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Title:
HEADLIGHT FOR A MOTOR VEHICLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2021/144113
Kind Code:
A1
Abstract:
The present invention relates to a headlight (200) for a motor vehicle, comprising at least one enclosure (201) defining a recess (203) which receives at least one module (202) for projecting a light beam and at least one module (300) for controlling the projection module (202), the control module (300) comprising at least one casing (310), the casing (310) housing at least one printed circuit board (340), characterised in that the casing (310) comprises at least one boss (321), at least one opening (213) being formed in the enclosure (201) and at least one portion of the at least one boss (321) of the casing (310) extending into said opening (213), and characterised in that the printed circuit board (340) extends entirely into the recess (203) defined by the enclosure (201).

Inventors:
YVON SYLVAIN (FR)
LIANG JINTAO (FR)
HUANG HAIREN (FR)
CAVAILLON WILLY (FR)
Application Number:
PCT/EP2020/086911
Publication Date:
July 22, 2021
Filing Date:
December 17, 2020
Export Citation:
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Assignee:
VALEO VISION (FR)
International Classes:
B60Q1/00; F21S45/48; F21S45/50; F21V17/00
Foreign References:
US20130044504A12013-02-21
EP0770817A11997-05-02
DE102014104937A12015-10-08
JP2016072166A2016-05-09
US20080151501A12008-06-26
US20150092437A12015-04-02
EP3478041A12019-05-01
Attorney, Agent or Firm:
VALEO VISIBILITY (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Projecteur (200) pour un véhicule (100) automobile, comprenant au moins un boîtier (201) délimitant un logement (203) qui reçoit au moins un module de projection (202) d’un faisceau lumineux et au moins un module de commande (300) du module de projection (202), le module de commande (300) comprenant au moins un carter (310), le carter (310) logeant au moins une carte (340) de circuits imprimés, caractérisé en ce que le carter (310) comprend au moins un bossage (321), au moins un orifice (213) étant ménagé dans le boîtier (201) et au moins une partie de l’au moins un bossage (321) du carter (310) s’étendant dans cet orifice (213) et caractérisé en ce que la carte (340) de circuits imprimés s’étend entièrement dans le logement (203) délimité par le boîtier (201).

2. Projecteur (200) selon la revendication précédente, dans lequel une hauteur (H) du bossage (321) du carter (310) est supérieure à une épaisseur (E) d’une paroi (210) du boîtier (201) dans laquelle est ménagé l’orifice (213), la hauteur (H) du bossage (321) et l’épaisseur (E) de la paroi (210) du boîtier (201) étant mesurées selon des axes parallèles.

3. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel au moins un dispositif d’étanchéité (410, 410a) est interposé entre le carter (310) et le boîtier (201), ce dispositif d’étanchéité (410, 410a) s’étendant autour de l’au moins un bossage (321) du carter (310).

4. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la carte (340) de circuits imprimés logée dans le carter (310) comprend une pluralité de composants (341) électriques et/ou électroniques, au moins un de ces composants (341) électriques et/ ou électroniques étant reçu dans le bossage (321) du carter (310).

5. Projecteur (200) selon la revendication précédente, dans lequel une pâte thermique (420) est interposée entre une paroi de fond (321b) du bossage (321) du carter (310) et l’au moins un composant (341) électrique et/ou électronique reçu dans ce bossage (321).

6. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel au moins un premier organe de détrompage est ménagé sur le carter (310), dans lequel au moins un deuxième organe de détrompage est ménagé dans une paroi (210) du boîtier (201) dans laquelle est ménagé l’orifice (213), le premier organe de détrompage et le deuxième organe de détrompage étant configurés pour coopérer l’un avec l’autre.

7. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le carter (310) comprend au moins une première partie (320) et au moins une deuxième partie (330) fixée à la première partie (320), la carte (340) de circuits imprimés étant logée entre la première partie (320) et la deuxième partie (330), la première partie (320) comprenant au moins une plaque de fixation (322) à la deuxième partie (330) et l’au moins un bossage (321), cet au moins un bossage (321) s’étendant depuis l’au moins une plaque de fixation (322), en éloignement de la deuxième partie (330) du carter (310).

8. Projecteur (200) selon les revendications 3 et 7, dans lequel le dispositif d’étanchéité (410) est interposé entre le bossage (321) de la première partie (320) du carter (310) et une paroi périphérique (214) qui délimite, au moins partiellement, l’orifice (213) ménagé dans le boîtier (201).

9. Projecteur (200) selon les revendications 3 et 7, dans lequel le dispositif d’étanchéité (410a) est interposé entre la plaque de fixation (322) de la première partie (320) du carter (310) et un bord d’extrémité libre (214a) d’une paroi périphérique (214) qui délimite, au moins partiellement, l’orifice (213) ménagé dans le boîtier (201).

10. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l’au moins un bossage (321) du carter (310) est réalisée en un matériau métallique thermiquement conducteur.

11. Projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel une face interne (216) d’une paroi (210) du boîtier (201) dans laquelle est ménagé l’orifice (213) comprend au moins un moyen de fixation (211) du carter (310).

12. Procédé d’assemblage d’un projecteur (200) selon l’une quelconque des revendications précédentes, comprenant au moins une étape de positionnement d’un dispositif d’étanchéité (410) autour du bossage (321) du carter (310) du module de commande (300), au moins une étape d’insertion du carter (310) du module de commande (300) au moins partiellement à travers l’orifice (213) ménagé dans le boîtier (201) du projecteur (200), au moins une étape de connexion du module de projection (202) au module de commande (300) et au moins une étape de fermeture du boîtier (201) du projecteur (200).

Description:
DESCRIPTION

TITRE : PROJECTEUR POUR UN VEHICULE AUTOMOBILE

Le domaine de la présente invention est celui des projecteurs optiques destinés aux véhicules automobiles. Plus particulièrement, la présente invention se rapporte aux moyens de refroidissement mis en œuvre pour maintenir les divers composants de ces projecteurs optiques à une température optimale, c’est-à-dire une température permettant leur bon fonctionnement tout en évitant les risques d’endommagement de ces composants.

Les véhicules automobiles sont couramment équipés de projecteurs qui comprennent au moins un module de projection configuré pour projeter un faisceau lumineux de signalisation du véhicule et/ ou un faisceau lumineux d’éclairage sur la route.

Les projecteurs actuellement mis en œuvre comprennent également au moins un module de commande configuré pour, notamment, piloter le(s) module(s) de projection de ces projecteurs. Un tel module de commande comprend classiquement au moins un carter qui loge au moins une carte de circuits imprimés porteuse d’une pluralité de composants électriques et/ou électroniques. En cours d’utilisation, ces composants électriques et/ou électroniques tendent à s’échauffer, ce qui peut, lorsque leur température dépasse un certain seuil, les détériorer de manière irréversible. Il est donc nécessaire de mettre en place des moyens de refroidissement de ces composants électriques et/ ou électroniques.

Il existe aujourd’hui des projecteurs dans lesquels le module de commande est directement intégré, c’est-à-dire que ces projecteurs comprennent un boîtier qui reçoit à la fois le module de projection et le module de commande de ce module de projection. Autrement dit, le module de commande et le module de projection sont reçus dans un seul et même espace. Avantageusement, dans un tel agencement, seul le boîtier du projecteur doit être étanche, ce boîtier protégeant le module de commande, et plus particulièrement la carte de circuits imprimés et les composants électriques et/ou électroniques reçus dans le carter de ce module de commande. Autrement dit, dans cet agencement il n’est pas nécessaire que le carter du module de commande soit étanche. En revanche, dans un tel agencement, aucun moyen de ventilation n’est prévu, et le dégagement de chaleur dû au fonctionnement des composants électriques et/ ou électroniques génère un confinement de calories au sein du boîtier néfaste au bon fonctionnement du ou des modules de projection.

Il a été envisagé de déporter ce module de commande, c’est-à-dire d’agencer le carter en dehors du boîtier du projecteur. Autrement dit, selon cet autre agencement, le module de commande est indépendant du projecteur, et le carter de ce module de commande est fixé, par exemple, à l’arrière de ce projecteur ou sous ce dernier, de sorte que les mouvements du véhicule équipé d’un tel module de commande génèrent un flux d’air adapté pour permettre un refroidissement des parois du carter qui loge la carte de circuits imprimés et les composants électriques et/ou électroniques du module de commande. Le carter du module de commande comprend classiquement au moins une base et un couvercle et un inconvénient de cet agencement réside notamment dans la nécessité d’étanchéifier le carter du module de commande, c’est-à-dire d’agencer un dispositif d’étanchéité entre la base et le couvercle du carter, étant entendu que les composants électrique et/ ou électroniques du module de commande qu’il loge sont très sensibles aux intempéries et doivent donc être protégés.

La présente invention s’inscrit dans ce contexte et résout au moins les inconvénients cités en proposant un projecteur qui comprend un boîtier dans lequel le module de commande est au moins partiellement reçu, tout en permettant un échange thermique entre un flux d’air externe au véhicule et les composants électriques et/ ou électroniques de ce module de commande afin d’assurer leur maintien à une température acceptable, c’est-à-dire une température leur évitant toute détérioration.

Un objet de la présente invention concerne ainsi un projecteur pour un véhicule automobile, comprenant au moins un boîtier délimitant un logement qui reçoit au moins un module de projection d’un faisceau lumineux et au moins un module de commande du module de projection, le module de commande comprenant au moins un carter et le carter logeant au moins une carte de circuits imprimés.

Selon l’invention, le carter comprend au moins un bossage, au moins un orifice est ménagé dans le boîtier, et au moins une partie de l’au moins un bossage du carter s’étend dans cet orifice. Selon l’invention, la carte de circuits imprimés s’étend entièrement dans le logement délimité par le boîtier. Selon l’invention, le bossage du carter est ainsi agencé de sorte à pouvoir être au contact, au moins partiellement, d’un flux d’air extérieur au projecteur. De par la position de ce projecteur sur le véhicule, le flux d’air extérieur est également externe au véhicule. Autrement dit, la présente invention permet un échange de chaleur entre le module de commande et le flux d’air extérieur. Plus particulièrement, l’au moins une carte de circuits imprimés comprend une pluralité de composants électriques et/ou électroniques dédiés au pilotage du module de projection. On entend ici par « échange de chaleur » le fait que le flux d’air extérieur est adapté pour capter des calories émises par ces composants électriques et/ ou électroniques de sorte qu’une température de ces composants électriques et/ou électroniques est maintenue à une valeur acceptable pour ces composants électriques et/ou électroniques, c’est-à-dire une température qui permet leur fonctionnement, sans risquer de les endommager. Avantageusement, le positionnement de la carte de circuits imprimés dans le logement délimité par le boîtier du projecteur facilite une connexion du module de projection à cette carte de circuits imprimés du module de commande. En outre, la carte de circuits imprimés et les composants électriques et/ ou électroniques du module de commande sont protégés, au moins en partie, par le boîtier du projecteur de sorte qu’il n’est pas nécessaire d’étanchéifier le carter du module de commande, ni même de le fermer.

Autrement dit, la présente invention permet une connexion simple du module de projection au module de commande, un refroidissement efficace de la carte de circuit imprimés et des composants électriques et/ou électroniques reçus dans le carter de ce module de commande, tout en évitant d’avoir à fermer ou à étanchéifier ce carter.

Selon une caractéristique de la présente invention, une hauteur du bossage du carter est supérieure à une épaisseur d’une paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice, la hauteur du bossage et l’épaisseur de la paroi du boîtier étant mesurées selon des axes parallèles. Selon l’invention, l’au moins un bossage du carter prend la forme d’un tube creux qui s’étend selon une droite d’extension principale entre une première extrémité ouverte et une deuxième extrémité fermée par une paroi de fond. On entend par « hauteur du bossage » une dimension de ce bossage mesurée parallèlement à sa droite d’extension principale, entre sa première extrémité ouverte, et sa deuxième extrémité fermée, c’est-à-dire entre un plan dans lequel s’inscrit majoritairement un contour de la première extrémité ouverte et un plan dans lequel s’inscrit maj oritairement la paroi de fond fermant la deuxième extrémité de ce bossage. L’épaisseur de la paroi du boîtier est quant à elle mesurée selon un axe parallèle à la droite d’extension principale du bossage, entre une face interne de cette paroi, c’est-à- dire une face tournée vers le logement délimité par le boîtier, et une face externe de cette paroi, c’est-à-dire une face de cette paroi tournée vers un environnement extérieur au projecteur. Par exemple, le bossage du carter présente une hauteur d’au moins 10 mm et la paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice présente une épaisseur inférieure ou égale à 4 mm. Autrement dit, au moins une portion du bossage du carter s’étend au-delà de la paroi du boîtier, cette portion formant une zone d’échange de chaleur principale permettant la cession des calories emmagasinées par les composants électriques et/ou électroniques reçus dans le carter vers le flux d’air extérieur amené à lécher la portion du bossage du carter qui s’étend au-delà de la paroi du boîtier. On comprend que plus la portion du bossage qui s’étend au-delà de la paroi du boîtier est importante, plus la zone d’échange de chaleur principale est importante et donc plus l’échange de chaleur opéré est efficace.

Selon l’invention, au moins un dispositif d’étanchéité est interposé entre le carter et le boîtier. Plus particulièrement, ce dispositif d’étanchéité s’étend avantageusement autour du bossage du carter. Avantageusement, ce dispositif d’étanchéité forme l’unique dispositif d’étanchéité du projecteur, la carte de circuits imprimés logée dans le carter étant protégée par le boîtier du projecteur dans lequel elle s’étend entièrement, tel que précédemment évoqué.

Tel que précédemment mentionné, la carte de circuits imprimés logée dans le carter comprend une pluralité de composants électriques et/ou électroniques. Selon l’invention, au moins un de ces composants électriques et/ ou électroniques peut être reçu dans le bossage du carter. Optionnellement, une pâte thermique peut être interposée entre la paroi de fond du bossage du carter et l’au moins un composant électrique et/ou électronique reçu dans ce bossage. Avantageusement, l’utilisation d’une telle pâte thermique permet d’améliorer encore l’efficacité de l’échange thermique qui s’opère entre le flux d’air extérieur et les composants électriques et/ou électroniques reçus dans le carter, et plus particulièrement dans le bossage de ce carter.

Selon une caractéristique de l’invention, au moins un premier organe de détrompage peut être ménagé sur le carter, au moins un deuxième organe de détrompage peut être ménagé dans une paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice, le premier organe de détrompage et le deuxième organe de détrompage étant configurés pour coopérer l’un avec l’autre. Avantageusement, la présence de ces organes de détrompage permet d’assurer la bonne position du carter du module de commande et donc également la bonne position de la carte de circuits imprimés reçue dans ce carter et des composants électriques et/ ou électroniques portés par cette carte de circuit imprimés. Autrement dit, ces organes de détrompage permettent, in fine, d’assurer une connexion entre le module de commande et le module de projection reçus dans le boîtier du projecteur. Par exemple, le premier organe de détrompage peut prendre la forme d’une nervure et le deuxième organe de détrompage peut prendre la forme d’une rainure, la nervure étant reçue dans la rainure. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de l’invention et qu’on pourra par exemple prévoir que la rainure forme le premier organe de détrompage et la nervure le deuxième organe de détrompage, ou encore que ce premier organe de détrompage et ce deuxième organe de détrompage soient formés par toute autre structure compatible, sans sortir du contexte de la présente invention.

Selon un mode de réalisation particulier de la présente invention, le carter peut comprendre au moins une première partie et au moins une deuxième partie fixée à la première partie, la carte de circuits imprimés étant logée entre la première partie et la deuxième partie, la première partie comprenant au moins une plaque de fixation à la deuxième partie et l’au moins un bossage, cet au moins un bossage s’étendant depuis l’au moins une plaque de fixation, en éloignement de la deuxième partie du carter. Autrement dit, la plaque de fixation et le bossage forment, ensemble, la première partie du carter. Tel que précédemment évoqué, la carte de circuits imprimés logée dans le carter du module de commande est protégée des agressions extérieures par le boîtier du projecteur de sorte qu’une jonction entre la première partie du carter et la deuxième partie de ce carter n’a pas besoin d’être étanchéifiée.

Selon un exemple de l’invention, la plaque de fixation et le bossage peuvent former un ensemble monobloc, c’est-à-dire un unique ensemble qui ne peut être séparé sans entraîner la détérioration de la plaque de fixation ou du bossage.

Selon une caractéristique de ce mode de réalisation particulier de la présente invention, la paroi de fond s’étend majoritairement dans un plan parallèle, ou sensiblement parallèle, à un plan dans lequel s’inscrit principalement la plaque de fixation. En outre, cette paroi de fond forme la partie du bossage la plus éloignée de la plaque de fixation. Autrement dit, on comprend que, selon ce mode de réalisation particulier de la présente invention, la première extrémité ouverte du bossage débouche sur la paroi de fixation de la première partie du carter.

Selon une première variante de ce mode de réalisation particulier de l’invention, le dispositif d’étanchéité est interposé entre le bossage de la première partie du carter et une paroi périphérique qui délimite, au moins partiellement, l’orifice ménagé dans le boîtier. Selon cet exemple de réalisation, le dispositif d’étanchéité peut être un joint torique ou un joint à lèvre.

Selon une deuxième variante de ce mode de réalisation particulier de l’invention, le dispositif d’étanchéité est interposé entre la plaque de fixation de la première partie du carter et un bord d’extrémité libre de la paroi périphérique qui délimite, au moins partiellement, l’orifice ménagé dans le boîtier. Selon cette deuxième variante, le dispositif d’étanchéité peut par exemple être un joint plat.

L’au moins un bossage du carter peut être réalisé en un matériau métallique thermiquement conducteur. Avantageusement, l’ensemble de la première partie du carter, c’est-à-dire la plaque de fixation et le bossage formant cette première partie du carter, peut être réalisée en un matériau métallique thermiquement conducteur. L’utilisation d’un tel matériau favorise ainsi les échanges thermiques, et donc améliore l’efficacité du refroidissement mis en œuvre par la présente invention. Par exemple, au moins la première partie du carter est réalisée en aluminium ou en acier. En tout état de cause, cette première partie du carter présente une épaisseur comprise entre 3 mm et 5 mm.

Selon l’invention, la face interne de la paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice comprend au moins un moyen de fixation du carter. Tel qu’évoqué ci- dessus, on entend par « face interne », une face de la paroi du boîtier tournée vers le logement délimité par ce boîtier. Par exemple, cet au moins un moyen de fixation comprend au moins un, avantageusement deux, plot(s) creux configuré(s) pour recevoir au moins un organe de fixation, cet organe de fixation passant en outre à travers le carter. Par exemple, un filetage peut être réalisé dans le plot creux, c’est-à-dire sur une paroi interne de ce plot creux agencée au contact de l’organe de fixation, l’organe de fixation étant alors une vis. Par exemple, au moins une patte de fixation peut être ménagée sur le carter du module de commande, cette patte de fixation présentant au moins un ajour adapté pour recevoir l’organe de fixation. Avantageusement, le carter présente autant de pattes de fixation que la paroi du boîtier présente de plots. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de l’invention et que tout autre moyen de fixation du carter sur la paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice est envisageable sans sortir du contexte de la présente invention.

Selon différents exemples de mise en œuvre de la présente invention, on pourra prévoir qu’on moins un des organes de détrompage soit indépendant de l’au moins un moyen de fixation ou bien que ce(s) organe(s) de détrompage soi(en)t ménagé(s) sur l’au moins un moyen de fixation.

La présente invention concerne en outre un procédé d’assemblage d’un projecteur selon l’invention, comprenant au moins un étape de positionnement d’un dispositif d’étanchéité autour du bossage du carter du module de commande, au moins une étape d’insertion du carter du module de commande, au moins partiellement, à travers l’orifice ménagé dans le boîtier du projecteur, au moins une étape de connexion du module de projection au module de commande et au moins une étape de fermeture du boîtier du projecteur. Il est entendu que les étapes de connexion du module de projection au module de commande et d’insertion du module de projection dans le boîtier du projecteur peuvent être réalisées simultanément ou non sans sortir du contexte de l’invention.

D’autres détails, caractéristiques et avantages ressortiront plus clairement à la lecture de la description détaillée donnée ci-après en relation avec les différents modes de fonctionnement illustrés, à titre indicatif, sur les figures suivantes :

[Fig. 1] est une représentation schématique, de côté, d’un véhicule automobile équipé d’un projecteur selon la présente invention ;

[Fig. 2] est une représentation schématique, en coupe, du projecteur selon un mode de réalisation particulier de la présente invention ;

[Fig. 3] est une représentation, en perspective, d’un module de commande d’un module de projection d’un faisceau lumineux du projecteur selon le mode de réalisation particulier illustré sur la figure 2 ;

[Fig. 4] est une représentation, en perspective, d’une première partie d’un carter du module de commande illustré sur la figure 3;

[Fig. 5] est une représentation, en perspective, d’une paroi d’un boîtier du projecteur selon l’invention ;

[Fig. 6] est une représentation, en coupe, du module de commande illustré sur la figure 3.

Les caractéristiques, variantes et les différentes formes de réalisation de l’invention peuvent être associées les unes avec les autres, selon diverses combinaisons, dans la mesure où elles ne sont pas incompatibles ou exclusives les unes aux autres. On pourra notamment imaginer des variantes de l’invention ne comprenant qu’une sélection de caractéristiques décrites par la suite de manière isolée des autres caractéristiques décrites, si cette sélection de caractéristiques est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier l’invention par rapport à l’état de la technique antérieur. La figure i illustre un véhicule automobile 100 équipé d’au moins un projecteur 200 selon la présente invention, ce projecteur 200 étant par exemple illustré sur la figure 2. Un tel projecteur 200 comprend au moins un boîtier 201 qui délimite un logement dans lequel sont reçus au moins un module de projection d’un faisceau lumineux et au moins un module de commande de ce module de projection. Selon l’exemple illustré, ce projecteur 200 est plus particulièrement agencé à l’avant du véhicule 100, selon un sens S de déplacement principal du véhicule 100, mais il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de l’invention et que le véhicule 100 pourrait comprendre plusieurs de ces projecteurs 200, par exemple répartis entre l’avant et l’arrière du véhicule 100 sans sortir du contexte de la présente invention.

La figure 2 illustre ainsi le projecteur 200 selon un mode de réalisation particulier de la présente invention. Tel que mentionné, ce projecteur 200 comprend le module de projection 202 du faisceau lumineux et le module de commande 300 de ce module de projection 202. Le module de projection 202 et le module de commande 300 de ce module de projection 202 sont reçus dans le logement 203 délimité par le boîtier 201 du projecteur 200. Plus particulièrement, le boîtier 201 comprend au moins une paroi 210 externe - ci- après appelée « paroi 210 » - qui forme un bloc ouvert sur une face. Ce bloc est fermé par un écran 221, c’est-à-dire une paroi adaptée pour laisser passer le faisceau lumineux émis par le module de projection 202.

Tel qu’illustré, un orifice 213 est ménagé dans la paroi 210 du boîtier 201, le module de commande 300 s’étendant au moins partiellement à travers cet orifice 213. Plus particulièrement, le module de commande 300 comprend un carter 310 dans lequel sont logés au moins une carte 340 de circuits imprimés et au moins un composant électrique et/ou électronique 341. Le carter 310 présente en outre au moins un bossage 321 qui, tel que représenté, forme la partie du module de commande 300 qui s’étend au moins partiellement à travers l’orifice 213. La carte 340 de circuits imprimés s’étend quant à elle entièrement dans le logement 203 défini par le boîtier 201 du projecteur 200. Avantageusement, on comprend donc que le boîtier 201 du projecteur 200 participer à protéger cette carte 340 de circuits imprimés des agressions extérieures. Selon le mode de réalisation particulier de l’invention illustré ici, le carter 310 est plus particulièrement formé d’au moins une première partie 320 qui comprend au moins le bossage 321 et d’au moins une deuxième partie 330 fixée sur la première partie 320. Autrement dit, c’est la première partie 320 de ce carter 310 qui s’étend, au moins partiellement, dans l’orifice 213 ménagé dans la paroi 210 du boîtier 201 du projecteur 200. On note également que la deuxième partie 330 de ce carter 310 est entièrement reçue dans le logement 203 du boîtier 201. Avantageusement, et tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, seul le bossage 321 du carter 310 du module de commande 300 s’étend ainsi à l’extérieur du véhicule auquel est destiné le projecteur 200 selon l’invention. Un dispositif d’étanchéité 410 est par ailleurs interposé entre le bossage 321 du carter 310 qui s’étend à travers l’orifice 213 et une paroi périphérique 214 qui délimite, au moins partiellement, cet orifice 213. Ainsi, le projecteur 200 selon l’invention permet à la fois de protéger des agressions extérieures les éléments reçus dans le carter 310, c’est-à-dire au moins la carte 340 de circuits imprimés et les composants électriques et/ou électroniques 341 portés par cette carte 340 de circuits imprimés, tout en assurant le refroidissement de ces éléments grâce à la partie du carter 310 qui s’étend à l’extérieur du boîtier 201 et qui est avantageusement au contact d’un flux d’air frais amené à lécher cette partie du carter 310 qui s’étend à l’extérieur du boîtier 201. Les échanges thermiques opérés entre ce flux d’air et les composants électriques et/ou électroniques 341 logés dans le carter 310 sont plus amplement décrits ci-dessous.

Tel que mentionné ci-dessus, la carte 340 de circuits imprimés est intégralement reçue dans le logement 203 défini par le boîtier 201 du projecteur 200. Cette carte 340 de circuits imprimés est ainsi protégée des agressions extérieures, au moins en partie, par le boîtier 201 du projecteur 200 de sorte que le carter 310 du module de commande 300 qui loge cette carte 340 de circuits imprimés pourrait être dépourvu de sa deuxième partie 330, également intégralement reçus dans le logement 203 défini par le boîtier 201 du projecteur 200, sans que le fonctionnement de ce projecteur 200 ne soit impacté. Autrement dit, la description qui suit dans laquelle le carter 310 du module de commande 300 est formé de la première partie 320 et de la deuxième partie 330 ne donne qu’un exemple de réalisation de l’invention, qui ne limite pas cette invention. Tel que décrit ci-après, le carter 310 est en outre fixé sur la paroi 210 du boîtier 201 dans laquelle est ménagé l’orifice 213 grâce à une coopération entre au moins un moyen de fixation 211 ménagé sur cette paroi 210 du boîtier 201, au moins une patte de fixation 323 ménagée sur le carter 310 et au moins un organe de fixation 403 adapté pour relier cet au moins un moyen de fixation 211 à cette au moins une patte de fixation 323.

La figure 3 illustre, en perspective, le module de commande 300 du module de projection selon le mode de réalisation particulier de l’invention. Cette figure 3 rend partiellement visible le carter 310 dans lequel est logée la carte de circuits imprimés et les composants électriques et/ ou électroniques portés par cette carte de circuits imprimés. Tel qu’évoqué ci-dessus, ce carter 310 comprend au moins la première partie 320 - partiellement visible sur la figure 3 - et au moins la deuxième partie 330 fixée à la première partie 320. Tel que représenté, cette deuxième partie 330 forme un couvercle qui recouvre, partiellement, la première partie 320. Cette première partie 320 comprend au moins une plaque de fixation à la deuxième partie 330 et l’au moins un bossage 321 qui s’étend depuis la plaque de fixation, en éloignement de cette dernière. Sur la figure 3, la plaque de fixation est totalement recouverte par la deuxième partie 330 du carter 310 et n’est donc pas visible. Par exemple, la première partie 320 du carter 310 est monobloc, c’est-à-dire que la plaque de fixation et le bossage 321 constitutifs de cette première partie 320 forment un unique ensemble qui ne peut être séparé sans entraîner la détérioration de la plaque de fixation ou du bossage 321. Selon l’invention, au moins le bossage 321 de la première partie 320 du carter 310 peut être réalisée en un matériau thermiquement conducteur, par exemple un matériau métallique thermiquement conducteur. Avantageusement, la totalité de la première partie 320 du carter 310, c’est-à-dire à la fois le bossage 321 et la plaque de fixation formant cette première partie 320, peut être réalisé en le matériau thermiquement conducteur.

La deuxième partie 330 du carter 310 présente quant à elle, selon l’exemple illustré ici, une forme de parallélépipède rectangle ouvert sur une face. Autrement dit, la deuxième partie 330 comprend une paroi principale 331 qui s’étend majoritairement dans un premier plan Pi, et au moins quatre parois périphériques 332, 333 qui s’étendent depuis cette paroi principale 331 et qui sont parallèles deux à deux. On distingue, parmi ces parois périphériques 332, 333, deux parois appelées « petites parois 332 » et deux parois appelées « grandes parois 333 » en référence à leurs dimensions relatives les unes par rapport aux autres.

Selon l’exemple illustré, la première partie 320 du carter 310 est fixée sur la deuxième partie 330 de ce carter 310 par des moyens d’encliquetage 400. Ainsi, tel que cela sera plus amplement détaillé ci-dessous, la première partie 320 comprend au moins une languette élastique 401 adaptée pour coopérer avec une surépaisseur 402 ménagée sur la deuxième partie 330 du carter 310. Autrement dit, cette surépaisseur 402 assure un contact entre l’au moins une languette élastique 401 et la paroi de la deuxième partie 330 du carter 310 sur laquelle est ménagée cette surépaisseur 402. Plus particulièrement, on note que, selon l’exemple illustré, cette surépaisseur 402 est ménagée sur au moins l’une des deux grandes parois 333 de la deuxième partie 330 du carter 310. Tel que décrit ci-dessous en référence à la figure 4, la première partie 320 comprend en réalité une pluralité de languettes élastiques 401 adaptées pour coopérer avec une pluralité de surépaisseurs 402 ménagées sur la deuxième partie 330. En outre, la deuxième partie peut comprendre également au moins une, avantageusement une pluralité, de languettes élastiques adaptées pour coopérer par encliquetage élastique avec une pluralité de surépaisseurs ménagées sur la première partie. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de la présente invention et que tout autre moyen de fixation est envisageable, par exemple en prévoyant que la deuxième partie peut être vissée sur la première partie, sans sortir du contexte de la présente invention.

Tel qu’évoqué ci-dessus, le carter 310 du module de commande 300 pourrait être dépourvu de sa deuxième partie 330 sans sortir du contexte de la présente invention, auquel cas, ce carter 310 serait également dépourvu des moyens d’encliquetage 400 qui viennent d’être décrits.

Selon le mode de réalisation illustré, la deuxième partie 330 du carter 310 comprend également au moins une patte de maintien 334 adaptée pour maintenir la carte de circuits imprimés en position dans le carter 310. Autrement dit, on comprend que cette au moins une patte de maintien 334 est repliée vers l’intérieur du carter 310, c’est-à-dire vers un espace délimité par ce carter 310 et qui reçoit le carte de circuits imprimés et les composants électriques et/ ou électroniques portés par cette carte de circuits imprimés. Selon l’exemple illustré, la deuxième partie 330 du carter 310 comprend plus particulièrement deux pattes de maintien 334 portées par l’une des grandes parois 333 de cette deuxième partie 330 du carter 310. En outre, selon cet exemple, ces pattes de maintien 334 sont ménagées de part et d’autre des moyens d’encliquetage 400 portés par cette même grande paroi 333. Alternativement, la carte de circuits imprimés pourrait être directement fixée à la première partie du carter sans sortir du contexte de la présente invention.

On note par ailleurs la présence de deux pattes de fixation 323 ménagées en regard, respectivement, de chacune des petites parois 332 de la deuxième partie 330 du carter 310, et qui s’étendent en s’éloignant de cette deuxième partie 330 du carter 310. Tel que représenté, chacune de ces pattes de fixation 323 présente au moins un ajour 324 qui est adapté pour recevoir l’au moins un organe de fixation permettant la fixation du module de commande 300, et plus particulièrement du carter 310 de ce module de commande 300, dans le boîtier du projecteur.

Ces deux pattes de fixation 323 émergent plus particulièrement de la première partie 320 du carter 310 par exemple illustrée sur la figure 4. Cette figure 4 illustre ainsi, en perspective, un exemple de réalisation de la première partie 320 du carter 310. Tel que précédemment évoqué, cette première partie 320 comprend la plaque de fixation 322 à la deuxième partie du carter et le bossage 321 qui s’étend depuis cette plaque de fixation 322. Selon l’exemple illustré, cette plaque de fixation 322 s’étend principalement dans un deuxième plan P2 parallèle au premier plan précédemment évoqué et dans lequel s’étend majoritairement la paroi principale de la deuxième partie du carter. Cette plaque de fixation 322 présente une forme rectangulaire, ou sensiblement rectangulaire, c’est-à-dire qu’elle comprend au moins deux petits côtés 325 parallèles entre eux et deux grands côtés 326 perpendiculaires aux deux petits côtés 325 et parallèles entre eux. Selon cet exemple, les pattes de fixation 323 présentent, chacune, une forme d’équerre en L et émergent respectivement d’un des petits côtés 325 de cette forme rectangulaire. Autrement dit, chacune de ces pattes de fixation 323 présente au moins une première portion 327 qui s’étend perpendiculairement à la plaque de fixation 322 et au moins une deuxième portion 328 qui s’étend transversalement, avantageusement perpendiculairement, à cette première portion 327. Tel que représenté, les ajours 324 sont ménagés, respectivement, dans les deuxièmes portions 328 de ces pattes de fixation 323. Ces pattes de fixation 323 présentent en outre, chacune, une paroi de butée 329 qui s’étend perpendiculairement à la première portion 327 et à la deuxième portion 328 de la patte de fixation 323 concernée.

Tel qu’évoqué ci-dessus, la première partie 320 du carter présente en outre une pluralité de languettes élastiques 401 réparties sur le pourtour de la plaque de fixation 322 et destinés à coopérer avec les surépaisseurs ménagées sur la deuxième partie du carter. La première partie 320 du carter comprend également au moins une encoche 404, avantageusement, une pluralité d’encoches 404, adaptées pour coopérer avec des doigts d’encliquetage ménagés sur la deuxième partie du carter. Ces doigts d’encliquetage ne sont pas visibles sur les figures mais sont agencés de sorte à être positionnés en regard des encoches 404 une fois la première partie 320 et la deuxième partie du carter assemblées.

La plaque de fixation 322 présente en outre un renfoncement 322a depuis lequel s’étend le bossage 321. On entend par « renfoncement » une portion de la plaque de fixation qui s’étend dans un troisième plan parallèle au deuxième plan P2 dans lequel s’inscrit principalement la plaque de fixation 322. Plus particulièrement, la plaque de fixation 322 présente au moins une face interne 350 destinée à être en regard de la carte de circuits imprimés et de la deuxième partie du carter et au moins une face externe 351, opposée à la face interne 350, et destinée à être agencée en regard de la paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice précédemment évoqué et à travers lequel s’étend, au moins partiellement, la première partie 320 du carter 310. Le renfoncement 322a forme ainsi un creux dans cette face interne 350 de la plaque de fixation 322.

Le bossage 321 présente une forme de tube creux qui s’étend selon une droite d’extension principale D entre une première extrémité ouverte 321a qui débouche sur la plaque de fixation 322 et une deuxième extrémité fermée par une paroi de fond 321b. Autrement dit, cette paroi de fond 321b forme la portion du bossage 321 la plus éloignée de la plaque de fixation 322. Plus particulièrement, la première extrémité ouverte 321a débouche sur le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322. Autrement dit, un contour 321e délimitant la première extrémité ouverte 321a du bossage 321 s’étend majoritairement dans le troisième plan dans lequel s’inscrit majoritairement le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322. La paroi de fond 321b s’étend quant à elle majoritairement dans un quatrième plan parallèle au deuxième plan P2 dans lequel s’étend principalement la plaque de fixation 322. Le troisième plan et le quatrième plan dans lesquels s’étendent respectivement le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 et la paroi de fond 321b du bossage 321 sont par exemple illustrés sur la figure 6.

Tel que cela sera détaillé ci-dessous en référence à la figure 6, ce bossage 321 est défini par une paroi externe 321c qui délimite, avec la paroi de fond 321b, un espace 32id adapté pour recevoir, au moins partiellement, au moins un composant électrique et/ou électronique du module de commande.

En référence à la figure 5, nous allons maintenant décrire la paroi 210 du boîtier du projecteur avec laquelle le module de commande 300, tel qu’il vient d’être décrit, coopère. Tel qu’illustré, deux plots 211 émergent de cette paroi 210, et s’étendent, respectivement, selon un axe d’extension principal X perpendiculaire à un plan d’extension principal de cette paroi 210. Plus particulièrement, ces plots 211 s’étendent depuis une face interne 216 de la paroi 210, c’est-à-dire une face de cette paroi 210 tournée vers le logement délimité par le boîtier du projecteur. Ces plots 211 forment le moyen de fixation du carter du module de commande sur cette paroi 210 et, tel que précédemment évoqué, ils sont adaptés pour coopérer avec les pattes de fixation ménagées sur la première partie du carter telles que décrites ci-dessus. Tel que cela sera plus amplement détaillé ci- après, ces plots 211 sont creux et sont destinés à coopérer, chacun, avec un organe de fixation. En outre, chacun de ces plots 211 est renforcé par au moins une première nervure de renfort 212 qui émerge également de la face interne 216 de paroi 210 du boîtier. Selon l’exemple illustré, chaque plot 211 est renforcé par trois premières nervures de renfort 212 qui participent à la tenue mécanique de l’installation.

Par ailleurs, tel que précédemment décrit, un orifice 213 est ménagé dans la paroi 210 du boîtier, cet orifice 213 étant configuré pour recevoir, au moins partiellement, le bossage de la première partie du carter du module de commande. Selon l’exemple illustré, cet orifice 213 présente une forme circulaire et est bordé d’une paroi périphérique 214 qui émerge de la face interne 216 de la paroi 210 du boîtier et dont un axe de révolution R est parallèle aux axes d’extension principaux X des plots 211. Cette paroi périphérique 214 forme ainsi un contour de l’orifice 213 et elle est en outre renforcée par au moins une deuxième nervure de renfort 215. Selon l’exemple illustré, cette paroi périphérique 214 est renforcée par six deuxièmes nervures de renfort 215 qui émergent également de la face interne 216 de la paroi 210 du boîtier. Autrement dit on comprend que les plots 211 et la paroi périphérique 214 qui délimite, au moins partiellement, l’orifice 213 s’étendent entièrement dans ce logement délimité par le boîtier du projecteur. Il est entendu que la forme circulaire de la paroi périphérique 214 qui délimite l’orifice 213 et de cet orifice 213 n’est qu’un exemple de réalisation de l’invention et que cette paroi périphérique 214 et l’orifice 213 qu’elle délimite pourront prendre n’importe quelle autre forme sans sortir du contexte de l’invention à condition que l’orifice 213 soit adapté pour recevoir, au moins partiellement, le bossage de la première partie du carter tel que précédemment évoqué.

La figure 6 illustre, vue en coupe, la coopération entre le module de commande 300 et la paroi 210 du boîtier du projecteur qui vient d’être décrite, cette coupe étant réalisée selon un plan perpendiculaire au premier plan Pi et au deuxième plan P2 tels que définis ci-dessus, et qui passe par les deux pattes de fixation 323 de la première partie 320 de ce carter 310 et par les plots 211 ménagés sur la paroi 210 du boîtier. Tel que précédemment évoqué, le module de commande 300 est fixé sur la paroi 210 du boîtier du projecteur par l’intermédiaire d’au moins un organe de fixation 403 par exemple visible sur la figure 6. Plus particulièrement, selon l’exemple illustré, le module de commande 300 est rendu solidaire de la paroi 210 du boîtier grâce à deux organes de fixation 403 respectivement reçus, à la fois, dans l’un des ajours 324 ménagés dans chacune des pattes de fixation 323 ménagées sur la première partie 320 du carter 310 du module de commande 300 et dans l’un des deux plots 211 creux qui émergent de la paroi 210.

Cette figure 6 rend également visible la carte 340 de circuits imprimés reçue dans le carter 310 du module de commande 300. Plus précisément, cette carte 340 de circuits imprimés est reçue dans le carter 310, dans un espace défini à cet effet entre la première partie 320 et la deuxième partie 330 de ce carter 310. Cette carte 340 de circuits imprimés est agencée au contact de la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310 et s’étend de sorte à recouvrir au moins la première extrémité ouverte 321a du bossage 321 de cette première partie 320 du carter 310. Selon l’exemple illustré, la carte 340 de circuits imprimés s’étend en outre au-delà du renfoncement 332a depuis lequel s’étend le bossage 321. Autrement dit, cette carte 340 de circuits imprimés est en appui sur la plaque de fixation 322, au niveau d’un pourtour du renfoncement 322a. Tel que mentionné ci-dessus, cette figure 6 montre le troisième plan P3 dans lequel s’inscrivent majoritairement le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 et le contour 321e de la première extrémité ouverte 321a du bossage 321.

Tel que précédemment évoqué, une patte de maintien - non illustrée ici - de cette carte de circuits imprimés peut être ménagée sur la deuxième partie du carter de sorte à venir en appui contre cette carte de circuits imprimés et ainsi à la maintenir plaquée contre la plaque de fixation de la première partie du carter. Alternativement, la carte de circuits imprimés peut être directement fixée sur la première partie du carter par des moyens de fixation appropriés.

Cette carte 340 de circuits imprimés est en outre porteuse d’au moins un, avantageusement plusieurs, composants électriques et/ ou électroniques 341. Selon l’exemple illustré, au moins l’un de ces composants électriques et/ ou électroniques 341 s’étend, au moins en partie, dans l’espace 32id délimité par le bossage 321, c’est-à-dire par la paroi de fond 321b et par la paroi externe 321c de ce bossage 321. Tel qu’évoqué ci-dessus, la figure 6 illustre le quatrième plan P4 dans lequel s’étend majoritairement la paroi de fond 321b du bossage 321. Selon l’exemple illustré, le premier plan Pi dans lequel s’inscrit la paroi principale 331 de la deuxième partie 330 du carter 310, le deuxième plan P2 dans lequel s’inscrit majoritairement la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310, le troisième plan P3 dans lequel s’inscrivent majoritairement le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 et le contour 321e de la première extrémité ouverte 321a du bossage 321 et le quatrième plan P4 dans lequel s’inscrit majoritairement la paroi de fond 321b du bossage 321 sont parallèles les uns des autres.

Tel que précédemment évoqué, le bossage 321 est configuré pour s’étendre, au moins partiellement, dans l’orifice 213 ménagé dans la paroi 210 du boîtier du projecteur lorsque le module de commande 300 est fixé sur le boîtier du projecteur. Plus précisément, on note que le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310 est agencé au contact d’un bord d’extrémité libre 214a de la paroi périphérique 214, un dispositif d’étanchéité 410a étant interposé entre ce bord d’extrémité libre 214a et le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 selon l’exemple illustré sur la figure 6. Tel que décrit ci-dessous, ce dispositif d’étanchéité 410a est optionnel et, lorsque le projecteur selon l’invention est dépourvu de ce dispositif d’étanchéité 410a, le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 est agencé directement au contact du bord d’extrémité libre 214a de la paroi périphérique 214.

Le bossage 321 de la première partie 320 du carter 310 présente une hauteur H qui est mesurée parallèlement à la droite d’extension principale D du bossage 321, entre la première extrémité ouverte 321 du bossage 321 et la paroi de fond 321b qui ferme la deuxième extrémité de ce bossage 321. Selon l’exemple illustré, cette droite d’extension principale D du bossage 321 est confondue avec l’axe de révolution R de l’orifice 213 précédemment défini. Autrement dit, la hauteur H du bossage 321 est mesurée entre le troisième plan P3 dans lequel s’inscrivent majoritairement le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310 et le contour 321e de la première extrémité ouverte 321a du bossage 321 et le quatrième plan P4 dans lequel s’inscrit majoritairement la paroi de fond 321b du bossage 321.

On note que cette hauteur H du bossage 321 est supérieure à une épaisseur E de la paroi 210 dans laquelle est ménagé l’orifice 213, cette épaisseur E étant mesurée selon un axe perpendiculaire à un plan dans lequel s’étend principalement la paroi 210 du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice 321, entre la face interne 216 de la paroi 210 et une face externe 217 de cette paroi 210, cette face externe 217 de la paroi 210 étant tournée à l’opposé de la face interne 216 telle que définie précédemment, c’est-à-dire tournée vers un environnement externe au projecteur. Par exemple, le bossage 321 de la première partie 320 du carter 310 présente une hauteur H d’au moins 10 mm et la paroi 210 du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice 213 présente une épaisseur E inférieure ou égale à 4 mm.

En d’autres termes, le bossage 321 comprend au moins une portion qui s’étend au-delà de la paroi 210 du boîtier du projecteur en éloignement du module de commande 300. Ainsi, cette portion du bossage 321 s’étend à l’extérieur du boîtier du projecteur, et le cas échéant à l’extérieur du véhicule auquel est destiné le projecteur selon l’invention, alors que la majeure partie du module de commande 300 s’étend à l’intérieur du projecteur. Lorsque le véhicule se déplace, par exemple selon le sens S de déplacement principal illustré sur la figure 1, un flux d’air FA est généré. Ce flux d’air FA se propage, au moins partiellement, au contact de la portion du bossage 321 qui s’étend au-delà de la paroi 210 du boîtier du projecteur. Tel qu’évoqué précédemment, la première partie 320 du carter 310 du module de commande 300 peut être réalisée en un matériau métallique thermiquement conducteur, c’est-à-dire un matériau susceptible de récupérer les calories émises par le fonctionnement de la carte de circuits imprimés et des composants électriques et/ou électroniques 341 logés dans l’espace 32id défini par le bossage 321. Dans ce contexte, lorsque le flux d’air FA entre en contact avec le bossage 321, un transfert de calories s’opère en direction de ce flux d’air FA de sorte que les calories émises par le fonctionnement de la carte de circuits imprimés et des composants électriques et/ ou électroniques sont évacuées du boîtier du projecteur par ce flux d’air FA. Plus particulièrement, le flux d’air FA généré présente une température inférieure à une température de l’au moins un composant électrique et/ou électronique 341 lorsque celui-ci est en fonctionnement, de sorte que le flux d’air FA est apte à capter des calories émises par cet au moins un composant électrique et/ou électronique 341, permettant ainsi un maintien de cet au moins un composant électrique et/ou électronique 341 à une température acceptable, c’est-à-dire une température assurant son bon fonctionnement, tout en limitant les risques d’endommagement de cet au moins un composant électrique et/ou électronique 341. En d’autres termes, on comprend que la portion du bossage 321 qui s’étend au-delà de la paroi 210 du boîtier du projecteur, vers l’extérieur de ce projecteur, forme une zone d’échange de chaleur principale entre le flux d’air FA et l’au moins un composant électrique et/ou électronique 341 reçu dans l’espace 32id délimité par ce bossage 321.

Avantageusement, une pâte thermique 420 peut être interposée entre le composant électrique et/ou électronique 341 qui s’étend dans l’espace 32id délimité par le bossage 321 et la paroi de fond 321b de ce bossage 321. Cette pâte thermique 420 est ainsi agencée au contact, à la fois, du composant électrique et/ou électronique 341 et de la paroi de fond 321b du bossage 321 et permet d’améliorer la transmission de chaleur depuis ledit composant électrique et/ ou électronique 341 vers le bossage 321 et par suite vers le flux d’air FA.

L’orifice 213 est dimensionné de sorte que la paroi 210 du boîtier dans laquelle est ménagé cet orifice 213 puisse être traversée par le bossage 321, et ce en tenant compte des jeux de fabrication du module de commande 300 et du boîtier du projecteur. Il en résulte un jeu de montage entre la paroi externe 321c formant circonférence du bossage 321 et la paroi périphérique 214 délimitant, au moins partiellement, l’orifice 213 lorsque le bossage 321 est en position à travers la paroi 210 du boîtier.

Afin d’assurer une fermeture étanche du boîtier du projecteur qui reçoit le module de commande 300, et ainsi éviter que des salissures ou de l’eau par exemple ne pénètrent dans le boîtier via l’orifice 213, au moins un dispositif d’étanchéité 410, 410a est interposé entre le module de commande 300 et la paroi 210 du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice 213 dans lequel s’étend, partiellement, le bossage 321. De la sorte, on préserve la carte 340 de circuits imprimés et les composants électriques et/ ou électroniques 341 qu’elle porte de potentielles agressions extérieures.

Il est intéressant de noter que seul un dispositif d’étanchéité 410, 410a est nécessaire au niveau de l’orifice 213, sans qu’il soit nécessaire de prévoir un dispositif d’étanchéité supplémentaire sur tout le pourtour du boîtier entre la première partie 320 et la deuxième partie 330 du carter 310. Sur la figure 6, deux dispositifs d’étanchéité 410, 410a sont illustrés, mais il est entendu qu’il ne s’agit que d’une représentation schématique de l’invention qui ne limite pas cette dernière. Tel que plus amplement décrit ci-dessous, la présente invention prévoit de n’utiliser que l’un de ces dispositifs d’étanchéité 410, 410a à la fois. Autrement dit, on comprend que la figure 6 illustré, simultanément, deux exemples de réalisation distincts de la présente invention.

Ainsi, ce dispositif d’étanchéité 410 peut prendre la forme d’un joint torique interposé entre le bossage 321 et le contour de l’orifice 213, en l’espèce formé, au moins en partie, par la paroi périphérique 214 définie précédemment. Selon l’exemple illustré, le dispositif d’étanchéité 410 est ainsi, dans un premier temps, disposé autour du bossage 321, puis ce bossage 321 est inséré dans l’orifice 213, jusqu’à ce que le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310 vienne en butée contre le bord d’extrémité libre 214a de la paroi périphérique 214. Le dispositif d’étanchéité 410 se retrouve ainsi comprimé entre la paroi périphérique 214 et le bossage 321, assurant ainsi l’étanchéité du boîtier du projecteur. Alternativement, le dispositif d’étanchéité 410 peut être un joint à lèvre.

Alternativement, le dispositif d’étanchéité 410a peut prendre la forme d’un joint plat, alors interposé entre la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310 du module de commande 300, et plus particulièrement entre le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322, et le bord d’extrémité libre 214a de la paroi périphérique 214 qui délimite, au moins partiellement, l’orifice 213. Ainsi, selon cette alternative, le dispositif d’étanchéité 410a est agencé autour du bossage 321, au contact du renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 de la première partie 320 du carter 310, puis le bossage 321 est inséré dans l’orifice 213 de sorte qu’en fin de course, le dispositif d’étanchéité 410a soit comprimé entre le renfoncement 322a de la plaque de fixation 322 et le bord d’extrémité libre 214a de la paroi périphérique 214.

Bien qu’ils ne soient pas représentés ici, on pourra en outre prévoir la présence d’organes de détrompage. Ainsi, au moins un premier organe de détrompage pourra par exemple être ménagé sur la paroi du boîtier dans laquelle est ménagé l’orifice à travers lequel s’étend, partiellement, le bossage de la première partie du carter du module de commande et au moins un deuxième organe de détrompage ménagé sur le carter de ce module de commande et adapté pour coopérer avec le premier organe de détrompage. Avantageusement, ce premier organe de détrompage et ce deuxième organe de détrompage sont alors configurés pour assurer le bon positionnement du module de commande, c’est-à-dire un positionnement qui permette de réaliser une connexion simple et durable entre la carte de circuits imprimés reçue dans le carter du module de commande et le module de projection reçu dans le boîtier du projecteur selon l’invention.

Par exemple, le premier organe de détrompage peut être une nervure et le deuxième organe de détrompage une rainure adaptée pour recevoir la nervure. Il est entendu qu’il ne s’agit que d’un exemple de réalisation de la présente invention non limitatif de celle-ci et qu’on pourra par exemple prévoir que le premier organe de détrompage soit formé par une rainure et le deuxième organe de détrompage par une nervure adaptée pour être reçue dans la rainure, ou bien que ces premier et deuxième organes de détrompage soient réalisés par n’importe quels autres moyens adaptés pour coopérer deux à deux sans sortir du contexte de l’invention. Selon un exemple particulier de la présente invention on pourra prévoir que le premier organe de détrompage et le deuxième organe de détrompage soient combinés avec les moyens de fixation du carter du module de commande dans le boîtier du projecteur. Notamment, les plots formant ces moyens de fixation tel qu’évoqué ci-dessus, peuvent présenter une forme particulière adaptée pour coopérer avec une seule des pattes de fixation ménagées sur le carter du module de commande. Alternativement, les organes de détrompage peuvent être totalement indépendants de ces moyens de fixation.

Il résulte de ce qui précède que l’assemblage d’un projecteur selon l’invention comprend au moins les étapes de :

- positionnement du dispositif d’étanchéité autour du bossage de la première partie du carter du module de commande,

- positionnement du module de commande dans le logement délimité par le boîtier du projecteur, de sorte que le bossage de la première partie du carter de ce module de commande s’étende, au moins en partie, dans l’orifice ménagé dans l’une des parois de ce boîtier, et que le dispositif d’étanchéité soit comprimé entre la paroi périphérique qui délimite, au moins partiellement, l’orifice et au moins une partie du carter du module de commande,

- positionnement du module de projection dans le logement défini par le boîtier du projecteur et connexion de ce module de projection au module de commande préalablement installé

- fermeture du boîtier du projecteur.

Il est entendu que les étapes de positionnement du module de projection dans le boîtier et de connexion de ce module de projection au module de commande peuvent être réalisées conjointement ou successivement sans sortir du contexte de la présente invention.

On comprend de ce qui précède que la présente invention propose ainsi un moyen simple et peu coûteux d’intégrer le module de commande dans le boîtier d’un projecteur, limitant ainsi la multiplication des points d’étanchéité, tout en assurant un refroidissement optimal de ce module de commande, et plus particulièrement des composants électriques et/ou électroniques de ce module de commande.

La présente invention ne saurait toutefois se limiter aux moyens et configurations décrits et illustrés ici, et elle s’étend également à tout moyen et configuration équivalent ainsi qu’à toute combinaison techniquement opérante de tels moyens. Ces moyens et configurations pourront être modifiés sans nuire à l’invention dans la mesure où ils remplissent les fonctionnalités décrites dans le présent document.