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Title:
HYDROKINETIC COUPLING APPARATUS WITH LOCK-UP CLUTCH FOR MOTOR VEHICLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1999/001683
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns an apparatus comprising a piston fixed by circumferential tabs 826) to a transverse wall (11), the piston (20) or the wall (11) having through holes for fixing the tabs (26), said holes being finally closed by shutters. The invention is applicable to motor vehicles.

Inventors:
ARHAB RABAH (FR)
THEVENON LUC (FR)
LEMAIRE ALAIN (FR)
BOCHOT JEAN-CLAUDE (FR)
Application Number:
PCT/FR1998/001393
Publication Date:
January 14, 1999
Filing Date:
June 30, 1998
Export Citation:
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Assignee:
VALEO (FR)
ARHAB RABAH (FR)
THEVENON LUC (FR)
LEMAIRE ALAIN (FR)
BOCHOT JEAN CLAUDE (FR)
International Classes:
F16H45/02; (IPC1-7): F16H45/02
Domestic Patent References:
WO1997042433A11997-11-13
Foreign References:
FR2738890A11997-03-21
US2841262A1958-07-01
US2858681A1958-11-04
FR2711756A11995-05-05
DE8144B1
US4750600A1988-06-14
US2253344A1941-08-19
Attorney, Agent or Firm:
Gamonal, Didier (Propriété Industrielle 2, rue André Boull, Boîte postale 150 Créteil, FR)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Appareil d'accouplement hydrocinétique, notamment pour véhicules automobiles, comportant un élément d'entrée (10), en forme de carter, propre à tre solidarisé en rotation à un arbre menant et doté d'une paroi transversale (11) axialement fixe, un élément de sortie (5) en forme de moyeu, un piston (20) monté à sa périphérie interne mobile axialement par rapport à la paroi transversale (11) en étant liée en rotation à celleci par des languettes élastiques (26) à action circonférentielle, au moins une garniture de frottement (22) propre à tre serrée de manière dbrayable entre la périphérie externe du piston (20) et la paroi transversale (11), et des moyens pour solidariser la garniture de friction (22) au moyeu (5), dans lequel les languettes élastiques (26) sont fixées, d'une part, à l'une de leurs extrémités circonférentielles par des premiers moyens de fixation (228) à l'une des pièces paroi transversale (11)piston (20),. dite première pièce, et, d'autre part, à l'autre de leurs extrémités circonférentielles, par des seconds moyens de fixation (28) à l'autre des pièces paroi transversale (11)piston (20), dite seconde pièce, caractérisé en ce que la première pièce (1120) présente des trous de passage (29,229...) en coïncidence axiale avec les seconds moyens de fixation (28) et en ce que les trous de passage (29,229...) sont obturés en final par des obturateurs d'étanchéité (129,339...).
2. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les obturateurs (229,339,439) sont plus courts que les trous de passage (29,129).
3. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les trous de passage (29,129) sont étages en diamètre pour formation d'un épaulement raccordant la portion de plus petit diamètre, à la portion de plus grand diamètre du trou de passage (29,129).
4. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce que les obturateurs consistent en des bouchons (29,129) étages en diamètre en étant épaulés pour coopérer avec l'épaulement du trou de passage (29,129), et en ce que les bouchons (29,129) présentent une tte de plus grand diamètre montée dans la portion de plus grand diamètre du trou de passage (29,129,539...) et raccordée à un corps monté dans la portion de passage de plus petit diamètre du trou de passage (29,129,539...).
5. Appareil selon la revendication 4, caractérisé en ce que les ttes des bouchons (129,339) sont noyées dans les portions de plus grand diamètre des trous de passage (29,229).
6. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les obturateurs consistent en des bouchons (839) comportant une tte et du côté opposé à leur tte une collerette chanfreinée (841).
7. Appareil selon la revendication 6, caractérisé en ce que la collerette (841) est fractionnée en pattes élastiquement déformables par des fentes (841,842).
8. Appareil selon la revendication 6, caractérisé en ce que la collerette (841) vient en prise avec l'une des faces de la première pièce (1120).
9. Appareil selon la revendication 7, caractérisé en ce que la pièce vient en prise avec un épaulement formé dans le trou de passage.
10. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'obturateur consiste en une plaque (439,439') montée dans la portion de plus grand diamètre du trou de passage (539).
11. Appareil selon la revendication 10, caractérisé en ce que la plaque (439') est montée par déformation dans le trou de passage.
12. Appareil selon la revendication 10, caractérisé en ce que la plaque (439) est fixée par sertissage dans le trou de passage.
13. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'obturateur consiste en une pastille (639) montée dans le trou de passage (739).
14. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'obturateur consiste en une capsule (1039) montée dans le trou de passage (1139) et en ce que la capsule (1039) comporte un rebord (1041) en contact avec l'une des faces de la première pièce (1120).
15. Appareil selon la revendication 14, caractérisé en ce que la capsule (1039) présente un bourrelet (1046) du coté opposé au rebord (1041).
16. Appareil selon la revendication 14, caractérisé en ce qu'au moins une rondelle Belleville (1043) d'immobilisation est monté dans la capsule (1039) au contact, d'une part, d'un épaulement (1042) formée dans la capsule (1039) et, d'autre part, du fond (1045) de celleci.
17. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que la première pièce est la paroi transversale (11).
18. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que la première pièce est le piston (20).
19. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les premiers (228) et seconds (28) moyens de fixation sont identiques entre eux.
20. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les seconds moyens de fixation (28) consistent en des rivets.
21. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un joint d'étanchéité est associé à l'obturateur pour parfaire 1'étanchéité.
Description:
APPAREIL D'ACCOUPLEMENT HYDROCINETIQUE A EMBRAYAGE DE VERROUILLAGE, POUR VÉHICULE AUTOMOBILE La présente invention concerne les appareils d'accouplement hydrocinétique, notamment pour véhicules automobiles, équipés d'un embrayage de verrouillage, communément appelé « lock-up », pour solidariser mécaniquement en rotation leur roue de turbine à leur roue d'impulseur tel que décrit par exemple dans le document FR-A-2 726 620.

Dans ce document, l'appareil d'accouplement hydrocinetique comporte à l'intérieur d'un carter étanche, rempli d'huile, un convertisseur de couple avec une roue de turbine et une roue d'impulseur, et un embrayage de verrouillage.

D'une manière générale le carter comporte une première demi-coquille dotée d'une paroi transversale fixe axialement par l'intermédiaire de laquelle il est relié à un arbre menant. La roue de turbine est liée à un moyeu cannelé intérieurement pour sa liaison en rotation à un arbre mené.

La première demi-coquille, et donc le carter, forme l'élément d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocinétique rotatif en fonctionnement, tandis que le moyeu forme l'élément de sortie dudit appareil.

S'agissant d'une application pour véhicule automobile, l'arbre menant est constitué par le vilebrequin du moteur du véhicule, tandis que l'arbre mené est constitué par l'arbre d'entrée de la boîte de transmission.

L'embrayage de verrouillage comporte au moins une garniture de frottement qui, solidaire en rotation de la roue de turbine et du moyeu, soit directement, soit indirectement par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion, est disposée axialement entre, d'une part, ladite paroi transversale fixe par rapport à la roue d'impulseur et, d'autre part, un piston qui est monté mobile axialement par rapport à la paroi transversale formant contre-piston. Ce piston est lié en rotation à la paroi transversale, le plus souvent par des languettes élastiques axialement et sensiblement allongées tangentiellement par rapport à une circonférence de 1'ensemble. Ce type de languette à action circonférentielle sera dénommé ci-après languette tangentielle.

Ces languettes sont montées à l'intérieur d'une chambre de commande à volume variable délimitée, d'une part, radialement extérieurement par la garniture de friction et radialement intérieurement par un centreur de forme cylindrique adjacent à la paroi transversale et, d'autre part, axialement par le piston et la paroi transversale.

Ces languettes sont fixées à l'une de leurs extrémités en premier de manière étanche à la paroi transversale du carter, soit directement soit par l'intermédiaire d'une pièce d'entraînement distincte ou d'un seul tenant avec les languettes tangentielles.

Cette fixation est facile à réaliser par exemple à l'aide de rivets issus par extrusion de la paroi transversale.

Ensuite on fixe l'autre extrémité des languettes au piston. Compte tenu de l'implantation des languettes dans la chambre de commande, cette fixation est réalisée à l'aide d'organes de fixation en deux parties, par exemple une tige à tte épaulée montée dans la chambre de commande.

Cette tige traverse à jeu radial le piston et est assemblée par sertissage avec une bague située à l'extérieur de la chambre de commande.

La tige est solidaire des languettes.

Ainsi la fixation est réalisée en intervenant que d'un seul côté à l'extérieur de la chambre de commande et en cassant la tige.

Les organes de fixation sont donc relativement coûteux et il est nécessaire de faire appel à un outil de traction pour casser la tige et à un outil de sertissage pour sertir la bague sur la tige crantée.

La présente invention a pour objet de pallier cet inconvénient, de manière simple et économique.

C'est donc un but de l'invention de fixer les languettes élastiques à laide d'organe de fixation du type standard, tout en implantant les languettes dans la chambre de commande.

Suivant l'invention, un embrayage de verrouillage du type sus-indiqué dans lequel les languettes élastiques sont fixées, d'une part, à l'une de leurs extrémités circonférentielles par des premiers moyens de fixation à l'une des pièces paroi transversale -piston, dite première pièce, et, d'autre part, à l'autre de leurs extrémités circonférentielles par des seconds moyens de fixation à l'autre des pièces paroi transversale-piston, dite

seconde pièce, est caractérisé en ce que la première pièce présente des trous de passage en coïncidence axiale avec les deuxièmes moyens de fixation et en ce que les trous de passage sont obturés en final par des obturateurs d'étanchéité.

Grâce à l'invention les moyens de fixation peuvent tre du mme type. Du fait que llon peut intervenir, grâce à l'invention, des deux côtés des pièces paroi transversale- piston, on peut fixer les languettes par collage ou soudage sur les pièces considérées. Les moyens de fixation en variante peuvent consister en des organes de fixation.

Grâce à l'invention les organes de fixation sont alors plus économiques et peuvent tre du type standard sans avoir besoin de-casser une tige et de sertir une bague du fait que, grâce aux trous de passage, on peut agir des deux côtés de la seconde pièce sur les seconds organes de fixation à l'aide, de manière connue, d'un outil et d'un contre-outil.

Ainsi le piston peut tre fixé aux languettes à l'aide de simples rivets traversant des ouvertures associées du piston avec un jeu radial plus réduit en sorte que l'attelage du piston aux languettes élastiques est plus sûr.

Les mouvements relatifs entre le piston et les languettes sont réduits dans tous les cas.

Les premiers organes de fixation peuvent tre identiques aux seconds organes de fixation. Par exemple il peut s'agir de rivets classiques ou de rivets venus par extrusion de la paroi transversale et du piston.

Les obturateurs sont introduits en final, après fixation des languettes, dans les trous de passage pour obturer ceux-ci de manière étanche.

Les obturateurs peuvent tre pour ce faire emmanchés à force, ou par contraction suivie d'une dilatation dans les trous de passage, ou fixés par soudage encliquetage, vissage, déformation, sertissage ou collage à la pièce paroi transversale- piston concernée.

Bien entendu, suivant que les trous sont réalisés dans la paroi transversale ou le piston, on peut fixer d'abord les languettes à la paroi transversale puis au piston ou dans l'autre cas fixer d'abord les languettes au piston puis à la paroi transversale. Bien entendu on peut prévoir des trous de passage dans le piston et dans la paroi transversale.

Grâce à l'invention on a donc plus de possibilités en ce qui concerne le procédé de fabrication, tout en ayant la possibilité d'intervenir axialement dans les deux sens, c'est-à- dire de part et d'autre du piston et de la paroi transversale et sans recourir à un outil pour sertir une bague et casser par traction une tige.

Dans une forme de réalisation, les obturateurs consistent en des bouchons.

Avantageusement les trous de passage sont étages en diamètre pour formation d'un épaulement interne transversal raccordant la portion de plus petit diamètre à la portion de plus grand diamètre du trou de passage.

Avantageusement le bouchon est également étage en diamètre en étant épaulé et ce de manière complémentaire à celle du trou de passage. Il en résulte que le bouchon présente une tte et un corps et que la tte de plus grand diamètre du bouchon vient se loger dans la portion de plus grand diamètre du trou de passage et vient en butée contre l'épaulement de ce trou par l'intermédiaire de son épaulement transversal raccordant la tte du bouchon à son corps de plus petit diamètre introduit dans la portion de plus petit diamètre du trou de passage.

Ce corps peut tre moleté pour introduction à force du bouchon dans le trou de passage.

Ce corps peut tre fileté et la portion de plus petit diamètre du trou de passage est alors taraudé. Le bouchon est alors vissé dans l'une des pièces paroi transversale-piston. Le bouchon est plus court axialement que le trou de passage.

On appréciera, lorsque le bouchon a tte épaulée est introduit dans le trou de passage étage du piston, que la pression hydraulique régnant du côté du piston opposé à la chambre de commande empche le bouchon de ressortir lorsque l'embrayage de verrouillage est engagé car ladite pression est alors supérieure à celle régnant dans la chambre de commande.

Tout ceci se marie bien avec la forme emboutie du piston augmentant sa résistance. Bien entendu les languettes élastiques peuvent tre inclinées. Dans tous les cas elles sont d'orientation circonférentielle et élastique axialement.

En variante, l'obturateur consiste en une rondelle. Les trous de passage sont alors étages de manière précitée pour formation d'un épaulement de butée pour la rondelle immobilisée

par sertissage, collage, déformation ou soudage au contact de 1'épaulement.

En variante, un joint d'tanchéité peut tre interposé entre l'épaulement et la rondelle. Bien entendu, le trou de passage peut tre de diamètre uniforme. Dans ce cas, une pastille est refroidie, par exemple à-40° en la trempant dans l'azote liquide puis est introduite aisément dans le trou de passage. La pastille se contracte puis, ensuite, se dilate pour obturer de manière étanche le trou de passage. Le mode de fixation est applicable également à un bouchon.

En variante, l'obturateur peut tre doublement étage pour formation de deux épaulements transversaux disposés de part et d'autre dune partie centrale de plus petit diamètre. L'un des épaulement sert d'appui à la tte d'un bouchon dont l'extrémité libre du corps, présente au moins un cran venant en prise, après traversée de la partie centrale du trou de passage, avec l'autre épaulement pour montage par encliquetage du bouchon.

Avantageusement, plusieurs crans sont prévus. Ces crans appartiennent à des pattes élastiquement déformables radialement.

Le nombre de pattes dépend des applications. Un cran unique peut tre prévu. Le bouchon est avantageusement en matière synthétique, telle que la matière plastique pour avoir l'élasticité recherchée.

L'obturateur peut tre bombé à l'origine puis mis à plat sous effort. Il peut s'agir par exemple d'une rondelle bombée mis à plat sous effort dans le trou de passage étage. L'obturateur peut tre en forme de coupelle ou capsule, avec un rebord incliné.

En montant l'obturateur à force dans son trou de passage, on déforme le rebord et en bout de course, le fond se déforme en sorte que l'obturateur est immobilisé, son rebord étant en contact avec l'une des faces du piston ou de la paroi transversale tandis que son fond est en contact avec l'autre face du piston ou de la paroi transversale.

La coupelle est, dans une forme de réalisation, carbonitrurée et est donc déformée au montage en ce coinçant dans son trou de montage.

En variante, la coupelle est étagée en diamètre pour formation d'un épaulement. Une rondelle Belleville est montée dans la coupelle. La périphérie externe de la rondelle Belleville étant au contact de 1'épaulement, on retourne celle-ci au contact du fond pour assurer le blocage de l'obturateur.

L'obturateur est dans une forme de réalisation dotée d'une gorge à sa périphérie externe pour réception d'un joint d'tanchéité venant en contact avec le bord du trou de passage.

Dans tous les cas, on obtient une étanchéité parfaite. D'une manière générale, un joint peut tre associé à l'obturateur.

Usuellement le piston est monté sur un centreur intercalé entre la paroi transversale et le moyeu solidaire de la roue de turbine de 1'appareil d'accouplement hydrocintique.

Le moyeu est cannelé intérieurement pour sa liaison en rotation avec un arbre mené, tandis que le centreur présente, d'une part, centralement un trou borgne en communication avec l'arbre mené, doté intérieurement d'un canal d'alimentation, et, d'autre part, des passages pour relier le trou borgne à la chambre de commande.

Grâce à l'invention, on peut monter le piston sur le moyeu de la roue de turbine.

Plus précisément suivant une caractéristique le moyeu présente d'une part, une douille cannelée intérieurement pénétrant à l'intérieur du trou borgne du centreur et, d'autre part, parallèlement à sa douille et radialement au-delà de celle-ci, un rebord annulaire d'orientation radiale dont la périphérie externe forme une portée de guidage pour le piston, un joint d'étanchéité intervenant entre ledit rebord et le piston.

Grâce à cette disposition on réduit l'encombrement axial et on économise un joint d'étanchéité.

En effet, on aurait pu créer la portée de guidage sur le centreur dit ci-après bague, mais dans ce cas il aurait fallu prévoir un joint au niveau de la portée de guidage et un autre joint au niveau du moyeu pour éviter, lorsque l'embrayage de verrouillage est engagé, que de l'huile passe entre le moyeu et la bague.

Ici, avec un seul joint on a une étanchéité parfaite, aussi bien lorsque l'embrayage de verrouillage est engagé ou désengagé.

Suivant une autre caractéristique, une gorge annulaire étant formée entre le rebord et la douille, la bague pénètre à 1'intérieur de la gorge.

Ainsi le moyeu et la bague sont imbriqués, en sorte que 1'on réduit 1'encombrement axial.

La description qui va suivre illustre l'invention en regard des dessins annexés dans lesquels : -la figure 1 est une demi-vue partielle en coupe axiale de l'appareil d'accouplement hydrocinétique montrant l'embrayage de verrouillage selon l'invention ; -la figure 2 est une vue à plus grande échelle de la partie basse de la figure 1 avec représentation des composants du convertisseur de couple ; -la figure 3 est une vue partielle de face de la rondelle de guidage à pattes de l'amortisseur de torsion appartenant à l'embrayage de verrouillage ; -la figure 4 est une vue partielle en coupe axiale montrant, à grande échelle, un des bouchons d'obturation de la paroi transversale ; -les figures 5 et 6 sont des vues analogues aux figures 1 et 3 pour un second exemple de réalisation ; -la figure 7 est une vue analogue à la figure 1 pour un troisième exemple de réalisation ; -la figure 8 est une vue partielle analogue à la figure 1 pour un quatrième exemple de réalisation ; -la figure 9 est une vue en coupe partielle montrant un obturateur en forme de plaque fixée par sertissage dans son trou de passage ; -la figure 10 est une vue analogue à la figure 9, la plaque étant fixée par brasage dans son trou de passage ; -la figure 11 est une vue analogue à la figure 10 dans laquelle la plaque est fixée par déformation dans son trou de passage ; -la figure 12 est une vue analogue à la figure 9, dans laquelle l'obturateur consiste en un bouchon logé dans l'épaisseur du piston ; -la figure 13 est une vue analogue à la figure 12 dans laquelle l'obturateur consiste en une pastille ; -la figure 14 est une vue analogue à la figure 9 dans laquelle l'obturateur est un bouchon à tte bombée ; -la figure 15 est une vue de face d'un bouchon doté d'un joint ; -la figure 16 est une vue en coupe axiale d'un bouchon doté d'un joint d'étanchéité selon la ligne 16 de la figure 15 ;

-la figure 17 est une vue analogue à la figure 9 dans laquelle l'obturateur consiste en une capsule ou coupelle ; -la figure 18 est une vue analogue à la figure 17 pour encore un autre exemple de réalisation ; -la figure 19 est une demie vue analogue à la figure 17 pour encore un autre exemple de réalisation ; -la figure 20 est une vue partielle montrant le rebord de la capsule de la figure 19 avant sa déformation ; -la figure 21 est une vue en coupe axiale d'un appareil d'accouplement hydrocinétique pour une variante de réalisation à obturateurs inversés par rapport à ceux des figures 1 à 4 ; -la figure 22 est une vue partielle à plus grande échelle de~ la figure 21, montrant la fixation des languettes ; -la figure 23 est une vue analogue à la figure 1 pour un autre exemple de réalisation ; -la figure 24 est une vue selon la flèche 24 de la figure 23 dans le piston pour montrer la pièce d'entraînement ; -la figure 25 est une vue en coupe selon la ligne 25-25 de la figure 24 ; -la figure 26 montre en perspective le voile et le disque de la figure 23.

L'appareil d'accouplement hydrocintique représenté dans les figures est rotatif autour d'un axe de symétrie axial X-X et comporte, à l'intérieur d'un carter étanche 10 rempli d'huile, un convertisseur de couple 1 et un embrayage de verrouillage 2 doté d'un amortisseur de torsion 3.

Cet appareil est destiné à équiper un véhicule automobile à moteur à combustion interne.

Ainsi qu'on le sait, le convertisseur de couple 1 comporte une roue d'impulseur 100 à aubes, une roue de turbine 101 à aubes, une roue de réaction 102 et une roue libre 103 associée à la roue de réaction 102. Tous ces éléments sont visibles à la figure 21 et partiellement à la figure 2.

Le carter 10 comporte une première demi-coquille 12 et une deuxième demi-coquille 16 et forme l'élément d'entrée de 1'appareil d'accouplement hydrocinétique par l'intermédiaire de sa première demi-coquille 12.

La première demi-coquille 12 présente une paroi 11 globalement d'orientation transversale prolongée à sa périphérie externe par un rebord 13 cylindrique et d'orientation axiale.

La paroi transversale 11 porte des vis 112 (figure 1) pour sa liaison à l'aide d'écrous à un flasque 113 (figure 2) solidaire d'un arbre menant 200, ici le vilebrequin du moteur du véhicule.

Les aubes de la roue d'impulseur 100 sont issues de la face interne de la deuxième demi-coquille 16 rapportée ici par soudage sur l'extrémité libre du rebord 13 comme visible à la figure 21.

Pour plus de précisions on se reportera au document FR-A-2 695 975.

Les aubes de la roue de turbine 101 sont en vis-à-vis des aubes de la roue d'impulseur 100.

La roue de turbine 101 est solidaire à sa périphérie interne, par l'intermédiaire de pattes ou d'un anneau 104, d'un moyeu 5 formant l'élément de sortie de l'appareil d'accouplement hydrocinétique.

Ce moyeu 5 présente centralement une douille 50 cannelée intérieurement pour sa liaison en rotation à un arbre mené 201, ici l'arbre d'entrée de la boîte de transmission du véhicule.

Ainsi qu'on le sait, au démarrage de véhicule la roue d'impulseur 100 entraîne la route de turbine 101 grâce à la circulation d'huile entre les aubes des roues de turbine 101 et d'impulseur 100.

Durant cette phase, l'embrayage de verrouillage 2 est désengagé ou déponté, en sorte que le couple est transmis du vilebrequin à la première demi-coquille 12 puis au moyeu 5 et à l'arbre mené via le convertisseur de couple 1.

Ensuite, pour éviter tout glissement entre les roues de turbine 101 et d'impulseur 100, on engage (on ponte) l'embrayage de verrouillage 2, en sorte que le couple est transmis du vilebrequin à la première demi-coquille 12 puis au moyeu 5 et à l'arbre mené via 1'embrayage de verrouillage 2, dont l'amortisseur de torsion 3 est lié au moyeu 5 et amortit les vibrations engendrées par le moteur du véhicule.

Pour ce faire, 1'embrayage de verrouillage 2 comporte ici un piston 20, globalement d'orientation transversale, monté mobile axialement de manière étanche le long d'une portée de guidage 59 d'orientation axiale, de manière décrite ci-après.

L'embrayage 2 comporte également deux garnitures de friction 22 disposées de part et d'autre d'un disque d'entraînement 24.

Les garnitures 22 et le disque 24 sont implantés axialement entre le piston 20 et la paroi transversale 11 formant contre-piston. Cette paroi 11 est fixe axialement.

Une chambre de commande 23 à volume variable est délimitée, d'une part, latéralement (axialement) par le piston 20 et la paroi 11 et, d'autre part, radialement intérieurement par un centreur 21, ici de forme cylindrique, et radialement extérieurement par les garnitures 22 et le disque 24.

Le centreur 21 est solidaire de la partie centrale de la paroi 11,-de manière décrite ci-après, et est doté centralement d'un trou borgne 120 propre à tre alimenté en fluide à pâtir de 1'arbre mené, faisant saillie axialement par rapport à la deuxième demi-coquille 16.

Pour ce faire, l'arbre mené (représenté en pointillés en 201 à la figure 2) présente centralement un canal d'alimentation, tandis que le centreur 21 présente des passages 221 pour communication de son trou borgne 120 avec la chambre de commande 23.

Une chambre principale existe du côté du piston 20 tourné à l'opposé de la paroi transversale 11 et de la chambre 23.

Le centreur 21 est implanté axialement entre le moyeu 5 et la paroi 11, c'est-à-dire entre les éléments de sortie et d'entrée de 1'appareil d'accouplement hydrocinétique.

Par simplicité, ce centreur sera dénommé ci-après bague, car il est globalement en forme de bague étagée et usinée à l'arrière, de manière décrite ci-après. En variante (figure 21), le centreur est supprimé et les passages 221 sont formés dans le moyeu 5, guidant le piston.

En faisant varier la pression de part et d'autre du piston 20, par exemple en faisant varier la pression dans la chambre 23, on autorise le piston 20 à se déplacer axialement par rapport à la paroi 11 fixe axialement, soit pour serrer les garnitures de friction 22 et le disque 24 entre le piston 20 et la paroi 11, soit pour desserrer les garnitures 22 et le disque 24.

Dans le premier cas, l'embrayage de verrouillage est engagé ou ponté à la fin du déplacement axial du piston 20 en direction de la paroi 11.

Dans le second cas, le piston 20 se déplace en direction opposée à la paroi 11 pour désengager ou déponter l'embrayage.

Ici les garnitures de friction 22 sont solidaires du disque 24 en étant par exemple collées ou brasées sur les faces du disque 24 de part et d'autre de celui-ci.

En variante, les garnitures sont solidaires du piston 20 et de la paroi transversale 11.

Ainsi le piston offre, à sa périphérie externe, une face de friction pour la garniture adjacente 22 ou forme une face de friction pour ladite garniture.

Bien entendu une pièce intermédiaire peut tre fixée sur la paroi 11 pour constituer une face de friction pour la garniture 22 concernée.

Le disque 24 s'étend radialement au-dessus du piston 20 pour tre relié par une liaison du type tenons-mortaises 4 à l'amortisseur de torsion 3 plus épais à sa périphérie externe au voisinage du rebord 13.

L'amortisseur de torsion 3 comporte deux parties coaxiales 7,8 montées mobiles angulairement l'une par rapport à l'autre à rencontre des moyens élastiques à action circonférentielle 6, ici sous forme de ressorts à boudin.

L'une des parties, dite partie d'entrée 7, comporte deux rondelles de guidage 60,61 disposées de part et d'autre de l'autre partie 8 sous forme d'un voile solidaire à sa périphérie interne du moyeu 5.

La partie d'entrée 7 est liée en rotation au disque d'entraînement 24 par la liaison du type tenons-mortaises 4 autorisant un mouvement axial du disque 24.

Ainsi la partie d'entrée 7 est liée de manière débrayable à la paroi transversale 11 appartenant à l'élément d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocinétique, tandis que la partie de sortie 8 est liée l'élément de sortie 5 dudit appareil.

L'amortisseur 3 est implanté axialement entre la roue de turbine 101 et le piston 20.

Le moyeu 5 présente, d'un seul tenant avec une douille 50, à son extrémité arrière, la plus éloignée de la paroi transversale 11, un flasque 51 d'orientation transversale moins épais à sa périphérie externe pour formation d'un lamage délimitant un épaulement d'orientation axiale, non référencé, permettant de centrer le voile 8 et l'anneau ou les pattes 104 de

la roue de turbine 101. Des rivets 105 permettent de lier les pattes 104 et le voile 8 au flasque 51 et donc au moyeu. Le voile 8 et les pattes 104 sont disposés accolés d'un mme côté du flasque 51, les pattes 104 étant en contact avec le flasque 51.

En variante, les pattes ou l'anneau 104 et le voile 8 sont disposés de part et d'autre du flasque 51.

La fixation des pattes 104, en variante de l'anneau 104, et du voile 8 peut tre alors réalisée par soudage.

La bague 21 est étagée en diamètre et est fixée, de manière connue, par soudage à un manchon 16, dirigé vers l'extérieur en direction opposée au piston 20, que présente centralement la paroi transversale 11.

Ainsi la bague 21 présente, d'une part, une portion avant 121 de plus petit diamètre formant centreur et fixée par soudage au manchon 16 et, d'autre part, une portion arrière 122 de plus grand diamètre dans laquelle sont réalisés les passages 221 de communication entre la chambre 23 et le trou central borgne 120 de la bague 21. La bague 21 par sa portion avant 121 étagée est emmanchée dans le manchon 16 en étant soudée à l'extrémité libre de celui-ci par un cordon de soudure.

La bague 21 est donc centrée par la paroi transversale 11, lepaulement formé par le changement de diamètre entre les portions 121,122 étant en appui contre la face interne de la paroi 11 tournée vers le piston 20.

Le moyeu 5, dirigé axialement vers la paroi 11, pénètre par sa douille 50 dans le trou borgne 120 de la bague 21 pour réduction de l'encombrement axial au centre de l'appareil d'accouplement hydrocintique entre la roue de réaction 102 et la paroi transversale 11. La douille 50 s'étend axialement jusqu'aux passages 221 pour ne pas obturer ceux-ci et pour augmenter au maximum sa longueur, ce qui favorise son coulissement le long de l'arbre mené 201.

Le moyeu 5 présente un rebord annulaire d'orientation axiale 52 issu d'un seul tenant du flasque 51 et dirigé axialement vers la paroi 11. Ce rebord 52 s'étend donc parallèlement au moyeu 5 à la douille 50. Il s'étend radialement au-delà de la douille 50.

Le rebord 52 est plus court axialement que la douille 50 et définit avec celle-ci une gorge 53 annulaire avec un fond formé par le flasque 51.

La bague 21 pénètre dans la gorge 53 par son extrémité arrière 123 appartenant à la portion arrière 122. Les pièces 21 et 5 sont donc imbriquées.

Un palier 54 est interposé radialement entre la périphérie interne de la portion arrière 122 pénétrant dans la gorge 53 et la périphérie externe du moyeu 5 pour centrage du moyeu 5 par rapport à la bague 21. Ici le palier est solidaire de la bague 21 et constitue un palier pilote.

Une butée axiale 55, ici un roulement à aiguille, intervient entre le fond d'orientation transversale de la gorge 53 et la face arrière de la bague 21. Pour ce faire, le flasque 51 est creusé localement pour recevoir la butée 55.

Un jeu radial existe entre la périphérie externe de la portion arrière 122 de la bague 21 et la périphérie interne du rebord 52, la bague étant de diamètre réduit à cet endroit pour pouvoir pénétrer dans la gorge 53.

Un jeu axial existe également entre l'extrémité libre du rebord 52 et l'épaulement 124 formé par le changement de diamètre que présente la portion arrière 122 pour que celle-ci puisse pénétrer à l'intérieur de la gorge annulaire 53.

Il en résulte que la périphérie externe du rebord 52 a globalement le mme diamètre que la périphérie externe de plus grand diamètre de la portion arrière 122, en étant axialement aligné avec celle-ci.

Les passages 221 affectent la partie de plus grand diamètre de la portion 122 et sont adjacents en partie à la paroi 11.

Les passages 221 sont formés par des perçages débouchant dans le trou 120 et prolongée vers l'extérieur par des rainures radiales affectant la face de la portion arrière 122 en contact avec la paroi 11.

Le piston 20 est ici monté coulissant le long d'une portée de guidage 59 constituée par la périphérie externe du rebord 52, doté d'une gorge (non référencée) au voisinage de son extrémité libre pour montage d'un joint d'étanchéité 56. Ce joint est un joint du type dynamique car un mouvement relatif de rotation peut se produire entre le piston 20, solidaire en rotation de la paroi 11, et le moyeu 5 solidaire de la roue de turbine 101.

Pour son coulissement le long de la portée de guidage 59, le piston 20 présente, à sa périphérie interne, une virole 128 d'orientation axiale dirigée vers le flasque 51, qui présente une rainure 57 pour logement d'une butée axiale 58 destinée à coopérer avec la face arrière de la virole 128 pour réduire les frottements. Le lamage et la rainure délimitent un autre rebord (non référencé) parallèle aux rebords 51 et à la douille 50 et étant plus court axialement que ceux-ci. Le moyeu 5 a ainsi une forme de peigne à dents annulaires de longueur différente et croissante.

En variante, la virole 128 peut porter le joint 56 à la faveur d'une gorge.

Lorsque l'embrayage de verrouillage 2 est ponté le liquide (l'huile) ne peut pénétrer dans la chambre 23 car les garnitures 22 sont serrées et le joint 56 empche toute pénétration. La roue de turbine 101 est alors mécaniquement solidarisée à la roue d'impulseur 100.

Lorsque l'embrayage est dépont le liquide ne peut s'écouler vers le flasque 51 à cause du joint 56.

Bien entendu, la portion arrière 122 présente un épaulement 125 à sa périphérie interne, formé à la faveur d'un changement de diamètre, pour coopérer avec la face avant du palier 54 monté dans la gorge 53.

La périphérie externe de la douille 50 est en contact intime de centrage avec la périphérie interne du palier 54 solidaire ici de la bague 21 différente de celle d'une bague de l'art antérieur par l'usinage de sa portion arrière.

Le piston 20 est lié en rotation à la paroi transversale par des languettes tangentielles 26 autorisant un mouvement axial du piston le long du rebord 52 et de sa portée 59.

Les languettes tangentielles 26, montées dans la chambre 23, interviennent entre la paroi 11 et le piston 20 et sont axialement élastiques et à action circonférentielle. Les languettes 26 sont solidaires d'une pièce d'entraînement 27 fixée sur la paroi 11. Cette pièce 27, mieux visible à la figure 24, peut tre prolongée radialement pour offrir une force de friction à la garniture 22 concernée.

Un tel mode d'assemblage est décrit dans le document FR-A-2 726 620.

Ainsi les languettes 26, montées ici de manière superposée dont le nombre dépend des applications, sont fixées par rivetage à l'une de leurs extrémités à la pièce d'entraînement 27 elle-mme fixée par rivetage sur la paroi 11, à l'aide de rivets 228, issues par extrusion de la paroi 11. En variante on peut utiliser d'autres organes de fixation, tels que des rivets normaux, des vis, des boulons etc.

Pour ce faire, la pièce d'entraînement présente localement des parties décalées axialement en direction du piston 20 pour la fixation des languettes. Ces parties sont en forme d'oreilles 227.

En variante, la fixation de la pièce d'entraînement 27 à la paroi 11 est réalisée par soudage ou collage.

En variante, la fixation des languettes 26 est réalisée directement sur des bossages issus de la paroi 11 et dotés d'extrusions pour rivetage des languettes 26.

Bien entendu, les languettes 26 peuvent tre d'un seul tenant avec la pièce d'entraînement.

Pour plus de précisions, on se reportera à la demande FR-A-2 726 620.

Les languettes 26 sont fixées à l'autre extrémité à l'aide de rivets 28 au piston 20. En variante les rivets sont remplacés par d'autres organes de fixation, tels que des vis, des boulons etc.

Ceci est réalisé grâce à des trous 29, ici épaulés, que présente la paroi 11 en coïncidence axiale avec les rivets 28.

Les trous 29 sont des trous de passage pour un outil permettant d'écraser les ttes des rivets 28, un contre-outil étant placé de l'autre côté du piston 20 pour réaliser le sertissage de manière décrite ci-après.

Le trou de passage 29 est étage en diamètre et comporte une portion de plus petit diamètre se raccordant par un épaulement transversal à une portion de plus grand diamètre.

Ceci permet selon l'invention d'éviter la mise en oeuvre de moyens de fixation en deux parties, comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.

Ainsi, comme dans ce document, dans les figures 1 à 4, on fixe d'abord les languettes 26, soit directement à la paroi 11, soit l'ensemble pièce d'entraînement 27-languette 26 à la paroi 11.

Ensuite, après avoir mis en place le disque 24, équipé des deux garnitures de friction 22, entre la paroi 11 et le piston 20, on fixe par rivetage, à l'aide des rivets 28, les languettes au piston 20 en introduisant un outil dans chaque trou 29 pour déformer la tte du rivet 28, un contre-outil agissant de l'autre côté du piston 20 pour former un appui au pied du rivet 28. De préférence on utilise un centreur amovible engagé dans le manchon 16 pour centrer la virole 128 du piston 20 lors de l'opération de fixation des languettes 26 au piston 20, puis on retire ce centreur et on fixe la bague 21 à la paroi 11.

Bien entendu, la fixation des languettes 26 sur le piston est réalisée sur des emboutis 290 saillant axialement en direction de la paroi 11, que présente le piston 20 radialement entre ses périphéries interne et externe ; la périphérie interne du piston 20 étant décalée axialement en direction opposée à la paroi 11 par rapport à sa périphérie externe formant face de friction pour la garniture 22 concernée.

Pour ce faire, le piston 20 présente une portion inclinée entre ses périphéries externe et interne. C'est dans cette portion inclinée que sont formés les emboutis 290 en forme de bossages.

Le nombre des languettes 26 et donc des bossages 290 dépend des applications.

Bien entendu selon l'invention, après en final on ferme de manière étanche les trous de passage 29 à l'aide d'obturateurs étanches consistant dans les figures 1 à 4 en des bouchons étanches 129. Ici les bouchons 129 sont épaulés et fixés par soudage, en variante par vissage ou collage, ou emmanchement à force à la paroi 11. Les bouchons 129 sont par exemple métalliques en étant à base d'aluminium.

Les bouchons 129 sont ici étages en diamètre et plus courts axialement que les trous de passage 29. Les bouchons 129 présentent une tte de plus grand diamètre, introduite dans la portion de plus grand diamètre du trou de passage 20, et un corps, en forme de tige, de plus petit diamètre introduit dans la portion de plus petit diamètre du trou de passage On notera que le flasque 113 (figure 2), fixé par les vis 112 à la paroi 11, présente des trous (non référencés) en coïncidence axiale avec les trous 29 pour passage de l'outil et du bouchon 129.

La tte du bouchon 129 et la portion de plus grand diamètre du trou de passage sont ici tournés du côté opposé au piston 20, le corps du bouchon 129 étant plus court axialement que la portion de plus petit diamètre du trou. Ainsi, le bouchon est logé dans l'épaisseur de la paroi 11.

Bien entendu on peut inverser les structures, comme visible à la figure 7.

Dans ce cas les trous de passage 229 sont réalisés dans le piston et fermés en final par un bouchon 339 épaulé.

Ainsi on fixe d'abord les languettes au piston à l'aide des rivets 28, puis on fixe les languettes 26 ou la pièce d'entraînement 27 sur laquelle sont préalablement fixées les languettes 26, à la paroi 11, le piston 20 présentant des trous de passage 229 en coïncidence axiale avec, par exemple, des rivets de fixation 228 issues par extrusion de la paroi 11. Ces trous permettent le passage d'un outil pour écraser les rivets. Ensuite on bouche les trous à l'aide d'un bouchon 339.

L'amortisseur de torsion 3 présente deux rondelles de guidage 60,61 de forme symétrique pour réduction des coûts.

Les deux rondelles de guidage 60,61 sont symétriques (globalement identiques), abstraction faite des pattes d'entraînement 161 que présente la rondelle de guidage 61, dite première rondelle de guidage, la plus proche du piston 20.

L'autre rondelle de guidage 60, dite deuxième rondelle de guidage, est adjacente à la roue de turbine 101.

Les rondelles de guidage 60,61 sont obtenues avec le mme outillage. Une opération supplémentaire est effectuée sur la première rondelle de guidage 61 pour l'obtention des pattes 161 obtenues par découpe et pliage.

Les pattes 161 sont d'orientation axiale et s'engagent dans des encoches non référencées, ouvertes radialement vers l'extérieur, et formées à la périphérie externe 240 du disque 24.

Cette périphérie externe 240 est décalée axialement par rapport à sa partie principale plane du disque 24 sur laquelle sont fixées les garnitures de friction 22.

Le décalage axial de la périphérie externe est réalisée en direction de la première rondelle de guidage 61 pour réduire la longueur axiale des pattes 161 décalées radialement vers l'intérieur par rapport à la périphérie externe des rondelles de guidage 60,61.

Ces rondelles de guidage 60,61 sont implantées à la périphérie externe de la roue de turbine 101 et de la paroi 11. La périphérie externe des rondelles 60,61 s'étend au voisinage du rebord 13 de la première demi-coquille 12.

Ainsi les ressorts 6 peuvent s'étendre en majeure partie radialement au-dessus du piston 20 et venir au plus près du rebord 13. L'amortisseur de torsion 3 peut autoriser de grands débattements angulaires relatifs entre sa partie d'entrée 7 et sa partie de sortie 8, fixé à sa périphérie interne au flasque 51 du moyeu 5, ici par rivetage, de manière précitée.

La partie de sortie 8, formant voile, a une forme galbée pour épouser la forme de la roue de turbine 101, en sorte que la périphérie interne du voile 8 est décalée axialement en direction du flasque 51 par rapport à sa périphérie externe s'étendant parallèlement à ladite périphérie interne.

La périphérie externe du voile 8 est formée de pattes 18 formant des pattes d'appui pour les extrémités des ressorts à boudin 6. Les ressorts 6 s'étendent entre deux pattes consécutives et ont une grande longueur circonférentielle.

En regard des pattes 18, les rondelles de guidage 60,61 présentent, en vis-à-vis, des emboutis 118 pour appui des extrémités circonférentielles des ressorts 6.

Les rondelles de guidage 60,61 sont reliées ensemble à leur périphérie interne à l'aide de pattes 62 issues des rondelles et engagées entre deux pattes 18. Les pattes 62 s'étendent à la périphérie externe du voile 8.

Entre les emboutis 118, les rondelles 60,61 ont une forme galbée et sont affrontées au niveau de leurs bords externes libres. Ces rondelles sont fixées entre elles à l'aide de points de soudure effectués au niveau des emboutis 118 et des pattes 62, ici accolées.

Les emboutis 118 sont également accolés (figure 1) et c'est dans cette zone qu'est réalisée la fixation par soudage.

On notera que les pattes 161, formant pattes de liaison en rotation, sont issues de fentres 163 réalisées dans les parties galbées des rondelles de guidage 60,61 épousant la forme des ressorts à boudin 6 schématisés en pointillés à la figure 3.

Les ressorts 6 sont donc retenus axialement et radialement par les rondelles de guidage 60,61. Ces rondelles 60,61, une fois assemblées, enveloppent extérieurement les ressorts 6 et ont un

contour circulaire 63 s'étendant sur plus de 180° et prolongé à chacune de ses extrémités par une partie inclinée 64. Les parties inclinées sont convergentes et c'est dans celles-ci que sont réalisées les pattes 62.

Bien entendu les rondelles 60,61 sont en tôle emboutie.

Il en est de mme de la paroi 11 et du piston 20. Les parties inclinées 64 permettent de réduire progressivement l'encombrement axial. Ce profil permet à la rondelle de guidage 60 de venir au plus près de la roue turbine 101.

Bien entendu, figures 5 et 6, on peut profiter des parties inclinées 64 pour ménager, en vis-à-vis dans celles-ci, des fentres 263 et loger, radialement en dessous des ressorts 6, une deuxième série de ressorts 160, logés radialement au-dessus de la périphérie externe du voile 8 et circonférentiellement entre deux pattes 18. Les ressorts 160 sont des ressorts de fin de course, les pattes 18 venant comprimer lesdits ressorts à boudin à la fin du débattement angulaire relatif entre les parties 7 et 8.

Ces parties inclinées peuvent tre embouties localement en 165 pour formation de zones d'appui pour des entretoises, par exemple des colonnettes 262 reliant entre elles les rondelles de guidage 60, 61 et remplaçant les pattes 62 de la figure 2.

A la figure 7 on retrouve la mme configuration, la différence portant sur les trous 229, non épaulés, et sur les bouchons 339 affectant de manière précitée le piston 20 pour les fixations des languettes. Ainsi on peut combiner entre elles les différentes figures.

A la figure 8 on a remplacé la fixation des pattes 62 de la figure 3 par la fixation des colonnettes 262 de la figure 5, une seule rangée de ressorts étant prévue.

Dans ce cas, les rondelles de guidage 60,61 sont identiques, donc symétriques, et les pattes 161 appartiennent à une rondelle 362 fixée aux rondelles de guidage 60,61 par les colonnettes 262, la rondelle 362 étant de forme tronconique et emboutie localement pour l'appui des colonnettes 262.

On notera que, dans cette figure 8, le contour circulaire 63 a une plus grande étendue circonférentielle et s'étend presque sur 360° et se raccorde à des parties transversales 164 sur lesquelles sont fixées les colonnettes.

Dans toutes les figures 1 à 8, les rondelles de guidage 60,61 sont accolées à leur sommet (à leur périphérie externe) et

sont fixées localement par soudage à cet endroit, et ce entre les ressorts 6 dans les emboutis 118. Ces emboutis 118 sont déformés localement centralement pour formation de deux zones transversales 170 affrontées et s'étendant radialement au-dessus des pattes 18 du voile 8.

Le soudage est réalisé dans ces zones 170 visibles pour l'une d'entre elles à la figure 6.

A leur périphérie interne les rondelles de guidage sont reliées entre elles par les pattes 62 ou les entretoises 262.

Bien entendu, le manchon 16 peut tre prolongé et tre fermé à son extrémité pour former un centreur. Dans ce cas, la bague 21 peut tre emmanchée à force dans le manchon 16, comme décrit dans le document FR-96 07 146. Dans ce cas la bague 21 peut tre en matière synthétique, en sorte que la présence du palier 54 n'est pas obligatoire.

Bien entendu, on peut fixer par sertissage la bague 21 en déformant le manchon 16. Le piston 20 peut tre monté coulissant sur le centreur 21 et l'amortisseur de torsion.

La présence de l'amortisseur de torsion n'est pas obligatoire. Le disque 24 peut tre lié en rotation à des pattes par la liaison tenons-mortaises 4, lesdites pattes étant solidaires d'un anneau fixé sur la roue de turbine. Le disque 24 peut tre noyé dans une garniture de friction 22 destinée à tre serrée entre le piston 20 et la paroi 11.

La présence du palier 54 n'est pas obligatoire. En effet, un palier pilote peut tre monté dans le trou borgne 120 pour centrer l'extrémité de l'arbre mené.

Dans tous les cas il est prévu un palier pilote, tel que le palier 54, pour assurer une bonne concentricité entre le moyeu 5 et le centreur 21.

Grâce aux trous 229,29 on peut fixer les languettes 26 localement, par exemple par soudage ou collage, respectivement au piston 20 et à la paroi 11. On appréciera que la solution de la figure 7 est favorable car la pression hydraulique régnant dans la chambre principale plaque le bouchon épaulé 339 contre le piston 20.

En outre la paroi 11 est intacte.

D'une manière générale selon l'invention les languettes élastiques 26 sont fixées, d'une part, à l'une de leurs extrémités, par des premiers moyens de fixation à l'une des pièces

paroi transversale 11-piston 20, dite première pièce, et, d'autre part, à leur autre extrémité par des seconds moyens de fixation à l'autre des pièces paroi transversale 11-piston 10, dite seconde pièce. La première pièce (ou premier élément) présente des trous de passage 29,229 en coïncidence axiale avec les deuxièmes moyens de fixation. Ces trous de passage 29,229 sont obturés en final par des obturateurs d'étanchéité 129,339.

Les moyens de fixation peuvent consister en un soudage, collage en des extrusions ou en des organes de fixation.

L'invention tire parti du décalage circonférentiel entre les extrémités des languettes 26. Ce décalage permet la création des trous de passage.

Les bouchons 29,229 sont épaulés et sont plus courts axialement que les trous de passage 29,229. Les ttes des bouchons peuvent tre noyées dans la paroi transversale ou dépasser légèrement du piston (figure 7).

Les languettes 26 peuvent ne pas s'étendre tangentiellement mais tre inclinées. Dans tous les cas les languettes 26 sont à action circonférentielle car leurs extrémités sont décalées circonférentiellement.

Les rondelles de guidage de l'amortisseur de torsion peuvent avoir une forme quelconque et ne pas tre identique.

Bien entendu, l'obturateur peut avoir une autre forme et tre logé dans l'épaisseur de la paroi 11 ou du piston 20.

Dans ce cas, l'obturateur est en forme de plaque 439 et on tire partie de la forme du trou de passage, qui présente, de manière précitée, une portion de plus petit diamètre se raccordant par un épaulement transversal à une portion de plus grand diamètre. Le trou de passage est donc étage en diamètre et on loge la plaque dans la portion de plus grand diamètre constituant un lamage. Par exemple, à la figure 9, on voit en 539 le trou de passage et en 540 l'épaulement formé à la faveur du changement de diamètre. La plaque 439 est logée, dans la portion de plus grand diamètre, axialement entre 1'épaulement 540 et la face arrière 541 du piston 20 tournée vers la roue de turbine 101, à l'opposée de la paroi 11. Bien entendu, on peut, en variante, loger la plaque axialement entre l'épaulement du trou et la face arrière de la paroi tournée à l'opposée du piston 20.

La longueur axiale de la portion de plus grand diamètre est supérieure à l'épaisseur de la plaque.

La plaque peut tre fixé par collage, soudage, sertissage ou déformation dans la portion de plus grand diamètre du trou de passage. La fixation est étanche.

Ainsi, à la figure 9, la plaque 439 est amenée en contact avec l'épaulement 540 du trou de passage 539 et on écrase à chaud, à l'aide d'un poinçon, localement le bord du trou 539 au niveau de la face arrière du piston 20. Il en résulte un fluage de matière du piston repéré en 541. La plaque 439, en contact avec l'épaulement 540, formant siège avec d'étanchéité, est ainsi immobilisé axialement après sertissage entre le fluage de matière 541 et l'épaulement 540.

A la figure 10, un fil de brasure formant un anneau 542 est interposé entre la plaque 439 et l'épaulement 540. Par chauffage, par exemple de nature électrique, tel qu'un chauffage par induction, on fait fondre l'anneau de brasure 542 pour l'obtention d'une fixation étanche. Bien entendu, on peut remplacer l'anneau 542 par de la colle. On peut réaliser le soudage au niveau de la façade, la plaque tournée à l'opposée de l'épaulement 540.

A la figure 11, la plaque 439'est bombée au départ en étant au contact à sa périphérie externe avec l'épaulement 540.

Ensuite, à l'aide d'un outil de presse, tel qu'un poinçon, on écrase la plaque 439', dans le sens de la flèche F. A la fin de cette opération, la plaque 439'est plate et est en contact avec le contour de la portion de plus grand diamètre du trou 539. On obtient une fixation étanche. Bien entendu, à la figure 4, on peut remplacer le bouchon 129 par la plaque 439 ou 439'.

La plaque 439 ou 439'peut tre remplacée par un bouchon 639 dont la tte est logée dans l'épaisseur de portion de plus grand diamètre du trou 29 de la figure 4 ou du trou 639 du piston 20, comme visible à la figure 12.

Le montage du bouchon métallique 639 (figure 12), 129 (figure 4), 339 (figure 7) peut tre réalisé en refroidissant le bouchon, par exemple à-40° dans l'azote liquide, puis en introduisant la bouchon dans le trou de passage associé.

Le bouchon est donc initialement contracté, puis, ensuite se dilate en se coinçant ainsi de manière étanche dans le trou de passage.

Bien entendu, la tte du bouchon peut s'étendre en saillie par rapport à la portion de plus grand diamètre du trou de passage comme à la figure 7. _ Le trou de passage peut ne pas tre étage, comme visible en 739 à la figure 13. Dans ce cas, l'obturateur 639 consiste en une pastille monté à froid dans le trou de manière précitée.

Le bouchon 839 (figure 14) peut avoir une tte s'étendant en saillie axiale par rapport à la paroi 11 ou au piston 200.

Le trou 939 est élargit au niveau de la tte et comporte au niveau de l'autre face une portion de diamètre élargit pour logement d'une collerette 841 et donc délimitée par un épaulement transversal 840 formé à la faveur du changement de diamètre du trou.

La collerette 841 est logée dans l'épaisseur de la paroi 11 ou du piston 20. L'élargissement de la collerette du trou 939 est de forme tronconique pour une bonne étanchéité et la tte du bouchon de forme bombée.

La collerette 841 peut tre continue (figures 23,24). En variante, elle est fragmentée en pattes élastiquement déformables radialement par des fentes 842, le bouchon étant avantageusement en matière plastique pour son montage par encliquetage dans le trou de passage.

Bien entendu, un joint d'étanchéit peut tre interposé entre le trou de passage et le bouchon pour parfaire l'étanchéité.

Par exemple, à la figure 9, on peut interposer un joint en caoutchouc tel qu'un joint torique entre l'épaulement 540 et la plaque 439. Dans les figures 15 et 16, c'est le bouchon 839 en matière plastique qui est équipé d'un joint d'étanchéité 850. Ce joint est monté dans une gorge 851 réalisée dans le corps du bouchon 839 entre sa tte et sa collerette 841. Le joint peut avoir une section carré rectangulaire, circulaire, ou autre. A la figure 16, le joint 850 a une forme oblongue.

Le bouchon 839 comporte six pattes élastiquement déformables séparées deux à deux par des fentes 842 ou 842', de largeur différente, quatre fentes 842 et deux fentes 842'sont prévues. Bien entendu, ce nombre dépend des applications. Le bouchon 839, dans une variante, comporte quatre pattes.

Bien entendu, l'obturateur peut tre en forme de coupelle ou de capsule 1039 engagée dans un trou de passage 1139 d'extrémité chanfreinée 1040.

La capsule 1039 est engagée à force dans le trou 1139.

Cette capsule comporte un rebord annulaire 1041 prenant appui sur la face concernée de la paroi 11 ou du piston 20 concernée. On peut loger un joint dans la cavité délimitée par le chanfrein 1040 et le rebord 1041, pour parfaire l'étanchéité.

En variante, initialement, la capsule consiste en une rondelle que l'on emboutit dans le trou de passage pour lui donner une forme de capsule.

A la figure 18, le corps de la capsule 1039 est intérieurement étage en diamètre avec formation d'un épaulement 1042 servant d'appui à la périphérie externe d'une rondelle Belleville 1043 de forme tronconique. En variante, plusieurs rondelles 1043 montées en parallèles sont prévues.

Initialement, la rondelle Belleville 1043 est inclinée en direction du rebord 1041. A l'aide d'un outil, on retourne la rondelle Belleville 1043 en contact avec 1'épaulement. Après retournement, le rondelle Belleville occupe la position repérée en 1044 et vient en contact avec la partie surélevée 1045 du fond de la capsule.

Sous l'action de la rondelle Belleville, la capsule 1039 augmente de diamètre. A la figure 19, on déforme la capsule 1039 dont le rebord 1041 est initialement incliné (figure 20). A la fin de la déformation le fond de la capsule 1039 flue. Un bourrelet 1046 est ainsi formé au contact de l'extrémité chanfreiné 1047 du trou de passage en sorte que la capsule est immobilisée axialement par son rebord 1041 et son bourrelet.

Bien entendu, on peut inverser le sens de montage de l'obturateur, par exemple du bouchon 29 de la figure 4.

Pour ce faire (figure 21 et 22), la portion de plus grand diamètre du trou de passage débouche dans une chambre de commande en sorte que le bouchon 1239 présente une tte 1240 en contact avec le liquide de la chambre de commande 23.

Suivant une caractéristique, ce bouchon 1239 à tte inversée forme un outil pour le rivetage dans les languettes 26.

Plus précisément, les rivets 28 sont écrasés au contact des ttes 28.

Ces rivets 28 traversent chacun un manchon 1241 à tte épaulée en sorte que les languettes sont initialement insérées entre les ttes des rivets et du manchon 1241. Chaque manchon 1241 traverse le piston 20 et suivant une caractéristique, des

rondelles élastiques 1242 sont montées sur les rivets 28 du côté du piston tourné vers la roue de turbine 101, c'est-à-dire à l'opposée de la chambre 23.

Les extrémités libres des bouchons 1239 étant en contact avec une partie fixe, on écrase à l'aide d'un outil de rivetage les extrémités libres des rivets 28. Lors de cette opération, les ttes des rivets 28 viennent en contact avec les ttes 1240 formant des enclumes. Les extrémités libres des rivets 28 fluent lors de leur écrasement en sorte que l'on déforme les rondelles élastiques 1242 au contact de la force du piston 20 tournée vers la roue de turbine 101. Les bouchons 1239 forment donc des contre-outils.

Après on fixe par soudage les bouchons 1239 à la paroi 11 sachant que les trous de passage 1339 sont étages en diamètre, la portion de plus grand diamètre du trou 1339 débouchant dans la chambre 23. Il y a donc formation d'un épaulement 1340 à la faveur du changement de diamètre. La tte 1240 du bouchon 1239 se raccorde au corps, formant tige, du bouchon 1239 par une zone chanfreinée 1243 venant en contact local avec l'arrte de 1'épaulement 1340. En chauffant les corps des rivets, par exemple électriquement, on réalise un soudage étanche repéré en 1341. Lors de cette opération, on tire sur les rivets.

Bien entendu, le soudage peut tre un soudage du type à friction. On appréciera que les manchons 1241 rendent imperdables les rivets 28 avant leur rivetage. Ainsi, on fixe d'abord les languettes 26 à la paroi 11, puis, ensuite au piston 20 de manière précitée. Les rondelles élastiques permettent de rattraper les jeux.

Dans cette figure, le voile 8 de l'amortisseur de torsion 3 est fixé à la roue de turbine 101. Pour ce faire, le voile 8 métallique présente localement des emboutis 80 fixés par agrafage à la roue de turbine 101 en mme temps que les aubes de cette roue, en variante, la fixation des emboutis 80, décalés axialement vers la roue 101, est réalisée par soudage sur la roue 101.

La partie d'entrée 7 de l'amortisseur 3 est réalisée comme dans le document WO 94/07 058.

Cette partie d'entrée consiste en une rondelle de guidage comportant une portion de maintien des ressorts 6 en forme de demi-coquille et des portions d'appui pour les extrémités circonférentielles des ressorts.

Le voile 8 présente à sa périphérie externe une portion de maintien en forme de demi-coquille décalée axialement et radialement par rapport à celle de la rondelle de guidage Ce voile présente des crevés de forme sinueuse pour appui des extrémités des ressorts. Le disque 24 engrène avec la rondelle 7, par la liaison 4 du type tenon-mortaise. Pour plus de précisions, on se reportera au document WO 94/07 058.

Dans ces figures 21 et 22, le centreur des figures 1 à 7 est supprimé, les passages 221 étant réalisés dans le moyeu 5 avec interposition d'une bague (non référencée) entre la paroi 11 et le moyeu 5 pour réduire les frottements. La bague est calée en rotation sur le moyeu 5 à l'aide de pions engagés dans des trous borgnes du moyeu 5, comme visible à la figure 21. Le moyeu 5 présente une portée de guidage 159 annulaire, d'orientation axiale, pour le piston 20.

Bien entendu, le disque 24 peut présenter des pattes d'entraînement 328 reçues entre deux ressorts consécutifs.

Le voile 8 présente une portion annulaire périphérique 114 conformée en gorge axiale ouverte axialement vers la paroi 11.

Ainsi, les organes élastiques 6, portés par le disque 24, plus précisément les pattes 328 dotées de plats ou doigts 134 pour pénétrer dans les ressorts. C'est le disque 24 qui porte les ressorts 6. La plaque d'entraînement est fixée à la paroi 11 par des rivets extrudés 228 issus de la paroi 11. Des pattes 142,148 sont prévues sur le voile 8 pour retenir les ressorts.

Le voile 8 est solidaire du moyeu 8. Le centreur 21 ne sert pas de centreur au moyeu 5. Le voile présente des emboutis 146 pour appui des ressorts 6. Pour plus de précisions, on se reportera au document FR 98/02 808 déposé le 3 mars 1988.

Le bouchon 1439 présente une collerette chanfreinée 841, comme à la figure 14. Cette collerette est ici continue. Les trous de passages 1539 sont réalisés dans le piston 20 en regard des rivets 228. Les trous 1539 sont cylindriques en étant dépourvus d'étagement. La tte de chaque bouchon fait saillie par rapport à la face arrière du piston 20 tournée vers le voile 8. La collerette 841 fait saillie axialement par rapport à l'autre face du piston 20 tournée vers la paroi.

Le bouchon est, par exemple, en aluminium et est introduit dans le trou 1539 par contraction de manière précitée.

En variante, il est emmanché à force dans le trou 1539 en étant de

préférence en matière plastique, la collerette 841 étant continues.

L'invention est donc d'un emploi universel, le voile 8 pouvant engrener directement le disque 24 comme dans le mode de réalisation de la figure 5 du document FR/98 02 808 précité.

Bien entendu, on peut inverser les structures, la gorge de logement du joint d'étanchéité 850 étant réalisée dans la paroi 11 ou le piston 20, à la faveur du trou de passage.