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Title:
METHOD FOR EMBEDDING IN A ROAD SURFACE OPTICAL FIBRE CLADDINGS, AND RESULTING PAVEMENT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2002/029947
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a method for embedding in a road pavement claddings designed to house optical fibre cables, characterised in that it consists in: a) levelling at least part of the running surface (7) of the road and optionally part of the base layer (8) of said road, to produce a continuous slot (4); b) laying flat the claddings (5) at the base (6) of said groove (4), at least some of the claddings being non-contiguous to create a space (e) between the claddings (5); refilling at least partly the groove (4) with concrete (14) to cover the claddings (5); d) providing above said concrete (14) a running surface layer (11, 12).

Inventors:
RICHARD FLORENCE (FR)
RONSEAUX JEAN-PIERRE (FR)
Application Number:
PCT/FR2001/002861
Publication Date:
April 11, 2002
Filing Date:
September 14, 2001
Export Citation:
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Assignee:
SANEF (FR)
RICHARD FLORENCE (FR)
RONSEAUX JEAN PIERRE (FR)
International Classes:
E01F9/20; E01F11/00; F16L1/032; F16L1/11; G02B6/50; H02G1/06; H02G9/02; (IPC1-7): H02G1/06; F16L1/032
Foreign References:
FR2750717A11998-01-09
GB2003635A1979-03-14
FR2773565A11999-07-16
Attorney, Agent or Firm:
Jacquard, Philippe (6 rue de St Petersbourg, PARIS, FR)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. 1) Procédé de pose dans une chaussée routière de fourreaux destinés à recevoir des câbles à fibres optiques, caractérisé en ce qu'il met en oeuvre : a) un rabotage d'au moins une partie de l'épaisseur de la couche de roulement (7) de la chaussée et éventuellement d'une partie de la couche de base (8) de ladite chaussée, pour réaliser une rainure continue (4), b) une mise en place à plat des fourreaux (5) au fond (6) de ladite rainure (4), au moins certains de ces fourreaux (5) étant non jointifs pour créer au moins un espace (e) entre les fourreaux (5), c) un rebouchage au moins partiel de la rainure (4) par un béton (14) pour recouvrir les fourreaux (5), d) la réalisation au dessus dudit béton (14) d'une couche superficielle de roulement (11,12).
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la profondeur de la rainure (4) obtenue par rabotage est comprise entre 6 cm et 12 cm et de préférence entre 8 cm et 10 cm.
3. Procédé selon une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que l'épaisseur h'de la couche de rebouchage en béton (14), prise au dessus de la génératrice supérieure (15) des fourreaux (5), est au moins égale à 3 cm.
4. Procédé selon une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la couche superficielle de roulement (11) est réalisée par un enrobé coulé à froid ou bien par dépose d'une émulsion et gravillonnage.
5. Procédé selon une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la couche superficielle de roulement (12) est réalisée à l'aide d'un béton bitumineux.
6. Procédé selon une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il met en oeuvre la pose de cavaliers (30) pour maintenir le ou les espaces e entre les fourreaux.
7. Procédé selon une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'il met en oeuvre, avant c, le passage d'un râteau de mise en place des fourreaux (5) avec un espace désiré e entre les fourreaux.
8. Procédé selon une des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit espace e entre les fourreaux (5) présente une valeur comprise entre 0,5 et 2 fois le diamètre D des fourreaux (5).
9. Chaussée routière comprenant des fourreaux destinés à recevoir des câbles à fibres optiques, qui sont logés dans au moins une rainure remplie de ciment et recouverte d'une couche superficielle de roulement, caractérisée en ce que les fourreaux (5) sont disposés en une couche unique au fond (6) d'une dite rainure (4) qui est située dans une couche de roulement (7) de la chaussée ou bien dans une région superficielle d'une couche de base (8) de ladite chaussée, et en ce qu'au moins certains desdits fourreaux (5) sont non jointifs pour créer au moins un espace e entre les fourreaux, le ciment de remplissage (14) remplissant également le ou les espace (s) interfourreaux pour former une ou plusieurs régions d'appui sur le fond (6) de la rainure (4).
10. Chaussée selon la revendication 9, caractérisée en ce que la rainure (4). a une profondeur comprise entre 6 cm et 12 cm et de préférence entre 8 cm et 10 cm.
11. Chaussée selon une des revendications 9 ou 10, caractérisée en ce que l'épaisseur h'de la couche de rebouchage en béton, prise audessus de la génératrice supérieure (15) des fourreaux (5) est au moins égale à 3 cm.
12. Chaussée selon une des revendications 9 à 11, caractérisée en ce que ledit espace e entre les fourreaux (5) présente une valeur comprise entre 0,5 fois et 2 fois le diamètre D des fourreaux (5).
13. Chaussée selon une des revendications 9 à 12, caractérisée en ce qu'il présente des cavaliers (30) de maintien des espaces entre les fourreaux (5), qui sont disposés à des intervalles réguliers le long de la rainure (4).
14. Chaussée selon une des revendications 9 à 13, caractérisé en ce qu'au moins une dite rainure (4) est ménagée dans une région de la chaussée située hors de la zone ou s'effectue le trafic, notamment la bande d'arrt d'urgence (BAU), ou bien la bande dérasée (BDG) d'une autoroute.
Description:
PROCEDE DE POSE DANS UNE CHAUSSEE ROUTIERE DE FOURREAUX POUR FIBRES OPTIQUES, ET CHAUSSEE AINSI OBTENUE.

La présente invention a pour objet un procédé de pose dans une chaussée routière, de fourreaux destinés à recevoir des câbles à fibres optiques.

Actuellement, les fourreaux pour câbles à fibres optiques sont, dans le cas des autoroutes, posés soit sur la bande d'arrt d'urgence (BAU), soit sur la bande dérasée gauche (BDG) d'une autoroute, soit encore sur la berme.

Un premier procédé connu pour la pose sur la bande d'arrt d'urgence ou la bande dérasée gauche, consiste à réaliser une tranchée, à l'aide d'une trancheuse, sur une largeur d'une dizaine de centimètres et une profondeur de l'ordre de 30 cm. Ensuite, on évacue les gravats, on passe une aspiratrice afin de nettoyer la tranchée, on met en place les fourreaux en grappes au fond de la tranchée, et on rebouche la tranchée avec du béton et on réalise une réfection de la bande de roulement.

Cette technique qui assure un bon positionnement des fourreaux est cependant coûteuse en raison notamment de la profondeur importante de la tranchée réalisée.

Une autre technique connue consiste à disposer les fourreaux en pleine terre dans la berme en terrassant à 70 ou 80 cm de profondeur à la pelle mécanique ou manuellement, et en mettant en oeuvre un lit de sable en fond de fouille sur lequel sont déposés les fourreaux en plusieurs couches. On rebouche ensuite jusqu'à la cote -30 cm avec les terres extraites, après quoi un grillage avertisseur est mis en place et le remblaiement est terminé avec les terres extraites.

Cette technique est également coûteuse, car elle nécessite un terrassement profond (70 à 80 cm) afin de protéger les fourreaux.

D'autre part, la pose sur route ou sur autoroute est, pour l'un et l'autre des procédés ci-dessus, tributaire des ouvrages singuliers : points inférieurs et supérieurs, traversée de bretelles, et accès de service.

Ces techniques ne sont en effet pas adaptées à ces franchissements particuliers, d'où un coût supplémentaire pour le passage des fourreaux.

La présente invention a pour objet un procédé de pose qui soit plus économique que les procédés précités, et qui permette un franchissement aisé d'au moins une majeure partie des ouvrages singuliers.

L'invention concerne ainsi un procédé de pose dans une chaussée routière de fourreaux destinés à recevoir des câbles à fibres optiques, caractérisé en ce qu'il met en oeuvre : a) un rabotage d'au moins une partie de l'épaisseur de la couche de roulement de la chaussée et éventuellement d'une partie de la couche de base de ladite chaussée, pour réaliser une rainure ou saignée continue, b) une mise en place à plat des fourreaux au fond de ladite rainure, au moins certains de ces fourreaux étant non jointifs pour créer au moins un espace entre les fourreaux, c) un rebouchage au moins partiel de la rainure par un béton pour recouvrir les fourreaux, d) la réalisation au dessus dudit béton d'une couche superficielle de roulement.

La profondeur de la rainure obtenue par rabotage peut tre comprise entre 6 cm et 12 cm et de préférence entre 8 cm et 10 cm.

L'épaisseur de la couche de rebouchage en béton, prise au dessus de la génératrice supérieure des fourreaux, est avantageusement au moins égale à 3 cm.

La couche superficielle de roulement peut tre réalisée par un enrobé coulé à froid ou bien par dépose d'une émulsion et gravillonnage, ou bien encore à l'aide d'un béton bitumineux.

Le procédé peut mettre en oeuvre la pose de cavaliers pour maintenir le ou les espaces entre les fourreaux, et pour maintenir les fourreaux en fond de saignée.

Selon un mode de réalisation préféré, le procédé met en oeuvre, avant c, le passage d'un râteau de mise en place des fourreaux avec un espace désiré e entre les fourreaux.

La pose d'arceaux et/ou le passage d'un râteau permet d'assurer un bon renvoi au sol et une bonne répartition des efforts verticaux, mais également d'éviter que les fourreaux ne fassent des ondulations horizontales, afin de pouvoir, ensuite, les équiper aisément en fibres optiques.

Il est particulièrement avantageux que ledit espace e entre les fourreaux présente une valeur comprise entre 0,5 et 2 fois le diamètre D des fourreaux.

L'invention concerne également une chaussée routière comprenant'des fourreaux destinés à recevoir des câbles à fibres optiques, qui sont logés dans au moins une rainure remplie de ciment et recouverte d'une couche superficielle de roulement, caractérisée en ce que les fourreaux sont disposés en une couche unique au fond d'une dite rainure qui est située dans une couche de roulement de la chaussée ou bien dans une région superficielle d'une couche de base de ladite chaussée, et en ce qu'au moins certains desdits fourreaux sont non jointifs pour créer au moins un espace entre les fourreaux, le ciment de remplissage remplissant également le ou les espace (s) inter-fourreaux pour former une ou plusieurs régions d'appui sur le fond de la rainure.

La rainure a une profondeur comprise par exemple entre 6 cm et 12 cm et de préférence entre 8 cm et 10 cm.

L'épaisseur h'de la couche de rebouchage en béton, prise au dessus de la génératrice supérieure des fourreaux est avantageusement au moins égale à 3 cm.

Ledit espace e entre les fourreaux présente avantageusement une valeur comprise entre 0,5 fois et 2 fois le diamètre D des fourreaux.

Des cavaliers de maintien des espaces entre les fourreaux sont avantageusement disposés à des intervalles réguliers le long de la rainure.

La chaussée peut tre caractérisée en ce qu'au moins une dite rainure est ménagée dans une région de la chaussée située hors de la zone où s'effectue le trafic, notamment la bande d'arrt d'urgence, ou bien la bande dérasée d'une autoroute.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront mieux à la lecture de la description qui va suivre, donnée à titre d'exemple non limitatif, en liaison avec les dessins dans lesquels : -les figures 1 et 2 illustrent les techniques de l'art antérieur ; -la figure 3 est un schéma d'une chaussée dans laquelle est ménagée une rainure selon l'invention ; -les figures 4 et 5 représentent en coupe une chaussée réalisée par le procédé selon l'invention et selon deux modes de réalisation différents ; -la figure 6 illustre un arceau de maintien des espaces entre les fourreaux.

La figure 1 illustre le premier procédé de l'art antérieur mentionné ci-dessus, dans lequel on réalise à l'aide d'une trancheuse une saignée d'une largeur d'une dizaine de centimètres et d'une profondeur de l'ordre d'une trentaine de centimètres sur la bande d'arrt d'urgence (BAU) ou sur la bande dérasée gauche

(BDG) d'une autoroute. Cette tranchée traverse la couche de roulement 7 de la chaussée (dont l'épaisseur est de l'ordre de 8 cm) et la quasi totalité voire la totalité de la couche de base 8 à base d'enrobé en général bitumeux dont la hauteur est généralement de l'ordre de 25 à 30 cm et au-dessous de laquelle se trouve la couche de fondation 9 qui est constituée par de la grave traitée. Dans cette tranchée, qui est donc percée à la limite de la couche de fondation 9, et après évacuation des gravats et passage d'une aspiratrice afin de nettoyer la tranchée, on met en place les fourreaux 5 en grappe au fond de la tranchée et on rebouche ensuite la tranchée au béton, soit totalement avec pose ultérieure d'une émulsion et d'un gravillonnage ou d'un enrobé coulé à froid 11 comme représenté à la partie gauche de la figure 1, ou bien par un remplissage en béton jusqu'à la cote d'environ-2,5 cm avec mise en oeuvre par dessus d'un béton bitumineux 12 comme représenté à la partie droite de la figure 1.

Si cette technique assure un bon positionnement des fourreaux, la profondeur de la tranchée réalisée et son remplissage ultérieur par du béton la rend coûteuse. En particulier, la couche de béton doit avoir une épaisseur suffisante pour éviter une dégradation par des véhicules roulants de l'intégrité des grappes de fourreaux 5, qui sont destinés à recevoir des câbles à fibres optiques.

La figure 2 illustre une pose en pleine terre avec un terrassement jusqu'à 70-80 cm de profondeur à la pelle mécanique ou manuellement, la mise en oeuvre d'un lit de sable 22 en fond de fouille, lit de sable 22 sur lequel sont posés les fourreaux en plusieurs couches superposées, après quoi, la tranchée est rebouchée jusqu'à la cote-30 cm avec les terres extraites pour permettre la mise en oeuvre d'un grillage avertisseur 21

et après quoi le remblaiement est terminé avec les terres extraites.

On voit que ce procédé de pose en pleine terre est coûteux en raison de la profondeur de terrassement et de la double opération de rebouchage que nécessite le grillage avertisseur 21.

Cette technique connue peut tre améliorée en réalisant une pose mécanisée à la charrue avec mise en place simultanée des fourreaux et du grillage avertisseur. La charrue utilisée effectue alors une tranchée d'une profondeur telle que la génératrice des fourreaux posée en dessus soit située à environ 70 cm de la surface du sol.

Il n'en reste pas moins que la technique reste coûteuse et ne permet pas le franchissement des ouvrages particuliers.

La figure 3 représente schématiquement une voie d'autoroute 1 dont la bande d'arrt d'urgence 3 est délimitée par une ligne continue 2. Dans cette bande d'arrt d'urgence 3, on ménage selon l'invention une tranchée 4 de largeur L et de profondeur h au fond 6 de laquelle on dispose a plat et sur une seule couche des fourreaux 5 de diamètre D, qui sont espacés d'une distance e.

Le procédé met en oeuvre un rabotage à faible profondeur (6 à 12 cm, de préférence 8 à 10 cm) sur une largeur L, par exemple de 60 cm, une évacuation des déblais, un nettoyage du fond et du bord de la saignée 4, la mise en place des fourreaux 5 à plat dans la saignée.

Des cavaliers 30, par exemple en chlorure de polyvinyle, disposés régulièrement le long de la saignée, permettent de maintenir l'espacement e entre les fourreaux.

La saignée 4 est ensuite rebouchée au moins partiellement à l'aide de béton 14.

Alternativement, l'espacement entre les fourreaux peut tre obtenu par ratissage du fond de la saignée immédiatement avant le dépôt du béton de remplissage.

Deux types de remplissage peuvent tre mis en oeuvre, à savoir un remplissage total au béton 14 et une mise en oeuvre d'une émulsion et d'un gravillonnage, ou bien d'un enrobé coulé à froid 11 (figure 4) ; une solution alternative est le remplissage en béton 14 jusqu'à la cote par exemple-2,5 cm et mise en oeuvre d'un béton bitumineux 12 (figure 5).

On peut en particulier déposer une dizaine de fourreaux de diamètre extérieur 33 mm dans une tranchée de largeur 60 cm et de profondeur h de 8 cm, ou bien par exemple 8 fourreaux de diamètre 40 mm dans une tranchée 4 de profondeur 9 cm, la tranchée ayant toujours une largeur L de 60 cm. Ces dimensions permettent de conserver au-dessus des génératrices supérieures 15 des fourreaux 5, une épaisseur h'de béton capable de résister aux sollicitations. En particulier, le maintien d'un espacement e entre les fourreaux, qui est avantageusement compris entre 0,5 fois et 2 fois le diamètre D des fourreaux permet de renforcer la protection des fourreaux étant donné que, lors du remplissage par le ciment 14, ces intervalles de largeur e sont remplis de ciment, ce qui forme des arches à la manière d'un pont pour transmettre les sollicitations mécaniques dues au roulement depuis la surface vers le fond 6 des rainures 4.

Les fourreaux 5 pourraient tre regroupés en groupes de 2 fourreaux jointifs (ou plus), séparés par des intervalles e calculés en conséquence, pour conserver une structure en arches de résistance appropriée.

De la sorte, le rebouchage par du béton 14 permet une bonne résistance à la circulation. Des tests d'orniérage selon la norme AFNOR ont permis de montrer la

validité du procédé, ces tests ne conduisant qu'à une déformation de l'enrobé sans détérioration du béton 14 et des fourreaux 5.

Un avantage du procédé selon l'invention est qu'il peut tre mis en oeuvre avec des machines utilisées actuellement pour les chantiers de rabotage d'enrobé. Il en résulte que le développement d'outils spécifiques n'est pas utile. En outre, afin d'atteindre des rendements élevés de mise en oeuvre, il est également possible d'automatiser le chantier en réalisant en continu le rabotage de la rainure 4, la pose des fourreaux 5, le remplissage par du béton 14 et la réfection (11,12) de la chaussée.

Du fait que le procédé est mis en oeuvre dans des zones non destinées principalement à la circulation (bandes d'arrt d'urgence, bandes dérasées gauche) laisse envisager une durée de vie élevée en raison du résultat positif du test précité, lequel correspond à un nombre très élevé de passages sur une chaussée routière.

En plus, étant donné que le procédé n'impose de réaliser un rainure que dans une zone superficielle de la chaussée, il est possible de traverser un certain nombre d'ouvrages tels que des ponts, etc... pour lesquels la saignée 4 pourrait tre ménagée dans l'épaisseur de la couche de roulement sans nuire à l'étanchéité de l'ouvrage.

Au cours de la pose, au moins certains des fourreaux 5 peuvent tre pré-équipes d'une câble 16 à fibres optiques