TITRE : Procédé de génération d'un contenu de manière extensible

Domaine de l'invention

Le domaine de la présente invention concerne celui des procédés de communications. Elle concerne particulièrement, mais pas exclusivement, le domaine des technologies des sites web fonctionnant sous les normes et standard du 3WC.

Art antérieur De nos jours, certains programmes nécessitent qu'un module externe (en anglais « plugin ») soit installé sur un navigateur internet pour pouvoir traiter un contenu permettant la manipulation de graphiques vectoriels, d'images matricielles et de scripts « ActionScript » en vue de créer des contenus multimédias tels que des animations, vidéos, jeux, applications, entre autres, destinés à être publiés sur Internet. Toutefois, ces programmes présentent de plus en plus de nombreux problèmes d'interopérabilité ainsi que de sécurité, à cause de cette nécessite même de module externe.

Par ailleurs, le rendu des pages web est réalisé par un serveur distant. Ceci implique pour chaque site web la mise en œuvre d'une infrastructure qu'il faut ensuite exploiter, sécuriser, maintenir, etc. De plus, cette approche génère un coût significatif pour l'exploitant du site, puisque le temps de calcul de chaque page est imputé au serveur.

De plus, la quasi-totalité des langages, le jeu d'instructions est limité à un ensemble de mots-clefs, ou réservés. Par exemple, dans le HTML, il existe une liste de « balises » reconnues par le navigateur. Les utilisateurs ne peuvent pas ajouter une nouvelle balise répondant à ses propres besoins sans permettre à l'utilisateur d'en étendre le « dictionnaire », c'est-à-dire d'ajouter de nouveaux objets à la bibliothèque de base, disponible dans le moteur de rendu.

Enfin, basé sur le modèle objet de document (en abrégé « DOM »), un navigateur internet ne sait afficher que du contenu décrit par le langage HTML, qui est un langage déclaratif, donc complètement statique. Pour rendre le même contenu plus

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) attrayant, le navigateur utilise également CSS, ce qui permet un habillage très riche et sophistiqué. Mais toujours plus ou moins statique. Le côté dynamique n'est rendu possible que par la présence du Javascript.

Basiquement, pour la raison que le navigateur internet est basé sur le DOM et que celui-ci s'appuie sur du HTML, la génération du HTML est toujours faite du côté serveur. Le navigateur se contente donc de se connecter au serveur pour recevoir du HTML, avant de l'afficher, de la décorer avec du CSS et éventuellement de la rendre plus ou moins dynamique avec du code Javascript. Même dans les architectures les plus modernes avec des contenus très dynamiques, c'est toujours le serveur qui génère les pages, toujours en HTML.

Par conséquent, il convient de trouver une solution qui ne nécessite pas de module externe tout en respectant les normes HTML5 et WebGL implémentées par les éditeurs de navigateurs, sous la forme d'un langage extensible de sorte à étendre les capacités intrinsèques du langage de modélisation de réalité virtuel (en anglais « Virtual Reality Modeling Language » et soit « VRML » en abrégé), donc augmenter la puissance et richesse des applications utilisant du VRML.

Exposé de l'invention

La présente invention a pour but de résoudre tout ou partie des inconvénients mentionnés ci-dessus sous la forme d'un procédé de communication d'informations à travers un réseau de télécommunication, le réseau de télécommunication comprenant au moins un serveur et au moins un terminal échangeant un ensemble de données ; ledit au moins un terminal étant configuré pour mettre en oeuvre un navigateur internet ; le procédé de communication étant exécuté par le navigateur internet et comprenant une étape d'analyse dudit ensemble de données ; G ensemble de données étant constitué d'au moins un élément parmi : un élément objet, un élément branche et un élément afficheur ;

- l'élément objet étant configuré pour être unique lorsque qu'il est généré ;

- l'élément branche étant configuré pour comprendre au moins un élément branche auxiliaire et/ou au moins un élément branche terminale ; et,

- G élément afficheur étant configuré pour créer une représentation graphique.

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) B

Ainsi, grâce à cette disposition, le procédé de communication permet de faire une complète abstraction des trois langages. Le procédé de communication permet de réaliser le rendu de la page localement, sur le navigateur internet, par le navigateur internet, au lieu de le faire faire par des serveurs distants. Elle permet entre autre l'édition de la page en mode WYSIWYG. Le procédé de communication propose un format dynamique et extensible de description de page web. Il permet de faire abstraction de la couche technique définie par le 3WC, complexe à maîtriser et à mettre en oeuvre. Le procédé de communication réunit donc la richesse et la puissance du triptyque CSS/HTLM/Javascrpit.

Selon un mode de réalisation, ledit ensemble de données est reçu par ledit au moins un terminal en provenance dudit serveur.

Selon un mode de réalisation, le procédé de communication comprend une étape de génération d'un langage de balisage HTML à partir dudit ensemble de données par le navigateur internet pour représenter au moins une page web.

Ainsi, grâce à cette disposition, une page web moderne peut être décrite de façon autonome, modulaire et portable, de sorte à permettre sa génération dans les trois langages compréhensibles par le navigateur : CSS, HTML et Javascript. De plus, dans un schéma classique, cet ensemble de données doit être préalablement assemblées dans un ordre et une hiérarchie bien précis par le serveur avant d'être envoyées aux navigateurs web pour affichage. Grâce à ce procédé, cela n'est plus nécessaire.

Selon un mode de réalisation, le procédé de communication comprend une étape de formation d'un arbre à partir dudit ensemble de données.

Selon un mode de réalisation, ledit au moins un élément branche auxiliaire est configuré pour comprendre ledit au moins un élément branche terminale.

Selon un mode de réalisation, l'étape de formation dudit arbre comprend une étape d'exécution de l'élément afficheur.

Selon un mode de réalisation, l'étape de formation d'un arbre comprend une étape d'exécution de l'élément objet.

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront mieux à la lecture de la description qui suit d'un mode de réalisation de l'invention donné à titre d'exemple non limitatif.

Liste des figures L'invention sera mieux comprise à l'aide de la description détaillée qui est exposée ci-dessous en regard du dessin, dans lesquels : la figure 1 représente un exemple d'architecture d'un réseau de télécommunication dans lequel le procédé selon l'invention est mis en oeuvre ; - la figure 2 montre un exemple d'ordinogramme montrant les étapes du procédé de communication d'information selon l'invention est mis en oeuvre ; et, les figures 3A-3D illustrent un exemple d'ensemble de données et de génération d'un langage de balisage HTML S760 par le navigateur internet selon un mode de réalisation.

Dans la description détaillée qui va suivre des figures définies ci-dessus, les mêmes éléments ou les éléments remplissant des fonctions identiques pourront conserver les mêmes références de manière à simplifier la compréhension de l'invention.

Selon un mode de réalisation représenté à la figure 1, le réseau de télécommunication 500 peut être un réseau de liaison de télécommunication classique, dit avec fil, par exemple des routeurs, modems et/ou commutateur ou sans fil par exemple un réseau Wi-Fi™ et/ou un réseau GSM™. Le réseau de télécommunication peut être un réseau local, intranet et/ou internet configuré de sorte à ce que des messages puissent être transmis à au moins deux terminaux connectés au réseau de télécommunication, au travers de multiples liaisons et/ou noeuds de liaisons. Les terminaux 100, 200 et/ou 300 peuvent être de type identiques ou différents, ce sont typiquement des ordinateurs connectés à un réseau local, à un réseau intranet et/ou à un réseau de télécommunication 500, des téléphones portables connectés et/ou des tablettes connectées à un réseau GSM™ et/ou à un réseau Wi-Fi™, ou tout appareil de

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) télécommunication connecté à un moyens d'interaction et possédant un moyen d'acquisition. La figure 1 présente un exemple de réseau avec un groupe de terminaux. De tels terminaux comportent au moins une unité centrale 110. L'unité centrale 110 comprend au moins un module de programme 111, un moyen de stockage 112 qui peut être matérialisé par un disque dur par exemple, un moyen de connexion 115 permettant la communication d'un terminal avec le réseau de télécommunication 500, ce moyen de connexion est géré par un module de programme 111 stocké dans la mémoire de ce dernier.

Le terminal 100 possède un moyen d'interaction Homme/Machine 120 - en anglais « Human Machine Interface ». Les moyens d'interaction 120 peuvent comprendre par exemple un écran 122, une souris 124, un clavier 126 et/ou une caméra 128. Pour des raisons de clarté, il est supposé que les terminaux 200 et 300 possèdent aussi des moyens d'interaction assez similaires dans leurs fonctions.

Le clavier 126 comporte des touches permettant d'introduire un message avec des caractères alphanumériques qui, sous la forme d'une chaîne de caractères, constituent un message. Le clavier 126 peut être déporté ou intégré dans le terminal et/ou dans les moyens d'interaction, c'est le cas par exemple si le terminal est un téléphone portable, de même le clavier 126 peut être tactile offrant ainsi la possibilité d'afficher des icônes directement sur l'écran 122 que l'utilisateur peut sélectionner avec l'aide d'actions tactiles directement sur les moyens d'interaction ou par l'intermédiaire d'une souris 124, si cette dernière est disponible. La saisie d'un message peut être également effectuée à l'aide d'un système de reconnaissance vocale ou de reconnaissance de mouvement par l'intermédiaire d'une caméra 128 avec un micro intégré (non représenté). L'écran 122 peut aussi être déporté ou intégré dans le terminal. La gestion de l'écran 122, de la souris, du clavier 126 et de la caméra 128 s'effectue par un gestionnaire de périphérique 114.

Les moyens d'interaction en particulier l'écran permet d'afficher des messages provenant d'autres terminaux mais aussi des messages générés par le terminal lui-même comme par exemple des menus. Ces menus peuvent apparaître à l'écran ou dans une fenêtre occupant qu'une partie de l'écran. La génération des menus est intégrée dans le programme de messagerie que l'utilisateur sélectionne à l'aide d'un navigateur d'application. Le gestionnaire de périphérique 114 émet des signaux vidéo vers l'écran 122 et reçoit des données introduites par l'utilisateur sur le clavier 126.

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) Le serveur 400 gère le réseau et établit des règles selon lesquelles les ordinateurs communiquent et coopèrent en permettant par exemple le partage et/ou l'échange d' ensemble de données 799 entre différent terminaux. Après avoir détaillé les différents composant d'un réseau de télécommunication, nous allons maintenant expliquer les étapes du procédé.

Le procédé de communication S700 d'informations de la présente invention permet un échange d'ensemble de données 799 à travers un réseau de télécommunication 500, comme cela est représenté sur la figure 2. Ce réseau de télécommunication 500 comprend au moins un serveur et au moins un terminal échangeant tous deux un ensemble de données 799. Cet ensemble de données 799 G ensemble de données 799 est constitué d'au moins un élément parmi : un élément objet 710, un élément branche 720 et un élément afficheur 730. Toutefois, l'ensemble de données 799 comprend obligatoirement l'élément objet 710, alors que l'élément branche 720 et/ou l'élément afficheur 730 est optionnel ou peuvent être optionnels.

L'élément objet 710, appelé également « kind », est configuré pour être unique lorsque qu'il est généré, c'est un attribut qui permet d'associer un contenu informationnel à un objet dynamique, c'est-à-dire un code en javascript conçu pour présenter le contenu de la façon dont on le souhaite. En effet, l'élément objet 710 est une chaîne de caractères unique dans l'espace de nommage du moteur de rendu.

En effet, lorsqu'on a on objet décrit comme :

- élément objet 710 : « note »

- contenu : « LETC »

- style :

• couleur : « rouge »

• taille de police : « 16px »

L'objet dynamique associé à l'élément objet 710 « note » affichera sur l'écran le texte « LETC » en rouge et de taille 16 pixels. Mais on peut tout aussi bien étendre ou surcharger cet objet dynamique pour qui fasse autrement, par exemple lancer une synthèse vocale sur le mot.

Selon un mode de réalisation, l'élément objet 710 crée un nouvel objet dynamique, par exemple :

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) - élément objet 710 : « jeux »

- contenu : « LETC »

- style :

• couleur : « rouge »

• taille de police : « 16px »

Et définir le comportement attendu via l'objet dynamique associé. Par exemple, souligner les palindromes possibles dans le texte.

Selon un autre exemple basé sur un plan de vol avion, l'élément objet 710, bien qu'unique, il peut permettre des interprétations différentes :

- élément objet 710 : « plot »

- appellation : « F-GAMA »

- Départ : « LFOX »

- Arrivée : « VDPP »

Dans cet exemple, l'ensemble de donnée est accessible à toute personne habilitée : la douane, les compagnies aériennes, les services d'alerte et de secours, l'armée, les services de contrôle aérien, etc.

C'est un même ensemble de données 799, disponible sur une même infrastructure. Et pourtant, chaque métier a besoin de la traiter différemment, selon ses propres contraintes. Dans un schéma classique, il conviendrait de créer autant d'infrastructures que de métiers. Or, avec le procédé de communication S700 de la présente demande, il suffit de créer l'objet dynamique attaché au métier.

L'élément branche 720, quant à lui, est aussi appelé « kids » et est configuré pour comprendre au moins un élément branche auxiliaire 721 et au moins un élément branche terminale 722 ou au moins un élément branche terminale 722. En effet, selon un mode de réalisation, l'élément branche auxiliaire 721 peut comprendre au moins un élément branche terminale 722 ou un autre élément branche auxiliaire 721 récursivement. Toutefois, un élément branche terminale 722 ne peut pas contenir d'autres éléments branches terminaux 722.

Par ailleurs, l'un des avantages à ce procédé de communication S700 est qu'il n'y a pas de limite au nombre d'élément objet 710 puisqu'ils sont uniques dans le même élément branche 720.

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) Dans l'exemple des figures 3A et 3B, l'ensemble de donnée est constitué d'un élément branche auxiliaire 721 de l'espèce « box » qui à son tour contient un autre élément branche auxiliaire 721 de l'espèce « section » lequel contient trois élément branche 720 terminaux, de trois espèces différentes : « note », « photo » et « bouton ».

Les éléments afficheur 740, aussi appelés « creator » et représentés à la figure 3C, de toutes ces espèces sont internes, c'est-à-dire que les codes capables de créer les graphiques sont déjà présents dans le dictionnaire de base du navigateur internet.

Le terminal est configuré pour exécuter un navigateur internet et le procédé de communication S700, quant à lui, est exécuté par le navigateur internet. Lorsque ce procédé de communication S700 est exécuté, différentes étapes sont mises en oeuvre.

En général, les navigateurs web ne peuvent comprendre que les trois langages de base CSS, HTML et Javascript. Le procédé de communication S700 de la présente invention permet de personnaliser, associer un type de contenu à un comportement spécifique et extensible.

En effet, le HTML n'est plus généré par le serveur mais localement, par le navigateur internet lui-même, via, en partie, par son moteur de rendu codé en Javascript.

L'une des étapes du procédé est l'étape d'analyse S710 de l'ensemble de données 799. À la suite de cette étape d'analyse S710 de l'ensemble de données 799, s'ensuit une étape de formation de l'arbre S720 qui comprend une étape d'exécution de l'élément afficheur S730 et/ou une étape d'exécution de l'élément objet S740.

Grâce à cette structure arborescente, il est donc possible d'agencer la présentation d'un contenu multimédia de la manière que l'on souhaite à partir de l'ensemble de données 799.

Lors de cette étape d'exécution de l'élément afficheur S730, le procédé de communication vérifie si l'élément afficheur 730 peut être interne ou externe. Dans le cas d'un élément afficheur 730 externe, c'est-à-dire lors de l'étape d'exécution de l'élément afficheur externe S734, l'élément afficheur 730 doit préciser comment le

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) moteur de rendu peut le trouver. Concrètement, ceci se fait grâce à la présence d'un schéma de localisation unifiée de ressource URL.

Lorsque l'élément afficheur 730 est interne, c'est-à-dire lors de l'étape d'exécution de l'élément afficheur interne S732, cela signifie que l'élément afficheur 730 ne contient aucune valeur. Dans ce cas, c'est le moteur de rendu peut, par exemple, trouver le code de l'élément afficheur 730 dans son dictionnaire de base, qui est une table associative reliant l'espèce de l'élément objet 710 au code de l'élément afficheur 730.

Enfin, que ce soit lors de l'étape d'exécution de l'élément afficheur interne S732 ou lors de l'étape d'exécution de l'élément afficheur externe S734, l'élément afficheur 730 est configuré pour créer une représentation graphique. En effet, un objet doit avoir un et un seul élément afficheur 730. L'élément afficheur 730 est un petit programme dont le rôle est de créer une représentation visuelle de l'objet, dans la hiérarchie arborescente de la page.

Une fois l'élément afficheur trouvé et exécuté, suit une étape d'exécution de l'élément objet S740, dans laquelle le procédé de communication vérifie si l'élément objet 710 comprend un extrait de code, en anglais « snippet » qui sera exécuté.

Dans le cas où l'élément objet 710 ne comprend pas d'extrait de code, comme sur la figure 3D, le procédé de communication reconnaît l'absence de l'extrait de code lors d'une étape de reconnaissance l'absence de l'extrait de code S742 est un message d'erreur sera généré lors d'une étape de génération de message d'erreur S743. Dans le cas contraire, si l'élément objet 710 comprend un extrait de code (non représenté), le procédé de communication garde en mémoire l'extrait de code lors d'une étape de sauvegarde de l'extrait de code de l'élément objet S744 avant d'être exécuté lors d'une étape d'exécution de l'extrait de code S750.

Si l'étape d'exécution de l'extrait de code S750 comporte des erreurs, un message d'erreur sera généré lors d'une étape de génération de message d'erreur S743. À l'inverse le procédé de communication S700 exécutera une étape de génération d'un langage de balisage HTML S760 par le navigateur internet pour représenter au moins un élément du DOM.

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) En effet, grâce à cette étape, le navigateur internet peut afficher du contenu décrit par le langage HTML en respectant sa position dans sa place dans l'arbre formé lors d'une étape d'insertion langage de balisage HTML S770.

En effet, les navigateurs internet sont basé sur le DOM et que celui-ci s'appuie sur du HTML, la génération du HTML est toujours faite du côté serveur mais jamais du coté utilisateur soit par le navigateur internet. Grâce à ce procédé de communication, le navigateur internet ne se contente plus de se connecter au serveur pour recevoir du HTML, avant de l'afficher, de la décorer avec du CSS et éventuellement de la rendre plus ou moins dynamique avec du code Javascript, puisqu'il est capable de générer par et pour lui-même le contenu désiré, spécifié par 710.

À la suite de cette étape d'insertion du langage de balisage HTML S770, le procédé de communication poursuit la lecture de l'arbre formé lors d'une étape de lecture S780 qui renvoie soit vers l'étape d'exécution de l'élément afficheur S730 soit termine le rendu de la page web en générant lors d'une étape de génération d'un message de rendu final S790.

Ainsi, grâce à cette disposition, le procédé de communication S700 permet de lire un langage de description de page web qui permet de faire une complète abstraction des trois langages CSS/HTML/Javascript. Le procédé de communication S700 permet également de réaliser le rendu de la page localement, sur le navigateur internet, par le navigateur internet, au lieu de le faire faire par des serveurs distants. Elle permet entre autre l'édition de la page en mode WYSIWYG. Le procédé de communication S700 propose un format dynamique et extensible de description de page web. Il permet de faire abstraction de la couche technique définie par le 3WC, complexe à maîtriser et à mettre en oeuvre. Le procédé de communication S700 réunit donc la richesse et la puissance du triptyque CSS/HTLM/Javascrpit.

Par ailleurs, le procédé de communication S700 utilise le format de données JSON. Ainsi, le volume de l'ensemble de données 799 à transférer est également réduit, comparé à un schéma où toute la page est transférée dans du HTML, ce qui permet également de réduire la consommation de la bande passante, d'une part.

En plus, par conception, l'ensemble des données 799 est entièrement sémantique, puisque la présence du dictionnaire permettre de savoir avec précision la nature de chaque objet défini par son attribut « kind », ainsi que ses autres attributs

FEUILLE DE REMPLACEMENT (RÈGLE 26) d'ordre qualificatifs (couleur, taille, etc.) ; descriptifs (commentaires, auteurs, lieu, etc.) ou autres méta données que le format JSON permet.

Basé sur le format JSON, le procédé de communication S700 permet de lire un format dynamique et extensible de description de contenu multimédia. Il est particulièrement adapté dans l'édition de pages web en mode WYSIWYG, grâce à une architecture autodescriptive.

Le procédé de communication S700 permet de faire une totale abstraction de la couche technique définie par le SWC, très complexe à maîtriser et à mettre en oeuvre. Autrement dit, il combine la richesse et la puissance du triptyque CSS/HTLM/Javascrpit aux avantages du JSON, compacte, léger, autonome, aussi bien compréhensible par les utilisateurs que par les machines. Cette combinaison permet de rendre les pages web « portables ».

En effet, une page web moderne est construite à l'aide des trois langages différents pour obtenir un document hiérarchique soit le langage HTML, décorative, le langage CSS et interactive, soit le langage Javascript. Ceci offre une puissance et une richesse de présentation. Seulement, le recours à trois langages différents pour atteindre cet objectif implique une mise en oeuvre très compliqué, surtout dès qu'il s'agit d'éditer de tel contenu en mode WYSIWYG, alors que le procédé de communication S700 regroupe les trois langages dans un seul, tout en préservant le caractère sans limite de la combinaison des trois langages de base.

Enfin, un autre avantage du procédé de communication S700 est une fluidité dans le partage de données, de sorte à les traiter en collaboration. En effet, avec un même ensemble de données 799, il est possible d'associer plusieurs vues, chacune propre à un rôle particulier comme l'exemple qui a été donné pour le plan d'avion.

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