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Patent Searching and Data


Title:
METHOD AND DEVICE FOR SHAPING AND LOCKING SHELLS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2014/072591
Kind Code:
A1
Abstract:
Technical device for shaping. Characterized in that said machine shapes shells simply by means of a positive or negative thrust driving into what is referred to as a funnel a precut and pre-scored sheet. The pushing or pulling energy forces the sheet to deform and then to adopt the desired shape. The widening, situated at the top of said funnel, allows the sheet to be positioned and then guided into the restriction opening. The deformations are oriented by fixed supports situated on the path of said funnel. As it gradually passes through the restriction, the shell takes shape with its sides being folded down vertically and its four corners being folded towards its inner centre. Closure with the locking key by guided pressure.

Inventors:
LE MONNIER JACQUES (FR)
Application Number:
PCT/FR2013/000282
Publication Date:
May 15, 2014
Filing Date:
October 29, 2013
Export Citation:
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Assignee:
IP3 GROUP (FR)
International Classes:
B31F5/00; B31D5/00; B65D19/00
Foreign References:
FR2958630A12011-10-14
EP0209480A11987-01-21
IB2011000808W2011-04-12
Attorney, Agent or Firm:
SCHMITT, JOHN (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS 1 - Méthode de fabrication d'un dit plot (14) constitué d'une coque (9b) réalisée à partir d'un élément plat (9a) caractérisée en ce qu'elle comporte les étapes suivantes :

L'étape une (2) étant l'application d'une force différentielle verticale (16a) entre le centre (12) et les bords (8) de la plaque (9a) pour former une coque (9b) (9d), au moyen d'un outillage de formage muni d'au moins un élément de pression (16a) ou de traction (16b), d'au moins un outil d'appui ou de prise (22) et d'au moins d'un élément de mise en forme (5) de type angulaire et d'au moins d'un élément de mise en forme de type glissière (11).

Méthode caractérisée en ce que le formage de la coque (9b) se fait par le moyen de pliages sur des lignes de rainurages de mise en forme (6a) (6b), méthode dotée d'au moins un mouvement de pression ou de traction, permettant le rabattement des côtés (8) vers le centre (12) de la coque (9d) s'effectuant donc par des pliages sur des lignes droites de rainurages (6a) (6b) et par le rabattage des angles (7) vers l'intérieur du centre (12), relevant les côtés (8) par contraintes mécaniques et en plaçant vers l'intérieur les angles (7) par contraintes mécaniques en passant progressivement dans le dit entonnoir (27) permettant de former structurellement la coque (9d). Coque (9a) constituée d'un quelconque matériau doté d'effets mémoire et pouvant se remettre partiellement à plat ou partiellement à sa forme initiale, une fois les contraintes de pression ou de maintien annulées.

La deuxième étape (4) étant l'insertion d'une clé de verrouillage (15b) dans la coque (9d), coque passant sous la dite cheminée (16), au moyen d'une force différentielle verticale (20) entre le centre (18) et les rabats (17) pour bloquer et former le dit plot (14). La clé de verrouillage venant se glisser dans le volume intérieur en forme de coque (9d) de type cubique, celle-ci n'étant non limitative en formes et en dimensions, la clé de verrouillage (15b) par le moyen d'une prise d'élan en descendant dans la cheminée (16), par le moyen d'un élément de pression constant et appuyant sur le centre (18) de la clé de verrouillage pour réaliser l'insertion de ses rabats (17) à l'intérieur de la coque, les rabats (17) étant pliés à partir des rainurages sous forme de lignes droites et délimitant le centre (18). Blocage du volume par le moyen de la clé de verrouillage (15b) pouvant se faire sans agrafe, sans collage, sans adhésif, empêchant le dépliage et formant le plot (14). Traduit en ce que le blocage les angles (7) de type triangles, non limitatifs en formes et en dimensions, rabattus à partir des rainurages et bloqués dans la forme cubique, par le moyen de l'emboîtage des rabats (17) pinçant entre eux, les soufflets ou les angles (7), maintenant ainsi à la verticale les cotés (8) du dit plot.

Méthode caractérisée en ce que le formage de la clé de verrouillage se fait par pliage et par mise en place des rabats (17) permettant de former structurellement la clé de verrouillage (15b) allant se glisser à l'intérieur la dite cheminée (16) permettant de maintenir à la verticale les rabats (17) pliés à partir des rainurages sous forme de lignes droites et délimitant le centre (18) contre les parois de la cheminée et allant s'insérer par un moyen de pression (20) à l'intérieur la coque pour former le plot (14). Les côtés (17) descendant dans la cheminée avant le centre (18). Les rabats (17) restant naturellement plaqués contre les parois de la cheminée, la clé de verrouillage étant un quelconque matériau doté d'effets mémoire se remettant partiellement à plat sans contrainte de pression ou de maintien.

2 - Méthode selon l'une des quelconques revendications à partir de la revendication 1 caractérisée en ce qu'elle comporte entre les étapes un et deux, une étape de convoyage (3) pendant laquelle la coque (9c) (9d) est maintenue dans une position dite verticale par au moins deux rebords adaptés sur le convoyeur afin que la coque ne reprenne pas sa forme initiale (9a) et pendant le temps du convoyage. La coque étant un quelconque matériau disposant d'effets mémoires se remettant partiellement à plat une fois les contraintes de pression opposées ou de maintien annulées. La longueur du convoyeur étant suffisante pour pouvoir être dotée d'éléments permettant d'orienter la coque et de maintenir suffisamment les bords (8) à la verticale, caractérisé en ce que le convoyeur permet de faire descendre dans la coque (9d) la dé de verrouillage (15b) à l'intérieur de celle-ci (9d) à l'aide d'un quelconque dispositif appelé cheminée (4).

3 - Méthode selon l'une des quelconques revendications à partir de la revendication 1 caractérisée en ce qu'elle comporte entre l'étape un et l'étape deux, l'insertion d'un croisillon de renfort (19a), (19b) ou d'un quelconque autre élément de renfort dans la coque (9c), sur le convoyeur (3), ainsi que l'insertion optionnelle d'un moyen de collage permettant de projeter de la colle à l'intérieur de la coque (9c), contre ses parois internes (8) et ou sur son fond (12). Accessoirement les bords extérieurs (8) de la coque (9d) peuvent être imprimés durant le temps du convoyage. Caractérisé en ce que pendant le convoyage, des éléments accessoires complémentaires peuvent y être ajoutés.

4 - Dispositif de fabrication d'un plot constitué d'une coque (9d) réalisée à partir d'un élément plat (9a) et d'une clé de verrouillage (15a), étant pré découpés et/ou pré rainurées, caractérisé en ce qu'il comporte un premier outillage (2) muni d'au moins un élément de pression (16a) ou de traction (16b) prenant appuis sur un quelconque outil (22) et d'au moins un élément de mise en forme de type angles (5) et/ou de glissières, de rebords courbés (1 ) pour appliquer une force verticale différentielle entre le centre (12) et les angles (7) et les bords (8) de la plaque (9a) et engendrer le repliage des bords (8) à partir des rainurages (6b) de la plaque (9a) (9b) par rapport au centre (12) de cette même plaque et afin de replier vers l'intérieur les angles (7) à partir des rainurages (6a) aidant à relever verticalement les bords (8) de la plaque, les angles et les bords étant solidaires, et ainsi former progressivement la forme cubique (9d) et tout au long de la descente de cette même plaque en formation dans le dit entonnoir pour devenir au final une coque (9d), prête à recevoir la clé de verrouillage ainsi que des accessoires puis, un second outillage (4) permettant l'insertion d'une clé de verrouillage (15b) par au moins un moyen de pression verticale (20) dans la dite coque (9c) afin de fermer le volume de la coque par emboîtement et de créer le dit plot (14). Dispositif de fabrication remarquable, pouvant utiliser ni colle, ni adhésif, ni agrafe ou de quelconques accessoires optionnels supplémentaires formant ainsi le dit plot. Dispositif de mise en forme volumique par emboîtage des rabats (17), repliés à partir dés rainurages délimitant le centre ( 8), rabats passant dans la cheminée avant le centre ( 8) de la clé de verrouillage ( 5b) et ceux-ci entrant en premier dans la coque (9d), une fois les angles (5) rabattus vers l'intérieur et les bords (8) relevés par des dispositifs de pressions ou de contraintes.

5 - Dispositif de fabrication selon l'une quelconque des revendications précédentes à partir de la revendication 4, caractérisé en ce que l'élément de mise en forme (2) possède un fond creux ajouré (27) et fonctionne comme un principe d'entonnoir assisté mécaniquement (5), (11), (27), afin que la coque (9d), une fois la plaque (9a) passé à travers l'élément de mise en forme (2), sort de l'élément de mis en forme par le fond ajouré (27) pour former la dite coque (9d), caractérisé en ce que l'au moins un élément de pression (16a), (16b), applique une poussée ou une traction au centre de la plaque, par l'intermédiaire d'un quelconque outil (22), l'au moins un élément de mise en forme des angles (5) ou l'au moins un élément de glissière ou de rebord (11), caractérisé aussi en ce que l'élément mobile entre l'au moins un élément de mise en forme (5), (11), (27) et l'au moins un élément de pression ou de traction prenant appui ou s'arrimant sur le centre (12) par l'intermédiaire d'un quelconque dispositif (22) est mobile vers le bas et/ou vers le haut (16a) ou (16b). Dispositif caractérisé en forme d'entonnoir angulaires en ce que l'élément de mise en forme (2) comporte des angles aigus (5) arrondis exerçant une contrainte sur des rainurages (6a) pour la circulation de la plaque afin de ramener les angles (7) vers le centre de la dite coque (9d) et vers le centre de l'entonnoir (27), comporte aussi des rebords, des glissières (11) exerçant une contrainte opposée à la descente de la plaque pour ramener les bords (8) en pliant les rainurages (6b) vers le centre de la dite coque (9d), les angles aigus (5) et les rebords (11) s'orientant et faisant, glisser la coque (9d) vers le centre et le fond de l'entonnoir (27) puis pouvant positionner la coque (9d) sur un quelconque convoyeur intermédiaire (3).

6 - Dispositif de fabrication selon l'une quelconque des revendications précédentes à partir de la revendication 4, caractérisé en ce que l'élément de mise en forme (2) comporte un dit entonnoir angulaires muni d'un moyen de pression verticale électromécanique (16a) et ou d'un moyen de traction verticale électromécanique (16b) pour pousser ou tirer progressivement la plaque en formation et en direction du centre de l'entonnoir. Dispositif toujours muni d'angles aigus (5) arrondis exerçant une contrainte opposée, mais pouvant être équipés d'une assistance de quelconques vérins électromécaniques (25) de poussées impulsives ou constantes du type pneumatique, électrique ou tout autre moyen s'y accommodant sur certains des rainurages (6a) de la plaque (9a), remplaçant ou complétant donc les angles statiques (5), dispositif pouvant être muni aussi d'assistance de quelconques glissières ou rebords équipés de roulettes entraîneuses mécaniques ou électriques (24), entraînant vers le fond (27) de l'entonnoir, complété de moyens supplémentaires de moyens de poussées électromécaniques impulsives ou constantes du type pneumatique, électrique ou tout autre moyen s'y accommodant exerçant des contraintes opposées et de rabattages sur les bords extérieurs (8) de la plaque (9a), remplaçant ou complétant les glissières statiques ( ), afin d'accélérer la formation de la plaque (9a) en coque. Dispositif de mise en forme (2) pouvant fonctionner indépendamment du convoyeur (3) et du verrouillage (4).

Description:
MÉTHODE ET DISPOSITIF DE MISE EN FORME ET DE VERROUILLAGE DE COQUE

SECTEUR TECHNIQUE

La présente invention concerne le secteur technique des procédés de machines dans le but de former et assembler des plots. Particulièrement pour former les systèmes de plots, selon le brevet FR 1002482, déposé le 26.11.2010 avec un dépôt PCT/1B2011 /000808. Mais non limitatif à celui-ci. Brevet FR 1002482, concernant des dispositifs de type support de charge en matériau de type carton, résistant à des forces de pressions.

C'est-à-dire l'invention porte sur une solution technique de méthodologies et d'outillages, limitant l'intervention humaine « par des actions manuelles très répétitives ». L'invention concerne donc une machine remarquable, évolutive dans le temps, avec les moyens matériaux et technologiques disponibles. A partir de plaques en carton ou tout autre matériau si prêtant, l'invention appliquée sur une quelconque machine adaptée à cet effet, permet de mettre progressivement en forme des modèles de plots. Soit principalement une coque et une clé de verrouillage, selon le brevet antérieur nommé ci-dessus.

ART ANTERIEUR

On connaît des dispositifs de machines industrielles permettant de plier du carton ou tout autre matériau similaire, afin de construire des boites, des caisses américaines, afin de réaliser des objets quelconques par le moyen de système de pliage, de découpe, de collage, d'agrafage. En effet, sur des convoyeurs, des rainurages, des découpes sont réalisés puis des systèmes de pousseurs viennent mettre en forme les cartons. Puis des systèmes de collage, d'agrafage viennent consolidées les ensembles pour en faire des volumes comme des boites dotés de jonction de collage par exemple.

Ces systèmes de machines permettent donc de mettre en forme un nombre important d'objets en carton ou tout autre matériau pouvant s'y prêter. Les dessins « Fefco » sont principalement les volumes possibles à mettre en forme à partir de ces machines déjà existantes, étant très nombreuses sur le marché. Il est évident de fabriquée des machines pour des produits vendus sur le marché. Mais l'un des inconvénients majeurs de ces machines est qu'elles ne sont pas adaptées pour mettre en forme et construire des plots en carton, selon le brevet FR 1002482. En effet, ce système de plots est tout nouveau et remarquable sur le marché Industriel. Il est donc évident que personne n'a encore inventé une telle machine puisque les marchés n'existaient auparavant. Certes, ces machines pourraient réaliser par exemple de toutes petites boites pour former des sortes de plots. Mais ceux-ci n'aurait pas les performances, comme l'étanchéité, ni la ressemblance des plots nommés dans le brevet FR 1002482, la coque étant mono pièce, montée sans colle, sans agrafe, sans adhésifs ou de quelconques accessoires. Ce que prétendent justement les machines existantes.

Par expérience l'homme métier ne connaît donc pas suffisamment le système des plots selon le brevet FR 1002482. En effet, il n'est pas possible de fabriquer les plots, selon le brevet FR 1002482, en utilisant les machines existantes et disponibles sur le marché. Autrement, l'invention n'aura pas lieu d'être.

Par exemple, ces machines déjà existantes pourraient fabriquer les petites caisses américaines mais, celles-ci ne seraient pas étanches au niveau du fond. La patte de jonction serait jointée avec des colles à chaud. Les découpes, les ouvertures, les fentes, empêcheraient aussi une étanchéité mécanique parfaite. Il faudrait aussi des adhésifs pour fermer le fond. Rapidement, on constate, les possibilités très limitées, voir impossible de ces machines afin de construire des formes plots selon le brevet FR 1002482.

Selon le brevet FR 1002482, les formes de plots, donc nouvelles et remarquables sur le marché, n'ayant pas d'ancienneté commerciale. C'est certainement pour cela que la solution de machine, de méthodologies évolutives n'existe pas. La présente invention offre une méthodologie de fabrication efficace, par conséquent unique et remarquable, sur une base de machine réellement nouvelle et innovante.

PROBLEME TECHNIQUE POSE II existe donc un réel besoin de créer une nouvelle technique de fabrication, traduite par une nouvelle machine évolutive selon les matériaux, les technologies disponibles. Le premier dispositif présenté est donc basique au niveau du schéma de fonctionnement mais qui pourra recevoir toutes les perfectionnements possibles et existants, pour la rendre très rapide et très efficace dans un environnement industriel.

Former des plots selon le brevet FR 1002482 est une nouveauté évidente, d'ailleurs cité par les différents rapports de recherche comme innovant, nouveau et industrialisable. Mais jusqu'à ce jour, la machine n'existait pas. La présente invention revendiquée propose donc cette grande innovation et nouveauté.

Former des plots avec les machines existantes comme des plieuses / colleuses pour former des caisses américaines, sont donc totalement inadaptées. Les méthodologies existantes ne s'y prêtent pas. Pourquoi ?

En fait, les modèles de plots, selon le brevet FR 1002482 sont formés à partir de la base, par le fond et non par les côtés. Les machines actuelles, disponibles sur le marché ne proposent aucunement ce type de savoir faire. Celles-d ne pouvant pas construire des plots en commençant par le fond tout simplement, en utilisant un moyen de pression orienté verticalement, dans une sorte de tunnel ou dit entonnoir, devenant étroit.

En fait l'invention est un système d'étranglement pour contraindre de la matière. Avec une pression verticale appuyant sur le fond de la coque ou par une traction sur l'extérieur du fond de la coque afin de former le plot.

DESCRIPTION DE L'INVENTION

La présente invention étant des procédés méthodiques, représentés par une machine dans un premier temps basique (1 ). Mais, représentant bien une nouvelle technique de déformation de plaques pour former des coques par une pression de poussée. C'est à dire une solution de procédés techniques, donc d'une machine évolutive, permettant de mettre en forme les plots en jouant principalement avec des pressions verticales ou des tractions verticales, à partir du fond de la coque en formation, guidée par un dit entonnoir, contraignant la matière au pliage. Puis permettant de mettre en place des clés de verrouillage en fin de ligne, afin de former définitivement les volumes de plots.

Le procédé commence par la déformation (2) de la plaque (9a), prédestinée à réaliser la coque du plot. Une fois la coque terminée (9d), celle-ci tombe sur un quelconque convoyeur (3) qui la maintient en volume. Le convoyeur ayant des parois adaptées, la coque ne s'ouvre pas. Lors du passage sur ce même convoyeur, un croisillon de renfort (19a) peut-être déposé ou non. Puis la coque équipée d'un éventuel croisillon rentre sous le bas d'un tunnel (21 ) pour y recevoir la clé de verrouillage (4). Mais avant cela, par des dispositifs, l'intérieur de la coque peut recevoir des projections de colle, afin de rendre le plot indémontable, une fois la clé de verrouillage emboîtée. Par module optionnel, une impression peut-être aussi appliquée, lors du passage sur le convoyeur (3).

La représentation de la machine est non limitative en forme, en technologie, l'homme de métier saurait rapidement y apporter des perfectionnements comme des vérins, des rouleaux électriques, de convoyeurs, des bras articulés dans le but améliorer les rendements de la machine. Mais les principes de base sont bien présents, réels et efficaces avec cette méthodologie inventive de mise en forme et de fermeture.

Dans ce qui suit, on se limitera au cas d'une machine élémentaire qui englobe toutes les autres, par équivalence technique évidente, comme par exemple les machines assistées de moyens de poussoirs électriques, hydrauliques, pneumatiques. De convoyeurs électriques. Assistées de systèmes électroniques et informatiques. L'homme du métier saurait perfectionner l'ensemble pour le rendre bien plus performant que la machine représentée en figure 1.

La figure 1 représente le principe cyclique de la machine de basé (1 ). Tout à fait préféré afin d'expliquer les principes inventés de méthodologiques fondamentales et élémentaires. Trois modules de base : le dit mécanisme d'entonnoir et de pressions (2), quelconque convoyeur(3) et le système de fermeture du plot (4). La figure 2 représente une plaque carton à plat (9a) ou tout autre matériau s'y prêtant. Plaque prédécoupée, ayant reçu au préalable des rainurages pour l'aide, à la déformation, à sa mise en forme, en tant que future coque. La figure 3 représente, une plaque carton rigide à plat ou tout autre matériau s'y prêtant. La forme correspond à une clé de verrouillage (15a).

En forme de croix, en relief, l'objet correspond à un modèle non limitatif de renfort en carton, monté, pouvant être installé dans la coque. La figure 4 représente partiellement la figure 2 mais ayant subi des effets de pression par appui sur le fond, dans le but de déformer afin d'obtenir une coque. (9b) étant la plaque déformée.

La figure 5 représentera coque formée, suite au passage dans l'entonnoir puis, ayant reçu un modèle de croisillon de renfort, placé à l'intérieur de celle-ci.

(9c) est une quelconque mise en forme de la plaque (9a), se traduit par une coque. (19b) étant un croisillon quelconque.

La figure 6 représente la figure 3, précisément la clé de verrouillage mais, ayant subi des effets de pression afin de la déformer dans le but d'obtenir progressivement la forme d'entrée dans la cheminée ou dans le tunnel de la machine. Cette clé de verrouillage permettant de bloquer la structure du plot au stade (21 ). (15b) étant la clé de verrouillage mise en forme. La figure 7 représente la figure 4 qui reçoit la figure 6, en fin de parcours (21 ), au bout de la cheminée de la machine (4) afin de former le plot définitivement par emboîtement.

La fin du passage (27) du dit entonnoir y est aussi représentée, montrant une fin de passage d'entonnoir très étroit dans la partie de la machine (2), obligeant les cotés (8) et les angles (7) de la coque (9b) à se redresser vers l'intérieur. Les pointillés (13) représentent la forme d'un haut d'entonnoir virtuel et se finissant par la forme (27) étant une fin quelconque du dit entonnoir. (9b) ou (9d) rentrant dans (27), étant le goulot d'étranglement du dit entonnoir. (9b) est une correspondance suffisante à la plaque (9a). Celle-ci se mettant en forme pour devenir une coque.

La figure 8 représente la plaque de carton (9a) destinée à former la coque. Située tout en haut de l'entonnoir (2) et qui va être compressée par le vérin (10), appuyant sur le font rectangulaire (12) de la future coque par l'intermédiaire d'un quelconque outil (22).

La figure 9 représente la plaque de carton (9b) en cours de déformation. Entrant dans le dit entonnoir (2), se contraignant pour y passer et y descendre. Déformation déclenchée par l'appui du vérin (10) sur le fond (12) de la future coque. Les angles aiguës (5), en forme d'excroissance de l'entonnoir contribuent à déformer la plaque et à guider les angles (7). Puis les quatre dits toboggans, rebords ou glissières (11 ) guident les quatre côtés (8) de la coque pour aller vers le bas de l'entonnoir, en se redressant. Les bords (8) et les angles (7) se rabattent vers l'intérieur de la coque (9d) La figure 10 représente la plaque de carton qui est entrain de prendre définitivement sa forme de coque grâce au guidage des quatre toboggans (11 ) et la fin du dit entonnoir (27) carré ou rectangulaire. La coque (9d) disparaîtra sous l'entonnoir pour être reçu sur le convoyeur (3). Une fois passé dans la fin de la partie (27) du dit entonnoir.

La figure 11 représente la coque (9b) entrain de disparaître dans le fond de la partie étroite (27) de l'entonnoir (2). Le convoyeur (3) ou la gouttière, reçoit la coque. Les rebords du convoyeur bloquant par-dessous et à la verticale suffisante les bords (8) de la coque. Les angles (7) étant rentrés dans la coque (9d).

La figure 12 représente le plot terminé (14) en sortie de convoyeur et en sortie de verrouillage, par la descente de la clé de verrouillage (15b) dans la cheminée ou tunnel (16) venant parfaitement se glisser dans la coque grâce à une pression verticale positive (20) prenant appui sur la surface haute (18) de la clé de verrouillage. La clé de verrouillage ayant subi la pression suffisante pour s'imbriquer et s'emboiter dans la coque (9b), (9c), (9d). La cheminée est donc adaptée et proportionnée à la surface (18). Celle-ci bien moins large que l'espace ouvert du dessus de la coque (9d). Automatiquement, les rabats (17) de la clé (15b) rentrent à l'intérieur de la coque (9d), se plaquant à l'intérieur et verticalement, contre les côtés (8). Le plot 14 est formé. Le plot (14) est donc représenté par l'emboîtement de (15b) dans (9d), Grâce à la pression verticale (20), qui a été guidée sur (18). (9d) est représenté sur la figure 1 . La figure 13 représente une solution optionnelle de modules et de type entonnoir, équipé de roulettes électriques (24) ou non, de couteaux (26) pousseurs dans les angles, assistés par des vérins (25) pneumatiques, dans le but d'accélérer le processus de pliage et de guidage mais toujours avec une pression (16a) sur le fond ou une traction (16b) par le fond de la coque. La forme du dit entonnoir est toujours évoquée afin de pré-plier en une seule fois la coque. Sur cette figure, il n'apparaît ni toboggans (11 ), ni angles aiguës (5) mais, le système fonctionne tout aussi bien puisqu'il simule tout ou partie à un instant donné, la forme du dit entonnoir. (24), (25), (26) peuvent être complémentaires à (5), (11 ).

Comme on l'observe dans la figure 1 , la partie (2) de la machine désigne un système d'entonnoir permettant de mettre en forme la coque du plot par un système de poussée (16a) prenant appui par l'intermédiaire de l'outil (22) sur le fond de l'intérieur (12) de la coque, encore à l'état de plaque rigide (9a) puis, un étranglement (27) se produit en fin de course dans le but de déformer cette même plaque devient (9b), (9d), aidé par la déformation des angles aigus (5) et de rebords ou glissières (11 ). Nous connaissons l'entonnoir pour verser un liquide ou des poudres par exemple, dans une bouteille ou dans un quelconque récipient. La présente invention remarquable permet d'introduire dans le dit entonnoir (2), un élément très solide qui est en fait une plaque (9a). Par le moyen de l'étranglement (27) et le moyen de contraintes de déformations mécaniques (5) et (11 ), d'en former une coque (9b), en réduisant l'espace de sortie en fin de course. Les bords (8) et les angles (7) se rabattant vers l'intérieur et rentrant dans la coque (9d). La figure 10, l'entonnoir est de forme rectangle ou carré, dotés des formes de préférence adaptées au niveau des angles (5), permettant de relever les triangles ou les angles (7) de la plaque et par la suite les 4 côtés (8) ou nommées parois latérales de la coque, côtés contraints de se relever par l'encombrement les quatre dit toboggans (11 ) se situant avant la goulotte d'étranglement (27). La déformation est aidée par les rainurages (6a) et (6b), prévus sur la plaque (9a). Par pression descendante (16a), par un appui (22) sur le fond (12) de la coque du plot. La plaque en carton rentre dans un passage de plus en plus étroit, prenant en fin de course dans l'entonnoir, la forme de la coque (9c) aux formes de type rectangulaire ou carré.

Ensuite, le vérin de poussée ou le pousseur (10), se retire tout simplement.

Ou bien, un système de traction peut être solidarisé du côté extérieur au niveau du fond (12) de la coque (9a). Par exemple, un système de ventouse peut faire le même effet mais par le dessous de la machine. Comme par exemple, par aspiration générant un vide grâce à une pompe à vide, permettant de tirer au lieu de pousser la surface (12) de la plaque (9a). Si la pompe est arrêtée, la ou les ventouses lâchent prise. En sorte le vérin est inversé, se trouvant ainsi sous la machine. Vérin (10) placé sous la machine, potentiellement équipé de ventouses afin de s'arrimer contre le fond (12) extérieur de la coque et travaillant en pression négative (16b).

La figure 1 , on nommera donc la partie (2) de la machine comme étant une sorte d'entonnoir, de gouttière évasée par le haut et étroit par le bas. Formant un système d'étranglement (27). Formé de façon à guider et à assister la déformation de la plaque carton ou tout autre matériau pouvant s'y prêter afin de construire des plots (14) par exemple, et selon le brevet FR 1002482 aussi déposé en PCT/IB2011 /000808 ou tout autre objet s'y rapprochant.

La partie de la machine (2), est en fait un module, dissociable et indépendant du reste de la machine, pouvant se traduire par une forme matérielle spécifique d'entonnoir.

Par exemple, toujours assisté par une poussée (16a) ou par une traction (16b) sur le fond de la plaque dans un dit entonnoir. Elle peut être assistée potentiellement de moyens complémentaires comme de micro moteurs, de vérins, de roulettes électriques, pouvant donner virtuellement des formes, générant des contraintes de pliages à des points géométriques déterminés, définissant la forme idéale de l'entonnoir pour déformer et aider à faire glisser la plaque vers le bas étroit (27) en prenant la forme progressive de la coque soit (9a, 9b, 9c, 9d).

La figure 8, la plaque de carton (9a) repose sur 4 angles (5) de préférence aigus et arrondi. En fait, ces formes adaptées (5) sont bien positionnées en haut et dans les angles commençant à former le goulot d'étranglement de l'entonnoir (2). Les angles (5) et les 4 parois (11 ) du moule ou de l'entonnoir peuvent être assistés mécaniquement, peuvent être composés d'une seule ou plusieurs pièces en plastique, en bois ou en métal par exemple. En fait tout type de matériau pouvant y être adapté comme des appuis, des vérins équipés de formes ou de couteaux quelconques dans le but de déformer la matière. Des vérins pneumatiques, hydrauliques ou électriques, peuvent déclencher des poussées afin de rabattre la matière de la coque (9a, 9b, 9c) vers l'intérieur du centre pour accélérer le processus de descente engendré par la poussée de vérin (10). Afin d'aider les angles (5) du dit entonnoir, à casser et à rabattre, des rainurages (6a) et (6b) sur la plaque (9a) étant prévus à cet effet. Permettant de rabattre les triangles ou angles (7) de la future coque (9a, 9b, 9c) vers l'intérieur de celle-d. De quelconques vérins de poussées, installés à des endroits adaptés peuvent donc venir assister et aider pour rabattre les angles (7) et les côtes (8) de la coque (9a) vers l'intérieur, toujours dans le but d'accélérer la descente de la coque dans la partie étroite de l'entonnoir (27).

La plaque de carton (9a) ou tout autre matériau pouvant être exploité, peut donc être installée à la surface de l'entonnoir (2) ou du dit moule prévu à cet effet.

La figure 9, l'évidence d'une pression verticale (16a) avec l'entonnoir disposant de ses angles (5) et ses tobbogants (11 ) suffisent largement pour former la coque. Par l'appui d'une pression (10), (22) sur le fond de la future coque, la plaque se met en forme en entrant dans un entonnoir. Les triangles (7) de la coque se rabattent vers l'intérieur ainsi que les quatre parois (8) se redressant automatiquement à la verticale.

Un moyen d'appui (10) venant donc réaliser une pression verticale sur le rectangle (12) ou le carré (12) de la plaque (9a), prédestiné à être le fond de la coque (9c) ou (9d). Mais aussi, optionnellement, il est possible et évident de pouvoir s'arrimer par le fond extérieur de la coque par le moyen de l'aspiration ou bien par le moyen d'un crocher, en perforant la coque par exemple avec une vis sans fin. La force de traction négative (16b) est la même que la force de poussée positive (16a). La plaque descend dans l'entonnoir et se met en forme de coque. Elle est tout simplement tirée.

La figure 13, utilisation de moyens de roulettes, de couteaux, de pièces métalliques diverses permettant de former l'entonnoir de préférence de forme de type carré ou rectangulaire. Afin d'accélérer les phénomènes de pliages, en temps simultanée avec la poussée (16a) ou la traction (16b) du fond, de quelconques vérins peuvent donc venir aider à pousser les parois et les angles de la plaque pour former au plus vite les côtés (8) de la coque (9c) ou (9d). De quelconques roulettes électriques, placées à des endroits adaptées, comme par exemple à la place des toboggans (11 ) peuvent aussi permettre d'accélérer la descente vers le fond, afin d'atteindre la goulotte (27) du module (2).

Une fois l'invention révélée au public, l'homme de métier saurait perfectionner le système de la machine mais toujours en gardant le principe fondamental de poussée ou de traction afin de mener la coque vers le fond de l'entonnoir, créant un étranglement, obligeant de contraintes des pliages dirigés, dans le but de former une coque à la sortie du module (2).

La figure 10, une partie de l'invention consiste donc à déformer des plaques avec des formes d'entonnoirs spécifiques. Entonnoirs assistés par des appareils comme nommés ci-dessus. N'étant pas limitatif, aidés par des rainurages (6a) et (6b), étudiés comme sur le plaque (9a) de carton ou tout autre matériau pouvant se déformer, en suivant le passage étroit dans un entonnoir spédfique, adapté à cet effet. Adaptation d'excroissances de bosses aiguës (5), de formes arrondies (11), d'outillages quelconques permettant d'accompagner la déformation de la matière, avec l'aide du poussoir (10) par pression positive ou négative. Les angles aiguës arrondis (5) et les toboggans (11 ) représentant bien le phénomène d'entonnoir et sous une quelconque autre forme représentée. La figure 11 , l'invention consiste donc à utiliser une pression progressive et suffisante, émise sur une surface, générée par une poussée (16a) ou par une traction (16b). L'énergie de la pression devant se dissiper, génère une déformation de la plaque carton (9b). Les rainurages (6a) dans des angles de la plaque de carton sont les premières faiblesses, engendrant donc la déformation guidée. Les déformations sont immédiatement guidées par des bosses ou des formes quelconques de type tobbogants (11 ) ou des poussées d'assistance quelconques, obligeant à orienter la matière vers le centre de l'entonnoir (27), En fait, la plaque se déforme progressivement en descendant dans l'entonnoir mais prend la forme imposé par ce même entonnoir spécifique à cette nouvelle technologie. Dans les quatre angles de l'entonnoir, des angles (5) aiguës et arrondies, matérialisées par des formes de préférence en métal mais non limitatives, sont dominantes pour casser les arrêtes (6a) préformées sur la plaque carton (9a), et cela dès le démarrage du procédé de poussée ou de traction.

Les quatre côtés (8) de la plaque, préformés par des rainurages (6b), étant attachés aux 4 angles, se relèvent automatiquement, entraînés vers le centre de l'entonnoir. Les 4 parois, dit tobbogants (11 ) lisses mais à la fois arrondies de l'entonnoir, entraîne le relevage des 4 faces (8) de la coque. L'entonnoir adapté à la forme du plot permet donc le relevage des quatre côté (8) de la coque. Le rétrécissement final (27) du passage de l'entonnoir épouse parfaitement la forme rectangulaire ou carré de la forme définitive de la coque (9c) ou (9d) de la coque.

La figure 7, une fois les triangles de la coque rentrée, selon (9b), (9c) ou (9d). Naturellement, les quatre faces de la plaque se relèvent, se mettent à la verticale et peuvent directement s'orienter vers le fond (27) de l'entonnoir. Des cotations similaires mais élargis au niveau du dit entonnoir, de quelques millimètres, sont prévus pour le bon coulissement et le bon passage de la coque en fin de parcours, lors du passage très étroit (27) dans la fin du dit entonnoir, pour former la coque. La clé de verrouillage peut y être aussi installée lors de passage dans l'entonnoir (2). Une pression suffisante par le système de vérin positif (16a) permettrait de déformer, de former puis par une deuxième opération, de fermer le plot. En fait, une première pression forme la coque, le vérin se retire. Ensuite, on y installe la clé de verrouillage (15B) puis, le vérin revient appuyer sur la surface (18) pour enfoncer la clé de verrouillage définitivement dans la coque. Nous avons le même résultat se traduisant par l'emboîtement de (15b) dans (9d). Permettant d'économiser l'opération réalisée avec la figure 12 soit, le module (4) pouvant potentiellement être supprimé de l'ensemble de la machine (1 ).

La figure 1 , une fois la coque mise en forme, en sortie de l'entonnoir (2), se terminant par un principe technique d'étranglement (27). La coque tombe dans un couloir (3), en fait, sur un convoyeur spécifique. Une sorte de gouttière rectangulaire ou carré, correspondant à la forme du plot formé (9b). Cette gouttière étant un peu plus large que la fin du passage étroit (27) de l'entonnoir. La coque s'ouvre un peu plus. Mécaniquement, la coque ne peut plus remonter. Le vérin (10) permettant la poussée sur le fond (12) et entraînant vers le fond de l'entonnoir (27), peut donc revenir à son point de départ sans ramener la coque avec lui, dans l'entonnoir (2). A cet instant précis, la coque ayant ainsi des parois légèrement inclinées, un peu plus ouvertes, en raison d'une gouttière un peu plus écartée ou évasées au niveau des parois, que la fin du passage étroit de l'entonnoir, est donc libérée pour une autre opération. La coque ne peut plus remonter dans l'entonnoir et faire le chemin inverse. Ce prinripe de fonctionnement est évidemment équivalent avec une solution de traction (16b).

La solution du poussoir (10), permettant de réaliser par l'intermédiaire d'un pied (22), une pression sur le fond de la plaque (12) fait donc partie de l'invention revendiquée. Poussant ainsi la feuille dans l'entonnoir par pression (16a) afin qu'elle soit déformée, selon les rainurages disposés à cet effet sur la plaque (9a). Mais il est aussi possible de travailler par système d'aspiration. Par conséquent la solution d'attraction (16b) fait donc aussi partie de l'invention, en tractant la plaque carton dans l'entonnoir, au lieu de la pousser.

Le système d'aspiration, est donc une solution complémentaire. La forme de l'entonnoir reste la même mais au lieu de pousser, on tire. Par le moyen d'un tube d'aspiration avec des ventouses par exemple ou par tout autre moyen à cet effet. Le tube d'aspiration entre dans l'entonnoir, par-dessous, par un passage étroit et prévu à cet effet puis, vient s'arrimer contre le rectangle ou carré (12), prédestiné à être le fond de la future coque. Une fois la coque saisit par les ventouses d'aspiration, le quelconque vérin va tirer la future coque vers le passage étroit (27) (27). Naturellement, tout comme par le système de pression (16a), les angles (7) se déforment avec les angles aigus (5), les arrondis de l'entonnoir (11 ), tirant vers l'intérieur dans le passage étroit. Les rainurages (6a) de la feuille, destinés à faire les angles de la coque par le moyen de deux triangles ou angles, rentrent dans la future coque, se mettent en place en se rabattant vers le centre. Ensuite, les quatre cotés (8) se relèvent, grâce aux rainurages (6b), aidés par les quatre tobbogants (11 ) qui permettent de rapprocher les quatre côtés (8) afin que cette future coque évoluant selon (9a), (9b), (9c) et (9d) termine son passage dans la partie étroite (27) et finale de l'entonnoir. La poussée ne se fait plus sur la plaque du futur plot, en prenant appui dans le fond mais celle-ci se fait par l'extérieur, par le moyen d'un quelconque système d'aspiration permettant de réaliser une traction sur l'extérieur de la coque. En aspirant le fond extérieur (12) de la coque faisant office d'accrochage. Ensuite, la coque termine sa course dans les mêmes conditions que la formule de poussée. Simplement est prévu dans la gouttière, un passage suffisant pour que le tube amovible ou le vérin d'aspiration puisse se dégager sans en emporter la coque, la coque étant bien plus grande que celui-ci et, ne pouvant donc pas passer. La coque restant donc sur le convoyeur (3).

Selon le mode réalisation préféré mais non limitatif, le dit système de déformation dirigée, par pression ou par traction, dans un système de type entonnoir mécanisé ou non, est donc un élément essentiel innovateur et nouveau. Mais la machine présente d'autres aspects innovants, nouveaux, et industrialisables.

La figure 1 , une fois la coque mis en forme, celle-ci tombe dans une gouttière ou dans un convoyeur (3). La coque (9d) est formée grâce aux rebords puisqu'elle n'a pas encore reçu sa clé de verrouillage. Cette gouttière pourra donc être équipée de systèmes de convoyeurs automatiques (3) afin de faire circuler les coques (9d) jusqu'à un autre poste d'assemblage sur la machine soit, (2) vers (3), étant le convoyeur, pour la mise en place du croisillon ou pour un collage puis vers (4) pour la fermeture de plot. W

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L'étape du convoyeur (3) permet d'installer des croisillons afin de renforcer le plot (9d). La mise en place du croisillon peut se faire par le moyen d'un système robotisé déjà existant sur le marché de la machine industrielle ou bien, manuellement. Des postes automatiques de collage peuvent être ajoutés pendant le temps de convoyage. Par exemple de la colle peut être injectée dans le plot, sous une quelconque forme, avant la fermeture définitive avec la clé de verrouillage. Dans ce cas, Le plot est donc optionnellement indémontable. Il est aussi possible d'y installer un module d'impression sur le convoyeur (3). La cheminée (16) est un système de guide ou l'on y introduit la clé de verrouillage. Les 4 rabats (17) de la clé de verrouillage sont donc pliés et introduits en premiers vers l'intérieur de la cheminée. Naturellement les 4 rabats (17) ont tendance à s'ouvrir vers l'extérieur grâce à l'effet mémoire de la plaque, souhaitant reprendre sa forme initiale. Lors de la descente, les rabats se plaquent contre les parois intérieures de la cheminée.

Par le moyen d'un vérin de poussée (20) de type vérins hydrauliques, pneumatiques, électriques, manuels, en fait tout type de solution adaptable et non limitative, faisant office de poussée suffisante. Celui-ci permet de guider et faire descendre la cale de verrouillage jusqu'à la coque calée (9d) sous la cheminée afin de procéder à l'emboîtement (21 ). La cale de verrouillage (15b) rentre naturellement dans la coque (9d) avec ou sans croisillon de renfort (19a) ou (19b).

La figure 7 présente aussi l'emboîtement se déroulant sous la cheminée (21 ). (15b) rentre dans (9b) ou (9d).

La figure 12, le plot (14) construit et terminé sort du convoyeur après avoir suivi les trois étapes majeurs de montage avec les modules (2), (3), (4) de la machine (1 ) mais n'étant pas limitatif puisqu'il est possible de rajouter des postes comme du collage ou de l'impression sur le convoyeur (3).

L'invention est particulièrement remarquable par le fait que l'homme du métier n'avait pas pensé jusqu'à ce jour à déformer du carton par le moyen d'une pression verticale, d'un dit entonnoir et d'un système mécanique d'étranglement pour former des coques par exemple, en y exerçant une poussée positive ou négative. Faisant agir des moyens de pression sur un fond (12) pour construire des plots en carton ou avec tout autre matériau s'y prêtant. La matière de type carton ondulé est prise par préférence en exemple mais, n'est pas limitative.

Le système est particulièrement innovent et nouveau par le fait d'utiliser en plus du système d'entonnoir, un moyen de pression vertical pour aider le carton à se déformer (16a) et (16b), afin de rentrer dans le dit entonnoir et de le faire circuler vers la sortie étroite (27). Nous pourrons appeler cela « une déformation dirigée, à partir d'une plaque quelconque rigide, préparée à cet effet » Le système est particulièrement inventif et évolutif, puisqu'il est possible de travailler par le moyen de la traction (16b) en plaçant par exemple un système de ventouse, aspirant la plaque de carton dit rigide. Plaque solidarisée par une ventouse ou des ventouses, par le moyen de l'aspirant par exemple, permettant ainsi de la tirer vers le fond du dit entonnoir (27).