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Patent Searching and Data


Title:
FOOD PREPARATION APPLIANCE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2016/107810
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a food preparation appliance comprising: an electric motor built into a base that is mechanically connected to at least one container (200); a drive means rotated by the motor and connected to at least one rotatably movable tool; part (225) of the movable tool, which extends through an opening in the base of the container and comprises a bearing having one part that can pass through an opening in the base of the container so as to be rotationally immobilised therein, and a shaft extending through the bearing and designed to be rotated by the drive means; and a washer (205) rotatably mounted under the bearing, the bearing and the washer having matching shapes and the washer having a locking relief form (210). The base of the appliance comprises a fixed relief form around the drive shaft, having a shape that matches that of the relief form on the washer, which fixed relief form drives the washer into its abutment position as the container is being rotated into its locked position on the base.

Inventors:
LAZZER JEAN-PIERRE (FR)
GONNEAUD PATRICK (FR)
Application Number:
PCT/EP2015/081180
Publication Date:
July 07, 2016
Filing Date:
December 23, 2015
Export Citation:
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Assignee:
HAMEUR (LU)
International Classes:
A47J43/07; A47J27/00; A47J43/046
Domestic Patent References:
WO1995029616A11995-11-09
Foreign References:
CN101626714A2010-01-13
KR101464470B12014-11-27
US6748853B12004-06-15
Other References:
None
Attorney, Agent or Firm:
CASSIOPI (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Appareil de préparation culinaire (100) qui comporte :

- un moteur électrique intégré dans une base (105) reliée mécaniquement à au moins une cuve (200),

- un moyen d'entraînement (405) mis en rotation par le moteur, relié à au moins un outil mobile (755) amovible en rotation dans la cuve,

- une partie (225) de l'outil mobile traversant une ouverture au fond de la cuve et comportant

- un palier dont une partie peut passer dans une ouverture du fond de la cuve pour y être bloqué en rotation et

- un arbre traversant ce palier configuré pour être entraîné en rotation par le moyen d'entraînement,

- une rondelle (205) montée en rotation sous le palier, les géométries du palier et de la rondelle se correspondant pour que la rotation de la rondelle fixe le palier au fond de la cuve en s'intercalant entre le palier et le dessous du fond de cuve, la rondelle présentant, du côté de la base, un relief (210) permettant de faire tourner la rondelle autour du palier jusqu'à une position en butée verrouillant le pallier au fond de la cuve, cet appareil étant caractérisé en ce que la base comporte, autour de l'arbre d'entraînement, un relief fixe (435) en correspondance géométrique avec le relief de la rondelle qui entraîne la rondelle vers sa position en butée pendant une rotation de la cuve vers sa position de verrouillage sur la base.

2. Appareil de préparation culinaire selon la revendication 1 , dans lequel le relief de la rondelle comporte au moins une excroissance dépassant en dehors du plan de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une nervure fixe configurée pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

3. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 ou 2, dans lequel le relief de la rondelle comporte au moins une échancrure formant un creux par rapport à la surface plane de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une excroissance fixe en correspondance avec une échancrure de la rondelle pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

4. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 ou 2, dans lequel le relief de la rondelle comporte au moins une excroissance dépassant de la surface plane de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une échancrure fixe en correspondance avec une excroissance de la rondelle pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

5. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 à 4, dans lequel :

- le palier comporte au moins une excroissance ou au moins une échancrure, respectivement, du côté de la base de l'appareil,

- la rondelle comporte, respectivement, au moins une échancrure ou au moins une excroissance en correspondance avec chaque excroissance ou échancrure du palier.

6. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 à 5, dans lequel :

- le palier est muni d'un joint d'étanchéité en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve et d'au moins une excroissance latérale dans le plan du fond de la cuve,

- la rondelle présente,

- dans son plan général, au moins une échancrure latérale vers le centre de la rondelle et en correspondance avec chaque excroissance latérale du palier, et

- à partir de chaque échancrure latérale, sur son bord inférieur, une rampe allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle, on fait coulisser le palier le long de l'axe du moyen d'entraînement et on compresse le joint d'étanchéité.

7. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 à 5, dans lequel :

- la rondelle présente, dans son plan général, au moins une excroissance latérale vers le centre de la rondelle,

- le palier est muni d'un joint d'étanchéité en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve et présente

- au moins une échancrure latérale dans le plan du fond de la cuve, et en correspondance avec chaque excroissance latérale de la rondelle, et

- à partir de chaque excroissance latérale, sur son bord inférieur, une rampe allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle, on fait coulisser le palier le long de l'axe du moyen d'entraînement et on compresse le joint d'étanchéité.

8. Appareil de préparation culinaire selon l'une des revendications 1 à 7, dans lequel la cuve est surmontée d'un couvercle muni d'une ouverture supérieure et d'un bouchon obturant l'ouverture supérieure, le bouchon étant muni, en partie inférieure, d'un relief en correspondance avec le relief de la rondelle, de telle manière que le bouchon peut servir d'outil de serrage de la rondelle sur le palier.

9. Appareil selon la revendication 8, dans lequel le bouchon est au moins partiellement constitué en un matériau isolant thermiquement.

10. Appareil selon l'une des revendications 8 ou 9, dans lequel le bouchon comporte une rupture de pont thermique entre la zone de préhension du bouchon et sa partie située à l'intérieur de la cuve.

Description:
APPAREIL DE PRÉPARATION CULINAIRE

DOMAINE DE L'INVENTION

La présente invention vise un appareil de préparation culinaire.

La présente invention s'applique au domaine des appareils de préparation culinaire. Plus particulièrement, la présente invention s'applique au domaine des appareils de préparation culinaire comportant un moteur électrique intégré et un outil amovible. ÉTAT DE LA TECHNIQUE

Actuellement, des appareils de préparation culinaires permettent à un utilisateur de changer régulièrement l'outil de travail des aliments utilisé et mis en rotation. L'outil de travail comporte un joint d'étanchéité empêchant les aliments de couler par une ouverture dans laquelle est placé l'outil de travail.

Cependant, si l'outil est mal positionné, il risque de se décrocher, ce qui peut endommager l'appareil de préparation culinaire, voire blessé son utilisateur. De plus, le joint pouvant alors être mal comprimé, une fuite de liquide ou d'aliment vers le moteur de l'appareil peut se produire, ce qui peut provoquer des désagréments, voire un endommagement du moteur ou un court-circuit.

OBJET DE L'INVENTION

La présente invention vise à remédier à tout ou partie de ces inconvénients.

À cet effet, selon un premier aspect, la présente invention vise un appareil de préparation culinaire qui comporte :

- un moteur électrique intégré dans une base reliée mécaniquement à au moins une cuve,

- un moyen d'entraînement mis en rotation par le moteur, relié à au moins un outil mobile amovible en rotation dans la cuve,

- une partie de l'outil mobile traversant une ouverture au fond de la cuve et comportant :

- un palier dont une partie peut passer dans une ouverture du fond de la cuve pour y être bloqué en rotation et

- un arbre traversant ce palier configuré pour être entraîné en rotation par le moyen d'entraînement,

- une rondelle montée en rotation sous le palier, les géométries du palier et de la rondelle se correspondant pour que la rotation de la rondelle fixe le palier au fond de la cuve en s'intercalant entre le palier et le dessous du fond de cuve, la rondelle présentant, du côté de la base, un relief permettant de faire tourner la rondelle autour du palier jusqu'à une position en butée verrouillant le pallier au fond de la cuve,

la base comportant, autour de l'arbre d'entraînement, un relief fixe en correspondance géométrique avec le relief de la rondelle qui entraîne la rondelle vers sa position en butée pendant une rotation de la cuve vers sa position de verrouillage sur la base.

Grâce à ces dispositions, pourvu que l'outil soit partiellement mis en place, son verrouillage est automatique lors du verrouillage de la cuve. On augmente ainsi la sécurité et la praticité du matériel et de l'utilisateur tout en assurant l'étanchéité du joint. De plus, le bras de levier du mouvement de verrouillage de la cuve, par exemple en déplaçant la poignée de la cuve, étant très supérieur à celui du verrouillage de la rondelle, de petite taille, l'effort à appliquer par l'utilisateur pour verrouiller l'outil mobile est fortement réduit.

Dans des modes de réalisation, le relief de la rondelle comporte au moins une excroissance dépassant en dehors du plan de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une nervure fixe configurée pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

L'avantage de ces modes de réalisation est de limiter les reliefs convexes sur la base de l'appareil de préparation. L'utilisateur a donc moins de possibilité de se blesser.

Dans des modes de réalisation, le relief de la rondelle comporte au moins une échancrure formant un creux par rapport à la surface plane de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une excroissance fixe en correspondance avec une échancrure de la rondelle pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

Ces modes de réalisation présentent l'avantage d'avoir une rondelle comportant moins de matière et donc plus aisément productible.

Dans des modes de réalisation, le relief de la rondelle comporte au moins une excroissance dépassant de la surface plane de la rondelle du côté de la base, la base présentant au moins une échancrure fixe en correspondance avec une excroissance de la rondelle pour retenir la rondelle pendant une rotation de verrouillage la cuve sur la base.

L'avantage de ces modes de réalisation, est d'avoir une base présentant moins de matière et donc moins onéreuse.

Dans des modes de réalisation :

- le palier comporte au moins une excroissance ou au moins une échancrure, respectivement, du côté de la base de l'appareil,

- la rondelle comporte, respectivement, au moins une échancrure ou au moins une excroissance en correspondance avec chaque excroissance ou échancrure du palier. Ces modes de réalisation présentent l'avantage de bloquer la rondelle sur le palier en rotation après emboîtement de la rondelle sur le palier.

Dans des modes de réalisation :

- le palier est muni d'un joint d'étanchéité en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve et d'au moins une excroissance latérale dans le plan du fond de la cuve,

- la rondelle présente,

- dans son plan général, au moins une échancrure latérale vers le centre de la rondelle et en correspondance avec chaque excroissance latérale du palier, et

- à partir de chaque échancrure latérale, sur son bord inférieur, une rampe allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle, on fait coulisser le palier le long de l'axe du moyen d'entraînement et on compresse le joint d'étanchéité.

Ces modes de réalisation présentent l'avantage de bloquer la rondelle sur le palier et donc de bloquer en rotation la rondelle et le palier tout en assurant une étanchéité de la cuve.

Dans des modes de réalisation :

- la rondelle présente, dans son plan général, au moins une excroissance latérale vers le centre de la rondelle,

- le palier est muni d'un joint d'étanchéité en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve et présente

- au moins une échancrure latérale dans le plan du fond de la cuve, et en correspondance avec chaque excroissance latérale de la rondelle, et

- à partir de chaque excroissance latérale, sur son bord inférieur, une rampe allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle, on fait coulisser le palier le long de l'axe du moyen d'entraînement et on compresse le joint d'étanchéité.

L'avantage de ces modes de réalisation et de bloquer la rondelle sur le palier et donc de bloquer en rotation la rondelle et le palier tout en assurant une étanchéité de la cuve.

Dans des modes de réalisation, la cuve est surmontée d'un couvercle muni d'une ouverture supérieure et d'un bouchon obturant l'ouverture supérieure, le bouchon étant muni, en partie inférieure, d'un relief en correspondance avec le relief de la rondelle, de telle manière que le bouchon peut servir d'outil de serrage de la rondelle sur le palier.

Ces modes de réalisation présentent l'avantage de changer d'outil avec plus de confort pour l'utilisateur qui risque moins de se blesser. Dans des modes de réalisation, le bouchon est au moins partiellement constitué en un matériau isolant thermiquement.

L'avantage de ces modes de réalisation est de permettre à un utilisateur de changer d'outil sans se brûler, si l'intérieur du bouchon est chaud.

Dans des modes de réalisation, le bouchon comporte une rupture de pont thermique entre la zone de préhension du bouchon et sa partie située à l'intérieur de la cuve.

Ces modes de réalisation présentent l'avantage d'éviter à un utilisateur de se brûler en changeant d'outil, si l'intérieur du bouchon est chaud.

BREVE DESCRIPTION DES FIGURES

D'autres avantages, buts et caractéristiques particuliers de l'invention ressortiront de la description non limitative qui suit d'au moins un mode de réalisation particulier de dispositifs objets de la présente invention, en regard des dessins annexés, dans lesquels :

- la figure 1 représente, schématiquement et en perspective éclatée, un mode de réalisation particulier d'un appareil de préparation culinaire objet de la présente invention,

- la figure 2 représente, schématiquement et en perspective, un premier mode de réalisation particulier d'une fixation d'une rondelle sur un palier d'outil au fond d'une cuve,

- la figure 3 représente, schématiquement et en perspective, un deuxième mode de réalisation particulier d'une fixation d'une rondelle sur un palier d'outil au fond d'une cuve,

- la figure 4 représente, schématiquement et en plan, un mode de réalisation particulier d'une base d'appareil de préparation culinaire comportant une sonde thermique,

- la figure 5 représente, schématiquement et en plan, des positions particulières d'un moyen de verrouillage et d'une sonde thermique d'une base d'un appareil de préparation culinaire,

- la figure 6 représente, schématiquement et en perspective, un mode de réalisation particulier d'un bouchon d'un couvercle d'un appareil de préparation culinaire,

- la figure 7 représente, schématiquement et en coupe, un mode de réalisation particulier d'un outil de travail amovible d'un appareil de préparation culinaire mis en position,

- la figure 8 représente, schématiquement et en coupe, un mode de réalisation particulier d'un outil de travail amovible d'un appareil de préparation culinaire en phase de mise en position,

- la figure 9 représente, schématiquement et en coupe, un mode de réalisation particulier d'un moyen de verrouillage d'un accessoire d'un appareil de préparation culinaire et la mise en œuvre d'un tel moyen, - la figure 10 représente, schématiquement et en plan, un mode de réalisation particulier d'une base comportant des moyens de communication d'un appareil de préparation culinaire,

- la figure 1 1 représente, schématiquement et vu de face, un mode de réalisation particulier d'une interface utilisateur d'un appareil de préparation culinaire,

- la figure 12 représente, schématiquement et vu de face, un mode de réalisation particulier d'un terminal communiquant et

- la figure 13 représente, sous forme de logigramme, des étapes d'utilisation de l'appareil de préparation culinaire.

DESCRIPTION D'EXEMPLES DE REALISATION DE L'INVENTION

On note, dès à présent, que les figures ne sont pas à l'échelle.

La présente description est donnée à titre non limitatif, chaque caractéristique d'un mode de réalisation pouvant être combinée à toute autre caractéristique de tout autre mode de réalisation de manière avantageuse.

On note que le terme « un » est utilisé au sens « au moins un ».

On observe sur la figure 1 , un mode de réalisation particulier 100 d'un appareil de préparation culinaire objet de la présente invention.

L'appareil de préparation culinaire 100 comporte une base 105. La base 105 comporte un boîtier 1 10 qui renferme un moteur électrique (non représenté). Un accessoire amovible 1 15 est relié mécaniquement à la base 105 au moyen d'un socle 400. Le socle 400 comporte des moyens de chauffage (non représentés) de l'accessoire amovible 1 15. Les moyens de chauffage fonctionnent préférentiellement par induction. Le moteur électrique est mécaniquement relié à un outil de travail par un moyen d'entraînement 405. Préférentiellement, le moyen d'entraînement 405 est un arbre d'entraînement en rotation.

La base 105 comporte une unité de commande (non représentée) du moteur électrique, et éventuellement d'autres fonctions de l'appareil 100, permettant de sélectionner et/ou paramétrer au moins une fonction de l'appareil 100 et/ou de suivre le fonctionnement de l'appareil 100.

Comme illustré conjointement en figures 1 et 4, la base 105 comporte, en regard d'une partie (ici le fond) de l'accessoire amovible 1 15, une sonde thermique 410 fournissant une information représentative de la température captée sur cette partie. L'unité de commande est configurée pour reconnaître l'accessoire amovible 1 15 relié à la base 105, en fonction de l'information fournie par la sonde thermique 410 et pour configurer l'appareil 100 en fonction de l'accessoire amovible 1 15 ainsi reconnu.

La base 105 comporte des moyens 415 de verrouillage en rotation et de détection de verrouillage du couvercle 145 de l'accessoire 1 15. Les moyens de verrouillage 415 verrouillent la rotation de l'accessoire amovible 1 15 lorsqu'il est correctement positionné et que son couvercle est aussi correctement positionné, comme expliqué en regard de la figure 9. Les moyens de verrouillage 415 sont activés par au moins une poignée de préhension 950 de l'accessoire amovible 1 15. Dans le mode de réalisation représenté en figure 1 , le verrouillage de l'accessoire amovible 1 15 se fait par l'intermédiaire de tringles 935 et 965 :

- en faisant tourner l'accessoire amovible 1 15 autour de l'axe de l'arbre du moyen d'entraînement 405 puis

- en faisant tourner le couvercle 145 sur l'accessoire amovible 1 15.

Pour permettre la rotation de l'accessoire amovible 1 15 sur le socle 400, le socle

400 a une forme généralement cylindrique et l'accessoire amovible 1 15 présente une jupe coulissant sur la surface latérale cylindrique du socle 400, lorsque l'utilisateur déplace la poignée 950.

La base 105 comporte une interface utilisateur 1 100 (voir figure 1 1 ) par laquelle l'utilisateur peut sélectionner et/ou paramétrer au moins une fonction de l'appareil 100 et/ou suivre le fonctionnement de l'appareil 100. L'appareil 100 comporte un moyen de génération et d'affichage sur l'interface utilisateur 1 100 d'au moins un code visible 1 120 représentatif de caractéristiques de l'appareil 100 et reconnaissable par un terminal communiquant 1200.

L'interface utilisateur 1 100 comporte des moyens de commande 1 105 et 1 1 10.

Les moyens de commande 1 105 et 1 1 10 sont, dans ce mode de réalisation, des boutons poussoirs. Dans d'autres modes de réalisation, ces moyens de commande sont tactiles, par exemple en étant intégrés à un écran tactile. Les moyens de commande 1 105 sont configurés pour naviguer entre des pages comportant des menus identifiant des fonctions ou des valeurs de paramètres sur un écran d'affichage 1 1 15. Et les moyens de commande 1 1 10 sont configurés pour qu'un utilisateur sélectionne des options ou des valeurs de paramètres de fonctions dans le menu affiché sur l'écran d'affichage 1 1 15. Préférentiellement, l'interface utilisateur 1 100 comporte trois moyens de commande supérieurs 1 105 et six moyens de commande latéraux 1 1 10, répartis de part et d'autre de l'écran d'affichage 1 1 15. Dans des modes de réalisation, l'écran d'affichage 1 1 15 est un écran tactile et l'interface utilisateur 1 100 ne comporte pas de moyens de commande 1 105 ni de moyens de commande 1 1 10.

La base 105 comporte, en partie inférieure, des moyens de communication 1005 permettant d'échanger sans fil entre l'unité de commande et au moins un terminal communiquant (voir figure 10). Les moyens de communication 1000 sont, pour tout ou partie, reliés à l'appareil de façon amovible. L'accessoire amovible 1 15 est, en figure 1 , une cuve. La cuve 1 15 a une ouverture circulaire. Comme illustré en figure 4, la cuve 1 15 peut être fixée sur le socle 400 de la base 105 au moyen d'ergots de fixation 440 sur le socle 400 et de reliefs correspondants sur une face sous le fond de la cuve 1 15.

La cuve 1 15 comporte une paroi extérieure 120 et une paroi intérieure 135. La paroi extérieure 120 et la paroi intérieure 135 sont séparées par un vide réalisant une isolation thermique. La paroi intérieure 135 présente au moins trois reliefs 125 dépassant à l'intérieur de la cuve. Les reliefs 125, ici en forme de prismes à section triangulaire courbés, sont configurés pour recevoir, sur leur face supérieure, un plateau amovible (non représenté) et/ou ou un récipient (non représenté) comportant des reliefs complémentaires aux reliefs 125. Un tel récipient est, par exemple un panier de cuisson à la vapeur. On note que ce récipient peut être surplombé par un plateau amovible du fait des reliefs complémentaires qui reproduisent les reliefs 125.

L'accessoire amovible 1 15 peut aussi être un récipient configuré pour hacher ou râper les aliments, par exemple. L'accessoire amovible 1 15 peut comporter un socle et un récipient. L'accessoire amovible 1 15 comporte une poignée de préhension verticale 950 et une poignée horizontale 130 diamétralement opposée à la poignée 950, ce qui permet à l'utilisateur d'avoir une meilleure prise en main de la cuve 1 15. La poignée de préhension 950 et la poignée 130 sont en matériau thermiquement isolant.

Plusieurs accessoires amovibles 1 15 peuvent être échangés sur la base 105. Un outil de travail des aliments (voir figure 8) peut être inséré dans l'accessoire amovible. Par exemple, l'outil de travail est un couteau, un batteur, un disque.

Comme illustré en figure 8, l'accessoire amovible, ici la cuve 1 15, comporte un outil mobile 755, une partie de l'outil mobile 755 traversant une ouverture au fond de la cuve. L'outil mobile 755 comporte un palier 225 dont une partie peut passer dans une ouverture du fond de la cuve 1 15 pour y être bloqué en rotation et un arbre traversant ce palier 225 configuré pour être entraîné en rotation par le moyen d'entraînement 405.

Comme illustré en figures 2 et 3, la cuve 1 15 comporte une rondelle 205 montée en rotation sous le palier 225. Les géométries du palier 225 et de la rondelle 205 se correspondent pour que la rotation de la rondelle 205 fixe le palier 225 au fond de la cuve 1 15 en s'intercalant entre le palier 225 et le dessous du fond de cuve 1 15. La rondelle 205 présente, du côté de la base, un relief 210 permettant de faire tourner la rondelle 205 autour du palier 225 jusqu'à une position en butée verrouillant le palier 225 au fond de la cuve 1 15.

La cuve 1 15 comporte, autour de l'arbre d'entraînement, un relief fixe 435 en correspondance géométrique avec le relief 210 de la rondelle 205 qui entraîne la rondelle 205 vers sa position en butée pendant une rotation de la cuve 1 15 vers sa position de verrouillage sur la base 105.

Un anneau d'étanchéité 140 est placé dans la cuve 1 15. L'anneau d'étanchéité 140 est amovible de sorte à être lavé aisément par un utilisateur, par exemple. L'anneau d'étanchéité 140 assure l'étanchéité, une fois écrasé, entre la cuve 1 15 et le couvercle 145.

Comme illustré en figure 9, le couvercle 145 comporte des moyens de verrouillage 90a actionnant les moyens de verrouillage 90b de la poignée de préhension 950 de la cuve 1 15. Le couvercle 145 comporte deux poignées de préhension 155 et 160 sur une face latérale 165 du couvercle 145. Les moyens de verrouillage 90a sont préférentiellement comportés par la face latérale 165.

Le couvercle 145 comporte une face supérieure 150. Préférentiellement, la face supérieure 150 est transparente, par exemple en verre pour qu'un utilisateur puisse voir l'état de préparation des aliments placés dans la cuve 1 15.

Le couvercle 145 est muni d'une ouverture supérieure (non représentée) et d'un bouchon 60 obturant l'ouverture supérieure. Comme illustré en figure 6, le bouchon 60 est muni, en partie inférieure, d'un relief 615 en correspondance avec le relief 210 de la rondelle de la cuve 1 15, de telle manière que le bouchon 60 peut servir d'outil de serrage de la rondelle 205 sur le palier 225. Préférentiellement, le bouchon 60 est constitué en un matériau isolant thermiquement. Un tel matériau empêche un utilisateur de se brûler si le couvercle 145 est chaud. Le bouchon 60 comporte aussi préférentiellement une rupture de pont thermique entre la zone de préhension du bouchon 60 et sa partie située à l'intérieur de la cuve 1 15.

On observe sur la figure 2, un premier mode de réalisation 20 particulier d'une fixation d'une rondelle 205 sur un palier 225 d'outil au fond d'une cuve 200.

La fixation 20 comporte un palier 225 dont une partie peut passer dans une ouverture du fond de la cuve 200 pour y être bloqué en rotation. Le palier 225 comporte au moins un méplat bloquant le palier 225 en rotation, par exemple. Le palier 225 guide un arbre traversant ledit palier 225 qui est entraîné en rotation par le moyen d'entraînement 405.

On définit deux géométries qui se correspondent comme étant deux géométries solidaires radialement mais pas axialement. On définit la correspondance entre deux reliefs comme une interaction mécanique entre deux reliefs.

Une rondelle 205 est montée en rotation sous le palier 225, les géométries du palier et de la rondelle se correspondant pour que la rotation de la rondelle 205 fixe le palier 225 au fond de la cuve 200 en s'intercalant entre le palier 225 et le dessous du fond de cuve 200. La rondelle 205 présente, du côté de la base 105 de l'appareil de préparation culinaire, un relief 210 permettant de faire tourner la rondelle 205 autour du palier 225 jusqu'à une position en butée verrouillant le pallier 225 au fond de la cuve 200.

La fixation 20 comporte, autour de l'arbre d'entraînement, un relief fixe 435 sur la base 105 en correspondance géométrique avec le relief 210 de la rondelle 205 qui entraîne la rondelle 205 vers sa position en butée pendant une rotation de la cuve 200 vers sa position de verrouillage sur la base 105.

L'ouverture dans la cuve 200 par laquelle pénètre une partie de l'outil mobile 755 (voir figure 8) est un tronc de cône dont le sommet se trouve vers l'intérieur de la cuve 200. On rappelle qu'un cône est une surface réglée définie par une droite, appelée génératrice, passant par un point fixe, appelé sommet, et un point variable décrivant une courbe plane fermée, appelée courbe directrice.

Le relief 210 de la rondelle 205 comporte au moins une excroissance dépassant en dehors du plan de la rondelle 205 du côté de la base 105, la base 105 présentant au moins une nervure fixe 435 configurée pour retenir la rondelle 205 pendant une rotation de verrouillage la cuve 200 sur la base 105. Préférentiellement, l'excroissance ne dépasse pas le plan de la cuve 200, la cuve 200 étant ainsi plus aisément rangée par un utilisateur.

Dans des modes de réalisation (non représentés), le relief 210 de la rondelle 205 comporte au moins une échancrure formant un creux par rapport à la surface plane de la rondelle 205 du côté de la base 105, la base 105 présentant au moins une excroissance fixe 435 en correspondance avec une échancrure de la rondelle 205 pour retenir la rondelle 205 pendant une rotation de verrouillage la cuve 200 sur la base 105. Une économie de matière est réalisée grâce à ces dispositions et la fixation 20 est moins onéreuse.

Dans des modes de réalisation (non représentés), le relief 210 de la rondelle 205 comporte au moins une excroissance dépassant de la surface plane de la rondelle 205 du côté de la base 105, la base 105 présentant au moins une échancrure fixe en correspondance avec une excroissance de la rondelle 205 pour retenir la rondelle 205 pendant une rotation de verrouillage la cuve 200 sur la base 105. Une économie de matière sur la base 105 est réalisée.

Préférentiellement, la rondelle 205 comporte deux reliefs 210 sensiblement identiques et diamétralement opposés. Plus la distance entre les deux reliefs 210 est grande, plus le couple de verrouillage de la rondelle 205 est grand et plus le palier 225 est serré sur la rondelle 205 lors d'une fixation de l'outil 755.

Le palier 225 comporte au moins une excroissance 230 du côté de la base 105 de l'appareil. La rondelle 205 comporte, au moins une échancrure, 215 et 220, en correspondance avec chaque excroissance 230 du palier 225. Préférentiellement, le palier 225 comporte deux excroissances 230 diamétralement opposées et la rondelle 205 comporte deux échancrures, 215 et 220, diamétralement opposées. Les excroissances et les échancrures sont équitablement réparties.

Dans des modes de réalisation (non représentés), le palier 225 comporte au moins une échancrure, du côté de la base 105 de l'appareil. La rondelle 205 comporte, au moins une excroissance en correspondance avec chaque échancrure du palier 225. Préférentiellement, le palier 225 comporte deux échancrures diamétralement opposées et la rondelle 205 comporte deux excroissances diamétralement opposées. Les excroissances et les échancrures sont équitablement réparties.

Le palier 225 est muni d'un joint d'étanchéité 760 (figure 8) en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve 200 et d'au moins une excroissance 230 latérale dans le plan du fond de la cuve 200. La rondelle 205 présente, dans son plan général, au moins une échancrure, 215 et 220, latérale vers le centre de la rondelle 205 et en correspondance avec chaque excroissance 230 latérale du palier. La rondelle 205 présente, à partir de chaque échancrure, 215 et 220, latérale, sur son bord inférieur, une rampe 220 allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle 205, on fait coulisser le palier 225 le long de l'axe du moyen d'entraînement 405 et on compresse le joint d'étanchéité 760.

Préférentiellement, la rampe 220 se termine par une ouverture dans la rondelle dans laquelle l'excroissance 230 peut passer.

Dans des modes de réalisation (non représentés), la rondelle 205 présente, dans son plan général, au moins une excroissance latérale vers le centre de la rondelle 205. Le palier 225 est muni d'un joint d'étanchéité en appui sur la paroi interne inférieure de la cuve 200. Le palier 225 présente au moins une échancrure latérale dans le plan du fond de la cuve 200, et en correspondance avec chaque excroissance latérale de la rondelle 205. La rondelle 205 présente, à partir de chaque excroissance latérale, sur son bord inférieur, une rampe allant vers la position de butée, de telle manière que, en faisant tourner la rondelle 205, on fait coulisser le palier 225 le long de l'axe du moyen d'entraînement 405 et on compresse le joint d'étanchéité 760. Préférentiellement, la rampe 220 se termine par une ouverture dans le palier 225 dans laquelle l'excroissance, 215 et 220, peut passer.

La rondelle 205 comporte au moins une butée 235 définissant la position de verrouillage de la rondelle 205. La rondelle 205 comporte une butée 235 pour chaque échancrure ou excroissance 230 du palier 225. La butée 235 définit aussi la mise en position de la rondelle avant verrouillage. La butée 235 définit, par l'un de ses côtés, l'ouverture dans laquelle se termine la rampe 220. Préférentiellement, chaque relief 210, échancrure ou excroissance, 230 ou 215 et 220, est chanfreinée pour éviter de blesser un utilisateur et éviter une rupture.

La cuve 200 comporte un relief 240 concave recevant une sonde thermique 410 du socle 400, pour faciliter la reconnaissance de la cuve 200 par la sonde thermique 410.

Dans le mode de réalisation illustré en figure 2, l'excroissance 230 est en position verrouillée, la rondelle 205 est donc maintenue en position et le joint d'étanchéité 760 est compressé. L'excroissance 230 est arrivée en butée sur la butée 235.

On observe sur la figure 3, un deuxième mode de réalisation 30 particulier d'une fixation d'une rondelle 205 sur un palier 225 d'outil au fond d'une cuve 200.

Le mode de réalisation 30 de la fixation de la rondelle 205 sur un palier 225 d'outil au fond d'une cuve 200 comporte les mêmes éléments que le mode de réalisation 20 dans une position non verrouillée.

Cependant, dans le mode de réalisation 30, l'excroissance 230 est face à une ouverture dans la rondelle en bas de la rampe 220. L'ouverture est configurée pour laisser passer l'excroissance 230 en cas de changement d'outil 755. L'ouverture est située à côté de la butée 235.

Par rotation de la rondelle 205 dans le sens de chaque rampe 220, l'excroissance 230 glisse le long de la rampe 220 et de l'échancrure 215 pour arriver en position de butée contre la butée 235. Après rotation de la rondelle 205, outil 755 est verrouillé et le joint d'étanchéité 760 est compressé comme dans la description qui précède la figure 2. Une rotation de la rondelle 205 en sens inverse déverrouille la rondelle 205 et outil 755 peut être ôté lorsque l'excroissance 230 arrive en face de l'ouverture.

La rotation de la rondelle 205 est effectuée manuellement par un utilisateur, au moyen d'au moins une nervure fixe 435 de la base 105 ou au moyen du bouchon 60 du couvercle 145 (voir figure 6). L'utilisateur peut fixer, au moins partiellement, manuellement ou au moyen du bouchon 60 du couvercle 145, la rondelle 205. Puis, par la rotation de l'accessoire amovible 1 15 sur la base 105, pour le verrouiller à la base 105, les nervures fixes 435 de la base 105 entraînent chaque relief 210 et verrouille la rondelle 205 et l'outil 755 dans l'accessoire amovible 1 15.

On observe sur la figure 4, un mode de réalisation 40 particulier d'une base 105 comportant une sonde thermique 410.

La base 105 comporte au moins un relief fixe 435 en correspondance géométrique avec le relief 210 de la rondelle 205 et qui entraîne la rondelle 205 vers sa position en butée pendant une rotation de la cuve 200 vers sa position de verrouillage sur la base 105. Préférentiellement, la base 105 comporte autant de reliefs fixes 435 que la rondelle 205 comporte de reliefs 210. Les reliefs fixes 435 sont situés autour de l'arbre d'entraînement 405 sur le socle 400. Le socle 400 comporte au moins un ergot de fixation 440 de l'accessoire amovible 1 15. Chaque ergot de fixation est situé sur une face latérale du socle 400. Préférentiellement, le socle 400 comporte trois ergots 440 de fixation permettant un bon guidage en plan de la rotation de l'accessoire 1 15. Les ergots 440 sont uniformément répartis sur la face latérale du socle 400. Chaque ergot de fixation 440 guide l'accessoire 1 15 en rotation vers la position de verrouillage et maintient l'accessoirel 15 en position une fois que l'accessoire 1 15 est en position de verrouillage.

Le socle 400 comporte un moyen d'entraînement 405 entraînant en rotation un outil 755 (figure 8) dans un accessoire 1 15, par mise en marche du moteur. Le moyen d'entraînement 405 comporte une partie de forme concave dans un arbre 420. Cette partie concave présente une géométrie en correspondance avec la géométrie de l'arbre de l'outil porté, de telle manière que le moyen d'entraînement 405 entraîne cet outil de travail en rotation.

La base 105 comporte, en regard d'une partie de l'accessoire amovible 1 15, une sonde thermique 410 fournissant une information représentative de la température captée. L'unité de commande est configurée pour reconnaître l'accessoire amovible 1 15 relié à la base 105, en fonction de l'information fournie par la sonde thermique 410 et pour configurer l'appareil 100 en fonction de l'accessoire amovible 1 15 ainsi reconnu. La sonde thermique 410 fournit une information représentative de la température captée de l'accessoire amovible 1 15. La sonde thermique 410 fournit une information de reconnaissance de l'accessoire amovible 1 15 relié à la base.

La sonde thermique 410 comporte préférentiellement un capteur thermique et un commutateur électrique 425 à trois positions, 50c, 50d et 50e, détaillées en regard de la figure 5. La sonde thermique 410 peut ainsi se déplacer en translation selon un axe perpendiculaire au plan du socle 400 et actionner le commutateur électrique 425.

Les informations fournies par la sonde thermique 410 comportent des informations de positionnement mécanique de la sonde thermique 410 dans l'une de ces trois positions 50c, 50d ou 50e. Sous l'action d'un élément flexible, par exemple un ressort hélicoïdal, la sonde thermique 410 revient automatiquement en position 50c, c'est à dire, avec la sonde thermique 410 et l'interrupteur mécanique 425 en position les moins enfoncés dans le socle 400. La sonde thermique 410 peut changer de position pendant le verrouillage de l'accessoire 1 15 en s'insérant dans la cavité 240 (voir figures 2 et 3) de l'accessoire 1 15.

Les informations fournies par la sonde thermique sont représentatives de la conductivité thermique de l'accessoire 1 15. L'accessoire 1 15 peut être une cuve chauffante en matière conductrice qui a une plus grande conductivité thermique qu'une cuve en matière plastique pour le mixage des aliments par exemple. La base 105 comporte un moyen de chauffage de l'accessoire 1 15, l'unité de commande reconnaissant l'accessoire 1 15 en fonction de l'évolution de la température captée en réponse à une impulsion thermique réalisée par le moyen de chauffage. Pour un matériau isolant thermiquement, la sonde thermique 410 captera une impulsion thermique faible et décalée dans le temps. Pour un matériau conducteur thermiquement, la sonde thermique 410 captera une impulsion thermique plus forte et plus instantanée, en fonction du matériau de l'accessoire 1 15 et de la charge de la cuve.

L'unité de commande régule le chauffage en fonction de l'accessoire 1 15 reconnu et de l'estimation de sa charge. Pour un matériau isolant thermiquement, la sonde thermique 410 captera une impulsion thermique nulle et aucun chauffage de l'accessoire 1 15 n'est mis en œuvre. Pour un matériau conducteur thermiquement, un chauffage de l'accessoire 1 15 peut être mis en œuvre, d'autant plus fort que la charge en aliments est élevée.

Dans des modes de réalisation, le socle 400 comporte des moyens de mesure de masse (non représentés). Une mesure de masse associée à une reconnaissance par la sonde thermique 410 de l'accessoire 1 15, permet de mesurer le poids d'aliments placés dans la cuve, par exemple.

La sonde thermique 410 comporte un capteur mécanique ou électrique de position de l'accessoire 1 15 présentant un premier état de conduction électrique en l'absence d'un accessoire 1 15 sur la base 105 et un deuxième état de conduction électrique en présence d'un accessoire 1 15 verrouillé sur la base 105 en position de fonctionnement nominal de l'appareil 100.

La base 105 comporte des moyens de détection de verrouillage du couvercle 145 combinés aux moyens de verrouillage 415. Ces moyens de détection sont activés par une succession de tringles 935 et 965 illustrées en figure 9. Les moyens de détection de verrouillage 415 sont guidés en translation par un guidage 430. Les moyens de détection de verrouillage 415 comportent un capteur mécanique ou électrique présentant deux positions, par exemple. La position non verrouillée est la position dans laquelle reviennent les moyens de détection de verrouillage 415 si les tringles 935 et 965 n'appuient pas dessus. Comme illustré en figure 5, la position de détection de verrouillage correspond à un enfoncement du capteur mécanique ou électrique 415 dans le guidage 430. Les moyens de guidage guident les moyens de verrouillage 415 et les moyens de verrouillage 90b de la poignée de préhension 950, ou une extension 965 des moyens de verrouillage 90b.

Préférentiellement, les moyens de verrouillage 415 affleurent le guidage 430 et la surface supérieure du guidage 430 affleure la base 105. Grâce à ces dispositions, des aliments sont empêchés d'entrer dans les moyens de détection de verrouillage 415 et ne simulent pas le verrouillage d'un accessoire amovible 1 15. Le moteur ne peut donc être déclenché sans la présence d'un accessoire amovible 1 15.

L'unité de commande est configurée pour reconnaître le verrouillage de l'accessoire 1 15 sur la base 105 en position de fonctionnement nominal de l'appareil 100, en fonction des informations fournies par la sonde thermique 410 et/ou par les moyens de détection de verrouillage 415.

L'unité de commande est configurée pour ne pas alimenter en énergie le moteur si l'accessoire 1 15 n'est pas verrouillé sur la base 105 en position de fonctionnement nominal de l'appareil 100.

On observe sur la figure 5, des positions particulières d'un moyen de verrouillage

415 et d'une sonde thermique 410.

Les positions 50a et 50b correspondent à des positions des moyens de détection de verrouillage 415 dans le guidage 430. La position 50a correspond à l'état au repos des moyens de détection de verrouillage 415. Les moyens de détection de verrouillage 415 sont dans une position la moins enfoncée dans le guidage 430 et donc dans la base 105. Les moyens de détection de verrouillage 415 présentent un premier état de conduction électrique. La position 50b correspond à l'état verrouillé de l'accessoire 1 15 et de son couvercle 145. Les moyens de détection de verrouillage 415 sont dans une position la plus enfoncée dans le guidage 430. Les moyens de détection de verrouillage 415 présentent alors un deuxième état de conduction électrique.

Les positions 50c, 50d et 50e correspondent à des positions de la sonde thermique 410. La position 50c est la position à l'état au repos de la sonde thermique 410. En position 50c, la sonde thermique 410 et l'interrupteur mécanique 425 sont les moins enfoncés dans le socle 400. La position 50c correspond au fait qu'aucun accessoire 1 15 n'est mis en place sur la base 105, par exemple. La position 50d est la position à l'état intermédiaire de la sonde thermique 410. En position 50d, l'interrupteur mécanique 425 est partiellement enfoncé dans le socle 400. La position 50d correspond à un accessoire 1 15 mis en position sur la base 105. La position 50e est la position à l'état le plus bas de la sonde thermique 410. En position 50e, l'interrupteur mécanique 425 est encore plus enfoncé dans le socle 400. La position 50e correspond à un accessoire placé sur la base 200 et mise en position incorrectement, par exemple.

On observe sur la figure 6, un mode de réalisation particulier d'un bouchon 60 d'un couvercle 145.

On rappelle ici que, comme illustré en figure 1 , la cuve 1 15 est surmontée d'un couvercle 145 muni d'une ouverture supérieure (non représentée) et d'un bouchon 60 obturant l'ouverture supérieure. Comme illustré en figure 6, qui est une vue de la partie inférieure du bouchon 60 qui pénètre dans l'ouverture supérieure du couvercle 145, le bouchon 60 est muni, en partie inférieure, d'un relief 615 en correspondance avec le relief 210 de la rondelle 205. Ainsi, le bouchon 60 peut servir d'outil de serrage de la rondelle 205 sur le palier 225. Préférentiellement, le bouchon 60 est constitué en un matériau isolant thermiquement. Préférentiellement, le bouchon 60 comporte une rupture de pont thermique entre une zone de préhension 620 du bouchon et sa partie située à l'intérieur de la cuve.

Plus précisément, le bouchon 60 comporte une partie extérieure 605, constitué en un matériau isolant thermiquement par exemple. Le bouchon 60 comporte une partie 610 intérieure assurant une étanchéité du bouchon 60 sur l'ouverture supérieure du couvercle 145. La partie 610 intérieure comporte un relief 615 pour chaque relief 210 de la rondelle 205. La forme de chaque relief 615 peut correspondre grossièrement à la forme de chaque relief 210.

Si le relief 210 de la rondelle 205 est une excroissance, le relief 615 du bouchon 60 est une échancrure. Si le relief 210 de la rondelle 205 est une échancrure, le relief 615 du bouchon 60 est une excroissance (non représentée). L'un des bords du relief 615 entre en contact avec l'un des bords du relief 210 au moment d'une action de rotation du bouchon pour le serrage de la rondelle 205. Pour le desserrage de la rondelle 205, l'autre bord du relief 615 entre en contact avec l'autre bord du relief 210.

Le relief 610 est une échancrure de forme parallélépipédique dont les arrêtes sont chanfreinées ou arrondies, par exemple.

On observe sur la figure 7, un mode de réalisation particulier 70 d'un outil de travail amovible, en traits discontinus, mis en position sur un autre outil, ici un couteau 755, en traits continus.

L'outil de travail 70 comporte des parties de travail des aliments, par exemple des fouets (non représentés), solidaires d'une embase reliée à l'arbre d'entraînement 740. L'outil de travail 70 comporte, de plus :

- au moins une partie mobile 715 dont la géométrie correspond suffisamment à la géométrie 745 de l'arbre d'entraînement 740 pour lui être solidarisé,

- un élément flexible 735 exerçant une force suffisante pour appliquer la partie mobile 715 contre l'arbre d'entraînement et bloquer l'outil 70 sur l'arbre d'entraînement

740 pour que l'outil mobile 70 assure sa fonction, une action mécanique extérieure provoquant un mouvement relatif de l'élément flexible 735 par rapport à la partie mobile 715 permettant de désolidariser l'outil de l'arbre d'entraînement 740.

L'embase est constituée de deux pièces mécaniques désolidarisables :

- une première pièce mécanique comportant l'élément flexible 735 et

- une deuxième pièce 725 comportant la partie de travail des aliments (non représentée). Dans les figures 7 et 8, l'élément flexible 735 prend la forme d'un ressort hélicoïdal.

La première pièce mécanique comportant l'élément flexible 735 comporte une poignée 700. Deux parties mobiles 715 sont liées à la poignée 700 par des arbres 710. Chaque partie mobile 715 ayant un degré de liberté en rotation autour de l'arbre 710 correspondant. Un élément flexible 735 est placé entre les parties mobiles 715. L'élément flexible 735 exerce une force suffisante pour appliquer chaque partie mobile sur l'arbre d'entraînement 740. L'élément flexible exerce une force sur la partie de l'élément mobile 715 supérieure à l'arbre 710, la partie comportant la géométrie permettant la solidarisation à l'arbre d'entraînement 740 étant inférieure à l'arbre 710.

Chaque partie mobile 715 comporte un point d'appui 705 situé dans l'axe de l'élément flexible 735. Une action mécanique extérieure sur chaque point d'appui 705 provoque un mouvement relatif de l'élément flexible 735 par rapport à la partie mobile 715 permettant de désolidariser l'outil de l'arbre d'entraînement 740. Le mouvement de l'élément flexible 735 est un écrasement du ressort, par exemple.

La solidarisation mobile avec l'arbre d'entraînement 740 agit essentiellement dans un plan parallèle à l'axe 765 de rotation de l'arbre d'entraînement 140, la solidarisation dans un plan perpendiculaire à cet axe de rotation 765 étant essentiellement assurée par des parties non mobiles 730 de cet outil 70.

Dans des modes de réalisation (non représentés), la solidarisation mobile avec l'arbre d'entraînement 740 agit essentiellement dans un plan perpendiculaire à l'axe de rotation 765 de l'arbre d'entraînement, la solidarisation dans un plan parallèle à cet axe de rotation 765 étant essentiellement assurée par des parties 730 non mobiles de cet outil 70.

La position normale de travail de l'outil de travail 70 est située en appui sur un autre outil de travail 755 qui l'entraîne ou contribue à l'entraîner en rotation. L'autre outil de travail 755 est, en figures 7 et 8, un couteau mais, dans d'autres modes de réalisation, l'autre outil de travail 755 est un disque.

La partie 725 comportant les éléments de travail est fixée au moyen d'ergots 720 s'emboîtant dans des reliefs concaves dans la première pièce mécanique. L'emboîtement se fait par insertion de la première pièce mécanique dans la deuxième pièce mécanique 725, les ergots 720 remontant le long de fentes de la première pièce mécanique. Puis, une rotation de la première pièce mécanique par rapport à la deuxième pièce mécanique 725 fixe les ergots 720 dans les reliefs concaves.

Préférentiellement, la première pièce mécanique comporte deux reliefs concaves, chaque relief concave donnant sur une fente. Les reliefs concaves sont diamétralement opposés et les fentes sont diamétralement opposées. Et la deuxième pièce mécanique 725 comporte deux ergots 720 diamétralement opposés. Grâce à ces dispositions, les deux pièces mécaniques sont fixées l'une par rapport à l'autre.

La deuxième pièce mécanique 725 comporte des pieds 730 s'insérant dans une ouverture de l'autre outil de travail 755. Par exemple, les pieds 730 s'insèrent entre deux lames successives du couteau 755. Dans les modes de réalisation (non représentés) où l'autre outil de travail 755 est un disque, le disque comporte des ouvertures où s'insèrent les pieds 730.

L'arbre d'entraînement 740 comporte une gorge 745 dont la section est un triangle rectangle. L'angle droit du triangle rectangle est situé vers l'extrémité de l'arbre d'entraînement 740 sur lequel est fixé l'outil 70. Les pièces mobiles 715 comportent des reliefs en demi-queue d'aronde à l'extrémité inférieure. Pour fixer l'outil 70, la demi queue d'aronde des parties mobiles 715 s'emboîte dans la gorge de l'arbre d'entraînement 740.

L'autre outil 755 comporte un joint d'étanchéité 760 assurant l'étanchéité de l'accessoire 1 15.

Le moyen d'entraînement 740 peut comporter au moins un méplat 750 situé proche de l'emplacement de l'outil 755. L'outil 70 peut s'emboîter sur chaque méplat et être entraîné en rotation lors de la rotation de l'arbre d'entraînement.

La figure 8 montre l'outil de travail amovible 70 au cours de sa mise en position sur l'autre outil 755 ou au cours de son retrait.

Pour solidariser l'outil de travail 70 à l'arbre d'entraînement 740 ou désolidariser l'outil 70 de l'arbre d'entraînement 740, un utilisateur exerce une action mécanique extérieure sur chaque point d'appui 705. L'utilisateur provoque un mouvement relatif de l'élément flexible 735 par rapport à la partie mobile 715 permettant de solidariser ou désolidariser l'outil 70 de l'arbre d'entraînement 740. Le mouvement de l'élément flexible 735 est un écrasement du ressort, par exemple. L'arbre d'entraînement 740 comporte une gorge 745 dont la section est un triangle rectangle. L'angle droit du triangle rectangle est situé vers l'extrémité de l'arbre d'entraînement 740 sur lequel est fixé l'outil 70. Les pièces mobiles 715 comportent des reliefs en demi-queue d'aronde à l'extrémité inférieure à l'arbre 710. La demi queue d'aronde des parties mobiles 715 emboîte ou se déboîte dans la gorge de l'arbre d'entraînement 740.

On observe sur la figure 9, un mode de réalisation particulier de moyens de verrouillage 90a du couvercle 145, de moyens de verrouillage 90b d'un accessoire 1 15 et la mise en œuvre 90c d'un tel moyen.

Les moyens de verrouillage 90a sont portés par une surface latérale 165 du couvercle 145. Les moyens de verrouillage 90a comportent deux parties latérales 900 de part et d'autre d'une partie centrale 910. Les parties latérales 900 peuvent être en matériau transparent et la partie centrale 910 peut être en matériau opaque. Chaque partie latérale 910 comporte un relief de guidage 905. Chaque relief de guidage 905 est configuré pour guider le couvercle 145 lors d'une rotation du couvercle 145 par rapport à l'accessoire 1 15 pour verrouiller le couvercle 145 à l'accessoire 1 15 et l'accessoire 1 15 à la base 105. Chaque relief de guidage 905 est une excroissance polygonale et comporte une face sensiblement horizontale.

La partie centrale 910 comporte un relief de verrouillage 915. Le relief de verrouillage 915 est de forme polygonale. Préférentiellement et comme illustré en figure 9, le relief de verrouillage 915 est un triangle. La forme triangulaire du relief de verrouillage 915 est configurée pour qu'un angle du triangle glisse le long d'un relief de verrouillage 930 des moyens de verrouillage 90b. Une fois la fin de la course le long du relief de verrouillage 930 atteinte, un autre angle du triangle assure le maintien en position verrouillée des moyens de verrouillage 90a et 90b.

Les moyens de verrouillage 90b comportent une face 920 qui, une fois le couvercle 145 verrouillé sur l'accessoire 1 15, est en regard de la partie centrale 910. La face 920 comporte un relief de guidage 925. Le relief de guidage 925 est configuré pour guider le couvercle 145 lors d'une rotation du couvercle 145 par rapport à l'accessoire 1 15, cette rotation verrouillant le couvercle 145 à l'accessoire 1 15 et l'accessoire 1 15 à la base 105. Le relief de guidage 905 est une excroissance polygonale. Le relief de guidage comporte au moins une face sensiblement horizontale en regard de la face sensiblement horizontale des moyens de guidage 905 des moyens de verrouillage 90a du couvercle 145.

Lors du verrouillage, la face horizontale d'au moins un relief de guidage 905 des moyens de verrouillage 90a du couvercle 145 glisse le long de la face horizontale du relief de guidage 925 des moyens de verrouillage 90b de l'accessoire 1 15.

La face 920 des moyens de verrouillage 90b comporte un relief de verrouillage

930. Le relief de verrouillage 930 est de forme polygonale. Préférentiellement et comme représenté en figure 9, le relief de verrouillage 930 est un triangle. La forme triangulaire du relief de verrouillage 930 est configurée pour guider le glissement du relief de verrouillage 915 des moyens de verrouillage 90a. Le relief de verrouillage 915, en glissant le long d'un côté du triangle du relief de verrouillage 930, abaisse la tringle 935 faite en une seule pièce avec la face 920.

Une fois la fin de la course le long du relief de verrouillage 930 atteinte, un autre angle du triangle 915 assure le maintien en position verrouillée des moyens de verrouillage 90a et 90b en se bloquant le long d'une autre face du relief de verrouillage 930. La hauteur de la pente de glissement entre le relief de verrouillage 915 et le relief de verrouillage 930 est telle que l'arbre 935 pousse les moyens de verrouillage 415 de la base 105 en position 50b et verrouille l'accessoire 1 15 à la base 105.

La tringle 935 comporte un collet 940. Les moyens de verrouillage 90b ont un degré de mobilité en translation par rapport à l'enveloppe extérieure de la poignée de préhension 950. Un ressort 945 est appuyé entre une face inférieure de la poignée de préhension 950 est une face inférieure du collet 940. Le ressort 945 est configuré pour mettre les moyens de verrouillage 90b et l'arbre 935 en position de repos. La position de repos est telle que l'arbre 935 est entièrement à l'intérieur de l'enveloppe externe de la poignée de préhension 950 et les moyens de verrouillage 90b sont en butée vers une face supérieure de l'enveloppe externe de la poignée de préhension 950.

L'accessoire 1 15 peut comporter deux parties, une cuve comportant la poignée de préhension 950 est un socle s'emboîtant sur le socle 400 de la base 1 15.

Le socle comporte une proéminence 955 comportant une extension 965 des moyens de verrouillage 90b. L'extension 965 comporte une tringle et une face d'appui. L'extension 965 est sensiblement en forme de clou. La tringle de l'extension 965 a préférentiellement le même diamètre que la tringle 935 des moyens de verrouillage 90b.

Un ressort 960 est appuyé entre une face inférieure de la proéminence 955 est une face inférieure de la tête de l'arbre de l'extension 965. Le ressort 960 est configuré pour mettre l'extension 965 en position de repos. La position de repos est telle que l'extension 965 est entièrement à l'intérieur de la proéminence 955 et l'extension 965 est en butée vers une face supérieure de la proéminence 955.

Le relief de verrouillage 915, en glissant le long d'un côté du triangle du relief de verrouillage 930, abaisse l'arbre 935 fixé à la face 920. L'arbre 935 pousse l'extension 965 qui pousse les moyens de verrouillage 415 de la base 105 en position 50b et verrouille l'accessoire 1 15 à la base 105.

La partie droite de la figure 9 est une représentation 90c de la mise en œuvre des moyens de verrouillage 90a du couvercle 145 et 90b de l'accessoire 1 15.

Pour retirer l'accessoire amovible 1 15 de la base 105, le couvercle 145 doit d'abord être enlevé par une rotation du couvercle par rapport à l'accessoire amovible 1 15, cette rotation déverrouillant les moyens de verrouillage 90a, 90b et 415. Puis, l'accessoire amovible 1 15 doit suivre une rotation pour être libéré des ergots de fixation 440.

On observe sur la figure 10 un mode de réalisation particulier d'une base 105 comportant des moyens de communication 1005 d'un appareil de préparation culinaire 100.

La base 105 comporte des moyens de communication 1005 permettant d'échanger sans fil entre l'unité de commande et au moins un terminal communiquant, voir figure 12. Les moyens de communication 1005 sont, pour tout ou partie, reliés à l'appareil de façon amovible.

Les moyens de communication 1005 comportent un récepteur (non représenté) d'un signal représentatif de données et un émetteur (non représenté) d'un signal représentatif de données. Dans des modes de réalisation, le récepteur et l'émetteur de signaux représentatifs de données sont amovibles. Dans des modes de réalisation, le récepteur de signaux représentatifs de données est amovible et l'émetteur de signaux représentatifs de données est fixe dans la base 105 et relié à l'unité de commande. Dans des modes de réalisation, l'émetteur de signaux représentatifs de données est amovible et le récepteur de signaux représentatifs de données est fixe dans la base 105 et relié à l'unité de commande. Les moyens de communication 1005 peuvent comporter une mémoire. La mémoire peut être comprise dans la partie amovible des moyens de communication 1005 ou dans la partie fixe des moyens de communication 1005.

Préférentiellement, une face inférieure de la base 105 comporte les moyens de communication 1005, ce qui protège les moyens de communication d'éclaboussures d'aliments, par exemple. Les moyens de communication 1005 sont contenus dans une cavité 1010 de la face inférieure de la base 105. La cavité 1010 peut comporter des reliefs 1015 configurés pour accueillir un clapet de protection (non représenté). Le clapet de protection peut être fixé au moyen d'une vis vissée dans un trou fileté 1020. Les moyens de communication amovibles 1005 sont ainsi protégés contre un encrassement et contre un arrachement accidentel. Dans des modes de réalisation, le clapet ou la cavité 1010 peut comporter un joint d'étanchéité (non représenté) assurant l'étanchéité de la cavité 1010.

Les moyens de communication 1005 transmettent à au moins un terminal communiquant 1200 des données permettant, alternativement ou exclusivement, de reproduire l'interface utilisateur 1 100 de l'appareil 100 sur une interface utilisateur d'au moins un terminal communiquant 1200 à l'équivalence de l'interface utilisateur 1 100 présente sur l'appareil 100.

Les moyens de communication 1005 peuvent, alternativement ou exclusivement, émettre et/ou recevoir les valeurs de paramètres et les fonctions sélectionnées et/ou émettre les informations de suivi du fonctionnement de l'appareil 100.

Les valeurs de paramètres sont des valeurs telles qu'une température de cuisson, une vitesse de rotation ou une durée de mise en œuvre d'une action, par exemple. Les fonctions sélectionnées sont des fonctions de traitement des aliments telles la cuisson ou le malaxage, par exemple. Les informations de suivi du fonctionnement de l'appareil 100 sont des valeurs captées par un capteur, des informations de maintenance, des statistiques d'utilisation de l'appareil 100, ou un historique d'utilisation de l'appareil 100, par exemple.

Alternativement ou exclusivement, les paramètres et les fonctions sélectionnées ou les informations de suivi, comportent un identifiant spécifique de l'appareil 100.

L'identifiant spécifique de l'appareil 100 peut être un numéro de série de l'appareil

100 et/ou un type d'appareil.

Les moyens amovibles de communication 1005 mettent en œuvre la norme USB (acronyme de « Universal Sériai Bus », pour, en français « Bus universel en série »). Les moyens de communication 1005 comportent un port USB mâle ou femelle et sont insérés dans un port USB correspondant comporté par la base 105.

Les moyens amovibles de communication 1005 utilisent au moins une des modalités suivantes : les ondes hertziennes, par exemple UHF (acronyme de Ultra Haute Fréquence), lumineuses, par exemple infrarouges, sonores, par exemple infrasonores ou ultrasonores et/ou des spécifications de communication sur un réseau, par exemple Bluetooth (marque déposée) ou Wi-fi (marque déposée).

Les moyens amovibles de communication 1005 peuvent être une clé USB de communication Bluetooth, par exemple.

On observe sur la figure 1 1 , un mode de réalisation particulier d'une interface utilisateur 1 100 d'un appareil de préparation culinaire 100.

L'appareil de préparation culinaire 100 comporte une interface utilisateur 1 100 par laquelle l'utilisateur peut sélectionner et/ou paramétrer au moins une fonction de l'appareil 100 et/ou suivre le fonctionnement de l'appareil 100 et un moyen de génération et d'affichage sur l'interface utilisateur 1 100 d'au moins un code visible 1 120 représentatif de caractéristiques de l'appareil 100 et reconnaissable par un terminal portable communiquant 1200.

L'interface utilisateur 1 100 comporte des moyens de commande 1 105 et 1 1 10. Les moyens de commande 1 105 et 1 1 10 sont des boutons poussoirs ou des moyens de commande tactiles, par exemple. Les moyens de commande 1 105 sont configurés pour ouvrir un menu comportant des fonctions sur un écran d'affichage 1 1 15, par exemple. Et les moyens de commande 1 1 10 sont configurés pour qu'un utilisateur sélectionne des options ou des valeurs de paramètres de fonctions dans le menu affiché sur l'écran d'affichage 1 1 15, par exemple. Préférentiellement, l'interface utilisateur 1 100 comporte trois moyens de commande 1 105 et six moyens de commande 1 1 10. Les moyens de commande 1 1 10 sont répartis équitablement de part et d'autre de l'écran d'affichage 1 1 15. Dans des modes de réalisation, l'écran d'affichage 1 1 15 est un écran tactile.

Les moyens de commande 1 1 10 correspondent à des moyens de commande virtuels sur l'écran d'affichage 1 1 15. Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 représentatif de fonctions de l'appareil 100 qui peuvent être sélectionnées.

Une fonction de l'appareil 100 qui peut être sélectionnée est une fonction de traitement des aliments, telle une fonction de cuisson par exemple.

Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 représentatif de paramètres de fonctionnement de l'appareil dont les valeurs peuvent être sélectionnées.

Les paramètres de fonctionnement de l'appareil sont un temps de traitement des aliments ou une température de cuisson, par exemple.

Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 représentatif d'un accès à une application hébergée sur le terminal portable communiquant 1200.

L'application hébergée sur le terminal portable communiquant 1200 est une application de recettes de cuisine, une application de commande de l'appareil 100, une notice d'utilisation interactive, par exemple.

Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 représentatif d'un accès à une page d'un site de la toile, à laquelle le terminal communiquant 1200 peut directement accéder.

La page d'un site de la toile est la page d'un site du fabriquant de l'appareil 100, ou une page d'un site de recettes de cuisine, par exemple.

Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 représentatif de l'état de l'appareil 100.

L'état de l'appareil 100 est une panne avec un numéro de panne ou un état de cuisson ou de traitement d'aliments, par exemple.

Le moyen de génération d'un code visible 1 120 génère et affiche un code visible 1 120 identifiant le modèle de l'appareil 100.

L'identification du modèle de l'appareil 100 peut être réalisée au moyen du numéro de série de l'appareil.

Le moyen de génération et d'affichage d'un code visible 1 120 génère un code au format de données libre QR.

L'appareil 100 comporte des moyens de communication 1005 permettant d'échanger sans fil entre l'unité de commande et un terminal communiquant 1200.

L'utilisateur peut interagir avec l'appareil 100 et le commander au moyen du terminal communiquant 1200 qui communique avec l'unité de commande par les moyens de communication 1005. Préférentiellement, les moyens de communication 1005 sont les moyens de communication 1005 de la description qui précède la figure 10.

Afin de réaliser une fonction de l'appareil 100, un utilisateur capte une image du code visible 1 120 affiché. Le code visible 1 120 est lu par le terminal communiquant 1200. Les informations du code visible 1 120 présentent à un utilisateur des choix de fonctions de l'appareil 100 sur une interface utilisateur 1205 du terminal communiquant, par exemple. Les fonctions présentées à l'utilisateur peuvent dépendre des informations transmises à l'unité de commande par la sonde thermique 410. Par exemple, les fonctions présentées peuvent dépendre de l'accessoire 1 15 reconnu par la sonde thermique 410, de la conductivité thermique de l'accessoire 1 15, de la température captée, ou du verrouillage de l'accessoire 1 15 sur la base 105.

L'utilisateur peut sélectionner des valeurs de paramètres de fonctionnement de l'appareil 100 en scannant le code visible 1 120 avec un terminal communiquant 1200. Puis en commandant au moyen d'un accès à une application hébergée sur le terminal portable communiquant 1200 ou d'un accès à une page d'un site de la toile à laquelle le terminal communiquant 1200 peut directement accéder, les valeurs de paramètres de fonctionnement de l'appareil. Les accès sont contenus dans les informations du code visible 1 120. Les valeurs de paramètre peuvent dépendre de l'accessoire 1 15 reconnu par la sonde thermique 410, de la conductivité thermique de l'accessoire 1 15, de la température captée, ou du verrouillage de l'accessoire 1 15 sur la base 105, la commande en chauffage en fonction de l'accessoire 1 15 reconnu.

En commandant l'appareil 100 pour qu'il réalise une fonction ou en commandant des valeurs de paramètres de fonctionnement de l'appareil 100, l'utilisateur peut recevoir, en scannant le code visible 1 120, une information de l'état de l'appareil 100. L'information de l'état de l'appareil 100 peut déprendre des informations transmises à l'unité de commande par la sonde thermique 410. Notamment, un message d'avertissement informant l'utilisateur que l'accessoire 1 15 n'est pas verrouillé peut être transmis à l'utilisateur sur le terminal communiquant 1200.

Le code visible 1 120 peut identifier le modèle de l'appareil 100. Un utilisateur étant en communication avec un service après-vente peut aisément avoir accès aux informations d'identification de l'appareil 100, par exemple.

Le code visible 1 120 est préférentiellement modifié à chaque changement de caractéristiques de l'appareil 100 à reconnaître par le terminal communiquant 1200. L'utilisateur peut donc connaître les caractéristiques de l'appareil 100 à chaque changement des caractéristiques de l'appareil 100.

On observe sur la figure 12 un état particulier d'un terminal communiquant 1200 en cours de communication avec un appareil objet de la présente invention. Le terminal communiquant 1200 comporte des moyens de communication permettant d'échanger sans fil avec l'unité de commande de l'appareil 100 et des moyens de reproduction à l'équivalence, sur son interface utilisateur 1205, de l'interface utilisateur 1 100 présente sur l'appareil 100.

Les termes reproduction à l'équivalence signifient que l'affichage sur l'écran d'affichage 1 1 15 de l'interface utilisateur 1 100 de l'appareil 100 et les moyens de commande 1 105 et 1 1 10 sont reproduits sur l'interface utilisateur 1205 du terminal communiquant 1200. L'interface utilisateur 1205 affichant les mêmes informations que l'écran d'affichage 1 1 15. L'utilisateur effectue des commandes sur les moyens de commande 1 105 et 1 1 10 reproduits avec les mêmes effets que si l'utilisateur manipulait directement les moyens de commande 1 105 et 1 1 10 de l'interface utilisateur 1 100 de l'appareil 100.

Les moyens de communication peuvent, alternativement ou exclusivement, émettre et/ou recevoir les valeurs de paramètres et les fonctions sélectionnées et/ou recevoir les informations de suivi du fonctionnement de l'appareil 100.

Le terminal communiquant 1200 est, par exemple :

- une tablette numérique,

- un téléphone mobile, notamment de type ordiphone (plus connu sous le nom anglais de « smartphone »),

- une montre connectée,

- des lunettes connectées,

- une télécommande,

- un casque ou

- un ordinateur.

Les moyens de communication du terminal communiquant 1200 utilisent au moins une des modalités suivantes : les ondes hertziennes, par exemple UHF, lumineuses, par exemple infrarouges, sonores, par exemple infrasonores ou ultrasonores et/ou des spécifications de communication sur un réseau, par exemple Bluetooth ou Wi-fi.

L'interface utilisateur 1205, alternativement ou exclusivement, à l'équivalence de l'interface utilisateur 1 100 présente sur l'appareil 100, est configurée pour qu'un utilisateur effectue les mêmes actions que les actions qui peuvent être effectuées sur l'interface utilisateur 1 100 présente sur l'appareil 100.

L'interface utilisateur 1205 du terminal communiquant 1200 peut être tactile. L'interface utilisateur 1205 du terminal communiquant 1200 peut comporter un clavier et un écran.

Dans des modes de réalisation, l'utilisateur identifie l'appareil au moyen du code visible 1 120. Puis, l'utilisateur sélectionne sur une application ou sur une page d'un site de la toile, au moyen du terminal communiquant 1200, une fonction à réaliser ou des valeurs de paramètres de fonctionnement à mettre en œuvre pour réaliser une recette, par exemple. Et le terminal communiquant 1200 communique aux moyens de communication 1005 de l'appareil 100 les réglages à effectuer. L'unité de commande effectue les réglages et émet une notification sonore ou visuel sur l'appareil 100 et/ou le terminal communiquant 1200 à chaque étape où une intervention de l'utilisateur est nécessaire pour effectuer la recette, par exemple.

On observe sur la figure 13, des étapes d'utilisation de l'appareil 100 de préparation culinaire.

Pour utiliser l'appareil 100, au cours d'une étape 1301 , l'utilisateur fixe au moins partiellement un outil 755, tel un couteau ou un disque par exemple, au moyen de la rondelle 205 dans l'accessoire amovible 1 15, comme décrit en regard des figures 2 et 3.

Puis l'utilisateur peut emboîter un autre outil amovible 70 sur l'outil 755, fixé au moins partiellement, par compression de l'élément flexible 735 qui entraîne un écartement des parties mobiles 715. L'étape emboîtement 1302 est réalisée comme décrit en regard des figures 7 et 8.

L'utilisateur met en place, par rotation, l'accessoire 1 15 sur la base 105, au cours d'une étape 1303. La rotation de l'accessoire 1 15 verrouille l'accessoire 1 15 sur les ergots de fixation de la base 105. Simultanément, la rotation de l'accessoire 1 15 entraîne le verrouillage de la rondelle 205 au moyen des reliefs fixes 435 de la base 105. Le verrouillage de la rondelle, entraîne une fixation entière de l'outil 755. La mise en place, à l'étape 1303 est telle que l'arbre d'entraînement 765 de l'outil 755 est emboîté avec les moyens d'entraînement 405 de la base 105.

Une fois l'accessoire 1 15 mis en place, l'utilisateur positionne, au cours d'une étape 1304, le couvercle 145 sur l'accessoire 1 15 et écrase le joint d'étanchéité 140. Le positionnement du couvercle 145 est un emboîtement du couvercle 145 dans l'accessoire 1 15, par exemple.

Après le positionnement du couvercle 145, au cours d'une étape 1305, l'utilisateur effectue une rotation du couvercle 145 par rapport à l'accessoire 1 15 mis en place sur la base 105. La rotation enclenche les moyens de verrouillage 90a du couvercle dans les moyens de verrouillage 90b de l'accessoire 1 15, comme exposé en regard de la figure 9. L'arbre 935 pousse les moyens de verrouillage 415 de la base 105 en position 50b et verrouille l'accessoire 1 15 à la base 105. Et si l'accessoire 1 15 est fixé sur un socle, l'arbre 935 pousse l'extension 965 qui pousse les moyens de verrouillage 415 de la base 105 en position 50b et verrouille l'accessoire 1 15 à la base 105.

L'accessoire 1 15 est reconnu par la sonde thermique 410 au cours d'une étape 1306. La reconnaissance de l'accessoire 1 15 peut être effectuée en fonction d'une conductivité thermique de l'accessoire 1 15, d'un état de conduction électrique et/ou du positionnement mécanique de la sonde thermique 410. La sonde thermique 410 envoie des informations telles que, le positionnement mécanique de la sonde thermique 410, la conductivité thermique de l'accessoire 1 15, une évolution d'une température captée et/ou un état de conduction électrique à l'unité de commande (non représentée) de la base 105. L'unité de commande est configurée pour ne pas alimenter en énergie le moteur (non représenté) si l'accessoire 1 15 n'est pas verrouillé sur la base 105 en position de fonctionnement nominal de l'appareil 100. Si l'accessoire 1 15 n'est pas verrouillé sur la base 105 en position de fonctionnement nominal de l'appareil 100, c'est à dire si les moyens de verrouillage 415 ne sont pas en position 50b, l'interface utilisateur 1 100 affiche une notification ou la base 105 émet un avertissement sonore. La notification affichée sur l'interface utilisateur 10 peut être sous la forme d'un code visible 1 120, généré à l'étape 1308, d'un message ou d'une intensité lumineuse variante, par exemple.

En fonction de l'accessoire 1 15 reconnue par la sonde thermique 410 et des informations transmises par la sonde thermique 410 à l'unité de commande, l'interface utilisateur 1 100 est configurée pour afficher des fonctions et des valeurs de paramètres à l'utilisateur. L'utilisateur effectue un choix et commande l'appareil 100, au cours d'une étape 1307.

En temps réel, en fonction de l'accessoire 1 15 reconnue par la sonde thermique 410 et des informations transmises par la sonde thermique 410 à l'unité centrale, un code visible 1 120 est généré, au cours d'une étape 1308. Le code visible 1 120 est représentatif de paramètres de fonctions de l'appareil 100 qui peuvent être sélectionnés, de paramètres de fonctionnement de l'appareil 100 dont les valeurs peuvent être sélectionnées, d'un accès à une application hébergée sur le terminal communiquant 1200, d'un accès à une page d'un site sur la toile, à laquelle le terminal communiquant 1200 peut accéder, d'un état de l'appareil 100 et/ou d'une identification du modèle de l'appareil 100.

Au cours d'une étape 1309, l'utilisateur effectue une reconnaissance du code visible 1 120 généré à l'étape 1308 au moyen d'un terminal communiquant 1200. L'utilisateur peut répéter l'étape de reconnaissance 1309 à chaque fois qu'un nouveau code visible 1 120 est généré au cours de l'étape 1308. Le terminal communiquant 1200 lit les informations du code visible 1 120 et affiche au moins une partie des informations à l'utilisateur. Le terminal communiquant accède à des données conservées par une application qu'il héberge ou par un serveur distant, sur un site accessible sur la toile.

L'utilisateur peut continuer à commander manuellement l'appareil 100, ou si l'appareil 100 comporte des moyens de communication 1005, l'utilisateur peut établir une connexion entre le terminal communiquant 1200 et les moyens de communication 1005, au cours d'une étape 1310. La connexion est une connexion Bluetooth, NFC (acronyme de « Near Field Communication » en anglais), Wi-fi ou par ondes hertziennes, par exemple. La connexion peut être initialisée au moyen d'un code visible 1 120 spécifique, par exemple.

Une fois la connexion établie, le terminal communiquant 1200 peut recevoir, au cours d'une étape 131 1 , des informations issues de l'unité de commande. Les informations peuvent être des paramètres de fonctions de l'appareil 100 qui peuvent être sélectionnés, des paramètres de fonctionnement de l'appareil 100 dont les valeurs peuvent être sélectionnées, un accès à une application hébergée sur le terminal communiquant 1200, un accès à une page d'un site sur la toile, à laquelle le terminal communiquant 1200 peut accéder, un état de l'appareil 100 et/ou une identification du modèle de l'appareil 100. L'étape de réception d'informations par le terminal 131 1 , peut être réalisée en temps réel.

Une fois la connexion établie, l'interface utilisateur 1 100 de l'appareil 100 est reproduite, à l'équivalence, sur l'interface utilisateur 1205 du terminal communiquant 1200, au cours d'une étape 1312.

L'utilisateur peut commander l'appareil 100 au moyen du terminal 1200, au cours d'une étape 1313. Les actions réalisables par l'utilisateur au moyen de l'interface 1 100 reproduite sur le terminal communiquant 1200 sont les mêmes que celles réalisables manuellement pendant l'étape 1307.

Si une panne intervient à l'une des étapes du procédé 1300, le code visible généra à l'étape 1308 peut être représentatif de la panne de l'identifier par un code, par exemple. En reconnaissant le code visible à l'étape 1309, le terminal communiquant 1200 peut remplir préalablement une fiche d'information de panne à envoyer à un service après- vente, au moyen d'une application ou d'une page d'un site sur la toile, par exemple. L'utilisateur effectuant la reconnaissance peut être un employé d'un service après-vente, par exemple.

Les étapes de commande 1307, de génération 1308, de reconnaissance 1309, d'établissement 1310, de réception 131 1 , de reproduction 1312, et de commande 1313 peuvent être effectuées dans un ordre différent. Les étapes de génération 1308, de reconnaissance 1309, d'établissement 1310, de réception 131 1 , de reproduction 1312, et de commande 1313 sont optionnelles.