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Title:
LUMINOUS MOTOR-VEHICLE DEVICE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/109574
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a luminous motor-vehicle device (1), characterised in that said luminous device (1) comprises: - a luminous module (10) comprising: ° at least one light source (11) configured to emit light rays, ° a light-source holder (12), ° an optical element (13) configured to interact with light rays emitted by said at least one light source (11), ° a first casing (14) in which said at least one light source (11), said light-source holder (12) and said optical element (13) are placed, - a second casing (15) that interacts with said first casing (14), - an outer lens (16) that closes said second casing (15).

Inventors:
DEBERT FLORESTAN (BE)
DINANT FRANCK (BE)
SACCHET DIRKIE (BE)
LE GOFF TANGUI (BE)
Application Number:
PCT/EP2019/083131
Publication Date:
June 04, 2020
Filing Date:
November 29, 2019
Export Citation:
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Assignee:
VALEO VISION BELGIQUE (BE)
International Classes:
B60Q1/04; B60Q1/068; B60Q1/20; B60Q1/26; F21S41/143; F21S41/25; F21S41/29; F21S41/55
Domestic Patent References:
WO2014012878A12014-01-23
WO2013158359A12013-10-24
Foreign References:
EP3135535A12017-03-01
FR2906771A12008-04-11
US20040042070A12004-03-04
EP1767399A12007-03-28
EP2574503A12013-04-03
Attorney, Agent or Firm:
SCHAFFNER, Jean (FR)
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Claims:
Revendications

[Revendication 1 ] [Dispositif lumineux (1 ) pour véhicule automobile,

caractérisé en ce que ledit dispositif lumineux (1 ) comprend :

a. un module lumineux (10) comprenant :

i. au moins une source de lumière (1 1 ) configurée pour émettre des rayons lumineux,

il. un support de source de lumière (12),

iii. un élément optique (13) configuré pour coopérer avec des

rayons lumineux émis par ladite au moins une source de lumière (1 1 ),

iv. un premier boîtier (14) dans lequel sont disposés ladite au

moins une source de lumière (1 1 ), ledit support de source de lumière (12) et ledit élément optique (13),

b. un deuxième boîtier (15) qui coopère avec ledit premier boîtier (14), c. une glace de fermeture (16) dudit deuxième boîtier (15).

[Revendication 2] Dispositif lumineux (1 ) selon la revendication précédente, dans lequel ledit module lumineux (10) comprend en outre une vis de réglage (19) d’une orientation primaire dudit élément optique (13).

[Revendication 3] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit premier boîtier (14) est configuré pour être assemblé avec ledit deuxième boîtier (15) via un système à baïonnette (145, 155).

[Revendication 4] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit premier boîtier (14) comprend une languette souple (146) pour un verrouillage avec ledit deuxième boîtier

(15).

[Revendication 5] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit deuxième boîtier (15) comprend une butée mécanique (156) pour un verrouillage avec ledit premier boîtier

(14). [Revendication 6] Dispositif lumineux (1 ) selon la revendication précédente, dans lequel ladite butée mécanique (156) définit une orientation secondaire de l’élément optique (13).

[Revendication 7] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit dispositif lumineux (1 ) comprend en outre un joint (17) entre ledit premier boîtier (14) et ledit deuxième boîtier (15).

[Revendication 8] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit module lumineux (10) comprend en outre une platine de maintien (18) pour maintenir ledit élément optique (13).

[Revendication 9] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit élément optique (13) est une lentille.

[Revendication 10] Dispositif lumineux (1 ) selon l’une quelconque des

revendications précédentes, dans lequel ledit module lumineux (10) comprend en outre un masque (20) configuré pour être disposé entre ledit élément optique (13) et ledit deuxième boîtier (15).

[Revendication 1 1 ] Module lumineux (10) d’un dispositif lumineux (1 ) pour véhicule automobile comprenant :

a. au moins une source de lumière (1 1 ) configurée pour émettre des

rayons lumineux,

b. un support de source de lumière (12),

c. un élément optique (13) configuré pour coopérer avec des rayons

lumineux émis par ladite au moins une source de lumière (1 1 ), d. un premier boîtier (14) dans lequel sont disposés ladite au moins une source de lumière (1 1 ), ledit support de source de lumière (12) et ledit élément optique (13),

e. une vis de réglage (19) d’une orientation primaire dudit élément

optique (13).

[Revendication 12] Module lumineux (10) selon la revendication précédente, dans lequel ledit premier boîtier (14) est configuré pour être assemblé avec un deuxième boîtier (15) dudit dispositif lumineux (1 ) via un système à baïonnette (145, 155).

[Revendication 13] Module lumineux (10) selon la revendication 1 1 ou la revendication 12, dans lequel ledit premier boîtier (14) comprend une languette souple (146) pour un verrouillage avec ledit deuxième boîtier (15).

[Revendication 14] Module lumineux (10) selon l’une quelconque des

revendications précédentes 1 1 à 13, dans lequel ledit module lumineux (10) comprend en outre une platine de maintien (18) pour maintenir ledit élément optique (13).

[Revendication 15] Module lumineux (10) selon l’une quelconque des

revendications précédentes 1 1 à 14, dans lequel ledit élément optique (13) est une lentille.

[Revendication 16] Module lumineux (10) selon l’une quelconque des

revendications précédentes 1 1 à 15, dans lequel ledit module lumineux (10) comprend en outre un masque (20) configuré pour être disposé entre ledit élément optique (13) et ledit deuxième boîtier (15). ]

Description:
Description

Titre de l'invention :

Dispositif Lumineux pour véhicule automobile

[1 ] [La présente invention concerne un dispositif lumineux pour véhicule automobile.

Elle trouve une application particulière mais non limitative dans les projecteurs antibrouillard.

[2] Un dispositif lumineux tel qu’un antibrouillard, connu de l’homme du métier,

comprend un boîtier fermé par une glace de fermeture, un masque, au moins une source de lumière, un support de source de lumière, et une lentille. Le masque maintient la lentille en place. Le masque permet également de donner un effet de style au dispositif lumineux. Il dépend ainsi du type de véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux. Le boîtier comprend des pattes de fixation qui doivent être adaptées en fonction du type du véhicule automobile sur lequel le dispositif lumineux doit être monté. L’assemblage du dispositif lumineux se fait en montant dans le boîtier les pièces dans l’ordre suivant : le support de source de lumière avec ladite au moins une source de lumière, la lentille, le masque et enfin la glace de fermeture pour fermer le boîtier.

[3] Un inconvénient de cet état de la technique antérieur est que du fait du boîtier qui est spécifique au type de véhicule automobile sur lequel va être monté le dispositif lumineux, l’assemblage du dispositif lumineux nécessite un outillage spécifique (chaîne d’assemblage, machine), correspondant à une référence client donnée, pour monter le support de source de lumière, ladite au moins une source de lumière, la lentille, le masque et la glace de fermeture sur ledit boîtier. Ainsi, à chaque nouveau boîtier correspondant à une nouvelle référence client donnée, il faut changer d’outillage pour monter toutes les autres pièces du dispositif lumineux dans le boîtier. Ainsi, dès que l’assemblage des pièces du dispositif lumineux commence, un outillage spécifique doit être utilisé.

[4] Dans ce contexte, la présente invention vise à proposer un dispositif lumineux pour véhicule automobile qui permet de résoudre l’inconvénient mentionné. [5] A cette fin, l’invention propose un dispositif lumineux pour véhicule automobile, caractérisé en ce que ledit dispositif lumineux comprend :

a. un module lumineux comprenant :

i. au moins une source de lumière configurée pour émettre des rayons lumineux,

ii. un support de source de lumière,

iii. un élément optique configuré pour coopérer avec des rayons lumineux émis par ladite au moins une source de lumière,

iv. un premier boîtier dans lequel sont disposés ladite au moins une source de lumière, ledit support de source de lumière et ledit élément optique,

b. un deuxième boîtier qui coopère avec ledit premier boîtier,

c. une glace de fermeture dudit deuxième boîtier.

[6] Ainsi, comme on va le voir en détail par la suite, le fait d’avoir un premier boîtier et un deuxième boîtier, permet d’avoir un module lumineux intégré dans le dispositif lumineux qui peut être standard à tous les véhicules automobiles sur lesquels le dispositif lumineux est monté. Une chaîne d’assemblage standard est utilisée pour l’assemblage des pièces du module lumineux. Le deuxième boîtier et la glace quant à eux devront être adaptés au véhicule automobile sur lequel le dispositif lumineux est fixé.

[7] Selon des modes de réalisation non limitatifs, ledit dispositif lumineux peut

comporter en outre une ou plusieurs caractéristiques supplémentaires prises seules ou selon toutes les combinaisons techniquement possibles, parmi les suivantes :

[8] Selon un mode de réalisation non limitatif l’élément optique est distinct du

premier boîtier. Il est raccordé au boîtier, soit par une ou des fixations, soit par une ou des articulations.

[9] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit module lumineux comprend en outre une vis de réglage d’une orientation primaire dudit élément optique. [10] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit premier boîtier est configuré pour être assemblé avec ledit deuxième boîtier via un système à baïonnette.

[1 1 ] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit premier boîtier comprend une languette souple pour un verrouillage avec ledit deuxième boîtier.

[12] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit deuxième boîtier comprend une butée mécanique pour un verrouillage avec ledit premier boîtier.

[13] Selon un mode de réalisation non limitatif, ladite butée mécanique définit une orientation secondaire de l’élément optique.

[14] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit dispositif lumineux comprend en outre un joint entre ledit premier boîtier et ledit deuxième boîtier.

[15] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit module lumineux comprend en outre une platine de maintien pour maintenir ledit élément optique.

[16] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit élément optique est une

lentille.

[17] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit module lumineux comprend en outre un masque configuré pour être disposé entre ledit élément optique (13) et ledit deuxième boîtier.

[18] Il est également proposé un module lumineux d’un dispositif lumineux pour véhicule automobile comprenant :

a. au moins une source de lumière configurée pour émettre des rayons lumineux,

b. un support de source de lumière,

c. un élément optique configuré pour coopérer avec des rayons lumineux émis par ladite au moins une source de lumière,

d. un premier boîtier dans lequel sont disposés ladite au moins une source de lumière, ledit support de source de lumière et ledit élément optique, e. une vis de réglage d’une orientation primaire dudit élément optique.

[19] Selon des modes de réalisation non limitatifs, ledit module lumineux peut comporter en outre une ou plusieurs caractéristiques supplémentaires prises seules ou selon toutes les combinaisons techniquement possibles, parmi les suivantes :

[20] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit premier boîtier est configuré pour être assemblé avec un deuxième boîtier dudit dispositif lumineux via un système à baïonnette.

[21 ] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit premier boîtier comprend une languette souple pour un verrouillage avec ledit deuxième boîtier.

[22] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit module lumineux comprend en outre une platine de maintien pour maintenir ledit élément optique.

[23] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit élément optique est une

lentille.

[24] Selon un mode de réalisation non limitatif, ledit module lumineux comprend en outre un masque configuré pour être disposé entre ledit élément optique et ledit deuxième boîtier.

[25] L’invention et ses différentes applications seront mieux comprises à la lecture de la description qui suit et à l’examen des figures qui l’accompagnent :

[26] - la [Figure 1 ] représente une vue en perspective assemblée d’un dispositif lumineux, selon un mode de réalisation non limitatif de l’invention ;

[27] - la [Figure 2] est une vue en perspective éclatée du dispositif lumineux de la figure 1 , selon un mode de réalisation non limitatif, le dispositif lumineux comprenant un module lumineux avec au moins une source de lumière, un support de source de lumière, un élément optique, un premier boîtier, et un deuxième boîtier, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[28] - la [Figure 3a] représente une vue en perspective du support de source de lumière et ladite au moins une source lumineuse de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[29] - la [Figure 3b] représente le support de source de lumière et ladite au moins une source lumineuse de la figure 3a coopérant avec une carte à circuit imprimé, selon un mode de réalisation non limitatif ; [30] - la [Figure 4] représente une vue en perspective du premier boîtier de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[31 ] - la [Figure 5a] représente une vue en perspective du support de source

lumineuse, de ladite au moins une source lumineuse de la figure 3b assemblés dans le premier boîtier de la figure 4, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[32] - la [Figure 5b] représente une vue en perspective des éléments de la figure 5a et d’une carte à circuit imprimé, assemblés dans le premier boîtier de la figure 4, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[33] - la [Figure 6] représente une vue en perspective de l’élément optique et d’une vis de réglage dudit élément optique de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[34] - la [Figure 7] représente l’élément optique et la vis de réglage de la figure 6 assemblés avec les éléments de la figure 5b, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[35] - la [Figure 8] représente une vue en perspective d’une platine de maintien de l’élément optique de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[36] - la [Figure 9] représente une vue en perspective de la platine de maintien de la figure 8 assemblée avec les éléments de la figure 7, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[37] - la [Figure 10] représente les éléments de la figure 9, et un joint disposé sur le premier boîtier, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[38] - la [Figure 1 1 ] représente une vue perspective du deuxième boîtier de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[39] - la [Figure 12] représente les éléments de la figure 10 assemblés avec le deuxième boîtier de la figure 1 1 , selon un mode de réalisation non limitatif ;

[40] - la [Figure 13] représente une vue en perspective d’un masque, selon un mode de réalisation non limitatif ;

[41 ] - la [Figure 14] représente le masque de la figure 13 assemblé avec les

éléments de la figure 12, selon un mode de réalisation non limitatif ; et [42] - la [Figure 15] représente une vue de dessous de la glace de fermeture de la figure 2, selon un mode de réalisation non limitatif.

[43] Les éléments identiques, par structure ou par fonction, apparaissant sur différentes figures conservent, sauf précision contraire, les mêmes références.

[44] Le dispositif lumineux 1 pour véhicule automobile selon l’invention est décrit en référence aux figures 1 à 15. Par véhicule automobile, on entend tout type de véhicule motorisé. Dans un mode de réalisation non limitatif, le dispositif lumineux 1 est un projecteur antibrouillard avant ou arrière. Dans une variante de réalisation non limitative, le projecteur antibrouillard est séparé du projecteur du véhicule automobile qui réalise une fonction d’éclairage. Un projecteur antibrouillard génère un faisceau lumineux (non illustré) qui comprend une coupure.

[45] Tel qu’illustré sur la vue éclatée de la figure 2, le dispositif lumineux 1

comprend :

a. un module lumineux 10 comprenant :

i. au moins une source de lumière 1 1 configurée pour émettre des rayons lumineux (non illustrés),

ii. un support de source de lumière 12,

iii. un élément optique 13 configuré pour coopérer avec des rayons lumineux émis par ladite au moins une source de lumière 1 1 , iv. un premier boîtier 14 dans lequel sont disposés ladite au moins une source de lumière 1 1 , ledit support de source de lumière 12 et ledit élément optique 13,

b. un deuxième boîtier 15 qui coopère avec ledit premier boîtier, c. une glace de fermeture 16 dudit deuxième boîtier.

[46] Dans un mode de réalisation non limitatif, le module lumineux 10 comprend en outre un joint 17. Dans un mode de réalisation non limitatif, le module lumineux 10 comprend en outre une platine de maintien 18. Dans un mode de réalisation non limitatif, le module lumineux 10 comprend en outre une vis de réglage 19. Dans un mode de réalisation non limitatif, le dispositif lumineux 1 comprend en outre un masque 20. Ces différents éléments sont décrits en détail ci-après.

[47] Les éléments du module lumineux 10 décrits ci-après sont indépendants du type de véhicule automobile sur lequel le dispositif lumineux 1 est monté. Ils n’ont pas besoin d’être adaptés à un type particulier de véhicule automobile. Ils peuvent ainsi être utilisés de façon standardisée.

[48] Ladite au moins une source de lumière 1 1 est notamment illustrée sur les figures 3a et 3b. Dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une source de lumière 1 1 est une source de lumière à semi-conducteur. Dans un mode de réalisation non limitatif, la source de lumière à semi-conducteur fait partie d’une diode électroluminescente. Par diode électroluminescente, on entend tout type de diodes électroluminescentes, que ce soit dans des exemples non limitatifs des LED (« Light Emitting Diode »), des OLED (« organic LED »), des AMOLED (Active-Matrix-Organic LED), ou encore des FOLED (Flexible OLED).

[49] Ladite au moins une source de lumière 1 1 est configurée pour émettre des rayons lumineux qui coopèrent avec l’élément optique 13 décrit plus loin pour générer un faisceau lumineux. Ledit faisceau lumineux permet de réaliser la fonction optique de feu antibrouillard dans l’exemple non limitatif pris. Dans un mode de réalisation non limitatif, le module lumineux 10 comprend une unique source de lumière 1 1. Dans un autre mode de réalisation non limitatif, le module lumineux 10 comprend une pluralité de sources de lumière 1 1. Dans l’exemple non limitatif illustré sur les figures 3a et 3b, il comprend deux sources de lumière 1 1 .

[50] Dans un mode de réalisation non limitatif illustré sur la figure 3b, ladite au moins une source de lumière 1 1 est connectée à une carte à circuit imprimé 21 , autrement appelée carte PCBA et connue sous l’acronyme anglo-saxon « Printed Circuit Board Assembly ». Cette carte PCBA comprend des composants électroniques tels que dans un exemple non limitatif un dispositif de contrôle (non illustré) de ladite au moins une source de lumière 1 1 , autrement appelé « driver » en anglais. Dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une source de lumière 1 1 est connectée à la carte PCBA par un pontage 1 10 appelé en anglais « wire bonding ». Dans un mode de réalisation non limitatif, ladite au moins une source de lumière 1 1 est disposée sur le support de source de lumière 12 décrit ci-après. Dans un exemple non limitatif, elle est collée dessus.

[51 ] Le support de source de lumière 12 est notamment illustré sur les figures 3a et 3b. Dans un mode de réalisation non limitatif, le support de source de lumière 12 est un dissipateur thermique de chaleur, autrement appelé radiateur, qui permet d’évacuer la chaleur générée par ladite au moins une source de lumière

1 1. Dans un mode de réalisation non limitatif, le support de source de lumière 12 est en aluminium. C’est un matériau léger et qui dissipe bien la chaleur. Dans un mode de réalisation non limitatif, le support de source de lumière 12 comprend une base 120 et deux ailettes 121 disposées perpendiculairement à ladite base 120. Dans un mode de réalisation non limitatif illustré sur la figure 3b, la carte PCBA s’étend sur un plan parallèle à la base 120. Cet agencement simplifie la connexion par pontage avec les sources de lumière 1 1.

[52] L’élément optique 13 est notamment illustré sur les figures 6 et 7. Il est

disposé en regard de la source lumineuse 11 tel qu’illustré sur la figure 7.

L’élément optique 13 est configuré pour coopérer avec les rayons lumineux émis par ladite au moins une source de lumière 1 1 de sorte à générer un faisceau lumineux. Dans un mode de réalisation non limitatif, l’élément optique 13 est une lentille. Dans un mode de réalisation non limitatif, l’élément optique 13 est maintenu en position par la platine de maintien 18. A cet effet, tel qu’illustré sur la figure 6, dans un mode de réalisation non limitatif, l’élément optique 13 comprend deux pattes 130 avec chacune un contre-appui pivot 131 configuré pour coopérer chacun avec un palier 180 de la platine de maintien 18 décrite plus loin. Cela permet une rotation de l’élément optique 13 autour d’un axe Y.

[53] Dans un mode de réalisation non limitatif, une orientation primaire de

l’élément optique 13 est définie au moyen de la vis de réglage 19. L’orientation primaire se fait selon un axe Z autour d’un axe Y. A cet effet, dans un mode de réalisation non limitatif, une des pattes 130 de l’élément optique 13 comprend une partie crantée 132 pour coopérer avec la vis de réglage 19. Par ailleurs, dans un mode de réalisation non limitatif, cette patte 130 est plus longue que l’autre patte 130 de façon à permettre la coopération avec la vis de réglage 19 décrite plus loin. L’élément optique 13 pivote grâce à ses contre-appuis pivots 131 autour de l’axe Y définit par les paliers 180 de la platine de maintien 18.

Ainsi, l’élément optique 13 peut être mis en rotation via la vis de réglage 19 décrite plus loin tandis que ladite au moins une source lumineuse 1 1 reste fixe.

La coupure du faisceau lumineux que l’élément optique 13 génère peut être ainsi réglée plus ou moins au dessus de l’horizon défini par l’axe Y.

[54] Le premier boîtier 14 est notamment illustré sur la figure 4. Il est autrement appelé capot arrière ou boîtier arrière. Dans un mode de réalisation non limitatif l’élément optique 13 est raccordé au premier boîtier 14 par une ou des

articulations. Dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 comprend deux pivots 140 sur lesquels l’élément optique 13 peut reposer et autour desquels il peut tourner. Les deux pivots 140 définissent un axe de rotation de l’élément optique 13, qui est l’axe Y. Dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 comprend en outre une partie d’insertion 148 pour la vis de réglage 19. Grâce à la vis de réglage 19 décrite plus loin et aux deux pivots 140, on peut mettre en rotation l’élément optique 13 selon l’axe Z autour de l’axe Y de sorte à orienter le faisceau lumineux qu’il génère. Ainsi, cela permet un réglage angulaire du positionnement de la coupure du faisceau lumineux généré par l’élément optique 13 en hauteur, autrement dit à la verticale par rapport à l’axe Y.

[55] Selon un mode de réalisation alternatif non représenté, l’élément optique 13 est fixé au premier boîtier 14, c’est-à-dire raccordé audit premier boîtier 14 par une ou des fixations.

[56] Dans des modes de réalisation non limitatifs, le premier boîtier 14

comprend en outre :

a. un logement 141 dans lequel la base 120 du support de source de lumière 12 peut se loger,

b. une collerette d’appui 142 sur laquelle un joint 17 décrit plus loin peut être positionné,

c. une paroi 143 qui s’étend perpendiculairement à la collerette d’appui 142 et configurée pour entourer la platine de maintien 18, d. quatre orifices de fixation 144 dans lesquels des ergots de fixation 181 de la platine de maintien 18 peuvent être insérés. Les orifices de fixation 144 sont agencés dans la paroi 143.

[57] Dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 est configuré pour être assemblé avec ledit deuxième boîtier 15 via un système à baïonnette. Le système à baïonnette peut être standardisé de sorte que l’assemblage entre le premier boîtier 14 et le deuxième boîtier 15 peut être standardisé. A cet effet, dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 comprend au moins trois ergots 145 configurés pour coopérer chacun avec une encoche 155 du deuxième boîtier 15 décrit plus loin. Cela permet un assemblage par baïonnette. L’utilisation de trois ergots 145 permet de définir un plan, ce qui permet de donner une référence d’horizontalité pour l’élément optique 13. Dans l’exemple non limitatif illustré, le premier boîtier 14 comprend quatre ergots 145 agencés sur la paroi 143 et chacun adjacent à un orifice de fixation 144. Les ergots 145 sont configurés pour s’insérer dans les encoches 155, et pour dépasser l’épaisseur de matière de la collerette 153 du deuxième boîtier 15. Après la rotation du premier boîtier 14, les ergots 145 vont reposer sur la collerette 153 du deuxième boîtier 15.

[58] Dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 comprend en outre une languette souple 146 pour un verrouillage avec le deuxième boîtier 15. Dans un mode de réalisation non limitatif, la languette souple 146 est une pièce venue de matière. Dans autre un mode de réalisation non limitatif, la languette souple 146 est une pièce surmoulée. La languette souple 146 forme un système anti-retour. Elle sert ainsi d’anti-rotation au premier boîtier 14. La languette souple 146 est en effet configurée pour :

a. s’insérer dans une encoche 1560 (illustrée sur la figure 1 1 ) d’une butée mécanique 156 du deuxième boîtier 15. Lors de l’insertion, elle est armée ; b. après la rotation du premier boîtier 14, se relâcher et buter contre la butée mécanique 156 (illustrée sur la figure 1 1 ) du deuxième boîtier 15 de sorte à verrouiller le premier boîtier 14 avec le deuxième boîtier 15. [59] Ainsi, grâce à la languette souple 146 et la butée mécanique 156, le module lumineux 10 ne tourne pas sur lui-même lorsque le dispositif lumineux 1 est en fonctionnement.

[60] Dans un mode de réalisation non limitatif, le premier boîtier 14 comprend en outre une partie connecteur 147 configurée pour recevoir un connecteur du véhicule automobile pour alimenter la carte PCBA et ladite au moins une source de lumière 1 1.

[61 ] Le premier boîtier 14 peut être utilisé pour tout type de véhicule automobile.

C’est un élément standard du dispositif lumineux 1 , qui intègre les autres éléments standards 1 1 , 12, et 21 tel qu’illustré sur la figure 5b, et 13, 17, 18, 19 tel qu’illustré sur les figures 9 et 10.

[62] Le joint 17 est notamment illustré notamment sur la figure 10. Il est disposé entre le premier boîtier 14 et le deuxième boîtier 15. Le premier boîtier 14 et le deuxième boîtier 15 sont reliés par ledit joint 17. Dans un mode de réalisation non limitatif, il est configuré pour reposer sur la collerette d’appui 142 du premier boîtier 14. Dans un mode de réalisation non limitatif, le joint 17 est un joint torique. Il permet d’avoir une bonne étanchéité entre le premier boîtier 14 et le deuxième boîtier 15. Dans un exemple non limitatif, le joint 17 est collé sur le premier boîtier 14, notamment sur sa collerette d’appui 142. Dans un autre exemple non limitatif, le joint 17 peut être injecté.

[63] La platine de maintien 18 est notamment illustrée sur les figures 8 à 10. Elle est appelée « bracket » en anglais. Dans un mode de réalisation non limitatif, c’est un anneau torique. Dans un mode de réalisation non limitatif, la platine de maintien 18 comprend deux paliers 180 configurés pour coopérer chacun avec un contre-appui pivot 131 de l’élément optique 13. La platine de maintien 18 maintient ainsi l’élément optique 13 sur l’axe de rotation dudit élément optique 13, à savoir l’axe Y. Dans un mode de réalisation non limitatif, la platine de maintien 18 comprend en outre des ergots de fixation 181. Dans un exemple non limitatif, il comprend deux ergots de fixation 181 de chaque côté des paliers 180, à savoir quatre au total. Ces ergots de fixation 181 sont configurés pour coopérer avec les orifices de fixation 144 du premier boîtier 14. Ainsi, la platine de maintien 18 est fixée au premier boîtier 14 grâce à ces quatre ergots 181. On notera que la platine de maintien 18 est indépendante du masque 20 décrit plus loin, à savoir elle est séparée du masque 20.

[64] La vis de réglage 19 est notamment illustrée sur la figure 6. La vis de réglage 19 est une vis sans fin. Elle comprend :

a. une tête 190 permettant de régler manuellement l’orientation primaire de l’élément optique 13 en tournant ladite tête 190,

b. une tige filetée 191 configurée pour coopérer avec la partie crantée 132 de la patte 130 de l’élément optique 13 de sorte à mettre l’élément optique 13 en mouvement lorsque la tête 190 tourne.

[65] L’orientation primaire est définie selon l’axe Z et autour de l’axe Y. Un

mouvement de rotation autour de l’axe Y peut ainsi être appliqué à l’élément optique 13. La vis de réglage 19 est disposée perpendiculairement à la patte 130 comprenant la partie crantée 132 de l’élément optique 13. La vis de réglage 19 est configurée pour s’insérer dans la partie d’insertion 148 du premier boîtier 14. Elle fait ainsi partie du module lumineux 10. Elle peut être utilisée pour tout type de véhicule automobile. Son agencement ne dépend pas du type de véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1.

[66] Le deuxième boîtier 15 est notamment illustré sur les figures 11 et 12. Il est autrement appelé capot avant ou boîtier avant. C’est un boîtier ouvert. Le deuxième boîtier 15 est configuré pour être en liaison avec le premier boîtier 14 via le joint 17. Ainsi, tel qu’illustré sur la figure 12, sa collerette 153 va reposer sur la collerette 142 du premier boîtier 14 via le joint 17 lorsque le premier boîtier 14 est assemblé avec le deuxième boîtier 15. Dans des modes de réalisation non limitatifs, le deuxième boîtier 15 comprend :

a. une paroi 150,

b. une collerette 153 perpendiculaire à la paroi 150,

c. une ouverture 154 à travers laquelle le premier boîtier 14 peut passer. L’ouverture 154 est entourée par la collerette 153. Dans un mode de réalisation non limitatif, la paroi 150 est de hauteur variable.

[67] Le deuxième boîtier 15 dépend du type de véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1. Dans un mode de réalisation non limitatif, le deuxième boîtier 15 comprend au moins un point de fixation 151 sur le véhicule automobile. Ces points de fixation 151 dépendent des moyens de fixation correspondants du boîtier du véhicule automobile. Le deuxième boîtier 15 est donc référencé par rapport au type de véhicule automobile sur lequel il doit être monté. Dans un exemple non limitatif illustré sur la figure 1 1 , le deuxième boîtier 15 comprend deux points de fixation 151. Dans un mode de réalisation non limitatif, ils s’étendent de part et d’autre de la paroi 150 et perpendiculairement à ladite paroi 150. Dans un mode de réalisation non limitatif illustré, ils

comprennent un orifice 151 a pour l’insertion d’une vis de fixation (non illustrée). On notera que la paroi 140 du premier boîtier 14 vient s’emboîter dans la collerette 153 du deuxième boîtier 15 tel qu’illustré sur la figure 12.

[68] Dans un mode de réalisation non limitatif illustré sur la figure 1 1 , le deuxième boîtier 15 comprend au moins une glissière 152 pour maintenir le masque 20 en position. Dans un exemple non limitatif illustré sur la figure 1 1 , le deuxième boîtier 15 comprend deux glissières 152. Elles prennent naissance sur la collerette 153 et sont perpendiculaires à ladite collerette 153. Par ailleurs, elles prennent appui le long de la paroi 150. Ces glissières 152 sont configurées pour recevoir des pattes 202 du masque 20.

[69] Dans un mode de réalisation non limitatif, le deuxième boîtier 15

comprend au moins trois encoches 155 configurées pour coopérer chacune avec un ergot 145 du premier boîtier 14. Cela permet un assemblage par baïonnette. Dans l’exemple non limitatif illustré, il comprend quatre encoches 155 agencées sur la collerette 153. Dans un mode de réalisation non limitatif, les encoches 155 comprennent une partie en biseau 1550 qui permet

d’accompagner le mouvement des ergots 145 du premier boîtier 14 lors de la rotation dudit premier boîtier 14.

[70] Dans un mode de réalisation non limitatif, le deuxième boîtier 15 comprend en outre une butée mécanique 156 configurée pour retenir la languette souple 146 du premier boîtier 14 pour un verrouillage avec le premier boîtier 14. La butée mécanique 156 comprend une encoche 1560 dans laquelle la languette souple 146 peut s’insérer en même temps que les ergots 145 qui s’insèrent dans les encoches 155. Tel qu’illustré sur la figure 12, cette butée mécanique 156 est bloquée entre un ergot 145 du premier boîtier 14 et la languette souple 146 après la rotation du premier boîtier 14 ce qui empêche une rotation en sens inverse du premier boîtier 14 et par conséquent un déverrouillage du premier boîtier 14 par rapport au deuxième boîtier 15. La butée mécanique 156 est dimensionnée de sorte à avoir une rotation précise du premier boîtier 14 par rapport au deuxième boîtier 15. La butée mécanique 156 définit une orientation secondaire de l’élément optique 13 autour de l’axe X. Cela permet un réglage angulaire du positionnement de l’élément optique 13 par rapport à l’axe X de sorte que la coupure du faisceau lumineux qu’il génère soit horizontale par rapport à l’axe X. La butée mécanique 156 donne ainsi une référence d’horizontalité par rapport à l’axe X pour la coupure du faisceau lumineux.

[71 ] Le masque 20 est notamment illustré sur les figures 13 et 14. Le masque 20 est disposé entre l’élément optique 13 et le deuxième boîtier 15. Ainsi, il est disposé sur une pièce distincte de celle (le premier boîtier 14) sur laquelle est disposée la platine de maintien 18. Il comprend une paroi 200 de hauteur variable pour s’adapter à la paroi de hauteur variable du deuxième boîtier 15. Il est configuré pour s’insérer dans la paroi 150 du deuxième boîtier 15 tel qu’illustré sur la figure 14. Dans un mode de réalisation non limitatif, il comprend au moins une patte 202 configurée pour s’insérer dans une glissière 152 du deuxième boîtier 15. Dans une variante de réalisation non limitative illustrée, il comprend deux pattes 202. Elles sont disposées de façon opposée l’une de l’autre. L’une des pattes 202 est plus longue que l’autre. Dans un mode de réalisation non limitatif, le masque 20 comprend en outre un orifice 203 configuré pour recevoir un point de positionnement 160 de la glace de fermeture 16. On notera que le masque 20 ne maintient pas l’élément optique 13, mais c’est la platine de maintien 18 qui le fait. Il n’y aucun contact entre le masque 20 et l’élément optique 13. Le masque 20 est un habillage esthétique du dispositif lumineux 1. Il permet de donner un effet de style au dispositif lumineux 1. Dans des exemples non limitatifs, il peut avoir un aspect grainé, noir aluminium etc. Ainsi, les caractéristiques du masque 20 dépendent du type de véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1.

[72] La glace de fermeture 16 est notamment illustrée sur les figures 1 et 15. La glace de fermeture 16 est configurée pour fermer le deuxième boîtier 15. Tel qu’illustré sur la figure 15, elle comprend un point de positionnement 160 pour positionner la glace de fermeture 16 dans le masque 20 et dans le deuxième boîtier 15. Ce point de positionnement 160 est configuré pour s’insérer dans l’orifice 203 du masque 20 prévu à cet effet. La glace de fermeture 16 comprend en outre un bord 161 qui entre en contact avec le joint 17 lorsqu’elle est positionnée sur le deuxième boîtier 15. On assure ainsi une étanchéité par contact joint. La glace de fermeture 16 avec le joint 17 permet d’assurer l’étanchéité du dispositif lumineux 1. La glace de fermeture 16 est visible de l’extérieur. Par conséquent, elle dépend du type du véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1. La glace de fermeture 16 est

positionnée de façon inclinée pour s’adapter à la hauteur variable de la paroi 150 du deuxième boîtier 15. Elle est ainsi fonction du type du véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1. On notera que le diamètre du deuxième boîtier 15, du masque 20 et de la glace de fermeture 16 sont fonction du type de véhicule automobile sur lequel est monté le dispositif lumineux 1.

[73] Dans un mode de réalisation non limitatif, l’assemblage du dispositif lumineux 1 se fait comme suit. Après sa fabrication, dans une première étape, le support de lumière 12 est surmoulé ou assemblé dans le premier boîtier 14 tel qu’illustré sur la figure 5a. Dans une deuxième étape, la source de lumière 1 1 est disposée sur le support de lumière 12, tel qu’illustré sur la figure 5a également. Dans une troisième étape, la carte PCBA est montée dans le premier boîtier 14 et elle est connectée à la source de lumière 1 1 par pontage, tel qu’illustré sur la figure 5b. Dans une quatrième étape, la vis de réglage 19 est insérée dans la partie d’insertion 148 du premier boîtier 14 prévue à cet effet, tel qu’illustré sur la figure 7. Dans une cinquième étape, l’élément optique 13 est monté dans le premier boîtier 14 et disposé en regard de la source de lumière 1 1 , tel qu’illustré sur la figure 7 également. Dans une sixième étape, la platine de maintien 18 est positionnée sur l’élément optique 13 de sorte à le maintenir en position, tel qu’illustré sur la figure 9. Dans une septième étape, le joint 17 est positionné sur la collerette 142 du premier boîtier 14, tel qu’illustré sur la figure 10.

[74] Le module lumineux 10 est ainsi monté. L’ensemble des pièces du module lumineux 10 ont ainsi été pré-assemblées ensemble avant le montage :

a. du module lumineux 10 dans le deuxième boîtier 15, b. du masque 20 dans le deuxième boîtier 15, et

c. de la glace de fermeture 16 pour fermer le deuxième boîtier 15.

[75] Ce module lumineux 10 peut être utilisé pour tout type de véhicule

automobile. C’est un produit standard. La chaîne d’assemblage utilisée pour l’assemblage du module lumineux 10 peut ainsi être une chaîne standardisée. Dans une huitième étape, le module lumineux 10 est positionné dans le deuxième boîtier 15, tel qu’illustré sur la figure 12. Dans une neuvième étape, le module lumineux 10 est maintenu en position grâce au système à baïonnette qui verrouille le premier boîtier 14 avec le deuxième boîtier 15. Le verrouillage par baïonnette étant standardisé comme décrit précédemment, le montage du module lumineux 10 sur le deuxième boîtier 15 via le premier boîtier 14 peut ainsi être standardisé. Dans une dixième étape, le masque 20 est positionné dans le deuxième boîtier 15 au dessus du module lumineux 10, tel qu’illustré sur la figure 14. Enfin, dans une onzième étape, la glace de fermeture 16 est positionnée sur le masque 20 pour fermer le deuxième boîtier 15, tel qu’illustré sur la figure 1. Le masque 20 est pris en sandwich entre la glace de fermeture 16 et le deuxième boîtier 15. Il n’y a aucun contact mécanique entre le masque 20 et le premier boîtier 14.

[76] Le dispositif lumineux 10 est ainsi assemblé et peut être monté sur le véhicule automobile via les pattes de fixation 151 du deuxième boîtier 15. Une chaîne d’assemblage spécifique est ainsi utilisée uniquement pour les étapes dix et onze, et dépend des références du deuxième boîtier 15, à savoir des pattes de fixation 151 qui sont modifiables en fonction du boîtier (non illustré) du véhicule automobile, autrement appelé boîtier client, sur lequel est monté le dispositif lumineux 1.

[77] Bien entendu la description de l’invention n’est pas limitée à l’application et aux modes de réalisation décrits ci-dessus. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif, le dispositif lumineux 1 est un projecteur avant configuré pour réaliser une fonction d’éclairage. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif, le dispositif lumineux 1 est un feu de signalisation pour réaliser une fonction de signalisation. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif, le masque 20 peut être clipsé avec le deuxième boîtier 15, collé au deuxième boîtier 15. Ainsi, dans un autre mode de réalisation non limitatif, la source de lumière 1 1 est montée directement sur la carte PCBA. Dans ce cas, il n’y a pas de deuxième étape telle que décrite lors de l’assemblage du dispositif lumineux 1 .

[78] Ainsi, l’invention décrite présente notamment les avantages suivants :

a. en remplaçant un seul boîtier de l’état de la technique antérieur par deux boîtiers 14 et 15, elle permet d’avoir un module lumineux 10 standard qui peut être utilisé pour plusieurs types de véhicule automobile,

b. elle permet de remplacer :

i. un assemblage spécifique de toutes les pièces (source de lumière, support de source de lumière, lentille, masque, glace de fermeture) d’un dispositif lumineux dans un boîtier spécifique de l’état de la technique antérieur, et

ii. un montage spécifique du boîtier spécifique sur un véhicule automobile d’un type donné, par :

iii. un assemblage standard de plusieurs pièces (source de lumière

1 1 , support de source de lumière 12, joint 17, platine de maintien 18, vis de réglage 19, carte PCBA) du dispositif lumineux 1 sur un boîtier standard (le premier boîtier 14), et

iv. un assemblage spécifique uniquement de deux pièces (masque 20, glace de fermeture 16) et un montage spécifique d’un boîtier spécifique (le deuxième boîtier 15) sur un véhicule automobile d’un type donné,

c. elle permet de réduire le nombre de pièces du dispositif lumineux qui sont spécifiques à un type de véhicule automobile et donc de :

i. réduire le nombre de références d’assemblage,

ii. de réduire le nombre de chaînes d’assemblage spécifiques en minimisant les opérations spécifiques d’assemblage, iii. d’optimiser la logistique au niveau industriel en réduisant le nombre d’opérations liées à un produit spécifique, iv. de réduire le temps d’assemblage,

v. de réduire les coûts au niveau industriel,

d. elle permet d’intégrer le réglage de la coupure du faisceau lumineux généré par l’élément optique 13 dans le module lumineux 10.