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Title:
HYDRAULIC MOTOR, AND ELECTRICITY, AIR, AIR-CONDITIONING, AND HEATING GENERATION
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2012/010939
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a hydraulic motor, including piston liners (A, B, C and D of figure A no. 07.07/12 and A, B, C, D and E of figure A no. 08.08/12) operating as double-acting cylinders, a hollow cavity being provided on the skirt of the pistons, said pistons being made of two or three portions, with (15) a ring (A of figure A no. 08.08/12) providing the seal between the chambers of the hollow cavity and being mounted between the liners (5 and 6), wherein (3) is shrink-fitted into (9) of the piston (E of figure A no. 08.08/12), the liners (A, B, C and D) enabling the assembly of the piston liners, an intermediate ring provided between the two liners ensuring the seal between the pressure chamber and the return chamber leading to the tank according to the assembly modes (B of figure A no. 08.08/12), wherein other assemblies are shown (A of figure A no. 08.08/12), and the hydraulic pressure or the return to the tank is ensured by, inter alia, mounting SAE flanges or by direct intake through a cylindrical gas coupling (B of figure A no. 08.08/12). Said hydraulic motor operates with the pistons by propelling or drawing same by means of hydraulics, a vacuum, or compressed air (A, B, C or D of figure A no. l.1/12 and figure A no. 8.8/12). (D of figure A no. 08.08/12) shows hydraulic seals (2) on the parts of the piston (4 and 3), enhancing the seal between the motor oil and the hydraulic oil, wherein (3) is screwed onto (4) and locked by two hexagon socket countersunk head cap screws for the removal of the piston nose (3). Said motor generates electricity by driving an alternator, as well as compressed air and heating by means of plate and baffle radiators acting as a heat exchanger, and also by means of crown-shaped aluminium radiators having baffles or coils, nested inside one another, wherein an air-conditioning and water-production system enables the hydraulic motor to be cooled.

Inventors:
STRZYZEWSKI PATRICK MARCEL (FR)
Application Number:
PCT/IB2011/001643
Publication Date:
January 26, 2012
Filing Date:
July 12, 2011
Export Citation:
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Assignee:
STRZYZEWSKI PATRICK MARCEL (FR)
International Classes:
F01B17/02; F01B29/02; F16J1/09; H02K49/10; H02K53/00
Domestic Patent References:
WO1997041993A11997-11-13
WO2006027562A12006-03-16
Foreign References:
EP2141324A22010-01-06
EP1950426A22008-07-30
US6035634A2000-03-14
US5361680A1994-11-08
Other References:
None
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Claims:
REVENDICATIONS

1). Le procédé suivant l'invention fig. A 1.1/12 à 12.12/12 porte sur un moteur hydraulique ce moteur hydraulique fonctionne avec plusieurs types de pistons suivant les Fig A N°l .l/12 et Fig A N°8.8/12 en propulsant ou en aspirant ces derniers, sous l'effet de plusieurs énergies, l'hydraulique qui est1a plus pertinente ou autres comme le vide ou l'air comprimé suivant les rep A, B, C ou D de la Fig A N° 1.1/12, sous le principe de cavités creuses externes sur les jupes des pistons ou internes à ces derniers rep B et rep D et E de la Fig A N°8.8/12 ou le piston travaille comme un vérin à double effet, propulsé sous l'effet de la pression hydraulique vers le point mort haut ou bas ou vers les deux, différents type de montages chemises-pistons rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12 et rep A, B, C, D et E de la Fig AN°08.08/12 faisant apparaître des pistons travaillant comme des vérins à double effet, avec une cavité creuse sur la jupe du piston, ce dernier étant confectionné en trois parties, avec rep 15 une bague acier traitée rep A Fig A N°08.08/12, qui assure Pétanchéité entre les chambres de la cavité creuse du piston et qui est montée entre les deux chemises rep 5 et 6 de la figure rep A Fig A N°08.08/12, elle peut avoir différentes forme et étanchéité suivant rep B Fig A N°08.08/12, pour permettre la réalisation de cettetechnologie, la pièce rep3 du piston qui reçoit le pied de bielle et son axe sera emmanchée bloque presse à l'azote dans la pièce rep9 du piston rep E Fig A N°08.08/12, toutes les pièces du piston seront en alliage d'aluminium voir autres,. On peut utiliser un piston dit à tiroirs avec des rainures, comme les réducteurs de pression, on supprime donc les segments au niveau de la tête et du bas de la jupe du piston, en ne conservant que le segment central. On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A N°01.01/12 pourtous les concepts de moteur temporel à variation de vitesse (MTW), différents types de pistons à cavités creuses A et B ou des segments spécifiques rep N° 5 sur la couronne entre les cavités creuses A et B, pour provoquer une fuite hydraulique entre les zones A et B, de manière à propulser les pistons vers le point mort haut ou bas, suivant que la pression hydraulique ou autres arrivent par le rep N° 12 ou 13. Ce mode de conception de différentes formes pour provoquer la fuite hydraulique entre la zone A et B,permettra d'améliorer le rendement et la puissance du moteur en diminuant les pertes de rendement. Ceci dit en diminuant la surface à l'emplacement des orifices qui provoquent la fuite hydraulique entre les zones A et B, soit en réalisant les orifices sur les segments, soit en réalisant les orifices sur la couronne qui sépare les deux zones A et B suivant On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A 01.01/12, ce qui contribue à améliorer le rendement en augmentant la force exercée par la pression hydraulique sur lasurface opposée à celle des orifices des cavités creuses A te B. Suivant ces différents concept de pistons, on peut réaliser tous les types de forme pour permettre une fuite hydraulique entre les zones A et B. Suivant la figure repA Fig A No01.01/12 la fuite hydraulique est obtenue par un usinage en forme de rainure rectangulaire autour de la couronne qui sépare les deux zones A et B. La fuite hydraulique peut être obtenue par un usinage en forme de vé autour de la couronne qui sépare les deux zones A et B, ceci dit on peut réaliser aussi un mode d'usinage en demi-cercle ou autre, pour réaliser cette fuite. Cette fuite hydraulique, obtenue par usinage en forme de rainure, de demi-cercle ou de vé sur les segments, mais seulement entre les cavités creuses des zones A et B, ce qui permet de diminuer au maximum, le surface de la couronne entre les zones A et B, pour améliorer le rendement et la force au maximum sur la surface opposée. Si on envoyé une pression hydraulique dans une cloison fermée les forces s'équilibre et il n'yaurait pas de mouvement, d'où l'importance de cette fuite hydraulique. Le descriptif de la figure rep D de la Fig A N°08.08/12 présente des améliorations technique, des joints hydraulique ont été préconisé et rajouté suivant le rep2 sur les pièces du piston rep4 et rep3, pour améliorer l'étanchéité entre l'huile moteur et l'huile hydraulique une autre amélioration consiste à bloquer la pièce rep3 sur la pièce rep4 une fois vissées entre elles, par l'intermédiaire de deux vis CHC creuses à tête fraisée, pour permettre undémontage plus aisé du nez de piston rep3 et son blocage en rotation, mais tout autre système de blocage peut être préconisé. Le moteur hydraulique fonctionnant avec ces types de pistons est alimenté dans le cas de l'hydraulique avec les pistons rep D et E de la Fig A N°8.8/12, par deux motos pompes hydraulique, travaillant en alternance, il est bien entendu que l'énergie thermique fourni par les motos pompe hydraulique, le moteur hydraulique et le laminage de l'huile hydraulique dans les tuyaux et les appareils,est véhiculé vers les radiateurs d'une habitation par l'accélérateur de circuit eau, par échange thermique avec les radiateurs à plaques à eau Fig A N°12.12/12 rep A, B, C et D qui sont assemblés et positionnés dans ces deux groupes hydraulique au nombre de cinq radiateurs à plaques par groupe. On utilisera suivant le descriptif rep D de la Fig A N°01.01/12 des pistons repOl et des chemises rep 14, spécifiques qui seront montés dans tous les moteurs, avec tous les types d'énergies et carburants. La forme en côneou autre forme concave du bouchon rep 16, permet de canaliser, de concentrer et d'augmenter la force de poussée par la pression hydraulique sur le piston repOl, dans la chambre en PMH. . Il est bien entendu que ce système suivant la cavité creuse rep B, permet d'adopter ce principe sur tous les types de pistons et moteurs, permettant d'allonger le temps d'ouverture des appareils de régulation hydraulique, par l'augmentation de la hauteur de la cavité creuse rep B sur la jupe du piston repOl, par rapport à la courseet à la vitesse moyen du piston.

2). Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que le piston rep B de la Fig A N°l.1/12 à la particularité de conjuguer deux énergies complémentaires celle des aimants permanents de type, néodyme au fer bore ou samarium cobalt, ces aimants sont inaltérables, résistent à des températures de 300° avec une durée de vie de vingt années garantie, ce type de piston rep A peut utiliser commeénergie complémentaire la pression hydraulique, le vide ou l'air comprimé fournis par une pompe. Il est bien entendu que tous ces types de pistons et d'énergie peuvent se monter sur tous les types de moteurs thermiques existant, remplaçant ainsi les carburants existants. Ces aimants sont à une distance précise et bien définie en position supérieure du piston, un usinage cylindrique en forme de queue d'aronde recevra les aimants rep6 et 9 qui auront une forme en biseau conique de manière à être bloqués au montage sur lepiston repl, ces derniers seront chargés tel un barillet par les rainures repl 11, qui auront été usinées, ces dernières seront rebouchées une fois les aimants mis en position avec de l'étain ou de la résine pour éviter que ces derniers bougent, mais ces aimants et l'usinage qui les recevront, pourront être de toutes les formes. ·

3). Procédé selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce que l'invention doit concevoir le 75refroidissement du moteur hydraulique, il est doté d'un radiateur à huile de même type que le radiateur à eau de tous les moteurs thermique, faisant circuler l'huile moteur dans ce radiateur, par la pompe à huile de ce moteur, un ventilateur qui débraille en fonction de la température assure le refroidissement de l'huile, mais un système de climatisation suivant l'invention Fig A N°9.9/12, permet de refroidir le système, avec plus d'efficacité, car l'ensemble de l'installation chauffage étant placé dans un local fermé,

80mais ventilé, ne suffirait pas, d'où l'importance de ce type de climatisation rep C Fig A N°9.9/12

confectionnée par des tubes suivant les rep 2 et 1 de la Fig A N°9.9/12 et rep C et 13 de la Fig A N°9.9/12, qui sont dotés à l'intérieur de petites éprouvettes remplies d'azote, de dioxyde de carbone ou de gaz carbonique, ceux ci sont plongés dans les tubes d'eau rep 2 et 1 ou autres produits liquide rep C de la Fig A N°9.9/12, le rep B de cette même figure montre le mode de fabrication possible des éprouvettes,

85mais tous les autres modes peuvent être appliqués, ce système suivant l'invention permet par choc thermique de congeler les tubes d'eau repl et 2, suivant rep A et rep C de la Fig A N°9.9/12, mais aussi de produire de l'eau par choc thermique et condensation, cette application peut être utilisé aussi pour climatisation dans les véhicules. La présente invention rep A, B et C Fig A N°09.09/12 porte sur un système et procédé de climatisation qui remplaceraient les refroidissements actuels des centrales

90nucléaires évitant ainsi le rejet des eaux dans les cours d'eau et les mers, car il fonctionnera en circuit fermé. Il peut aussi suivant le même principe rep C Fig A N°09.09/12, faire de la climatisation et remplacer la aussi les systèmes actuels. Il peut aussi réaliser une réfrigération dans les glaciaires, suivant fig. rep A, B Fig A N°09.09/12

4). Procédé selon la revendication 2 ou 3 caractérisé en ce que la gestion du système de

951'invention que cela soit pour un véhicule ou en mode de chauffage toutes la technologie mise en place dans l'invention reste la même, la gestion hydraulique du système suivant le rep C de la Fig A

N°l 1.11/12, se fait par des clapets pilotés rep B, C et D de la Fig A N°2.2/12 et rep A de la Fig A N°3.3/12 pour permettre d'acheminer la pression hydraulique vers les cavités creuses des pistons et permettre leurs propulsions vers le point mort haut ou bas, pour ce qui est de l'autre cavité opposée elle lOOpermet d'acheminer l'huile sans résistance vers le retour au réservoir, les clapets pilotés sont avec les injecteurs les appareils qui peuvent réagir à l'ouverture et à la fermeture le plus rapidement, car il faut absolument rester dans la plage de 5 àl5 millisecondes, pour pouvoir gérer sans problème des vitesses de rotation allant de 1000 à 5000tr/min, voir plus, un limiteur de pression rep A Fig A N°2.2/12 fera varier la pression hydraulique et le débit en fonction de la demande pour atteindre la vitesse voulu par le client 105suivant les différents types d'utilisation, plus on augmentera la tension électrique sur la bobine, plus la pression hydraulique et le débit augmenteront et inversement, ce type d'appareil va jouer le rôle d'accélérateur, qui dit débit dit vitesse et qui dit pression dit couple et puissance, il faut donc savoir gérer ces deux principes pour le fonctionnement d'un moteur hydraulique sur un véhicule, ce qui n'est pas le cas en mode chauffage ou production électrique par entraînement d'un alternateur pour alimenter en

1 1 Oélectricité une habitation, car dans ce dernier cas, il faut maintenir une vitesse constante de 1500tr/min, d'où la nécessité de gérer tous ces appareils de cette manière. 5) . Procédé selon la revendication 3 ou 4 caractérisé en ce que l'invention a permis d'établir différents types de montages chemises pistons rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12 et rep A, B, C, D et E de la Fig A N°08.08/12 faisant apparaître des pistons travaillant comme des vérins à double effet,

1 15avec une cavité creuse sur la jupe du piston, ce dernier étant confectionné en trois parties, les chemises rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12 et rep A de la Fig A N°08.08/12 en une, deux ou trois parties, ce dernier cas est retenu, permettant l'assemblage chemise piston plus facilement, une bague intermédiaire entre les deux chemises assurera l'étanchéité dans la chambre des pistons vérins à double effet entre la chambre pression et la chambre retour au réservoir suivant les modes de montage rep B de la Fig A

120N°08.08/12, mais d'autres montage de cette bague intermédiaire sont mis en évidence rep A de la Fig A N°08.08/12, la pression hydraulique ou le retour vers le réservoir chemine suivant un montage par des brides SAE ou une arrivée direct par un raccord gaz à pas cylindrique avec joint ou autres. Le problème que la présente invention se propose de résoudre, réside dans la conception d'un moteur hydraulique fonctionnant avec une énergie propre, une autonomie et une puissance qui peut rivaliser avec le moteur

125thermique essence, diesel ou gaz et d'autres domaines comme les éoliennes pour fournir de l'électricité, le chauffage, mais aussi la climatisation pour les habitations et l'industrie. Il est bien entendu que tous les types de moteur, de tous les types de carburants peuvent être utilisés pour élaborer le système MTW. Dans l'invention, la solution de ce problème consiste à équiper ce moteur d'un nombre d'ensemble de pistons indéterminé en ligne, en vé ou en étoile suivant les encombrements et les espaces déterminés par

1301e type de moteur.

6) . Procédé selon la revendication 4 ou 5 caractérisé en ce que l'on utilisera suivant le descriptif rep D de la Fig A N°04.04/12 pour définir le potentiel et la finalité du moteur MTW dans son potentiel industriel, suivant rep D de la Fig A N°04.04/12 ont voit apparaître la gestion de ce concept MTW, mais qui font l'objet d'études spécifiques suivant chaque moteur thermique ou de projet

135chauffage, suivant rep D de la Fig A N°04.04/12, on voit apparaître la gestion d'un moteur hydraulique MTW, on a rep 13 une pompe hydraulique qui fournit la pression de 0 à 250 bars par l'intermédiaire de l'appareil rep 05 qui distribue son énergie pression, donc couple et puissance par les appareils hydraulique repOl , 02, 03 et 04 vers les pistons 1,2,3 et 4, en sachant que sur deux tours de vilebrequin, il y a deux pistons en PMH et deux pistons en PMB. On alimente donc en alternance et en pression hydraulique les

140pistons par paire. Un moteur électrique 12 ou 24 volts à 1500 tr/min, entraînera la pompe hydraulique rep 13 qui permettra le démarrage du moteur thermique et son maintien au ralenti allant de 800 à 1500 tr/min suivant les cas, le moteur thermique quatre cylindres ici représenté, sera donc au ralenti et permettra par le biais d'une poulie située dans l'axe du vilebrequin repl8 d'entraîner une deuxième pompe hydraulique repl2, qui elle fournira du débit hydraulique au moteur MTW en gavant les circuits, ce

145même vilebrequin repl 8 entraînera un alternateur 12 ou 24 volts, en passant par un générateur repl6 et un transformateur d'énergie, qui permettra l'alimentation du moteur électrique repl4 et de la batterie repl 5, il est bien entendu que toute cette gestion dépendra de l'appareil rep05, qui jouera le rôle d'accélérateur, suivant que la tension augmentera sur sa bobine électro-magnétique faisant de la même manière augmenter la pression hydraulique dans les circuits, on aura un radiateur repl 1, qui lui jouera le rôle de

150refroidisseur hydraulique, car ce n'est plus de l'eau, mais bien de l'huile minérale qui y circulera, cette même huile repartira au carter cylindre du moteur MTW, en passant par un filtre retour avec bi- passe, avec indicateur électrique d'encrassement, l'huile de retour dans le carter cylindre moteur MTW et filtrée, sera de nouveau aspirée par les deux pompes hydraulique, il est à noter qu'un clapet anti-retour permettra de maintenir en charge les pompes hydrauliques, pour éviter la cavitation.

155 7) Procédé selon la revendication 5 ou 6 caractérisé en ce que l'on utilisera suivant les

descriptifs rep A, B et C de la Fig A N°06.06/12 pour gérer l'ensemble des moteurs hydraulique dans le chauffage, un ensemble d'installation doté de différents appareils, qui assureront la mise en œuvre et la gestion du chauffage dont un échangeur thermique spécifique rep A et B de la Fig A N°06.06/12 répondant à trois critères débits important de circulation d'eau, débits important de circulation d'huile et

160puissance calorifique importante. Aucun fabricant et fournisseur de cette gamme n'ont pu répondre et satisfaire mon cahier des charges en ce qui concerne les débits et puissances importantes, c'est pourquoi j'ai inventé ce concept pour me permettre de résoudre mes études et devis, concernant des puissances calorifique très élevées qui peux atteindre 1800Kw. Cet échangeur thermique est doté de tube cuivre rep3 de tout diamètre ou circule de l'huile qui va réchauffer l'eau qui rentre d'un coté et ressort de l'autre, c'est

165donc un échangeur eau-huile, mais cela peut être eau-eau, air-huile ou huile-huile ect.... La particularité se trouve dans l'assemblage est la forme du serpentant réchauffeur rep3, qui a une forme de spirale en escargot, dont les spires sont écarté les une des autres, d'une distance dépendant du diamètre du tube cuivre utilisé, mais elle ne sera pas supérieure à deux centimètres et sera maintenu par un croisillon d'une épaisseur de deux centimètres, dont des empreintes de chaque côté des croisillons, épouseront la forme

170des spirales en escargot, pour recevoir les tubes cuivre de différents diamètre, ce croisillon sera percé en son centre par un trou de forme carré ou autre, pour éviter la rotation des croisillons, ce trou carré recevra un tube carré, qui sera enfilé à travers tous les croisillons et positionné sur les brides rep2, l'ensemble des spires et croisillons, ainsi que les brides rep2, seront serrés et assemblés par l'intermédiaire d'une tige fileté inox et écrou inox qui ne se desserrent pas. Il est à noter, que les tubes ou tiges cuivre rep5 sont

175soudés sur les spires et tubes cuivre en forme d'escargot rep3, ainsi que sur les brides rep2, pour assurer l'assemblage et la tenue de l'ensemble, dans le cas du montage avec les croisillons, on conserve les tubes ou tiges cuivre rep5, sur le diamètre extérieur de la bride rep2, on peut donc adopter les deux principes de montage, sans croisillon ou avec tubes ou tiges. Cette échangeur est donc réalisé en deux parties, rep A et B de la Fig A N°06.06/12, ces deux ensemble sont conçus, par un tube PN150 rep6, voir autre diamètre,

180suivant les puissances demandées par les installations de chauffage. Une bride rep8, avec des perçages rep9, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage des deux parties de Péchangeur, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide entrant qui est l'eau. Une autre bride rep 10, avec des perçages repl 1, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage des deux parties de l'échangeur, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide sortant qui est l'eau, cette bride est usiné avec un épaulement

185d'un diamètre inférieur à la PN150 rep6, de manière à retenir et bloquer l'ensemble des spires en escargot par l'intermédiaire des brides rep2, ce système d'assemblage permet le démontage et remontage de l'ensemble, la maintenance et le dépannage, sans arrêter l'installation de chauffage. La deuxième partie de l'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 permet de rentrer ou sortir l'ensemble des spires en escargot dans le fût de la PN150 rep6 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12, cette partie de

1901'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 est conçu avec une PN150 rep6, une bride rep8, avec des perçages rep9, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage de cette partie de l'échangeur sur la PN150 du réseau principale de l'installation de chauffage, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide entrant qui est l'eau. Une autre bride rep 10, avec des perçages repl 1, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage de cette partie de l'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 sur l'autre partie de

1951'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 du coté de là bride rep8 fluide entrant, cette bride sera soudée sur la PN150 rep6, du coté du fluide sortant qui est l'eau, cette bride est usinée avec un épaulement d'un diamètre inférieur à la PN150 rep6, de manière à retenir et bloquer l'ensemble des spires en escargot par l'intermédiaire de la bride rep2 coté bride rep8 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 fluide entrant. La partie rep B de la Fig A N°06.06/12 fait apparaître les deux tubes cuivre rep3, qui

200viennent de la partie échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 en traversant la bride rep2 suivant la

tuyauterie huile entrée HE 80° et la tuyauterie huile sortie HS 40°, ces mêmes tuyauterie HE80° et HS40° sont soudées rep7 sur la P 150 rep6, la tuyauterie HS40° huile sortant est enroulée sur le tube extérieur de la PN150 rep6 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12, qui est protégé par une gaine anti usure pour le tube rep3, cela permettra d'éviter des déperditions de calories de chaleur par le tube

205PN150 rep6 et donc par ce biai d'améliorer encore plus la puissance calorifique du système, il est a noté que l'on améliorera encore plus cette déperdition en venant isolé les spires rep3 enroulées sur la P 150 rep6 avec de la laine de roche voir autres isolants, il est à noter aussi que deux tôles en forme de demi lune viendront se positionner autour de la PN150 rep6 pour protéger l'isolant et améliorer l'isolation et elles seront fixées par des vis sur les brides rep8 et 10 de l'échangeur. Le descriptif rep A de la Fig A

21006.06/12 fait apparaître la bride rep8 coté entrant fluide eau EE40°, elle dévoile aussi la forme de la première spirale en escargot du tube cuivre diamètre ici 18mm, mais il peut être de tous les diamètres ou circule le fluide hydraulique ici de l'huile, qui va libérer ses calories au fluide circulant qui est l'eau pour être dirigé vers les radiateurs ou autre système, on voit donc apparaître le sens de circulation du fluide hydraulique et sa température rep HE80° et HS40°, on peut donc aussi dire que le flux qui est l'eau et le

215flux qui est l'huile circule en opposition dans l'échangeur pour permettre un meilleur échange calorifique, les tubes ou tiges rep5 sont soudées sur les tubes cuivre rep3 de chaque spirale, pour permettre leurs assemblage, leurs positionnement et éviter surtout leurs usure, qui pourraient occasionner des fuites d'huile. La bride rep2 est percée de multiple trous repl qui vont permettre le passage du fluide entrant qui est l'eau par ces trous sous un certain débit, plus il y a de trous plus il y a de débit, on peut voir apparaître

220que les perçages rep4 sont tous percé suivant un axe angulaire et il faudra donc réaliser un maximum de trous à perçage angulaire, ce qui permettra au fluide entrant qui est l'eau de tourbillonner dans tous les sens à l'intérieur de l'échangeur avant de ressortir, ce qui permettra un meilleur échange thermique, avec plus de puissance calorifique, à noter que tous les perçages angulaires sont percé dans toutes les directions. Cette bride sera percé aussi de trou qui recevront les tubes ou tiges rep5, à noter qu'elles seront

225soudées sur la bride rep2 au niveau des trous réalisés à cet effet et soudées aussi sur tout les tubes rep3 qui forment chaque spirale, à noter aussi que les perçages de cette même bride qui reçoivent les tubes cuivre rep3 HE80° et HS40°, qui communiquent avec les deux parties de l'échangeur rep A et B de la Fig A 06.06/12 sont aussi soudés sur la bride rep2.Ce procédé permet de réaliser des échangeur thermique de toutes les puissances avec des circulations de débit d'eau important, on augmente le diamètre et la

2301ongueur de l'échangeur, mais l'avantage non négligeable c'est que cette échangeur se positionne dans la continuité des tuyauteries des installations de chauffage, donc encombrement nul et efficacité maximum, de la qualité et des prix compétitifs. La bride rep2 dans le cas d'un montage avec croisillons, aura un perçage en son centre en fonction du diamètre de la tige fileté inox qui assurera le serrage de l'ensemble, cette même bride sera percé aussi en son centre sur la partie intérieure de la bride coté échangeur sur

23510mm, d'un trou carré qui recevra le tube carré et sa tige fileté inox, passant à travers tous les croisillons, pour assurer le montage et le serrage de toutes les spires entre elle à un certain couple entre les brides rep2, ceci pour éviter l'usure des tubes cuivre des spires rep3 et d'éviter la rotation des croisillons à l'intérieur de l'échangeur. La bride rep2 aura donc une épaisseur allant de 20 ou 30mm, voir plus. Pour ce qui est du descriptif rep C de la Fig A N°06.06/12, elle montre une solution avec la spire sortante rep3 à

240travers le tube de la PN 150 rep6, du coté de la bride rep 10, un raccord rep 12 est soudé sur la tuyauterie rep3 sortant de l'échangeur, un tuyau cuivre fileté mal viendra se visser dans le raccord rep 12 avec un produit oléo étanche, le tuyau rep3, sera alors enroulé autour du diamètre extérieur de la P 150 rep6, de la même manière que le descriptif en a fait l'objet ci dessus, il est à noter cependant qu'une cale cuivre sera soudée de part et d'autre des spires enroulées autour du diamètre extérieur de la PN150 rep6, pour

245éviter le contact des spires entre elles, qui provoquerait une usure rapide et anormale des tubes cuivre des spires enroulés autour de la PN150 rep6, pour ce qui est de la conception , elle reste la même que l'échangeur rep A et B de la Fig A N°06.06/12. Pour ce qui est de la nourrisse de distribution des réseaux d'eau entrant, il est bien entendu qu'il faut pouvoir assumer le même débit entrant que sortant, tout en assurant un échange thermique et une puissance calorifique importante, il faut donc pour un certain débit

250entrant, monter et installer plusieurs échangeurs thermique, pour ce la on utilisera un tuyau PN150 ou autre suivant l'installation, positionné verticalement, on aura d'un coté une bride PN150 qui sera raccordée sur la bride PN150 du réseau circuit eau chauffage, de l'autre coté dans le même axe horizontal de la PN150 verticale, on aura quatre brides PN150 positionnées de manière à recevoir les quatre échangeurs thermique qui permettrons de restituer la puissance calorifique nécessaire à l'installation de

255chauffage, mais aussi le débit nécessaire, on en conclu que la conception de cette échangeur permet d'augmenter la puissance calorifique, ainsi que le débit en augmentant le nombre d'échangeur thermique. Ce produit et concept permet de résoudre un très grand problème au niveau des charges des bâtiments publics, en réduisant les charges de chauffage, tout en permettant de produire de l'énergie électrique par l'intermédiaire d'un alternateur monophasé, de produire de l'air comprimé ect.... 260 8). Procédé selon la revendication 6 ou 7 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep A de la Fig A N°07.07/12 montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par une chemise en deux parties rep05 et 06, ayant les mêmes fonctions que celle figure rep B de la Fig A N°07.07/12, le chapeau rep07 qui est amovible permet l'étanchéité de la chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A N°07.07/12, pour permettre la mise à l'air

265 libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité. Le descriptif de la figure rep D de la Fig A N°07.07/12 montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par une chemise composée des pièces rep05, 06, 07 et 08, le piston qui coulisse dans la chemise du PMH vers le PMB et inversement, n'est pas représenté en coupe, il est composé des pièces rep09 et 12. La figure rep B

270de la Fig A N°08.08/12 montre plusieurs vues en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 qui se montent entre les deux parties de la chemise composée des rep05 et 06, les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 représentent différents mode de montage, de guidage et d'étanchéité du piston rep09 et 11.La figure rep C de la Fig A N°07.07/12 montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé

275au moteur hydraulique MTW, par une chemise composée des pièces rep05, 06 et 07, ainsi que la

représentation schématique du piston, sa longueur et sa course vers le PMH et PMB.

9). Procédé selon la revendication 7 ou 8 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep C de la Fig A N°05.05/12 montre une vue d'ensemble d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTW^ suivant un mode de chauffage permettant aussi de produire de l'eau chaude sanitaire,

280par un échangeur thermique conçu de telle manière, qu'il peut permettre un échange thermique très élevé avec un haut rendement et des débits d'eau circulant très élevés et sans limites en entrée et en sortie de l'échangeur, sans perte de charge et d'échange thermique. Cette figure nous montre l'ensemble de l'échangeur thermique, avec ces deux colonnes en tube carré acier des circuits eau chauffage entrant et sortant repl 5 et 16, ainsi que les différents tubes thermiques en acier rep 17, qui reçoivent les quatre

285ensembles d'échangeurs thermiques conçus avec les brides rep09 et 14 et les spirales rep04. Le tube thermique en acier rep 17 reçoit une bride rep24 correspondant au diamètre de la PN repl 7, conçue avec des perçages X suivant la bride et qui permettront de fixer l'ensemble de l'échangeur thermique rep 17 sur les colonnes repl 5 et 16, suivant les emplacements des perçages taraudés sur ces dernières rep25 pour fixer par vis les quatre échangeurs thermique rep 17 sur les colonnes. Au préalable avant fixation des

290échangeurs thermique repl7 sur les colonnes repl5 et 17. Les repl8 et 19 sur les colonnes repl5 et 16, permettent suivant leurs fixations taraudées et leur perçage central d'un certain diamètre correspondant au passage des tubes cuivre ou hydraulique recuit rep04 venant des brides rep 10 et 13, par un fiasque qui sera fixé à l'intérieur des colonnes tube carré repl 5 et 16, laissant passer les tubes cuivre ou hydraulique recuit rep04 venant des brides replO et 13, vers l'extérieur des colonnes repl5 et 16, pour les diriger vers

2951es circuits hydraulique composés des appareillages, des pompes hydraulique, des réservoirs hydraulique et du moteur hydraulique MTW, ces tubes cuivre ou hydraulique recuit rep04 venant des brides rep 10 et 13, sont soudés à la brasure d'argent sur ces mêmes flasques à l'emplacement du perçage central correspondant au diamètre du tube cuivre ou hydraulique recuit rep04, suivant une position défini par la colonne rep 15 ou 16 et l'échangeur thermique rep 17 par les brides rep24 de chaque côté de l'échangeur.

300Les fixations taraudées rep26 et 28, avec le trou de passage sur les colonnes repl5 et 16, correspondent à la fixation des canalisations èt tubes PNX, venant des circuits eau de chauffage, leurs postions sont définies suivant les installations de chauffage existantes. Les perçages taraudés 1 pouce voir autre rep22 sur les colonnes repl5et 16, permettent d'y installer une vanne, qui aura pour rôle de vidanger l'eau des colonnes, dans le cas d'une intervention dépannage et réparation, pour remplacement d'un échangeur

305thermique repl7. Une plaque en acier rep20 ou 21 sera soudée en position basse sur les colonnes repl5 et 16, pour assurer la fermeture et l'étanchéité des colonnes, mais aussi de fixer au sol par ces quatre perçages les colonnes. Les rep27 ou 28 en position haute des colonnes, sont conçus par deux plaques en acier, l'une est dotée de plusieurs taraudages avec un trou de passage rectangulaire et elle soudée en position haute sur les colonnes rep 15 et 16, l'autre est percée de trous correspondants à la position et au

310diamètre des trous taraudés sur l'autre plaque de manière à venir fermer et assurer l'étanchéité des deux colonnes repl5 et 16 en position haute, elles permettent et jouent aussi le rôle de trappe de visite.

10). Procédé selon la revendication 8 ou 9 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12, de la figure rep A, B, C et D de la Fig A N°08.08/12 et de la figure rep C de la Fig A N°01.01/12, un dispositif composé de chemises et pistons permettant de distribuer une

315pression hydraulique et un débit d'huile. Le dispositif comprend, la figure rep B de la Fig A N° 07.07/12 qui montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par une chemise rep05, avec des segments acier suivant les rainures rep03 sur l'alésage extérieur de celle ci, qui assurent le guidage et l'étanchéité par rapport au piston rep09 et deux perçages ou viendront se loger des goupilles de manière à serrer les segments acier suivant les rainures rep03 sur la

320bague en fonte GS700 ou autres, du piston rep09 pour ajuster le jeu qui assurera l'étanchéité. Les

perçages et les trous taraudés repl et 2 permettent de fixer les deux brides SAE, qui achemineront la pression hydraulique et le débit d'huile vers les cavités creuses du piston rep09, les deux perçages repl et 2 sont positionnés avec précision, suivant la course du piston en PMH et PMB de manière à propulser le piston sous l'effet de la pression hydraulique à un moment T donné. La rainure rep04 permet d'assurer

3251'étanchéité par un joint torique suivant l'emboîtement de la chemise dans le moteur. Suivant la figure rep A de la Fig A N°07.07/12 on se retrouve dans la même configuration que la figure rep B de la Fig A N°07.07/12, la seule différence consiste en ce que la chemise est en deux parties, un joint plat spécifique assure l'étanchéité entre les deux chemises au montage, l'avantage de ce dispositif permet d'assembler et de monter avec plus de facilité le piston rep09. Un chapeau rep07 qui est amovible permet l'étanchéité de

3301a chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A N°07.07/12 , pour permettre la mise à l'air libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité, dans ce cas deux perçages taraudés rep20 figure rep C de la Fig A N°07.07/12 permettront l'implantation de deux clapets anti retour à l'air libre avec un filtre ou l'un des deux taré à une pression voulu pour alimenter une réserve d'air comprimé. Suivant la figure rep E de la Fig A N°08.08/12

335, elle représente le piston rep09 et le chapeau repl2 toutes deux en alliage d'aluminium, on vient emboîter le piston dans les chemises rep05 et 06, le piston est préalablement équipé de ces segments étanches et racleur et préalablement équipé aussi de sa bague en fonte GS700 rep 15 qui sera de différentes épaisseurs suivant les cas, la cavité creuse dans le piston rep 13 qui est aussi fileté permettra de visser le chapeau rep 12, mais elle permettra aussi d'alléger le piston rep09. Une fois l'assemblage chemise et piston réalisé,

340on vient visser le chapeau rep 12, préalablement équipé de deux segments l'un étanche et l'autre racleur, le chapeau rep 12 assurera le blocage de la bague repl5, bien que celle ci soit montée ajustement serrant sur l'alésage du piston rep09, le chapeau repl2 est monté au scelle roulement ou par tous moyens de blocage mécanique sur le piston rep09. La pression hydraulique, ainsi que le débit agiront sur les cavités creuses réparties de part et d'autre du piston rep09 et des segments rep03, permettant de propulser alternativement

3451e piston vers le PMH ou le PMB, suivant l'arrivée de la pression hydraulique et du retour hydraulique vers le réservoir d'un côté ou de l'autre et inversement, comme représenté suivant la figure rep D de la Fig A N°07.07/12. A noter que l'alésage repl4 du piston rep09 permet le rattachement du piston au pied de bielle par rintermédiaire de l'axe de bielle sur tous les types de moteur, à noter que la partie formant le pied du piston rep09, reste la même que le piston d'origine suivant tous les types de moteur. La figure rep

350D de la Fig A N°07.07/12 représente l'ensemble du montage chemise- piston, le principe de

fonctionnement et le piston restent les mêmes, mais la seule différence consiste à voir la chemise en trois parties rep05, 06 et 08, cependant suivant les différents cas de fonctionnement on pourra adopter les montages de la pièce rep08, suivant les différentes possibilités représentées figure rep B de la Fig A N°08.08/12 par les rep08, 16, 17, 18 et 19, qui montre plusieurs vues en coupe longitudinale d'un

355dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 qui se montent entre les deux parties de la chemise composée des rep05 et 06, les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 représentent différents mode de montage, de guidage et d'étanchéité du piston rep09 et 11. Il est à noter que suivant l'utilisation de l'alésage intérieur des chemises pour assurer le guidage et l'étanchéité, on pourra utiliser différents mode de montage avec des joints racleurs, des joints à lèvres, des joints

360chevrons, des segments acier traité ou des tiroirs rainurés et traités comme sur les tiroirs de distributeurs hydraulique tel que représentés rep08, 16, 17, 18 et 19. A noter aussi que l'étanchéité entre les chemises rep05 et 06 et les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 sont assurées de part et d'autre par un joint plat spécifique. Suivant la Figure rep B de la Fig A N°0.08/12 qui montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'une chemise composée des pièces rep05, 06 et 07, ainsi que la représentation schématique

365du piston, sa longueur et sa course vers le PMH et PMB, suivant la conception de piston figure rep C de la Fig A N°01.01/12. Le chapeau rep07 qui est amovible, permet l'étanchéité de la chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A N°07.07/12, pour permettre la mise à l'air libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité, dans ce cas deux perçages taraudés rep20 figure rep C de la Fig A N°07.07/12 permettront l'implantation de

370deux clapets anti retour à l'air libre avec un filtre ou l'un des deux est taré à une pression voulu pour alimenter une réserve d'air comprimé. Suivant la figure rep C de la Fig A N°01.01/12 qui montre une vue d'un piston rep09, composé de deux cavités creuses suivant une forme perpendiculaire rep A et B, ce piston coulisse et il est assemblé avec la chemise rep05 de la figure rep C de la Fig A N°07.07/12 , qui comporte la même conception et les mêmes dimensions que les autres figures rep A, B et D de la Fig A

375N°07.07/12 , avec la seule différence, que l'alésage intérieur de la chemise ou coulisse le piston est d'un seul tenant et dans ce cas aussi on se retrouve avec deux brides SAE, qui travaille avec les deux cavités creuses en PMH et deux autres brides SAE, qui elles travaillent avec les deux cavités creuses en PMB, acheminant la pression hydraulique et le débit vers une entrée de bride SAE, pour ressortir de l'autre bride SAE du même côté vers le réservoir, en passant par les fuites hydraulique provoquées par les perçages

380calibrés et calculés rep23, dont le nombre varie, ces fuites hydraulique pour repartir vers le réservoir passent par la chambre interne repl3, qui est bouchée par un bouchon rep24 vissé et monté au scelle roulement ou bloqué par tout autres moyens mécanique, de manière a communiquer de la cavité creuse rep A vers la cavité creuse rep B, pour repartir au réservoir. De la même manière on a usiné des rainures rep22 qui sont perpendiculaires à l'axe du segment étanche qui est positionné sur la rainure du diamètre

385de l'alésage extérieur du piston rep21 entre les deux cavités creuses rep A et B, les rainures rep22 sont plus ou moins grande en profondeur pour permettre la aussi une fuite hydraulique entre les cavités creuses rep A et B, vers le réservoir. Ces fuites hydraulique permettent d'affaiblir la force hydraulique provoquée par la pression hydraulique F=P x S, sur les surfaces de la couronne des cavités creuses positionnées de part et d'autre des rep21 et 23, les surfaces opposées des cavités creuses rep A et B

390positionnées vers la tête et le pied du piston rep09, permettent sous l'effet de la pression hydraulique et du débit de propulser ce dernier vers le PMH ou PMB alternativement, suivant que la pression hydraulique et le débit arrivent de A vers B ou de B vers A. A noter que la différence des forces F=P x S entre les surfaces d'une même cavité creuse A ou B, permet de définir la force exact qui s'exerce sur la surface du piston suivant la pression de réglage régulé par un réducteur de pression et le débit régulé par un limiteur

395de débit, pour le propulser, qui dit débit dit vitesse et qui dit pression dit couple et puissance A noter que la base du piston reste toujours identique à celle du piston d'origine dans tous les cas étudiés ici, mais la conception peut être aussi sur un piston en deux parties ou même trois suivant les cas et les moteurs utilisés, chaque cas fait l'objet de sa propre étude. Le dispositif suivant les figures rep A et E de la Fig A N°08.08/12 comprend, la figure rep A de la Fig A N°08.08/12 qui montre une vue en coupe

400longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTW, suivant la figure rep A de la Fig A N°08.08/12 on se retrouve dans la même configuration que la figure rep D de la Fig A N°07.07/12 , qui consiste en ce que la chemise est en deux parties, un joint plat spécifique assure l'étanchéité entre les deux chemises au montage avec la pièce rep 16, qui suivant l'utilisation de l'alésage intérieur des chemises pour assurer le guidage et l'étanchéité, on utilise différents mode de montage avec

405des joints racleurs, des joints à lèvres, des joints chevrons, des segments acier traité ou un tiroir rainure et traité comme sur les tiroirs de distributeurs hydraulique tel que représentait à la figure rep A de la Fig A N°07.07/12 , ce mode de fonctionnement et de montage a fait l'objet d'améliorations suivant les besoins et la modification du piston en utilisant les deux technologies d'assemblage d'un piston suivant les figure rep A et D de la Fig A N°01.01/12, de manière à monter le piston en deux parties rep03 et 09 en montage

410bloque presse, ce qui permet de conserver la même longueur de piston, pour la même technologie

MTW, sans modifier la longueur de la chemise et sa conception suivant l'assemblage des rep05, 16, 06 et 07. L'amélioration consiste aussi dans la position des fixations des brides SAE rep02 et 03, la seule différence c'est qu'on se retrouve avec deux brides SAE, qui travaille avec la cavité creuse du piston rep09 et rep 15 en PMH et PMB, acheminant la pression hydraulique et le débit vers une entrée de bride

415SAE, pour ressortir de l'autre bride SAE du même côté vers le réservoir, en passant par les perçages qui ont été réalisés sur les chemises rep05 et 06, on pourra doubler ou même tripler ces brides pour augmenter le débit et la pression dans la cavité creuse du piston, l'avantage c'est que l'on positionne les brides SAE ou on le désire, mais bien entendu les perçages réalisés pour permettre ce type de conception seront obstrués par des bouchons suivant les taraudages réalisés.

420 11). Procédé selon la revendication 9 ou 10 caractérisé en ce que le deuxième procédé et système de chauffage peut suivant ce principe rep A, B, C et D Fig A N° 10.10/ 12, rep A, B et C Fig A N°l 1.11/12 et rep A, B, C et D Fig A °12.12/12, remplacer la aussi les systèmes actuels de chauffage. Il peut créer un nouveau type de radiateur à plaques ou en colonne, installer dans les coins d'une pièce d'habitation ou même en colonne. Dans l'invention, la solution de ce problème consiste, pour ce type de

425chauffage, conjuguant puissance thermique et rendement avec une consommation électrique réduite, à prévoir deux groupes hydraulique disposés en série, qui travailleront en alternance, pour transformer l'énergie calorifique et thermique produit par laminage des pompes hydraulique, des limiteurs de pression et des limiteurs unidirectionnels, seul une consommation de 750Watts/heures, qui correspond à la consommation du moteur électrique qui entraîne la pompe hydraulique à une pression de 30bars, pour

430maintenir une température constante à 70° de l'huile hydraulique dans les réservoirs, de manière que les radiateurs à plaques tels que décrits rep A, B, C et D Fig A N°12.12/12 , qui sont positionnés à l'intérieur des réservoirs hydraulique, autour des parois du réservoir et en fond, mais aussi par le biais des radiateurs en colonne positionnés aussi dans les réservoirs hydraulique, ou de ces mêmes types de radiateurs aménagés et installés sur les moteurs des pompes hydraulique, de manière là aussi de récupérer les

435calories thermiques produit par le moteur électrique. Les radiateurs à plaques, à colonne ou montés sue les moteurs électrique, qui sont confectionnés en matière aluminium du même type que les pompes à eau des moteurs automobile, permettront de récupérer au passage les calories produit par circulation de l'eau venant des radiateurs de l'habitation, propulsé par le circulateur du circuit chauffage de l'habitation, les radiateurs à plaques et à colonnes se comporteront alors comme des échangeurs thermique, en restituant

4401'énergie calorifique captée, dans l'huile hydraulique des réservoirs, car l'aluminium est la matière qui se comporte, le mieux et avec un rendement de haut niveau dans les échanges thermique, elle capte et restitue les calories rapidement sans perte de rendement. Le cheminement de l'eau de chauffage venant de l'habitation se fait dans les radiateurs à plaques et à colonnes, suivant le principe de rainures en forme de chicanes ou de spirales de plaque en plaque ou de couronne en couronne et de radiateur en radiateur, pour 445repartir vers les radiateurs de l'habitation, il est bien entendu, que plus il y aura de plaques ou de couronnes, plus la puissance du chauffage augmentera, pour un concept tel que décrit, avec dix radiateurs à trois plaques chacun, positionnés dans les deux réservoirs de lOOlitres d'huile hydraulique anti-feu à 70°, avec une consommation de 750Watts/heures cela permet de produire une puissance thermique de 50Kw à une température constante de 50° à 60°, sans aucun pique de diminution ou d'augmentation de la

450température, ce qui n'est pas le cas de tous les systèmes de chauffage actuel, donc une très grande

souplesse de fonctionnement, mais aussi un très grand confort, par période de grand froid. L'avantage de ce type de chauffage, permet sur du très long terme de garantir de la croissance, du pouvoir d'achat à ceux qui en possède une installation, mais aussi la création d'entreprise et d'emploi sur du très long terme, car il est bien entendu que votre installation de chauffage à moteurs hydraulique, sera toujours au top niveau,

455avec un rendement maximum, dans cinquante années voir plus, car vous changerez dans le temps, parfois une pompe hydraulique, un moteur électrique, un appareil hydraulique ou tout autre appareil de sécurité ou l'huile hydraulique, mais votre installation repartira et sera toujours avec un rendement maximum et sans faille. L'autre avantage non négligeable aussi c'est le zéro panne, exception faite si vous avez une coupure électrique, car ayant deux groupes hydraulique qui fonctionnent en alternance une heure chacun

460à tour de rôle, dés qu'un groupe se met en défaut et hors sécurité, quelque soit la panne, l'autre groupe maintient le relais en continue, tant que la maintenance, n'a pas assuré le dépannage et la remise en fonctionnement du groupe en panne, le client à donc une installation de chauffage qui fonctionne toujours, avec moins de rendement certes, mais qui permet toujours de maintenir une certaine température, ce qui n'est pas le cas des systèmes actuels, c'est la aussi un avantage important pour les

465personnes d'un certain âge et les enfants en bas âges, dans les familles, maisons de retraite, écoles,

hôpitaux etc.... A noter aussi que toutes les sécurités incendies ou autres sont respectées, aussi bien dans l'utilisation d'huile spécifique anti-feu à très haut rendement et longévité. On utilisera suivant les descriptifs rep B de la Fig A N°04.04/12 et rep A de la Fig A N°04.04/12 qu'il est bien entendu que les moteurs électrique de tous les types seront équipés d'un échangeur thermique incorporé ou non à la

470carcasse du moteur électrique, ou circulera de l'huile ou de l'eau, de manière à récupérer les calories de chaleurs thermiques perdues par le moteur, qui sont de l'ordre de 20% de sa consommation électrique, cela permettra en plus de la ventilation, de refroidir le moteur et de récupérer les calories de chaleurs produites pour les véhiculer vers un échangeur thermique, transformable en chauffage et en production d'eau chaude. Le cas échéant oh supprime la ventilation qui provoque un effet sonore important du

475moteur. Tous types de technologie pourront être adoptée pour équiper le moteur de cet échangeur au niveau de sa carcasse.

12). Procédé selon la revendication 10 ou 11 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep A, B et C Fig A N°09.09/12 des éprouvettes d'azote liquide, de dioxyde de carbone ou gaz carbonique rep3 et 4 et des tubes repl et 2, qui contiennent l'un de l'eau distillée ou glycol, avec rajout ou 480non de sel minéraux et de gaz cité mélangé et l'autre de l'eau distillée ou glycol, avec rajout ou non de sel minéraux et une éprouvettes rep3ou 4, ou de tous autres formes qui contient de l'azote liquide, de dioxyde de carbone ou gaz carbonique, dans les deux cas des tubes replet 2, les dosages de volume d'eau et gaz sont bien définis et déterminés en fonction des critères de volume et d'échange thermique que l'on veut obtenir en climatisation ou en mode condensation pour production d'eau, le rep2 de la figure rep A

485Fig A N°09.09/12 est confectionné en tube quelque soit la matière ou la forme, le tube est fileté

intérieurement à une extrémité, pour recevoir un raccord fileté mal femelle rep8, qui est monté au sel roulement ou un raccord lisse rep8 qui est brasé à la brasure d'argent sur le tube lisse intérieurement rep2, on vient visser ensuite un bouchon rep 10, avec un joint rep9, lorsque le remplissage de l'eau et du gaz est terminé, ce bouchon sera monté lui aussi au sel roulement, à noter que l'opération de remplissage de l'eau

490et du gaz, ainsi que la fermeture de l'éprouvette doit se réaliser très rapidement , car le gaz liquide au contact de l'air s'évapore très rapidement. L'autre extrémité du tube rep2 a été préalablement écrasé à la presse sur une certaine longueur et percé à un certain diamètre, ainsi que plié tel que l'éprouvette rep4, le perçage et la pliure, permettront de braser à la brasure d'argent cette extrémité telle que décrite pour que le tube soit totalement étanche et résiste, le remplissage des tubes ou des éprouvettes avec le gaz liquide

495doit être fait impérativement lorsque le tube lui même ou l'éprouvette, sont eux même trempé dans le gaz liquide, pour éviter le choque thermique du tube, qui pourrait dessouder les brasures d'argent, à noter que le perçage rep7, n'est réalisé que pour permettre la fixation des tubes rep2 suivant divers montages et utilités, donc pas forcément obligatoire, ce qui renforcera cette extrémité si il n'y a pas de perçage, on peut donc adopter différents modes de fixation par pression, serrage ou autres. Le tube re l est

500confectionné de la même manière que le tube rep2, sauf que dans ce cas de conception on soude les deux extrémités du tube rep 1 à la brasure d'argent, suivant les perçages ou non rep5 ou 6, ce mode de fabrication doit être réalisé suivant la procédure défini rep B Fig A N°09.09/12, pour souder ces deux extrémités de manière que lorsque l'on soude les extrémités cela n'est pas d'incidence sur les produits contenus dans les tubes, on introduit donc avant soudure et fermeture, un certain volume d'eau distillée

505ou glycol, avec rajout ou non de sel minéraux, en tenant compte des volumes de l'état liquide à l'état solide lors de la congélation, mais aussi du volume de l'éprouvette d'azote liquide rep lou 2, qu'on introduit dans le tube repl, on peut ensuite procédé à la fermeture du tube repl, en respectant la procédure de soudage à la brasure d'argent expliquée dans le descriptif de la figure rep B Fig A

N°09.09/12, qui est impératif, ces procédures d'exploitation et de fabrication doivent faire l'objet d'une

5 lOtrès grande maîtrise et concentration dans la manipulation et la réalisation des différentes opérations de fabrication suivant les dosages prescrits. A noter que l'on peut prendre d'autres produits liquide pour réaliser la congélation dans les tubes repl ou 2 les éprouvettes d'azote liquide à partir du moment ou cela ne perturbe pas le mode de fermeture et de soudage des différents tubes à leurs extrémités.

13). Procédé selon la revendication 1 1 ou 12 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep

515A Fig B N°09.09/l 2 suivant l'invention permet d'élaborer le mode de fabrication et de soudure des éprouvettes de gaz rep2 figure rep B Fig A N°09.09/12 ou de l'ensemble des tubes repl figure rep A Fig A N°09.09/12 avec les éprouvettes rep2 ou 4 à l'intérieure, suivant l'un ou l'autre le montage de fabrication se fera en position verticale ou horizontale, étant donné que les remplissages des produits se font différemment dans les deux cas. Le but de cette conception de fabrication est d'empêcher

5201'introduction d'air dans l'éprouvette qui contient le gaz et de permettre l'isolation de la chambre de gaz, lorsque l'on va souder à la brasure d'argent la partie rep4 et le perçage rep3 figure rep B Fig A

N°09.09/12. On a donc confectionné un élément de plusieurs clavettes dimensionnées et soudées re l, qui viendra se positionner sur la partie écrasée et percée rep3 et 4 des éprouvettes rep2, la pièce repl sera positionnée suivant les mors de serrage rep5 et 6 des étaux ou des vérins hydraulique ou autres moyens

525de serrage de manière à venir presser pour étancher et isoler la chambre d'azote liquide pendant le

soudage à la brasure d'argent, toutes les opérations ainsi terminées, suivant le mode d'utilisation des éprouvettes rep2 et 4, on sépare ces dernières en les coupants au niveau du perçage rep3, pour ce qui est des tubes repl figure rep A Fig A N°09.09/12, on procédera de la même manière, mais en position verticale, car l'on doit introduire au fur et à mesure l'eau et les éprouvettes dans les longueurs de tubes

530repl figure rep A Fig A N°09.09/12, avant de procédé au serrage de la partie écrasée au niveau des perçages rep5 et 6 et ainsi de suite suivant la longueur du tube repl, dans ce cas toutes ces opérations terminées on pourra procéder au soudage à la brasure d'argent et à la séparation des tubes repl, il est à préciser que suivant le mode d'utilisation, on ne séparera pas les tubes repl, pour conserver de grandes longueurs, qui permettront de réaliser des rampes d'arrosage dans les serres, dans les jardins, dans les

535champs et dans les jardinières. Ce produit sera abordable pour tous et touchera toutes les classes et tous les pays sans exception. Le principe de refroidissement de l'eau des centrales nucléaire en circuit fermé, par le biais de plusieurs piscines en adoptant le principe des tubes suivant le repl fig. 1.1/20, montés sur plusieurs rampes qui seront plongés ou remontés par le biais des vérins hydraulique rep7, du cadre rep8, des rails de guidage rep9 et des boggies à galées, pour guider le cadre rep8 et l'ensemble du système en

540montée et descente dans la piscine de manière à refroidir et réguler la température de l'eau venant des réacteurs nucléaire, par le biais du groupe motopompe rep5, le groupe motopompe rep6 permettra de renvoyer l'eau rep4 de la piscine rep3, vers la deuxième piscine et ainsi de suite jusqu'à la dernière piscine, qui elle va renvoyer l'eau refroidie vers les réacteurs nucléaire, tout ce dispositif et système de l'invention permettra de refroidir les réacteurs nucléaire en circuit fermé, sans aucun rejet d'eau dans les

545fleuves ou les mers, ce qui n'est pas négligeable et très écologique, pour les écosystèmes, les plantations, les poissons et les animaux de l'eau. A noter que les rampes rep2 sont fixées sur le cadre rep8 et que leur nombre peut varier en fonction des piscines, des volumes d'eau à refroidir et du degré de température de l'eau venant des réacteurs nucléaire. Chaque tube repl sont fixé par leurs extrémités rep5 et 6 voir fig. 1.1/20 sur la rampe rep2 et toutes les rampes sont solidaires les une des autres pour permettre l'ensemble

550rigide, il est bien entendu que tous les tubes, les vis et les structures seront en inox amagnétique (non magnétique), pour ne subir aucune altération ou corrosion. La description du principe de refroidissement par les éprouvettes permet de fabriquer de l'eau sans dépenser aucune énergie dans tous les domaines et dans toutes les utilisations.

14). Procédé selon la revendication 12 ou 13 caractérisé en ce que le descriptif de la figure

555rep C Fig A N°09.09/12 suivant l'invention permet d'élaborer le concept de climatisation, de filtration et de récupération d'eau, qui pourra être dirigé vers des mini centrales d'épuration et de fïltration, avant utilisation sanitaire ou arrosage, dans des habitations ou autres. La figure rep C Fig A N°09.09/12 représente les étages rep 1,2, 3, 4 et 5, qui forment la climatisation ou le récupérateur d'eau, le principe est toujours le même, seule la taille et le dimensionnel changera suivant les types d'utilisations. La plaque

560repl est donc conçue, par des perçages en position supérieure et inférieure rep7 et des lamages ou

viendront se loger de longues visses qui assureront le serrage de l'ensemble des plaques de la climatisation, ces plaques seront en matière thermoplastiques, thermodurcissables ou élastomères suivant les régions ou les utilités et contraintes, les rebords repl 1 et 12seront d'une hauteur plus ou moins grande pour permettre de conserver et de stocker l'eau de condensation venant des tubes de congélation d'eau

565rep 6 entre les plaques rep2,3 et 4, les trous percés et taraudés rep8 permettront le cheminement de l'eau récupérée de la condensation vers les appareils voulus. La plaque rep2 est dotée ici de quatre tubes rep 13 ayant une éprouvette d'azote liquide incorporée à l'intérieur, il est bien entendu que la taille et le nombre de tubes varie suivant l'utilité et le cahier des charges du client, les tubes sont confectionnés de la même manière qu'ils sont représentés figure rep A Fig A N°09.09/12 repl . Il est important d'utiliser des

570matières et des produits neutre qui ne pourront pas altérer l'eau de condensation ou les climatisations, par exemple des tubes en inox amagnétique, voir des autres produits, partir du moment ou il n'altère pas l'eau ' et la climatisation. A chaque perçage rep7 et rainure rep6, il correspond une position de tubes rep 13 qui sont montés sur chaque plaque rep2, 3 et 4, en alternance, de manière que l'air qui circule dans la climatisation et entre les tubes rep 13 , capte avec le plus d'efficacité et de rendement le froid, mais aussi

5751a condensation sur les tubes qui est soustraite en partie de hydrométrie de l'air circulant, mais ce n'est pas une obligation de créer une circulation d'air pour activer le processus de condensation, il se fait naturellement par choque thermique et différence de température, la partie plate des tubes repl3, qui est percée suivant les perçages rep7 et placée dans la rainure rep6, qui aura été usiné, cette rainure peut ou non être débouchant, telle que représentée sur les plaques rep2 ou 3, pour assurer une meilleur

580étanchéité et qui fera la même épaisseur que le plat du tube rep 13, de manière que l'étanchéité soit absolue entre les différents plaques rep2, 3 et 4, cette étanchéité sera assurée par un joint plat ou par une patte d'étanchéité, qui elle aussi ne doit pas altérer l'eau ou la climatisation, on peut donc assurer l'assemblage des plaques rep2, 3 et 4, en venant les serrer par l'intermédiaire de longues vis suivant les taraudages rep9, qui sont positionnés sur la plaque rep5, qui elle aussi a un rebord ré haussé rep 12, qui

585permettra de conserver l'eau, les taraudages replO sur la plaque rep5 figure rep C Fig A N°09.09/12 permettront de venir fixer la partie fïltration de l'air entrant par un filtre déshumidifîcateur, qui est positionné entre les plaques, qui sont percées suivant les taraudages rep 10 de la plaque rep5 et ont des lamages, qui recevront des vis, pour venir serrer l'ensemble de la fïltration sur la plaque rep5, par l'intermédiaire des taraudages rep 10, l'ensemble de la climatisation est réalisée et elle peut être montée,

590dans un système à tiroir, pour assurer facilement l'entretien de maintenance et ceci dans l'automobile entre le radiateur de chauffage et le ventilateur car l'été le chauffage est coupé et la climatisation étant amovible, l'hiver on l'enlève , mais aussi dans les climatisations des habitations ou les récupérateurs d'eau, dans ces deux cas pour assurer la maintenance, car l'hiver on n'enlève pas la climatisation, bien que pour la climatisation suivant les pays l'hiver elle doit être démontée et stockée soigneusement dans un 595emballage hermétique, après nettoyage et changement ou suppression du filtre en attendant l'été

prochain.

15). Procédé selon la revendication 13 ou 14 caractérisé en ce que le descriptif de la figure rep C Fig A N°10.10/12 à la figure rep A, B, C et D Fig A N°12.12/12 nous avons un radiateur en forme de colonne qui se monte, dans les coins d'une pièce, ce qui gagne des espaces, il est doté suivant les

600montages et les puissances en 3, 4, 5 ou 6 étages, pour une hauteur de 700, 800, 1000 ou 1200mm, il est assemblé par plusieurs tubes en forme de bague ou couronne rep2 et 3 et la première bague ou couronne rep4 qui est d'une seule pièce, dont des chicanes ou des spirales ont été usiné ou brut de fonderie par moulage sur son diamètre extérieur, ces tubes sont de différents diamètres et viennent s'emboîter les uns dans les autres par montage bloque presse à l'azote liquide, sur le diamètre supérieur et

605inférieur de chaque couronne un perçage permet à une goupille d'assurer le guidage et le positionnement, lors du montage, des perçages sont réalisés sur les tubes couronne en position basse ou haute, pour permettre le cheminement de l'eau d'un tube à l'autre suivant les chicanes ou spirales, à noter que les tubes couronne intermédiaire non pas ces perçages, les dernières couronnes qui ont la forme d'un quart de rond repl, assureront l'ossature final du radiateur et son étanchéité finale, un épaulement mal en

610position supérieure et un épaulement femelle en position inférieure avec le cas échéant un joint torique permettra d'assurer l'étanchéité entre les différents étages des dernières bagues en forme de quart de rond, seule la dernière bague en quart de rond n'a pas d'épaulement en position inférieure, car elle est doté de pieds qui ont été réalisé par usinage ou brut de fonderie, pour permettre le passage de l'air, le radiateur étant doté d'un ventilateur dans sa partie supérieure, la bague en quart de rond supérieure n'a pas

615d'épaulement dans sa partie supérieure, par contre elle est dotée de trois perçages taraudés, qui

permettront de recevoir et fixer le chapeau supérieur du radiateur rep5, qui lui même est percé de quatre trous rep6 pour assurer la fixation du ventilateur à l'intérieur du radiateur et chapeau, à noter que plusieurs rainures rep8 ont étaient réalisées , mais très petites pour ne pas permettre le passage des doigts des enfants et laisser passer l'air de ventilation pour propulser l'air chaud dans la pièce, à noter que le

620câble d'alimentation du radiateur passe à l'intérieur du radiateur par le passage des pieds inférieur. Les radiateurs sont en matière aluminium et alliages d'aluminium corroyés par moulage ou non, mais ils pourraient être aussi en alliages de zinc moulés de fonderie sous pression. Le descriptif de la figure rep A Fig A N°l 1.1 1/12 nous montre un autre type de radiateur dont la forme du tube couronne repl est hexagonal, on voit la vue de dessus est on se rend compte qu'il y a un seul tube intermédiaire rep2, en

625plusieurs éléments, et un dernier tube couronne rep4 qui lui est d'une seule pièce, on voit apparaître les chicanes rep3 et 5 , ainsi que l'entrée d'eau rep7, qui est positionné en position basse sur le premier tube hexagonal repl au pied du radiateur , l'autre sortie d'eau rep6 est positionné en position haute sur le tube couronne rep4 qui est d'une seule pièce. Le descriptif des figure rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/ 12, représente des radiateurs à plaques, avec des rainures réalisées en forme de chicanes pour le 630cheminement de l'eau chaude, ce type de radiateur est spécifiquement utilisés et conçus pour être installé à l'intérieur de deux groupes hydraulique pour produire du chauffage. Ce radiateur vient se positionner à l'intérieur d'un groupe hydraulique pour capter l'énergie calorifique produit par le limiteur de pression et les limiteurs de débit par laminage de l'huile amenant la température de l'huile anti feu à une température constante de 70° étant donné, qu'ils fonctionneront en alternance une heure chacun. Les

635radiateurs seront au nombre de cinq par réservoir de groupe hydraulique et le nombre de plaque

augmentera ou diminuera suivant l'installation de chauffage en fonction de la puissance désirée.

L'avantage de ce type de chauffage c'est d'être que la température des radiateurs restera toujours constante, sans augmentation de la consommation d'énergie électrique, elle sera de 750Watts/heure, pour une puissance calorifique et thermique fourni de 50Kw. La circulation d'eau chaude venant des

640radiateurs de l'installation de chauffage de l'habitation est propulsée par le circulateur vers les radiateurs à plaques qui se trouvent à l'intérieur des réservoirs hydraulique, l'eau circulera en série dans les radiateurs à plaques, de plaques en plaques et dans chaque radiateur des réservoirs, pour ressortir du dernier radiateur à plaques après avoir capté les calories thermique se trouvant dans l'huile anti feu, l'eau passera de la deuxième plaque à la troisième plaque rep3 figure rep C Fig A N° 12.12/12, par le perçage

645rep4 en position haute de la plaque rep3 , elle circulera donc du haut vers le bas de la plaque en passant par les rainures en chicane repl , pour venir ressortir en position basse, par le perçage taraudé rep3, qui recevra un raccord, sur la plaque rep4 figure rep D Fig A N°12.12/12. Des chercheurs ont trouvé comment transformer les molécules d'or, pour permettre d'abaisser la température en négative, sans modifier le seuil de liquéfaction du gaz, ma technologie est prometteuse.

Description:
DESCRIPTIONS

Moteur hydraulique, production électrique, air, climatisation, chauffage. La présente invention fig. A 1.1/12 à 12.12/12 porte sur un moteur hydraulique, doté d'un vilebrequin, de bielles, de pistons et de chemises, ce moteur hydraulique à la particularité de fonctionner avec plusieurs types de pistons suivant les Fig A N°l .l/12 et Fig A N°8.8/12 en propulsant ou en aspirant ces derniers, sous l'effet de plusieurs énergies, l'hydraulique qui est la plus pertinente ou autres comme le vide ou l'air comprimé suivant les rep A, B, C ou D de la Fig A N°l .1/12, sous le principe de cavités creuses externes sur les jupes des pistons ou internes à ces derniers rep B et rep D et E de la Fig A N°8.8/12 ou le piston travaille comme un vérin à double effet, propulsé sous l'effet de la pression hydraulique vers le point mort haut ou bas ou vers les deux. Le piston rep B de la Fig A N°l. l/12 à la particularité de conjuguer deux énergies complémentaires celle des aimants permanents de type, néodyme au fer bore ou samarium cobalt, ces aimants sont inaltérables, résistent à des températures de 300° avec une durée de vie de vingt années garantie, ce type de piston rep A peut utiliser comme énergie complémentaire la pression hydraulique, le vide ou l'air comprimé fournis par une pompe. Il est bien entendu que tous ces types de pistons et d'énergie peuvent se monter sur tous les types de moteurs thermiques existant, remplaçant ainsi les carburants existants. Le moteur hydraulique fonctionnant avec ces types de pistons est alimenté dans le cas de l'hydraulique avec les pistons rep D et E de la Fig A N°8.8/12, par deux motos-pompes hydraulique, travaillant en alternance, il est bien entendu que l'énergie thermique fourni par les motos-pompe hydraulique, le moteur hydraulique et le laminage de l'huile hydraulique dans les tuyaux et les appareils, est véhiculé vers les radiateurs d'une habitation par l'accélérateur de circuit eau, par échange thermique avec les radiateurs à plaques à eau Fig A N° 12.12/12 rep A, B, C et D qui sont assemblés et positionnés dans ces deux groupes hydraulique au nombre de cinq radiateurs à plaques par groupe. Il est bien entendu aussi que l'invention doit concevoir le refroidissement du moteur hydraulique, il est doté d'un radiateur à huile de même type que le radiateur à eau de tous les moteurs thermique, faisant circuler l'huile moteur dans ce radiateur, par la pompe à huile de ce moteur, un ventilateur qui débraille en fonction de la température assure le refroidissement de l'huile, mais un système de climatisation suivant l'invention Fig A N°9.9/12, permet de refroidir le système, avec plus d'efficacité, car l'ensemble de l'installation chauffage étant placé dans un local fermé, mais ventilé, ne suffirait pas, d'où l'importance de ce type de climatisation rep C Fig A N°9.9/12 confectionnée par des tubes suivant les rep 2 et 1 de la Fig A N°9.9/12 et rep C et 13 de la Fig A N°9.9/12, qui sont dotés à l'intérieur de petites éprouvettes remplies d'azote, de dioxyde de carbone ou de gaz carbonique, ceux ci sont plongés dans les tubes d'eau rep 2 et 1 ou autres produits liquide rep C de la Fig A N°9.9/12, le rep B de cette même figure montre le mode de fabrication possible des éprouvettes, mais tous les autres modes peuvent être appliqués, ce système suivant l'invention permet par choc thermique de congeler les tubes d'eau repl et 2, suivant rep A et rep C de la Fig A N°9.9/12, mais aussi de produire de l'eau par choc thermique et condensation, cette application peut être utilisé aussi pour climatisation dans les véhicules. Le mode de chauffage avec des radiateurs à plaques en aluminium Fig A N°12.12/12 rep A, B, C et D, à permis par la même d'inventer une nouvelle conception de radiateurs de chauffage en aluminium et en forme de colonne, pouvant être montés dans les coins ou non d'une habitation, confectionnés par plusieurs couronnes en aluminium emboîtées les unes dans les autres suivant rep A et B Fig A N°10.10/12 et rep A

Fig A N°l 1.11/12 , dotées de chicanes en formes longitudinales ou en formes de spirales, suivant rep C et

D de la Fig A N°10.10/12, ce type de radiateurs permet d'avoir une plus grande efficacité thermique, avec de moindre perte thermique et d'espace, mais il peut aussi permettre de récupérer les calories thermique émis par un moteur électrique et de les véhiculer vers le circuit chauffage suivant le rep B de la Fig A N°l 1.11/12. Pour ce qui est de la gestion du système de l'invention que cela soit pour un véhicule ou en mode de chauffage toutes la technologie mise en place dans l'invention reste la même, la gestion hydraulique du système suivant le rep C de la Fig A N° 1 1.11 / 12, se fait par des clapets pilotés rep B , C et D de la Fig A N°2.2/12 et rep A de la Fig A N°3.3/12 pour permettre d'acheminer la pression hydraulique vers les cavités creuses des pistons et permettre leurs propulsions vers le point mort haut ou bas, pour ce qui est de l'autre cavité opposée elle permet d'acheminer l'huile sans résistance vers le retour au réservoir, les clapets pilotés sont avec les injecteurs les appareils qui peuvent réagir à l'ouverture et à la fermeture le plus rapidement, car il faut absolument rester dans la plage de 5 àl5 millisecondes, pour pouvoir gérer sans problème des vitesses de rotation allant de 1000 à 5000tr/min, voir plus, un limiteur de pression rep A Fig A N c 2.2/12 fera varier la pression hydraulique et le débit en fonction de la demande pour atteindre la vitesse voulu par le client suivant les différents types d'utilisation, plus on augmentera la tension électrique sur la bobine, plus la pression hydraulique et le débit augmenteront et inversement, ce type d'appareil va jouer le rôle d'accélérateur, qui dit débit dit vitesse et qui dit pression dit couple et puissance, il faut donc savoir gérer ces deux principes pour le fonctionnement d'un moteur hydraulique sur un véhicule, ce qui n'est pas le cas en mode chauffage ou production électrique par entraînement d'un alternateur pour alimenter une habitation, car dans ce dernier cas, il faut maintenir une vitesse constante de 1500tr/min, d'où la nécessité de gérer tous ces appareils de cette manière. Suivant le rep D de la Fig A N°4.4/12 pour le fonctionnement d'un moteur hydraulique sur un véhicule, une pompe hydraulique à pistons qui fournira de la pression sous un certain débit, entraînée par un moteur 12 ou 24 volts à 1500tr/min, permettra de maintenir le ralenti et le démarrage du moteur hydraulique à 800tr/min, ce dernier entraînera à son tour une pompe à engrenage qui elle fournira du débit, la combinaison des deux pompes sous l'action du même limiteur de pression qui jouera le rôle d'accélérateur, fera tourner le moteur en accéléré, au ralenti et même l'arrêt sous une tensions nulle. Suivant le mode de chauffage représenté rep A et B de la Fig A N°4.4/l 2 le principe de gestion reste le même suivant la technologie de l'invention mise en place, dans le cadre du chauffage par radiateur d'huile à air puisé type véhicule ou CTA, par échangeurs thermique à plaques en mode radiateurs rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/12 et échangeurs thermique huile/eau à spirales en tube et forme d'escargot rep A Fig A N°05.05/12 et à plaques perforées rep B Fig A N°05.05/12 en entrée et en sortie définissant le débit d'eau entrant et sortant dans l'échangeur, ce type d'échangeur permet de véhiculer des débits d'eau très important circulant dans le chauffage, le rep C Fig A N°05.05/12 représente ce type d'échangeur. Les rep A, B et C de la Fig A N°07.07/12 montre un exemple de conception d'échangeur thermique huile-eau conçu de la même manière avec des spires en forme d'escargot. L'invention a permis d'établir différents types de montages chemises-pistons rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12 et rep A, B, C, D et E de la Fig A N°08.08/12

80 faisant apparaître des pistons travaillant comme des vérins à double effet, avec une cavité creuse sur la jupe du piston, ce dernier étant confectionné en trois parties, avec repl5 une bague acier traitée rep A Fig

A N°08.08/12, qui assure l'étanchéité entre les chambres de la cavité creuse du piston et qui est montée entre les deux chemises rep 5 et 6 de la figure rep A Fig A N°08.08/12, elle peut avoir différentes forme et étanchéité suivant rep B Fig A N°08.08/12, pour permettre la réalisation de cette technologie, la pièce

85 rep3 du piston qui reçoit le pied de bielle et son axe sera emmanchée bloque presse à l'azote dans la pièce rep9 du piston rep E Fig A N°08.08/12, toutes les pièces du piston seront en alliage d'aluminium voir autres, les chemises rep A, B, C et D de la Fig A N°07.07/12 et rep A de la Fig A N°08.08/12 en une ou deux parties, ce dernier cas est retenu, permettant l'assemblage chemise-piston plus facilement, une bague intermédiaire entre les deux chemises assurera l'étanchéité dans la chambre des pistons vérins à double

90 effet entre la chambre pression et la chambre retour au réservoir suivant les modes de montage rep B de la

Fig A N°08.08/12, mais d'autres montage de cette bague intermédiaire sont mis en évidence rep A de la

Fig A N°08.08/12, la pression hydraulique ou le retour vers le réservoir chemine suivant un montage par des brides SAE ou une arrivée direct par un raccord gaz à pas cylindrique avec joint ou autres rep B Fig A

N°08.08/12. Le problème que la présente invention se propose de résoudre, réside dans la conception d'un

95 moteur hydraulique fonctionnant avec une énergie propre, une autonomie et une puissance qui peut

rivaliser avec le moteur thermique essence, diesel ou gaz et d'autres domaines comme les éoliennes pour fournir de l'électricité, le chauffage, mais aussi la climatisation pour les habitations et l'industrie. Il est bien entendu que tous les types de moteur, de tous les types de carburants peuvent être utilisés pour élaborer le système MTW. Dans l'invention, la solution de ce problème consiste à équiper ce moteur d'un

100 nombre d'ensemble de pistons indéterminé en ligne, en vé ou en étoile suivant les encombrements et les espaces déterminés par le type de moteur.

L'invention est décrite ci après par le descriptif du piston rep B fig. A N°01.01/12 pour définir ces phases de travail et ces opérations d'usinage. Ce piston est doté d'une chambre repl 12 avec un filetage qui recevra une bague percée calibrée jouant le rôle de gicleur, qui sera en laiton, elle même recevra les

105 aimants percés, bloqués par un circlips et qui auront un perçage de 5mm communiquant aussi avec cette chambre repl 12 qui elle-même communiquera avec la chambre repl07 par l'intermédiaire d'un perçage calibré ou d'un gicleur repl 13, cette dernière chambre aura un perçage calibré ou un gicleur rep47 qui communiquera avec les circuits percés suivant la position travail en PMH ou PMB du piston, tous ces circuits seront suivant le cas, soit en communication avec le circuit de vide, d'hydraulique ou d'air

110 comprimé ou de mise à l'air libre ou retour au réservoir. Ces perçages calibrés très petits permettront d'exercer une sussions ou la propulsion du piston dans la phase finale de point mort haut accéléré (PMHA) ou point mort bas accéléré (PMBA). A une distance précise et bien définie en position supérieure du piston, un usinage cylindrique en forme de queue d'aronde recevra les aimants rep6 et 9 qui auront une forme en biseau conique de manière à être bloqués au montage sur le piston repl, ces derniers seront

115 chargés tel un barillet par les rainures repl 11, qui auront été usinées, ces dernières seront rebouchées une fois les aimants mis en position avec de l'étain ou de la résine pour éviter que ces derniers bougent. Les aimants travailleront en flux magnétique opposé avec leurs vis-à-vis en phase point mort haut. La matière du piston repl sera de l'aluminium 1A-S 12U3-5N3G ou autres dérivés de ce type ayant les mêmes caractéristiques mécaniques, obtenue par moulage de fonderie en carotte, une fois usiné le piston repl

120 subira un traitement thermique de surface sur la calotte et la jupe de ce dernier. Deux segments étanchent en fonte acier repl8 et 19 assureront l'étanchéité entre les différentes opérations, phases et chambres, ainsi que le guidage du piston dans les chemises.

On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A N°02.02/12 pour réguler la pression hydraulique dans les pistons à cavités creuses, un modulateur de puissance ou limiteur de pression, ou tout

125 autre type d'appareil qui permet de réguler la pression (limiteur de pression, valve de séquence, réducteur de pression etc.), cet appareil permet de réduire la pression du réseau principal et la maintenir constante dans une partie du circuit ou de la faire varier. Ici suivant le mode du procédé utilisé, le fluide circule de B vers A. Le canal 3 permet à la pression venant de A, d'agir sur la surface du tiroir repOl. Ceci engendre une force à laquelle s'oppose la force de F électro-aimant piloté rep04, cette tension bobine varie de 0 à X

130 volts suivant l'accélération et la vitesse du moteur hybride tous types de carburant ou biénergie moteur temporel à variation de vitesse, plus la résistance de F électro-aimant bobine rep04 est élevée, par une tension élevée sur la bobine, plus la pression du circuit A sera élevée, car le tiroir repOl, ne pourra pas se déplacer vers la droite et ne fermera pas le passage du fluide vers A et plus cette résistance va diminuer, par une baisse de tension sur la bobine rep04, plus la pression du circuit A baissera, car le tiroir repOl, se

135 déplaçant vers la droite progressivement, va fermer le passage du fluide vers A, pour même s'annuler, quand la tension sur la bobine rep04 sera nulle. Ce qui permet de garantir une sécurité en cas de panne électrique ou toute autre anomalie. Lorsque la pression en A crée une force supérieure à la force de F électro-aimant créée par la bobine rep04, le tiroir repOl se déplace, vers la droite et ferme le passage de B vers A, ainsi le circuit A n'étant plus alimenté, la pression est réduite et reste stable, quelque soit la

140 tension de la bobine rep04. En cas de surpression en A, le tiroir repOl, se déplace encore plus vers la droite et met en communication le circuit A avec le réservoir par l'intermédiaire du canal rep02 et du drain Y. Le réducteur de pression se monte toujours en série sur les circuits. Le réducteur dans le cas ou il n'est pas muni d'un canal interne (comme le canal rep02 sur le principe ci-dessus) dans ce cas, il est incapable d'éliminer les surpressions, donc choix à faire suivant utilisation dans les moteurs hybride tous

145 types de carburant et en biénergie moteur temporel à variation de vitesse, n est à noter aussi que si le fluide doit pouvoir circuler de A vers B, il faut alors choisir un réducteur de pression équipé d'un clapet anti-retour. La variation de la tension de la bobine électro-aimant rep04, variera en parallèle avec la vitesse de rotation du moteur, plus la vitesse de rotation du moteur sera élevée, plus la tension de la bobine rep04 sera élevée pour obtenir, une pression élevée du circuit A et inversement. Ceci dit plus on accélère

150 le moteur, plus on fait monter la tension sur la bobine rep04, plus la vitesse sera importante, plus

l'économie de carburant aussi et plus le rendement et le couple seront élevés, mais tous ces paramètres sont constants de 0 à X volts exercés sur la bobine rep04 avec la rotation moteur qui est donnée par l'accélération. Tout ce programme sera géré par l'ordinateur de bord, des cartes électronique de gestion et des capteurs ect ... Dans ce mode de circuit on utilisera une pompe à engrenage à denture externe ou

155 interne, on pourra aussi utiliser d'autres types de pompes exemple pompes à pistons axiaux etc ...

On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A N°02.02/12 un limiteur de pression qui joue le rôle d'accélérateur en augmentant la tension électrique sur la bobine on augmente la pression hydraulique et le débit et inversement, si la tension devient nulle le moteur hydraulique s'arrêtera de tourner, donc de fonctionner. La désignation et le fonctionnement de cet appareil est définie et la même que ci-dessus.

160 On utilisera suivant le descriptif rep C et D de la Fig A N°02.02/l 2, rep A de la Fig A N°03.03/12 et du rep B de la Fig A N°02.02/12 pour le concept de moteur hybride ou MTVV, différents types d'appareillages hydraulique qui devront faire l'objet d'études techniques très spécifiques, que l'on va définir ci après, pour réguler la pression hydraulique dans les pistons à cavités creuses, un modulateur de puissance ou réducteur de pression, ou tout autre type d'appareil qui permet de réguler la pression (valve

165 de séquence etc...), cet appareil permet de réduire la pression du réseau principal et la maintenir constante dans une partie du circuit ou de la faire varier, ce mode d'appareil a une pression variable de 0 à X bars, ce qui en fait son innovation. Ici suivant le mode du procédé utilisé, le fluide circule de B vers A. Un canal permet à la pression venant de A, d'agir sur la surface du tiroir. Ceci engendre une force à laquelle s'oppose la force de l'électro-aimant piloté, cette tension bobine varie de 0 à X volts suivant l'accélération

170 et la vitesse du moteur hybride tous types de carburant ou biénergie moteur temporel à variation de

vitesse, plus la résistance de l'électro-aimant bobine est élevée, par une tension élevée sur la bobine, plus la pression du circuit A sera élevée, car le tiroir ne pourra pas se déplacer vers la droite et ne fermera pas le passage du fluide vers A et plus cette résistance va diminuer, par une baisse de tension sur la bobine, plus la pression du circuit A baissera, car le tiroir, se déplaçant vers la droite progressivement, va fermer

175 le passage du fluide vers A, pour même s'annuler, quand la tension sur la bobine sera nulle. Ce qui permet de garantir une sécurité en cas de panne électrique ou toute autre anomalie. Lorsque la pression en A crée une force supérieure à la force de l'électro-aimant créée par la bobine, le tiroir se déplace, vers la droite et ferme le passage de B vers A, ainsi le circuit A n'étant plus alimenté, la pression est réduite et reste stable, quelque soit la tension de la bobine. En cas de surpression en A, le tiroir se déplace encore plus vers la

180 droite et met en communication le circuit A avec le réservoir par l'intermédiaire du canal et du drain Y.

Le réducteur de pression se monte toujours en série sur les circuits. Le réducteur dans le cas ou il n'est pas muni d'un canal interne (comme le canal sur le principe ci-dessus) dans ce cas, il est incapable d'éliminer les surpressions, donc choix à faire suivant utilisation dans les moteurs hybride tous types de carburant et en biénergie moteur temporel à variation de vitesse. Π est à noter aussi que si le fluide doit pouvoir

185 circuler de A vers B, il faut alors choisir un réducteur de pression équipé d'un clapet anti-retour.

Il est bien entendu que la variation de la tension de la bobine électro-aimant, variera en parallèle avec la vitesse de rotation du moteur, plus la vitesse de rotation du moteur sera élevée, plus la tension de la bobine sera élevée pour obtenir, une pression élevée du circuit A et inversement. Ceci dit plus on accélère le moteur, plus on fait monter la tension sur la bobine, plus la vitesse sera importante, plus l'économie de

190 carburant aussi et plus le rendement et le couple seront élevés, mais tous ces paramètres sont constants de 0 à X volts exercés sur la bobine avec la rotation moteur qui est donnée par l'accélération. Tout ce programme sera géré par l'ordinateur de bord, des cartes électronique de gestion et des capteurs ect ...Dans ce mode de circuit hydraulique on utilisera un accumulateur à vessie, qui permet d'obtenir un volume à restituer moyen, réaction rapide, bonne étanchéité et durée de vie, il permet des cycles de

195 fréquences élevés pouvant atteindre les 120 hertz. Il sert à emmagasiner une réserve d'énergie, de stocker une quantité de fluide sous pression et la restituer, dans le cas d'une chute de pression accidentelle, compensation des fluides, équilibrage des forces, mais d'autres accumulateurs peuvent être utilisés. Dans ce mode de circuit on utilisera une pompe à engrenage à denture externe ou interne. Ces unités sont adaptées à des vitesses (< = 2000 tr/min) et pressions moyennes (engrenage externe » 250-300 bar), à

200 cylindrées fixe, prix modique, installation facile et petit encombrement, désavantage, elles sont bruyantes.

C'est pourquoi on pourra aussi utiliser d'autres types de pompes exemple pompes à pistons axiaux etc. On trouve aussi un mode de piston hybride en deux parties, avec deux cavités creuses A et B, réparties sur la jupe du piston. Quand le piston monte vers le point mort haut (PMH), le fluide sous pression hydraulique arrive par l'orifice vers B, passe par les orifices percés calibrés et se dirige vers A, pour ressortir par

205 l'orifice vers le drain Y de retour vers le réservoir et inversement, quand le piston descend vers le pont mort bas (PMB) le fluide sous pression hydraulique passe de A vers B. Cette technique de piston peut être adoptée dans tous les types de moteur que développe la technique moteur temporel à variation de vitesse (MTW) et moteur hybride avec tous les types de carburant. Pour ce qui est de la coupe AA, on peut utiliser un piston dit à tiroirs, comme les réducteurs de pression, on supprime donc les segments au niveau

210 de la tête et du bas de la jupe du piston, en ne conservant que le segment central, c'est encore une autre solution du mode de piston que l'on peut utiliser.

On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A N°01.01/12 pour tous les concepts de moteur temporel à variation de vitesse (MTVV), différents types de pistons à cavités creuses A et B ou des segments spécifiques rep N° 5 sur la couronne entre les cavités creuses A et B, pour provoquer une

215 fuite hydraulique entre les zones A et B, de manière à propulser les pistons vers le point mort haut ou bas, suivant que la pression hydraulique ou autres arrivent par le rep N° 12 ou 13. Ce mode de conception de différentes formes pour provoquer la fuite hydraulique entre la zone A et B, permettra d'améliorer le rendement et la puissance du moteur en diminuant les pertes de rendement. Ceci dit en diminuant la surface à l'emplacement des orifices qui provoquent la fuite hydraulique entre les zones A et B, soit en

220 réalisant les orifices sur les segments, soit en réalisant les orifices sur la couronne qui sépare les deux zones A et B suivant On utilisera suivant le descriptif rep A de la Fig A 01.01/12, ce qui contribue à améliorer le rendement en augmentant la force exercée par la pression hydraulique sur la surface opposée à celle des orifices des cavités creuses A te B. Suivant ces différents concept de pistons, on peut réaliser tous les types de forme pour permettre une fuite hydraulique entre les zones A et B. Suivant la figure repA

225 ' Fig A N°01.01/12 la fuite hydraulique est obtenue par un usinage en forme de rainure rectangulaire

autour de la couronne qui sépare les deux zones A et B. La fuite hydraulique peut être obtenue par un usinage en forme de vé autour de la couronne qui sépare les deux zones A et B, ceci dit on peut réaliser aussi un mode d'usinage en demi-cercle ou autre, pour réaliser cette fuite. Cette fuite hydraulique, obtenue par usinage en forme de rainure, de demi-cercle ou de vé sur les segments, mais seulement entre les

230 cavités creuses des zones A et B, ce qui permet de diminuer au maximum, le surface de la couronne entre les zones A et B, pour améliorer le rendement et la force au maximum sur la surface opposée.

Suivant le descriptif rep A de la Fig A N°03.03/12 pour tous les concepts de moteur MTVV et autres, une gestion hydraulique, suivant le plan hydraulique et les appareillages y est défini, ainsi les réglages et pressions requises. On pourra jumeler les appareils de l'installation, pour travailler en i > alternance, plus de longévité et plus de fiabilité. Les clapets anti-retour rep Al, A2, A3 et A4 sont ouverts au maximum à pleine tension de 48 volts, pour avoir en continu débit, pression et rapidité d'ouverture, ils alimentent les pistons moteurs en pression pour les puiser vers les PMH ET PMB. Les clapets rep A3 et

A4 permettent le retour de la pression vers le tank. Les clapets rep Al et A3, sont alimentés et s'ouvrent en même temps vers les mêmes pistons, ils permettent d'envoyer la pression vers les pistons PMH et

240 d'assurer le retour de la pression des pistons vers le tank, il en est de même pour les clapets rep A2 et A4.

Les réducteurs de pression rep B au moment de l'ouverture de la clé de contact pour un véhicule, du lancement du démarreur et du démarrage moteur sont alimentés en tension 5 volts pour permettre une pression simultanée de 10 bars correspondant au ralenti moteur de 1400tr/min, la tension peut augmenter progressivement jusqu'à 48 volts pour permettre une pression progressive jusqu'à 150 bars correspondant

245 à l'accélération et à la vitesse maximum de 200 km/heure. Au même moment que les réducteurs de

pression rep B sont alimentés en tension, les distributeurs rep C sont alimentés en tension 12 volts, pour que l'accu rep F restitue sa pression résiduelle de 250 bars. Sur ces mêmes distributeurs on coupe la tension 12 volts pour les fermer dés que l'on passe en phase accéléré supérieur à 10 bars. Le réducteur de pression rep D est alimenté en tension 12 volts, il est réglé pour donner en continu 250 bars et maintient

250 en charge continue l'accu à membrane repF à 250 bars. Il est alimenté en tension 12 volts dés que le moteur a atteint une vitesse ralentie de 1400tr/min, la pompe hydraulique à pistons, à engrenages etc., étant en charge 250 bars à 1400 tr/min. Ceci dit, on maintient en charge la pompe hydraulique de 700 à 1400 tr/min, en continu au ralenti, avec tous types de carburants(solaire, électrique et carburants), ce qui permet de fournir une puissance hydraulique de de 50 à 250 bars, ce qui correspond à une puissance de

255 150 à 300 chevaux, donc à une vitesse de 150 à 300 Km/h, on obtient donc un rendement de 90%, avec une économie d'énergie de 90%, en ne consomment que l'équivalent de 10% d'énergie extérieure, pour maintenir la pompe en charge, d'où un avantage considérable de puissance et de couple sans augmenter la consommation, ce qui est dans le contexte actuel très innovant et prometteur, avec des prises de marchés et de débouchées énormes dans tous les secteurs industriels.

260 On utilisera suivant le descriptif rep D de la Fig A N°01.01/12 des pistons repOl et des

chemises rep 14, spécifiques qui seront montés dans tous les moteurs, avec tous les types d'énergies et carburants. Le piston repOl est doté de deux cavités creuses rep A et B, qui communiquent ensemble par quatre canaux à 90° rep07, l'orifice rep 13, permet d'alimenter en pression hydraulique les cloisons creuses rep A et B, cette effet permettra de propulser le piston vers le point mort haut (PMH). La spécificité de la

265 chemise montre que cette dernière est un tube fermé en position supérieure, côté tête du piston repOl, cette chemise est dotée d'un perçage rep02 fileté ½ ou autres qui recevra un raccord hydraulique avec une canalisation, pour alimenter en pression hydraulique cette chambre entre la chemise rep 14 et le piston repOl, quand ce dernier se trouve au point mort haut (PMH), pour propulser le piston vers le point mort bas (PMB). La tête du piston repOl est dotée d'un bouchon repl6, qui permet après usinage de la cavité

270 creuse rep A, de bouchonner et d'isoler cette dernière, de la chambre d'explosion par pression hydraulique entre la chemise et le piston, quand ce dernier est en position PMH. La forme en cône ou autre forme concave du bouchon rep 16, permet de canaliser, de concentrer et d'augmenter la force de poussée par la pression hydraulique sur le piston repOl, dans la chambre en PMH entre la chemise et le piston. La gestion hydraulique de l'ensemble du dispositif et procédé décrit ci dessus, mais aussi de tous les autres

275 dispositifs créés suivant le procédé de moteur temporel à variation de vitesse. Il est bien entendu que ce système suivant la cavité creuse rep B, permet d'adopter ce principe sur tous les types de pistons et moteurs, permettant d'allonger le temps d'ouverture des appareils de régulation hydraulique, par l'augmentation de la hauteur de la cavité creuse rep B sur la jupe du piston repOl, par rapport à la course et à la vitesse moyen du piston.

280 On utilisera suivant les descriptifs rep B de la Fig A N°04.04/12 et rep A de la Fig A

N°04.04/12 pour gérer l'ensemble des moteurs de conception MTVV, un ensemble d'installation doté de différents appareils, qui assureront la mise en œuvre et la gestion de tout le système moteur hybride ou non MTVV, de manière à fournir du chauffage directement par bain d'huile dans les radiateurs, du chauffage par échangeur thermique eau-huile dans les radiateurs eau, du chauffage par échangeur huile-air

285 puisé par soufflerie,de la production d'eau chaude, de la climatisation et de l'électricité par entraînement d'un alternateur monophasé ou autres, par entraînement d'un groupe électrogène pour produire aussi de l'électricité, production d'air par entraînement d'un compresseur d'air, il est bien entendu que la gestion sera assuré aussi par un moteur électrique de 0,45 à 2,2 KW, voir plus pour entraîner la pompe quelque soit l'énergie ( vide, hydraulique, vapeur gaz ou air), ainsi que l'alternateur, l'alimentation électrique sera

290 assurée par des panneaux photovoltaïque d'une surface de 20m 2 qui fournit 6Kw, mais on peut installer une plus grande surface, voir en utilisant d'autres moyens, de toute façon en utilisant l'énergie solaire, une pile à combustible, voir plus ou autres systèmes permettront d'emmagasiner l'énergie fourni, par l'alternateur et les panneaux solaires, voir autres systèmes, de manière à restituer pendant la nuit sont énergie emmagasiné le jour, on peut affirmer qu'un groupe électrogène pourra assurer la relève pendant la

295 nuit en cas de besoin. De son coté le moteur hybride ou non MTVV, permettra de restituer son énergie thermique fourni par la circulation de l'huile hydraulique, qui vient de la pompe hydraulique, mais aussi de tous les ensembles et organes mécanique en fonctionnement, car tout élément mécanique tournant de 1000 à 1500tr/min, occasionne une montée en température due aux frottements mécanique, à la lubrification naturelle de tous les roulements, paliers et segments, cet énergie thermique sera véhiculé vers

300 les différents types d'échangeurs thermique cités ci dessus, pour alimenter des ensembles en chauffage et production d'eau chaude. Ce qui est très intéressant de dire, c'est que mon système peut être installé dans tous les bâtiments publics, cela permettrait de réaliser des économies très importantes sur les charges de chauffage, qui sont énormes dans ces bâtiments (écoles, hôpitaux, mairies et autres). Il est donc urgent d'agir dans ce sens pour résorber notre dette publique. Il est bien entendu que je défends ce concept de

305 chauffage et de moteur MTVV hybride ou non, car il possède de sérieux avantages, dans un premier temps son investissement, très peu onéreux, de la manière dont est géré son installation par rapport aux aides financières et au montage du projet, ( en pouvant louer la toiture de mes clients pour y installer des panneaux photovoltaïque par une entreprise spécialisée, pour fournir l'énergie dont j'ai besoin, mais aussi en revendant cette énergie à EDF, car suivant les contrats établis, le loueur de sa toiture, devient

310 propriétaire de ces mêmes panneaux au bout de quinze années et peut revendre à son tour l'énergie

électrique à EDF), mais aussi parce que son coût d'entretien et les dépannages ou changements de pièces éventuelles seront peu coûteuse à long terme. Mais il a de ce fait un double, voir un triple avantage, c'est que l'on peut monter dans le cadre des grosses structure à chauffer ou même moindre, deux unités de chauffage en parallèle qui travailleront en alternance, de manière à optimiser un rendement maximum,

315 tout en évitant de moitié l'usure des deux installations prématurément, elles dureront dans ce cas deux fois plus de temps, il en sera de même pour ce qui est des échangeurs thermique, ils seront monté par groupe de deux que ce soit pour les échangeurs thermique eau-huile ou huile-air puisé de manière à travailler aussi en alternance, avec les deux installations de chauffage, ce qui permettra d'augmenter le rendement du chauffage, tout en préservant l'usure des différents organes en fonctionnement, ce qui est un sérieux

320 avantage par rapport à tous les chauffages actuellement existant, qui de par leurs coûts ne peuvent pas se permettre cela. D'où l'intérêt énorme de ce concept de moteur, qui génère des calories récupérables pour les transformer en chauffage et en bien d'autres choses. Il est bien entendu que les moteurs électrique de tous les types seront équipés d'un échangeur thermique incorporé ou non à la carcasse du moteur électrique, ou circulera de l'huile ou de l'eau, de manière à récupérer les calories de chaleurs thermiques

325 perdues par le moteur, qui sont de l'ordre de 20% de sa consommation électrique, cela permettra en plus de la ventilation, de refroidir le moteur et de récupérer les calories de chaleurs produites pour les véhiculer vers un échangeur thermique, transformable en chauffage et en production d'eau chaude. Le cas échéant on supprime la ventilation qui provoque un effet sonore important du moteur. Tous types de technologie pourront être adoptée pour équiper le moteur de cet échangeur au niveau de sa carcasse.

330 On utilisera suivant le descriptif rep D de la Fig A N°04.04/12 pour définir le potentiel et la finalité du moteur MTVV dans son potentiel industriel, suivant rep D de la Fig A N°04.04/12 ont voit apparaître la gestion de ce concept MTVV, mais qui font l'objet d'études spécifiques suivant chaque moteur thermique ou de projet chauffage, suivant rep D de la Fig A N°04.04/12, on voit apparaître la gestion d'un moteur hydraulique MTVV, on a rep 13 une pompe hydraulique qui fournit la pression de 0

335 à 250 bars par l'intermédiaire de l'appareil rep 05 qui distribue son énergie pression, donc couple et

puissance par les appareils hydraulique repOl, 02, 03 et 04 vers les pistons 1,2,3 et 4, en sachant que sur deux tours de vilebrequin, il y a deux pistons en PMH et deux pistons en PMB. On alimente donc en alternance et en pression hydraulique les pistons par paire. Un moteur électrique 12 ou 24 volts à 1500 tr/min, entraînera la pompe hydraulique rep 13 qui permettra le démarrage du moteur thermique et son

340 maintien au ralenti allant de 800 à 1500 tr/min suivant les cas, le moteur thermique quatre cylindres ici représenté, sera donc au ralenti et permettra par le biais d'une poulie située dans l'axe du vilebrequin rep 18 d'entraîner une deuxième pompe hydraulique rep 12, qui elle fournira du débit hydraulique au moteur MTVV en gavant les circuits, ce même vilebrequin rep 18 entraînera un alternateur 12 ou 24 volts, en passant par un générateur rep 16 et un transformateur d'énergie, qui permettra l'alimentation du moteur

345 électrique repl4 et de la batterie repl5, il est bien entendu que toute cette gestion dépendra de l'appareil rep05, qui jouera le rôle d'accélérateur, suivant que la tension augmentera sur sa bobine électromagnétique faisant de la même manière augmenter la pression hydraulique dans les circuits, on aura un radiateur rep 11 , qui lui jouera le rôle de refroidisseur hydraulique, car ce n'est plus de l'eau, mais bien de l'huile minérale qui y circulera, cette même huile repartira au carter cylindre du moteur MTVV, en passant

350 par un filtre retour avec bi- passe, avec indicateur électrique d'encrassement, l'huile de retour dans le carter cylindre moteur MTVV et filtrée, sera de nouveau aspirée par les deux pompes hydraulique, il est à noter qu'un clapet anti-retour permettra de maintenir en charge les pompes hydrauliques, pour éviter la cavitation.

On utilisera suivant les descriptifs rep A, B et C de la Fig A N°06.06/12 pour gérer l'ensemble

355 des moteurs hydraulique dans le chauffage, un ensemble d'installation doté de différents appareils, qui assureront la mise en œuvre et la gestion du chauffage dont un échangeur thermique spécifique rep A et B de la Fig A N°06.06/12 répondant à trois critères débits important de circulation d'eau, débits important de circulation d'huile et puissance calorifique importante. Aucun fabricant et fournisseur de cette gamme n'a pu répondre et satisfaire mon cahier des charges en ce qui concerne les débits et puissances

360 importantes, c'est pourquoi j'ai inventé ce concept pour me permettre de résoudre mes études et devis, concernant des puissances calorifique très élevées qui peuvent atteindre 1800Kw. Cet échangeur thermique est doté de tube cuivre rep3 de tout diamètre ou circule de l'huile qui va réchauffer l'eau qui rentre d'un coté et ressort de l'autre, c'est donc un échangeur eau-huile, mais cela peut être eau-eau, air- huile ou huile-huile ect.... La particularité se trouve dans l'assemblage est la forme du serpentant

365 réchauffeur rep3, qui a une forme de spirale en escargot, dont les spires sont écarté les une des autres, d'une distance dépendant du diamètre du tube cuivre utilisé, mais elle ne sera pas supérieure à deux centimètres et sera maintenu par un croisillon d'une épaisseur de deux centimètres, dont des empreintes de chaque côté des croisillons, épouseront la forme des spirales en escargot, pour recevoir les tubes cuivre de différents diamètre, ce croisillon sera percé en son centre par un trou de forme carré ou autre, pour

370 éviter la rotation des croisillons, ce trou carré recevra un tube carré, qui sera enfilé à travers tous les croisillons et positionné sur les brides rep2, l'ensemble des spires et croisillons, ainsi que les brides rep2, seront serrés et assemblés par l'intermédiaire d'une tige fileté inox et écrou inox qui ne se desserrent pas. Π est à noter, que les tubes ou tiges cuivre rep5 sont soudés sur les spires et tubes cuivre en forme d'escargot rep3, ainsi que sur les brides rep2, pour assurer l'assemblage et la tenue de l'ensemble, dans le cas du

375 montage avec les croisillons, on conserve les tubes ou tiges cuivre rep5, sur le diamètre extérieur de la bride rep2, on peut donc adopter les deux principes de montage, sans croisillon ou avec tubes ou tiges. Cette échangeur est donc réalisé en deux parties, rep A et B de la Fig A N°06.06/12, ces deux ensemble sont conçus, par un tube PN150 rep6, voir autre diamètre, suivant les puissances demandées par les installations de chauffage. Une bride rep8, avec des perçages rep9, qui recevront des vis pour assurer

380 l'assemblage des deux parties de l'échangeur, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide entrant qui est l'eau. Une autre bride replO, avec des perçages repl 1, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage des deux parties de l'échangeur, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide sortant qui est l'eau, cette bride est usiné avec un épaulement d'un diamètre inférieur à la PN150 rep6, de manière à retenir et bloquer l'ensemble des spires en escargot par l'intermédiaire des brides rep2, ce

385 système d'assemblage permet le démontage et remontage de l'ensemble, la maintenance et le dépannage, sans arrêter l'installation de chauffage. La deuxième partie de l'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 permet de rentrer ou sortir l'ensemble des spires en escargot dans le fût de la P 150 rep6 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12, cette partie de l'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 est conçu avec une PN150 rep6, une bride rep8, avec des perçages rep9, qui recevront des vis pour assurer

390 l'assemblage de cette partie de l'échangeur sur la PN150 du réseau principale de l'installation de chauffage, cette bride sera soudé sur la PN150 rep6, du coté du fluide entrant qui est l'eau. Une autre bride replO, avec des perçages repl 1, qui recevront des vis pour assurer l'assemblage de cette partie de l'échangeur rep B de la Fig A N°06.06/12 sur l'autre partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 du coté de la bride rep8 fluide entrant, cette bride sera soudée sur la PN150 rep6, du coté du fluide sortant

395 qui est l'eau, cette bride est usinée avec un épaulement d'un diamètre inférieur à la PN150 rep6, de

manière à retenir et bloquer l'ensemble des spires en escargot par l'intermédiaire de la bride rep2 coté bride rep8 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 fluide entrant. La partie rep B de la Fig A N°06.06/12 fait apparaître les deux tubes cuivre rep3, qui viennent de la partie échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12 en traversant la bride rep2 suivant la tuyauterie huile entrée HE 80° et la tuyauterie

400 huile sortie HS 40°, ces mêmes tuyauterie HE80° et HS40° sont soudées rep7 sur la PN150 rep6, la

tuyauterie HS40° huile sortant est enroulée sur le tube extérieur de la PN1 0 rep6 de la partie de l'échangeur rep A de la Fig A N°06.06/12, qui est protégé par une gaine anti usure pour le tube rep3, cela permettra d'éviter des déperditions de calories de chaleur par le tube PN150 rep6 et donc par ce biai d'améliorer encore plus la puissance calorifique du système, il est a noté que l'on améliorera encore plus

405 cette déperdition en venant isolé les spires rep3 enroulées sur la PN150 rep6 avec de la laine de roche voir autres isolants, il est à noter aussi que deux tôles en forme de demi lune viendront se positionner autour de la PN150 rep6 pour protéger l'isolant et améliorer l'isolation et elles seront fixées par des vis sur les brides rep8 et 10 de l'échangeur. Le descriptif rep A de la Fig A 06.06/12 fait apparaître la bride rep8 coté entrant fluide eau EE40°, elle dévoile aussi la forme de la première spirale en escargot du tube cuivre

410 diamètre ici 18mm, mais il peut être de tous les diamètres ou circule le fluide hydraulique ici de l'huile, qui va libérer ses calories au fluide circulant qui est l'eau pour être dirigé vers les radiateurs ou autre système, on voit donc apparaître le sens de circulation du fluide hydraulique et sa température rep HE80° et HS40°, on peut donc aussi dire que le flux qui est l'eau et le flux qui est l'huile circule en opposition dans l'échangeur pour permettre un meilleur échange calorifique, les tubes ou tiges rep5 sont soudées sur

415 les tubes cuivre rep3 de chaque spirale, pour permettre leurs assemblage, leurs positionnement et éviter surtout leurs usure, qui pourraient occasionner des fuites d'huile. La bride rep2 est percée de multiple trous repl qui vont permettre le passage du fluide entrant qui est l'eau par ces trous sous un certain débit, plus il y a de trous plus il y a de débit, on peut voir apparaître que les perçages rep4 sont tous percé suivant un axe angulaire et il faudra donc réaliser un maximum de trous à perçage angulaire, ce qui permettra au

420 fluide entrant qui est l'eau de tourbillonner dans tous les sens à l'intérieur de l'échangeur avant de ressortir, ce qui permettra un meilleur échange thermique, avec plus de puissance calorifique, à noter que tous les perçages angulaires sont percé dans toutes les directions. Cette bride sera percé aussi de trou qui recevront les tubes ou tiges rep5, à noter qu'elles seront soudées sur la bride rep2 au niveau des trous réalisés à cet effet et soudées aussi sur tout les tubes rep3 qui forment chaque spirale, à noter aussi que les perçages de

425 cette même bride qui reçoivent les tubes cuivre rep3 HE80° et HS40°, qui communiquent avec les deux parties de l'échangeur rep A et B de la Fig A 06.06/12 sont aussi soudés sur la bride rep2.Ce procédé permet de réaliser des échangeur thermique de toutes les puissances avec des circulations de débit d'eau important, on augmente le diamètre et la longueur de l'échangeur, mais l'avantage non négligeable c'est que cette échangeur se positionne dans la continuité des tuyauteries des installations de chauffage, donc 430 encombrement nul et efficacité maximum, de la qualité et des prix compétitifs. La bride rep2 dans le cas d'un montage avec croisillons, aura un perçage en son centre en fonction du diamètre de la tige fileté inox qui assurera le serrage de l'ensemble, cette même bride sera percé aussi en son centre sur la partie intérieure de la bride coté échangeur sur 10mm, d'un trou carré qui recevra le tube carré et sa tige fileté inox, passant à travers tous les croisillons, pour assurer le montage et le serrage de toutes les spires entre

435 elle à un certain couple entre les brides rep2, ceci pour éviter l'usure des tubes cuivre des spires rep3 et d'éviter la rotation des croisillons à l'intérieur de l'échangeur. La bride rep2 aura donc une épaisseur allant de 20 ou 30mm, voir plus. Pour ce qui est du descriptif rep C de la Fig A N°06.06/12, elle montre une solution avec la spire sortante rep3 à travers le tube de la PN150 rep6, du coté de la bride rep 10, un raccord repl2 est soudé sur la tuyauterie rep3 sortant de l'échangeur, un tuyau cuivre fileté mal viendra se

440 visser dans le raccord repl2 avec un produit oléo étanche, le tuyau rep3, sera alors enroulé autour du diamètre extérieur de la PN150 rep6, de la même manière que le descriptif en a fait l'objet ci dessus, il est à noter cependant qu'une cale cuivre sera soudée de part et d'autre des spires enroulées autour du diamètre extérieur de la PN150 rep6, pour éviter le contact des spires entre elles, qui provoquerait une usure rapide et anormale des tubes cuivre des spires enroulés autour de la PN150 rep6, pour ce qui est de la conception

445 , elle reste la même que l'échangeur rep A et B de la Fig A N°06.06/12. Pour ce qui est de la nourrisse de distribution des réseaux d'eau entrant, il est bien entendu qu'il faut pouvoir assumer le même débit entrant que sortant, tout en assurant un échange thermique et une puissance calorifique importante, il faut donc pour un certain débit entrant, monter et installer plusieurs échangeurs thermique, pour ce la on utilisera un tuyau PN150 ou autre suivant l'installation, positionné verticalement, on aura d'un coté une bride PN150

450 qui sera raccordée sur la bride PN150 du réseau circuit eau chauffage, de l'autre coté dans le même axe horizontal de la PN1 0 verticale, on aura quatre brides PN150 positionnées de manière à recevoir les quatre échangeurs thermique qui permettrons de restituer la puissance calorifique nécessaire à l'installation de chauffage, mais aussi le débit nécessaire, on en conclu que la conception de cette échangeur permet d'augmenter la puissance calorifique, ainsi que le débit en augmentant le nombre

455 d'échangeur thermique. Ce produit et concept permet de résoudre un très grand problème au niveau des charges des bâtiments publics, en réduisant les charges de chauffage, tout en permettant de produire de l'énergie électrique par l'intermédiaire d'un alternateur monophasé, de produire de l'air comprimé ect....

On utilisera suivant le descriptif rep C de la Fig A N°04.04/12 pour gérer l'ensemble des moteurs hydraulique de conception MTVV utilisé dans le domaine du chauffage ou autre domaine, un

460 bouchon repl5, qui sera fileté, pour venir se visser sur la chemise des pistons d'origine, que l'on aura fileté en position point mort haut de la même manière, que le bouchon rep 15, de manière à venir obstruer la chemise en point mort haut, ce même bouchon aura un perçage fileté en son centre pour venir y visser un raccord hydraulique qui permettra d'alimenter en pression hydraulique la chambre de combustion, au moment ou le piston arrivera en point mort haut, un joint torique rep 16, permettra d'assurer l'étanchéité

465 par rapport à la pression hydraulique, bien que le bouchon rep 15 sera monté avec des produits d'étanchéité oléo étanche, ce qui permettra suivant rep C de la Fig A N°01.01/12 repl4 qui représente une chemise non débouchant, qui doit être usinée et subir un traitement, en remplacement de celle d'origine, le système du bouchon repl5 rep C de la Fig A N°04.04/12 a pour avantage non négligeable d'éviter le remplacement de la chemise d'origine,de diminuer les coûts d'usinage, d'éviter un traitement thermique sur

470 la chemise et donc de diminuer le prix de revient de cette ensemble bouchon et chemise, ce concept pourra donc être développé si bien sur les modifications sur la chemise le permettront dans le cas contraire, on en restera à la solution rep D de la Fig A N°01.01/12.Π est bien entendu que l'on peut adopter ce concept sur tout les types de moteur qui développeront la technologie MTVV. A noter que suivant rep D de la Fig A N°01.01/12, le segment rep05 sur la jupe du piston en position inférieure sur cette dernière est doté de

475 rainures, vés, encoches, arrondis ou toutes les formes possibles de manière à créer une fuite hydraulique.

Le dispositif suivant l'invention comprend des pistons de différentes formes et conceptions, travaillant avec des segments étanches et racleurs disposés soient sur l'alésage extérieur des pistons, soient sur l'alésage intérieur des chemises, pour assurer le guidage et l'étanchéité entre les différentes chambres ou cavités creuses des pistons sur les jupes ou internes de ces derniers. D est à noter que suivant l'utilisation

480 de l'alésage intérieur des chemises pour assurer le guidage et l'étanchéité, on pourra utiliser différents mode de montage avec des joints racleurs, des joints à lèvres, des joints chevrons, des segments acier traité ou des tiroirs rainurés et traités comme sur les tiroirs de distributeurs hydraulique. Le dispositif suivant l'invention est, par conséquence, capable d'être associé à tous les types de moteur thermique et d'énergies connues, mais aussi à tous les types de carburants suivant que l'on utilise la technologie en

485 mode hybride ou non. Les problèmes de limitation d'encombrements, de poids et de conception imposés par les dispositif destinés aux commandes électronique, électrique, hydraulique ou autres, ainsi que les problèmes de production et de stockage, des différents types de moteur hydraulique MTVV utilisés en mode transport, chauffage, production électrique ou air comprimé ect... ne posent aucun problème, étant donné que suivant la technologie, on utilise toujours le moteur thermique de base, mais suivant le concept

490 MTVV, on supprime la culasse et l'arbre à cames, ainsi que tous les éléments qui la compose, on résout donc en plus les problèmes d'encombrement, de poids, de stockage, de production, d'usinage et de prix de revient du moteur.

Le descriptif de la figure rep B de la Fig A N°07.07/12 montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par une chemise rep05, avec des 495 segments sur l'alésage extérieur de celle ci, qui assurent le guidage et l'étanchéité par rapport au piston rep09.

Le descriptif de la figure rep A de la Fig A N°07.07/12 montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par une chemise en deux parties rep05 et 06, ayant les mêmes fonctions que celle figure rep B de la Fig A N°07.07/12, le chapeau rep07 500 qui est amovible permet l'étanchéité de la chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A

N°07.07/12, pour permettre la mise à l'air libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité.

Le descriptif de la figure rep D de la Fig A N°07.07/12 montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par une chemise 505 composée des pièces rep05, 06, 07 et 08, le piston qui coulisse dans la chemise du PMH vers le PMB et inversement, n'est pas représenté en coupe, il est composé des pièces rep09 et 12.

La figure rep B de la Fig A N°08.08/12 montre plusieurs vues en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 qui se montent entre les deux parties de la chemise composée des rep05 et 06, les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19

510 représentent différents mode de montage, de guidage et d'étanchéité du piston rep09 et 11.

La figure rep C de la Fig A N°07.07/12 montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTW, par une chemise composée des pièces rep05, 06 et 07, ainsi que la représentation schématique du piston, sa longueur et sa course vers le PMH et PMB.

Le descriptif de la figure rep C de la Fig A N°01.01/12 montre une vue d'ensemble d'un

515 dispositif de piston rep09 avec des cavités creuses sur les jupes de ce dernier. Ce piston translate dans la chemise, travaillant avec des segments étanches et racleurs disposés sur l'alésage extérieur du piston, une fuite hydraulique est provoquée par des perçages calibrés rep 23, entre les cavités creuses rep A et B, des encoches rep22, en forme de rainure ou autre, permettent aussi une fuite hydraulique, si on envoyé une pression hydraulique dans une cloison fermée les forces s'équilibre et il n'y aurait pas de mouvement,

520 d'où l'importance de cette fuite hydraulique.

Le descriptif de la figure rep A de la Fig A N°05.05/12 montre un mode de chauffage permettant aussi de produire de l'eau chaude sanitaire, par un échangeur thermique conçu de telle manière, qu'il peut permettre un échange thermique très élevé avec un haut rendement et des débits d'eau circulant très élevés et sans limites en entrée et en sortie de l'échangeur, sans perte de charge et d'échange

525 thermique. Cette figure nous montre deux vues faisant apparaître la première spire en escargot et la

dernière spire en escargot, elles sont conçues en tube cuivre recuit ou en tube hydraulique recuit, voir autres, d'un diamètre X, l'huile hydraulique venant des circuits retour au réservoir des appareillages et des pompes circule sans pression à l'intérieur de ces spirales rep04, qui peuvent être au nombre de X spires, suivant la puissance calorifique que l'on désire, elles restituent l'énergie thermique chaleur véhiculée par

530 l'huile. Des tirants cuivre ou autres repOl qui ne s'oxydent pas, permettent de maintenir les écarts entre les spires rep04, ces tirants sont brasés sur les spires et évitent un frottement et une usure prématurée des tubes entre eux. Chaque tronçon de X spires, est assemblé entre eux par soudure brasée à l'argent. La forme de la spirale est conçue sur un gabarit en forme de cône étagé ou non suivant les diamètres voulus et les écarts entre les spires. L'entrée du tube rep02 traverse la bride rep09 figure rep B de la Fig A

535 N°05.05/12 par le trou de passage replO et y est brasé à l'argent, la sortie du tube rep03 traverse la bride repl4 figure rep B de la Fig A N°05.05/12 par le trou de passage repl3 et y est brasé à l'argent, l'ensemble de l'échangeur brides et spirales sont assemblées suivant les tirants repOl et brasés à l'argent sur les brides à l'emplacement des rainures rep08 et des lumières repl 1, en respectant les côtes d'assemblage et de montage.

540 Le descriptif de la figure rep B de la Fig A N°05.05/12 montre une vue d'ensemble d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, suivant un mode de chauffage permettant aussi de produire de l'eau chaude sanitaire, par un échangeur thermique conçu de telle manière, qu'il peut permettre un échange thermique très élevé avec un haut rendement et des débits d'eau circulant très élevés et sans limites en entrée et en sortie de l'échangeur, sans perte de charge et d'échange

545 thermique. Cette figure nous montre deux vues faisant apparaître pour la première une bride entrée d'eau rep09 avec un tube sortie huile rep 10 de l'échangeur thermique et pour la deuxième une bride sortie eau repl4 avec un tube entrée huile repl3 de l'échangeur thermique, elles sont conçues de manière à véhiculer les débits d'eau venant des circuits retours du chauffage avec des débits très élevés, donc satisfaire le chauffage dans des bâtiments très grand en volume, par la multiplication des rampes d'échangeur

550 thermique de manière à maintenir des débits identique en entrée et en sortie d'eau des circuits chauffage, sans perte de charge, en conservant un échange thermique de très haut niveau et des rendements élevés, pour satisfaire ces critères de l'invention suivant un débit entrant de lOOlitres/min, on le répartit suivant quatre échangeurs qui laisseront passer 251itres /min par échangeur, ce qui permettra de maintenir les mêmes débits en entrée et en sortie, pour cela si lOOlitres/min passent dans un tube DN150, on calcule la

555 surface de la P 150 et on la divise par quatre, on a donc la surface correspondant au débit de 251itres /min qui doit passer par échangeur thermique, à partir de là, on peut calculer suivant le diamètre et la surface de la bride rep09, le nombre de perçages suivant un certain diamètre repl2, qu'il faudra réaliser pour permettre le passage correspondant au débit de 251itres/min à la fois sur les deux brides rep09 et 14, les perçages repl2 seront réalisés et positionnés suivant les encombrement et les écarts disponible, c'est

560 pourquoi il faut bien définir et calculer le diamètre de ces perçages en fonction du débit et de la surface entrant ou sortant, à noter que ces perçages seront réalisé soient perpendiculairement aux brides entrantes et sortantes, soient suivant un angle en toute direction de manière à obtenir une turbulence de l'eau à l'intérieur de l'échangeur thermique, aux fins de permettre un échange optimal entre les spirales rep04 circuit huile et le circuit eau du chauffage. Ces brides rep09 et 14 sont conçues avec des rainures rep08 et

565 des lumières repl 1, qui recevront les tirants repl, qui seront soudés à la brasure d'argent sur les rep08 et

1 1 des brides rep09 et 14, ceci pour finaliser le montage et l'assemblage de l'échangeur thermique, qui sera positionné à l'intérieur des tubes thermiques en acier repl 7 figure rep C de la Fig A N°05.05/12 suivant le diamètre défini par les débits à respecter. Les perçages rep 10 et 13, permettent le passage des tubes cuivre ou hydraulique recuit rep02 et 03, qui correspondent à l'entrée et à la sortie du circuit huile, ces tubes sont

570 respectivement soudés après assemblage à la brasure argent, sur les brides rep09 et 14.

Le descriptif de la figure rep C de la Fig A N°05.05/12 montre une vue d'ensemble d'un dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, suivant un mode de chauffage permettant aussi de produire de l'eau chaude sanitaire, par un échangeur thermique conçu de telle manière, qu'il peut permettre un échange thermique très élevé avec un haut rendement et des débits d'eau circulant

575 très élevés et sans limites en entrée et en sortie de l'échangeur, sans perte de charge et d'échange

thermique. Cette figure nous montre l'ensemble de l'échangeur thermique, avec ces deux colonnes en tube carré acier des circuits eau chauffage entrant et sortant rep 15 et 16, ainsi que les différents tubes thermiques en acier rep 17, qui reçoivent les quatre ensembles d'échangeurs thermiques conçus avec les brides rep09 et 14 et les spirales rep04. Le tube thermique en acier rep 17 reçoit une bride rep24

580 correspondant au diamètre de la PN repl7, conçue avec des perçages X suivant la bride et qui permettront de fixer l'ensemble de l'échangeur thermique rep 17 sur les colonnes rep 15 et 16, suivant les emplacements des perçages taraudés sur ces dernières rep25 pour fixer par vis les quatre échangeurs thermique rep 17 sur les colonnes. Au préalable avant fixation des échangeurs thermique rep 17 sur les colonnes rep 15 et 17. Les rep 18 et 19 sur les colonnes rep 15 et 16, permettent suivant leurs fixations taraudées et leur perçage

585 central d'un certain diamètre correspondant au passage des tubes cuivre ou hydraulique recuit rep04 venant des brides replO et 13, par un flasque qui sera fixé à l'intérieur des colonnes tube carré repl5 et 16, laissant passer les tubes cuivre ou hydraulique recuit rep04 venant des brides replO et 13, vers l'extérieur des colonnes repl5 et 16, pour les diriger vers les circuits hydraulique composés des appareillages, des pompes hydraulique, des réservoirs hydraulique et du moteur hydraulique MTVV, ces tubes cuivre ou

590 hydraulique recuit rep04 venant des brides replO et 13, sont soudés à la brasure d'argent sur ces mêmes flasques à l'emplacement du perçage central correspondant au diamètre du tube cuivre ou hydraulique recuit rep04, suivant une position défini par la colonne repl5 ou 16 et l'échangeur thermique repl7 par les brides rep24 de chaque côté de l'échangeur. Les fixations taraudées rep26 et 28, avec le trou de passage sur les colonnes repl5 et 16, correspondent à la fixation des canalisations et tubes PNX, venant des

595 circuits eau de chauffage, leurs postions sont définies suivant les installations de chauffage existantes. Les perçages taraudés 1 pouce voir autre rep22 sur les colonnes repl5et 16, permettent d'y installer une vanne, qui aura pour rôle de vidanger l'eau des colonnes, dans le cas d'une intervention dépannage et réparation, pour remplacement d'un échangeur thermique repl7. Une plaque en acier rep20 ou 21 sera soudée en position basse sur les colonnes repl5 et 16, pour assurer la fermeture et l'étanchéité des colonnes, mais

600 aussi de fixer au sol par ces quatre perçages les colonnes. Les rep27 ou 28 en position haute des colonnes, sont conçus par deux plaques en acier, l'une est dotée de plusieurs taraudages avec un trou de passage rectangulaire et elle soudée en position haute sur les colonnes repl5 et 16, l'autre est percée de trous correspondants à la position et au diamètre des trous taraudés sur l'autre plaque de manière à venir fermer et assurer l'étanchéité des deux colonnes repl5 et 16 en position haute, elles permettent et jouent aussi le

605 rôle de trappe de visite.

Description détaillée d'un mode de réalisation préféré

En faisant référence aux dessins joint le descriptif de la figure rep A, B,C et D de la Fig A N°07.07/12, de la figure rep A, B, C et D de la Fig A N°08.08/12 et de la figure rep C de la Fig A

N°01.01/12, un dispositif composé de chemises et pistons permettant de distribuer une pression

610 hydraulique et un débit d'huile, voir autre énergie citée, canalisés vers des cavités creuses sur les jupes des pistons ou internes à ces derniers, pour permettre la propulsion des pistons vers le PMH et le PMB.

L'invention est capable d'être associée à tous types de moteur et carburants, avec tous types d'énergie, en mode hybride ou non, dans tous les types de transport ou autre utilité, comme produire du chauffage par le biais d'un moteur hydraulique MTVV, qui permettra aussi de produire de la production d'eau chaude

615 sanitaire suivant un mode défini, de l'air comprimé pour les centrales des fluides et même de la production électrique en entraînant un alternateur de toutes les puissances. Le dispositif comprend, la figure rep B de la Fig A N° 07.07/12 qui montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par une chemise rep05, avec des segments acier suivant les rainures rep03 sur l'alésage extérieur de celle ci, qui assurent le guidage et l'étanchéité par rapport au piston rep09 et deux

620 perçages ou viendront se loger des goupilles de manière à serrer les segments acier suivant les rainures rep03 sur la bague en fonte GS700 ou autres, du piston rep09 pour ajuster le jeu qui assurera l'étanchéité. Les perçages et les trous taraudés repl et 2 permettent de fixer les deux brides SAE, qui achemineront la pression hydraulique et le débit d'huile vers les cavités creuses du piston rep09, les deux perçages repl et 2 sont positionnés avec précision, suivant la course du piston en PMH et PMB de manière à propulser le 625 piston sous l'effet de la pression hydraulique à un moment T donné. La rainure rep04 permet d'assurer l'étanchéité par un joint torique suivant l'emboîtement de la chemise dans le moteur. Suivant la figure rep

A de la Fig A N°07.07/12 on se retrouve dans la même configuration que la figure rep B de la Fig A

N°07.07/12, la seule différence consiste en ce que la chemise est en deux parties, un joint plat spécifique assure l'étanchéité entre les deux chemises au montage, l'avantage de ce dispositif permet d'assembler et

630 de monter avec plus de facilité le piston rep09. Un chapeau rep07 qui est amovible permet l'étanchéité de la chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A N°07.07/12 , pour permettre la mise à l'air libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité, dans ce cas deux perçages taraudés rep20 figure rep C de la Fig A N°07.07/12 permettront l'implantation de deux clapets anti retour à l'air libre avec un filtre ou l'un des deux taré à une

635 pression voulu pour alimenter une réserve d'air comprimé. Suivant la figure rep E de la Fig A N°08.08/12 , elle représente le piston rep09 et le chapeau repl2 toutes deux en alliage d'aluminium, on vient emboîter le piston dans les chemises rep05 et 06, le piston est préalablement équipé de ces segments étanches et racleur et préalablement équipé aussi de sa bague en fonte GS700 repl5 qui sera de différentes épaisseurs suivant les cas, la cavité creuse dans le piston rep 13 qui est aussi fileté permettra de visser le chapeau

640 repl2, mais elle permettra aussi d'alléger le piston rep09. Une fois l'assemblage chemise et piston réalisé, on vient visser le chapeau rep 12, préalablement équipé de deux segments l'un étanche et l'autre racleur, le chapeau repl2 assurera le blocage de la bague repl5, bien que celle ci soit montée ajustement serrant sur l'alésage du piston rep09, le chapeau rep 12 est monté au scelle roulement ou par tous moyens de blocage mécanique sur le piston rep09. La pression hydraulique, ainsi que le débit agiront sur les cavités creuses

645 réparties de part et d'autre du piston rep09 et des segments rep03, permettant de propulser alternativement le piston vers le PMH ou le PMB, suivant l'arrivée de la pression hydraulique et du retour hydraulique vers le réservoir d'un côté ou de l'autre et inversement, comme représenté suivant la figure rep D de la Fig A N°07.07/12. A noter que l'alésage repl4 du piston rep09 permet le rattachement du piston au pied de bielle par l'intermédiaire de l'axe de bielle sur tous les types de moteur, à noter que la partie formant le

650 pied du piston rep09, reste la même que le piston d'origine suivant tous les types de moteur. La figure rep D de la Fig A N°07.07/12 représente l'ensemble du montage chemise- piston, le principe de

fonctionnement et le piston restent les mêmes, mais la seule différence consiste à voir la chemise en trois parties rep05, 06 et 08, cependant suivant les différents cas de fonctionnement on pourra adopter les montages de la pièce rep08, suivant les différentes possibilités représentées figure rep B de la Fig A

655 N°08.08/12 par les rep08, 16, 17, 18 et 19, qui montre plusieurs vues en coupe longitudinale d'un

dispositif suivant l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, par les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 qui se montent entre les deux parties de la chemise composée des rep05 et 06, les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 représentent différents mode de montage, de guidage et d'étanchéité du piston rep09 et 1 1. Il est à noter que suivant l'utilisation de l'alésage intérieur des chemises pour assurer le guidage et l'étanchéité, on

660 pourra utiliser différents mode de montage avec des joints racleurs, des joints à lèvres, des joints chevrons, des segments acier traité ou des tiroirs rainurés et traités comme sur les tiroirs de distributeurs hydraulique tel que représentés rep08, 16, 17, 18 et 19. A noter aussi que l'étanchéité entre les chemises rep05 et 06 et les pièces rep08, 16, 17, 18 et 19 sont assurées de part et d'autre par un joint plat spécifique. Suivant la Figure rep B de la Fig A N°0.08/12 qui montre une vue d'ensemble en coupe longitudinale d'une chemise

665 composée des pièces rep05, 06 et 07, ainsi que la représentation schématique du piston, sa longueur et sa course vers le PMH et PMB, suivant la conception de piston figure rep C de la Fig A N°01.01/12. Le chapeau rep07 qui est amovible, permet l'étanchéité de la chemise rep06 ou 05 suivant les figures rep A et B de la Fig A N°07.07/12, pour permettre la mise à l'air libre de la chambre de compression en PMH ou la production d'air comprimé pour centrale des fluides ou autres utilité, dans ce cas deux perçages taraudés

670 rep20 figure rep C de la Fig A N°07.07/l 2 permettront l'implantation de deux clapets anti retour à l'air libre avec un filtre ou l'un des deux est taré à une pression voulu pour alimenter une réserve d'air comprimé. Suivant la figure rep C de la Fig A N°01.01/12 qui montre une vue d'un piston rep09, composé de deux cavités creuses suivant une forme perpendiculaire repA et B, ce piston coulisse et il est assemblé avec la chemise rep05 de la figure rep C de la Fig A N°07.07/12 , qui comporte la même conception et les

675 mêmes dimensions que les autres figures rep A, B et D de la Fig A N°07.07/12 , avec la seule différence, que l'alésage intérieur de la chemise ou coulisse le piston est d'un seul tenant et dans ce cas aussi on se retrouve avec deux brides SAE, qui travaille avec les deux cavités creuses en PMH et deux autres brides SAE, qui elles travaillent avec les deux cavités creuses en PMB, acheminant la pression hydraulique et le débit vers une entrée de bride SAE, pour ressortir de l'autre bride SAE du même côté vers le réservoir, en

680 passant par les fuites hydraulique provoquées par les perçages calibrés et calculés rep23, dont le nombre varie, ces fuites hydraulique pour repartir vers le réservoir passent par la chambre interne rep 13, qui est bouchée par un bouchon rep24 vissé et monté au scelle roulement ou bloqué par tout autres moyens mécanique, de manière a communiquer de la cavité creuse rep A vers la cavité creuse rep B, pour repartir au réservoir. De la même manière on a usiné des rainures rep22 qui sont perpendiculaires à l'axe du

685 segment étanche qui est positionné sur la rainure du diamètre de l'alésage extérieur du piston rep21 entre les deux cavités creuses rep A et B, les rainures rep22 sont plus ou moins grande en profondeur pour permettre la aussi une fuite hydraulique entre les cavités creuses rep A et B, vers le réservoir. Ces fuites hydraulique permettent d'affaiblir la force hydraulique provoquée par la pression hydraulique F=PxS, sur les surfaces de la couronne des cavités creuses positionnées de part et d'autre des rep21 et 23, les surfaces

690 opposées des cavités creuses repA et B positionnées vers la tête et le pied du piston rep09, permettent sous l'effet de la pression hydraulique et du débit de propulser ce dernier vers le PMH ou PMB

alternativement, suivant que la pression hydraulique et le débit arrivent de A vers B ou de B vers A. A noter que la différence des forces F=PxS entre les surfaces d'une même cavité creuse A ou B, permet de définir la force exact qui s'exerce sur la surface du piston suivant la pression de réglage régulé par un

695 réducteur de pression et le débit régulé par un limiteur de débit, pour le propulser, qui dit débit dit vitesse et qui dit pression dit couple et puissance A noter que la base du piston reste toujours identique à celle du piston d'origine dans tous les cas étudiés ici, mais la conception peut être aussi sur un piston en deux parties ou même trois suivant les cas et les moteurs utilisés, chaque cas fait l'objet de sa propre étude. Le dispositif suivant les figures rep A et E de la Fig A N°08.08/ 12 comprend, la figure rep A de la Fig A

700 N°08.08/12 qui montre une vue en coupe longitudinale d'un dispositif selon l'invention associé au moteur hydraulique MTVV, suivant la figure rep A de la Fig A N°08.08/12 on se retrouve dans la même configuration que la figure rep D de la Fig A N°07.07/12 , qui consiste en ce que la chemise est en deux parties, un joint plat spécifique assure l'étanchéité entre les deux chemises au montage avec la pièce repl6, qui suivant l'utilisation de l'alésage intérieur des chemises pour assurer le guidage et l'étanchéité, on

705 utilise différents mode de montage avec des joints racleurs, des joints à lèvres, des joints chevrons, des segments acier traité ou un tiroir rainuré et traité comme sur les tiroirs de distributeurs hydraulique tel que représentait à la figure rep A de la Fig A N°07.07/12 , ce mode de fonctionnement et de montage a fait l'objet d'améliorations suivant les besoins et la modification du piston en utilisant les deux technologies d'assemblage d'un piston suivant les figure rep A et D de la Fig A N°01.01/12, de manière à monter le

710 piston en deux parties rep03 et 09 en montage bloque presse, ce qui permet de conserver la même

longueur de piston, pour la même technologie MTVV, sans modifier la longueur de la chemise et sa conception suivant l'assemblage des rep05, 16, 06 et 07. L'amélioration consiste aussi dans la position des fixations des brides SAE rep02 et 03, la seule différence c'est qu'on se retrouve avec deux brides SAE, qui travaille avec la cavité creuse du piston rep09 et rep 15 en PMH et PMB, acheminant la pression

715 hydraulique et le débit vers une entrée de bride SAE, pour ressortir de l'autre bride SAE du même côté vers le réservoir, en passant par les perçages qui ont été réalisés sur les chemises rep05 et 06, on pourra doubler ou même tripler ces brides pour augmenter le débit et la pression dans la cavité creuse du piston, l'avantage c'est que l'on positionne les brides SAE ou on le désire, mais bien entendu les perçages réalisés pour permettre ce type de conception seront obstrués par des bouchons suivant les taraudages réalisés.

720 Le descriptif de la figure rep D de la Fig A N°08.08/12 présente des améliorations technique, des joints hydraulique ont été préconisé et rajouté suivant le rep2 sur les pièces du piston rep4 et rep3, pour améliorer l'étanchéité entre l'huile moteur et l'huile hydraulique une autre amélioration consiste à bloquer la pièce rep3 sur la pièce rep4 une fois vissées entre elles, par l'intermédiaire de deux vis CHC creuses à tête fraisée, pour permettre un démontage plus aisé du nez de piston rep3 et son blocage en

725 rotation, mais tout autre système de blocage peut être préconisé.

La présente invention rep A, B et C Fig A N°09.09/12 porte sur un système et procédé de climatisation et rep A, B, C et D Fig A N°10.10/12, rep A, B et C Fig A N°l 1.11/12 et rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/12 sur un système et procédé de chauffage à moteurs hydraulique et radiateurs à plaques, mais aussi de radiateurs de coin de mur ou en colonne. Ce procédé et système de climatisation

730 remplaceraient les refroidissements actuels des centrales nucléaires évitant ainsi le rejet des eaux dans les cours d'eau et les mers, car il fonctionnera en circuit fermé. Il peut aussi suivant le même principe rep C Fig A N°09.09/12, faire de la climatisation et remplacer la aussi les systèmes actuels. D peut aussi réaliser une réfrigération dans les glaciaires, suivant fig. rep A, B Fig A N°09.09/12, réalisation et fabrication du procédé et système, conçu avec des tubes éprouvettes remplis d'azote liquide, de dioxyde de carbone ou de

735 gaz carbonique ect.... et des tubes remplis d'eau, plusieurs modes d'utilisation sont défini pour la

fabrication. Ce produit pourra fabriquer de l'eau naturellement, par condensation, tout simplement par choc thermique entre le chaud et le froid, cela permettra des économies d'eau, le développement de certain pays dans la culture et la production d'eau. Le principe de la climatisation fera office de récupérateur d'eau, pour la culture aussi car en disposant entre chaque ligne de semis graines quelconque, des tubes

740 d'eau congelés par le tube éprouvettes qui y est incorporé, cela permettra une hydrométrie de la terre, par condensation des tubes, qui se régulera naturellement en fonction de la température extérieure. Il en est de même pour tout ce qui est des cultures sous serres et même chez les particuliers dans les jardinières de plantes et fleurs. Ce procédé fournit l'énergie complémentaire eau, climatisation, arrosage ou refroidissement, sans capacité et puissance énergétique supplémentaire, il va stocker de la matière et de

745 l'énergie, l'interchangeabilité de ces éléments pourra se faire sans problème au moment voulu, l'avantage de ce procédé est de ne pas être polluant, écologique, silencieux et de conjuguer puissance et autonomie. L'élaboration du circuit de refroidissement tel que réalisé dans le système des centrales nucléaire récupérera les calories thermiques que l'on utilisera pour alimenter et refroidir par le biais de plusieurs piscines fonctionnant en circuit fermé. Le problème que la présente invention se propose de résoudre,

750 réside dans la conception d'un mode de climatisation, de production d'eau et de refroidissement, avec une énergie propre, une autonomie et une puissance. D permet donc d'économiser les matières premières, comme le pétrole, le gaz et de diminuer à long terme les rejets d'eau du nucléaire dans les mers ou rivières et de rendre autonome chaque habitation dans ces besoins d'électricité, de climatisation et de production d'eau.

755 Le deuxième procédé et système de chauffage peut suivant ce principe rep A, B, C et D Fig

A N°10.10/12, rep A, B et C Fig A N°l 1.11/12 et rep A, B, C et D Fig A N°12.12/12, remplacer la aussi les systèmes actuels de chauffage. Il peut aussi dans les mêmes conditions réaliser et créer un nouveau type de radiateur à plaques ou en colonne, installer dans les coins d'une pièce d'habitation ou même en colonne. Dans l'invention, la solution de ce problème consiste, pour ce type de chauffage, conjuguant

760 puissance thermique et rendement avec une consommation électrique réduite, pour un concept de type cité, à prévoir deux groupes hydraulique disposés en série, qui travailleront en alternance, pour transformer l'énergie calorifique et thermique produit par laminage des pompes hydraulique, des limiteurs de pression et des limiteurs unidirectionnels, seul une consommation de 750Watts/heures, qui correspond à la consommation du moteur électrique qui entraîne la pompe hydraulique à une pression de 30bars et qui

765 s'avère suffisante pour maintenir une température constante à 70° de l'huile hydraulique dans les

réservoirs, de manière que les radiateurs à plaques tels que décrits rep A, B, C et D Fig A N°12.12/12 , qui sont positionnés à l'intérieur des réservoirs hydraulique, autour des parois du réservoir et en fond, mais aussi par le biais des radiateurs en colonne positionnés aussi dans les réservoirs hydraulique, ou de ces mêmes types de radiateurs aménagés et installés sur les moteurs des pompes hydraulique, de manière là

770 aussi de récupérer les calories thermiques produit par le moteur électrique. Les radiateurs à plaques, à colonne ou montés sue les moteurs électrique, qui sont confectionnés en matière aluminium du même type que les pompes à eau des moteurs automobile, permettront de récupérer au passage les calories produit par circulation de l'eau venant des radiateurs de l'habitation, propulsé par le circulateur du circuit chauffage de l'habitation, les radiateurs à plaques et à colonnes se comporteront alors comme des

775 échangeurs thermique, en restituant l'énergie calorifique captée, dans l'huile hydraulique des réservoirs, car l'aluminium est la matière qui se comporte, le mieux et avec un rendement de haut niveau dans les échanges thermique, elle capte et restitue les calories rapidement sans perte de rendement. Le

cheminement de l'eau de chauffage venant de l'habitation se fait dans les radiateurs à plaques et à colonnes, suivant le principe de rainures en forme de chicanes ou de spirales de plaque en plaque ou de

780 couronne en couronne et de radiateur en radiateur, pour repartir vers les radiateurs de l'habitation, il est bien entendu, que plus il y aura de plaques ou de couronnes, plus la puissance du chauffage augmentera, pour un concept tel que décrit, avec dix radiateurs à trois plaques chacun, positionnés dans les deux réservoirs de lOOlitres d'huile hydraulique anti-feu à 70°, avec une consommation de 750Watts/heures cela permet de produire une puissance thermique de 50Kw à une température constante de 50° à 60°, sans

785 aucun pique de diminution ou d'augmentation de la température, ce qui n'est pas le cas de tous les

systèmes de chauffage actuel, donc une très grande souplesse de fonctionnement, mais aussi un très grand confort, par période de grand froid. L'avantage de ce type de chauffage, permet sur du très long terme de garantir de la croissance, du pouvoir d'achat à ceux qui en possède une installation, mais aussi la création d'entreprise et d'emploi sur du très long terme, car il est bien entendu que votre installation de chauffage à

790 moteurs hydraulique, sera toujours au top niveau, avec un rendement maximum, dans cinquante années voir plus, car vous changerez dans le temps, parfois une pompe hydraulique, un moteur électrique, un appareil hydraulique ou tout autre appareil de sécurité ou l'huile hydraulique, mais votre installation repartira et sera toujours avec un rendement maximum et sans faille. L'autre avantage non négligeable aussi c'est le zéro panne, exception faite si vous avez une coupure électrique, car ayant deux groupes

795 hydraulique qui fonctionnent en alternance une heure chacun à tour de rôle, dés qu'un groupe se met en défaut et hors sécurité, quelque soit la panne, l'autre groupe maintient le relais en continue, tant que la maintenance, n'a pas assuré le dépannage et la remise en fonctionnement du groupe en panne, le client à donc une installation de chauffage qui fonctionne toujours, avec moins de rendement certes, mais qui permet toujours de maintenir une certaine température, ce qui n'est pas le cas des systèmes actuels, c'est la

800 aussi un avantage important pour les personnes d'un certain âge et les enfants en bas âges, dans les

familles, maisons de retraite, écoles, hôpitaux ect....A noter aussi que toutes les sécurités incendies ou autres sont respectées, aussi bien dans l'utilisation d'huile spécifique anti-feu à très haut rendement et longévité.

Le descriptif de la figure rep A, B et C Fig A N°09.09/12 des éprouvettes d'azote liquide, de 805 dioxyde de carbone ou gaz carbonique rep3 et 4 et des tubes repl et 2, qui contiennent l'un de l'eau

distillée ou glycol, avec rajout ou non de sel minéraux et de gaz cité mélangé et l'autre de l'eau distillée ou glycol, avec rajout ou non de sel minéraux et une éprouvettes rep3ou 4, ou de tous autres formes qui contient de l'azote liquide, de dioxyde de carbone ou gaz carbonique, dans les deux cas des tubes replet 2, les dosages de volume d'eau et gaz sont bien définis et déterminés en fonction des critères de volume et 810 d'échange thermique que l'on veut obtenir en mode réfrigérant, donc climatisation ou en mode

condensation pour production d'eau domestique ou arrosage, le rep2 de la figure rep A Fig A N°09.09/12 est confectionné en tube quelque soit la matière ou la forme, le tube est fileté intérieurement à une extrémité, pour recevoir un raccord fileté mal femelle rep8, qui est monté au sel roulement ou un raccord lisse rep8 qui est brasé à la brasure d'argent sur le tube lisse intérieurement rep2, on vient visser ensuite un 815 bouchon rep 10, avec un joint rep9, lorsque le remplissage de l'eau et du gaz est terminé, ce bouchon sera monté lui aussi au sel roulement, à noter que l'opération de remplissage de l'eau et du gaz, ainsi que la fermeture de l'éprouvette doit se réaliser très rapidement , car le gaz liquide au contact de l'air s'évapore très rapidement. L'autre extrémité du tube rep2 a été préalablement écrasé à la presse sur une certaine longueur et percé à un certain diamètre, ainsi que plié tel que l'éprouvette rep4, le perçage et la pliure, 820 permettront de braser à la brasure d'argent cette extrémité telle que décrite pour que le tube soit totalement étanche et résiste, le remplissage des tubes ou des éprouvettes avec le gaz liquide doit être fait impérativement lorsque le tube lui même ou l'éprouvette, sont eux même trempé dans le gaz liquide, pour éviter le choque thermique du tube, qui pourrait dessouder les brasures d'argent, à noter que le perçage rep7, n'est réalisé que pour permettre la fixation des tubes rep2 suivant divers montages et utilités, donc

825 pas forcément obligatoire, ce qui renforcera cette extrémité si il n'y a pas de perçage, on peut donc adopter différents modes de fixation par pression, serrage ou autres. Le tube repl est confectionné de la même manière que le tube rep2, sauf que dans ce cas de conception on soude les deux extrémités du tube repl à la brasure d'argent, suivant les perçages ou non rép5 ou 6, ce mode de fabrication doit être réalisé suivant la procédure défini rep B Fig A N°09.09/12, pour souder ces deux extrémités de manière que lorsque l'on

830 soude les extrémités cela n'est pas d'incidence sur les produits contenus dans les tubes, on introduit donc avant soudure et fermeture, un certain volume d'eau distillée ou glycol, avec rajout ou non de sel minéraux, en tenant compte des volumes de l'état liquide à l'état solide lors de la congélation, mais aussi du volume de l'éprouvette d'azote liquide rep lou 2, qu'on introduit dans le tube repl, on peut ensuite procédé à la fermeture du tube repl, en respectant la procédure de soudage à la brasure d'argent expliquée

835 dans le descriptif de la figure rep B Fig A N°09.09/12 , qui est impératif, ces procédures d'exploitation et de fabrication doivent faire l'objet d'une très grande maîtrise et concentration dans la manipulation et la réalisation des différentes opérations de fabrication suivant les dosages prescrits. A noter que l'on peut prendre d'autres produits liquide pour réaliser la congélation dans les tubes repl ou 2 les éprouvettes d'azote liquide à partir du moment ou cela ne perturbe pas le mode de fermeture et de soudage des

840 différents tubes à leurs extrémités.

Le descriptif de la figure rep A Fig B N°09.09/12 suivant l'invention permet de montrer et d'élaborer le mode de fabrication et de soudure des éprouvettes de gaz rep2 figure rep B Fig A

N°09.09/12 ou de l'ensemble des tubes repl figure rep A Fig A N°09.09/12 avec les éprouvettes rep2 ou 4 à l'intérieure, suivant l'un ou l'autre le montage de fabrication se fera en position verticale ou

845 horizontale, étant donné que les remplissages des produits se font différemment dans les deux cas. Le but de cette conception de fabrication est d'empêcher l'introduction d'air dans l'éprouvette qui contient le gaz et de permettre l'isolation de la chambre de gaz, lorsque l'on va souder à la brasure d'argent la partie rep4 et le perçage rep3 figure rep B Fig A N°09.09/12. On a donc confectionné un élément de plusieurs clavettes dimensionnées et soudées repl, qui viendra se positionner sur la partie écrasée et percée rep3 et

850 4 des éprouvettes rep2, la pièce repl sera positionnée suivant les mors de serrage rep5 et 6 des étaux ou des vérins hydraulique ou autres moyens de serrage de manière à venir presser pour étancher et isoler la chambre d'azote liquide pendant le soudage à la brasure d'argent, toutes les opérations ainsi terminées, suivant le mode d'utilisation des éprouvettes rep2 et 4, on sépare ces dernières en les coupants au niveau du perçage rep3, pour ce qui est des tubes repl figure rep A Fig A N°09.09/12, on procédera de la même

855 manière, mais en position verticale, car l'on doit introduire au fur et à mesure l'eau et les éprouvettes dans les longueurs de tubes repl figure rep A Fig A N°09.09/12, avant de procédé au serrage de la partie écrasée au niveau des perçages rep5 et 6 et ainsi de suite suivant la longueur du tube repl, dans ce cas toutes ces opérations terminées on pourra procéder au soudage à la brasure d'argent et à la séparation des tubes repl, il est à préciser que suivant le mode d'utilisation, on ne séparera pas les tubes repl, pour

860 conserver de grandes longueurs, qui permettront de réaliser des rampes d'arrosage dans les serres, dans les jardins, dans les champs et dans les jardinières, quelque soit le pays ou le climat. Je pense que maintenant on peut se rendre compte de l'impact bénéfique de ce concept pour l'humanité et les peuples dans la souffrance, car ce produit sera abordable pour tous et touchera toutes les classes et tous les pays sans exception.

865 Le descriptif de la figure rep C Fig A N°09.09/12 suivant l'invention permet de montrer et d'élaborer le concept de climatisation, de filtration et de récupération d'eau, qui pourra être dirigé vers des mini centrales d'épuration et de filtration, avant utilisation sanitaire, arrosage ou consommation, dans des habitations individuelles ou autres. La figure rep C Fig A N°09.09/12 représente les étages rep 1,2, 3, 4 et 5, qui forment la climatisation ou le récupérateur d'eau, que ce soit dans les habitations, dans les

870 automobiles, les serres ou autres utilités, le principe est toujours le même, seule la taille et le dimensionnel changera suivant les types d'utilisations. La plaque repl est donc conçue, par des perçages en position supérieure et inférieure rep7 et des lamages ou viendront se loger de longues visses qui assureront le serrage de l'ensemble des plaques de la climatisation, ces plaques seront en matière thermoplastiques, thermodurcissables ou élastomères suivant les régions ou les utilités et contraintes, les rebords rep 1 1 et

875 12seront d'une hauteur plus ou moins grande pour permettre de conserver et de stocker l'eau de

condensation venant des tubes de congélation d'eau rep 6 entre les plaques rep2,3 et 4, les trous percés et taraudés rep8 permettront le cheminement de l'eau récupérée de la condensation vers les appareils voulus. La plaque rep2 est dotée ici de quatre tubes repl3 ayant une éprouvette d'azote liquide incorporée à l'intérieur, il est bien entendu que la taille et le nombre de tubes varie suivant l'utilité et le cahier des

880 charges du client, les tubes sont confectionnés de la même manière qu'ils sont représentés figure rep A Fig A N°09.09/12 repl. U est important d'utiliser des matières et des produits neutre qui ne pourront pas altérer l'eau de condensation ou les climatisations, par exemple des tubes en inox amagnétique, voir des autres produits, partir du moment ou il n'altère pas l'eau et la climatisation. A chaque perçage rep7 et rainure rep6, il correspond une position de tubes rep 13 qui sont montés sur chaque plaque rep2, 3 et 4,

885 en alternance, de manière que l'air qui circule dans la climatisation et entre les tubes repl3 , capte avec le plus d'efficacité et de rendement le froid, mais aussi la condensation sur les tubes qui est soustraite en partie de hydrométrie de l'air circulant, mais ce n'est pas une obligation de créer une circulation d'air pour activer le processus de condensation, il se fait naturellement par choque thermique et différence de température, la partie plate des tubes repl 3, qui est percée suivant les perçages rep7 et placée dans la

890 rainure rep6, qui aura été usiné, cette rainure peut ou non être débouchant, telle que représentée sur les plaques rep2 ou 3, pour assurer une meilleur étanchéité et qui fera la même épaisseur que le plat du tube rep 13, de manière que l'étanchéité soit absolue entre les différents plaques rep2, 3 et 4, cette étanchéité sera assurée par un joint plat ou par une patte d'étanchéité, qui elle aussi ne doit pas altérer l'eau ou la climatisation, on peut donc assurer l'assemblage des plaques rep2, 3 et 4, en venant les serrer par

895 l'intermédiaire de longues vis suivant les taraudages rep9, qui sont positionnés sur la plaque rep5, qui elle aussi a un rebord ré haussé rep 12, qui permettra de conserver l'eau, les taraudages rep 10 sur la plaque rep5 figure rep C Fig A N°09.09/12 permettront de venir fixer la partie filtration de l'air entrant par un filtre déshumidifîcateur, qui est positionné entre les plaques, qui sont percées suivant les taraudages replO de la plaque rep5 et ont des lamages, qui recevront des vis, pour venir serrer l'ensemble de la filtration sur

900 la plaque rep5, par l'intermédiaire des taraudages replO, l'ensemble de la climatisation est réalisée et elle peut être montée, dans un système à tiroir, pour assurer facilement l'entretien de maintenance et ceci dans l'automobile entre le radiateur de chauffage et le ventilateur car l'été le chauffage est coupé et la climatisation étant amovible, l'hiver on l'enlève , mais aussi dans les climatisations des habitations ou les récupérateurs d'eau, dans ces deux cas pour assurer la maintenance, car l'hiver on n'enlève pas la

905 climatisation, bien que pour la climatisation suivant les pays l'hiver elle doit être démontée et stockée soigneusement dans un emballage hermétique, après nettoyage et changement ou suppression du filtre en attendant l'été prochain.

Le descriptif de la figure rep C Fig A N°10.10/12 à la figure rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/12 représente la partie chauffage de l'invention suivant un nouveau type de radiateur en

910 aluminium à plaques et en colonne avec des spirales ou des chicanes, ce mode de chauffage à moteurs hydraulique n'aura qu'une consommation électrique de 750W/heure, pour un rendement de 50Kw, suivant la figure rep B Fig A N° 10.10/12, nous avons un radiateur en forme de colonne qui se monte, dans les coins d'une pièce, ce qui permet de gagner des espaces, il est doté suivant les montages et les puissances en 3, 4, 5 ou 6 étages, pour une hauteur de 700, 800, 1000 ou 1200mm, sa particularité c'est sa

915 conception, il est assemblé par plusieurs tubes en forme de bague ou couronne rep2 et 3 et la première bague ou couronne rep4 qui est d'une seule pièce, dont des chicanes ou des spirales ont été usiné ou brut de fonderie par moulage sur son diamètre extérieur, ces tubes sont de différents diamètres et viennent s'emboîter les uns dans les autres par montage serrant à chaud ou bloque presse à l'azote liquide, sur le diamètre supérieur et inférieur de chaque couronne un perçage permet à une goupille mécanindus

920 d'assurer le guidage et le positionnement, lors du montage, des perçages sont réalisés sur les tubes

couronne en position basse ou haute, pour permettre le cheminement de l'eau d'un tube à l'autre suivant les chicanes ou spirales, à noter que les tubes couronne intermédiaire non pas ces perçages, les dernières couronnes qui ont la forme d'un quart de rond repl, assureront l'ossature final du radiateur et son étanchéité finale, un épaulement mal en position supérieure et un épaulement femelle en position

925 inférieure avec le cas échéant un joint torique permettra d'assurer l'étanchéité entre les différents étages des dernières bagues en forme de quart de rond, seule la dernière bague en quart de rond n'a pas d'épaulement en position inférieure, car elle est doté de pieds qui ont été réalisé par usinage ou brut de fonderie, pour permettre le passage de l'air, le radiateur étant doté d'un ventilateur dans sa partie supérieure, la bague en quart de rond supérieure n'a pas d'épaulement dans sa partie supérieure, par contre

930 elle est dotée de trois perçages taraudés, qui permettront de recevoir et fixer le chapeau supérieur du radiateur rep5, qui lui même est percé de quatre trous rep6 pour assurer la fixation du ventilateur à l'intérieur du radiateur et chapeau, à noter que plusieurs rainures rep8 ont étaient réalisées , mais très petites pour ne pas permettre le passage des doigts des enfants et laisser passer l'air de ventilation pour propulser l'air chaud dans la pièce, à noter que le câble d'alimentation du radiateur passe à l'intérieur du

935 radiateur par le passage des pieds inférieur. Les radiateurs sont en matière aluminium et alliages

d'aluminium corroyés par moulage ou non, mais ils pourraient être aussi en alliages de zinc moulés de fonderie sous pression.

Le descriptif de la figure rep A Fig A N°10.10/12, nous montre un radiateur en forme de colonne qui se monte, dans les coins d'une pièce, ce qui permet de gagner des espaces, il est doté suivant

940 les montages et les puissances en 3, 4, 5 ou 6 étages, pour une hauteur de 700, 800, 1000 ou 1200mm, sa particularité c'est sa conception, il est assemblé par plusieurs tubes en forme de bague ou couronne rep2 et 3 et la première bague ou couronne rep4 qui est d'une seule pièce, dont des chicanes ou des spirales ont été usiné ou brut de fonderie par moulage sur leur diamètre extérieur, ces tubes sont de différents diamètres et viennent s'emboîter les uns dans les autres par montage serrant à chaud ou bloque presse à

945 l'azote liquide, sur le diamètre supérieur et inférieur de chaque couronne un perçage permet à une goupille mécanindus d'assurer le guidage et le positionnement, lors du montage, des perçages sont réalisés sur les tubes couronne en position basse ou haute, pour permettre le cheminement de l'eau d'un tube à l'autre suivant les chicanes ou spirales, à noter que les tubes couronne intermédiaire non pas ces perçages, les dernières couronnes qui ont la forme d'un cylindre repl , assureront l'ossature final du radiateur et son

950 étanchéité finale, un épaulement mal en position supérieure et un épaulement femelle en position

inférieure avec le cas échéant un joint torique permettra d'assurer l'étanchéité entre les différents étages des dernières bagues en forme de cylindre, seule la dernière bague en cylindre n'a pas d'épaulement en position inférieure, elle est doté de pieds qui ont été réalisé par usinage ou brut de fonderie, pour permettre le passage de l'air, cette dernière bague est dotée aussi d'un perçage taraudé qui correspond au

955 circuit entrée eau chaude. Le radiateur étant doté d'un ventilateur dans sa partie supérieure, la bague

cylindre supérieure n'a pas d'épaulement dans sa partie supérieure, par contre elle est dotée de quatre perçages taraudés, qui permettront de recevoir et fixer suivant le rep7 le chapeau supérieur du radiateur rep5, qui lui même est percé de quatre trous rep6 pour assurer la Fixation du ventilateur à l'intérieur du radiateur et chapeau , à noter que plusieurs rainures rep8 ont étaient réalisées, mais très petites pour ne

960 pas permettre le passage des doigts des enfants et laisser passer l'air de ventilation pour propulser l'air chaud dans la pièce, à noter que le câble d'alimentation du radiateur passe à l'intérieur du radiateur par le passage des pieds inférieur. Les radiateurs sont en matière aluminium et alliages d'aluminium corroyés par moulage ou non, mais ils pourraient être aussi en alliages de zinc moulés de fonderie sous pression. Ce type de radiateur en forme de cylindre sera doté d'un cache radiateur et d'un chapeau, le cache radiateur

965 sera en tôle perforée peinte et le chapeau en tôle peinte avec des rebords qui permettront de l'emboîter dans le cache radiateur.

Le descriptif de la figure rep D Fig A N°09.09/12, représente le tube couronne en cylindre rep4, c'est le premier tube qui est monté il est d'une seule pièce des chicanes rep2 sont usinées sur la circonférence du diamètre extérieur, mais elles peuvent aussi être obtenue par moulage brut de fonderie,

970 en position haute un perçage taraudé, permettra le cheminement de l'eau, il correspond sur le radiateur figure rep A Fig A N°10.10/12 à la sortie d'eau chaude, venant bien sur de l'installation chauffage, pour ce qui est des tubes couronne intermédiaire rep2 et 3 figure rep A Fig A N° 10.10/12, le dernier tube au pied du radiateur et le premier tube à la tête du radiateur sont montés à l'azote de manière a assurer l'étanchéité, pour ceux intermédiaire rep2 et 3, ils sont montés glissant juste, une étanchéité entre les tubes

975 couronne sera réalisé par un joint torique logé dans une rainure, par patte d'étanchéité ou par joint plat quelconque, les tubes couronne rep2 et 3 intermédiaire sont réalisés avec un tube entier rep4 , qui sera coupé en trois ou quatre partie suivant les types de radiateur et longueur en tenant copte dans la coupe des épaisseurs des outillages, donc dans la cotation du tube entier qui sera utilisé pour les tubes intermédiaire rep2 et 3. On voit donc bien le cheminement de l'eau qui passe de chicane en chicane sur la longueur du

980 tube pour revenir sortie vers un autre radiateur suivant le rep 1 ou sera positionné un thermostat, à noter que l'eau circule dans les différents tubes du repl vers le rep2, du rep2 vers le rep3 et du rep3 vers le rep4.

Le descriptif de la figure rep A Fig A N°l l. l l/12 nous montre un autre type de radiateur dont la forme du tube couronne repl est hexagonal, on voit la vue de dessus est on se rend compte qu'il y 985 a un seul tube intermédiaire rep2, en plusieurs éléments, et un dernier tube couronne rep4 qui lui est d'une seule pièce, on voit apparaître les chicanes rep3 et 5 , ainsi que l'entrée d'eau rep7, qui est positionné en position basse sur le premier tube hexagonal repl au pied du radiateur , l'autre sortie d'eau rep6 est positionné en position haute sur le tube couronne rep4 qui est d'une seule pièce, les puissances des radiateurs seront en fonction des nombres de tubes couronne intermédiaire rep2, rep3 ect et de la

990 hauteur du radiateur, à noter que le principe de montage et de réalisation reste le même quelque soit le type de radiateur ou la fore rien ne change dans le mode de conception.

Le descriptif de la figure rep B Fig A N° 11.11/12 nous montre deux types de radiateur dont la forme du tube couronne repl et rep8 sont cylindrique, les tubes couronne sont réalisés avec des rainures en chicanes ou en spirales, ais le ode de réalisation et de montage restent identique dans les deux 995 types de radiateur, leur hauteur est limitée ils sont donc confectionnés en un seul élément, ils ont tous les deux un pied en position basse, celui du rep4, viendra se fixer sur un groupe hydraulique, pour ce qui est de celui du rep7, il viendra se fixer ou se poser à l'intérieur d'un groupe hydraulique, on voit la vue correspondant aux repl, rep2 et rep4, qui est un radiateur qui vient se positionner autour d'un moteur électrique, ce dernier étant le moto-pompe d'un groupe hydraulique qui se place au dessus du réservoir et

1000 dont la pompe est en immersion, le rep2 correspond au passage de la boite à borne électrique du moteur, qui sera remontée après positionnement de l'ensemble du système, ce concept permet de capter l'énergie calorifique fourni en fonctionnement par le moteur électrique, mais on peut aussi adopter ce principe de refroidissement et de montage en transforment la carcasse du moteur électrique correspondant au stator qui est aussi en aluminium, cela permettra de faire une pierre deux coups en récupérant les calories

1005 thermique pour le chauffage et en refroidissant le moteur électrique, donc plus besoin de ventilateur donc moins de bruit. On voit la vue correspondant aux rep8, rep6 et rep7, qui est un radiateur qui vient se positionner à l'extérieur ou à l'intérieur d'un groupe hydraulique pour capter l'énergie calorifique produit par le groupe moto-pompe, le limiteur de pression et les Hmiteurs de débit par laminage de l'huile amenant ainsi la température de l'huile anti feu à une température constante étant donné que l'installation de

1010 chauffage fonctionnera avec deux groupes hydraulique, qui fonctionneront en alternance une heure

chacun. Ce type de radiateur à une hauteur limité correspondant à la dimension du réservoir du groupe hydraulique, tous les tubes couronne à chicanes ou à spirales seront donc en un seul élément et donc tous montés bloque presse à l'azote, mais ce type de radiateur peut aussi être monté dans les habitations ou les pièces à chauffer on un faible volume, faisant varier sa hauteur jusqu'à la limite du montage à l'azote en 1015 fonction de la cote de tolérance et de serrage , dans ce cas on viendra rajouter un chapeau en position haute rep9 , qui peut le cas échéant être équipé d'un ventilateur.

Le descriptif de la figure rep C Fig A N°10.10/12, nous montre un tube couronne rep4, avec des rainures réalisées en forme de spirales pour le cheminement de l'eau chaude dans les radiateurs, cependant seul ce type de spirales et de rainures obtenues par usinage, sera et seulement réalisable sur le

1020 tube couronne des radiateurs qui est confectionné en un seul élément, pour la simple raison que l'on ne pourrait pas raccorder les circuits eau dans le montage en plusieurs éléments, mais on doit adopter ce principe car cet usinage est moins coûteux à la réalisation, pour ce qui est des entrées et sorties d'eau repl ou 3, elles sont réalisées suivant les modes de radiateurs et utilisations réalisées.

Le descriptif des figure rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/12, représente des radiateurs à

1025 plaques, avec des rainures réalisées en forme de chicanes pour le cheminement de l'eau chaude, ce type de radiateur est spécifiquement utilisés et conçus pour être installé à l'intérieur de deux groupes hydraulique pour produire du chauffage. Ce radiateur vient se positionner à l'intérieur d'un groupe hydraulique pour capter l'énergie calorifique produit par le groupe moto-pompe, le limiteur de pression et les limiteurs de débit par laminage de l'huile amenant ainsi la température de l'huile anti feu à une

1030 température constante de 70° étant donné que l'installation de chauffage fonctionnera avec deux groupes hydraulique, qui fonctionneront en alternance une heure chacun. Ce type de radiateur à une hauteur limité correspondant à la dimension du réservoir du groupe hydraulique , ils seront au nombre de cinq par réservoir de groupe hydraulique et le nombre de plaque augmentera ou diminuera suivant l'installation de chauffage en fonction de la puissance désirée et le volume à chauffer, l'huile utilisée sera anti feu et tout le

1035 matériel utilisé ou les appareillages électrique, sécurité incendie arrêt d'urgente, alarme incendie, automate ect... seront aux normes Européenne avec certification et procès verbaux aux normes Française et Européenne. L'avantage de ce type de chauffage c'est d'être très souple en fonctionnement, car la température des radiateurs restera toujours constante, sans augmentation de la consommation d'énergie électrique pour faire fonctionner les groupes moto pompe qui est très faible, elle sera de 750Watts/heure,

1040 pour une puissance calorifique et thermique fourni de 50Kw, qui correspond à 10 radiateurs de

5000Watts, ce qui n'est pas négligeable. Le descriptif de la figure rep A, B, C et D Fig A N° 12.12/12, va permettre de définir la conception de l'invention et de ce nouveau mode de chauffage. La circulation d'eau chaude venant des radiateurs de l'installation de chauffage de l'habitation est propulsée par le circulateur vers les radiateurs à plaques qui se trouvent à l'intérieur des réservoirs des groupes hydraulique et qui

1045 seront au nombre de cinq par réservoir, l'eau circulera dans les radiateurs à plaques, de plaques en plaques et dans chaque radiateur des réservoirs hydraulique en série, pour ressortir du dernier radiateur à plaques après avoir capté les calories thermique se trouvant dans l'huile hydraulique anti feu, suivant la figure rep A Fig A N°12.12/12, le repl est la première plaque formant un radiateur en aluminium, elle sera de dimension rectangulaire, mais de dimension différente, suivant la taille du réservoir hydraulique, qui sera

1050 défini en fonction de la puissance à fournir, pour chauffer l'habitation, mais aussi du nombre de plaques par radiateur, tous ces critères se définissent en fonction de la puissance à fournir mais aussi est surtout de la place disponible, une installation complète prenant un espace de lm 2 , idem pour l'épaisseur des plaques qui variera aussi suivant ces critères, ces plaques seront dotées de rainures en forme de chicane rep3 rectangulaire obtenues par usinage en fraisage ou brute de fonderie par moulage, pour de très grande série

1055 faisant baisser le prix de revient d'une plaque. On devra surfacer la face située coté chicanes soit par tournage, avec un plateau conçu pour serrer les plaques, usinage plus rapide ou soit par fraisage, usinage plus long, ce surfaçage permettra d'assurer l'étanchéité entre les plaques, soit par un joint plat ou de la patte d'étanchéité adaptée, le rep4 correspond à un perçage taraudé en position haute de la plaque, qui recevra un raccord et l'eau venant des radiateurs de l'habitation propulsé par le circulateur, circulera dans

1060 les chicanes du radiateur de la première plaque du haut vers le bas, pour rentrer dans la deuxième plaque rep2 figure rep B Fig A N°12.12/12 par le perçage rep4 en position basse de la deuxième plaque rep2 , le cheminement de l'eau se fera dans cette plaque du bas vers le haut en passant par toutes les rainure en chicanes, à noter que l'assemblage des plaques pour former et fermer le radiateur, se fera par les perçages prévus sur chaque plaque rep2 et 1, par l'intermédiaire de longue vis, à noter aussi que la deuxième plaque

1065 sera surfacer sur les deux faces de la même manière que la première plaque repl, la troisième plaque rep3 figure rep C Fig A " °12.12/12 subira le même traitement ceci pour assurer l'étanchéité de l'eau de plaque en plaque, l'eau passera de la deuxième plaque à la troisième plaque rep3 figure rep C Fig A N°12.12/12 , par le perçage rep4 en position haute delà plaque rep3 , elle circulera donc du haut vers le bas de la plaque en passant par les rainures en chicane repl , pour venir ressortir en position basse, par le perçage

1070 taraudé rep3, qui recevra un raccord, sur la plaque rep4 figure rep D Fig A N°12.12/12, cette plaque rep4 assurera la fermeture du radiateur par l'intermédiaire des perçages rep2 et de longue vis type BTR ou de la tige filetée inox avec des écrous nylstop et des rondelles plates inox ou cuivre, la face de la plaque rep4, qui est en contact avec la face de la plaque rep3 figure rep C Fig A N°12.12/12, sera surfacée aussi pour assurer une étanchéité sans faille, toutes les autres surfaces extérieur resteront brute de fonderie, nous

1075 avons donc le premier radiateur monté qui pourra s'installer dans le premier réservoir, l'eau sortant de la plaque rep4 par le rep3, se dirigera vers la deuxième plaque dans le réservoir et ainsi de suite jusqu'à la mise en place des cinq radiateurs, ensuite on passera au deuxième réservoir et ainsi de suite, pour repartir au final vers les radiateurs de l'habitation, à noter que tous les radiateurs positionnés dans les réservoirs ne touche pas le fond et les parois, ils sont positionné sur toutes les parois de manière à laisser circuler

1080 l'huile hydraulique anti feu autour de toutes les surfaces des radiateurs, pour cela on aura conçu des

systèmes de croisillons en fer plat soudés, avec des bridages en u, pour positionner et retenir les radiateurs, ceci en position basse et haute des radiateurs, l'ensemble des groupes hydraulique seront donc ainsi préparés, pour être positionnés et fixés sur une platine et l'ensemble est refermé par un carter grillagé sur sa partie supérieure. Des chercheurs ont trouvé comment transformer les molécules d'or, pour

1085 permettre d'abaisser la température en négative, sans modifier le seuil de liquéfaction du gaz, ma

technologie est prometteuse.

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