| WO/1998/005552 | PROPULSIVE RIGGING FOR SAIL BOATS AND A SAIL BOAT PROVIDED WITH SUCH RIGGING |
| WO/2005/073079 | SAIL |
| US4497272A | 1985-02-05 | |||
| US4846423A | 1989-07-11 | |||
| FR2639605A1 | 1990-06-01 | |||
| US5368259A | 1994-11-29 | |||
| GB2279919A | 1995-01-18 | |||
| DE9303019U1 | 1993-07-08 |
| 1. | Les réalisations de l'invention, au sujet desquelles un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué, sont définies comme suit : Un cerf volant de style parapente pour faire de la voile comprenant des cellules, un zipper, une toile spécifique, des cordes, des queues, des prises d'air, des blocs de foam, un support pour le manipuler et un joint de support spécifique Un cerfvolant tel que défini dans la revendication 1 dont les cellules sont au nombre de 8 lui donnant ainsi une forme carrée. |
| 2. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 et 2 possédant un zipper au centre qui libère 2 cellules de plus en s'ouvrant. |
| 3. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 3, dont la toile de surface peut être du polyéthylène tissé léger (3.2 on/vg2). |
| 4. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 4, possédant seulement 18 cordes dont 12 à l'avant et 6 à l'arrière. |
| 5. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 5, possédant deux queues triangulaires en toile pour la stabilité. |
| 6. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 6, possédant quatre prises d'air carrées situées à l'avant des cellules. |
| 7. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 7, possédant des blocs de foam mou hydrofuge percés d'une cheminée et munis d'une rainure servant à les coincer dans les prises d'air pour naviguer sur l'eau. |
| 8. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 8, possédant un support en " T " pour le manipuler. |
| 9. | Un cerfvolant tel que défini dans les revendications 1 à 9, possédant un joint de support qui peut pivoter lors d'une chute. |
Mémoire descriptif
La présente invention se rapporte à un cerf-volant pour faire de la voile.
Pour faire de la voile avec un cerf-volant, il faut pouvoir le diriger pour le faire voler près du sol dans la direction où l'on veut aller. Plus il vole bas, plus on va vite et ce faisant, il peut toucher le sol et s'effondrer. J'ai découvert qu'en utilisant un cerf-volant compact de style parapente, il pouvait glisser sur la neige ou l'eau sans s'effondrer. Il suffit que le parapente soit de forme compacte et lorsqu'il touche le sol, il n'a pas tendance à pivoter.
Mais ce genre de cerf-volant possède de longues cordes qui servent à le tenir et à le diriger. Celles-ci peuvent s'emmêler lorsque l'on rate une manoeuvre et il faut du temps et de la technique pour repartir. J'ai découvert que l'on pouvait utiliser un support formé de deux tubes joints ensemble de façon rigide en forme de " T " auxquels on fixe les cordes et qui permet à la fois de réduire considérablement leur longueur de façon à ce qu'elles ne puissent plus s'emmêler et à la fois d'agir en rotation sur la voile de sorte qu'on n'a pas besoin d'actionner les cordes elles-mêmes, ce qui facilite grandement la manoeuvre.
SUBSmUTE SHEET (RULE 26)
Un parapente tient sa stabilité de son allongement, mais j'ai découvert qu'il suffisait de deux pièces de toile triangulaires reliées en " V " par deux cordes à l'arrière du support en " T " pour donner la stabilité voulue à un parapente compact.
Lorsqu'on tombe, il faut que le joint en " T " entre les deux tubes puisse pivoter pour ne pas briser, mais il faut aussi qu'il soit suffisamment rigide pour ne pas pivoter lorsqu'on a besoin de contrôler la voile en rotation. J'ai découvert qu'il suffisait de fixer sur le bout avant du tube arrière une section semi-cylindrique qui vient s'emboîter sur le tube avant et qui y est tenue par un élastique. Quand le joint force, il se déboîte en soulevant l'élastique puis se remet en place tout seul.
J'ai découvert que l'on pouvait réduire considérablement le nombre et la grandeur des ouvertures qui permettent à la voile de gonfler. Il faut plus de temps pour l'établir mais la pression interne est aussi bonne. Cela donne une meilleure forme à la voile, réduit le temps de fabrication, et permet de l'utiliser sur l'eau.
Pour l'utiliser sur l'eau, j'ai découvert qu'il suffisait de coincer dans les ouvertures des blocs de " foam " hydrofuge munis d'une rainure pour y coincer la toile, et percés d'une cheminée pour laisser pénétrer l'air. Lorsque la voile tombe sur l'eau du côté des ouvertures, l'eau ne peut pas remonter les cheminées et pénétrer dans la voile.
J'ai découvert que l'on pouvait enlever ou ajouter facilement une section de deux cellules à la voile en ajoutant un zipper au centre. On peut réduire ou augmenter la surface de voilure de 25% et avoir une seule voile pour tout l'échantillonnage des vents.
J'ai découvert que l'on pouvait utiliser du polyéthylène tissé très mince (3.2 on/vg2) pour le revêtement extérieur de la voile qui ne supporte que la pression d'air. Cette partie de la voile nécessite une toile de moindre résistance que les sections où s'attachent les cordes. Cette toile est suffisamment légère pour le ski à voile car il faut un vent minimum de 15 km/hre pour avancer sur la neige. Par contre, elle est 7 fois moins dispendieuse que celle utilisée actuellement pour les parapentes. Comme elle est étanche à 100%, on peut réduire les ouvertures à presque rien tout en conservant la même pression d'air dans la voile. Pour les sections internes, on peut utiliser du polyéthylène plus lourd (plus résistant) ou du nylon léger.
SUBSTiïϋTE SHEET (RULE 26)
Relativement aux dessins qui illustrent la réalisation de l'invention :
La figure I représente une vue de face de la réalisation.
La figure 2 représente une section sur la ligne EF de la réalisation.
La figure 3 représente une vue en plan du dessous de la réalisation.
La figure 4 est une vue latérale du joint en " T " de la réalisation.
La figure 5 est une vue en plan du joint en " T " de la réalisation.
La figure 6 est une vue en coupe de blocs de foam dans les prises d'air.
La figure 7 est une vue en plan des blocs de foam dans les prises d'air.
La figure 8 est une vue en plan de la réalisation avec ses 10 cellules.
L'appareil illustré comprend une voile carrée ABCD constituée de 8 cellules numérotées 1 à 8 composées de toile translucide 14 à l'extérieur et de toile colorée 18 entre elles, percées de quatre prises d'air carrées 13, et reliées aux extrémités d'un support tubulaire en " T " 10 et 21 par douze cordes 12 à l'avant et six cordes à l'arrière.
Un joint en " T " 11 est formé du bout avant du tube arrière 21 tenu à angle droit sur une section semi-cylindrique 20. Cette section s'emboîte sur le tube avant 10 et est tenu là par un anneau en caoutchouc 17 auquel est fixée une cordelette 16 que l'on accroche après une attache 25 après l'avoir passé autour du tube avant 10.
Un zipper 15 cousu autour de la section EF libère deux cellules supplémentaires lorsqu'on l'ouvre, augmentant la surface de 25%.
Des blocs de foam mou hydrofuge 22 percés d'une cheminée 23 peuvent être insérés dans les prises d'air 13 et tenus après la toile 14 au moyen d'une rainure 24 faite autour des blocs. Ils servent à empêcher l'eau de pénétrer dans la voile l'été.
SUBSTiïUTE SHEET (RULE 26)