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Title:
GROMMET
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2007/042714
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a grommet (O) of the type consisting of two half-shells (100 and 200) assembled by clipping used as edging and/or reinforcement of perforations in curtains, textiles or like materials, the two half-shells (100 and 200) being urged into engagement by clipping, one of the two half-shells (100 and 200) comprising a plurality of pins (120) projecting from its surface facing inward of the other half-shell (200) and the tips (121) of which are inserted into a circular annular groove (200) provided therefor in the inner surface of the other half-shell (200). Said grommet is in particular characterized in that said pins (120) comprise a body having a polygonal cross-section. The invention is applicable as reinforcement and edging of perforations and holes produced in any material.

Inventors:
TRIPONT PASCAL (FR)
Application Number:
PCT/FR2006/050992
Publication Date:
April 19, 2007
Filing Date:
October 05, 2006
Export Citation:
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Assignee:
GMCC FINANCES (FR)
TRIPONT PASCAL (FR)
International Classes:
A44B13/00; A47H13/02
Foreign References:
DE1610348A11970-07-23
DE29800419U11998-04-23
EP1219495A12002-07-03
DE10146913A12002-06-06
Attorney, Agent or Firm:
DELHAYE, Guy (2 rue Gustave de Clausad, B.P.30 Rabastens, FR)
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Claims:

REVENDICATIONS

1. œillet (O) du type de celui constitué de deux demi-coques (100 et 200) s ' assemblant par clipsage s 'utilisant comme bordure et/ou renfort de perforations dans des rideaux, des textiles ou matériaux similaires, les deux demi-coques (100 et 200) venant en prise mutuellement par clipsage, une des deux demi-coques (100 et 200) comportant une pluralité d'ergots (120) saillant de sa face tournée vers l'intérieur de l'autre demi-coque (200) et dont les pointes (121) s'introduisent dans une rainure annulaire circulaire (220) ménagée à cet effet dans la surface intérieure de l'autre demi-coque (200), CARACTéRISé PAR LE FAIT QUE lesdits ergots (120) comportent un corps de section polygonale constante terminé par une pointe et qu'une partie du corps de section constante se trouve introduite dans la rainure annulaire quand les demi coquilles sont dans l'état assemblé .

2. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QUE lesdits ergots (120) comportent une première extrémité liée à la surface intérieure d'une demi-coque (100) et une deuxième extrémité qui se termine par une pointe (121) adoptant la forme d'une pyramide.

3. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QU ' une partie du corps polygonal desdits ergots (120) s'introduit dans ladite rainure annulaire (220) .

4. œillet (O) selon la revendication 3, CARACTéRISé PAR LE FAIT QUE la section des ergots (120) est quadrangulaire et que lesdits ergots (120) sont orientés de façon à ce que les surfaces planes (122 et 123) des ergots (120) soient en contact avec les surfaces cylindriques (221 et 222) de la rainure annulaire (220) de l'autre demi-coque (200). 5. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT qu'au moins une des deux demi-coques (100 et

200) comporte à son extrême périphérie une pluralité de dents (130 et 230) saillant de sa face intérieure.

6. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QUE chaque demi-coque (100 et 200) comprend une projection cylindrique (150 et 250) autour du trou dont elles assurent la bordure, les projections cylindriques (150 et 250) étant préformées de formes complémentaires (151 et 251) pour se clipser l'une dans l'autre, une demi-coque (100) étant préformée d'arrêts saillants (160) guidant la fin du mouvement de clipsage.

7. œillet (O) selon la revendication 6, CARACTéRISé PAR LE FAIT QUE l'extrémité non liée à la demi-coque (100) desdits arrêts (160) est préformée d'un plan incliné (161) orienté de sorte que, lors du mouvement de translation de l'opération de clipsage, la déformation de la partie complémentaire (251) de la demi-coque (200) tendant à l'écarter du centre soit guidée pour ramener ladite forme complémentaire (251) vers le centre.

8. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QU ' au moins une demi-coque (100 et 200) est préformée pour présenter une rainure annulaire (140 et 240) sur sa surface extérieure.

9. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QU 'il est fabriqué en ABS. 10. œillet (O) selon la revendication 1, CARACTéRISé PAR LE FAIT QU 'il est remarquable en ce que lesdits ergots (120) comportent un corps de section polygonale constante terminé par une pointe et qu'une partie du corps de section constante se trouve introduite dans la rainure annulaire quand les demi coquilles sont dans l'état assemblé, qu'au moins une des deux demi-coques (100 et 200) comporte à son extrême périphérie une pluralité de dents (130 et 230) saillant de sa face intérieure, et que chaque demi-coque (100 et 200) comprend une projection cylindrique (150 et 250) autour du trou dont

elles assurent la bordure, les projections cylindriques (150 et 250) étant préformées de formes complémentaires (151 et 251) pour se clipser l'une dans l'autre, une demi- coque (100) étant préformée d'arrêts saillants (160) guidant la fin du mouvement de clipsage.

Description:

œILLET

DOMAINE D'APPLICATION DE L'INVENTION

La présente invention a trait au domaine des œillets susceptibles de servir de bordures et/ou de renforts aux perforations pratiqués dans tout matériau (rideaux, textiles ou matériaux similaires, etc..) et notamment aux adaptations permettant d'optimiser leur montage, leur fabrication et leurs fonctions.

DESCRIPTION DE L'ART ANTéRIEUR il existe dans l'art antérieur des œillets formés de deux demi-coques assemblables par clipsage pour servir notamment de bordure à des trous pratiqués dans des textiles ou similaires comme par exemple en extrémité haute de rideau. Les deux demi-coques entrent en prise mutuelle par clipsage.

De plus, une des deux demi-coques comprend des ergots en saillie dont les pointes entrent dans une rainure ou canal annulaire circulaire de l'autre demi-coque. En outre, il existe des œillets où les deux demi- coques comprennent au niveau de leur petit diamètre une projection cylindrique préformée pour coopérer de façon à autoriser le clipsage.

La demanderesse a constaté que ce type d' œillet n'était pas adapté aux différentes épaisseurs des tissus ou matériaux similaires existants. En effet, une fois clipsées l'une sur l'autre, les deux demi-coques présentent au niveau de leur partie annulaire un écartement fixe définissant l'épaisseur sur laquelle peut s'installer l'œillet.

La demanderesse a en outre constaté que la tenue du tissu au niveau des ergots, leur pénétration et leur traversée de ladite matière présentaient des inconvénients . De plus, l'esthétique extérieure des œillets en matériau plastique semble exclusivement définie par les

contraintes de l'injection ce qui en réduit les possibilités d'évolution de la forme. DESCRIPTION DE L'INVENTION

Partant de cet état de fait la demanderesse a mené des recherches pour optimiser les œillets connus de l'art antérieur en ce qui concerne leur adaptabilité à plusieurs épaisseurs, la tenue du rideau, tissu ou du matériau sur lequel ils viennent s'installer, et leur esthétique.

Ces recherches ont abouti à la conception d'un œillet présentant des améliorations obviant aux inconvénients de l'art antérieur.

L'oeillet de l'invention est du type de celui constitué de deux demi-coques s 'assemblant par clipsage s 'utilisant comme bordure et/ou renfort d'une perforation dans des rideaux, des textiles ou similaires, les deux demi-coques venant en prise mutuellement par clipsage des deux côtés, une des deux demi-coques comportant une pluralité d'ergots saillant de la surface tournée vers l'intérieur de l'autre demi-coque et dont les pointes s'introduisent dans une rainure annulaire circulaire ménagée à cet effet dans la surface intérieure de l'autre demi-coque .

Conformément à l'invention, cet œillet est remarquable en ce que lesdits ergots comportent un corps de section polygonale constante terminé par une pointe et qu'une partie du corps de section constante se trouve introduite dans la rainure annulaire quand les demi coquilles sont dans l'état assemblé.

Cette section participe à une meilleure pénétration du corps des ergots à travers le textile ou à travers le matériau sur lequel s'installe l'œillet. Alors que les ergots de l'art antérieur se contentaient d'un corps conique et rendaient ainsi dépendante la tenue de l'œillet de la longueur de l'ergot traversant le textile, une section constante polygonale garantit la même tenue. Cette nouvelle section résout ainsi un des inconvénients de

l'art antérieur.

Afin de faciliter la première pénétration de la pointe de l'ergot, lesdits ergots comportent une première extrémité liée à la surface intérieure d'une demi-coque et une autre extrémité qui se termine par une pointe adoptant la forme d'une pyramide. Les ergots présentent donc deux parties une partie de section polygonale constante et une partie en pointe.

Toujours pour répondre au souci constant de la demanderesse d'une bonne tenue de l'œillet sur le textile ou matériau sur lequel il forme une bordure autour d'un trou, une partie du corps polygonal desdits ergots s'introduit dans ladite rainure ou canal annulaire. Ainsi, contrairement à ce que propose l'art antérieur, ce n'est pas seulement la pointe qui vient s'introduire dans la rainure annulaire mais une partie du corps supportant la pointe ce qui renforce la fixation proposée par les ergots .

Selon un choix technologique, la section des ergots est quadrangulaire et lesdits ergots sont orientés de façon à ce que les surfaces planes des ergots soient en contact avec les surfaces cylindriques de la rainure annulaire de l'autre demi-coque.

Afin de mieux prendre en compte les variations d'épaisseur des supports sur lesquels il s'installe, la demanderesse a imaginé qu'au moins une des deux demi- coques comporte à son extrême périphérie c'est à dire sur la partie la plus éloignée du centre de la fixation, une pluralité de dents saillant de sa face intérieure vers la face intérieure de l'autre demi-coque dans l'espace défini entre les deux demi-coques afin de maintenir en position, l'œillet jusqu'à son extrême périphérie. Ces dents supplémentaires permettent en outre au bord de l'œillet, de venir en contact avec le textile même si ce dernier est d'une épaisseur inférieure à la distance séparant les deux demi-coques assemblées. Selon un choix technologique, les

faces intérieures des deux demi-coques sont équipées desdites dents.

Un objet de l'invention est constitué par un oeillet associant plusieurs des caractéristiques citées ci-dessus, cette association garantissant la bonne tenu des deux demi coquilles entre elles et de l'oeillet sur le textile.

Ainsi selon l'invention cet oeillet est remarquable en ce que lesdits ergots comportent un corps de section polygonale constante terminé par une pointe et qu'une partie du corps de section constante se trouve introduite dans la rainure annulaire quand les demi coquilles sont dans l'état assemblé, qu'au moins une des deux demi-coques comporte à son extrême périphérie une pluralité de dents saillant de sa face intérieure et que chaque demi-coque comprend une projection cylindrique autour du trou dont elles assurent la bordure, les projections cylindriques étant préformées de formes complémentaires pour se clipser l'une dans l'autre, une demi-coque étant préformée d'arrêts saillants (160) guidant la fin du mouvement de clipsage.

Selon une caractéristique particulièrement avantageuse, l'œillet est fabriqué en ABS c'est à dire en matière plastique à base d ' acrylonitrile-butadiène- styrène. Cette matière présente les caractéristique mécaniques nécessaire pour assurer la fonction d 'œillet et présente la spécificité d'autoriser son mélange avec des paillettes susceptibles d'apporter une esthétique métallisée à l'œillet. Les concepts fondamentaux de l'invention venant d'être exposés ci-dessus dans leur forme la plus élémentaire, d'autres détails et caractéristiques ressortiront plus clairement à la lecture de la description qui suit et en regard des dessins annexés, donnant à titre d'exemple non limitatif, un mode de réalisation d'un œillet conforme à l'invention.

BRèVE DESCRIPTION DES DESSINS

La figure 1 est un dessin schématique d'une vue de côté en coupe d'un mode de réalisation d'un œillet conforme à l'invention, la figure 2a est un dessin schématique d'une vue extérieure de côté d'une première demi-coque formant l'œillet de la figure 1 la figure 2b est un dessin schématique d'une vue extérieure en perspective de la surface intérieure de la demi-coque de la figure 2a, la figure 2c est un dessin schématique d'une vue extérieure en perspective de la surface extérieure de la demi-coque de la figure 2a, la figure 3a est un dessin schématique d'une vue extérieure de côté de la deuxième demi-coque formant l'œillet de la figure 1, la figure 3b est un dessin schématique d'une vue extérieure en perspective de la surface intérieure de la demi-coque de la figure 3a, la figure 3c est un dessin schématique d'une vue extérieure en perspective de la surface extérieure de la demi-coque de la figure 3a, la figure 4 est un dessin schématique d'une section en vue de côté de détail de l'assemblage des deux demi- coques de l'œillet illustré en figure 1.

DESCRIPTION DES MODES DE RéALISATION PRéFéRéS

Tel qu'illustré sur le dessin de la figure 1, l'œillet de l'invention référencé O dans son ensemble s'utilise comme bordure de trou réalisé dans des textiles ou matériaux similaires non illustrés et est constitué de deux demi-coques ou demi-coquilles 100 et 200 qui s'assemblent par clipsage. Les deux demi-coques 100 et 200 viennent en prise mutuellement, une fois rendues coaxiales par clipsage de leurs faces intérieures respectives 110 et 210 préformées à cet effet chacune d'une projection cylindrique dont les formes se complètent. En outre, afin

de maintenir l'œillet en position dans le trou dont il forme la bordure et afin notamment d'éviter sa rotation, une des deux demi-coques à savoir la demi-coque 100 comporte une pluralité d'ergots 120 saillant de sa face intérieure 110 tournée vers la face intérieure 210 de l'autre demi-coque 200.

Comme illustrées plus en détail sur le dessin de la figure 4, les pointes 121 et une partie du corps des ergots 120 s'introduisent dans une rainure annulaire 220 circulaire ménagée à cet effet dans la surface intérieure 210 de l'autre demi-coque 200. Conformément à la géométrie des œillets de l'invention, les ergots 120 et la rainure annulaire 220 sont disposés selon un même diamètre afin qu'une fois les deux demi-coques 100 et 200 mises en vis- à-vis et rendues coaxiales, lesdits ergots 120 puissent pénétrer dans ladite rainure annulaire 220.

Selon une autre caractéristique de l'invention, lesdits ergots 120 présentent un corps adoptant une section polygonale. Selon le choix technologique adopté apparaissant sur les figures 2a, 2b, 2c, les ergots 120 présentent un profil carré. Ainsi, conformément à l'invention, la section des ergots est rectangulaire et lesdits ergots sont orientés de façon à ce que les faces planes des ergots soient en contact avec les surfaces cylindriques de la rainure annulaire 220 de l'autre demi coque 200.

Comme illustrées sur les dessins des figures 1 et 4 , deux faces planes 122 et 123 du corps de l'ergot 120 pénètrent la rainure annulaire 220 et viennent en contact avec les surfaces cylindriques qui le constituent respectivement 221 et 222 ce qui optimise la liaison entre les ergots 120 et la rainure annulaire 220 en comparaison avec un profil circulaire.

Comme illustrés sur le dessin de la figure 4, lesdits ergots 120 comportent une première extrémité liée à la surface intérieure d'une demi-coque et dont l'autre

extrémité se termine par une pointe 121 adoptant la forme d'une pyramide. Selon le mode de réalisation illustré, cette pyramide présente quatre faces.

Afin d'optimiser la tenue de la périphérie de l'œillet par rapport au tissu, au moins une des deux demi- coques comporte à son extrême périphérie une pluralité de dents saillant de sa face intérieure. Selon le mode de réalisation illustré, les deux demi-coques 100 et 200 comportent sur leur surface interne, des dents 130 et 230 saillant vers la surface interne de l'autre demi-coque. Comme illustrées, lesdites dents 130 et 230 présentent une hauteur inférieure à la moitié de la distance séparant les parties périphériques des demi-coques les supportant. Ces parties périphériques sont des parties planes situées sur le plus grand diamètre de l'œillet O et lui servant de rebord. La présence de ces dents évite le glissement du tissu et permet de rattraper l'écartement plus important des deux demi-coques en cas de tissu plus mince. Ainsi, en comparaison des œillets composés de deux demi-coques de l'art antérieur, l'œillet de l'invention présente de plus grandes possibilités en proposant un écartement plus important des deux demi-coques pour permettre l'installation dans de bonnes conditions des œillets sur des tissus épais. Un autre inconvénient résolu par l'œillet O de l'invention réside dans le manque de rigidité des œillets en plastique de l'art antérieur. Selon l'invention, au moins une demi-coque est préformée pour présenter une rainure annulaire 140 et 240 sur leur surface extérieure. Comme illustrées, les deux demi-coques sont préformées pour présenter une rainure annulaire 140 et 240 sur leur surface extérieure qui crée un pli dans l'épaisseur de la demi-coque 100 et 200. Ainsi, cette rainure n'est pas réalisée par enlèvement de matière, ce qui contribue à une meilleure rigidité de l'ensemble de l'œillet O. Selon le mode de réalisation illustré, chaque demi-coque 100 et 200

présente donc extérieurement en partant de son centre :

- une surface sensiblement verticale assurant la bordure cylindrique du trou,

- un premier bourrelet ou renflement, - un deuxième bourrelet ou renflement de plus grande dimension et lié au premier par ledit pli,

- une surface sensiblement plane annulaire.

Cette forme extérieure alors adoptée par l'œillet de l'invention est connue seulement des œillets métalliques alors que le mode de réalisation non limitatif prévu est défini en plastique.

La fixation centrale principale des deux demi-coques a également fait l'objet d'une étude par la demanderesse. Ces études ont porté sur la fatigue de cette fixation due notamment aux opérations de montage/démontage successives des deux demi-coques ainsi qu'à un éventuel mauvais montage. Comme connue dans l'art antérieur, la fixation principale des deux demi-coques entre elles est comme illustrée, constituée par un clipsage cylindrique. Pour ce faire, les deux demi-coques 100 et 200 sont préformées au niveau de leur plus petit diamètre, de projections dont les formes, une fois mises en position se complètent pour former un cylindre intérieur sans arête pour border le trou pratiqué dans le tissu au matériau similaire. Ainsi, chaque demi-coque 100 et 200 comprend une projection cylindrique 150 et 250 autour du trou dont elles assurent la bordure, les projections cylindriques étant préformées de formes complémentaires 151 et 251 pour se clipser l'une dans l'autre. Afin de guider le mouvement de clipsage et de maintenir en position la liaison, une des demi-coques est préformée d'arrêts saillants 160 qui, répartis angulairement autour du centre de la demi-coque 100, guident la fin du mouvement de clipsage et maintiennent en position les dites projections 150 et 250 entre elles.

Pour ce faire, l'extrémité non liée à la demi-coque

100 desdits arrêts 160 est préformée d'un plan incliné 161 orienté de sorte que, lors du mouvement de translation de l'opération de clipsage, la déformation de la partie complémentaire 251 de la demi-coque 200 tendant à l'écarter du centre, soit guidée pour ramener ladite forme complémentaire vers le centre.

L'œillet de l'invention présente une structure symétrique dont le plan sépare les deux demi-coques perpendiculairement à l'axe de la bordure cylindrique qu'elles forment. Selon le choix technologique illustré, les deux demi-coques diffèrent au niveau de leur partie intérieure de par la présence d'arrêts saillants 160 et d'ergots 120 pour la première demi-coque 100 et par la présence d'une rainure annulaire 120 pour la deuxième demi-coque les deux projections, 150 et 250 venant se compléter .

Selon un mode de réalisation préféré, les demi-coques de l'invention sont réalisées par un procédé d'injection plastique. De plus, la surface extérieure peut faire l'objet lorsque cela n'est pas réalisé dans la masse, selon un autre mode réalisation préféré de l'invention, d'une métallisation.

On comprend que l'œillet, qui vient d'être ci-dessus décrit et représenté, l'a été en vue d'une divulgation plutôt que d'une limitation. Bien entendu, divers aménagements, modifications et améliorations pourront être apportés à l'exemple ci-dessus, sans pour autant sortir du cadre de l'invention.