L'invention concerne plus particulièrement un procédé de commande à distance d'actionneurs selon le préambule de la revendication 1. Elle concerne de plus un dispositif destiné à mettre en oeuvre un tel procédé et défini selon le préambule de la revendication 7.

La commande à distance d'actionneurs a été d'abord exclusivement filaire, puis sont apparus des dispositifs de commande nomade, infra-rouge, et plus récemment radio. On pourra alors parler de « transmetteur d'ordres » pour le point de commande, alors qu'on désignera par « récepteur d'ordres » le dispositif électronique associé à l'actionneur et capable de recevoir le signal, le décoder et appliquer la commande correspondante à l'actionneur.

Le transmetteur d'ordres est au moins unidirectionnel (émetteur), mais peut également tre bidirectionnel, ce qui permet par exemple de recevoir un accusé de réception de l'ordre émis, ou ce qui peut grandement simplifier la procédure de configuration de l'installation (appariement d'un transmetteur d'ordres à un récepteur d'ordres). De mme, le récepteur d'ordres est au moins unidirectionnel (récepteur) mais peut également tre bidirectionnel, ce qui permet par exemple de transmettre des données sur l'état de l'actionneur, ou ce qui peut également tre utile pour la phase de configuration de l'installation.

Un mme transmetteur d'ordres peut tre utilisé pour commander plusieurs récepteurs d'ordres, constituant alors une commande de groupe, voire mme la totalité des récepteurs d'ordres d'un type donné, constituant alors une commande générale pour les éléments de ce type. On comprend l'intért d'une liaison radio-fréquence pour diffuser ainsi de tels ordres, sans qu'il soit besoin de recourir à un câblage complexe.

Les actionneurs étant le plus souvent raccordés au réseau électrique, il a aussi été développé un procédé et des moyens de communication de type radiofréquences, mais utilisant les câbles d'alimentation du secteur pour guider la propagation. Il s'agit de la technique des courants porteurs.

L'utilisation de courants porteurs pour transmettre des ordres est déjà connue notamment par les brevets américains US 5, 475, 360 et EP 0 718 729.

Dans ces documents antérieurs, il est divulgué un usage de courants porteurs pour des applications d'éclairage ou de commande de volets roulants.

Chacun des procédés de propagation de la transmission par radio non guidée ou par courants porteurs présente des avantages et des inconvénients : dans le premier cas, l'avantage est la mobilité du transmetteur d'ordres, dans le deuxième cas, l'avantage est la sécurisation de la transmission dans l'ensemble de la maison ou du bâtiment, sans que la portée soit réduite par les murs ou par des huisseries métalliques.

Il a déjà été imaginé des dispositifs qui combinent deux modes de propagation pour un mme dispositif. Ainsi, le dispositif décrit dans le brevet européen EP 0 718 729 prévoit que l'unité de traitement d'un récepteur d'ordres puisse communiquer avec un transmetteur d'ordres par un moyen qui peut tre radio sans fil, tout en communiquant avec d'autres récepteurs d'ordres par le biais d'une interface domotique à courants porteurs.

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Dans les brevets américains US 5, 815, 086 et US 4,200, 862, il est prévu un dispositif à la fois récepteur infra-rouge et transmetteur d'ordres par courants porteurs, jouant un rôle de passerelle entre ces deux modes de propagation, s'agissant de s'intercaler à des télécommandes d'appareils multimédia.

Le brevet américain US 4, 763, 104 décrit une passerelle entre un câble coaxial servant de ligne de transmission multi-usage et le secteur. Les signaux de l'un sont reçus par un émetteur récepteur et des moyens de mise en forme et sont formatés par une unité de contrôle avant d'tre transmis sur la ligne secteur par l'usage de différents moyens.

Le brevet américain US 5,978, 371 décrit quant à lui un répéteur destiné à améliorer la communication dans un réseau de communication utilisant le protocole CEBus (Consumer Electronics Bus). Ce protocole se prte à une communication multimédia par courants porteurs, radio, paire torsadée, câble coaxial et infra-rouge. Le dispositif décrit dans ce brevet est notamment caractérisé par l'usage d'une table de routage, spécifiant les tâches de transmission du répéteur.

On trouve également la description de systèmes d'interfaçage ou de passerelle entre deux médias de communication dans le brevet américain US 5,570, 085.

Dans le brevet américain US6, 204, 796, il est prévu d'associer à un téléphone sans fil une fonctionnalité de télécommande universelle pour le pilotage infra-rouge de produits audiovisuels. Le combiné mobile servant de commande nomade, éventuellement relayée par son embase support.

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On connaît encore, de la demande de brevet EP 1 004 230, dans un domaine technique totalement différent, un dispositif de commande de certaines fonctions d'un tracteur agricole. Le dispositif communique par des moyens sans fil avec le tracteur, ainsi, un opérateur peut commander à distance certaines fonctions du tracteur. Plutôt que de réaliser un dispositif de commande similaire à l'intérieur de la cabine du tracteur, il est envisagé de réaliser un support permettant de fixer le dispositif de communication à distance dans la cabine. Il est de plus prévu des connexions électriques entre le tracteur et le dispositif pour pallier à une défaillance des moyens de transmission sans fil.

Le but de l'invention est de proposer un procédé de commande d'actionneurs d'un bâtiment permettant d'améliorer les procédés connus de l'état de la technique. En particulier, l'invention propose un procédé de commande permettant selon la nature des ordres à transmettre d'assurer la mobilité de l'utilisateur ou d'assurer la sécurité de transmission. L'invention concerne encore un dispositif permettant de mettre en oeuvre un tel procédé.

Le procédé selon l'invention est caractérisé par la partie caractérisante de la revendication 1.

Les revendications dépendantes 2 à 6 définissent des modes d'exécution du procédé.

Le dispositif selon l'invention est défini par la revendication indépendante 7.

Les revendications dépendantes 8 à 12 définissent différents modes de réalisation du dispositif.

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L'installation selon l'invention est défini par la revendication indépendante 13.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre en regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'à titre d'exemples non limitatifs.

La figure 1 illustre de façon schématique et à titre d'exemple non limitatif, une installation à laquelle s'applique l'invention.

La figure 2 est une vue schématique illustrant les moyens mettant en oeuvre l'invention.

La figure 3 illustre les différentes étapes du procédé de l'invention.

L'installation mettant en oeuvre le procédé de l'invention, est par exemple une installation destinée à équiper par exemple un bâtiment de tout type, selon laquelle le dispositif de commande à distance est destiné à la commande par exemple d'un système de gestion de confort, de contrôle ou d'alarme d'un bâtiment.

L'installation est constituée par un dispositif de commande (100) qui comprend au moins une unité mobile de commande ou transmetteur nomade (10), et au moins un actionneur (14,15) raccordé au réseau d'alimentation électrique (13). Elle comprend par ailleurs, un support (11) lui-mme raccordé au secteur (13), destiné à recevoir le transmetteur.

Notons que le ou les actionneurs (14,15) comprennent une unité de réception radio et/ou une interface de communication par courants porteurs.

Chaque actionneur est destiné à commander un élément tel qu'un élément d'occultation comme un volet roulant, une porte, une barrière, ou un éclairage, voire un système de climatisation.

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Le transmetteur (10) est notamment de type radio-fréquence ou infra- rouge, et permet la commande sans fil de l'actionneur auquel il est apparié, ledit transmetteur pouvant bien entendu aussi tre configuré pour recevoir des informations.

Bien qu'à la figure 1, il ait été représenté deux actionneurs, le dispositif peut bien entendu comprendre plus de deux actionneurs. Ceux-ci sont, comme on Fa vu précédemment, raccordés au secteur (13) pour tre alimentés en courant électrique.

Les actionneurs de l'installation peuvent tre de mme type ou de type différent. A titre d'exemple, le premier actionneur (14) est par exemple un moteur pour volets roulants, et ne comprend qu'un récepteur, voire émetteur-récepteur, permettant la communication sans fil, par exemple avec le transmetteur par radio, tandis-que le deuxième actionneur (15) est du type actionneur d'éclairage et ne comprend qu'une interface permettant la communication par courants porteurs, ce deuxième actionneur (15) étant hors de portée radio, ou en limite de portée.

Selon le mode proposé à titre d'exemple, le transmetteur d'ordres (10) est à double fonctionnalité. Ce dernier peut commander le premier actionneur (14) en tant que commande locale, et commander l'ensemble des actionneurs (14,15), en tant que commande générale. Le passage d'un mode local à un mode général est par exemple obtenu par combinaison de touches, ou appui prolongé sur l'une des touches, tel que cela est connu.

Le support (11) destiné à recevoir le transmetteur d'ordres (10) peut tre constitué en totalité ou en partie par un support du type mural ou un socle pouvant tre posé sur une table ou similaire. Afin de recevoir le transmetteur d'ordres, il peut tre aménagé dans le support (11) un logement

de réception (12) dans lequel peut tre introduit le transmetteur pour y tre retenu.

Bien entendu le logement de réception (11) du transmetteur (10) pourrait tre remplacé par tout moyens équivalents sur le plan technique et fonctionnel. En effet, on pourrait concevoir des moyens d'accrochage permettant au support de recevoir ledit transmetteur.

Par ailleurs, il est par exemple possible de prévoir un logement à deux positions, ou deux logements distincts, afin de séparer une position dans laquelle la liaison par courants porteurs serait assurée d'une position servant de support mécanique, et éventuellement de recharge de batteries, mais dans laquelle cette liaison par courants porteurs ne serait pas assurée.

On peut prévoir également le branchement sur le secteur (13) d'un dispositif interface (16) utilisé comme passerelle vers d'autres moyens de communication, permettant l'échange de données vers d'autres produits que ceux évoqués en introduction. Cette passerelle (16) permet par exemple un lien avec Internet ou un réseau de type Bluetooth (marque déposée).

On comprend donc que l'invention donne au transmetteur d'ordres (10) différentes fonctionnalités de communication selon qu'il est ou non logé sur son support. (ll).

La Figure 2 est une illustration des moyens mettant en oeuvre le procédé de l'invention, et supportant deux formes de réalisation distinctes, selon le découpage matériel effectué entre les fonctionnalités localisées dans le boîtier de commande nomade et celles localisées dans le boîtier fixe. Le choix entre ces formes de réalisation, ou d'autres pouvant supporter le

procédé selon l'invention, sera dicté par des considérations de moindre coût, et/ou d'autonomie, ou encore d'ergonomie.

Selon un premier mode d'exécution, le boîtier de télécommande nomade contient une antenne (21) et un module de transmission radio unidirectionnel (émetteur) ou bidirectionnel (22), lui-mme en relation avec un microprocesseur (24), relié par des entrées et sorties à un clavier, ou un ensemble clavier et écran, (23). Bien entendu, le clavier pourrait tre en totalité ou en partie remplacé par une commande de type à reconnaissance vocale.

Par ailleurs, le microprocesseur (24) est également relié à un ensemble de communication par courants porteurs (26,30) selon des modalités qui différencient les deux modes de réalisation.

Depuis le secteur (31), on trouve d'abord un coupleur (29) par transformateur ou par effet capacitif, selon les procédés de l'art antérieur, et un ensemble de communication par courants porteurs, constitué par un modulateur démodulateur (modem) (30) travaillant à la fréquence de modulation spécifique des courants porteurs et enfin un module de contrôle de la liaison par courants porteurs (26), chargé notamment de la détection de porteuse et de la synchronisation avec le secteur. Il va de soi que le module de contrôle de la liaison par courants porteurs (26), pourrait tre directement relié au secteur.

Grâce aux moyens mis en oeuvre, on comprend que le microprocesseur est averti de la présence de la commande sur son support simplement du fait de la détection de présence secteur.

Notons qu'une mémoire (25) associée au microprocesseur (24) contient le programme exécutable par le transmetteur d'ordres, notamment de gestion de clavier (23) et/ou d'afficheur et de détection de présence secteur.

La mémoire programme contient une partie (25) affectée de manière fixe ou dynamique aux applications de gestion de commande et/ou tout ou partie des applications de communications communes aux deux modes de transmission, une partie (27) affectée de manière fixe ou dynamique à tout ou partie des tâches de communication sans fil, et une autre partie (28) affectée de manière fixe ou dynamique à tout ou partie des tâches de communication par courants porteurs ; La mémoire (25) contient également toutes les « couches hautes » du protocole de communication, communes aux deux modes de transmission.

Sans que cela implique une véritable partition physique ou l'usage de plusieurs mémoires, on a représenté de manière séparée en (27) et en (28) l'implantation des programmes spécifiques aux couches basses de protocole de communication, selon qu'il s'agit d'une transmission radio ou d'une transmission par courants porteurs.

Dans le mode d'exécution préféré, seule la couche physique (couche 1 du modèle OSI) est concernée par l'existence de deux programmes différents.

On comprend donc que l'invention présente un avantage important de réduction dans la complexité et les coûts par le recours à un maximum de modules matériels et/ou logiciels communs.

Enfin, on a représenté en (32) le dispositif convertisseur AC-DC permettant, s'il est implanté, une recharge d'accumulateurs de la télécommande nomade. Ce dispositif est ici placé en aval du coupleur (29), mais rien n'interdit de relier son entrée directement au secteur (31).

On remarquera cependant que la disposition représentée par la figure 2 se prte à un lien non galvanique entre la télécommande nomade et le secteur, sous forme de couplage purement inductif, permettant de se dispenser de tout connecteur. La séparation physique entre le support fixe et le boîtier nomade est alors représentée par le pointillé (33).

Comme cela a été mentionné, il est possible de recourir à des variantes d'implantation.

Un deuxième mode de réalisation consiste notamment à implanter un maximum de composants dans le support, afin de minimiser l'électronique embarquée dans la commande nomade. Dans ce cas, le modulateur démodulateur (30), le module de contrôle (26), et le dispositif convertisseur (32) seront avantageusement intégrés dans le support fixe, et la séparation physique précédente sera cette fois placée selon le pointillé (34).

La figure 3 représente maintenant un mode réalisation du procédé selon l'invention, sous forme d'ordinogramme, dans le cas d'émission d'un ordre à partir de la télécommande.

Avant l'étape d'émission d'ordres (50), on suppose que le transmetteur d'ordres (10) a été configuré pour servir à la fois de commande locale (pour un premier mode d'utilisation des touches) et de commande générale (pour un deuxième mode d'utilisation des touches). Le transmetteur est également configurable pour fonctionner systématiquement le mode dit « Dual » (les

deux transmissions) quand il est sur son support. Cette configuration est obtenue par construction, ou à l'aide d'un contact particulier du clavier, ou par une séquence d'apprentissage.

Lors de l'étape d'émission d'ordres (50), il est appuyé sur une touche du clavier pour émettre un ordre. Cet ordre est codé selon une trame spécifique.

Lors de l'étape de détection (52), un premier test est réalisé pour savoir si la télécommande (10) est sur son support (11), ou au moins dans une position permettant la communication par courants porteurs. Ce test peut simplement consister à vérifier la présence secteur à partir d'une entrée du microprocesseur en relation avec une sortie du module de contrôle (26). Si la détection est négative, on passe à l'étape suivante (60) qui consiste à activer un mode dans lequel le transmetteur envoie des ordres par transmission sans fil uniquement. Tandis-que s'il y a détection de présence, on passe à l'étape de test de type d'ordres (54), qui est un deuxième test, lors de laquelle il est testé si le mode « Dual » a été activé.

Si le mode « Dual » a été activé, on passe à l'étape de transmission radio et courants porteurs (62). Lors de cette l'étape (62), la trame est transmise à la fois au transmetteur radio (22) et au transmetteur par courants porteurs (26).

Si le mode « Dual » n'a pas été activé, on passe à l'étape de test de transmission d'ordres (56), qui est un troisième test, lors de laquelle on teste si l'ordre est de type commande locale, auquel cas on passe à l'étape d'activation radio (64), tandis qu'on passe à l'étape d'activation par courants porteurs (66) s'il s'agit d'un ordre de type particulier, par exemple une commande générale ou une commande du type particulier, comme une commande d'alarme.

A l'étape (64), on active simplement une transmission radio, comme à l'étape (60), tandis qu'à l'étape d'activation par courants porteurs (66) on active simplement une transmission par courants porteurs.

En variante, il peut tre préféré d'activer uniquement la transmission par courants porteurs dans ces deux étapes, ou encore d'activer la commande radio seule à l'étape (64) et les deux moyens de transmission à l'étape (66), ou enfin la seule transmission par courants porteurs à l'étape (64) et les deux transmissions à l'étape (66) : l'important dans le cadre de l'invention étant cette pluralité de choix, à l'initiative du seul constructeur, et/ou de l'installateur, et/ou de l'utilisateur, dès que la présence du secteur est détectée.

Il est clair que, dans une version simple du procédé, on évitera le troisième test qui est l'étape de test de type d'ordres (56), en ayant recours à un seul choix de mode (s) de transmission quel que soit le type de commande, par exemple recours systématique à la seule transmission par courants porteurs, ou recours systématique à la combinaison des deux modes.

Dans une version encore plus simplifiée, on évitera également le deuxième test (54), en ayant recours à un seul choix de mode (s) de transmission dès que la présence secteur est détectée, par exemple recours systématique à la seule transmission par courants porteurs, ou recours systématique à la combinaison des deux modes.

Enfin, il est clair que les tests précédents peuvent tre réalisés dans un ordre différent selon les facilités de programmation.

On remarquera pour terminer que les trames peuvent tre également envoyées de manière systématique sur les deux moyens de communication, transmission radio et transmission par courants porteurs (22,26), avec simplement une commande de validation de l'un et/ou de l'autre des moyens, adressée depuis le microprocesseur (24).

Outre les avantages de l'invention qui découlent de ce qui vient d'tre décrit, il est également possible de mettre à profit la liaison avec le secteur (13) pour : - soit, simplement déterminer l'existence d'un évènement initiateur commun provoqué sur le secteur, servant, par exemple, de commande de réinitialisation de registres mémoires ou toute autre commande, notamment utilisable dans un processus de mise en écoute commune ; un tel évènement reconnaissable est, par exemple, une double coupure de la tension secteur ; - soit propager, vers le transmetteur d'ordres, par le fil secteur et l'usage de la transmission par courants porteurs, tout type d'information dont il est utile qu'elle ne soit pas propagée par radio : par exemple, une clé de cryptage, une clé commune d'authentification ou simplement un nom de groupe.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits et représentés à titre d'exemples, mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leurs combinaisons.