L'invention concerne les dispositifs d'accouplement hydrocinétique, notamment pour véhicules automobiles, équipés d'un embrayage de verrouillage, communément appelé "lock-up", pour solidariser mécaniquement en rotation leur roue de turbine à leur roue d'impulseur.

Elle vise plus particulièrement le cas où cet embrayage de verrouillage comporte au moins une garniture de frottement qui, solidaire en rotation de la roue de turbine, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un dispositif amortisseur de torsion, est disposée axialement entre, d'une part, une paroi fixe, c'est-à-dire une paroi fixe par rapport à la roue d'impulseur, et, donc, fixe par rapport au carter de l'ensemble, et, d'autre part, un piston, qui, monté mobile axialement par rapport à la paroi fixe, est solidarisé en rotation à celle-ci par des languettes sensiblement allongées tangentiellement à une circonférence de l'ensemble.

C'est le cas, par exemple, dans les documents FR-A-1 051 483 et 1 203 823, dans lesquels, cependant, l'embrayage de verrouillage intervient entre une paroi fixe et un arbre mené distinct de celui sur lequel est calée la roue de turbine.

L'un des problèmes, dans le montage d'un embrayage de verrouillage de ce type, tient à l'attelage à assurer entre les languettes et le piston. Ce problème tient plus précisément au fait que cet attelage met usuellement en oeuvre des moyens de fixation nécessitant d'intervenir sur eux d'un côté et de l'autre du piston.

C'est le cas dans les documents FR-A-1 051 483 et 1 203 823, dans lesquels, cependant, les languettes attellent le

piston non pas à la paroi fixe contre laquelle il doit presser la ou les garnitures de frottement, mais à une autre paroi fixe, qui, parallèle à la précédente, est dûment solidaire en rotation de celle-ci. L'embrayage de verrouillage mettant en oeuvre, dans un tel cas, plusieurs parois fixes distinctes, sur lesquelles il est possible d'intervenir individuellement, l'attelage des languettes au piston ne soulève pas de problème particulier, cet attelage se faisant en outre en pratique à la périphérie même de ce piston, sur des pattes prolongeant radialement à cet effet celui-ci.

Mais il en résulte une relative complication de construction pour l'ensemble, et une augmentation notable de l'encombrement axial, la ou les garnitures de frottement intervenant en pratique à l'extérieur de la chambre hydraulique confinée par le piston, du côté de celui-ci opposé à la paroi fixe avec laquelle il délimite cette chambre hydraulique.

Les difficultés apparaissent réellement lorsque la ou les garnitures de frottement interviennent dans cette chambre hydraulique, à la périphérie de celle-ci, et que, de surcroît, la paroi fixe correspondante, qui est la seule alors en cause, est une paroi de carter, et, plus précisément, la paroi de fond d'une coquille de carter en forme de cloche à l'intérieur de laquelle s'étendent cette ou ces garnitures de frottement et le piston.

C'est le cas, par exemple, dans les documents FR-A-2 634 849 et 2 702 262.

Dans ces documents, divers expédients sont mis en oeuvre pour assurer la solidarisation en rotation du piston à la paroi fixe, qui, lorsqu'ils font intervenir des languettes, font également intervenir un disque supplémentaire formant avec ces languettes et le piston un sous-ensemble sur lequel il est possible d'intervenir isolement avant d'en assurer le montage dans la coquille de carter à équiper.

Dans le document FR-A-2 634 849, ce disque supplémentaire intervient à l'intérieur de la chambre hydraulique formée par le piston et la paroi fixe, et, pour sa solidarisation en rotation à cette dernière, il est nécessaire de prévoir un montage à cannelures entre lui et un moyeu porté axialement par cette paroi fixe.

Dans le document FR-A-2 702 262, le disque supplémentaire intervient à l'extérieur de la chambre hydraulique formée par le piston et la paroi fixe, et, pour sa solidarisation en rotation à cette dernière, il est nécessaire de le caler sur le moyeu correspondant, en appliquant une déformation appropriée à ce dernier.

Dans l'un et l'autre cas, il en résulte, comme précédemment, une certaine complication de réalisation et de montage.

L'invention a pour objets un procédé de montage permettant d'éviter ces inconvénients, l'embrayage de verrouillage mis en oeuvre en application de ce procédé, et le dispositif d'accouplement hydrociné ique comportant un tel embrayage de verrouillage.

Suivant l'invention, pour l'attelage des languettes au piston dans un embrayage de verrouillage du genre concerné, on met en oeuvre des moyens de fixation, qui, tout en étant aptes à traverser globalement, de manière connue en soi, les languettes et le piston, comportent deux parties, à savoir, une première partie, qui, par avance, est, suivant l'invention, assujettie aux languettes, du côté de celles-ci opposé au piston, et une deuxième partie, qui, pour venir en prise avec la première partie, ne nécessite de n'intervenir que du côté du piston. II est ainsi avantageusement possible, avec le minimum de constituants, de procéder en aveugle au montage à assurer, par un simple empilage de ces constituants suivant un même sens axial, en assurant tout d'abord un engagement du piston sur la première partie des moyens de fixation portée par les

languettes, puis en assurant très simplement ensuite la mise en place de la deuxième partie de ceux-ci. Les objets de l'invention, leurs caractéristiques et leurs avantages, ressortiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'exemple, en référence aux dessins schématiques annexés sur lesquels : la figure 1 est une vue en coupe axiale d'un embrayage de verrouillage suivant l'invention, suivant la ligne brisée I-I de la figure 2 ; la figure 2 en est, avec un arrachement local, une vue partielle en élévation, suivant la flèche II de la figure 1 , ^• la figure 3 en est une vue partielle en coupe transversale, suivant la ligne III-III de la figure 2 ; la figure 4 reprend, à échelle supérieure, le détail de la figure 1 repéré par un encart IV sur cette figure 1 ; la figure 5 est une vue éclatée qui, déduite de celle de la figure 4, illustre la mise en oeuvre de l'invention ; les figures 6, 7 sont des vues qui, correspondant, chacune respectivement, à celles des figures 1 et 2, concernent une première variante de réalisation ; les figures 8 et 9 sont des vues qui analogues à celles des figures 6 et 7, concernent une deuxième variante de réalisation ; la figure 10 est une vue qui, analogue à celle de la figure 5, concerne une autre variante de réalisation. Tel qu'illustré sur ces figures, il s'agit, globalement, du montage d'un embrayage de verrouillage 10, qui, destiné à l'équipement d'un dispositif d'accouplement hydrocinétique, non représenté, pour permettre de solidariser mécaniquement en rotation, directement ou indirectement, la roue de turbine de ce dispositif d'accouplement hydrocinétique à sa roue d'impulseur, comporte au moins une garniture de frottement 11 disposée axialement entre une paroi fixe 12 et un piston 13 monté mobile axialement par rapport à cette paroi fixe 12 tout en étant solidarisé en rotation à celle-ci.

Par paroi fixe 12, on entend simplement ici une paroi fixe axialement.

Mais il va de soi que cette paroi fixe 12 est entraînée en rotation autour de l'axe de l'ensemble. Ici, la paroi fixe 12 est une paroi de carter, et il s'agit, plus précisément, de la paroi de fond d'une coquille de carter 14, en forme de cloche, dont est solidaire en rotation la roue d'impulseur du dispositif d'accouplement hydrocinétique, et à l'intérieur de laquelle s'étendent la ou les garnitures de frottement 11 et le piston 13.

Ici, deux garnitures de frottement 11 sont prévues, qui, disposées chacune respectivement de part et d'autre d'une rondelle de support 15, en étant dûment assujetties à celle-ci, par exemple par collage, forment avec cette rondelle de support 15 un disque de friction 16.

La rondelle de support 15 présente de place en place, a sa périphérie externe, des pattes 18, qui, dirigées axialement, en s 'étendant radialement au-delà de la périphérie externe du piston 13, sont destinées, tel que schématisé en traits interrompus sur la figure 1, à solidariser en rotation le disque de friction 16 à l'un des éléments constitutifs d'un dispositif amortisseur de torsion 19 dont l'autre élément est lui-même solidarisé en rotation à la roue de turbine du dispositif d'accouplement hydrocinétique. Ici, la paroi fixe 12 porte axialement en saillie dans sa zone centrale un nez de centrage 20, et ce nez de centrage 20 porte lui-même, annulairement, une bague 21, qui est calée axialement par rapport à lui, et sur laquelle le piston 13 est monté coulissant à étanchéité par sa périphérie interne. Sur les figures 1 à 5, la bague 21, distincte du nez de centrage 20, est en butée, directement, contre la paroi fixe 12, en présentant de place en place à cet effet des bossages 22, et, engagée sur une portée 24 du nez de centrage 20, elle est calée axialement sur celui-ci du côté opposé à la paroi fixé 12, par

exemple, et tel que représenté, par un refoulement de matière de l'extrémité correspondante du nez de centrage 20 conduisant à un sertissage de celui-ci au-delà de cette bague 21.

La paroi fixe 12 et le piston 13 définissent conjointement, avec la bague 21, une chambre hydraulique 25, à la périphérie externe de laquelle interviennent les garnitures de frottement 11, et qui, par les passages 26 intervenant radialement entre les bossages 22 de la bague 21, des perçages 27 prévus à cet effet dans le nez de centrage 20, et l'alésage axial 28 de celui-ci, est susceptible d'être mise en communication avec une source de fluide sous pression non représentée.

De manière connue en soi, le piston 13 est solidarisé en rotation à la paroi fixe 12 par des languettes 30, qui, sensiblement allongées tangentiellement à une même circonférence de l'ensemble, sont elastiquement déformables axialement, pour laisser au piston 13 toute la mobilité axiale nécessaire par rapport à cette paroi fixe 12.

Par mesure de simplicité, on entend, ici, par languettes, soit des languettes intervenant isolement, soit des languettes résultant d'un empilage de languettes élémentaires.

Ici, quatre languettes 30 sont prévues, en étant régulièrement réparties circulairement autour de l'axe de 1 'ensemble.

Sur les figures 1 à 5, chacune de ces languettes 30 est formée d'un empilage de deux languettes élémentaires 31.

Ici, les languettes 30 interviennent dans la chambre hydraulique 25, en étant disposées dans le volume qui s'étend radialement entre les garnitures de frottement 11 et l'axe de 1 'ensemble. Elles sont attelées, soit directement, soit indirectement, à la paroi fixe 12 à l'une de leurs extrémités, et au piston 13 à l'autre de celles-ci.

Sur les figures 1 à 5, elles sont attelées à la paroi fixe 12 par l'intermédiaire d'une pièce 32 solidaire de celle-ci.

En pratique, cette pièce 32 est une rondelle qui, commune à l'ensemble des languettes 30, est solidarisée à la paroi fixe 12 par des rivets 33 venus ici d'un seul tenant de celle-ci, par exemple par extrusion, et qui présente, de place en place, à sa périphérie interne, en étant décalée axialement par rapport à sa partie courante, ou principale, des pattes 34 auxquelles les languettes 30 sont solidarisées par des rivets 35.

Suivant l'invention, pour l'attelage des languettes 30 au piston 13 on met en oeuvre des moyens de fixation 36, qui, tout en étant aptes à traverser globalement, de manière connue en soi, les languettes 30, à la faveur d'un perçage 37 de celles- ci, et le piston 13, à la faveur de perçages 38 de celui-ci, comportent, globalement, deux parties, à savoir, une première partie 36A, qui, par avance, et suivant des dispositions décrites plus en détail ultérieurement, est assujettie aux languettes 30, du côté de celles-ci opposé au piston 13, et une deuxième partie 36B, qui, pour venir en prise avec la première partie 36A, ne nécessite de n'intervenir que du côté du piston 13. Autrement dit, suivant l'invention, la première partie 36A des moyens de fixation 36 est assujettie aux languettes 30 indépendamment de leur deuxième partie 36B.

Sur les figures 1 à 5, les moyens de fixation 36 associés à une languette 30 sont constitués par une fixation du type tige de boulon sertie.

Leur première partie 36A comporte une tige 40 et une tête 41.

Ici, la tige 40 traverse avantageusement à jeu le perçage 38 du piston 13. A compter de la tête 41, la tige 40 comporte, successivement, un tronçon lisse 42, un premier tronçon cranté 43, et, au-delà d'une zone de moindre résistance 44, un deuxième tronçon cranté 45.

Ici, la tête 41 forme, à son raccordement avec la tige 40, une surface d'appui 46, plane, par laquelle elle est apte à être appliquée à la languette 30 associée autour du perçage 37 correspondant de celle-ci. La première partie 36A ainsi constituée des moyens de fixation 36 peut par exemple être assujettie à la languette 30 par engagement à force du tronçon lisse 42 de sa tige 40 dans le perçage 37 de cette languette 30.

Pour favoriser cet engagement à force, le tronçon lisse 42 de la tige 40 est ici légèrement tronconique.

En variante, ou en combinaison, il peut, si désiré, être moleté En variante, également, la première partie 36A des moyens de fixation 36 peut être assujettie à la languette 30 par adhérisation de la surface d'appui 46 de sa tête 41 à cette languette 30, par exemple par soudage ou collage.

La deuxième partie 36B des moyens de fixation 36 est conjointement constituée par une simple bague destinée à être sertie sur le premier tronçon cranté 43 de la tige 40 de la première partie 36A. Ici, cette bague comporte, du côté du piston 13, une embase 47, de plus grand diamètre, pour éviter son fluage dans le perçage 38 de ce piston 13.

Au montage, il peut être procédé comme suit.

Il est tout d'abord procédé à l'attelage des languettes 30 à la paroi fixe 12.

Pour ce faire, il est procédé à la constitution d'un sous- ensemble 48 comportant la pièce 32, les languettes 30 rapportées par des rivets 35 sur les pattes 34 de cette pièce 32, et, portée par ces languettes 30, la première partie 36A des moyens de fixation 36, tel que représenté à la figure 5.

Ce sous-ensemble 48 est ensuite rapporté sur la paroi fixe 12, par les rivets 33.

On assure ensuite un engagement du piston 13 par ses perçages 38 sur la première partie 36A des moyens de fixation 36

portée par les languettes 30, tel -que schématisé par la flèche F sur la figure 5.

Préférentiellement, cet engagement du piston 13 sur la première partie 36A des moyens de fixation 36 se fait avec un centrage conjoint de ce piston 13 par rapport à la paroi fixe 12.

Par exemple, il est tiré parti, pour ce faire, du nez de centrage 20, en utilisant un centreur,- non représenté, prenant appui, d'une part, intérieurement, sur ce nez de centrage 20, et, d'autre part, extérieurement, sur la pièce 32, et, plus précisément, sur la périphérie interne des pattes 34 que présente celle-ci.

Grâce au centrage ainsi assuré, le piston 13, qui trouve sa place par le jeu intervenant entre ses perçages 38 et la tige 40 de la première partie 36A des moyens de fixation 36, n'interfère avantageusement pas avec la bague 21, mais s'engage au contraire correctement à coulissement sur celle-ci.

Il suffit, enfin, d'assurer la mise en place de la deuxième partie 36B des moyens de fixation 36, c'est-à-dire d'engager, sur la tige 40 de la première partie 36A, tel que schématisé par la flèche F sur la figure 5, la bague constituant cette deuxième partie 36B, jusqu'à butée de celle-ci sur le piston 13.

A l'aide d'un outil spécialisé, il est alors procédé à l'exercice d'une traction sur la tige 40 de la première partie 36A des moyens de fixation 36, pour serrage de la languette 30 et du piston 13 entre la tête 41 de cette première partie 36A et la bague constituant la deuxième partie 36B, puis à un serrage radial de cette deuxième partie 36B sur le premier tronçon cranté 43 de la tige 40 de la première partie 36A, pour son sertissage sur ce premier tronçon cranté 43.

La traction sur la tige 40 de la première partie 36A étant poursuivie, il est procédé, enfin, au détachement du deuxième tronçon cranté 45 de la tige 40 de la première partie 36A, par

rupture de cette tige 40 à la faveur de sa zone de moindre résistance 44.

Ainsi qu'on le notera, du fait du décalage des pattes 34 de la pièce 32, la paroi fixe 12 peut, si désiré, être sensiblement plane, au moins dans la zone d'implantation de cette pièce 32.

Comme déjà indiqué ci-dessus, la bague constituant la deuxième partie 36B des moyens de fixation 36 est par ailleurs empêchée de fluer dans les perçages 38 du piston 13 par son embase 47. Sur les figures 6, 7, les languettes 30 sont d'un seul tenant avec la rondelle formant la pièce 32 par l'intermédiaire de laquelle elles sont attelées à la paroi fixe 12.

Dans un tel cas, les languettes 30 interviennent chacune isolement. Sur les figures 8, 9, les languettes 30 sont attelées à la paroi fixe 12 par l'intermédiaire d'une pièce 321 individuelle.

Ici, il s'agit d'un bossage rapporté localement par soudage sur la paroi fixe 12.

En variante, ce bossage peut être d 1 un seul tenant avec la paroi fixe 12, en venant par exemple par emboutissage de celle-ci .

Ici, la bague 21 est par ailleurs d'un seul tenant avec le nez de centrage 20 et elle est en butée contre la paroi fixe 12 par l'intermédiaire d'une rondelle 49. Sur la figure 10, les moyens de fixation 36 assurant l'attelage d'une languette 30 au piston 13 sont constitués par un boulon dont l'écrou forme la première partie 36A et dont la vis, à tige 40 filetée et tête 41, forme la deuxième partie 36B.

Comme précédemment, l'écrou constituant la première partie 36A est apte à être appliqué, par l'une de ses faces, formant la surface d'appui 46, à la languette 30, autour du perçage 37 de celle-ci, et, comme précédemment également, il est par avance assujetti à cette languette 30, par adhérisation de cette

surface d'appui 46 à celle-ci, par exemple par soudage ou collage.

Comme précédemment, enfin, l'écrou formant la première partie 36A est ainsi assujetti à la languette 30 indépendamment de la vis formant, dans ce cas, la deuxième partie 36B des moyens de fixation 36.

Bien entendu, la présente invention ne se limite pas aux formes de réalisation décrites et représentées, mais englobe toute variante d'exécution. En particulier, à la figure 10, les structures peuvent être inversées, la vis, à tige 40 et tête 41, du boulon mis en oeuvre étant solidarisée à la languette 30 par adhérisation, sa tête 41 étant par exemple fixée par soudage ou collage à cette languette

30 tandis que, pour venir en prise avec le boulon associé, sa tige 40 traverse cette languette 30 par son perçage 37, avant de traverser le piston 13 par son perçage 38.

En variante, également, les moyens de fixation 36 suivant l'invention peuvent comporter un rivet étanche expansible, de type "POP" par exemple, qui est fixé sur la languette 30, en traversant celle-ci par son perçage 37, et qui, après traversée du piston 13 par son perçage 38, est ensuite dûment expansé, par exercice d'une traction sur l'axe ou clou central dont il est muni à cet effet.