée. Ces deux rangées Ri et R2 sont montées sur un support plastique SP, les enveloppes (ou capots) extérieures de la barrette étant désignées par CAi et CA2.

Afin d'être connectée à chacune des barrettes BDCi et BDC2 , chaque extrémité EX2 et EX3 des câbles 11 et 12, après avoir été mise à plat, est divisée en deux nappes de 25 fils, à savoir les nappes 11A et 11B pour l'extrémité EX2 du câble 11, 12A et 12B pour l'extrémité EX3 du câble 12. La première nappe 11A est connectée à la première rangée de contacts Ri . Pour ce faire, selon la technique autodénudante, chacun des 25 fils de la nappe est posé sur chacun des 25 contacts correspondant de la rangée Ri . On sertit ensuite ces 25 fils sur leurs contacts en appuyant le capot CAi sur ceux-ci, ce qui permet, dans le même temps de fixer celui-ci, par exemple par encliquetage, sur le support SP. La nappe 11A ayant, pour ainsi dire, traversé la barrette BDCi , est ensuite connectée, selon une technique analogue, au connecteur MCDi .

La seconde nappe 12A est ensuite connectée à la seconde rangée de contacts R2 selon la technique utilisée pour 11A, à cette différence près, que, une fois posés les fils, on coupe ceux-ci au ras des contacts de manière à ce

25 qu'ils ne puissent traverser la barrette. Ainsi, seule l nappe 11A traverse la barrette.

Il est clair que les deux nappes 11B et 12B sont connectées à la barrette BDC2 de la même manière que 11A et 12A à BDCi . Seule la nappe 12B traverse la barrette et est connectée au connecteur MDCi .

On sait que dans les connecteurs 50 points autodénudants de type microsub-D au pas de 1,27 millimètres, la connexion d'un câble s'établit en divisant les 50 fils de celui-ci en deux nappes de 25 fils qui ne traversent pas le connecteur. Le troisième exemple de réalisation de l'ensemble de connexion Ci selon l'invention, utilisant un tel connecteur permet de résoudre de manière simple et élégante, la connexion de deux câbles ayant chacun 50 fils à un tel connecteur grâce à l'emploi de barrettes autodénudantes doubles contacts.

L'avantage de ce troisième mode de réalisation est d'éviter l'utilisation de soudures et de sertissages. Par ailleurs, elle est extrêmement bon marché.

- 1 soudure 50pts ou - 1 sertissage » " ou _ 1 liaison autodénuda te 50pfs ou - . « mécanique

Tableau I

FEUILLE DE REMPLACEMENT