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Title:
MOBILE TERMINAL AND CELLULAR NETWORK WITH PHOTONIC ANTENNAS AND PSEUDO-SATELLITES TO INCREASE TRANSFER RATES AND REDUCE THE RISK OF BRAIN DISEASE AND RF ELECTROMAGNETIC POLLUTION
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/015833
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a hybrid RF-optical terminal, such as a smartphone or the like, comprising several optoelectronic or photonic antennas with selective optical filters connected by optical fibres to photo-emitters and photo-detectors, including beacons for signalling transmission-reception directions and wavelengths in service, and beacon detectors. These antennas form, along the edges of the housing, an array having adaptive positions, transmission-reception directions and wavelengths (APDLO). Photonic communications system for connecting by wireless optics, at very high speeds like optical fibre, an RF cellular network to the terminal in almost any position: - it operates without a power supply or a cable; - it communicates with said cellular network by parallel optical beams (FROP); - it communicates with said terminal by line-of-sight (LOS), via photonic pseudo-satellites forming interference-free adaptive enveloping optical cells APDLO, having passage/deflection paths for other FROPs. Adapters. Photonic repeaters. Protocols. Manufacturing methods.

Inventors:
ABDERHAMANE AHMAD (FR)
Application Number:
PCT/EP2018/069694
Publication Date:
January 23, 2020
Filing Date:
July 19, 2018
Export Citation:
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Assignee:
ABDERHAMANE AHMAD (FR)
International Classes:
H04B10/116; H04B10/114
Domestic Patent References:
WO2000056051A12000-09-21
Foreign References:
US6795655B12004-09-21
GB2510162A2014-07-30
US20030228098A12003-12-11
US4960315A1990-10-02
US4456793A1984-06-26
US4727600A1988-02-23
US4775996A1988-10-04
US5596648A1997-01-21
DE4310230A11994-06-01
EP1331691A12003-07-30
Other References:
X. NING; R. WINSTON; J. O'GALLAGHER, APPLIED OPTICS, 1987
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Dispositif de communications par optique sans fil, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il est constitué d’un substrat ayant une ou plusieurs cavités destinées au passage de rayonnements optiques et comprenant au moins les éléments suivants :

bl -Un ou plusieurs concentrateurs de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée au dit dispositif, en une ou plusieurs sources quasi- ponctuelles ; et

b2 -Une ou plusieurs lentilles de collimation destinées à la transformation de ladite ou desdites sources quasi-ponctuelles en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles ; et

b3 -Un ou plusieurs filtres optiques passe-bandes, dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible, destinés au filtrage des faisceaux émergents de ladite ou desdites lentilles de collimation ; et

b4 -Une ou plusieurs lentilles de focalisation destinées à la transformation des faisceaux de rayons optiques parallèles émergents dudit ou desdits filtres optiques, en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles pour une transmission par une ou plusieurs fibres optiques ; et

b5 -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour acheminer ladite ou lesdites sources quasi-ponctuelles, après ledit filtrage optique, jusqu’à un ou plusieurs photo-détecteurs.

NB : Par définition :

L’abrégé de « Optique sans fil » est « OSF ».

Ladite zone délimitée de l’espace liée au dit dispositif est dénommée « Zone de couverture optique ».

Un dispositif de communications par OSF selon la revendication 1 est dénommé « Antenne photonique de réception à Filtre Optique Sélectif Intégré » ou « Antenne photonique FOSI de réception ».

Ledit faisceau de rayons optiques parallèles selon la revendication 1 est dénommé « Mini-FROP » ou « Faisceau Mini-FROP ».

2. Antenne photonique FOSI de réception selon la revendication 1, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient un ou plusieurs miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par réflexion un faisceau Mini- FROP émergent de l’une desdites lentilles de collimation, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage de l’un desdits filtres optiques passe-bandes.

NB : Par définition :

Une antenne photonique FOSI de réception selon la revendication 3 est dénommé « Antenne photonique FOSI de réception à Micro-Miroirs Intégrés » ou «Antenne photonique FOSI-MMI de réception ».

3. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 2, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient une portion sous forme de canal, abritant un segment de fibre optique pour acheminer l’une desdites sources quasi-ponctuelles jusqu’au foyer de l’une desdites lentilles de collimation.

4. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que ledit segment de fibre optique est obtenu par injection d’un polymère PMMA, i.e. Polymethyl méthacrylate, le cas échéant après dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage.

NB : Par définition :

- Une antenne photonique FOSI de réception selon la revendication 3 ou 4 est dénommé « Antenne photonique FOSI de réception à Fibres Optiques Intégré » ou « Antenne photonique FOSI-FOI de réception ».

5. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que :

- a) Le nombre desdites lentilles de collimation est égal au nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques ; et

- b) Le nombre desdits filtres optiques passe-bandes est égal au nombre desdites lentilles de collimation ; et

- c) Le nombre desdites lentilles de focalisation est égal au nombre desdits filtres optiques passe-bandes.

6. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que ledit ou lesdits filtres optiques passe- bandes ont des bandes passantes étroites.

7. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que ledit ou lesdits filtres optiques passe- bandes sont des filtres interférentiels.

8. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que lesdits filtres optiques passe-bandes ont des bandes passantes centrées sur une même longueur d’onde. NB : Par définition :

Une antenne photonique FOSI de réception selon la revendication 8 est dénommé « Antenne photonique FOSI de réception à longueur d’onde unique ».

- Une antenne photonique FOSI de réception qui n’est pas à longueur d’onde unique est dénommé « Antenne photonique FOSI de réception à longueurs d’onde multiples ».

9. Dispositif de communications par optique sans fil, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou dans celui d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il comporte, au moins :

bl -Des moyens de concentration des rayonnements incidents émis par des sources optiques localisées dans la zone de couverture optique dudit dispositif, en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles ; et

b2 -Des moyens de filtrage optique de ladite ou desdites sources quasi- ponctuelles ; et

b3 -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour acheminer ladite ou lesdites sources quasi-ponctuelles, après ledit filtrage optique, jusqu’à un ou plusieurs photo-détecteurs.

10. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il est constitué d’un substrat ayant une ou plusieurs cavités destinées au passage des rayonnements optiques et comprenant au moins les éléments suivants :

bl -Un ou plusieurs concentrateurs de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans la zone de couverture optique dudit dispositif, en une ou plusieurs sources quasi- ponctuelles ; et

b2 -Une ou plusieurs lentilles de collimation destinées à la transformation de ladite ou desdites sources quasi-ponctuelles en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles ; et

b3 -Une ou plusieurs lentilles de focalisation destinées à la transformation des faisceaux de rayons optiques parallèles émergents de ladite ou desdites lentilles de collimation, en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles pour une transmission par une ou plusieurs fibres optiques ; et

b4 -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour acheminer ladite ou lesdites sources quasi-ponctuelles jusqu’à un ou plusieurs photo-détecteurs.

NB : Par définition :

Un dispositif de communications par OSF selon la revendication 10 est dénommé « Antenne photonique neutre de réception ».

11. Antenne photonique neutre de réception selon la revendication 10, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient un ou plusieurs miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par réflexion un faisceau Mini- FROP émergent de l’une desdites lentilles de collimation, afin de lui permettre d’arriver parallèlement à l’axe de l’une desdites lentilles de focalisation.

NB : Par définition :

Une antenne photonique neutre de réception selon la revendication 11 est dénommé « Antenne photonique neutre de réception à Micro-Miroir Intégré » ou « Antenne photonique neutre MMI de réception ».

12. Antenne photonique neutre de réception selon l’une quelconque des revendications 10 à 11, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient une portion sous forme de canal, abritant un segment de fibre optique pour acheminer l’une desdites sources quasi-ponctuelles jusqu’au foyer de l’une desdites lentilles de collimation.

13. Antenne photonique neutre de réception selon l’une quelconque des revendications 10 à 12, caractérisé en ce que ledit segment de fibre optique est obtenu par injection d’un polymère PMMA, le cas échéant, après dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage.

NB : Par définition :

- Une antenne photonique neutre de réception selon l’une des revendications

12 à 13 est dénommé « Antenne photonique neutre de réception à Fibre-

Optique Intégré » ou « Antenne photonique neutre FOPI de réception ».

14. Antenne photonique neutre de réception selon l’une quelconque des revendications 10 à 13, caractérisé en ce que :

- a) Le nombre desdites lentilles de collimation est égal au nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques ; et

- b) Le nombre desdites lentilles de focalisation est égal au nombre desdites lentilles de collimation.

15. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou dans celui d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il comporte, au moins :

bl -Des moyens de concentration des rayonnements incidents émis par des sources optiques localisées dans la zone de couverture optique dudit dispositif, en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles ; et

b2 -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour acheminer ladite ou lesdites sources quasi-ponctuelles jusqu’à un ou plusieurs photo-détecteurs.

16. Antenne photonique FOSI de réception selon l’une quelconque des revendications 5 à 8 ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 14, caractérisé en ce que ledit substrat contient des canaux dont le nombre est égal à celui desdites lentilles de focalisation et dont chacun permet l’introduction d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de Tune desdites lentilles de focalisation.

17. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon l’une quelconque des revendications 1 à 16, caractérisé en ce que lesdits concentrateurs optiques sont de l’un des types suivants :

- a) DTIRC, abrégé de « Dielectric Totally Internally Reflecting Concentrator» ;

- b) CPC, abrégé de « Compound Parabolic Concentrator » ;

- c) DTIRC Parabolique ;

- d) DTIRC elliptique ;

- e) Concentrateur hémisphérique ;

- f) Concentrateur imageur.

18. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon Tune quelconque des revendications 1 à 17, caractérisé en ce que lesdits concentrateurs de rayonnements optiques sont quasi-identiques. 19. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon Tune quelconque des revendications 1 à 18, caractérisé en ce que ladite ou lesdites lentilles de collimation sont des lentilles billes.

20. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon Tune quelconque des revendications 1 à 19, caractérisé en ce que ladite ou lesdites lentilles de focalisation sont des lentilles billes.

21. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon Tune quelconque des revendications 1 à 20, caractérisé en ce qu’une partie dudit substrat est quasiment de la forme d’un segment de cylindre dont la droite génératrice est orthogonale au plan contenant la courbe directrice. 22. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 21, caractérisé en ce que ladite courbe directrice délimite une surface plane convexe, i.e. une surface plane telle que si deux points quelconques sont inclus dans ladite surface, alors le segment de droite qu’ils forment est inclus dans ladite surface.

23. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 22, caractérisé en ce que ladite courbe directrice délimitant une surface plane convexe possède un plan de symétrie.

24. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon l’une quelconque des revendications 21 à 23, caractérisé en ce que ledit segment de cylindre est délimitée par deux plans orthogonaux à ladite droite génératrice.

25. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 24, caractérisé en ce que ladite courbe directrice est un polygone ayant un plan de symétrie.

NB : Par définition :

Chaque face dudit segment de cylindre qui n’appartient pas à un plan orthogonal à ladite droite génératrice selon la revendication 25 est dénommé « Facette ». 26. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 25, caractérisé en ce que lesdits concentrateurs de rayonnements optiques sont installés sur des facettes dudit substrat de manière à ce que l’axe optique de chacun d’entre eux soit parallèle à la normale du plan de la facette sur laquelle il est installé. NB : Par définition :

La normale du plan de la facette dudit substrat sur laquelle est installé un concentrateur de rayonnements optiques selon la revendication 26 est dénommé « Direction de réception ».

27. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2 » et ils sont répartis sur deux facettes symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et séparées par une facette commune qui est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

28. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 3 » et ils sont répartis sur trois facettes adjacentes dont deux sont symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

29. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 5 » et ils sont répartis sur cinq facettes adjacentes dont quatre sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

30. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 7 » et ils sont répartis sur sept facettes adjacentes dont six sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

31. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2N » où « N » est un nombre entier supérieur à « 2 », et ils sont répartis sur « 2 N » facettes adjacentes deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie.

32. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 26, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2N+1 » où « N » est un nombre entier supérieur à « 3 », et ils sont répartis sur « 2N+1 » facettes adjacentes dont « 2N » sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie. 33. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 23 ou 24, caractérisé en ce que ladite courbe directrice est un demi-cercle ou une demi-ellipse ou un arc ayant un plan de symétrie et dont les deux extrémités sont reliées par un segment de droite.

34. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 33, caractérisé en ce que lesdits concentrateurs de rayonnements optiques sont répartis en différents points de la surface de la partie convexe dudit substrat, de manière à ce que l’axe optique de chacun d’entre eux soit parallèle à la normale du plan tangent à la surface dudit substrat au point considéré.

NB : Par définition :

La normale du plan tangent à la surface dudit substrat au point où un concentrateur de rayonnements optiques est installé selon la revendication 34 est dénommé « Direction de réception ».

35. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2 » et ils sont répartis en deux points de la surface dudit substrat qui sont symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie.

36. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 3 » et ils sont répartis en trois points de la surface dudit substrat dont deux desdits points sont symétriques par rapport au Plan de Symétrie de la partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

37. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 5 » et ils sont répartis en cinq points de la surface dudit substrat dont quatre points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

38. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 7 » et ils sont répartis en sept points de la surface dudit substrat dont six points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

39. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2N », où « N » est un nombre entier supérieur à « 2 », et ils sont répartis en « 2N » points de la surface dudit substrat qui sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe.

40. Antenne photonique FOSI de réception ou antenne photonique neutre de réception selon la revendication 34, caractérisé en ce que le nombre desdits concentrateurs de rayonnements optiques est égal à « 2N+1 », où « N » est un nombre entier supérieur à « 3 », et ils sont répartis en « 2N+1 » points de la surface dudit substrat dont « 2N » points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

41. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il est constitué d’un substrat ayant une ou plusieurs cavités destinées au passage des rayonnements optiques et comprenant au moins les éléments suivants :

bl -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour recevoir une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques émises par un ou plusieurs photo-émetteurs ; et

b2 -Une ou plusieurs lentilles de collimation destinées à la transformation d’une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnement, transmises par une ou plusieurs fibres optiques, en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles ;

b3 -Un ou plusieurs filtres optiques passe-bandes, dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible, destinés au filtrage des faisceaux émergents de ladite ou desdites lentilles de collimation ; et

b4 -Un ou plusieurs diffuseurs de rayonnements optiques destinés à la transformation des faisceaux émergents dudit ou desdits filtres optiques, en une ou plusieurs sources étendues de diffusion de rayonnements optiques dans la zone de couverture dudit dispositif. NB : Par définition :

Un dispositif de communications par OSF selon la revendication 41 est dénommé « Antenne photonique d’émission à Filtre Optique Sélectif Intégré » ou « Antenne photonique FOSI d’émission ». 42. Antenne photonique FOSI d’émission selon la revendication 41, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient un ou plusieurs miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par réflexion un faisceau Mini- FROP émergent de l’une desdites lentilles de collimation, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage de l’un desdits filtres optiques passe-bandes.

NB : Par définition :

Une antenne photonique FOSI d’émission selon la revendication 42 est dénommé «Antenne photonique FOSI d’émission à Micro-Miroir Intégré » ou « Antenne photonique FOSI-MMI d’émission ». 43. Antenne photonique FOSI d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 42, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient une portion, sous forme de canal, abritant un segment de fibre optique pour acheminer l’une desdites sources quasi-ponctuelles jusqu’au foyer de l’une desdites lentilles de collimation. 44. Antenne photonique FOSI d’émission selon la revendication 43, caractérisé en ce que ledit segment de fibre optique est obtenu par injection d’un polymère PMMA, le cas échéant après dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage.

NB : Par définition :

- Une antenne photonique FOSI d’émission selon l’une des deux revendications 44 est dénommé « Antenne photonique FOSI d’émission à Fibre-Optique Intégré » ou « Antenne photonique FOSI-FOI d’émission ».

45. Antenne photonique FOSI d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 44, caractérisé en ce que : - a) Le nombre desdites lentilles de collimation est égal au nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques ; et

- b) Le nombre desdits filtres optiques passe-bandes est égal au nombre desdites lentilles de collimation. 46. Antenne photonique FOSI d’émission selon la revendication 45, caractérisé en ce que ledit substrat contient des canaux dont le nombre est égal à celui desdites lentilles de collimation et dont chacun permet l’introduction d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de l’une desdites lentilles de collimation. 47. Antenne photonique FOSI d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 46, caractérisé en ce que ledit ou lesdits filtres optiques passe- bandes ont des bandes passantes étroites.

48. Antenne photonique FOSI d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 47, caractérisé en ce que ledit ou lesdits filtres optiques passe- bandes sont des filtres interférentiels.

49. Antenne photonique FOSI d’émission selon l’une quelconque des revendications 47 à 48, caractérisé en ce que ledit ou lesdits filtres optiques passe- bandes ont des bandes passantes centrées sur une même longueur d’onde.

NB : Par définition :

- Une antenne photonique FOSI de réception selon la revendication 49 est dénommé « Antenne photonique FOSI d’émission à longueur d’onde unique ».

- Une antenne photonique FOSI d’émission qui n’est pas à longueur d’onde unique est dénommé « Antenne photonique FOSI d’émission à longueurs d’onde multiples ».

50. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou dans celui d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ;

- b) Il comporte, au moins : bl -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour recevoir une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques émises par un ou plusieurs photo-émetteurs ; et

b2 -Des moyens de filtrage optique de ladite ou desdites sources quasi- ponctuelles ; et

b3 -Des moyens de diffusion de ladite ou desdites sources quasi-ponctuelles dans la zone de couverture optique dudit dispositif, après ledit filtrage optique, sous la forme d’une ou plusieurs sources étendues de rayonnements.

51. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ; et

- b) Il est constitué d’un substrat ayant une ou plusieurs cavités destinées au passage des rayonnements optiques et comprenant au moins les éléments suivants :

bl -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour recevoir une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques émises par un ou plusieurs photo-émetteurs ; et

b2 -Une ou plusieurs lentilles de collimation destinées à la transformation d’une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnement transmises par une ou plusieurs fibres optiques, en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles ; et

b3 -Un ou plusieurs diffuseurs de rayonnements optiques destinés à la transformation des faisceaux émergents de ladite ou desdites lentilles de collimation, en une ou plusieurs sources étendues de diffusion de rayonnements optiques dans la zone de couverture dudit dispositif.

NB : Par définition :

- Un dispositif de communication par OSF selon la revendication 51 est dénommé « Antenne photonique neutre d’émission ».

52. Antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 51, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient un ou plusieurs miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par réflexion un faisceau Mini- FROP émergent de l’une desdites lentilles de collimation, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de diffusion de l’un desdits diffuseurs optiques. NB : Par définition :

Une antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 52 est dénommé « Antenne photonique neutre d’émission à Micro-Miroir Intégré » ou « Antenne photonique neutre MMI d’émission ». 53. Antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 51 à 52, caractérisé en ce qu’au moins l’une desdites cavités contient une portion sous forme de canal, abritant un segment de fibre optique pour acheminer l’une desdites sources quasi-ponctuelles jusqu’au foyer de l’une desdites lentilles de collimation. 54. Antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 53, caractérisé en ce que ledit segment de fibre optique est obtenu par injection d’un polymère PMMA, le cas échéant, après dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage.

NB : Par définition :

- Une antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 54 est dénommé « Antenne photonique neutre d’émission à Fibre-Optique Intégré » ou « Antenne photonique neutre FOPI d’émission ».

55. Antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 51 à 54, caractérisé en ce que le nombre desdites lentilles de collimation est égal au nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques.

56. Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce que :

- a) Il peut être intégré au boîtier d’un terminal mobile ou dans celui d’un autre appareil électronique ou dans un boîtier quelconque dédié ;

- b) Il comporte, au moins :

bl -Des moyens de connexion à une ou plusieurs fibres optiques pour recevoir une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques émises par un ou plusieurs photo-émetteurs ; et

b2 -Des moyens de diffusion de ladite ou desdites sources quasi-ponctuelles dans la zone de couverture optique dudit dispositif, sous la forme d’une ou plusieurs sources étendues de rayonnements.

57. Antenne photonique FOSI d’émission selon la revendication 46 ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 55, caractérisé en ce que ledit substrat contient des canaux dont le nombre est égal à celui desdites lentilles de collimation et dont chacun permet l’introduction d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de l’une desdites lentilles de collimation.

58. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 57, caractérisé en ce que lesdits diffuseurs de rayonnements optiques sont des diffuseurs holographiques ou des diffuseurs ayant des caractéristiques techniques au moins équivalentes.

59. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 58, caractérisé en ce que lesdits diffuseurs de rayonnements optiques sont quasi-identiques.

60. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 59, caractérisé en ce que ladite ou lesdites lentilles de collimation sont des lentilles billes.

61. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 41 à 60, caractérisé en ce qu’une partie dudit substrat est quasiment de la forme d’un segment de cylindre dont la droite génératrice est orthogonale au plan contenant la courbe directrice.

62. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 61, caractérisé en ce que ladite courbe directrice délimite une surface plane convexe.

63. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 62, caractérisé en ce que ladite courbe directrice délimitant une surface plane convexe possède un Plan de Symétrie.

64. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon l’une quelconque des revendications 61 à 63, caractérisé en ce que ledit segment de cylindre est délimitée par deux plans orthogonaux à ladite droite génératrice.

65. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 64, caractérisé en ce que ladite courbe directrice est un polygone ayant un Plan de Symétrie.

NB : Par définition, chaque face dudit segment de cylindre qui n’appartient pas à un plan orthogonal à ladite droite génératrice selon la revendication ci-dessus est dénommé « Facette ».

66. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 65, caractérisé en ce que lesdits diffuseurs de rayonnements optiques sont installés sur des facettes dudit substrat de manière à ce que l’axe optique de chacun d’entre eux soit parallèle à la normale du plan de la facette sur laquelle il est installé.

NB : Par définition :

- La normale du plan de la facette dudit substrat sur laquelle est installé un diffuseur de rayonnements optiques selon la revendication 66 est dénommé « Direction d’émission ».

67. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2 » et ils sont répartis sur deux facettes symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et séparées par une facette commune qui est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

68. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 3 » et ils sont répartis sur trois facettes adjacentes dont deux sont symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

69. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 5 » et ils sont répartis sur cinq facettes adjacentes dont quatre sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

70. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 7 » et ils sont répartis sur sept facettes adjacentes dont six sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

71. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2N», où « N» est un nombre entier supérieur à « 2 », et ils sont répartis sur « 2 N » facettes adjacentes deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie.

72. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 66, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2N+I », où « N » est un nombre entier supérieur à « 3 », et ils sont répartis sur « 2N+ 1 » facettes adjacentes dont « 2N » sont deux à deux symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie et l’autre est orthogonale au dit Plan de Symétrie.

73. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon les revendications 63 et 64, caractérisé en ce que ladite courbe directrice est un demi-cercle ou une demi-ellipse ou un arc ayant un plan de symétrie et dont les deux extrémités sont reliées par un segment de droite.

74. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 73, caractérisé en ce que lesdits diffuseurs de rayonnements optiques sont répartis en différents points de la surface de la partie convexe dudit substrat, de manière à ce que l’axe optique de chacun d’entre eux soit parallèle à la normale du plan tangent à la surface dudit substrat au point considéré.

NB : Par définition : La normale du plan tangent à la surface dudit substrat au point où un diffuseur de rayonnements optiques est installé selon la revendication 74 est dénommé « Direction de réception ».

75. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2 » et ils sont répartis en deux points de la surface dudit substrat qui sont symétriques par rapport au dit Plan de Symétrie.

76. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 3 » et ils sont répartis en trois points de la surface dudit substrat dont deux desdits points sont symétriques par rapport au Plan de Symétrie de la partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie. 77. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 5 » et ils sont répartis en cinq points de la surface dudit substrat dont quatre points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

78. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 7 » et ils sont répartis en sept points de la surface dudit substrat dont six points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

79. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2N », où « N » est un nombre entier supérieur à « 2 », et ils sont répartis en « 2N » points de la surface dudit substrat qui sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe.

80. Antenne photonique FOSI d’émission ou antenne photonique neutre d’émission selon la revendication 74, caractérisé en ce que le nombre desdits diffuseurs de rayonnements optiques est égal à « 2N+1 », où « N » est un nombre entier supérieur à « 3 », et ils sont répartis en « 2N+1 » points de la surface dudit substrat dont « 2N » points sont deux à deux symétriques par rapport au Plan de Symétrie de ladite partie convexe et l’autre appartient au plan orthogonal au dit Plan de Symétrie.

81. Groupement de deux antennes photoniques FOSI de réception ayant chacune une longueur d’onde unique et « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « 2N » directions de réception dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Les deux longueurs d’onde de réception sont différentes.

82. Groupement de « M» antennes photoniques FOSI de réception ayant chacune une longueur d’onde unique et « N » directions de réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « M x N » directions de réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs « M » longueurs d’onde unique sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 82 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques FOSI de réception à « M» antennes à longueur d’onde unique et à « N » directions de réception ».

- L’ensemble des « M » longueurs d’onde de réception est dénommé « Lambda-Matrix » et les longueurs d’onde sont dénommées « Lmda-Rl », ..., « Lmda-RM » ;

En notation ensembliste on a : Lambda-Matrix = {Lmda-Rl, ..., Lmda- RM).

83. Groupement de deux antennes photoniques FOSI de réception ayant chacune des longueurs d’onde multiples et « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que : - a) Les « 2N » directions de réception dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Les longueurs d’onde de réception sont différentes.

84. Groupement de « M» antennes photoniques FOSI de réception ayant chacune des longueurs d’onde multiples et « N » Directions de réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « M x N » directions de réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs longueurs d’onde sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 84 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques FOSI de réception à « M» antennes à longueurs d’onde multiples et à « N » directions de réception ». 85. Matrice d’antennes photo niques FOSI de réception à « TV» directions de réception selon l’une quelconque des revendications 82 à 84, caractérisé en ce qu’elle est bornée par deux antennes photoniques FOSI de réception dédiées à la détection des signaux de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation. NB : Par définition :

- Une antenne photoniques FOSI de réception dédiée à la détection des signaux des balises est dénommée « Détecteur de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation » ou « Détecteur de balises BSDLO » ;

- Un détecteur de balises qui est placé devant le Ier élément de la matrice est dénommé « Premier détecteur de balises BSDLO de la matrice » ;

Un détecteur de balises qui est placé derrière le dernier élément de la matrice est dénommé « Deuxième détecteur de balises BSDLO de la matrice ».

86. Matrice d’antennes photoniques FOSI de réception selon la revendication 85, caractérisé en ce que les deux détecteurs de balises BSDLO ont :

- a) La même longueur d’onde de réception ; - b) « N » directions de réception chacun, qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

87. Matrice d’antennes photoniques FOSI de réception selon la revendication 85, caractérisé en ce que les deux détecteurs de balises BSDLO ont : - a) Des longueurs d’onde de réception distinctes ;

- b) « N » directions de réception chacun qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

NB : Par définition, une matrice d’antennes photoniques FOSI de réception qui est bornée par deux détecteurs de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation est dénommée « Matrice d’antennes photoniques FOSI de réception à détecteurs de balises BSDLO ».

88. Groupement de deux antennes photoniques FOSI d’émission ayant chacune une longueur d’onde unique et « N » directions d’émission où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « 2N » directions d’émission dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Les deux longueurs d’onde d’émission sont différentes.

89. Groupement de « M» antennes photoniques FOSI d’émission ayant chacune une longueur d’onde unique et « N» directions d’émission, où « M » et

« N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « M x N» directions d’émission dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs « M » longueurs d’onde uniques sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 89 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M » antennes à longueur d’onde unique et à « N » directions d’émission ».

- L’ensemble de leurs « M » longueurs d’onde d’émission est dénommé « Lambda-Matrix » et les longueurs d’onde sont dénommées « Lmda-El », ..., « Lmda-EM » ; En notation ensembliste on a : Lambda-Matrix = {Lmda-El, ..., Lmda- EM}.

90. Groupement de deux antennes photoniques FOSI d’émission à longueurs d’onde multiples ayant « N» directions d’émission où « N» est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « 2N » directions d’émission dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Les longueurs d’onde d’émission sont différentes.

91. Groupement de « M» antennes photoniques FOSI d’émission à longueurs d’onde multiples ayant chacune « N » Directions d’émission, où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « M x N» directions d’émission dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs longueurs d’onde sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 91 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M» antennes à longueurs d’onde multiples et à « N » directions d’émission ».

92. Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à « TV » directions d’émission selon l’une quelconque des revendications 89 à 91, caractérisé en ce qu’elle est bornée par deux antennes photoniques FOSI d’émission dédiées à la signalisation de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation.

NB : Par définition :

- Une antenne photoniques FOSI d’émission dédiée à la signalisation de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation est dénommée « Balise de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation » ou « Balise BSDLO » ;

Une balise qui est placée devant le Ier élément de la matrice est dénommé « Première balise de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation de la matrice » ou « Première balise BSDLO de la matrice » ;

Une balise qui est placée derrière le dernier élément de la matrice est dénommé « Deuxième balise de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation de la matrice » ou « Deuxième balise BSDLO de la matrice ».

93. Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission selon la revendication 92, caractérisé en ce que les deux balises BSDLO ont :

- a) La même longueur d’onde d’émission ;

- b) « N » directions d’émission qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

94. Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission selon la revendication 92, caractérisé en ce que les deux balises BSDLO ont :

- a) Des longueurs d’onde d’émission distinctes ;

- b) « N » directions d’émission chacun qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

NB : Par définition :

- Une matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission qui est bornée par deux balises BSDLO est dénommée « Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à balises BSDLO ».

95. Groupement de deux antennes photoniques FOSI dont l’une est d’émission à longueur d’onde unique et l’autre de réception à longueur d’onde unique, ayant respectivement « N » directions d’émission et « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « N» directions d’émissions et les « N » directions de réception sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) La longueur d’onde d’émission est égale à celle de réception.

NB : Par définition :

Un groupement de deux antennes photoniques FOSI selon la revendication 95 est dénommé « Double-antenne photonique FOSI d’émission- réception à antennes à longueur d’onde unique et à « N » directions d’émission-réception ».

- Les directions d’émission et de réception d’un double-antenne photonique FOSI d’émission-réception sont respectivement celles de l’antenne photonique FOSI d’émission et de l’antenne photonique FOSI de réception qui la composent et qui, par ailleurs, sont les mêmes ; ces directions sont dénommées « Directions d’émission-réception » ; les « N » directions d’émission-réception sont désignées par : Dir-ERl, ..., Dir-ERN

96. Groupement de deux antennes photoniques FOSI dont l’une est d’émission à longueur d’onde unique et l’autre de réception à longueur d’onde unique, ayant respectivement « N » directions d’émission et « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « N » directions d’émissions et les « N » directions de réception sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) La longueur d’onde d’émission est différente à celle de réception.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 96 est dénommé « Double-antenne photonique FOSI d’émission-réception à antennes à longueurs d’onde uniques distinctes et à « N » directions d’émission-réception ».

97. Groupement de deux double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception ayant chacun une longueur d’onde unique et « N » directions d’émission- réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « N» directions d’émission-réception de l’un et les « N » directions d’émission-réception de l’autre sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs deux longueurs d’onde sont différentes.

98. Groupement de « M» double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception ayant chacun une longueur d’onde unique et « N » directions d’émission- réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que : - a) Les « Mx N» directions d’émission-réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs « M » longueurs d’onde uniques sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 98 est dénommé « Matrice de double-antennes photoniques FOSI d’ émission-réception à « M» double- antennes à longueur d’onde unique et à « N » directions d’émission- réception ».

- L’ensemble des « M » longueurs d’onde d’émission-réception est dénommé « Lambda-Matrix » et les longueurs d’onde sont dénommées « Lmda-ERl », ..., « Lmda-ERM » ; en notation ensembliste Lambda- Matrix = {Lmda-ERl, Lmda-ERM} ou Lambda-Matrix = {Lmda-ERi où / varie de 1 à M}.

99. Groupement de deux double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception ayant chacun deux longueurs d’onde et « N» directions d’émission- réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « 2 N » directions d’émission-réception dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs quatre longueurs d’onde sont différentes. lOO.Groupement de «M » double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception ayant chacun deux longueurs d’onde et « N» directions d’émission- réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que :

- a) Les « Mx N » directions d’émission-réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens ; et

- b) Leurs « 2M » longueurs d’onde sont différentes.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 100 est dénommé « Matrice de double-antennes photoniques FOSI d’émission-réception a « M » antennes à deux longueurs d’ondes uniques et à « N» directions d’émission-réception ». - L’ensemble des « 2M » longueurs d’onde d’émission-réception est dénommé « Lambda-Matrix » et les longueurs d’onde uniques sont dénommées « Lmda-al », « Lmda-bl », ..., « Lmda-aM », « Lmda-bM » ; en notation ensembliste, Lambda-Matrix = {Lmda-al, Lmda-bl, ..., Lmda-aM, Lmda-bM] ou Lambda-Matrix = {Lmda-ai, Lmda-bi où / varie de 1 à M}. lOl.Matrice de double-antennes photoniques FOSI d’émission-réception à

« N » directions d’émission-réception selon l’une quelconque des revendications 98 ou 100, caractérisé en ce qu’elle est une matrice à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO.

102.Matrice de double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception selon la revendication 101, caractérisé en ce que les balises BSDLO et les détecteurs de balises BSDLO ont :

- a) la même longueur d’onde d’émission et de réception ;

- b) « TV » directions d’émission et de réception, qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

103.Matrice de double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception selon la revendication 101, caractérisé en ce que les balises BSDLO et les détecteurs de balises BSDLO ont :

- a) des longueurs d’onde d’émission et de réception distinctes ;

- b) « N » directions d’émission et de réception qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

104.Groupement de deux antennes photoniques neutres de réception ayant chacune « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que les « 2N » directions de réception dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens.

105.Groupement de « M» antennes photoniques neutres de réception ayant chacune « N » directions de réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que, les « M x N » directions de réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens. NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 105 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques neutres de réception à « M» éléments et à « N » directions de réception». 106. Matrice d’antennes photoniques neutres de réception à « TV » directions de réception selon l’une quelconque des revendications 104 à 105, caractérisé en ce qu’elle est bornée par deux antennes photoniques neutres de réception dédiées à la détection des signaux de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation. NB : Par définition :

Une antenne photonique neutre de réception dédiée à la détection de signaux de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation est dénommée « Détecteur de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation » ou « Détecteur de balises BSDLO » ;

Un détecteur de balises BSDLO qui est placé devant le Ier élément de la matrice est dénommé « Premier détecteur de balises BSDLO de la matrice » ;

Un détecteur de balises BSDLO qui est placé derrière le dernier élément de la matrice est dénommé « Deuxième détecteur de balises BSDLO de la matrice ».

107.Matrice d’antennes photoniques neutre de réception selon la revendication 106, caractérisé en ce que les deux détecteurs de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation ont chacun « N » directions de réception qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

NB : Par définition :

- Une matrice d’antennes photoniques neutre de réception qui est bornée par deux détecteurs de balises de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation est dénommée « Matrice d’antennes photoniques neutre de réception à détecteurs de balises BSDLO ».

108.Groupement de « 2 » antennes photoniques neutres d’émission ayant chacune « N» directions d’émission où « N» est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que les « 2N » directions d’émission dudit groupement sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens. 109.Groupement de « M» antennes photoniques neutres d’émission ayant chacune « N » directions d’émission où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que les « M x N » directions d’émission dudit groupement sont parallèles « M » « M » et orientées dans le même sens. NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 109 est dénommé « Matrice d’antennes photoniques neutres d’émission à « M» éléments et « N» directions d’émission ». llO.Matrice d’antennes photoniques neutres d’émission à « TV » directions d’émission selon l’une quelconque des revendications 108 à 109, caractérisé en ce qu’elle est bornée par deux antennes photoniques neutres d’émission dédiées à la signalisation de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation.

NB : Par définition :

Une antenne photoniques neutre d’émission dédiée à la signalisation de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation est dénommée « Balise de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation » ou « Balise BSDLO » ;

Une balise qui est placée devant le Ier élément de la matrice est dénommé « Première balise de signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation de la matrice » ou « Première balise BSDLO de la matrice » ;

Une balise qui est placée derrière le dernier élément de la matrice est dénommé « Deuxième balise signalisations de direction de communications optiques et des longueurs d’onde en cours d’utilisation de la matrice » ou « Deuxième balise BSDLO de la matrice ». lll.Matrice d’antennes photoniques neutre d’émission selon la revendication 110, caractérisé en ce que les deux balises BSDLO ont chacun « N » directions d’émission qui sont les mêmes que celles de ladite matrice.

NB : Par définition :

- Une matrice d’antennes photoniques neutre d’émission qui est bornée par deux balises BSDLO est dénommée « Matrice d’antennes photoniques neutre d’émission à balises BSDLO ».

112.Groupement de « 2 » antennes photoniques neutres dont l’une est d’émission l’autre de réception à longueur d’onde unique ayant respectivement « N » directions d’émission et « N » directions de réception où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », caractérisé en ce que les « N » directions d’émissions et les « N» directions de réception sont parallèles deux à deux et orientées dans le même sens.

NB : Par définition :

Un groupement de « 2 » antennes photoniques neutres selon la revendication 112 est dénommé « Double-antenne photonique neutre d’émission-réception à « N » directions d’émission-réception ».

- Les « N » directions d’émission et de réception d’une double-antenne photonique neutres d’émission-réception sont respectivement celles de l’antenne photonique neutre d’émission et de l’antenne photonique neutre de réception qui la composent et qui, par ailleurs, sont les mêmes ; ces directions sont dénommées « Directions d’émission-réception » ; les « N » directions d’émission-réception sont désignées par Oir-ERl, ..., Dir-ERN.

113.Groupement de « M» double-antennes photoniques neutres d’émission-réception ayant chacun « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », caractérisé en ce que les « Mx N» directions d’émission-réception dudit groupement sont parallèles « M » à « M » et orientées dans le même sens.

NB : Par définition :

Un groupement selon la revendication 113 est dénommé « Matrice de double-antennes photoniques neutres d’émission-réception a « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception ».

114.Matrice de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception à « A» directions d’émission-réception selon la revendication 113, caractérisé en ce qu’elle est une matrice à balises BSDLO et à détecteurs de balises

BSDLO. 115.Matrice de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception selon la revendication 114 caractérisé en ce que les balises BSDLO et les détecteurs de balises BSDLO ont chacun « TV» directions d’émission-réception, qui sont les mêmes que celles de ladite matrice. llô.Terminal ou autre appareil électronique ou boîtier quelconque dédié, caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques FOSI de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception, avec ou sans détecteurs de balises BSDLO, où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

NB : Par définition :

- Un terminal ou un autre appareil électronique ou un boîtier quelconque dédié est dénommé « Appareil TAEBD » ou « TAEBD ».

Un appareil TAEBD ayant au moins une matrice d’antennes est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes »

117.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice d’antennes photoniques FOSI de réception à « M » éléments et à « A » directions de réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « Mx N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « Mx N» lentilles de focalisation appartenant aux « M » antennes photoniques FOSI de réception de la matrice.

118.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices d’antennes photoniques FOSI de réception à « M » éléments et à « A » directions de réception où « M » et « A » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et - b) «2 xMxN» photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «2 xMxN» lentilles de focalisation appartenant aux «2 xM» antennes photoniques FOSI de réception des deux matrices.

119.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices d’antennes photoniques FOSI de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «4 xMxN» lentilles de focalisation appartenant aux «4xM» antennes photoniques FOSI de réception des quatre matrices.

120.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) «L » matrices d’antennes photoniques FOSI de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « L x M x N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «LxMxN» lentilles de focalisation appartenant aux «LxM» antennes photoniques FOSI de réception des « L » matrices.

121.Appareil TAEBD selon la revendication 120, caractérisé en ce que les « L » matrices d’antennes photoniques FOSI de réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et qu’il comporte :

- a) « 2 x Z » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «2xL» lentilles de collimation appartenant aux «2xL» balises BSDLO des « L » matrices ; et

- b) « 2 x L » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «2xL» lentilles de focalisation appartenant aux «2xL» détecteurs de balises BSDLO des « L » matrices.

122.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques neutres de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception, où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

123.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice d’antennes photoniques neutres de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception, où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « Mx N » photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « Mx N» lentilles de focalisation, appartenant aux « M » antennes photoniques neutres de réception de ladite matrice.

124.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices d’antennes photoniques neutres de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 2 x M x N » photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « 2 x M x N » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x M » antennes photoniques neutres de réception des deux matrices.

125.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices d’antennes photoniques neutres de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception, où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N » photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « 4 x M x N » lentilles de focalisation, appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques neutres de réception des quatre matrices.

126.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « Z » matrices d’antennes photoniques neutres de réception à « M » éléments et à « N » directions de réception, où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « L x Mx N» photo-détecteurs dont : bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « L x Mx N » lentilles de focalisation, appartenant aux « Z x M» antennes photoniques neutres de réception des « Z » matrices. 127. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres de réception selon l’une quelconque des revendications 123 à 126, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui sont reliés à une même antenne photonique de réception alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde. 128. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres de réception selon l’une quelconque des revendications 123 à 127, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui sont reliés à deux antennes photoniques de réception distinctes alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes. 129. Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 126 à 128, caractérisé en ce que les « Z » matrices d’antennes photoniques neutres de réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et qu’il comporte :

- a) « 2 x Z » photo-émetteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde et qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des

« 2 x Z » lentilles de collimation appartenant aux « 2 x Z » balises BSDLO des

« Z » matrices ; et

- b) « 2 x Z » photo-détecteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde et qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x Z » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x Z » détecteurs de balises

BSDLO des « Z » matrices.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 121 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI de réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

Un appareil TAEBD selon la revendication 129 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres à Filtre Optique Sélectif de réception, à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO» ou « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques NT-FOS de réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « L » matrices d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS de réception, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, est dénommé Z-MATRIX-R ; les matrices de cet ensemble sont dénommés Matrix-Rl, Matrix-R2, ..., Matrix-RZ ; en notation ensembliste, Z- MATRIX-R = (Matrix-Rl, ..., Matrix-RZ} ou Z-MATRIX-R = (Matrix-Ri où / varie de 1 à Z}.

- L’ensemble des « M » antennes photoniques FOSI ou NT-FOS de réception, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, appartenant à une matrice Matrix-Ri, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ri-M-Ant ; les antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-R/-Antl, ..., Matrix-Ri-AntM ; en notation ensembliste, Matrix-Ri- M-Ant = (Matrix-Ri-Antl, ..., Matrix-Ri- AntM} ou Matrix-Ri-M-Ant = (Matrix-Ri-Ant/ où j varie de 1 à M} .

L’ensemble des « N » photo-détecteurs d’une antenne photonique Matrix- Ri-Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé M at ri x - Ri- A n t/- A- P h oto- R ; les photo-détecteurs de cet ensemble sont dénommés Matrix-Ri-Anti-Photo-Rl, ..., M at ri x - R /- A n t/' - P h o t o- R A ; en notation ensembliste, atrix- Ri- A nt/- A-P hoto- R = (Matrix-Ri-Ant/-Photo- Rl, ..., Matrix-Ri- Ant/-Photo-RA} ou Matrix-Ri- Ant/- A-Photo-R = (Matrix-Ri- Ant/-Photo-RZ où k varie de 1 à N} .

- La longueur d’onde de réception commune à « A» photo-détecteurs d’une antenne photonique FOSI Matrix-Ri- Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-Ri est dénommée Matrix-Ri-Ant/-Lmda- R où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- La longueur d’onde de réception commune à « A » photo-détecteurs reliés chacun par une fibre optique aux « A » concentrateurs optiques d’une antenne photonique NT-FOS Matrix-Ri-Ant/ appartenant à une matrice Matrix-Ri est dénommée Matrix-Ri-Ant/-Lmda-R où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « A » directions de réception d’une antenne photonique Matrix-Ri-Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « i » varie de « 1 » à « M», est dénommé Matrix-Ri-Ant/-A-Dir ; les directions de réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-Ri-Ant/-Dirl, ..., Matrix-Ri- Anty-DirA ; en notation ensembliste, Matrix-Ri-Ant/-A-Dir = (Matrix-Ri-Ant/-Dirl, ..., Matrix-Ri-Ant/-DirA} ou Matrix-Ri-Ant -A-Dir = (Matrix-Ri- Anty-DirZ où k varie de 1 à A} . L’ensemble des « 2 » balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Ri, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ri-Balise-BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix-R/c sont dénommés respectivement Matrix-Ri-BLS-BSDLOl et Matrix-Ri-BLS- BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-R/-Balise-BSDLO = (Matrix- Ri-BLS-BSDLO 1 , Matrix-R/-BLS -B SDL02 } .

L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Ri, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ri-Detect- BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balises BSDLO bornant la matrice Matrix-Ri sont dénommés respectivement Matrix-Ri-DTR- BSDLOl et Matrix-Ri-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- Ri-Detect-BSDLO = (Matrix-Ri-DTR-BSDLOl, Matrix-Ri-DTR- BSDL02}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-Ri-BLS-BSDLOl, Matrix-Ri-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-Ri-DTR-BSDLOl et Matrix-Ri-DTR-BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-Ri où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommée L-Matrix-R-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception des deux balises Matrix-Ri-BLS-BSDLOl, Matrix-Ri-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-Ri-DTR-BSDLOl et Matrix-Ri-DTR-BSDL02 est dénommé Matrix-Ri-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-Ri-Dirl, ..., Matrix-Ri-DiriV ; en notation ensembliste, Matrix-Ri-BLS-DTR-2BSDLO- N-Dir = (Matrix-Ri-Dirl, ..., Matrix-Ri-DiriV} ou Matrix-Ri-BLS-DTR- 2BSDLO-N-Dir = (Matrix-Ri-DirA où A varie de 1 à N}.

130.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M » éléments et à « N » directions d’émission, avec ou sans balises BSDLO, où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

131.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M » éléments et à « N» directions d’émission où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et - b) «MxN» photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «MxN» lentilles de collimation appartenant aux « M » antennes photoniques FOSI d’émission de la matrice.

132.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M» éléments et à «N» directions d’émission où «M» et «N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) «2 xMxN» photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «2 xMxN» lentilles de collimation appartenant aux «2xM» antennes photoniques FOSI d’émission des deux matrices.

133.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M» éléments et à «N» directions d’émission où «M» et «N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «4XMXJV» lentilles de collimation appartenant aux «4xM» antennes photoniques FOSI d’émission des quatre matrices.

134.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) «L » matrices d’antennes photoniques FOSI d’émission à « M» éléments et à « N » directions d’émission, où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) «LxMxN» photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «LxMxN» lentilles de collimation appartenant aux «LxM» antennes photoniques FOSI d’émission des « L » matrices. 135.Appareil TAEBD selon la revendication 134, caractérisé en ce que les « L » matrices d’antennes photoniques FOSI d’émission sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et qu’il comporte :

- a) « 2 x Z » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des «2xL» lentilles de collimation appartenant aux «2xL» balises BSDLO des « L » matrices ; et - b) « 2 x L » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x Z » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x Z » détecteurs de balises BSDLO des « Z » matrices.

136.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques neutres d’émission à « M » éléments et à « N » directions d’émission où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

137.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice d’antennes photoniques neutres d’émission à « M » éléments et à « N» directions d’émission où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « Mx N» photo-émetteurs dont :

bl -chaque photo-émetteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-émeteur est relié par une fibre optique à l’une des « Mx N» lentilles de colllimation appartenant aux « M » antennes photoniques neutres d’émission de ladite matrice.

138.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices d’antennes photoniques neutres d’émission à « M » éléments et à « N» directions d’émission où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 2 x M x N » photo-émetteurs dont :

bl -chaque photo-émetteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-émetteur est relié par une fibre optique à l’une des « 2 x M x N» lentilles de collimation appartenant aux « 2 x M » antennes photoniques neutres d’émission des deux matrices. 139.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices d’antennes photoniques neutres d’émission à « M » éléments et à « N» directions d’émission où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N» photo-émetteurs dont :

bl -chaque photo-émetteur possède un filtre passe-bande ; et b2 -chaque photo-émetteur est relié par une fibre optique à l’une des « 4 x M x N » lentilles de collimation appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques neutres d’émission des quatre matrices.

140.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « Z » matrices d’antennes photoniques neutres d’émission à « M » éléments et à « N » directions d’émission où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « L x Mx N » photo-émetteurs dont :

bl -chaque photo-émetteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-émetteur est relié par une fibre optique à l’une des

« L x Mx N» lentilles de collimation appartenant aux « L x M » antennes photoniques neutres d’émission des « L » matrices.

141.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission selon l’une quelconque des revendications 137 à 140, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui sont reliés à une même antenne photonique d’émission alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde.

142.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission selon l’une quelconque des revendications 137 à 141, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui sont reliés à deux antennes photoniques d’émission distinctes alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes.

143.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 140 à 142, caractérisé en ce que les « L » matrices d’antennes photoniques neutres d’émission sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et qu’il comporte :

- a) « 2 x Z » photo-émetteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde et qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x Z » lentilles de collimation appartenant aux « 2 x Z » balises BSDLO des « Z » matrices ; et

- b) « 2 x Z » photo-détecteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde et qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x L » détecteurs de balises BSDLO des « L » matrices.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 135 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI d’émission à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

Un appareil TAEBD selon la revendication 143 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques NT-FOS d’émission à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « L » matrices d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS d’émission, à balises BSDLO ou sans balises, est dénommé Z-MATRIX-E ; les matrices de cet ensemble sont dénommés Matrix-El, Matrix-E2, ..., Matrix-EZ ; en notation ensembliste, Z-MATRIX-E = (Matrix-El, ..., Matrix-EZ} ou Z-MATRIX-E = (Matrix-Ei où i varie de 1 à Z}.

- L’ensemble des « M » antennes photoniques FOSI ou NT-FOS d’émission, à balises BSDLO ou sans balises, appartenant à une matrice Matrix-Ei, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-E/-M-Ant ; les antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Antl, ..., Matrix-E/-AntM ; en notation ensembliste, Matrix-E/-M-Ant = (Matrix-Ei-Antl, ..., Matrix-Ei- AntM} ou Matrix-E/-M-Ant = (Matrix-Ei-Ant/ où j varie de 1 à M} .

L’ensemble des « N » photo-émetteurs d’une antenne photonique Matrix- Ei-Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-E/-Ant/-AZPhoto-E ; les photo-émetteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Ant/-Photo-El, ..., Matrix-Ei-Ant/-Photo-EA ; en notation ensembliste, Matrix- E/-Ant/-/V-Photo-E = {Matrix-E/-Ant/-Photo- El, ..., Matrix-Ei- Ant/-Photo-E/V} ou M atrix- El- A nt/-/V- Photo- E = (Matrix-Ei-Ant/-Photo-EA: où k varie de 1 à N} .

- La longueur d’onde d’émission commune à « N» photo-émetteurs d’une antenne photonique FOSI Matrix-Ei- Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-Ei est dénommée Matrix-E/-Ant/-Lmda- E où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- La longueur d’onde d’émission commune à « N» photo-émetteurs qui sont reliés chacun par une fibre optique aux « N » diffuseurs optiques d’une antenne photonique NT-FOS Matrix-E/-Ant/ appartenant à une matrice Matrix-Ei est dénommée Matrix-Ei-Ant/-Lmda-E où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ». - L’ensemble des « N» directions d’émission d’une antenne photonique Matrix-E/-Ant/, FOSI ou NT-FOS, où «j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-E/-Ant/-/V-Dir ; les directions d’émission de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Ant/-Dirl, .. at iϊ x - E/- A n t/- Di r/V ; en notation ensembliste, M a t ri x - E /- A n t/- ,V- Di r = { Matrix-E/-Ant/-Dirl, .. M at ri x - E /- A n t/- Di r/V } ou M at ri x - E/- A n t/- N- D i r = { Matrix-E/-Ant/-DirÂ: où k varie de 1 à N} .

L’ensemble des « 2 » balises BSDLO bornant une matrice Matrix-E/, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-E/-Balise-BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix-E/ sont dénommés respectivement Matrix-E/-BLS-BSDLOl et Matrix-E/-BLS- BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-E/-Balise-BSDLO = (Matrix- Ei-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02} .

L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO bornant une matrice Matrix-E/, où « i » varie de « 1 » à « L », est dénommé Matrix-E/-Detect- BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balises BSDLO bornant la matrice Matrix-E/ sont dénommés respectivement Matrix-E/-DTR- BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- E/-Detect-BSDLO = {Matrix-E/-DTR-BSDLO l, Matrix-E/-DTR- BSDL02}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-E/-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-E/ où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommée L-Matrix-E-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception des deux balises Matrix-E/-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 est dénommé Matrix-E/-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Dirl, ..., Matrix-E/-DiriV ; en notation ensembliste, Matrix-E/-BLS-DTR-2BSDLO- N-Dir = {Matrix-E/-Dirl, ..., Matrix-E/-DiriV} ou Matrix-E/-BLS-DTR- 2BSDLO-N-Dir = (Matrix-Ei-DirA: où k varie de 1 à N}.

144.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission-réception à « M » éléments et à « N» directions d’émission-réception, avec ou sans balise BSDLO, où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

145.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice de double-antennes photoniques FOSI d’émission-réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « M x N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « Mx N» lentilles de focalisation appartenant aux «M » antennes photoniques FOSI de réception de la matrice ; et

- c) « Mx N » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « Mx N» lentilles de collimation appartenant aux «M » antennes photoniques FOSI d’émission de la matrice.

146.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices de double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 2 x M x N» photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x Mx N» lentilles de focalisation appartenant aux «2 x M » antennes photoniques FOSI de réception des deux matrices ; et

- c) « 2 x M x N » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 2 x Mx N» lentilles de collimation appartenant aux «2 x M » antennes photoniques FOSI d’émission des deux matrices.

147.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices de double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « 4 x M x N » lentilles de focalisation appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques FOSI de réception des quatre matrices ; et

- c) « 4 x M x N » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « L x Mx N » lentilles de collimation appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques FOSI d’émission des quatre matrices.

148.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « Z » matrices de double-antennes photoniques FOSI d’émission- réception à « M » éléments et à « N» directions d’émission-réception où « Z », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « L x Mx N » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « L x Mx N» lentilles de focalisation appartenant aux «M x Z » antennes photoniques FOSI de réception des « Z » matrices ; et

- c) « L x Mx N » photo-émetteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique à l’une des « L x Mx N» lentilles de collimation appartenant aux «M x Z » antennes photoniques FOSI d’émission des « Z » matrices.

149.Appareil TAEBD selon la revendication 148, caractérisé en ce que les « Z » matrices de double-antennes photoniques FOSI d’émission-réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteur de balises BSDLO et qu’ils comportent « 2 x Z » photo-émetteurs et « 2 x Z » photo-détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique respectivement à l’une des « 2 x Z » lentilles de collimation et à l’une des « 2 x Z » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x Z » balises BSDLO et aux « 2 x Z » détecteurs de balises BSDLO des « Z » matrices.

150.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte au moins une matrice d’antennes photoniques neutre d’émission-réception à « M » éléments et à « N» directions d’émission-réception où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

151.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « Mx N» photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « Mx N » lentilles de focalisation appartenant aux « M » antennes photoniques neutres de réception de ladite matrice ; et

- c) « Mx N» photo-émetteurs dont :

cl - chaque photo-émetteurs possède un filtre passe-bande ; et c2 -chaque photo-émetteurs est relié par une fibre optique à l’une des « Mx N » lentilles de collimation appartenant aux « M » antennes photoniques neutres d’émission de ladite matrice.

152.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 2 » matrices de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 2 x Mx N» photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des

« 2 x M x N» lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x M » antennes photoniques neutres de réception des deux matrices ; et

- c) « 2 x M x N» photo-émetteurs dont :

cl - chaque photo-émetteurs possède un filtre passe-bande ; et

c2 -chaque photo-émetteurs est relié par une fibre optique à l’une des

« 2 x M x N» lentilles de collimation appartenant aux « 2 x M » antennes photoniques neutres d’émission des deux matrices.

153.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 4 » matrices de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception à « M » éléments et à « N » directions d’émission-réception où « M » et

« N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « 4 x M x N » photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « 4 x M x N » lentilles de focalisation appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques neutres de réception des quatre matrices ; et

- c) « 4 x M x N » photo-émetteurs dont :

cl - chaque photo-émetteurs possède un filtre passe-bande ; et

c2 -chaque photo-émetteurs est relié par une fibre optique à l’une des « 4 x M x N» lentilles de collimation appartenant aux « 4 x M » antennes photoniques neutres d’émission des quatre matrices.

154.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « L » matrices de double-antennes photoniques neutres d’émission- réception à « M » éléments et à « N» directions d’émission-réception où « Z », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

- b) « L x M x N » photo-détecteurs dont :

bl -chaque photo-détecteur possède un filtre passe-bande ; et

b2 -chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique à l’une des « L x Mx N» lentilles de focalisation appartenant aux « L x M » antennes photoniques neutres de réception des « L » matrices ; et

- c) « L x Mx N » photo-émetteurs dont :

cl - chaque photo-émetteurs possède un filtre passe-bande ; et

c2 -chaque photo-émetteurs est relié par une fibre optique à l’une des « L x Mx N» lentilles de collimation appartenant aux « L x M » antennes photoniques neutres d’émission des « L » matrices.

155. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission- réception selon l’une quelconque des revendications 151 à 154, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui sont reliés à une même antenne photonique de réception alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde.

156. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission- réception selon l’une quelconque des revendications 151 à 155, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui sont reliés à deux antennes photoniques de réception distinctes alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes.

157. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission- réception selon l’une quelconque des revendications 151 à 156, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui sont reliés à une même antenne photonique d’émission alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde.

158. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques neutres d’émission- réception selon l’une quelconque des revendications 151 à 157, caractérisé en ce que si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui sont reliés à deux antennes photoniques d’émission distinctes alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes.

159.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 154 à 158, caractérisé en ce que les « L » matrices de double-antennes photoniques NT-FOS d’émission-réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteur de balises BSDLO et qu’ils comportent « 2 x i » photo-émetteurs et « 2 x 1 » photo détecteurs qui sont reliés, chacun, par une fibre optique respectivement à l’une des « 2 x » lentilles de collimation et à l’une des « 2 x L » lentilles de focalisation appartenant aux « 2 x i » balises BSDLO et aux « 2 x 1 » détecteurs de balises BSDLO des « L » matrices.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 149 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI d’émission-réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- Un appareil TAEBD selon la revendication 159 est dénommé « Appareil

TAEBD à réseau d’antennes photoniques NT-FOS d’émission-réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « Z » matrices de double-antennes photoniques FOSI ou NT-FOS d’ émission-réception, à balises BSDLO ou sans balises, est dénommé Z-MATRIX-ER ; les matrices de cet ensemble sont dénommés

Matrix-ERl, Matrix-ER2, ..., Matrix-ERZ ; en notation ensembliste, Z- MATRIX-ER = (Matrix-ERl, ..., Matrix-ERZ} ou Z-MATRIX-ER = (Matrix-ERi où i varie de 1 à Z}.

- L’ensemble des « M » double-antennes photoniques FOSI ou NT-FOS d’émission-réception à balises BSDLO ou sans balises, appartenant à une matrice Matrix-ERi, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix- ERi-M-2Ant ; les double-antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-ER/-2Antl, ..., Matrix-ERi-2AntM ; en notation ensembliste, Matrix-ER/-M-2Ant = (Matrix-ER/-2Antl, ..., Matrix-ER/-2AntM} ou Matrix-ER/-M-2Ant = (Matrix-ER/-2Ant/ où j varie de 1 à M}.

- L’ensemble des « A» photo-émetteurs d’une double-antenne photonique Matrix-ER/-2Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé atrix- ERi-2Ant/- V-Photo-E ; les photo-émetteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-ERi-2Ant/-Photo-El, ..., Matrix-ERi- 2Ant/-Photo-E V ; en notation ensembliste, Matrix-ER/-2Ant/-/V-Photo-E = {Matrix-ER/-2Ant/-Photo-El, Matrix-ER/-2Ant/-Photo-EA} ou Matrix- E R/-2 A nt/- A-P hoto- E = | Matrix- ER/-2Ant/-Photo-E/c où k varie de 1 à N}.

- La longueur d’onde d’émission commune à « N» photo-émetteurs d’une double-antenne photonique FOSI Matrix-ER/-2Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-ER/ est dénommée Matrix-ER/- 2Ant/-Lmda-ER où « i » varie de 1 à Z et « j » varie de 1 à M.

- La longueur d’onde d’émission commune à « A » photo-émetteurs qui sont reliés chacun par une fibre optique aux « N » diffuseurs optiques d’une double-antenne photonique NT-FOS Matrix-ER/-2Ant/ appartenant à une matrice Matrix-ER/ est dénommée Matrix-ER/-2Ant/-Lmda-ER où « / » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « N » photo-détecteurs d’une double-antenne photonique

Matrix-ER/-2Ant/\ FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-ER/-2Ant/-A-Photo-R ; les photo-détecteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-ER/-2Ant/-Photo-R 1 , Matrix-ER/- 2Ant/-Photo-RA ; en notation ensembliste, Matrix-ER/-2Ant/-A-Photo-R = {Matrix-ER/-2Ant/-Photo-Rl, Matrix- ER/-2Ant/-Photo-RA} ou

M at ri X-ER/-2A n t/- A- P h oto- R = | Matrix-ER/-2Ant/-Photo-RZ où Z varie de 1 à N}.

- La longueur d’onde de réception commune à « A » photo-détecteurs d’une double-antenne photonique FOSI Matrix-ER/-2Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-ER/ est dénommée Matrix-ER/- 2Ant/-Lmda-ER où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- La longueur d’onde de réception commune à « A » photo-détecteurs qui sont reliés chacun par une fibre optique aux « A » concentrateurs optiques d’une double-antenne photonique NT-FOS Matrix-ER/-2Ant/ appartenant à une matrice Matrix-ER/ est dénommée Matrix-ER/-2Ant/-Lmda-ER où « / » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « A » directions d’émission-réception d’une double- antenne photonique Matrix-ER/-2Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-ER/-2Ant/-A-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-ER/-2Ant/- Dirl, ..., Matrix-ER/-2Ant/-DirA ; en notation ensembliste, Matrix-ER - 2Ant/-A-Dir = {Matrix-ER/-2Ant/-Dirl, ..., Matrix-ER/-2Ant/-DirA} ou Matrix-ER /-2Ant/- N- Di r = {Matrix-ER/-2Ant/-DirA: où Z varie de 1 à A}. L’ensemble des « 2 » balises BSDLO, appartenant à une matrice Matrix- ER/, où « / » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-ER/-Balise- BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix- ERi sont dénommés respectivement Matrix-ERi-BLS-BSDLOl et Matrix- ER/-BLS-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-ERi-Balise-BSDLO = {Matrix-ERi-BLS-BSDLOl, Matrix-ERi-BLS-BSDL02}.

- L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO, appartenant à une matrice Matrix-ERi, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix- ERi-Detect-BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balise BSDLO de la matrice Matrix-ERi sont dénommés respectivement Matrix-ERi-DTR- BSDLOl et Matrix-ER/-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- ERi-Detect-BSDLO = ! Matrix-ER/c-DTR-BSDLO 1 , Matrix-ER/c-DTR- BSDLO}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-ERi-BLS-BSDLOl, Matrix-ERi-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-ERi-DTR-BSDLOl et Matrix-ERi-DTR- BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-ERi où « i » varie de « 1 » à « L », est dénommée L-Matrix-R-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception des deux balises Matrix-ERi-BLS-BSDLOl, Matrix-ERi-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-ERi-DTR-BSDLOl et Matrix-ERi-DTR- BSDL02 est dénommé Matrix-ERi-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix- ERi-Dirl, ..., Matrix-ERi-Dir/V ; en notation ensembliste, Matrix-ERi- BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir = {Matrix-ERi-Dirl, ..., Matrix-ERi-Dir/V} ou Matrix-ERi-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir = {Matrix-ERi-DirA où k varie de 1 à /V}.

160. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS de réception selon l’une quelconque des revendications 116 à 129, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections des concentrateurs optiques, un à un ou à plusieurs simultanément, par la mise en service des photo-détecteurs correspondants, un à un ou à plusieurs simultanément.

161.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS de réception selon la revendication 160, caractérisé en ce que lesdits moyens de sélections des concentrateurs optiques comportent un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

162.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT- FOS d’émission, selon l’une quelconque des revendications 130 à 143, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections des diffuseurs optiques, un à un ou à plusieurs simultanément, par la mise en service des photo-émetteurs correspondants, un à un ou à plusieurs simultanément.

163.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT- FOS d’émission selon la revendication 162, caractérisé en ce que lesdits moyens de sélections des diffuseurs optiques comportent un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

164.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT- FOS d’émission-réception selon l’une quelconque des revendications 145 à 159, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections des concentrateurs et des diffuseurs optiques, un à un ou à plusieurs simultanément, par mise en service respectivement des photo-détecteurs et des photo-émetteurs correspondants, un à un ou à plusieurs simultanément.

165.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT- FOS d’émission-réception selon la revendication 164, caractérisé en ce que lesdits moyens de sélections des concentrateurs et/ou des diffuseurs optiques comportent un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

166.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « N » photo-détecteurs intégrés à la surface de son boîtier où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 » et dont les « N » directions de réception sont orientées dans des sens différents ; et

- b) des moyens de sélections destinés à la mise en service des « N » photo détecteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections.

167.Appareil TAEBD selon la revendication 166, caractérisé en ce que les « N » directions de réception sont quasiment coplanaires.

168.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice à « M » éléments intégrés à la surface de son boîtier, où « M » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » ; chaque élément de ladite matrice est composé de « N » photo-détecteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et dont les « N » directions de réception sont orientées dans des sens différents ; et

- b) des moyens de sélections destinés à la mise en service des « Mx N» photo détecteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections.

169.Appareil TAEBD selon la revendication 168, caractérisé en ce que les « N » directions de réception de chaque élément parmi les « M » éléments de ladite matrice sont quasiment coplanaires.

170.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « Z » matrices à « M » éléments intégrés à la surface de son boîtier, où « L » et « M » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; chaque élément de l’une desdites matrices est composé de « N » photo-détecteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et dont les « N » directions de réception sont orientées dans des sens différents ;

- b) des moyens de sélections destinés à la mise en service des « L x Mx N » photo-détecteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections.

171.Appareil TAEBD selon la revendication 170, caractérisé en ce que les « N » directions de réception de chaque élément parmi les « M » éléments de chacune des « L » matrices sont quasiment coplanaires.

172.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 166 à 171, caractérisé en ce que lesdits photo-détecteurs comportent des filtres passe- bandes. 173.Appareil TAEBD selon la revendication 172, caractérisé en ce que lesdits filtres passe-bandes ont des bandes passantes étroites.

174.Appareil TAEBD selon la revendication 173, caractérisé en ce que lesdits filtres à bandes passantes étroites sont des filtres interférentiels.

175.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 173 à 174, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui ont des directions de réception coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde.

176.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 173 à 175, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui ont des directions de réception non coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes.

177.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 166 à 176, caractérisé en ce que lesdits photo-détecteurs sont des photodiodes.

NB : Par définition :

- Un appareil TAEBD selon l’un quelconque des revendications 173 à 176 et selon la revendication 177 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques de réception à Filtre Optique Sélectif Intégré et à « N » directions de réception» ou « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques FOSI de réception».

178.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 170 à 177, caractérisé en ce que les « L » matrices d’antennes opto-électroniques de réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et que :

- a) les balises BSDLO sont constitués de « 2 x 1 » photo-émetteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde ; et

- b) les détecteurs de balises BSDLO sont constitués de « 2 x L » photo- détecteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 178 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques FOSI de réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « L » matrices d’antennes opto-électroniques FOSI de réception, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, est dénommé -MATRIX-R ; les matrices de cet ensemble sont dénommés Matrix-Rl, Matrix-R2, Matrix-RZ ; en notation ensembliste, Z- MATRIX-R = (Matrix-Rl, Matrix-RZ} ou -MATRIX-R = {Matrix-Rz où i varie de 1 à Z}

- L’ensemble des « M » antennes opto-électroniques FOSI de réception, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, appartenant à une matrice Matrix-Rz', où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-R/- M-Ant ; les antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-Rz'-Ant 1, ..., Matrix-Rz'-AntM ; en notation ensembliste, Matrix-Rz'-M-Ant = (Matrix-R/- Antl, ..., Matrix-Rz'-AntM} ou Matrix-Rz'-M-Ant = {Matrix-Rz'-Ant/ où j varie de 1 à M} .

- L’ensemble des « N» photo-détecteurs d’une antenne opto-électronique FOSI Matrix-Rz'-Ant/', où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix- Rz'- A nt/'- A- Photo- R ; les photo-détecteurs de cet ensemble sont dénommés Matrix-R/-Ant/-Photo-Rl, ..., M at ri x - R /- A n t/' - P h o to - R A ; en notation ensembliste, M a t r i x - R z'- A n t/'- A- P h o t o - R = {Matrix-Rz'-Ant/'-Photo-Rl, ..., M at ri x - R /- A n t/ - P h o t o - R /Y} ou M atrix- Rz'- A nt/'- A- Photo- R = (Matrix-R/- Ant/'-Photo-RZ où k varie de 1 à N}.

- La longueur d’onde de réception commune à « A » photo-détecteurs d’une antenne opto-électronique FOSI Matrix-Rz'-Ant/ appartenant à une matrice Matrix-R/' est dénommée Matrix-Rz'-Ant/'-Lmda-R où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « N » directions de réception d’une antenne opto électronique FOSI Matrix-Rz'-Ant/, où « i » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-Rz-Ant/'-A-Dir ; les directions de réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-Rz'-Ant/'-Dirl, ..., Matrix-Rz'-Ant/'-DirA ; en notation ensembliste, Matrix-Rz'-Ant/'- -Dir = (Matrix-Rz'-Ant/'-Dirl, ..., Matrix-Rz'-Ant/'-DirA} ou Matrix-R/-Ant -A-Dir = (Matrix-Rz'-Ant/'-DirA: où k varie de 1 à A} .

L’ensemble des « 2 » balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Rz', où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Rz'-Balise-BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix-R/c sont dénommés respectivement Matrix-Rz'-BLS-BSDLO l et Matrix-Rz-BLS- BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-Rz'-Balise-BSDLO = (Matrix- Rz-BLS-BSDLO 1 , Matrix-Rz'-BLS-BSDL02} .

L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Rz', où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Rz'-Detect- BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balises BSDLO bornant la matrice Matrix-Ri sont dénommés respectivement Matrix-Ri-DTR- BSDLOl et Matrix-R/-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- Ri-Detect-BSDLO = (Matrix-Ri-DTR-BSDLOl, Matrix-R/-DTR- BSDL02}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-R/-BLS-BSDLOl, Matrix-R/-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-Ri-DTR-BSDLOl et Matrix-R/-DTR-BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-Ri où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommée L-Matrix-R-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception des deux balises Matrix-Ri-BLS-BSDLOl, Matrix-Ri-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-Ri-DTR-BSDLOl et Matrix-Ri-DTR-BSDL02 est dénommé Matrix-Ri-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-Ri-Dirl, .. atrix-Ri-Dir/V ; en notation ensembliste, Matrix-R/-BLS-DTR-2BSDLO- N-Dir = (Matrix-Ri-Dirl, ..., Matrix-Ri-Dir/V} ou Matrix-Ri-Dir = (Matrix-Ri-DirA où k varie de 1 à N} .

179.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « N » photo-émetteurs intégrés à la surface de son boîtier où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et dont les « N » directions d’émission sont orientées dans des sens différents ; et

- b) des moyens de sélections destinés à la mise en service des « N » photo émetteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections.

180.Appareil TAEBD selon la revendication 179, caractérisé en ce que les « N » directions d’émission sont quasiment coplanaires.

181.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice à « M » éléments intégrés à la surface de son boîtier, où « M » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » ; chaque élément de ladite matrice est composé de « N » photo-émetteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et dont les « N » directions d’émission sont orientées dans des sens différents ; et - b) des moyens de sélection destinés à la mise en service des « Mx N» photo émetteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections. 182.Appareil TAEBD selon la revendication 181, caractérisé en ce que les « N» directions d’émission de chaque élément parmi les « M » éléments de la matrice sont quasiment coplanaires.

183.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « L » matrices à « M » éléments intégrés à la surface de son boîtier, où « L » et « M » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; chaque élément de l’une desdites matrices est composé de « N » photo-émetteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et dont les « N» directions d’émission sont orientées dans des sens différents ;

- b) Des moyens de sélections permettant la mise en service des « L x Mx N» photo-émetteurs, un à un ou à plusieurs simultanément ; et

- c) un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF, des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps desdits moyens de sélections.

184.Appareil TAEBD selon la revendication 183, caractérisé en ce que les « N» directions d’émission de chaque élément parmi les « M » éléments de chacune des « L » matrices sont quasiment coplanaires.

185.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 179 à 184, caractérisé en ce que lesdits photo-émetteurs comportent des filtres passe- bandes.

186.Appareil TAEBD selon la revendication 185, caractérisé en ce que lesdits filtres passe-bandes ont des bandes passantes étroites.

187.Appareil TAEBD selon la revendication 186, caractérisé en ce que lesdits filtres à bandes passantes étroites sont des filtres interférentiels.

188.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 186 à 187, caractérisé en ce que, pour chacune des « Z » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui ont des directions d’émission quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde. 189.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 186 à 188, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui ont des directions d’émission non quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes. 190.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 179 à 189, caractérisé en ce que lesdits photo-émetteurs sont des diodes lasers IR ou LED IR.

NB : Par définition :

- Un appareil TAEBD selon l’un quelconque des revendications 155 à 158 et selon la revendication 159 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques d’émission à Filtre Optique Sélectif Intégré et à « N» directions d’émission» ou « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques FOSI d’émission et à « N» directions d’émission »

191.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 183 à 190, caractérisé en ce que les « L » matrices d’antennes opto-électroniques d’émission sont des matrices à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO et que :

- a) les balises BSDLO sont constitués de « 2 x L » photo-émetteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde ; et

- b) les détecteurs de balises BSDLO sont constitués de « 2 x Z » photo- détecteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 191 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques FOSI d’émission à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « L » matrices d’antennes opto-électroniques

FOSI d’émission, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, est dénommé Z-MATRIX-E ; les matrices de cet ensemble sont dénommés Matrix-El, Matrix-E2, Matrix-EZ ; en notation ensemb liste, Z-MATRIX-E = (Matrix-El, Matrix-EZ} ou Z-MATRIX-E = (Matrix- E / où i varie de 1 à Z}.

- L’ensemble des « M » antennes optoélectroniques FOSI d’émission, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, appartenant à une matrice Matrix-Ei, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ei- M-Ant ; les antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Antl, ..., Matrix-E/-AntM ; en notation ensembliste, Matrix-E/-M-Ant = {Matrix-Ei- Antl, ..., Matrix-E/-AntM} ou Matrix-Ei-M-Ant = (Matrix-Ei-Ant/ où j varie de 1 à M} .

- L’ensemble des « N» photo-émetteurs d’une antenne opto-électronique FOSI Matrix-Ei- Ant/, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix- Ei-Ant/-X-Photo-E ; les photo-émetteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-Ei-Ant/-Photo-El, ..., M atrix- E/-Ant/-Photo-E/V ; en notation ensembliste, M atrix- E/-Ant/-/V-Photo-E = {Matrix-Ei-Ant/-Photo-El, ..., atrix-Ei-Ant/'-Photo-E/V} ou atrix- Ei- A nt/-/V- Photo- E = {Matrix-Ei- Ant/-Photo-EA où k varie de 1 à N} .

- La longueur d’onde d’émission commune à « N» photo-émetteurs d’une antenne optoélectronique FOSI Matrix-Ei-Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-Ei est dénommée Matrix-E/-Ant/-Lmda- E où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « N » directions d’émission d’une antenne optoélectronique FOSI Matrix-Ei- Ant/, où « i » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix- E/-Ant/-AZDir ; les directions de réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-Ei-Anty-Dirl, ..., M at ri x - E i - A n t/ - Di r/V ; en notation ensembliste, M at ri x - E i - A n t/- N- Di r = {Matrix-E/-Ant/-Dirl, ..., M atrix- Ei- A nt/- Di r/V} ou M atrix- El- A nt/-/V- Di r = {Matrix-E/-Ant/-DirA où k varie de 1 à N} .

L’ensemble des « 2 » balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Ei, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ei-Balise-BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix-R/c sont dénommés respectivement Matrix-Ei-BLS-BSDLOl et Matrix-Ei-BLS- BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-Ei-Balise-BSDLO = (Matrix- Ei-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02} .

L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO bornant une matrice Matrix-Ei, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-Ei-Detect- BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balises BSDLO bornant la matrice Matrix-Ei sont dénommés respectivement Matrix-Ei-DTR- BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- E/-Detect-BSDLO = {Matrix-E/-DTR-BSDLOl, Matrix-E/-DTR- BSDL02}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-E/-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-E/ où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommée L-Matrix-R-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception des deux balises Matrix-E/-BLS-BSDLOl, Matrix-E/-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 est dénommé Matrix-E/-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-E/-Dirl, .. Matrix-E/-Dir/V ; en notation ensembliste, Matrix-E/-BLS-DTR-2BSDLO- N-Dir = {Matrix-E/-Dirl, atrix-EZ-Dir/V} ou Matrix-E/-BLS-DTR- 2BSDLO-N-Dir = (Matrix-Ei-DirA: où k varie de 1 à N}.

192.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « N » paires de photo-émetteur et de photo-récepteur intégrées à la surface de son boîtier où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », et qui sont assemblés de la manière suivante :

al -Le photo-émetteur et le photo-récepteur de chaque paire sont accolés de manière à ce que leur direction d’émission et leur direction de réception soient parallèles et de même sens ; et

a2 -Les « N » paires sont disposées de manière à ce que leurs « N » directions d’émission-réception ne soient pas parallèles ; et

- b) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « N » photo détecteurs un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSE et/ou par RL des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections ; et

- c) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « N » photo émetteurs un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSE et/ou par RL des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

193.Appareil TAEBD selon la revendication 192, caractérisé en ce que les « N » directions d’émission sont quasiment coplanaires et les « N » directions de réception sont quasiment coplanaires.

194.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « 1 » matrice à « M » éléments intégré à la surface de son boîtier, où « M » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » ; et chaque élément de ladite matrice est composé de « N » paires de photo-émetteur et de photo-récepteur, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », qui sont assemblés de la manière suivante :

al -Le photo-émetteur et le photo-récepteur de chaque paire sont accolés de manière à ce que leur direction d’émission et leur direction de réception soient parallèles et de même sens ; et

a2 -Les « N » paires sont disposées de manière à ce que leurs « N » directions d’émission-réception ne soient pas parallèles ; et

- b) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « M x N » photo-émetteurs de ladite matrice un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections ; et

- c) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « M x N » photo détecteurs un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

195.Appareil TAEBD selon la revendication 194, caractérisé en ce que pour chaque élément parmi les « M » éléments de la matrice :

- a) Les « N » directions d’émission sont quasiment coplanaires ; et

- b) Les « N » directions de réception sont quasiment coplanaires.

196.Appareil TAEBD caractérisé en ce qu’il comporte :

- a) « L » matrices à « M » éléments intégrés à la surface de son boîtier, où « L » et « M » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et chaque élément de chacune desdites matrices est composé de « N » paires de photo-émetteur et de photo-récepteur, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 2 », qui sont assemblés de la manière suivante :

al -Le photo-émetteur et le photo-récepteur de chaque paire sont accolés de manière à ce que leur direction d’émission et leur direction de réception soient parallèles et de même sens ; et

a2 -Les « N » paires sont disposées de manière à ce que leurs « N » directions d’émission-réception ne soient pas parallèles ; et - b) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « L x Mx N» photo-émetteurs des « L » matrices un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections ; et

- c) Des moyens de sélections, destinés à la mise en service des « L x Mx N » photo-détecteurs des « L » matrices un à un ou à plusieurs simultanément, ayant un dispositif de réceptions par OSF et/ou par RF des consignes de sélections et/ou d’initialisation de la base de temps de sélections.

197.Appareil TAEBD selon la revendication 196, caractérisé en ce que pour chaque élément parmi les « L x M » éléments des « L » matrices :

- a) Les « N » directions d’émission sont quasiment coplanaires ; et

- b) Les « N » directions de réception sont quasiment coplanaires.

198.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 192 à 197, caractérisé en ce que lesdits photo-émetteurs et lesdits photo-détecteurs comportent des filtres passe-bandes.

199.Appareil TAEBD selon la revendication 198, caractérisé en ce que lesdits filtres passe-bandes ont des bandes passantes étroites.

200.Appareil TAEBD selon la revendication 199, caractérisé en ce que lesdits filtres à bandes passantes étroites sont des filtres interférentiels.

201.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 199 à 200, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui ont des directions d’émission quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde.

202.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 199 à 201, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-émetteurs qui ont des directions d’émission non quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes.

203.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 199 à 202, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui ont des directions d’émission quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur une même longueur d’onde. 204.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 199 à 203, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à des photo-détecteurs qui ont des directions d’émission non quasiment coplanaires alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur deux longueurs d’onde distinctes. 205. Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 199 à 204, caractérisé en ce que, pour chacune des « L » matrices si deux filtres appartiennent à la même paire de photo-émetteur et de photo-récepteur alors ils ont des bandes passantes étroites centrées sur la même longueur d’onde.

206.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 192 à 205, caractérisé en ce que lesdits photo-détecteurs sont des photodiodes.

207.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 192 à 206 caractérisé en ce que lesdits photo-émetteurs sont des diodes lasers IR ou LED IR.

NB : Par définition :

- Un appareil TAEBD selon l’un quelconque des revendications 206 à 207 est dénommé «Appareil TAEBD à réseau d’antennes opto-électroniques d’émission-réception à Filtre Optique Sélectif Intégré et à « N » directions d’émission-réception» ou «Appareil TAEBD à réseau d’antennes optoélectroniques FOSI d’ émission-réception».

les « N » directions d’émission-réception sont dénommées Dir-ERl, ..., Dir-ERN.

208.Appareil TAEBD selon l’une quelconque des revendications 196 à 207, caractérisé en ce que les « L » matrices de double-antennes optoélectroniques FOSI d’ émission-réception sont des matrices à balises BSDLO et à détecteur de balises BSDLO et que :

- a) les balises BSDLO sont constitués de « 2 x L » photo-émetteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde ; et - b) les détecteurs de balises BSDLO sont constitués de « 2 x L » photo détecteurs qui possèdent des filtres passe-bandes de même longueur d’onde.

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 208 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes optoélectroniques FOSI d’émission- réception à balises BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO».

- L’ensemble des « L » matrices de double-antennes optoélectroniques FOSI d’ émission-réception, à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, est dénommé Z-MATRIX-ER ; les matrices de cet ensemble sont dénommés Matrix-ERl, Matrix-ER2, ..., Matrix-ERZ ; en notation ensembliste, Z-MATRIX-ER = (Matrix-ERl, ..., Matrix-ERZ} ou Z-MATRIX-ER = (Matrix-ERi où i varie de 1 à Z}.

- L’ensemble des « M » double-antennes optoélectroniques FOSI d’ émission-réception , à détecteurs de balises BSDLO ou sans détecteur de balises, appartenant à une matrice Matrix-ERi, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-ERi-M-2Ant ; les double-antennes de cet ensemble sont dénommées Matrix-ERi-2Antl, ..., Matrix-ER/-2AntM ; en notation ensembliste, Matrix-ERi-M-2Ant = (Matrix-ERi-2Antl, ..., Matrix-ER/-2AntM} ou Matrix-ERi-M-2Ant = (Matrix-ERi-2Ant/ où j varie de 1 à M} .

- L’ensemble des « A» photo-émetteurs d’une double-antenne optoélectronique FOSI Matrix-ERi-2Ant/, FOSI ou NT-FOS, où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé atrix- E Ri-2 A n t/- A- P hoto- E ; les photo émetteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-ERi-2Ant/-Photo-El, ..., M at r i x - E R i- 2 A n t/ - P h o t o - E A ; en notation ensembliste, Matrix-ERi- 2Ant/-A-Photo-E = {Matrix-ERi-2Ant/-Photo-El, ..., Matrix-ERi-2Ant/- Photo-EA} ou M atrix- E Ri-2 A nt/- A- Photo- E = (Matrix-ERi-2Ant/-Photo- E k où Z varie de 1 à A}.

- La longueur d’onde d’émission commune à « A» photo-émetteurs d’une double-antenne opto-électronique FOSI Matrix-ERi-2Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-ERi est dénommée Matrix- ERi-2Ant/-Lmda-ER où « i » varie de 1 à Z et « j » varie de 1 à M.

- L’ensemble des « A» photo-détecteurs d’une double-antenne optoélectronique FOSI Matrix-ERi-2Ant/,où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé Matrix-ERi-2Ant/-A-Photo-R ; les photo-détecteurs de cet ensemble sont dénommées Matrix-ERi-2Ant/-Photo-Rl, ..., Matrix-ERi- 2Ant/-Photo-RA ; en notation ensembliste, Matrix-ERi-2Ant/-A-Photo-R = {Matrix-ERz-2Ant/-Photo-Rl, Matrix-ER/'-2Ant/'-Photo-RA} ou

M atri X-ER/-2A n t/-A- P h oto- R = | Matrix-ER/-2Ant/-Photo-RZ où Avarie de 1 à N}.

- La longueur d’onde de réception commune à « A » photo-détecteurs d’une double-antenne optoélectronique FOSI Matrix-ER/-2Ant/ à longueur d’onde unique appartenant à une matrice Matrix-ER/ est dénommée Matrix- ER/'-2Ant/'-Lmda-ER où « i » varie de « 1 » à « Z » et « j » varie de « 1 » à « M ».

- L’ensemble des « N» directions d’émission-réception d’une double- antenne optoélectronique FOSI Matrix-ER/'-2Ant/', où « j » varie de « 1 » à « M », est dénommé M a t ri x - E R /'- 2 A n t/'- A- Di r ; les directions d’émission- réception de cet ensemble sont dénommées Matrix-ER/'-2Ant/'-Dirl ,

M at ri x - E R /- 2 A n t/ - Di r A ; en notation ensembliste, M atrix- E R/-2 A nt/'- A- Di r = i Matrix-ER/'-2Ant/'-Dirl , ..., M atrix- E R/-2 A lit/- Di r A} ou M atrix- ER/- 2Ant/-A-Dir = | Matiïx-ER/-2Ant/-DirZ où k varie de 1 à A} .

L’ensemble des « 2 » balises BSDLO, appartenant à une matrice Matrix- ER/, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix-ERz-Balise- BSDLO ; la première et la deuxième balise BSDLO de la matrice Matrix- ER/ sont dénommés respectivement Matrix-ERz-BLS-BSDLOl et Matrix- ER/-BLS-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix-ERz-Balise-BSDLO = (Matrix-ERz-BLS-BSDLO l, Matrix-ERz-BLS-BSDL02} .

- L’ensemble des « 2 » détecteurs de balises BSDLO, appartenant à une matrice Matrix-ERz, où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommé Matrix- ERz-Detect-BSDLO ; le premier et le deuxième détecteur de balise BSDLO de la matrice Matrix-ERz sont dénommés respectivement Matrix-ERz-DTR- BSDLOl et Matrix-ERz-DTR-BSDL02 ; en notation ensembliste, Matrix- ERz-Detect-BSDLO = (Matrix-ERz-DTR-BSDLOl, Matrix-ERz-DTR- BSDL02}.

- La longueur d’onde d’émission-réception commune à toutes les balises Matrix-ERz-BLS-BSDLOl, Matrix-ERz-BLS-BSDL02 et à tous les détecteurs de balises Matrix-ERz-DTR-BSDLOl et Matrix-ERz-DTR- BSDL02 appartenant à toutes matrices Matrix-ERz où « i » varie de « 1 » à « Z », est dénommée L-Matrix-R-BLS-DTR-2BSDLO-Lmda-ER.

- L’ensemble des « A » directions d’émission-réception des deux balises Matrix-ERz-BLS-BSDLOl, Matrix-ERz-BLS-BSDL02 et des deux détecteurs de balises Matrix-ERz-DTR-BSDLOl et Matrix-ERz-DTR- BSDL02 est dénommé Matrix-ERz-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir ; les directions d’émission-réception de cet ensemble sont dénommées Matrix- ERi-Dirl, ..., Matrix-ERi-Dir/V ; en notation ensembliste, Matrix-ERi- BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir = {Matrix-ERi-Dirl, ..., Matrix- ERi-Dir/V} ou Matrix-ERi-BLS-DTR-2BSDLO-N-Dir = {Matrix-ERi-DirZ où k varie de 1 à N}. 209. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou

NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendication 116 à 208, caractérisé en ce que les « L » matrices Matrix-Ri d’antennes photoniques ou optoélectroniques de réception sont réparties le long de « L » arêtes du boîtier dudit appareil TAEBD ; « i » étant un nombre entier variant de « 1 » à « Z ».

NB : Par définition :

L’ensemble des « L » arêtes longées par les matrices Matrix-Ri où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » est dénommé Z-EDGE-R ; les arêtes de cet ensemble sont dénommées Edge-Rl, Edge-R2, .. Edge-RZ ; en notation ensembliste, Z-EDGE-R = {Edge-Rl, Edge-R2, Edge-RZ} ou Z-EDGE-R = {Edge-Ri où i varie de 1 à Z}.

210.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon la revendication 209, caractérisé en ce que les matrices Matrix-Ri où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont identiques.

211. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon l’une quelconque des deux revendications 209 et 210, caractérisé en ce que les matrices Matrix-Ri où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont des matrices à balise BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO.

212. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon la revendication 211, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections périodiques selon des critères préalablement définis, d’une arête Edge-Ri et d’une direction de réception Matrix-Ri-DirZ, commune aux deux détecteurs de balises Matrix-Ri-DTR-BSDLOl et Matrix-Ri-DTR-BSDL02 appartenant à la matrice Matrix-Ei qui longe ladite arête ; « i » et « k » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « N ».

213. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 211 à 212, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélection périodique, selon des critères préalablement définis, des longueurs d’onde de réception, i.e. des longueurs d’onde Matrix-R/-Ant/-Lmda-R de l’antenne Matrix-Ri- Ant/ appartenant à la matrice Matrix-Ri ; « i » et « j » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « » et de « 1 » à « M ». NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 212 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif en position et en direction de réception».

Un appareil TAEBD selon la revendication 213 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif en longueur d’onde».

214. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 211 à 213, caractérisé en ce que l’un des critères desdits moyens de sélection périodique d’une arête Edge-Ri et d’une direction de réception Matrix-Ri-DirZ, où « i » et « k » sont des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « N », est :

- a) La puissance des signaux reçus par les deux détecteurs de balises BSDLO de la matrice Matrix-Ri, i.e. Matrix-R/-DTR-BSDLOl et Matrix-Ri-DTR- BSDL02, doit être supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; et/ou

- b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélections.

215.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 211 à 214, caractérisé en ce que l’un des critères desdits moyens de sélection périodique des longueurs d’onde de réception est : - a) La longueur d’onde ne doit pas être déjà en service dans un autre appareil à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques FOSI qui est situé au voisinage ; et/ou

- b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélection. 216.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendication 130 à 208, caractérisé en ce que les « Z » matrices Matrix-E/ d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou optoélectroniques d’émission FOSI sont réparties le long de « L » arêtes du boîtier dudit appareil TAEBD ; « i » étant un nombre entier variant de « 1 » à « Z ».

NB : Par définition :

L’ensemble des « Z » arêtes longées par les matrices Matrix-E/ où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » est dénommé Z-EDGE-E ; les arêtes de cet ensemble sont dénommées Edge-El, Edge-E2, .. Edge-EZ ; en notation ensembliste, Z-EDGE-E = (Edge-El, Edge-E2, ..., Edge-EZ} ou Z-EDGE-E = (Edge-Ei où i varie de 1 à Z}.

217.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon la revendication 216, caractérisé en ce que les matrices Matrix-Ei où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont identiques.

218.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon l’une quelconque des revendications 216 à 217, caractérisé en ce que les matrices Matrix-Ei où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont en outre des matrices à balise BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO.

219. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon la revendication 218, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections périodiques, selon des critères préalablement définis, d’une arête « Edge-Ez » et d’une direction d’émission Matrix-Ei-DirA:, commune aux deux détecteurs de balises Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02 appartenant à la matrice Matrix-Ei qui longe ladite arête ; « i » et « k » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « N ».

220. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon l’une quelconque des revendications 218 à 219, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections périodiques, selon des critères préalablement définis, des longueurs d’onde d’émission, i.e. des longueurs d’onde Matrix-E/-Ant/-Lmda-E de l’antenne Matrix-Ei-Ant/ appartenant à la matrice Matrix-E/ ; « i » et « j » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « L » et de « 1 » à « M ». NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 219 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en position et en direction d’émission».

Un appareil TAEBD selon la revendication 220 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en longueur d’onde».

221.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon l’une quelconque des revendications 218 à 220, caractérisé en ce que l’un des critères desdit moyens de sélection périodique d’une arête Edge-E/ et d’une direction d’émission Matrix-E/-DirA:, où « / » et « k » sont des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « N », est :

- a) La puissance de signaux reçus par les deux détecteurs de balises BSDLO de la matrice Matrix-Ei, i.e. Matrix-E/-DTR-BSDLOl et Matrix-E/-DTR-BSDL02, doit être supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; et/ou

- b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélection.

222. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission FOSI selon l’une quelconque des revendications 218 à 221, caractérisé en ce que l’un des critères desdits moyens de sélection périodique des longueurs d’onde d’émission est :

- a) La longueur d’onde ne doit pas être déjà en service dans un autre appareil similaire à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques FOSI qui est situé au voisinage ; et/ou - b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélection.

223. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception FOSI selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendication 192 à 208, caractérisé en ce que les « L » matrices Matrix-ERi de double-antennes photoniques ou optoélectroniques d’émission-réception sont réparties le long de « L » arêtes du boîtier dudit appareil TAEBD ; « i » étant un nombre entier variant de « 1 » à « Z ».

NB : Par définition :

- L’ensemble des « L » arêtes longées par les matrices Matrix-ERi où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » est dénommé Z-EDGE-ER ; les arêtes de cet ensemble sont dénommées Edge-ERl, Edge-ER2, Edge- ERZ ; en notation ensembliste, Z-EDGE-ER = {Edge-ERl, Edge-ER2, Edge-ERZ} ou Z-EDGE-ER = {Edge-ERi où i varie de 1 à Z}. 224. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception

FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception FOSI selon la revendication 223, caractérisé en ce que les matrices Matrix-ERi où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont identiques.

225. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception

FOSI selon l’une quelconque des revendications 223 à 224, caractérisé en ce que lesdits Matrix-ERi où « i » est un nombre entier variant de « 1 » à « Z » sont des matrices à balise BSDLO et à détecteurs de balises BSDLO.

226. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception

FOSI selon la revendication 225, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections périodiques selon des critères préalablement définis, d’une arête Edge- ERi et d’une direction d’émission-réception Matrix-ERi-DirZ, commune aux deux détecteurs de balises Matrix-ERi-DTR-BSDLOl et Matrix-ERi-DTR- BSDL02 appartenant à la matrice Matrix-ERi qui longe ladite arête ; « i » et « k » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « N ».

227. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 225 à 226, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de sélections périodiques, selon des critères préalablement définis, des longueurs d’onde de réception, i.e. des longueurs d’onde Matrix-ER/- Ant/-Lmda-ER de la double-antenne Matrix-ERi-Ant/ appartenant à la matrice Matrix-ER/ ; « i » et « j » étant des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « Z » et de « 1 » à « M ».

NB : Par définition :

Un appareil TAEBD selon la revendication 226 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en position et en direction d’émission-réception».

Un appareil TAEBD selon la revendication 227 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en longueur d’onde d’émission-réception ».

Un appareil TAEBD selon les revendications 226 et 227 est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en position, en longueur d’onde et en direction d’émission-réception ».

- En abrégé, un appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en position, en direction d’émission et/ou réception et en longueur d’onde est dénommé « Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO ».

228. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 226 à 227, caractérisé en ce que l’un des critères desdits moyens de sélection périodique d’une arête Edge-ER/ et d’une direction d’émission-réception Matrix-ERi-DirA:, où « i » et « k » sont des nombres entiers variant respectivement de « 1 » à « L » et de « 1 » à « N », est :

- a) La puissance de signaux reçus par les deux détecteurs de balises BSDLO de la matrice Matrix-ER/, i.e. Matrix-ER/-DTR-BSDLOl et Matrix-ER/-DTR- BSDL02, doit être supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; et/ou

- b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélection.

229. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission-réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission-réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 225 à 228, caractérisé en ce que l’un des critères desdits moyens de sélection périodique des longueurs d’onde d’émission est :

- a) La longueur d’onde ne doit pas être déjà en service dans un autre appareil similaire à réseau d’antennes photoniques FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques FOSI qui est situé au voisinage ; et/ou

- b) La réception par OSF et/ou par RF de consignes de sélection.

230.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications 212 à 229, caractérisé en ce que lesdits moyens de sélection périodique d’arêtes et de directions d’émission et/ou de réception comporte un dispositif d’initialisation par OSF et/ou par RF, de la base de temps de sélections.

231.Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI, selon l’une quelconque des revendications 212 à 230, caractérisé en ce que lesdits moyens destinés à la sélection périodique des longueurs d’onde d’émission et/ou de réception comporte un dispositif d’initialisation par OSF et/ou par RF, de la base de temps de sélections.

232.Terminal à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI, selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendication 116 à 231, caractérisé en ce qu’il est en outre un terminal mobile de communication par RF.

NB : Par définition :

- Un terminal à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS selon la revendication 232, est dénommé « Terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ».

- Un terminal à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI selon la revendication 232, est dénommé « Terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI ».

233.Terminal mobile de communication par RF à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ou Terminal mobile de communication par RF à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI selon la revendication 232, caractérisé en ce que les nombres « L » des matrices, « M » des antennes d’une matrice, « N » des directions d’émission et/ou de réception d’une antenne sont les suivants :

- a) L=l et M=l2 et =2 ou

- b) L=l et M=l2 et N=3 ; ou

- c) L=2 et M=l2 et N=2 ; ou

- d) L=4 et M=l2 et N=2 ; ou 234. Appareil électronique à réseau d’antennes photoniques d’émission et/ou de réception FOSI ou NT-FOS ou à réseau d’antennes optoélectroniques d’émission et/ou de réception FOSI selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendication 116 à 231, caractérisé en ce qu’il est en outre l’un des appareils, ou équivalents, figurant sur la liste non- exhaustive suivante :

- a) un ordinateur portable dont les « L » matrices d’antennes photoniques ou optoélectroniques sont réparties sur :

al -Le boîtier de la partie contenant l’écran ; et/ou

a2 -Le boîtier de la partie contenant le clavier ;

- b) une tablette ;

- c) un ordinateur de bureau ou une station de travail ;

- d) un écran d’ordinateur ou un téléviseur ou autre appareil de visualisation ;

- e) un clavier ;

- f) une souris dont les « L » matrices d’antennes photoniques ou optoélectroniques sont réparties sur une partie dédiée qui ne peut pas être obstruée par la main de l’utilisateur ;

- g) Un téléphone portable DECT ou VoIP ou CAT-iq

- h) une oreillette ; - i) un casque audio ;

- j) casque ou lunette de réalité virtuelle simple ou augmentée

- k) un microphone ;

- 1) une mémoire de masse ;

- m)un haut-parleur ;

- n) un caméscope ;

- o) un appareil photographique ;

- p) un amplificateur audio ;

- q) un microphone ;

- r) un enregistreur audio et/ou vidéo ;

- s) un appareil audio-visuelle quelconque ;

- 1) un écoute-bébé, i.e. baby phone ;

- u) un appareil dit « objet connecté » ;

- v) un appareil médical fixe ou portable ou mobile ;

- w)un équipement industriel fixe ou mobile et les « L » matrices photoniques ou optoélectroniques sont installés sur un support dédié ;

- x) un appareil électroménager et les « L » matrices photoniques ou optoélectroniques sont installés sur un support dédié.

235.Dispositif de communications par OSF, caractérisé en ce qu’il comporte, au moins :

- a) Des moyens de concentration des rayonnements incidents émis par des sources optiques localisées dans une zone délimitée de l’espace liée au dit dispositif, en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles ; et

- b) Des moyens de transformation desdites sources quasi-ponctuelles en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles émergeant dudit dispositif.

236.Dispositif de communications par OSF selon la revendication 235, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de couplage à une ou plusieurs fibres optiques, pour acheminer ladite ou lesdites sources quasi-ponctuelles jusqu’à un ou plusieurs photo-détecteurs, sans passer par lesdits moyens de transformation desdites sources quasi-ponctuelles en un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles émergents.

237.Dispositif de communications par OSF selon l’une quelconque des revendications 235 à 236, caractérisé en ce qu’il comporte, au moins :

- a) Des moyens de transformation d’un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles incidents en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles ; et

- b) Des moyens de diffusion de ladite ou desdites sources quasi- ponctuelles sous la forme d’une ou plusieurs sources étendues de rayonnements optiques de manière à couvrir ladite zone délimitée de l’espace liée au dit dispositif.

238.Dispositif de communications par OSF selon la revendication 237, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de couplage à une ou plusieurs fibres optiques, pour recevoir une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques émises par un ou plusieurs photo-émettteurs, sans passer par lesdits moyens de transformation d’un ou plusieurs faisceaux de rayons optiques parallèles incidents en une ou plusieurs sources quasi-ponctuelles.

NB : Par définition :

Un dispositif de communications par OSF selon l’une quelconque des revendications 235 à 238, est dénommé «Pseudo-satellite photonique », en abrégé « PSAT » ou « PSAT Photonique » ;

La zone délimitée de l’espace liée au dit dispositif selon l’une quelconque des revendications 235 à 238, est dénommée « Zone de couverture optique ».

Un faisceau de rayons optiques parallèles selon l’une quelconque des revendications 235 à 238, est dénommé « FROP » ou « Faisceau FROP ».

239.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 238, caractérisé en ce qu’il comporte une partie convexe ayant plusieurs concentrateurs optiques et/ou plusieurs diffuseurs optiques répartis de manière à couvrir ladite zone de couverture optique.

240.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 239, caractérisé en ce que l’un desdits concentrateurs optiques est de l’un des types suivants :

- a) DTIRC, abrégé de « Dielectric Totally Internally Reflecting Concentrator » ;

- b) CPC, abrégé de « Compound Parabolic Concentrator » ;

- c) DTIRC Parabolique ; - d) DTIRC elliptique ;

- e) Concentrateur hémisphérique ;

- f) Concentrateur imageur.

241.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 240, caractérisé en ce que l’un desdits diffuseurs optiques est de type holographique.

242.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 241, caractérisé en ce que :

- a) Lesdits concentrateurs optiques sont des modules optiques séparés ayant chacun des moyens permettant la connexion d’une fibre optique ; et

- b) Ladite partie convexe possède des compartiments dédiés à la mise en place desdits modules optiques de concentration.

243.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 242, caractérisé en ce que :

- a) Lesdits diffuseurs optiques sont des modules optiques séparés ayant chacun des moyens permettant la connexion d’une fibre optique ; et

- b) Ladite partie convexe possède des compartiments dédiés à la mise en place desdits modules optiques de diffusion.

NB : Par définition :

- Un pseudo-satellite photonique comportant au moins un concentrateur optique ou un diffuseur optique sous forme de module, selon la revendication 243, est dénommé « Pseudo-satellite photonique DCDC » ; DCDC est l’abrégé de « Discrète Concentrator and Diffuser Cluster ».

244.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 243, caractérisé en ce qu’au moins l’un desdits modules optiques de concentration comporte les éléments suivants :

- a) Une tête de concentration optique destiné à concentrer sous forme de source quasi-ponctuelle les rayonnements incidents qui arrivent sur sa surface de réception sous un angle d’incidence inférieur à une valeur limite préalablement définie ; et - b) Un lentille de collimation destinée aux rayonnements de ladite source quasi- ponctuelle ; - c) Un lentille de focalisation destinée aux rayonnements collimatés par ladite lentille de collimation ;

- d) Une capsule d’assemblage ayant des emplacements dédiés à la mise en place de ladite tête de concentration optique et desdites lentilles de collimation et de focalisation et des moyens permettant la connexion d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de ladite lentille de focalisation.

245.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 244, caractérisé en ce qu’au moins l’un desdits modules optiques de diffusion comporte les éléments suivants :

- a) Un écran de diffusion holographique ou standard ou autre, destiné à la transformation sous forme de source étendue de tout faisceau de rayons optiques parallèles incident qui arrive perpendiculairement à sa surface ; et

- b) Un lentille de collimation destinée aux rayonnements d’une source quasi- ponctuelle se trouvant à l’extrémité d’une fibre optique et placée à son foyer ;

- c) Une capsule d’assemblage ayant des emplacements dédiés à la mise en place dudit écran de diffusion optique et de ladite lentille de collimation et des moyens permettant la connexion d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de ladite lentille de collimation.

246.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 245, caractérisé en ce que :

- a) Un ou plusieurs concentrateurs optiques et un ou plusieurs diffuseurs optiques sont intégrés dans un même substrat pour former un module de concentration et de diffusion optique, ayant deux connecteurs pour le couplage avec deux fibres optiques ; et

- b) Tous les segments de fibre optique permettant de relier lesdits concentrateurs optiques et lesdits diffuseurs optiques auxdits connecteurs sont intégrés dans ledit substrat ; et

- c) Ladite partie convexe possède un compartiment dédié à la mise en place dudit module de concentration et de diffusion optique.

NB : Par définition :

Un module de concentration et de diffusion optique formé par l’intégration de concentrateurs optiques et de diffuseurs optiques dans un même substrat, selon la revendication 246, est dénommé « Module ConcentFuser » ou « ConcentFuser ».

- Un pseudo-satellite photonique comportant au moins un module ConcentFuser est dénommé « Pseudo-satellite photonique ICDC » ; ICDC est l’abrégé de « Integrated Concentrator and Diffuser Cluster ».

247.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 246, caractérisé en ce que :

- a) L’intégration desdits concentrateurs optiques et des segments de fibre optique associés se fait par injection d’un polymère PMMA, dans les compartiments et canaux dédiés dudit substrat, le cas échéant, après dépôt de couches diélectriques de gainage ; et

- b) L’intégration des segments de fibre optique associés auxdits diffuseurs optiques se fait par injection d’un polymère PMMA, dans les canaux dédiés dudit substrat, le cas échéant, après dépôt de couches diélectriques de gainage ; et

- c) L’intégration des écrans de diffusion et des lentilles de collimation associées se fait manuellement et/ou par des machines de placement semi-automatique ou automatique.

248.Pseudo-satellite photonique, selon revendication 247, caractérisé en ce que lesdits canaux dudit substrat ne se croisent pas. 249.Pseudo-satellite photonique, selon revendication 248, caractérisé en ce que l’ensemble des courbes centrales desdits canaux dudit substrat forment un ensemble de courbes B-Splines ou B-Splines Rationnelles, i.e. MJRBS, dont les vecteurs des nœuds, i.e. knot vector, et les points de contrôle, i.e. control points, sont choisis de manière à ce que les canaux qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale.

250.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 241, caractérisé en ce que :

- a) Tous les concentrateurs et diffuseurs optiques sont intégrés dans un même substrat constitué de ladite partie convexe pour former un module de concentration et de diffusion optique ayant deux connecteurs pour le couplage avec deux fibres optiques ; et - b) Tous les segments de fibre optique permettant de relier lesdits concentrateurs et diffuseurs optiques auxdits connecteurs sont intégrés dans ledit substrat dans des canaux dédiés.

NB : Par définition :

- Un pseudo-satellite photonique dont ladite partie convexe est un substrat dans lequel sont formés les concentrateurs optiques et les diffuseurs optiques, selon la revendication 250, est dénommé « Pseudo-satellite photonique LSI-CDC » ; LSI-CDC est l’abrégé de « Large Scale Integrated Concentrator and Diffuser Cluster ».

251.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 250, caractérisé en ce que :

- a) L’intégration desdits concentrateurs optiques et des segments de fibre optique associés se fait par injection d’un polymère PMMA, dans les compartiments et canaux dédiés dudit substrat, le cas échéant, après dépôt de couches diélectriques de gainage ; et

- b) L’intégration des segments de fibre optique associés auxdits diffuseurs optiques se fait par injection d’un polymère PMMA, dans les canaux dédiés dudit substrat, le cas échéant, après dépôt de couches diélectriques de gainage ; et

- c) L’intégration des écrans de diffusion et des lentilles de collimation associées se fait manuellement et/ou par des machines de placement semi-automatique ou automatique.

252.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 251, caractérisé en ce que lesdits canaux dudit substrat que constitue ladite partie convexe ne se croisent pas.

253.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 252, caractérisé en ce que l’ensemble des courbes centrales desdits canaux dudit substrat forment un ensemble de courbes B-Splines ou B-Splines Rationnelles, i.e. MJRBS, dont les vecteurs des nœuds, i.e. knot vector, et les points de contrôle, i.e. control points, sont choisis de manière à ce que les canaux qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale.

254.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 238 à 253, caractérisé en ce qu’il comporte une base cylindrique dont la courbe directrice est un rectangle ou un carré ou un cercle ou autre courbe plane fermée. 255.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 254, caractérisé en ce que ladite base cylindrique comporte un ou plusieurs conduits de faisceau optique permettant chacun :

- a) Le passage d’un faisceau FROP ; et

- b) L’installation d’un module optique d’émission de faisceau FROP ; et - c) L’installation d’un module optique de réception de faisceau FROP ; et

- d) L’installation d’un module optique de déviation de faisceau FROP.

NB : Par définition :

Chacun desdits conduits est dénommé « CFO » ou « Conduit CFO ».

256.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 255, caractérisé en ce que la surface interne de chacun desdits conduits CFO est constitué d’une ou plusieurs portions de surface cylindrique dont la courbe directrice est un rectangle ou un carré ou un cercle ou autre courbe plane fermée.

257.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 256, caractérisé en ce que chacun desdits conduit CFO est constitué de deux portions desdites surfaces cylindriques dont les deux droites génératrices font un angle ayant une valeur de déviation préalablement définie qui a la même valeur pour l’ensemble desdits conduits CFO.

258.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 256 à 257, caractérisé en ce que lesdits conduits CFO sont répartis sur un ou plusieurs plans parallèles et équidistants de manière à ce que les plans de symétrie desdites surfaces cylindriques soient confondus avec lesdits plans parallèles.

NB : Par définition, chacun desdits plans parallèles est dénommé « Plan de niveau PNIV& » où « k » est un nombre entier supérieur ou égale à « 1 ».

259.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 255 à 258, caractérisé en ce que chacun desdits conduits CFO comporte des rainures d’alignement destinés à la mise en place précise de module optique. 260.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 254 à 259, caractérisé en ce que ladite base cylindrique comporte :

- a) Un convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant ; et/ou

- b) Un convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi- ponctuelle de rayonnement.

NB : Par définition :

- Un convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant, selon la revendication 260, est dénommé « Convertisseur CONSOP » ou « CONSOP ».

- Un convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi- ponctuelle de rayonnement, selon la revendication 260, est dénommé « Convertisseur CONFROP » ou « CONFROP ».

261.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 260, caractérisé en ce que ledit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant comporte les éléments suivants :

- a) Un lentille de collimation destinée aux rayonnements de ladite source quasi- ponctuelle ;

- b) Une capsule d’assemblage ayant un emplacement dédié à la mise en place de ladite lentille de collimation et des moyens permettant la connexion d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de ladite lentille de collimation.

262.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 260 à 261, caractérisé en ce que ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement comporte les éléments suivants :

- a) Un lentille de focalisation destinée au faisceau FROP incident ; - b) Une capsule d’assemblage ayant un emplacement dédié à la mise en place de ladite lentille de focalisation et des moyens permettant la connexion d’une fibre optique telle que l’extrémité de cette dernière puisse se trouver au foyer de ladite lentille de focalisation. 263.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 260 à 262, caractérisé en ce que :

- a) Ledit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont identiques ; et - b) Chacun desdits convertisseurs optiques comportent des rails d’alignement en adéquation avec les rainures d’alignement des conduits CFO.

264.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 263, caractérisé en ce que :

- a) Ledit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont installés dans deux desdits conduits CFO dont les plans de symétrie sont confondus ; et

- b) Ils sont alignés, grâce aux rails et rainures d’alignement, et orientés dans le même sens de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles. 265.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 235 à 264, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens permettant :

- a) La déviation d’un ou plusieurs faisceaux FROP, qui le pénètre de manière appropriée, d’un angle ayant une valeur de déviation préalablement définie qui est la même que celle des deux droites génératrices desdits Conduits CFO telles que décrites dans la revendication 257 ; et/ou

- b) Le passage sans déviation d’un ou plusieurs faisceaux FROP qui le pénètre de manière appropriée.

266.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 265, caractérisé en ce que les moyens permettant ladite déviation sont constitués de systèmes catoptriques. NB : Par définition :

Un moyen de déviation selon la revendication 266 est dénommée « Déviateur catoptrique » ou « Déviateur DEVIFROP » ou « DEVIFROP ». 267.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 266, caractérisé en ce que ladite valeur de déviation préalablement définie est égale à 90°.

268.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 267, caractérisé en ce que ladite partie convexe est le quart d’un hémisphère.

269.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 266 à 268, caractérisé en ce que chacun desdits déviateurs catoptriques comporte une capsule ayant des rails d’alignement en adéquation avec les rainures d’alignements desdits conduits CFO et contenant l’un des composants optiques suivants :

- a) Un prisme droit de réflexion totale dont la base est un triangle rectangle isocèle ; ou

- b) Un miroir réfléchissant incliné de 45° par rapport à l’axe de ladite capsule.

270.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 266, caractérisé en ce que ladite valeur de déviation préalablement définie est égale à 120°.

271.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 270, caractérisé en ce que ladite partie convexe est le tiers d’un hémisphère.

272.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 270 à 271, caractérisé en ce que chaque système catoptrique est placé dans une capsule ayant des rails d’alignement en adéquation avec les rainures d’alignements desdits conduits CFO et contenant l’un des composants optiques suivants :

- a) Un prisme droit de réflexion totale dont la base est un triangle équilatéral ; ou

- b) Un miroir réfléchissant incliné de 60° par rapport à l’axe de ladite capsule.

273.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 235 à 272, caractérisé en ce qu’il comporte une partie d’interfaçage mécanique ayant la forme d’un segment de cylindre dont la courbe directrice est un rectangle ou un carré ou un cercle ou autre courbe plane fermée. 274.Pseudo-satellite photonique, selon la revendication 273, caractérisé en ce que ladite courbe directrice dudit cylindre est identique à celle de ladite base cylindrique.

275.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 273 à 274, caractérisé en ce que ladite partie d’interfaçage mécanique comporte :

- a) Un tambour d’enroulement de fibres optiques permettant de respecter les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale ; et

- b) Un berceau destiné à abriter, le cas échéant, des coupleurs optiques de type Combiner ou Splitter.

276.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 273 à 275, caractérisé en ce que ladite partie d’interfaçage mécanique comporte :

- a) Un coupleur optique, de type Combiner, permettant de relier lesdits concentrateurs optiques au dit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant ; et/ou

- b) Un coupleur optique, de type Splitter, permettant de relier lesdits diffuseurs optiques au dit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi- ponctuelle de rayonnement. 277.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 273 à 276, caractérisé en ce que ladite partie d’interfaçage mécanique comporte des moyens permettant de la fixer sur :

- a) Ladite base cylindrique par collage et/ou par vissage ; et sur

- b) Ladite partie convexe par collage et/ou par vissage.

278.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 239 à 277, caractérisé en ce qu’il comporte un couvercle de protection de ladite partie convexe transparent aux rayonnements utilisés.

279.Pseudo-satellite photonique, selon l’une quelconque des revendications 255 à 278, caractérisé en ce qu’il comporte des capuchons de protection desdits conduits CFO qui sont transparents aux rayonnements utilisés.

280.Groupement de « 2 » pseudo-satellites photoniques identiques, caractérisé en ce que les « 2 » pseudo-satellites photoniques sont placés de manière à ce que :

- a) La zone de couverture optique dudit groupement soit pratiquement continue et approximativement « 2 » fois plus grande que celle de l’un desdits pseudo satellites photoniques seul ; et

- b) Lesdits pseudo-satellites photoniques soient adjacents et symétriques par rapport à un plan. 281.Dispositif équivalent au dit groupement de « 2 » pseudo-satellites photoniques, selon la revendication 280, caractérisé en ce que ledit dispositif équivalent ne comporte qu’un seul tambour et un seul berceau au lieu de « 2 » tambours et de « 2 » berceaux.

NB : Par définition :

- Un groupement de « 2 » pseudo-satellites photoniques ou un dispositif équivalent est dénommé « DUO-PSAT ».

282.Groupement de « 3 » pseudo-satellites photoniques identiques, caractérisé en ce que les « 3 » pseudo-satellites photoniques dudit groupement sont placés de manière à ce que :

- a) La zone de couverture optique dudit groupement soit pratiquement continue et approximativement « 3 » fois plus grande que celle de l’un desdits pseudo satellites photoniques seul ; et

- b) Lesdits pseudo-satellites photoniques soient deux à deux adjacents et deux à deux symétriques par rapport à un plan.

283.Dispositif équivalent au dit groupement de « 3 » pseudo-satellites photoniques, selon la revendication 282, caractérisé en ce que ledit dispositif équivalent ne comporte qu’un seul tambour et un seul berceau au lieu de « 3 » tambours et de « 3 » berceaux.

NB : Par définition :

- Un groupement de « 3 » pseudo-satellites photoniques ou un dispositif équivalent est dénommé « TRIO-PSAT ».

284.Groupement de « 4 » pseudo-satellites photoniques identiques, caractérisé en ce que les « 4 » pseudo-satellites photoniques dudit groupement sont placés de manière à ce que :

- a) La zone de couverture optique dudit groupement soit pratiquement continue et approximativement « 4 » fois plus grande que celle de l’un desdits pseudo satellites photoniques seul ; et

- b) Lesdits pseudo-satellites photoniques soient deux à deux adjacents et deux à deux symétriques par rapport à un plan.

285.Dispositif équivalent au dit groupement de « 4 » pseudo-satellites photoniques, selon la revendication 284, caractérisé en ce que ledit dispositif équivalent ne comporte qu’un seul tambour et un seul berceau au lieu de « 4 » tambours et de « 4 » berceaux.

NB : Par définition :

- Un groupement de « 4 » pseudo-satellites photoniques ou un dispositif équivalent est dénommé « QUATUOR-PSAT » ou « QUAT-PSAT ».

286.Groupement de « N» pseudo-satellites photoniques identiques où « N » est un nombre entier supérieur à quatre, caractérisé en ce que les « N » pseudo satellites photoniques dudit groupement sont placés de manière à ce que :

- a) La zone de couverture optique dudit groupement soit pratiquement continue et approximativement « N » fois plus grande que celle de l’un desdits Pseudo- Satellites Photoniques seul ; et

- b) Lesdits pseudo-satellites photoniques soient deux à deux adjacents et deux à deux symétriques par rapport à un plan.

287.Dispositif équivalent au dit groupement de « N » pseudo-satellites photoniques, selon la revendication 286, caractérisé en ce que ledit dispositif équivalent ne comporte qu’un seul tambour et un seul berceau au lieu de « N » tambours et de « N » berceaux.

NB : Par définition :

- Un groupement de « N » pseudo-satellites photoniques ou un dispositif équivalent est dénommé « MULTI-N-PSAT ».

288.Adaptateur de communications par faisceaux FROP, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens permettant à un réseau de communications électroniques de communiquer par fibres optiques avec un ou plusieurs desdits pseudo-satellites photoniques.

289. Adaptateur de communications par faisceaux FROP, selon la revendication 288, caractérisé en ce que lesdits moyens comportent :

- a) Un ou plusieurs convertisseurs optiques de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant qui sont identiques à ceux d’un pseudo satellite photonique et dont le nombre est égal à celui desdits pseudo-satellites photoniques ;

- b) Un ou plusieurs desdits convertisseurs optiques de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement qui sont identiques à ceux d’un pseudo satellite photonique et dont le nombre est égal à celui desdits pseudo-satellites photoniques ;

- c) Un tambour d’enroulement de fibres optiques permettant de respecter les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale ; et

- d) Un berceau destiné à abriter, le cas échéant, des coupleurs optiques de type Combiner ou Splitter.

NB : Par définition, un adaptateur selon l’une des revendications 288 à 289 est dénommé « ADAPT-FROP » ou « ADAPT » si aucune confusion n’est à craindre.

290.Adaptateur de communications par faisceaux FROP, selon l’une quelconque des revendications 288 à 289, caractérisé en ce qu’il est intégré dans un pseudo-satellite photonique. NB : Par définition :

La combinaison selon la revendication 290 est dénommée « COMBINED- ADAPT-PSAT » ou « ADAPT-PSAT » ou « ADAPT-PSAT-X » où « X » désigne le nom du pseudo-satellite PSAT considéré. 291. Adaptateur de Communications par faisceaux FROP, selon l’une quelconque des revendications 288 à 289, caractérisé en ce qu’il est intégré dans le dispositif équivalent à un groupement de « N » pseudo-satellites photoniques, « N » étant un nombre entier supérieur ou égal à deux.

NB : Par définition :

- La combinaison formée selon la revendication 291, où « N » est un nombre entier égal à « 2 », « 3 », « 4 » est dénommée respectivement

« COMBINED-ADAPT-DUO-PSA T », « COMBINED-ADAPT-TRIO-

PSAT », « COMBINED-ADAPT-QUAT-PSAT », ; si aucune confusion n’est à craindre, ils sont dénommés « ADAPT-DUO-PSAT », « ADAPT- TRIO-PSAT », « ADAPT-QUAT-PSAT » ou « ADAPT-PSAT-X-Y »,

« ADAPT-PSAT-X-Y-Z », « ADAPT-PSAT-X-Y-Z-T » où « X», « Y», « Z », « T » désignent les noms des pseudo-satellites photoniques entrant dans la composition de la combinaison.

292.Adaptateur de Communications par faisceaux FROP, selon l’une quelconque des revendications 290 à 291, caractérisé en ce qu’il ne comporte qu’un seul tambour d’enroulement de fibres optiques et un seul berceau destiné à abriter, le cas échéant, des coupleurs optiques de type Combiner ou Splitter.

293.Système de communications par OSF destiné à servir d’intermédiaire de communications par OSF entre un réseau de communications électroniques ayant une Interface d’Accès par Fibres Optiques et un appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO ; ledit Système de Communications par OSF est organisé en une ou plusieurs cellules optiques adjacentes et il est caractérisé en ce que chacune desdites cellules possède une zone de couverture cellulaire optique ayant la forme d’un prisme droit dont la base est un polygone et la hauteur égale à « h » où « h » est un nombre réel. NB : Par définition :

Un système de communications par OSF selon la revendication 293 est dénommé « Système d’intermédiation de Communications par OSF », en abrégé « SICOSF » ou « Système SICOSF » ;

- Une Interface d’Accès par Fibres Optiques est dénommée « Interface IAFO ».

294.Système SICOSF, selon la revendication 293, caractérisé en ce que la base dudit prisme droit est un hexagone régulier.

295.Système SICOSF, selon la revendication 293, caractérisé en ce que, ledit prisme droit est un parallélépipède rectangle de longueur égale à « a », de largeur égale à « h » et de hauteur égale à « h » où « a », « b », « h » sont des nombres réels

(FIG.145 à FIG.146 et FIG.157 à FIG.158).

296.Système SICOSF, selon la revendication 295, caractérisé en ce que, chacune desdites cellules comporte quatre pseudo-satellites photoniques selon la revendication 269, qui sont installés aux quatre sommets du parallélépipède rectangle qui constitue ladite zone de couverture cellulaire optique (FIG.145 à FIG.146 et FIG.157 à FIG.158).

297.Système SICOSF, selon la revendication 296, caractérisé en ce que, l’ensemble desdites cellules sont réparties en « m » colonnes et « n » lignes où « m » et « n » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 ».

NB : Par définition :

La cellule occupant la colonne numéro « i » et la ligne numéro « j » où « i » est un nombre entier compris entre « 1 » et « m » et « j » un nombre entier compris entre « 1 » et « n », est dénommée « CE LL// » ou « CELL[/./| » ; - Les quatre pseudo-satellites photoniques appartenant à une cellule CELLiÿ sont dénommés PSAT-Aÿ, PSAT-Bÿ, PSAT-Cÿ, PSAT-D//.

298.Système SICOSF, selon la revendication 297, caractérisé en ce que deux pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à deux cellules adjacentes sont remplacés par ledit groupement équivalent DUO-PSAT (FIG.168, FIG.182, FIG.200). NB : Par définition :

- Le groupement de deux pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à deux cellules adjacentes CELLpq et CELLrs est dénommé « D LJ O- PS AT-X/ </- Y/-.S » où « X » et « Y » sont des lettres, différentes les unes des autres, appartenant à l’ensemble (A, B, C, D} et où « p », « r » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « m » et « q », « s » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « n ».

299.Système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 297 à 298, caractérisé en ce que trois pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à trois cellules adjacentes sont remplacés par ledit groupement équivalent TRIO- PSAT.

NB : Par définition :

- Le groupement de trois pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à trois cellules adjacentes CELLpq et CELLrs, CLELtu est dénommé « TRIO-PS AT -Xpq-Y rs-Ztu » où « X », « Y », « Z » sont des lettres, différentes les unes des autres, appartenant à l’ensemble (A, B, C, D} et où « p », « r », « t » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « m » et « q », « s », « u » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « n ».

300.Système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 297 à 299, caractérisé en ce que, quatre pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à quatre cellules adjacentes sont remplacés par ledit groupement équivalent QUAT- PSAT (FIG.182 et FIG.200).

NB : Par définition :

- Le groupement de quatre pseudo-satellites photoniques adjacents appartenant à quatre cellules adjacentes CELLpq, CELLrs, CLELtu et CELLvw est dénommé « QUAT-PSAT-Xpq-Yrs-Ztu-Tvw » où « X », « Y », « Z », « T » sont des lettres, différentes les unes des autres, appartenant à l’ensemble (A, B, C, D} et où « p », « r », « t », « v » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « m », « q », « s », « u », « w » sont des nombres entiers compris entre « 1 » et « n ».

301. Système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 296 à 300, caractérisé en ce que pour chaque cellule et pour chacun de ses pseudo-satellites photoniques, ledit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont installés de manière à ce que les itinéraires dudit faisceau FROP émergeant et dudit faisceau FROP incident soient parallèles à l’un des côtés dudit parallélépipède rectangle qui est situé au sommet de ce dernier (FIG.145 à FIG.156, FIG.157 à FIG.167, FIG.168 à FIG.181, FIG.182 à FIG.199, FIG.200 à FIG.211).

302.Système SICOSF, selon la revendication 301 et où les paramètres « m » et « n » sont égaux au nombre « 1 », caractérisé en ce que (FIG.145 à FIG.156) :

- a) Les conduits CFO des quatre pseudo-satellites PSAT-A/ /, PSAT-B//, PSAT-C /, PSAT-D/ / sont répartis sur un seul plan de niveau, PNIY7 ;

- b) Les conduits CFO du pseudo-satellite PSAT-A/ / comportent deux déviateurs catoptriques pour dévier de 90° les deux faisceaux FROP émergeant et incident relatifs au Pseudo-Satellite PSAT-D/ / ; et

- c) Les conduits CFO du pseudo-satellite PSAT-C 11 sont dépourvus de déviateur catoptrique ;

- d) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIY7 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B/ / sont les symétriques par rapport au plan d’équation x=a/2 (FIG.145 et FIG.147), des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-A/ / ; les deux déviateurs catoptriques du pseudo-satellite PSAT-B/ / sont destinés à dévier de 90° les deux faisceaux FROP émergeant et incident relatifs au pseudo satellite PSAT-C 11 ; et

- e) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIY7 appartenant au pseudo-satellite PSAT-D// sont les symétriques par rapport au plan d’équation x=a/2 (FIG.145 et FIG.147), des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-C77 ; et

- f) Ledit système SICOSF comporte un emplacement (FIG.145 et FIG.147), situé entre les pseudo-satellites PSAT-A// et PSAT-B//, dédié à la mise en place d’un adaptateur AD VI -FROP.

303.Système SICOSF, selon la revendication 301 et où les paramètres « m » et « n » sont égaux au nombre « 1 », caractérisé en ce que (FIG.157 à FIG.167) :

- a) Les conduits CFO des quatre pseudo-satellites PSAT-A/ /, PSAT-B//, PSAT-C//, PSAT-D/ / sont répartis sur un seul plan de niveau, PNIY7 ; - b) Le pseudo-satellite PSAT-A 11 comporte deux déviateurs catoptriques pour dévier de 90° les deux faisceaux FROP émergeant et incident relatifs au pseudo satellite PSAT-D/ / ; et

- c) Le pseudo-satellite PSAT-B/ / est remplacé par la combinaison ADAPT- PSAT-B/ /, formée par l’intégration dudit adaptateur ADAPT dans ledit PSAT- B 11 ;

- d) Ladite combinaison ADAPT-PSAT-B/ / comporte trois convertisseurs optiques de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et trois convertisseurs optiques de faisceau FROP incident en source quasi- ponctuelle de rayonnement ;

- e) Les conduits CFO du pseudo-satellite PSAT-C 11 sont dépourvus de déviateur catoptrique ;

- f) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV/ appartenant au pseudo-satellite PSAT-D// sont les symétriques par rapport au plan d’équation x=a/2 des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-C/ / (FIG.157 et FIG.159).

304.Système SICOSF, selon la revendication 301 et où les paramètres « m » et « n » sont respectivement égaux aux nombres « 2 » et « 1 », caractérisé en ce que (FIG.168 à FIG.181) :

- a) La cellule CELL11 est identique à celle de la revendication 303 ; et

- b) La cellule CELL27 est la symétrique de la cellule CE LL/ / par rapport au plan d’équation x=a dans le repère orthonormé lié à la cellule CELL/ /.

305.Système SICOSF, selon la revendication 304, caractérisé en ce que (FIG.168 à FIG.181) :

- a) L’adaptateur ADAPT-PSAT-B 11 et son symétrique ADAPT-PSAT-A2/ sont remplacés par l’adaptateur ADAPT-PSAT-B77-A27 (FIG.170) ;

- b) Le pseudo-satellite PSAT-C 11 et son symétrique PSAT-D2/ sont remplacés par le groupement DUO-PSAT-C/ I-Ό2I (FIG.170).

306.Système SICOSF, selon la revendication 301 et où les paramètres « m » et « n » sont égaux au nombre « 2 », caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Les pseudo-satellites PSAT-D77 et PSAT-A72 sont remplacés (FIG.184 à FIG.190) par le groupement équivalent DUO-PSAT-D/ /-A/2 ;

- b) Les pseudo-satellites PSAT-C27 et PSAT-B22 sont remplacés (FIG.184 à FIG.190) par le groupement équivalent DUO-PSAT-C2/-B22 ; - c) Les pseudo-satellites PSAT-C72 et PSAT-D22 sont remplacés (FIG.184 à FIG.190) par le groupement équivalent DUO-PSAT-C 2-D22 ;

- d) Les pseudo-satellites PSAT-C 11, PSAT-D27, PSAT-A22 et PSAT-B72 sont remplacés (FIG.184 à FIG.190) par le groupement équivalent QUAT-PSAT- C11-O21-A22-Q12.

307.Système SICOSF, selon la revendication 306, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Les conduits CFO des quatorze pseudo-satellites et du combiné ADAPT- PSAT-B/ I-A21 appartenant aux quatre cellules CELL11, CEL 21, CE LL/ 2 et CELL22 sont répartis sur deux plans de niveau, PNIY7 et PNIV2 ;

- b) Les conduits CFO du plan de niveau PNIY7 et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « 1 », i.e. les cellules CELL11 et C E L L2 / ;

- c) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV2 et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « 2 », i.e. les cellules C E L L / 2 et CELL22.

308.Système SICOSF, selon la revendication 307, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Lesdits contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIY7 appartenant aux pseudo-satellites PSAT-A 11, PSAT-C 11, PSAT-D 11, PSAT-B27, PSAT-C27, PSAT-D2/ et au combiné ADAPT-PSAT-B/ 1-A21 sont identiques à ceux du système SICOSF de la revendication 305 ;

- b) Lesdits conduits CFO du plan de niveau PNIY7 des Pseudo-Satellites appartenant aux cellules CE LL/2 et CELL22 sont vides.

309.Système SICOSF, selon la revendication 308, caractérisé en ce que, les conduits CFO du plan de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-A// contiennent chacun un déviateur catoptrique (FIG.182 à FIG.199).

310.Système SICOSF, selon la revendication 309, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV2, appartenant au pseudo-satellite PSAT-A /2 sont vides et son convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et son convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont installés dans deux des conduits CFO du plan de niveau PNIV2, appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D72 ; et

- b) Les deux conduits CFO restants du plan de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D/2 sont vides et permettent le passage sans déviation du faisceau FROP émergeant et du faisceau FROP incident relatif au pseudo-satellite PSAT-D/2.

311. Système SICOSF, selon la revendication 310, caractérisé en ce que, (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Deux des conduits CFO du plan de niveau PNIV2, appartenant au pseudo satellite PSAT-D/ /, contiennent ledit convertisseur optique de source quasi- ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-A/2 ; et

- b) Les deux conduits CFO restants sont vides et permettent le passage sans déviation du faisceau FROP émergeant et du faisceau FROP incident relatif au pseudo-satellite PSAT-D/2.

312.Système SICOSF, selon la revendication 311, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Deux des conduits CFO du plan de niveau PNIV2, appartenant au pseudo satellite PSAT-D/2, contiennent ledit convertisseur optique de source quasi- ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement ; et

- b) Les deux conduits CFO restants sont vides.

313.Système SICOSF, selon la revendication 312, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C 11 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D// ;

- b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B/2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, de ceux du pseudo-satellite PSAT-A/2 ; - c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C 2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D/2.

314.Système SICOSF, selon la revendication 313, caractérisé en ce que (FIG.182 à FIG.199) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B2/ sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-A 11 ;

- b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-D/2 ;

- c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C2/ et PSAT-B22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, respectivement des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT- D 11 et PSAT-A72 ;

- d) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-D2/ et PSAT-A22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, respectivement des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT- C 11 et PSAT-B72 ;

- e) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV2 appartenant au pseudo-satellite PSAT-D22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-C/2.

315.Système SICOSF, selon la revendication 314, caractérisé en ce que les conduits CFO du plan de niveau PNIV2 de l’adaptateur ADAPT-PSAT-B/ 1-A21 comportent huit convertisseurs optiques de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et huit convertisseurs optiques de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement, répartis de la manière suivante (FIG.182 à FIG.192) :

- a) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A/2 et PSAT-B/2 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-A 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé du système SICOSF ;

- b) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B22 et PSAT-C22 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-B2/ de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé du Système SICOSF ; - c) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B/2 et PSAT-C /2 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01 Yl du repère orthonormé du Système SICOSF ;

- d) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A22 et PSAT-D22 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe OlYl du repère orthonormé du système SICOSF.

316.Système SICOSF, selon la revendication 301 et où « m » est égal au nombre « 2 » et « n » est égal au nombre « 4 », caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les pseudo-satellites PSAT-D// et PSAT-A/2 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-D/ /-A/2 (FIG.205 à FIG.206) ;

- b) Les pseudo-satellites SAT-C2/ et PSAT-B22 sont remplacés, par le groupement équivalent DUO-PSAT-C2/-B22 (FIG.205 à FIG.208) ;

- c) Les pseudo-satellites PSAT-D72 et PSAT-A73 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-D /2-A /J (FIG.205) ;

- d) Les pseudo-satellites PSAT-C22 et PSAT-B23 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-C22-B23 (FIG.205) ;

- e) Les Pseudo-Satellites PSAT-D73 et PSAT-A74 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-D/ J- A /4 (FIG.205 et FIG.209) ;

- f) Les pseudo-satellites PSAT-C23 et PSAT-B24 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-C23-B24 (FIG.205 et FIG.211) ;

- g) Les pseudo-satellites PSAT-C74 et PSAT-D24 sont remplacés par le groupement équivalent DUO-PSAT-C/ -D2 ; (FIG.205 et FIG.210) ;

- h) Les pseudo-satellites PSAT-C 11, PSAT-D27, PSAT-A22 et PSAT-B72 sont remplacés par le groupement équivalent QUAT-PSAT-C71-Ό21-A22-

B 12 (FIG.205 et FIG.207) ;

- i) Les pseudo-satellites PSAT-C72, PSAT-D22, PSAT-A23 et PSAT-B73 sont remplacés par le groupement équivalent QUAT- SAT-C72-D22-A23- B 13 (FIG.205) ;

- j) Les pseudo-satellites PSAT-C73, PSAT-D23, PSAT-A24 et PSAT-B74 sont remplacés par le groupement équivalent QUAT- SAT-C7 J-D2J-A24-

B 14 (FIG.205 et FIG.210).

317.Système SICOSF, selon la revendication 316, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) : - a) Les conduits CFO des trente pseudo-satellites et du combiné ADAPT- PSAT-B/ 1-A21 appartenant aux huit cellules CELL/ /, CELL21, CELL72, CELL22, CELL/ J, CELL2J, CEL 14, CELL24, sont répartis sur quatre plans de niveau, PNIV7, PNIV2, PNIVJ et PNIV2 ;

- b) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV/ et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « 1 », i.e. les cellules CELL11 et C E L L2 / ;

- c) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV2 et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « 2 », i.e. les cellules C E L L / 2 et CELL22 ;

- d) Les conduits CFO du plan de niveau PNIVJ et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « J », i.e. les cellules CELL7 J et CELL23 ;

- e) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV" et leurs contenus sont dédiés aux pseudo-satellites appartenant aux cellules situées sur la ligne dont le numéro est égal à « 4 », i.e. les cellules CELL14 et CELL24.

318.Système SICOSF, selon la revendication 317, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Lesdits contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV/ et PNIV2 appartenant aux pseudo-satellites PSAT-A 11, PSAT-C 11, PSAT-D/ /, PSAT-B2/, PSAT-C27, PSAT-D27, PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C72, PSAT-D72, PSAT- A 21, PSAT-B2/, PSAT-C2/, PSAT-D2/, PSAT-A22, PSAT-B22, PSAT-C22, PSAT-D22 et au combiné ADAPT-PSAT-B/ I-A21 sont identiques à ceux du système SICOSF de la revendication 315 ;

- b) Lesdits conduits CFO des plans de niveau PNIV/ et PNIV2 des pseudo satellites appartenant aux cellules CELL /J, CELL23, CE L14 et CE L24 sont vides.

319.Système SICOSF, selon la revendication 318, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211), les conduits CFO des plans de niveau PNIVJ et PNIV"/ appartenant aux pseudo-satellite PSAT-A 11 et PSAT-B2/ contiennent chacun un déviateur catoptrique.

320.Système SICOSF, selon la revendication 319, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les conduits CFO du plan de niveau PNIV3, appartenant au pseudo-satellite PSAT-A /3 sont vides et son convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et son convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont installés dans deux des conduits CFO du plan de niveau PNIV3, appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D72 ; et

- b) Les deux conduits CFO restants, du plan de niveau PNIV3, appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D/2 sont vides et permettent le passage sans déviation du faisceau FROP émergeant et du faisceau FROP incident relatif au pseudo-satellite PSAT-D/3.

321. Système SICOSF, selon la revendication 320, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Deux des conduits CFO du plan de niveau PNIV3, appartenant au pseudo satellite PSAT-D/3, contiennent ledit convertisseur optique de source quasi- ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement ; et

- b) Les deux conduits CFO restants sont vides.

322.Système SICOSF, selon la revendication 321, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C/2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D/2 ;

- b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B/3 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, de ceux du pseudo-satellite PSAT-A/3 ;

- c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C/3 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D/3.

323.Système SICOSF, selon la revendication 322, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-A /3 ;

- b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-D/3 ;

- c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-C22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-D/2 ;

- d) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-A /3 ;

- e) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-D22 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-C/2 ;

- f) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-A23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-B/3 ;

- g) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-D23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-C/3.

324.Système SICOSF, selon la revendication 323, caractérisé en ce que, les conduits CFO du plan de niveau PNIV3 de l’adaptateur ADAPT-PSAT-B//-A2/ comportent huit convertisseurs optiques de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et huit convertisseurs optiques de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement répartis de la manière suivante (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A/3 et PSAT-D/3 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-A 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé dudit système SICOSF ;

- b) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B23 et PSAT-C23 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-B2/ de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé dudit système SICOSF ;

- c) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B/3 et PSAT-C/ 3 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe OlYl du repère orthonormé dudit système SICOSF ;

- d) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A23 et PSAT-D23 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe OlYl du repère orthonormé dudit système SICOSF.

325.Système SICOSF, selon la revendication 324, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les conduits CFO du plan de niveau PNIW, appartenant au pseudo-satellite PS AT- A /^ sont vides et son convertisseur optique de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et son convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement sont installés dans deux des conduits CFO du plan de niveau PNIW, appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D73 ; et

- b) Les deux conduits CFO restants, du plan de niveau PNIW, appartenant au pseudo-satellite adjacent PSAT-D/3 sont vides et permettent le passage sans déviation du faisceau FROP émergeant et du faisceau FROP incident relatif au pseudo-satellite PSAT-DW

326.Système SICOSF, selon la revendication 325, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Deux des conduits CFO du plan de niveau PNIW, appartenant au pseudo satellite PSAT-D W contiennent ledit convertisseur optique de source quasi- ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et ledit convertisseur optique de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement ; et

- b) Les deux conduits CFO restants sont vides.

327.Système SICOSF, selon la revendication 326, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIW appartenant au pseudo-satellite PSAT-C /J sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D/3 ; - b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNIV3 appartenant au pseudo-satellite PSAT-B/ sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, de ceux du pseudo-satellite PSAT-A/ ;

- c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-C/ sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a/2, des contenus de ceux du pseudo-satellite PSAT-D/L

328.Système SICOSF, selon la revendication 327, caractérisé en ce que (FIG.200 à FIG.211) :

- a) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-B2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PS AT- A ;

- b) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-C2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-D/ ;

- c) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-C23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-D/3 ;

- d) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-B2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PS AT- A ;

- e) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-D23 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-C/3 ;

- f) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-A2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-B/ ;

- g) Les contenus des conduits CFO des plans de niveau PNI W appartenant au pseudo-satellite PSAT-D2 sont les symétriques, par rapport au plan d’équation x=a, des contenus de ceux des pseudo-satellite PSAT-C

329.Système SICOSF, selon la revendication 328, caractérisé en ce que, les conduits CFO du plan de niveau PNI W de l’adaptateur ADAPT-PSAT-B//-A2/ comportent huit convertisseurs optiques de source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergeant et huit convertisseurs optiques de faisceau FROP incident en source quasi-ponctuelle de rayonnement répartis de la manière suivante (FIG.200 à FIG.211) : - a) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A/ et PSAT-D/ et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-A 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé dudit Système SICOSF ;

- b) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B2 et PSAT-C2 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-B2/ de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe 01X1 du repère orthonormé dudit Système SICOSF ;

- c) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-B/ et PSAT-C/ et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe OlYl du repère orthonormé dudit Système SICOSF ;

- d) Deux de chaque sont relatifs aux pseudo-satellites PSAT-A2 et PSAT-D2 et orientés vers le pseudo-satellite PSAT-C 11 de manière à ce que leurs axes optiques soient parallèles à l’axe OlYl du repère orthonormé dudit Système SICOSF.

330.Passerelle photonique d’interconnexion de systèmes SICOSF, caractérisé en ce qu’elle comporte des moyens permettant de relier plusieurs système SICOSF par fibres optiques.

NB : Par définition :

- Une passerelle photonique d’interconnexion de systèmes SICOSF selon la revendication 330, est dénommé « Passerelle PPI-REPEATER ».

331.Passerelle PPI-REPEATER, selon la revendication 330, caractérisé en ce que lesdits moyens comportent au moins deux adaptateurs de communications par faisceaux FROP (FIG.212, FIG.213).

332.Passerelle PPI-REPEATER, selon l’une quelconque des revendications 330 à 331, caractérisé en ce que lesdits moyens comportent des fibres optiques permettant de relier lesdits Adaptateurs.

333.Passerelle PPI-REPEATER, selon l’une quelconque des revendications 330 à 332, caractérisé en ce que lesdits moyens comportent des coupleurs de fibres optiques de type Combiner et/ou de coupleurs de type Splitter.

334.Passerelle PPI-REPEATER, selon l’une quelconque des revendications 330 à 333, caractérisé en ce que lesdits moyens comportent un ou plusieurs amplificateurs optiques de l’un des types suivants ou autres :

- a) Amplificateur à effet RAMAN ; ou

- b) Amplificateur à fibre dopée, par de l’erbium i.e. EDFA ou autres ; ou

- c) Amplificateur à semi-conducteur, i.e. SOA ; ou

- d) Amplificateur paramétrique.

NB : Par définition :

- EDFA est l’abrégé de « Erbium Doped Optical Amplifier ».

SOA est l’abrégé de « Semi-conductor Optical Amplifier »

335.Groupement de systèmes SICOSF, caractérisé en ce qu’il est constitué de deux ou plusieurs Systèmes SICOSF qui sont reliés entre eux par une ou plusieurs passerelles PPI-REPEATER.

NB : Par définition :

- Un groupement de systèmes SICOSF selon l’une quelconque des revendications 335, est dénommé « Réseau de systèmes SICOSF à passerelles PPI-REPEATER ».

336.Réseau local déployé dans un environnement stationnaire, caractérisé en ce qu’il comporte au moins un système SICOSF.

NB : Par définition :

- Un réseau local selon la revendication 336, est dénommé « Réseau local stationnaire à système SICOSF ».

- Une cellule optique du système SICOSF d’un réseau local selon la revendication 336, est dénommé « Cellule stationnaire optique ».

337.Réseau local stationnaire à système SICOSF, selon la revendication 336, caractérisé en ce qu’il comporte au moins un réseau de systèmes SICOSF à passerelles PPI-REPEATER.

338.Réseau local stationnaire à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 337, caractérisé en ce qu’il est relié au dit système SICOSF et/ou au dit réseau de systèmes SICOSF par un ou plusieurs adaptateurs de communications par faisceaux FROP.

339.Réseau local stationnaire à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 338, caractérisé en ce qu’il comporte un Système de Communications d’Appoint par ondes électromagnétiques RF destiné à pallier à une obstruction de rayonnements optiques.

NB : Par définition :

- Un Système de Communication d’Appoint par ondes électromagnétiques RF est dénommé « Système BACKUP-RF-LAN ». 340.Réseau local stationnaire à système SICOSF, selon la revendication 339, caractérisé en ce que ledit système BACKUP-RF-LAN peut être mis en service et éteint par ledit réseau local.

341.Réseau local stationnaire à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 337 à 340, caractérisé en ce que ledit système BACKUP-RF- LAN est construit selon l’un des standards suivants :

- a) Wi-Fi® IEEE 802.11, ou ses évolutions futures, de l’organisation Institute of Electrical and Electronics Engineers dont l’acronyme est IEEE, opérant à l’heure actuelle dans les bandes de fréquence 2.4, 3.6 et 5 GHz ;

- b) Bluetooth®, ou ses évolutions futures, de l’organisation Bluetooth Spécial Interest Group dont l’acronyme est SIG, opérant à l’heure actuelle dans la bande de fréquence 2.4 GHz.

342.Réseau local déployé dans un environnement ambulant, caractérisé en ce qu’il comporte au moins un système SICOSF.

NB : Par définition :

- Un réseau local selon la revendication 342, est dénommé « Réseau local ambulant à système SICOSF ».

- Une cellule optique d’un réseau selon la revendication 342, est dénommé « Cellule ambulante optique ».

343.Réseau local ambulant à système SICOSF, selon la revendication 342, caractérisé en ce qu’il comporte au moins un réseau de systèmes SICOSF à passerelles PPI-REPEATER.

344.Réseau local ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 342 à 343, caractérisé en ce qu’il est relié est relié au dit système

SICOSF et/ou au dit réseau de systèmes SICOSF par un ou plusieurs adaptateurs de communications par faisceaux FROP

345.Réseau local ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 342 à 344, caractérisé en ce qu’il comporte un système BACKUP- RF-LAN pouvant être mis en service et éteint par ledit réseau local.

346.Réseau local ambulant à système SICOSF, selon la revendication 345, caractérisé en ce que ledit Système BACKUP-RF-LAN est construit selon l’un des standards suivants :

- a) Wi-Fi® IEEE 802.11 ou ses évolutions futures ;

- b) Bluetooth®, ou ses évolutions futures.

347.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 346, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.214 à FIG.220, FIG.221 à FIG.227) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 302 à 303 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule. 348.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 347, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant d’utiliser au moins quatre longueurs d’onde distinctes (FIG.214 à FIG.220, FIG.221 à FIG.227).

349.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 348 caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.214 à FIG.220, FIG.221 à FIG.227) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 302 à 303 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des Pseudo- Satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule.

350.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 349, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant d’utiliser au moins huit longueurs d’onde distinctes (FIG.214 à FIG.220, FIG.221 à FIG.227).

351.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 348 à 350, caractérisé en ce que lesdits moyens permettent d’effectuer une ou plusieurs permutations, au sens ensembliste du terme, desdites longueurs d’onde par unité de temps, afin réaliser un étalement du spectre optique par saut de longueur d’onde.

352.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 351, caractérisé en ce que ladite permutation des longueurs d’onde est réalisée selon la méthode figurant dans la description au paragraphe VI.F intitulé « Méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF -Exemples d’application ».

NB : Par définition :

Les longueurs d’ondes relatives à la cellule CELL// sont désignés par :

- Lambda-i(&7), noté Li (kl) ou lip</>, pour le pseudo-satellite PSAT-A/ / ;

- Lambda-i(A2), noté Li (k2) ou l;p<2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B/ / ;

- Lambda-i(&3), noté Li(7c3) ou lipbi, pour le pseudo-satellite PSAT-C / ;

- Lambda-i( ), noté L\(k4) ou (k4), pour le pseudo-satellite PSAT-D/ /.

353.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 333 à 352, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.228 à FIG.234) : - a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 304 à 305 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres Pseudo-Satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL 7 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule CELL11.

354.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 353, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant de mettre en œuvre au moins huit longueurs d’onde distinctes ; (FIG.228 à FIG.234).

355.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 354, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.228 à FIG.234) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 304 à 305 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL 7 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule CELL11.

356.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 355, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant mettre en œuvre au moins seize longueurs d’onde distinctes (FIG.228 à FIG.234).

357.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 354 à 356, caractérisé en ce que lesdits moyens permettent d’effectuer une ou plusieurs permutations, au sens ensembliste du terme, desdites longueurs d’onde par unité de temps, afin réaliser un étalement du spectre optique par saut de longueur d’onde.

358.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 357, caractérisé en ce que ladite permutation des longueurs d’onde est réalisée selon la méthode figurant dans la description au paragraphe VI.F intitulé « Méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF -Exemples d’application ».

NB : Par définition :

Les longueurs d’ondes relatives aux cellules CE LL// et CELL27 sont désignés par :

Lambda-i(&7), noté Li (kl) ou lip</>, pour le pseudo-satellite PSAT-A 11 ; Lambda-i(A2), noté Li (k2) ou l;p<2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B/ / ; Lambda-i(&3), noté Li(7c3) ou l;p<h, pour le pseudo-satellite PSAT-A2/ ; Lambda-i( ), noté L\(k4) ou lip<h, pour le pseudo-satellite PSAT-B2/ ; Lambda-i(&5), noté Li (k5) ou l;p<5>, pour le pseudo-satellite PSAT-D/ / ; Lambda-i(&6), noté Li (k6) ou lipi, pour le pseudo-satellite PSAT-C / ; Lambda-i(&7), noté Li (k7) ou lip<7i, pour le pseudo-satellite PSAT-D2/ ; Lambda-i(Atf), noté Li( ) ou lί^), pour le pseudo-satellite PSAT-C2/.

359.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 358, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.235 à FIG.241) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 306 à 315 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CE L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL27 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule C E LL / / ; et

- d) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule C E LL / 2 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL27 ; et

- e) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL22 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL27 et CELL/2.

360.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 359, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant de mettre en œuvre au moins seize longueurs d’onde distinctes (FIG.235 à FIG.241).

361.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 358, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.235 à FIG.241) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 306 à 315 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL 7 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule CELL11.

- d) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule C E LL / 2 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL2/ ; et - e) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL22 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELUI et CELL27 et CELL72.

362.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 361, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant de mettre en œuvre au moins trente-deux longueurs d’onde distinctes (FIG.235 à FIG.241). 363.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 359 à 362, caractérisé en ce que lesdits moyens permettent d’effectuer une ou plusieurs permutations, au sens ensembliste du terme, desdites longueurs d’onde par unité de temps, afin réaliser un étalement du spectre optique par saut de longueur d’onde.

364.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 363, caractérisé en ce que ladite permutation des longueurs d’onde est réalisée selon la méthode figurant dans la description au paragraphe VI.F intitulé « Méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF -Exemples d’application ». NB : Par définition :

Les longueurs d’onde relatives aux cellules CELUI, CELL27, CELL72 et CELL22 sont désignés par :

- Lambda-i(&7), noté Li (kl) ou lip</>, pour le pseudo-satellite PSAT-A/ / ;

- Lambda-i(&2), noté Li (k2) ou lip<2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B/ / ;

- Lambda-i(&3), noté Li(7c3) ou /.in<s>, pour le pseudo-satellite PSAT-A2/ ;

- Lambda-i( ), noté E\(k4) ou lip< ), pour le pseudo-satellite PSAT-B2/ ;

- Lambda-i(&5), noté Li (k5) ou l;p<5>, pour le pseudo-satellite PSAT-D/ / ;

- Lambda-i(&6), noté Li (k6) ou lipi, pour le pseudo-satellite PSAT-C / ;

- Lambda-i(&7), noté Lif/c7) ou lip<7i, pour le pseudo-satellite PSAT-D2/ ;

- Lambda-i(Atf), noté Li( ) ou lί^), pour le pseudo-satellite PSAT-C2/ ;

- Lambda-i(&9), noté Li (k9) ou lip< i, pour le pseudo-satellite PSAT-A2/ ;

- Lambda-i(&70), noté Li (klO) ou/Mknn, pour le pseudo-satellite PSAT-B2/ ;

- Lambda-i(&77), noté L'\(kl I ) ou l;p<//>, pour le pseudo-satellite PSAT-A22 ;

- Lambda-i(&72), noté Lif/c/2 ) ou lip</2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B22 ; - Lambda-i(&/3), noté Li (kl 3) ou Ein</s>, pour le pseudo-satellite PSAT-D/2 ;

- Lambda-i(&/4), noté Li (kl 4) ou lip</h, pour le pseudo-satellite PSAT-C 2 ;

- Lambda-i(&/5), noté Lif/c/5 ) ou l;p</5>, pour le pseudo-satellite PSAT-D22 ;

- Lambda-i(&/6), noté Li (kl6) ou (ki6), pour le pseudo-satellite PSAT-C22. 365.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 364, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.242 à FIG.243) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 316 à 329 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo- satellites de la cellule C E L L21 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule C E LL / / ; et

- d) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo- satellites de la cellule C E LL / 2 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL27 ; et

- e) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo- satellites de la cellule CELL22 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune qui est différente de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL2/ et CELL/2 ; et

- f) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo- satellites de la cellule CELL/3 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune égale à celle de la cellule E L11 ; et

- g) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule C E L L23 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune égale à celle de la cellule CELL27 ; et - h) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule C E LL / dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune égale à celle de la cellule CELL/2 ; et

- i) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L24 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant une longueur d’onde commune égale à celle de la cellule CELL22.

366.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 365, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant de mettre en œuvre au moins seize longueurs d’onde distinctes (FIG.242 à FIG.243).

367.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 336 à 364, caractérisé en ce qu’il comporte (FIG.242 à FIG.243) :

- a) Au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 316 à 329 ; et

- b) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule E L11 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule ; et

- c) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo- Satellites de la cellule C E L L2 / dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites de la cellule C E LL / / ; et

- d) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule C E L L / 2 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des Pseudo-Satellites des cellules CELL11 et CELL2/ ; et

- e) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL22 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont différentes de chacune de celles des autres pseudo-satellites de ladite cellule et de celles des pseudo-satellites des cellules CELL11 et CELL2/ et CELL/2 ; et

- f) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL73 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant deux longueurs d’onde distinctes qui sont égales à celles de la cellule C E LL / / ; et

- g) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CELL23 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant deux longueurs d’onde distinctes qui sont égales à celles de la cellule CELL 7 ; et

- h) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CE L14 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP avant deux longueurs d’onde distinctes qui sont égales à celles de la cellule C E LL / 2 ; et

- i) Des moyens lui permettant de communiquer avec chacun des pseudo satellites de la cellule CEFF27 dudit système SICOSF par des faisceaux FROP ayant deux longueurs d’onde distinctes qui sont égales à celles de la cellule CEFF22.

368.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 367, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens lui permettant de mettre en œuvre au moins trente-deux longueurs d’onde distinctes (FIG.242 à FIG.243).

369.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon l’une quelconque des revendications 365 à 368, caractérisé en ce que lesdits moyens permettent d’effectuer au moins une ou plusieurs permutations, au sens ensembliste du terme, desdites longueurs d’onde par unité de temps, afin réaliser un étalement du spectre optique par saut de longueur d’onde.

370.Réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF, selon la revendication 369, caractérisé en ce que ladite permutation des longueurs d’onde est réalisée selon la méthode figurant dans la description au paragraphe VI.F intitulé « Méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF -Exemples d’application ».

NB : Par définition :

Fes longueurs relatives aux cellules CELLll, CELL27, CEFF72, CEFF22, CE LL/ 3, CEFF23, CEFF 14 et CELL24 sont désignés par :

- Lambda-i(AF), noté Fi (7c/ ) ou lip</>, pour le pseudo-satellite PSAT-A 11 ;

- Lambda-i(A2), noté Fi (k2) ou l;p<2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B/ / ; Lambda-i(AJ), noté Li(7c3) ou Lin<s>, pour le pseudo-satellite PSAT-A2/ ; Lambda-i( ), noté L'\(k4) ou , pour le pseudo-satellite PSAT-B2/ ;

Lambda-i(&5), noté Li(7c5) ou lip<5>, pour le pseudo-satellite PSAT-D/ / ; Lambda-i(Ard), noté L\(k6) ou iv/», pour le pseudo-satellite PSAT-C 11 ; Lambda-i(A :7), noté Lié/c7) ou ÏMV , pour le pseudo-satellite PSAT-D2/ ; Lambda-i(Âtf), noté L\(kH) ou lί^), pour le pseudo-satellite SAT-C2/ ; Lambda-i(&9), noté Li(7c9) ou lip< >, pour le pseudo-satellite PSAT-A2/ ; Lambda-i(&70), noté Li (klO) ou i(kio), pour le pseudo-satellite PSAT-B2/ ; Lambda-i(&77), noté \Â(kll) ou Lin<//>, pour le pseudo-satellite PSAT-A22 ; Lambda-i(A:72), noté L\(kl2) ou lip</2>, pour le pseudo-satellite PSAT-B22 ; Lambda-i(&73), noté \Â(kl3) ou Lin</s>, pour le pseudo-satellite PSAT-D72 ; Lambda-i(A/7), noté L\(kl4) ou (ki4), pour le pseudo-satellite PSAT-C72 ; Lambda-i(&75), noté \Â(kl5) ou l;p</5>, pour le pseudo-satellite PSAT-D22 ; Lambda-i(&76), noté L\(kl6) ou lip</ >, pour le pseudo-satellite PSAT-C22 ; Lambda-i(ÂT), noté Li(7c/ ) ou lip</>, pour le pseudo-satellite PSAT-A73 ; Lambda-i(A ), noté Li {kl) ou lip< , pour le pseudo-satellite PSAT-B/3 ; Lambda-i(&3), noté Li(7c3) ou Lin<s>, pour le pseudo-satellite PSAT-A23 ; Lambda-i( ), noté L'\(k4) ou lip<^i, pour le pseudo-satellite PSAT-B23 ; Lambda-i(&5), noté Li(7c5) ou lip<5 , pour le pseudo-satellite PSAT-D /3 ; Lambda-i(Æ6), noté Li (k6) ou l^), pour le pseudo-satellite PSAT-C /i ; Lambda-i(A :7), noté Lié/c7) ou ÏMV , pour le pseudo-satellite PSAT-D23 ; Lambda-i(Atf), noté L\(kH) ou lί^), pour le pseudo-satellite PSAT-C23 ; Lambda-i(&9), noté Li(7c9) ou (k</), pour le pseudo-satellite PSAT-A77 ; Lambda-i(&70), noté L (kJ0) ou l^o), pour le pseudo-satellite PSAT-B/7 ; Lambda-i(&77), noté \Â(kll) ou Lin<//>, pour le pseudo-satellite PSAT-A27 ; Lambda-i(A/2), noté L\(kl2) ou lip</ i, pour le pseudo-satellite PSAT-B27 ;

Lambda-i(A73), noté L\(kl3) ou t ih, pour le pseudo-satellite PSAT-D/7 ; Lambda-i(A/7), noté L\(kl4) ou (ki4>, pour le pseudo-satellite PSAT-C /7 ; Lambda-i(&75), noté Li (/c/5) ou tkiS , pour le pseudo-satellite PSAT-D27 ; Lambda-i(&76), noté \J\(kl6) ou (ki6 , pour le pseudo-satellite PSAT-C27.

371.1nter-réseau de communications électroniques, obtenu par l’interconnexion de plusieurs réseaux de communications électroniques, caractérisé en ce qu’il comporte au moins :

- a) Un réseau étendu cellulaire de communications par RF de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G » ou autre ; et

- b) Un réseau local stationnaire à système SICOSF. NB : Par définition :

Un Inter-réseau de communications électroniques selon la revendication 371, est dénommé « Inter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ». 372.1nter-réseau de communications électroniques, obtenu par l’interconnexion de plusieurs réseaux de communications électroniques, caractérisé en ce qu’il comporte au moins :

- a) Un réseau étendu cellulaire de communications par RF de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G » ou autre ; et

- b) Un Réseau local ambulant à système SICOSF.

NB : Par définition :

Un Inter-réseau de communications électroniques selon la revendication 372, est dénommé « Inter-réseau de communications électroniques à système SICOSF ambulant ». 373.1nter-réseau de communications électroniques, obtenu par l’interconnexion de plusieurs réseaux de communications électroniques, caractérisé en ce qu’il comporte au moins :

- a) Un réseau étendu cellulaire de communications par RF de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G » ou autre ; et

- b) Un réseau local stationnaire à système SICOSF ; et

- c) Un réseau local ambulant à système SICOSF.

374.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant, selon l’une quelconque des revendications 371 à 373, caractérisé en ce que ledit réseau étendu cellulaire de communications par RF comporte au moins un système SICOSF selon l’une quelconque des revendications 293 à 329.

375.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire, selon la revendication 371, caractérisé en ce que la zone de couverture cellulaire optique d’au moins l’un desdits systèmes SICOSF est incluse dans la zone de couverture RF dudit réseau étendu cellulaire. NB : Par définition :

- Une cellule formée par la superposition d’un cellule stationnaire optique avec une cellule RF appartenant au réseau étendu cellulaire de communications par RF est dénommé « Cellule stationnaire hybride Optique-RF » ou « Cellule stationnaire hybride » si aucune confusion n’est à craindre.

Une cellule RF appartenant au complémentaire, au sens ensembliste du terme, des zones à cellules ambulantes hybrides est dénommée « Cellule RF-Pure ».

376.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire, selon la revendication 371, caractérisé en ce que la zone de couverture optique cellulaire dudit système SICOSF est disjointe, au sens ensembliste du terme, de la zone de couverture RF dudit réseau étendu cellulaire.

NB : Par définition :

- Une cellule appartenant à ladite zone de couverture optique cellulaire du système SICOSF, est dénommé « Cellule stationnaire Optique-Pure ».

377.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF ambulant, selon la revendication 372, caractérisé en ce que la zone de couverture optique cellulaire du système SICOSF dudit réseau local est incluse dans la zone de couverture RF dudit réseau étendu cellulaire.

NB : Par définition, une cellule formée par la superposition d’un cellule mobile optique avec une cellule RF appartenant au réseau étendu cellulaire de communications par RF est dénommé « Cellule ambulante hybride Optique-RF » ou « Cellule ambulante hybride » si aucune confusion n’est à craindre.

378.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF ambulant, selon la revendication 372, caractérisé en ce que la zone de couverture optique cellulaire du système SICOSF dudit réseau local est disjointe, au sens ensembliste du terme, de la zone de couverture RF dudit réseau étendu cellulaire.

NB : Par définition, une cellule appartenant à ladite zone de couverture optique cellulaire du système SICOSF, est dénommé « Cellule ambulante Optique-Pure ».

379.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant, selon l’une quelconque des revendications 371 à 378, caractérisé en ce que ses réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF, comportent chacun au moins l’un des moyens suivants :

- a) Un système de commutation pour gérer les passages des terminaux mobiles de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO lorsque, étant localisé au sein d’un système SICOSF, ils passent :

al -d’ une cellule optique-pure ou hybride à une autre cellule optique-pure ou hybride ;

a2 -d’une cellule optique-pure ou hybride à une cellule RF-pure ;

- b) Un système d’établissement d’appel par OSF ou RF et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF de communications aux terminaux mobiles de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO ;

- c) Un système de notifications des appels par OSF ou RF aux terminaux mobiles de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, par le biais des canaux dédiés de communications ;

- d) Un système de supervision de l’ensemble.

NB : Par définition :

Le processus de commutation selon la revendication 379 est dénommé « Transfert inter-cellules optiques » ou « Optical-cells handover».

La longueur d’onde dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SCall- LDOSF ».

La fréquence RF dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SCall-/RF ».

La longueur d’onde dudit système de notifications des appels pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SNotif- LDOSF ».

La fréquence RF dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SNotif-/i ».

380.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant selon la revendication 379, caractérisé en ce que les communications par RF entre l’un de ses réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF et un appareil TAEBD ou un terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, sont réalisées par ledit système d’appoint BACKUP-RF- LAN qui est destiné à pallier aux obstructions des communications par OSF dudit réseau local.

381.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant selon l’une des revendications 379 à 380, caractérisé en ce qu’au moins l’un de ses réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF, est relié par fibre optique et/ou par câble coaxial à une station de base BSC, i.e. Base Station Controller, ou à un centre de commutation des mobiles MSC, i.e. Mobile Switching Center, ou MTSO i.e. Mobile Téléphoné Switching Office, qui appartiennent au réseau étendu cellulaire de communications par RF dudit inter réseau.

382.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant selon l’une des revendications 379 à 381, caractérisé en ce qu’au moins l’un de ses réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF est en outre une station de base BSC ou un centre de commutation des mobiles MSC ou MTSO pour le réseau étendu cellulaire de communications par RF appartenant au dit inter-réseau.

NB : Par définition :

Un réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF selon la revendication 382 est dénommé « Réseau local à système SICOSF et à BSC intégré » ou « Réseau local à système SICOSF et à MSC intégré » ou « Réseau local à système SICOSF et à MTSO intégré ».

383. Appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendications 116 à 234, caractérisé en ce qu’il comporte une série d’informations, préenregistrées sur une mémoire EPROM ou EEPROM ou Flash, relatives à la supervision du système qu’il forme avec l’inter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant.

384.Terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, selon la revendication 383, caractérisé en ce que ladite série d’informations relatives à la supervision du système contient, au moins, les éléments suivants :

- a) Le numéro de série dudit terminal ; et

- b) Les information de la carte SIM, i.e. Subscriber Identity Module, embarquée ; et

- c) Une longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec le système d’établissement d’appel des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau ; et

- d) Une fréquence dédiée aux communications par RF avec le système d’établissement d’appel des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau ; et

- e) Une longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec le système de notifications des appels des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système

SICOSF dudit inter-réseau ; et

- f) Une fréquence dédiée aux communications par RF avec le système de notifications des appels des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau.

NB : Par définition :

- La longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec ledit système d’établissement d’appel, est désignée par « Mob-SCall-LDosF ».

La fréquence dédiée aux communications par RF avec ledit système d’établissement d’appel, est désignée par « Mob-SCall-/RF».

- La longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec ledit système de notifications des appels, est désignée par « Mob-SNotif-LDosF ».

La fréquence dédiée aux communications par RF avec ledit système de notifications des appels, est désignée par « Mob-SNotif-/RF».

385.Terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, selon l’une quelconque des revendications 383 à 384, caractérisé en ce qu’il est configuré de manière à pouvoir fonctionner avec ledit inter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant.

386.Terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, selon la revendication 385, caractérisé en ce qu’il est configuré de manière à ce que :

- a) La longueur d’onde Mob-SCall-LDosF soit égale à la longueur d’onde LAN- SCall-LDosF ; et

- b) La longueur d’onde Mob-SNotif-LDosF soit égale à la longueur d’onde LAN-SNotif-LDosF ; et

- c) La fréquence Mob-SCalL/àr soit égale à la fréquence LAN-SCall-/RF ; et

- d) La fréquence Mob-SNobL/àr soit égale à la fréquence LAN-SNotif-/Ri.

387.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant et terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, caractérisés en ce que lorsque ledit terminal, localisé dans l’un desdits réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF, est mis en service alors leurs interactions se déroulent périodiquement suivant une période préalablement définie, au moins de la manière suivante ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Ledit terminal se met automatiquement, en utilisant ladite longueur d’onde Mob-SCall-LDosF, à la recherche d’un pseudo-satellite photonique dont la puissance du signal reçu est supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; et puis,

- b) Si ledit terminal trouve un tel pseudo-satellite, alors ledit terminal mobile transmet par le biais de ce dernier, son numéro de série et les informations relatives à sa carte SIM embarquée ; sinon ledit terminal les transmet en utilisant ladite fréquence Mob-SCalL/àr ; et puis,

- c) Le réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF dans lequel ledit terminal est localisé, enregistre lesdits numéros de série et les informations de la carte SIM et les transmet, en y intégrant la localisation dudit terminal, au MSC ou MTSO auquel appartient ledit terminal ; et puis,

- d) Ledit terminal se met en scrutation permanente par OSF ou en cas d’obstruction par RF, du signal de notifications des appels dudit système de notifications des appels appartenant au dit réseau local, en vue de savoir s’il y a un appel pour lui.

388.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant et terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO selon la revendication 387, caractérisés en ce que pour établir un appel téléphonique, après la saisie par G utilisateur du numéro de téléphone du correspondant, leurs interactions se déroulent de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Ledit terminal mobile transmet un paquet contenant son numéro de série ainsi que le numéro de téléphone du correspondant et les informations de la carte SIM embarquée, au système d’établissement d’appel et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF appartenant au réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF où il est localisé ; et puis,

- b) Ledit réseau local transmet ledit paquet au MSC ou MTSO ; et puis,

- c) Après les vérifications, le MSC ou MTSO envoie au dit réseau local le numéro d’un canal disponible de communication par fibre optique et/ou par câble coaxial ou par RF ; puis,

- d) Ledit réseau local via son système d’établissement d’appel et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF, assigne au dit terminal :

dl -une seule longueur d’onde d’émission-réception ou deux longueurs d’onde, dont l’une est pour l’émission et l’autre pour la réception ; et

d2 -une fréquence RF ; et puis,

- e) Ledit terminal commute automatiquement pour utiliser ladite ou lesdites longueurs d’onde pour communiquer avec son correspondant via le pseudo-satellite photonique le plus approprié de la cellule optique-pure ou hybride où il est localisé, ou pour utiliser en cas d’obstruction ladite fréquence RF via ledit système d’appoint BACKUP-RF-LAN appartenant au dit réseau local ; et puis,

- f) Ledit terminal reste en attente du décrochage du téléphone de son correspondant.

389.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant et terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO selon l’une quelconque des revendications de 387 à 388, caractérisés en ce que pour recevoir un appel téléphonique, leurs interactions se déroulent de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Ledit réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF reçoit un paquet transmis par le MSC/MTSO ; et puis,

- b) Ledit réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF via son système de notifications des appels diffuse par OSF et/ou par RF un message relatif au dit paquet, en y intégrant une ou deux longueurs d’onde de communications par OSF et une fréquence de communications par RF, pour communiquer avec lui ; et puis,

- c) Ledit terminal qui scrute en permanence par OSF ou en cas d’obstruction par RF le signal de notifications d’appel dudit système de notifications des appels appartenant au dit réseau local, récupère ledit paquet ; et puis,

- d) Ledit terminal mobile commute selon les indications contenues dans ledit paquet, pour utiliser la ou les longueurs d’ondes ou la fréquence RF assignées ; et puis, il active sa propre sonnerie pour que son utilisateur puisse prendre l’appel.

390.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant et terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendications 371 à 389, caractérisés en ce que leurs interactions se déroulent de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Si ledit terminal mobile est localisé dans une cellule RF-Pure, alors les communications se feront par RF comme pour un terminal mobile cellulaire de RF de l’art antérieur ;

- b) Si ledit terminal est localisé dans une cellule stationnaire ou ambulante Optique-Pure, et Si il est en service et sans obstruction volontaire de la part de l’utilisateur de son rayonnement optique de liaison avec ledit système SICOSF, i.e. par une mise dans un sac ou dans la poche de l’utilisateur, alors les communications se feront par OSF ;

- c) Si ledit terminal est localisé dans une cellule stationnaire ou ambulante Optique-Pure, et Si ledit terminal est en service, mais avec obstruction volontaire de la part de l’utilisateur de son rayonnement optique de liaison avec le système SICOSF, alors le réseau local stationnaire ou ambulant à système SICOSF au sein duquel est localisé ledit terminal mobile activera son système d’appoint BACKUP- RF-LAN, pour établir une liaison locale par RF avec ledit terminal mobile pour déclencher sa sonnerie ; suite au déclenchement de cette sonnerie, Si l’utilisateur sort ledit terminal de son obstruction optique, alors la communication sera établi automatiquement par OSF ; Sinon, après un certain intervalle de temps prédéfini, ledit inter-réseau traitera ledit terminal mobile comme étant éteint ;

- d) Si ledit terminal est localisé dans une cellule stationnaire ou ambulante hybride RF-Optique, alors ledit inter-réseau le traitera en priorité comme étant localisé dans une cellule stationnaire ou ambulante Optique-Pure ; Si, en cas de besoin, ledit système d’appoint BACKUP-RF-LAN ne parvient pas à faire décrocher ledit terminal mobile dans l’intervalle de temps imparti préalablement défini, malgré l’activation de sa sonnerie, alors ledit inter-réseau le traitera comme étant localisé dans une cellule RF-Pure ; Si l’utilisateur répond, alors ledit inter réseau fera basculer automatiquement la communication de la RF vers l’OSF. 391.1nter-réseau de communications électroniques à système SICOSF stationnaire ou ambulant et terminal mobile de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO selon l’une quelconque des revendications appropriées parmi les revendications 371 à 390, caractérisés en ce que leurs interactions se déroulent de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Si ledit terminal passe d’une cellule RF -Pure vers une cellule stationnaire ou ambulante Optique-Pure, alors ledit inter-réseau fera basculer automatiquement la communication en cours de la RF vers l’OSF ;

- b) Si ledit terminal passe d’une cellule stationnaire ou ambulante Optique-Pure vers une Cellule RF -Pure, alors ledit inter-réseau fera basculer automatiquement la communication en cours de l’OSF vers la RF ;

- c) Si ledit terminal passe d’une cellule ambulante Optique-Pure vers une cellule RF-Pure, alors ledit inter-réseau fera basculer automatiquement la communication en cours de l’OSF vers la RF ;

- d) Si ledit terminal passe d’une cellule RF-Pure vers cellule ambulante

Optique-Pure, alors ledit inter-réseau fera basculer automatiquement la communication en cours de la RF vers l’OSF.

392.Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de communications par RF et/ou de réduction des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles et/ou de réduction de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants dans les bâtiments, caractérisée en ce qu’elle consiste à :

- a) Interconnecter ledit réseau cellulaire avec des réseaux locaux de communications par OSF, qui sont déployés dans des bâtiments ou dans d’autres environnements clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant ; et à

- b) Faire basculer automatiquement les liaisons par RF dudit réseau cellulaire avec les terminaux mobiles associés qui pénètrent ou qui sont localisés dans lesdits bâtiments ou autres environnements, vers des liaisons par OSF via lesdits réseaux locaux.

393.Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données selon la revendication 392, caractérisée en ce que le basculement automatique d’une liaison par RF vers une liaison par OSF et réciproquement, s’effectue sans interruption d’une communication téléphonique en cours. 394.Méthode de communications entre deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO selon l’une des revendications appropriées parmi les revendications 227 à 234 ;

L’appareil TAEBDx comporte «Lx» matrices à « Mx » double-antennes ayant chacune « Nx » directions d’émission-réception où « Lx », « Mx » et « Nx» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « Lx » matrices de l’appareil TAEBDx sont désignées par T A E B Dx- M at iϊ x - E R ix où « ix » est un nombre entier variant de « 1 » à « Lx » ; les « Lx » matrices TAEBDx-Matrix-ER/x sont réparties le long de « Lx » arêtes du boîtier de l’appareil TAEBDx ; l’arête du boîtier qui est longé par une matrice TAEBDx-Matrix-ER/x est désignés par T A E B Dx- Edgc- E R/x ; les deux balises BSDLO d’une matrice TAEBDx-Matrix-

ER/x sont désignées par TAEBDx-Matrix-ER/x-BLS-BSDLOl et TAEBDx- Matrix-ER/x-BLS-BSDL02 et les deux détecteurs de balises BSDLO sont désignés par TAEBDx-Matrix-ER/x-DTR-BSDLOl et TAEBDx-Matrix-ER/x-DTR- BSDL02 ; les « Nx » directions d’émission-réception communes aux deux balises BSDLO et aux deux détecteurs de balises d’une matrice TAEBDx-Matrix-ER/x sont désignées par TAEBDx-Matrix-ER/x-DirAx où « kx » est un nombre entier variant de « 1 » à « Nx » ; les « Mx » longueurs d’onde d’émission-réception des « Mx » double-antennes d’une matrice TAEBDx-Matrix-ER/x sont désignées par TAEBDx-Matrix-ER/x-2Ant/x-Lmda-ER où « jx » est un nombre entier variant de « 1 » à « Mx » ; L’appareil TA EBP, - comporte «Lz» matrices à « Mz » double- antennes ayant chacune « Nz » directions d’émission-réception où « Lz », « Mz » et « Nz» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « Lz » matrices de l’appareil TAEBDz sont désignées par TAEBDz-Matrix-ER/z où « iz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Lz » ; les « Lz » matrices T A E B Dz- M at ri x - E R/,- sont réparties le long de « Lz » arêtes du boîtier de l’appareil TAEBDz ; l’arête du boîtier qui est longé par une matrice TAEBDz-Matrix-ER/z est désignés par TAEBDz- Edgc- ER/ ; les deux balises BSDLO d’une matrice TAEBDz-Matrix- ER/z sont désignées par TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS-BSDLOl et TAEBDz-Matrix- ER/z-BLS-BSDL02 et les deux détecteurs de balises BSDLO sont désignés par TAEBDz-Matrix-ER/z-DTR-BSDLO 1 et TAEBDz-Matrix-ER/z-DTR-BSDL02 ; les « Nz » directions d’émission-réception communes aux deux balises BSDLO et aux deux détecteurs de balises d’une matrice TAEBDz-Matrix-ER/z sont désignées par TAEBDz-Matrix-ER/z-DirAz où « kz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Nz » ; les « Mz» longueurs d’onde d’émission-réception des « Mz » double- antennes d’une matrice TAEBDz- atrix-ER/z sont désignées par TAEBDz- at ri x - E R /z- 2 A n t/z- Lm da- E R où « jz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Mz ». Ladite méthode de communications est caractérisée en ce que son protocole de communications comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification de deux couples de nombres entiers « (ixo, kxo ) » et « (/zo, kzo ) » qui sont tels qu’à un instant « T », les antennes photoniques des matrices TAEBDx- atrix-ER xfl et TAEBDz-Matrix-ER/z» et leurs directions d’émission-réception respectives T A E B Dx- M at ri x - E Rix - D i rkxo et T A E B Dz- M at ri x - E R/z«- Di rkzo, soient appropriés pour une communications par OSF entre les deux appareils.

395.Méthode de communications entre deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO selon l’une des revendications appropriées parmi les revendications 227 à 234, caractérisée en ce que son protocole de communications comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification de deux couples de nombres entiers « (ixo, kxo ) » et « (/zo, kzo ) » qui sont tels que (mêmes notations que celles de la revendication 394) :

- a) Les puissances reçues par les deux détecteurs de balises de la matrice TAEBDz-Matrix-ER/zo suivant la direction TAEBDz-Matrix-ER/zo-Dirfeo, des signaux émis par les balises de la matrice TAEBDx-Matrix-ER x» suivant la direction T A E B Dx- M at ri x - E Rixo- D i rkxo, soient supérieures ou égales à une valeur limite préalablement définie ; ou

- b) Les puissances reçues par les deux détecteurs de balises de la matrice T A E B Dx- M at ri x - E Rixo suivant la direction T A E B Dx- M at ri x - E R ixo- D i rkxo, des signaux émis par les balises de la matrice TAEBDz-Matrix-ER/zo suivant la direction TAEBDz-Matrix-ER/zo-Dirfeo, soient supérieures ou égales à une valeur limite préalablement définie.

396.Méthode de communications de type Master-Slave entre deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou opto-électroniques adaptatif APDLO, caractérisée en ce que son protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des arêtes des deux boîtiers et de leurs directions d’émission-réception, utilisant un algorithme se déroulant de la manière suivante ou donnant des résultats équivalents (mêmes notations que celles de la revendication 394) :

- a) Le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDz par OSF et/ou par RF, un signal d’attribution de numéro de tranche de temps et de synchronisation de la base de temps de ses moyens de sélection périodique d’une arête Edgc-ER/z i.e. une atrix-ER/z, et d’une direction d’émission-réception TAEBDz- at iϊ x - E R /z- Di \kz de ladite matrice ; et

- b) Dans la tranche de temps attribuée au Slave TAEBDz :

bl -En concordance avec le Master TAEBDx, le Slave TAEBDz fait varier « iz » de « 1 » à « Lz » et « kz » de « 1 » à « Nz », et pour chaque couple de nombres entiers « ( iz , kz) » il fait émettre dans la direction d’émission-réception TAEBDz-Matrix-ER/z-Dir&z, les balises TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS-BSDLOl et TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS- BSDL02 appartenant à sa matrice TAEBDz- atrix-ER/z ; et en même temps ;

b2 -Pendant les émissions des balises du Slave TAEBDz, le Master TAEBDx fait varier « ix » de « 1 » à « Lx » et « kx » de « 1 » à « Nx », et compare pour chaque couple de nombres entiers « (ix, kx) » les puissances des signaux reçus dans la direction d’émission-réception TAEBDx-Matrix-ERix-DirAx, par ses deux détecteurs de balises TAEBDx-Matrix-ER/x-DTR-BSDFOl et TAEBDx-Matrix-ER x- DTR-BSDL02, à une puissance de référence dénommée iRef-Receiver, préalablement définie ;

b2.1 - Si pour un couple de nombres entiers « ( ixo , kxo) » les puissances des signaux reçus par les deux détecteurs de balises sont supérieures ou égales à IRef-Receiver, Alors le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDz par OSF et/ou RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (ixo, kxo) » dans une mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDz sauvegarde le couple de nombres entiers « (izo, kzo) » correspondants dans une mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape c) ;

b2.2 - Sinon, le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDz par OSF et/ou par RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDz sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; ensuite b2.3 - Tant que la tranche de temps attribuée au Slave TAEBDz n’est pas écoulée, recommencer à partir du sous-paragraphe bl) ; ensuite - c) Le Slave TAEBD se met en mode IDLE, en attente du prochain signal d’attribution de numéro de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b).

NB : Par définition :

Si à un instant « T » on a « izo = 0 » cela signifie qu’il n’existe pas à cet instant « T » de possibilité de liaison optimisée par OSF entre le Master TAEBDx et le Slave TAEBDz.

397.Méthode de communications de type Master-Slave entre un appareil TAEBDx et « Q » autres appareils TAEBDz/, TAEBD¾ ..., TAEBD , à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO ; « Q » est un nombre entier supérieur à « 1 » ; Ladite méthode de communications est caractérisée en ce que son protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des arêtes des différents boîtiers et de leurs directions d’émission-réception, utilisant un algorithme se déroulant de la manière suivante ou donnant des résultats équivalents (mêmes notations que celles de la revendication 394) :

- a) Le Master TAEBDx envoi par OSF et/ou par RF aux Slaves TAEBDx, TAEBD¾ TAEBD , un signal d’attributions de numéros de tranche de temps, à chacun d’entre eux, et de synchronisation générale des bases de temps de leurs moyens de sélection périodique d’une arête Edgc-ER/z</, i.e. une Matrix- ER izq, et d’une direction d’émission-réception T A E B D - a t ri x - E R /,-</ - D i rA,-</ de ladite matrice ; « q » étant un nombre entier variant de « 1 » à « Q » ; et ensuite

- b) Le Master TAEBDx initialise la variable « q » à « 0 » ; ensuite

- c) Tant que « q » est inférieur à « Q », faire les étapes d) à f) ; sinon aller à l’étape h) ;

- d) Le Master TAEBDx incrémente la variable « q » de « + 1 » ; ensuite

- e) Tant que la tranche de temps attribuée au Slave TAEBD r/ n’est pas écoulée, faire les étapes el) à e2), sinon aller à l’étape f) ;

el - En concordance avec le Master TAEBDx, le Slave TAEBD r/ fait varier le paramètre « izq » de « 1 » à « Lzq » et le paramètre « kzq » de « 1 » à « Nzq », et pour chaque couple « (izq, kzq ) », il fait émettre dans la direction d’émission-réception TAEBDz< -Matrix-ERzz< -Dirfe< , les balises TAEBDz</- atrix-ER/z</-BLS-BSDLO 1 et TAEBDz< -Matrix- ER/ </-BLS-BSDL02 appartenant à sa matrice TAEBDz< -Matrix- ERizq ; et simultanément ;

e2 -Pendant les émissions des balises BSDLO du Slave TAEBDz< , le Master TAEBDx fait varier le paramètre « ix » de « 1 » à « Lx » et le paramètre « kx » de « 1 » à « Nx » et compare, pour chaque couple de nombres entiers « (ix, kx) », les puissances des signaux reçus dans la direction d’émission-réception T A E B Dx- M at ri x - E R ix- D i rkx, par les deux détecteurs de balises TAEBDx-Matrix-ER x-DTR-BSDLOl et TAEBDx-Matrix-ER x-DTR-BSDL02 appartenant à sa matrice T A EB Dx- atrix- ER/x, à une puissance de référence dénommée iRef- Receiver, préalablement définie ;

e2.1 - Si pour un couple de nombres entiers « ( ixo , kxo ) », les puissances des signaux reçus par les deux détecteurs de balises sont supérieures ou égales à iRef-Receiver, Alors le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDZÎ/ par OSF et/ou RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple « (ixo, kxo) » dans une mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDZÎ/ sauvegarde le couple « (izqo, kzqo) » correspondants dans une mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape f) ;

e2.2 - Sinon, le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDZÎ/ par OSF et/ou par RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDZÎ/ sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape e) ;

- f) Fe Slave AEBDz< se met en mode IDEE, en attente du prochain signal d’attributions de numéros de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b) ; ensuite

- g) Aller à l’étape c) ;

- h) Ees « Q » Slaves TAEBDz/, TAEBDzz, ..., TAEBDzg, se mettent en mode IDEE, en attente du prochain signal d’attributions de numéros de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b).

NB : Par définition :

Pour « q » variant de « 1 » à « Q », si à un instant « T » on a « izq = 0 », cela signifie qu’il n’existe pas à cet instant « T » de possibilité de liaison optimisée par OSF entre le Master TAEBDx et le Slave TAEBDzc/.

398.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 395 à 397, caractérisés en ce qu’il comporte des moyens permettant d’alerter l’utilisateur d’un appareil TAEBDzc/ par un signal sonore et/ou lumineux et/ou par texte lorsque « izq = 0 » afin qu’il puisse modifier sa position. 399.Méthode de communications de type Master-Slave entre un réseau local à système SICOSF (FIG.214 à FIG.243), ayant une matrice « m x n » de cellules « Cellÿ· », et « Q » appareils Slaves TAEBD /, TAEBD¾ ..., TAEBD¾ à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO ; « m », « n » et « Q » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », « i » est le numéro des colonnes, « j » le numéro des lignes ; ladite méthode de communications est caractérisée en ce que son protocole de communications comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des pseudo satellites appartenant aux cellules « Cellÿ » et des arêtes des boîtiers des appareils TAEBDzy, TAEBD¾ ..., TA E BD, " , et de leurs directions d’émission-réception qui sont tels qu’à un instant « T », les communications par OSF entre ledit réseau local et les appareils TAEBDz/, TAEBDzz, ..., TAEBDzg, soient appropriées.

400.Méthode de communications de type Master-Slave selon la revendication 399, caractérisés en ce que lesdits moyens de recherches périodiques pour l’identification des pseudo-satellites appartenant aux cellules « Cellÿ » et des arêtes des boîtiers des appareils TAEBDz, TAEBD¾ ..., TAEBD¾>, et de leurs directions d’émission-réception, utilise un algorithme obtenu en modifiant l’algorithme de la revendication 397 de la manière suivante :

- a) Considérer le réseau local à système SICOSF comme étant un appareil électronique virtuel Master ayant « x « » matrices d’antennes photoniques Neutres virtuelles d’émission-réception ; et

- b) Considérer chaque cellule « Cellÿ » comme étant une matrice d’antennes photoniques Neutres virtuelles ; et

- c) Considérer les pseudo-satellites photoniques d’une cellule « Cellÿ » comme étant des antennes photoniques. 401.Méthode de communications de type Master-Slave selon la revendication 399, caractérisés en ce que lesdits moyens de recherches périodiques pour l’identification des pseudo-satellites appartenant aux cellules « Cellÿ » et des arêtes des boîtiers des appareils TAEBDz, TAEBD¾ ..., TAEBD¾>, et de leurs directions d’émission-réception, utilise un algorithme obtenu en modifiant l’algorithme de la revendication 397 de la manière suivante :

- a) Considérer le réseau local à système SICOSF comme étant un appareil électronique virtuel Master ayant une seule matrice d’antennes photoniques Neutres virtuelles d’émission-réception, dont le nombre des antennes photoniques neutres est égale à « m x n » ; et

- b) Considérer chaque cellule « Cellÿ » comme étant une antenne photonique Neutre virtuelle d’émission-réception appartenant à ladite matrice d’antennes photoniques Neutres virtuelles ; et

- c) Considérer les pseudo-satellites photoniques d’une cellule « Cellÿ » comme étant les directions d’émission-réception de cette dernière, dont le nombre des directions d’émission-réception est égale au nombre des pseudo-satellites photoniques qui la compose.

402.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 395 à 401, caractérisés en ce que les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques sont établies manuellement par l’utilisateur à partir d’une liste pré-enregistrée dans au moins l’un des appareils.

403.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 395 à 401, caractérisés en ce que les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques sont établies automatiquement à partir d’un signal ou des signaux fournis par au moins un accéléromètre intégré dans l’un des appareils.

404.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 395 à 403, caractérisés en ce que son protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des longueurs d’onde en cours d’utilisation afin d’établir des liaisons sans interférence optique entre les appareils.

405.Méthode de communications selon la revendication 404, caractérisé en ce que les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques pour l’identification des longueurs d’onde en cours d’utilisation, sont établies automatiquement à partir d’un ou plusieurs signaux fournis par les balises BSDLO des différents appareils TAEBD.

406.Méthode de communications selon la revendication 405, caractérisé en ce que les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques pour l’identification des longueurs d’onde en cours d’utilisation, sont établies automatiquement à partir d’une combinaison d’un ou plusieurs signaux fournis par les balises BSDLO avec un ou plusieurs signaux fournis par au moins un accéléromètre intégré dans l’un des appareils TAEBD.

407.Méthode de communications selon la revendication 405, caractérisé en ce que les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques pour l’identification des longueurs d’onde en cours d’utilisation, sont choisies manuellement par l’utilisateur à partir d’une liste pré-enregistrée.

408.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 405 à 407, caractérisés en ce que la liste des longueurs d’onde à utiliser à un instant « T », pour établir des communications sans interférence optique, est obtenue par différence ensembliste entre une liste des longueurs d’ondes préalablement définie et lesdites longueurs d’onde en cours d’utilisation.

409.Méthode de communications selon l’une quelconque des revendications 405 à 408, caractérisés en ce que son protocole de communication comporte des moyens de permutations périodiques, au sens ensembliste du terme, desdites longueurs d’onde en cours d’utilisation, afin réaliser un étalement du spectre optique par saut de longueur d’onde.

REVENDICATIONS MODIFIÉES reçues par le Bureau international le 16 novembre 2019 (16.1 1.2019)

TABLE DES MATIERES

I. Rappels de définitions, terminologie et notations importantes relatives aux revendications : Page 152 à 157

II. Revendications 1 à 128 : Page 157 à 312

- Revendications 1 à 40 (page 157 à 194) : Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples.

- Revendications 41 à 56 (page 194 à 204) : Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux.

- Revendication 57 (page 204 à 205) : Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples.

- Revendications 58 à 77 (page 205 à 219) : Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception de signaux.

- Revendications 78 à 79 (page 219 à 220) : Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception de signaux.

- Revendication 80 (page 220 à 222) : Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples.

- Revendication 81 (page 222 à 226) : Méthode de fabrication en série de « Q » modules photoniques élémentaires d’émission à guidages internes par miroirs.

- Revendication 82 (page 226 à 231) : Méthode de fabrication en série de

« Q » modules photoniques élémentaires d’émission à guidages internes par segments de fibre optique ou par segment de guide d’onde optique.

- Revendication 83 (page 231 à 236) : Méthode de fabrication en série de

« Q » modules photoniques élémentaires de réception à guidages internes par miroirs.

- Revendication 84 (page 236 à 241) : Méthode de fabrication en série de

« Q » modules photoniques élémentaires de réception à guidages internes par segments de fibre optique.

- Revendication 85 (page 241 à 244) : Méthode de fabrication en série de

« Q » modules photoniques d’émission et de réception à guidages internes par miroirs. - Revendication 86 (page 244 à 247) : Méthode de fabrication en série de « Q » modules photoniques d’émission et de réception à guidages internes par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique.

- Revendications 87 à 96 (page 247 à 258) : Terminal mobile ou portable ou stationnaire, ou serveur, ou autre appareil ayant des composants électroniques, ou boîtier dédié, dénommé "appareil «TAEBD »", à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde.

- Revendications 97 à 107 (page 258 à 269) : Dispositif photonique élémentaire d’intermédiation de communications par optique sans fil, dénommé "pseudo-satellite photonique", en abrégé "PSAT photonique" et désigné par "PSAT"

- Revendication 108 (page 269 à 269) : Convertisseur optique de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » et convertisseur optique de faisceau « FROP » en source quasi-ponctuelle, dénommé « CONSOP » et

« CONFROP »

- Revendication 109 (page 269 à 271) : Dispositif de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles, dénommé « DEVIFROP ».

- Revendication 110 (page 271 à 272) : Module élémentaire d’augmentation du nombre des plans de niveau des conduits « CFO » d’un pseudo-satellite photonique

- Revendication 111 (page 272 à 276) : Groupement de « G » pseudo satellites photoniques destiné à remplacer « G » pseudo-satellites photoniques « PSAT/. ... , PSATG » (cf. revendication 107)

- Revendication 112 (page 276 à 280) : Cellule optique enveloppante élémentaire de communications par optique sans fil destinée à être déployée dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant.

- Revendication 113 (page 280 à 282) : Groupement de cellules optiques enveloppantes de communications par optique sans fil, destiné à couvrir une surface continue dont les dimensions sont telles qu’une cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil ne peut pas couvrir seule à cause des caractéristiques limitatives de ses dimensions, dénommé "système d’intermédiation de communications par optique sans fil", en abrégé "système « SICOSF »".

- Revendications 114 à 115 (page 282 à 286) : Adaptateur de communications par optique sans fil destiné, entre autres, à être relié par des fibres optiques à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique pour leur permettre de communiquer par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec un système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113)

- Revendications 116 à 117 (page 287 à 297) : Adaptateur de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées.

- Revendications 118 à 120 (page 297 à 305) : Adaptateur simple de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde ; Système « SICOSF » à réseau de pseudo-satellites d’émission et de réception, adaptatif « APDLO ».

- Revendication 121 (page 305 à 306) : Passerelle photonique d’interconnexion de systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil, destinée à relier au moins deux systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil.

- Revendications 122 à 123 (page 306 à 306) : Répéteur photonique pour cellule enveloppante de système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil, destiné à relier par optique sans fil des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques.

- Revendications 124 à 127 (page 306 à 311) : Data center comportant plusieurs baies / armoires contenant chacune des serveurs au format rack / rack server ou au format lame / blade server ou autres formats appropriés.

- Revendication 128 (page 311 à 312) : Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de communications par RF et/ou de réduction des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles de communication par RF et/ou de réduction de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants localisés dans les bâtiments ou autres environnements clos ou semi-clos.

I. RAPPELS DE DEFINITIONS, TERMINOLOGIE ET NOTATIONS IMPORTANTES RELATIVES AUX REVENDICATIONS

A. Cylindre dans un espace affine : Dans un espace affine d’espace

3

vectoriel directeur R , on dit qu’une partie S est une surface cylindrique, ou, simplement un cylindre, s’il existe un repère et une

2

fonction numérique différentiable /, définie sur un ouvert de R , tels que S soit l’ensemble des points A appartenant à dont les coordonnées (x, y, z) par rapport à SSo = (O, i , j , k ) vérifient l’équation / (x, y) = 0.

B. Cylindre sans la notion d’espace affine : Une surface cylindrique ou tout simplement un cylindre est la réunion des droites parallèles à une direction donnée d et passant par une courbe plane non coplanaire avec la droite d ; la courbe plane ^ est appelée directrice et la droite d est appelée génératrice (une telle définition est notoirement connue depuis au moins le 19ieme siècle ; se reporter aux livres de géométrie descriptive, dont parmi les plus anciens : Adrien Javary, Traité de géométrie descriptive, 1881 : Cônes et cylindres, sphère et surfaces du second degré / ISBN-10 : 2013612923 ; 307.Définition, 327.Théorème ;

334.Théorème).

C. Segment de cylindre sans la notion d’espace affine : Un segment de cylindre est la partie de l’espace située à l’intérieur d’une surface cylindrique de droite génératrice d et comprise entre deux plans parallèles PI et P2 non confondus et non parallèles à la droite d ; Un segment de cylindre droit est un segment de cylindre où les plans Pl et P2 sont orthogonaux à la droite génératrice d ; Conséquences très importantes pour les revendications : Ues prismes, les cubes et autres parallélépipèdes sont des segments de cylindre dont les directrices sont respectivement des polygones convexes quelconques, des carrés et des rectangles ; le cylindre dans le sens courant étant un segment de cylindre droit dont la directrice est un cercle et la génératrice est une droite orthogonale au plan contenant ledit cercle ; le cylindre dans le sens courant est donc un segment de cylindre de section droite circulaire, appelé segment de cylindre circulaire ou segment de cylindre de révolution.

D. Cône sans la notion d’espace affine : Une surface conique ou tout simplement un cône est la réunion des demi-droites ayant comme origine un point O et passant par une courbe fermée fé* ; la courbe fermée fé* est appelée directrice et toute demi-droite ayant comme origine le point O et passant par un point appartenant à la directrice est appelée génératrice ; Conséquences très importantes pour les revendications : Une pyramide est un cône dont la directrice est polygone convexe.

E. Segment ou tronc d’un cône sans la notion d’espace affine : Un segment ou tronc d’un cône est la partie de l’espace délimitée par la partie d’une surface de cône de droite génératrice d comprise entre deux plans parallèles PI et P2 non confondus et non parallèles à la droite d.

F. Angle solide : Soit O un point de l’espace et S une surface dont le contour est une courbe fermée on appelle angle solide W de sommet O passant par le contour de la surface S, le cône de sommet O et de directrice Un angle solide W de sommet O passant par le contour de la surface S est également appelé angle solide W sous lequel on voit à partir d’un point O la surface S.

G. Mesure d’un angle solide : La mesure exprimée en stéradian, d’un angle solide W sous lequel on voit à partir d’un point O une surface S délimitée par une courbe fermée est l’aire de la portion de surface Aå d’une sphère de centre O et de rayon unité délimitée par l’intersection de la sphère avec le cône de sommet O et de directrice

H. Angle de deux demi-plans non parallèles : L’angle de deux demi-plans non parallèles PI et P2 issus d’une droite A est l’angle formé sur un plan p orthogonale à la droite A, par deux droites DI et D2 respectivement intersections des demi -plans PI et P2 avec le plan TT .

I. Fuseau hémisphérique, dôme, fuseau de dôme et longitude fuseau :

- Un fuseau hémisphérique 2?^ de centre O, de rayon R et de sommet S est la partie de l’espace située à l’intérieur d’une demi-sphère de centre O, de rayon R et de sommet S et délimitée par deux demi-plans PI et P2 issues de la droite passant par les points O et S ; l’axe du fuseau hémisphérique est la droite OS passant par son centre O et son sommet S ; la longitude ex LNG du fuseau hémisphérique est l’angle des deux demi-plans PI et P2.

- Un dôme de révolution est la surface engendrée par révolution, autour d’un axe A, d’une courbe plane délimitant une surface convexe et où d’une part, la courbe est composée de deux segments de droite OA et OB de même origine O, perpendiculaire en O et dont les deux extrémités A et B sont reliées par un arc et/ou une succession de segments de droite et d’autre part, le segment de droite OA ou OB appartient à l’axe A ; une surface plane convexe étant par définition une surface plane telle que si deux points quelconques sont inclus dans ladite surface, alors le segment de droite qu’ils forment est inclus dans ladite surface.

- Un fuseau de dôme est la partie de l’espace située à l’intérieur d’un dôme de révolution et délimitée par deux demi-plans PI et P2 issues de l’axe de révolution du dôme ; la longitude CXLNG du fuseau de dôme est l’angle des deux demi-plans PI et P2.

- Un fuseau hémisphérique est un cas particulier de fuseau de dôme où l’arc, reliant les points A et B de courbe plane est un quart de cercle.

- Un plan méridien d’un fuseau de dôme est un demi-plan issu de l’axe du du fuseau de dôme et compris entre les deux demi-plans PI et P2.

- U’angle solide WΌ d’un fuseau de dôme 2^ est l’angle solide dont le sommet est le centre O de et passant par le contour de la surface de révolution de 2^.

- Propriété remarquable : La mesure exprimée en radian de la longitude OÎLNG d’un fuseau de dôme 2FJ) de centre O est égale à la mesure exprimée en stéradian de l’angle solide WΌ du fuseau de dôme

J. Angles internes d’un polygone convexe : La somme des angles internes d’un polygone convexe ayant n côtes est égale à tt {n - 2).

K. Instant T et espace affine temps : En mécanique classique, le temps est schématisé mathématiquement par un espace affine d’espace vectoriel directeur R, orienté et muni d’une unité de durée ; cet espace affine est dénommé espace affine temps et ses points sont appelés instants et notés T.

L. Angle solide d’émission/diffusion d’une source de rayonnements :

L’angle solide d’émission/diffusion d’une source de rayonnements optiques placée en un point O, ayant des dimensions faibles par rapport à la distance d’observation, est le cône de sommet O dont les demi-droites d’origine O passant par un point situé à l’intérieur du cône ont une puissance du rayonnement optique émis/diffusé par unité d’angle solide supérieure à une valeur limite préalablement définie.

M. Axe principal d’émission/ de diffusion d’un angle solide d’émission d’une source de rayonnements : L’axe principal A t d’émission/diffusion de l’angle solide d’émission/diffusion de sommet O d’une source de rayonnements optiques placée en O, ayant des dimensions faibles par rapport à la distance d’observation, est une demi-droite parmi les demi-droites d’origine O passant par un point situé à l’intérieur de l’angle solide, pour laquelle la puissance du rayonnement optique émis par unité d’angle solide est maximale.

N. Angle solide de réception d’une source de rayonnements : L’angle solide de réception de sommet O d’un récepteur de rayonnements optiques placée en un point O, ayant des dimensions faibles par rapport à la distance d’observation, est le cône de sommet O dont les demi-droites d’origine O passant par un point situé à l’intérieur du cône ont une puissance du courant électrique, résultant de la conversion des rayonnements optiques reçus par unité d’angle solide supérieure à une valeur limite préalablement définie.

O. Axe principal de réception d’un angle solide de réception d’une source de rayonnements : L’axe principal A r de l’angle solide de réception de sommet O d’un récepteur de rayonnements optiques placée en un point O, ayant des dimensions faibles par rapport à la distance d’observation, est une demi-droite parmi les demi -droites d’origine O passant par un point situé à l’intérieur de l’angle solide, pour laquelle la puissance du courant électrique, résultant de la conversion des rayonnements optiques reçus par unité d’angle solide, est maximale.

P. Expressions et mots équivalentes :

- "indice" et "indice de numérotation" ; « array » et « matrice » ; "en cours d’utilisation", "en service" et "actif1 ; « substrat » et « capsule » ;

- "direction d’émission", "axe principal d’émission" et "axe principal de diffusion" ; "direction de réception" et "axe principal de réception".

Q. Mots et expressions en caractères italiques : Lorsque dans une revendication quelconque un mot ou une expression est en caractères italiques, cela signifie que sa définition est exclusivement celle précisée ci-avant et non sa définition usuelle pour cause d’ambiguïté : par exemple, le mot "cylindre" est écrit "cylindre" car dans son sens usuel il ne désigne qu’un cas très particulier de cylindre, à savoir ceux dont la directrice est un cercle ; "angle solide" est écrit " angle solide ", car dans son sens usuel, comme on peut le constater dans des nombreux ouvrages scientifiques et dans l’enseignement supérieur, il désigne une aire exprimée en stéradian, i.e. une mesure au sens mathématique du terme, et non pas un cône qui est, au sens mathématique du terme, un ensemble de points, d’où une certaine confusion dans l’usage de ce terme si l’on veut être rigoureux ; etc.

R. Notations :

- Le produit d’un nombre réel « A » par un nombre réel « B » est noté « A x B » au lieu de « A B » ;

- Les notations équivalentes : "« X * » où «j e { /. ... , M}» et « A e {/,

- Dans les revendications 1 à 40, « DIRA » désigne Y axe principal de diffusion « DT/. » ou Y axe principal de réception « AR/.A- » ; dans les revendications 41 à 57, « DIRA » désigne Y axe principal de diffusion « DTL- » ; dans les revendications 58 à 79, « DIRA » désigne Y axe principal de réception « ARA ».

S. Relations entre libellé et N° de Figure : Relation entre un libellé sous forme d’un nombre de plus de cinq chiffres et le numéro de la figure correspondante est la suivante : on supprime les cinq derniers chiffres pour obtenir le N° de la figure à laquelle on fait référence : par exemple, le libellé « 1300200 » se trouve dans la figure FIG.13 (i.e. FIG.1300200) ; Relation entre un libellé sous forme d’un nombre suivi de caractères alphanumériques et le numéro de la figure correspondante est la suivante : on supprime tous les caractères alphanumériques se trouvant après le nombre ; si le nombre X obtenu est que X < 1000 alors la figure correspondante est FIG.X, sinon on supprime le deux derniers caractères du nombre X, le nombre Y obtenu est tel que Y < 1000 et la figure correspondante est FIG.Y : par exemple, le libellé « 3EFROP1 » se trouve dans la figure FIG.3 (i.e. FIG. 3EFROP1) ; pour le libellé « 14641D11 », on a X = 14641 > 1000 (i.e. 14641D44) et Y = 146 (i.e. 14644·) donc la figure correspondante est FIG.146.

II. REVENDICATIONS 1-128

1. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible ; ledit dispositif est destiné, entre autres, à être intégré à un terminal mobile ou portable ou stationnaire, ou à un serveur, ou à un autre appareil ayant des composants électroniques, ou à un boîtier dédié, dénommé ci- après "appareil TAEBD" ; ledit dispositif comprend « M x N » photo émetteurs ayant des caractéristiques nominales d’émission identiques et « M xN» photo-détecteurs ayant des caractéristiques nominales de réception identiques ; les « M x N » photo-émetteurs sont de type LED ou diode laser ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales d’émission au moins équivalentes à celles de ces dernières ; les «MxN» photo-détecteurs sont de type PIN photodiodes ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales de réception au moins équivalentes à celles de cette dernière ; « M » et « N » sont deux nombres entiers tels que « M ³ 2 » et « N > 2 » ; les «MxN» photo-émetteurs sont désignés par « P HT/ A » : les « MxN » photo-détecteurs sont désignés par « PHD/ A » ; les indices de numérotation «y » et « A » sont tels que «y e {/, ... , M}» et « k e {1, ... , N}» ; ledit dispositif est caractérisé en ce qu’il comprend au moins les « 8 » éléments suivants ou d’autres éléments permettant d’obtenir des résultats finaux équivalents : - (a) un module photonique d’émission et de réception de signaux par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ayant d’une part, « M » longueurs d’onde d’émission et pour chaque longueur d’onde d’émission « N » angles solides de diffusion, et d’autre part, « M » longueurs d’onde de réception et pour chaque longueur d’onde de réception « N » angles solides de réception ; - (b) des moyens de sélection sur requête des longueurs d’onde d’émission ; - (c) des moyens de sélection sur requête des longueurs d’onde de réception ; - (d) des moyens de sélection sur requête des angles solides de diffusion pour chaque longueur d’onde d’émission ; - (e) des moyens de sélection sur requête des angles solides de réception pour chaque longueur d’onde de réception ; - (f) des moyens de signalisations automatiquement ou sur requête, par des Balises dédiées, des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des angles solides de diffusion en service, et/ou des angles solides de réception en service et/ou de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; - (g) des moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres ; - (h) des moyens de génération de requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « Atm [T] » et « AÎDBL [T] », respectivement périodes instantanées de signalisation des Balises et de détection de Balises, en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; Explicitement, ces « 8 » éléments sont tels que :

a) Ledit module photonique d’émission et de réception de signaux par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ayant d’une part, « M » longueurs d’onde d’émission et pour chaque longueur d’émission « N » angles solides de diffusion, et d’autre part, « M » longueurs d’onde de réception et pour chaque longueur de réception « N » angles solides de réception, comporte un substrat pour composants photoniques de la forme d’un segment de cylindre ; ledit substrat possède « M » groupes de cavités similaires disjoints ; lesdits groupes de cavités sont dénommés ci-après "groupes de cavités d’émission et de réception" et désignés par « GPTR/ » ; ledit substrat est dénommé ci-après "substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples" ; la courbe directrice du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples est désignée ci-après par « TR » et la droite génératrice par « 6TR » (cas où « ¾¾? » est un polygone ayant « 14 » côtés et « N = 3 », 300200, 400200, 500200, 800400, 900400, 1000400, llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER, 13Matrix- ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 19Matrix- ER1, 19Matrix-ER2-Partl, 19Matrix-ER2-Part2, 19Matrix-ER3, 19Matrix-ER4- Partl, 19Matrix-ER4-Part2 ; cas où est un polygone ayant « 6 » côtés et

« N= 5 », 17Matrix-ER ; cas où « ¾? » est un polygone régulier ayant « 8 » côtés et « N= 7 », 18Matrix-ER ; cas où « ¾? » est un polygone ayant « 10 » côtés et « N= 2 », 1500500, 1600600) ; ledit module photonique d’émission et de réception de signaux par optique sans fil à longueurs d’onde multiples est dénommé ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples" ; ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples comporte au moins les éléments suivants ou d’autres éléments donnant des résultats au moins équivalents :

i) Des moyens de connexions par fibres optiques dédiés aux photo émetteurs, ayant « Mc N » fibres optiques destinées à acheminer les rayonnements issus des « Mx N » photo-émetteurs « PHT/ t », avant ou après leur filtrage optique, jusqu’à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples ; les « Mx N » fibres optiques sont dénommées ci- après "fibres optiques d’émission" et désignées par « FI B-T/.A » (cas où lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N = 3 », 800401, 900401, 1000401, llOptical Fibres, FIG.12, 130ptical Fibres,

190ptical Fibres, FIG.14 ; « N= 2 », 1600601), leurs extrémités de couplage avec le substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sont dénommées "extrémités de couplage photonique d’émission", et leurs extrémités de couplage avec les photo-émetteurs sont dénommées "extrémités de couplage optoélectronique d’émission" ; et

ii) Des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-émetteurs, destinés à filtrer les rayonnements issus des « Mx N » photo-émetteurs « RHT, L » pour former « Mx N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés ayant des bandes spectrales étroites centrées sur « M » longueurs d’onde distinctes ; les « M » longueurs d’onde distinctes sont dénommées ci-après "longueurs d’onde d’émission" et désignées par « /.//. ... , /AM » ; lesdits moyens de filtrage dédiés aux photo-émetteurs sont arrangés de manière à ce que les « M » longueurs d’onde d’émission soient réparties à raison de « 1 » longueur d’onde d’émission « tj » pour « N » photo-émetteurs « PHT, /. ... , RHT, n » ; les « N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission « Xtj » sont désignées par « s tj.i, ... , s tj.N » ; lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-émetteurs sont dénommés ci- après "moyens de filtrages optiques d’émission" (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 800403, 900403, 1000403 ; « N= 3 » et « Xtj = Xj », FIG.11-FIG.14, FIG.19 ; « N= 5 » et « Xtj = Xj », FIG.17 ; « N= 7 » et « Xtj = Xj », FIG.18 « N = 2 », 1600603) ; et

iii) « Mx N » diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302) dédiés aux photo-émetteurs de type standard ou holographique ou autres donnant des résultats au moins équivalents et intégrés au substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples, destinés à transformer, pour chaque longueur d’onde d’émission « Xtj », les « N » sources d’émission de rayonnements optiques « s tj.i, s tj.N » en « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde « Xtj » (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N= 3 » et « Xtj = Xj », FIG.11-FIG.14, FIG.19 ; « N= 5 » et « X tj = Xj », FIG.17 ; « N= 7 » et « Xtj = Xj », FIG.18 ; « N = 2 ». 1600604) ; les « Mx N » diffuseurs de rayonnements optiques sont désignés, ci -après par « DIFFUS * », leurs « MxN » angles solides de diffusion de rayonnements optiques sont désignés par « WT/.L » et leurs axes principaux de diffusion par « DT/.A- » ; les « N » sources étendues de diffùsion de rayonnements optiques dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde « Xtj » sont désignées par « S T/./. ... , ST/./V » et les « N » photo-émetteurs auxquels ils sont associés via les « N » fibres optiques d’émission « FIB-T/. /. ... , FIB-T/JV » étant respectivement « PHT/./. ... , PHT/. v » ; les « N » angles solides de diffusion des « N » sources étendues de diffusion « ST7 , ..., SÏ/JV » étant respectivement « Wt/./. ..., Wt/.,n » et leurs « N » axes principaux de diffusion (6DIRA) étant respectivement « Dt/./. ... , Dt/.,n » (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 8DIR1 Ù8DIR3, 9DIR1 Ù 9DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 » et « Xtj = Xj », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 » et « Xtj = Xj », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

iv) Pour toute longueur d’onde d’émission « tj », lesdits diffiiseurs de rayonnements optiques sont disposés de manière à ce que, pour tout couple d’indices «p » et « q » où «p e {1, ... , N}» et « q e {1, N}», leurs deux axes principaux de diffusion « Dt j.p » et « Dt » ne soient pas parallèles (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N = 3 », 8DIR1 Ù8DIR3, 9DIR1 Ù 9DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 » et « Àtj = Xj », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 » et « Xtj = Xj », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

v) « Mx N » concentrateurs de rayonnements optiques (100103, 200103) dédiés aux photo- détecteurs de type DTIRC ou CPC ou autres donnant des résultats au moins équivalents et intégrés au substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples, destinés à transformer sans distinction en « MxN » sources de rayonnements optiques incidents concentrés, les rayonnements optiques quelconques incidents externes audit substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples arrivant sur leurs « MxN » surfaces de réception (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 300103, 400103, 500100 ; « N= 3 » et « Xtj = Xj », FIG.11-FIG.14 , FIG.19 ; « N= 5 » et « X tj = Xj », FIG.17 ; « N= 7 » et « Xtj = Xj », FIG.18 ; « N= 2 », 1500504) ; les « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques sont désignés par « CONCE N/, A », leurs « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques quelconques incidents externes sont désignés par « QR/.A » et leurs axes principaux de réception par « NRj.k » (1DIRA ; « N= 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 » et « Xrj = Xj », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 » et « h = Xj », 18DIR1 à 18DIR7) : les « M x N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés sont désignées par « SA/.A » ; et

vi) Des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-détecteurs, destinés à filtrer les rayonnements optiques quelconques incidents externes avant ou après leur transformation par les « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques « C0NCEN/A » en « M x N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s/ . A » afin de former, avant d’atteindre les « MxN » photo-détecteurs « PHD/A », « Mx N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés ayant des bandes spectrales étroites centrées sur «M » longueurs d’onde distinctes ; les «M » longueurs d’onde distinctes sont dénommées ci-après "longueurs d’onde de réception" et désignées par « Xn, ... , CGM » ; lesdits moyens de filtrage dédiés aux photo-détecteurs sont arrangés de manière à ce que les « M» longueurs d’onde de réception soient réparties à raison de « 1 » longueur d’onde « Xrj » pour « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s h.i, ... , s h.N » ; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur de réception « lh » sont désignées par « SR j.i, .... SR/.,V » et leurs « N » angles solides de réception étant ceux des « N » concentrateurs associés « CONCENy. CONCEN/JV », à savoir respectivement « QR7. QR7JV » et leurs « N » axes principaux de réception étant respectivement " AR,\ I. .... AR/. V » : lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux photodétecteurs sont dénommés ci-après "moyens de filtrages optiques de réception" (cas où lesdits moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N= 3 » et « l = l} », FIG.11-FIG.14, FIG.19 ; « N= 5 » et « l = l} », FIG.17 ; « N= 7 » et « l = l} », FIG.18 ; « N = 2 », 1500503) ; et

vii) Pour toute longueur d’onde de réception « lh », les « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/ , . . . , CONCEN/.JV » sont disposés de manière à ce que, pour tout couple d’indices « p » et « q » où «p e {1, ... , /V}» et « q e {l, ... , N}», leurs deux axes principaux de réception « AR/p » et « AR/. Î/ » ne soient pas parallèles (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 » et « lh = j », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 » et « /.ij = /., », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

viii) Des moyens de connexions par fibres optiques dédiés aux photodétecteurs, ayant « Mx N » fibres optiques destinées à acheminer les rayonnements issus des « Mx N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s/ . /. ... , S/7. V » avant ou après leur filtrage optique pour atteindre les « Mx N » photo-détecteurs « PHD/ /. ... , PHD/. v » ; les « Mx N » fibres optiques sont dénommées ci-après "fibres optiques de réception" et désignées par « FIB- Rj.k » (cas où lesdits moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples : « N= 3 », 300201, 400201, 500201 ; « N = 3 » et « /.ij = /., ». llOptical Fibres, FIG.12, 130ptical Fibres, 190ptical Fibres, FIG.14 ; « N= 2 », 1500501), leurs extrémités de couplage avec le substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sont dénommées ci-après "extrémités de couplage photonique de réception" et leurs extrémités de couplage avec les photo-détecteurs sont dénommées ci-après "extrémités de couplage optoélectronique de réception" ; les « Mx N » photo-détecteurs associés aux « Mx N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « SRj. i, ... , SR JV » via les « Mx N » fibres optiques de réception « FIB- Rj.i, .... I IB-K, . v » étant respectivement « PHD;.;, ... , PHD JV » ; lesdits moyens de connexions par fibres optiques sont dénommés ci-après "moyens de connexions par fibres optiques de réception" ; lorsque les rayonnements optiques quelconques incidents externes sont filtrés avant d’être transformés par les « Mx N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/.; » en « Mx N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s/ .;- », alors ces dernières deviennent par définition les sources « SR7.; » ; et

b) Lesdits moyens de sélection sur requête des longueurs d’onde d’émission permettent d’autoriser l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « M » longueurs d’onde d’émission « { lίi, .... \ / J » et de bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil d’une longueur d’onde d’émission « l tj » consiste à autoriser l’usage d’au moins « 7 » des « N » photo émetteurs « PHI}.;, ... , PHT/ V » associés aux « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques « Si}. ST7.JV » dont les bandes spectrales sont centrées sur ladite longueur d’onde « l tj » ; bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil d’une longueur d’onde d’émission « tj » consiste à bloquer l’usage desdits « N » photo-émetteurs « PHI}.;, ... , PHI} ; » ; et

c) Lesdits moyens de sélection sur requête des longueurs d’onde de réception permettent d’autoriser l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « M » longueurs d’onde de réception « { lh, ... , .r\ / } » et de bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil d’une longueur d’onde de réception « lh » consiste à autoriser l’usage d’au moins « 7 » des « N » photo détecteurs « PHD/.;, ... , PHD/JV » associés aux « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « S .;, ... , S .JV » dont les bandes spectrales sont centrées sur ladite longueur d’onde « lh » ; bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil d’une longueur d’onde de réception « lh » consiste à bloquer l’usage desdits « N » photo-détecteurs « PHD/.;, ... , PHD/ v » ; et

d) Lesdits moyens de sélection sur requête des angles solides de diffusion permettent d’autoriser, pour chacune desdites longueurs d’onde d’émission « tj », l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « N » angles solides de diffusion « { Wt }.;, ... , Wϊ/. n ! » et de bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil d’un angle solide de diffusion « Wt/.; » consiste à autoriser l’usage du photo-émetteur « P HT/ ; » associé à la source étendue de diffusion de rayonnements optiques « ST/.; » dudit angle solide ; bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil d’un angle solide de diffusion « Ctïj. » consiste à bloquer l’usage dudit photo-émetteur « PHT » ; et

e) Lesdits moyens de sélection sur requête des angles solides de réception permettant d’autoriser, pour chacune des longueurs d’onde de réception « lh », l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil de tout sous- ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « N » angles solides de réception « { W .;, ... , W .N } » et de bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser rutilisation pour la réception des signaux par optique sans fil d’un angle solide de réception « W .; » consiste à autoriser rutilisation du photo-détecteur « PHD/.; » associé à la source de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « » dudit angle solide ; bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil d’un angle solide de réception « QR/.A- » consiste à bloquer l’usage dudit photo détecteur « PHD/jt » ; et

f) Lesdits moyens de signalisations automatiquement ou sur requête, par des Balises dédiées, des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des angles solides de diffusion en service, et/ou des angles solides de réception en service et/ou de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, permettent de diffuser périodiquement par optique sans fil et/ou par RF suivant une période préalablement définie, des signaux destinés à d’autres dispositifs de communications par optique sans fil, desquels ces derniers peuvent en déduire :

i) Ledit sous-ensemble des longueurs d’onde d’émission actives ; et/ou ii) Ledit sous-ensemble des longueurs d’onde de réception actives et/ou iii) Ledit sous-ensemble des angles solides de diffusion actifs ; et/ou iv) Ledit sous-ensemble des angles solides de réception actifs ; et/ou v) La catégorie ou la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; lesdits moyens de signalisations des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des angles solides de diffusion en service, et/ou des angles solides de réception en service et/ou de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples sont dénommés ci-après "Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ; la longueur d’onde d’émission des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés est une longueur d’onde dédiée, différente de chacune des longueurs d’onde d’émission et de réception « lίi, .... lί\i » et « lp, .... ).r\ / » ; la longueur d’onde d’émission des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est dénommée ci-après "Longueur d’onde de Signalisations" et désignée par « l BL » (cas où les Balises sont en deux parties, « /./;/. = DBL = l B-DTR » et « tj = lh = /./ » : « N= 3 », 11BSDL01 et 11BSDL02, 13BSDL01 et 13BSDL02, FIG.19 ; « N = 5», 17BSDL01 et 17BSDL02 ; « N= 7 », 18BSDL01 et 18BSDL02) ; ladite période préalablement définie peut dépendre de Yinstant considéré ou être constante, elle est dénommée ci-après "Période Instantanée de Signalisations" et désignée par « Ai/;/. [T] » où « T » est un instant, i.e. un point de Y espace affine temps ; et g) Lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres, permettent automatiquement ou sur requête d’exécuter périodiquement, suivant une période préalablement définie, au moins les opérations suivantes :

i) Détecter par optique sans fil et/ou par RF des signaux diffusés par des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception appartenant à d’autres dispositifs de communication par optique sans fil ; et

ii) Faire l’acquisition des données utiles contenues dans les signaux diffusés par lesdites Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception appartenant à d’autres dispositifs de communication par optique sans fil ; et

iii) Ecrire lesdites données utiles dans une mémoire dédiée à double accès ; lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres sont dénommés ci-après "Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ; ladite mémoire dédiée à double accès est dénommée ci-après "Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises" ; la longueur d’onde de réception du Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est une longueur d’onde dédiée, différente de chacune des longueurs d’onde d’émission et de réception « lίi, .... /.t\ / » et « lp, .... /.r\ t » ; la longueur d’onde de réception dédiée au Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est dénommée ci-après "Longueur d’onde de Détection" et désignée par « DBL » (cas où le Détecteur de Balises est en deux parties, « l BL = DBL = B-DTR » et « tj = lh = j » : « N = 3 », 11DTR-BSDL01 et 11DTR-BSDL02, 13DTR-BSDL01 et 13DTR-BSDL02, FIG.19 ; « N= 5», 17DTR-BSDL01 et 17DTR-BSDL02 ; « N= 7 », 18DTR-BSDL01 et 18DTR- BSDL02) ; ladite période préalablement définie du Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception peut dépendre de Yinstant considéré ou être constante, elle est dénommée ci-après "Période Instantanée de Détections de Balises" et désignée par « AÎDBL [T] » où « T » est un instant, i.e. un point de Y espace affine temps ; et h) Lesdits moyens de génération de requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « AÎBL [T] » et « AÎDBL [T] » en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, permettent d’exécuter périodiquement, suivant une période instantanée préalablement définie, au moins les opérations suivantes :

i) Lire la Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises pour recueillir les données qu’elle contient à un instant « T » ; et

ii) Effectuer une analyse des données contenues dans la Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises afin d’établir d’une part, les Périodes Instantanées de Signalisation et de Détection de Balises « Alm [T] » et « AÎDBL [T] » appropriées et d’autre part, les paramètres à utiliser entre Yinstant « T » et Yinstant « T + AÎDBL [T] » pour communiquer avec d’autres dispositifs de communications par optique sans fil appropriés, à savoir un sous-ensemble des longueurs d’onde d’émission et/ou un sous-ensemble des longueurs d’onde de réception et/ou un sous-ensemble des angles solides de diffusion et/ou un sous- ensemble des angles solides de réception ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; et

iii) Sur la base du résultat de ladite analyse des données, envoyer des requêtes appropriées à mettre instantanément en œuvre par lesdits moyens de sélection des longueurs d’onde d’émission et/ou auxdits moyens de sélection des longueurs d’ondes de réception et/ou auxdits moyens de sélection des angles solides de diffusion et/ou auxdits moyens de sélection des angles solides de réception ; et

iv) Sur la base du résultat de ladite analyse des données, définir et affecter instantanément les Périodes Instantanées « AÎBL [T] » et « AÎDBL [T] » appropriées respectivement aux Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et au Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception ; lesdits moyens de génération des requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « D//ί/ |T| » et « A/z [T] » en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement dudit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, sont dénommés ci-après "Générateur des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides " et désigné par "GPIRC" ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Générateur des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides " ; ladite période instantanée préalablement définie dudit Générateur est désignée par « D «£ |T| ».

2. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 1, dont ledit Générateur « GPIRC » des Périodes Instantanées de Signalisations et de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides est caractérisé en ce qu’il comporte un gyroscope ou un accéléromètre permettant de le mettre automatiquement en service dès que ledit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples est en mouvement.

3. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 2 dont ledit Générateur « GPIRC » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides est caractérisé en ce qu’il comporte des données préenregistrées en mémoire lui permettant de définir les Périodes Instantanées « Aim. [T] » et « AÎDBL [T] » en fonction du résultat de ladite analyse des données et/ou des signaux fournis par ledit gyroscope ou ledit accéléromètre.

4. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, dont ledit Générateur « GPIRC » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides est caractérisé en ce que lesdites données préenregistrées en mémoire lui permettant de définir les Périodes Instantanées « Aim [T] » et « AÎDBL [T] » sont établies à partir d’au moins l’un des facteurs suivants :

a) La vitesse maximale d’un homme en marche athlétique ; et/ou

b) La vitesse maximale d’un homme en course à pied ; et/ou

c) La vitesse maximale d’un cycliste sur piste.

5. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de commande des puissances de diffusion de rayonnements optiques permettant automatiquement ou sur requête envoyé par le Générateur des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides, d’augmenter ou de diminuer les puissances des rayonnements optiques émises par chaque source étendue de diffusion de rayonnements optiques « Si).* » où « j e {l, ... , M}» et « k e {l, ... , /V}».

6. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de commande des gains d’amplification des signaux électriques générés par les photo détecteurs permettant automatiquement ou sur requête envoyée par le Générateur des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides, d’augmenter ou de diminuer le gain de l’amplificateur du signal électrique généré par chacun des « Mu. N» photo-détecteurs

7. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que :

a) Les « Mx N » photo-émetteurs « P HT/ A » sont nominalement identiques et les « Mx N » photo-détecteurs « PHD/.* » sont nominalement identiques ; «j e {1, ..., M}» et « k e {1, ..., N}» ; et

b) Les « Mx N » photo-émetteurs « PHT * » et les « Mx N » photo détecteurs « PHD/.* » sont disposés de manière à ce que leurs « MxN » axes principaux d’émission et leurs « MxN » axes principaux de réception soient parallèles.

8. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 7 dont les « Mx N » photo-émetteurs « PHT * » et les « Mx N» photo-détecteurs « PHD/.* » où « j <E {1, ... , M}» et « k e {l, ... , N}» sont caractérisés en ce qu’ils forment une matrice plane ayant « 2 xM» colonnes et « N » lignes où « k » est l’indice de la ligne ; ladite matrice plane est dénommée ci-après "matrice plane de « M N» photo-émetteurs et de « Mx N» photo-détecteurs".

9. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 8 dont la matrice plane de « MxN » photo-émeteurs et de « MxN » photo-détecteurs est caractérisée en ce qu’elle est arrangée de manière à ce que tout couple de colonnes adjacentes soit composé d’une colonne de photo-émeteurs et d’une colonne de photo-détecteurs.

10. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 9 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « MxN » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Chacune desdites extrémités de couplage optoélectronique d’émission des « Mx N » fibres optiques d’émission « FIB- l/./. ... , FIB- l/. v » où « j e {/, .... M\ » comporte une lentille et un revêtement réfléchissant incliné de « 45° » par rapport à l’axe de ladite extrémité, destinée à optimiser l’acheminement de :

i) Un faisceau de rayons optiques parallèles incidents dont l’axe est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; ou

ii) Un faisceau de rayons optiques divergents incidents dont la source est placée au foyer de ladite lentille et dont l’axe est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; le foyer de ladite lentille étant destiné à se placer à la surface d’un photo-émeteurs « RHT, L » après assemblage ; et

b) Lesdits moyens de connexions par fibres optiques d’émission comportent «M » connecteurs dont chaque connecteur est destiné à coupler les « N » photo-émeteurs « PHT). PHT JV » avec les extrémités de couplage optoélectronique d’émission des « N » fibres optiques d’émission « FIB- t j.i, ... , FIB-T .JV » ; les «M » connecteurs sont dénommés ci-après "connecteurs de couplage optoélectronique d’émission" et désignés par « CONN-OE-T7 » ; et c) Chacun des « M » connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-T; » comprend « N» conduits composés chacun de deux segments cylindriques creux raccordés par un coude de « 90° » dont l’un des segments cylindriques creux est destiné à l’installation d’une extrémité de couplage optoélectronique d’émission de l’une des « N » fibres optiques d’émission « FIB- t j.i, FIB-ï/. v » et l’autre est destiné au passage d’un faisceau de rayons optiques d’émission issu de l’un des « N » photo-émeteurs « PHT/ , ... , RHT, n » ; et i) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les extrémités de couplage optoélectronique d’émission sont coplanaires et parallèles ; et

ii) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les faisceaux de rayons optiques d’émission sont coplanaires et parallèles ; et

iii) La droite d’intersection du plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les extrémités de couplage d’émission avec le plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les faisceaux de rayons optiques d’émission est perpendiculaire à l’un des axes desdits segments de cylindre creux ; et

d) Chacune desdites extrémités de couplage optoélectronique de réception des « M x N » fibres optiques de réception « FIB-R/ , ... , FIB-R/.JV » comporte une lentille et un revêtement réfléchissant incliné de « 45° » par rapport à l’axe de ladite extrémité, destinée à transformer le faisceau de rayonnements optiques émergents de ladite extrémité en :

i) Un faisceau de rayons optiques parallèles dont l’axe de propagation est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; ou

ii) Un faisceau de rayons optiques convergents focalisé à une distance préalablement définie dont l’axe de propagation est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; le point focal étant destiné à se placer à la surface d’un photo-détecteur « PHD/jt » après assemblage ; et

e) Lesdits moyens de connexions par fibres optiques de réception comportent « M » connecteurs dont chaque connecteur est destiné à coupler les « N » photo-détecteurs « PHD/. /. .... PHD/ v » avec les extrémités de couplage optoélectronique de réception des « N » fibres optiques de réception « FIB- Rj.i, . . .. I IB-it, .N » ; les «M » connecteurs sont dénommés ci-après "connecteurs de couplage optoélectronique de réception" et désignés par « CONN-OE- Rj » ; et

f) Chacun des « M» connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-ïy » comprend « N » conduits de réception composé chacun de deux segments cylindriques creux raccordés par un coude de « 90° » dont l’un des segments cylindriques creux est destiné à l’installation d’une extrémité de couplage optoélectronique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R/J, FIB-R/. v » et l’autre est destiné au passage d’un faisceau de rayons optiques de réception à destination de l’un des « N » photo-détecteurs « PHD, , ... , PHD/ V » ; et i) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les extrémités de couplage optoélectronique de réception sont coplanaires et parallèles ; et

ii) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les faisceaux de rayons optiques de réception sont coplanaires et parallèles ; et

iii) La droite d’intersection du plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les extrémités de couplage de réception avec le plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les faisceaux de rayons optiques de réception est perpendiculaire à l’un des axes desdits segments de cylindre creux.

11. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 10 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Chacun des « M» connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-T; » et les « N » photo-émetteurs « P HT, /. ..., PHT/JV » associés sont tels que lorsqu’ils sont assemblés, les « N » axes principaux d’émission des photo-émetteurs soient confondus avec les « N » axes des conduits cylindriques relatifs aux passages de faisceau de rayons optiques d’émission dudit connecteur ; «; e {i, ... , M}» ; et

b) Chacun des « M » connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-R/ » et les « N » photo-détecteurs « PHD/ , ... , PHD/.JV » associés sont tels que lorsqu’ils sont assemblés, les « N » axes principaux de réception des photo-détecteurs soient confondus avec les « N » axes des conduits cylindriques relatifs aux passages de faisceau de rayons optiques de réception dudit connecteur ; «; e {i, ... , M}».

12. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 11 dont ladite matrice plane de « Mx N » photo-émetteurs « PHT .* » et de « MxN » photo-détecteurs « PHD/.* » où « j e {7, ... , M}» et « k e {7, ..., N}» est caractérisée en ce que :

a) Elle est surmontée d’une matrice plane de trous ayant « 2 xMxN» trous cylindriques pour le passage des rayonnements optiques émis par les « Mx N » photo-émeteurs « PHT}jt » et par les « MxN » photo-détecteurs « PHD/jt » ; et

b) Ladite matrice plane de trous est en adéquation avec les «M» connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-T) » et les «M » connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CON -OE- » de manière à ce que, lorsque la matrice plane de « MxN » photo-émeteurs « PHTyjt » et de « Mx N » photo-détecteurs « PHD/jt », les «M » connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-T; » et les «M » connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE- » sont assemblés, les « Mx N » photo-émeteurs « PHT}jt » et les « Mx N » photo-détecteurs « PHD/jt » soient optiquement isolés pour ne pas recevoir des rayonnements optiques inappropriés ; la matrice plane de trous est dénommée ci-après "matrice plane d’isolement optique d’émission et de réception".

13. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 12 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fd à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Les « M » connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-T; » sont collés de manière à ne former qu’un seul connecteur de couplage optoélectronique d’émission ; le connecteur résultant est désigné par « CONN-OE-t » ; et

b) Les « M» connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-R; » sont collés de manière à ne former qu’un seul connecteur de couplage optoélectronique de réception ; le connecteur résultant est désigné par « CONN-OE-R ».

14. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 13 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fd à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que le connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-t » et le connecteur de couplage optoélectronique de réception « CON -OE-R » sont collés de manière à ne former qu’un seul connecteur d’émission et de réception ; le connecteur résultant est désigné par « CONN-OE- TR ».

15. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 14 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « MxN » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «MxN» angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Les « MxN » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques

« S T)J, ..., Sï/.v » où « j e {1, sont combinées de manière à ce que pour tout indice «ke{l, ..., N}», leurs «M» axes principaux de diffusion « DT/.L-...., DTA/.L- » soient superposés pour ne former qu’un seul axe principal de diffusion disposant des «M» longueurs d’onde d’émission «lίi, .... /AM » ; ledit seul axe principal de diffusion est dénommé ci-après " axe principal de diffusion partagé" et désigné par « DTL- » ; i.e. les « MxN » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques « Si)./..... Sï/. v »» ont « N » axes principaux de diffusion partagés « Dt/...., Dtn ». disposant chacun des «M » longueurs d’onde d’émission « ti, ...,lίM» au lieu de « MxN » axes principaux de diffusion dissociés ; et

b) Les « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/ , ... , CONŒN/.v » où «j e {1, ... ,M}» sont fùsionnés de manière à ce que pour tout indice «k e{l, ..., N}», leurs «M » axes principaux de réception « AR IJ{...., AR M.k » soient superposés pour ne former qu’un seul axe principal de réception disposant des « M » longueurs d’onde de réception «lp, ..., ).r\ t » ; ledit seul axe principal de réception est dénommé ci-après "axe principal de réception partagé" et désigné par «AR*» ; i.e. les «MxN» concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/.;, ... , CONŒN/. v » ont « N » axes principaux de réception partagés « ARI, ..., A V », disposant chacun des « M » longueurs d’onde de réception « lh, ...,ltM» au lieu de «MxN» axes principaux de réception dissociés.

16. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 14 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « MxN » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Lesdits diffuseurs de rayonnements optiques et les « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/. CONCEN7.JV» sont répartis entre les «M » groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » où « j e { /.... , M}» de manière à ce que chaque groupe de cavités ait :

i) « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques « Sï/. /.... , Sï/. v » dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission « tj » ; et

ii) « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/ ;, ..., CONCEN/JV» auxquels sont associées les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « S .;, ..., SR/JV» dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur de réception « lh » ; et b) Les «M» groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR7 », les « MxN » axes principaux de diffusion « Dt } , ... , DT/JV » des « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques « Si)./..... Sï/. v » et les « MxN » axes principaux de réception « D .;, ..., AR JV » des « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/ , ... , CONCEN/JV » sont disposés de manière à ce que, pour chaque groupe de cavités de réception « GPTR/ » :

i) Les « N » axes principaux de diffus soient coplanaires et le plan les contenant orthogonal à « àlR » (« N=3 », 8DIR1 à 8DIR3, 9DIR1 à 9DIR3, 11 IR1 à 13DIR3 ;«N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ;«N= 7 »,

ii) Les «/V» axes principaux de réception « D .;, ..., AR JV» soient coplanaires et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « àlR » («N=3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ;«N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

iii) Les «/V» axes principaux de diffusion « Dt , ..., DT.JV» et les « N » axes principaux de réception « D .;, ..., AR/JV» soient tels que pour tout indice « k e {1, ... , N}» on ait « NTj.k H NRj-.k » et le plan formé par les deux axes parallèles « DΊ'/.L- » et « NRj.k » soit parallèle à la droite génératrice « dtk » ; et c) Les « N » axes principaux de diffusion et le « N » axes principaux de réception de chaque groupe de cavités d’émission et de réception soient l’image des « N » axes principaux de diffusion et des « N » axes principaux de réception d’un autre groupe de cavités d’émission et de réception par une translation parallèlement à ce « dtk » ; i.e. les « M x N » axes principaux de diffusion « Dt7 les «MxN» axes principaux de réception « D .;, ... , ARJ. .N » soient tels que, pour tout indice « k e {7, ... , /V}» on ait « Dt î.kll ... Il NïM.kH ARî.k ll ... Il ARM* ».

17. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 16 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

(a) Les Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception sont disposées (cas où les Balises sont en deux parties : « N= 3 », 11BSDL01 et 11BSDL02, 13BSDL01 et 13BSDL02 ; « N = 5 », 17BSDL01 et 17BSDL02 ; « N= 7 », 18BSDL01 et 18BSDL02), par rapport au substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples de ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, de manière à ce que si à un instant « T » un Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception appartenant à un autre dispositif de communication par optique sans fil les détecte suivant un angle solide donné, alors ledit autre dispositif pourra en déduire qu’entre Y instant « T » et Y instant « T + AÎ’DBL [T] » où « D/’DBL [T] » est la Période Instantanée de Détections de Balises dudit autre dispositif, tous ses angles solides dont les axes principaux sont parallèles à Y axe principale dudit angle solide donné sont des angles solides appropriés de communication par optique sans fil avec ledit dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; et

(b) Le Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est disposé (cas où le Détecteur de Balises est en deux parties : « N= 3 », 11DTR-BSDL01 et 11DTR-BSDL02, 13DTR-BSDL01 et 13DTR-BSDL02 ; « N= 5 », 17DTR-BSDL01 et 17DTR-BSDL02 ; « N= 7 », 18DTR-BSDL01 et 18DTR-BSDL02), par rapport au substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples de ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, de manière à ce que si à un instant « T » il détecte suivant un angle solide donné des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception appartenant à un autre dispositif de communication par optique sans fil, alors il pourra en déduire qu’entre Yinstant « T » et l’instant « T + ÎDBL [T] » tous ses angles solides dont les axes principaux sont parallèles à l’axe principale dudit angle solide donné sont des angles solides appropriés de communication par optique sans fil avec ledit autre dispositif de communication par optique sans fil.

18. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 17, dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mu. N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples (« /V= 3 », 800403, 900403, 1000403 ; « N= 2 », 1600603 ; « N= 3 » et « ktj = lh = j », FIG.ll- FIG.14, FIG.19 ; « N= 5 » et « ktj = l = f », FIG.17 ; « N= 7 » et

« Àtj = /.ij = Àj », FIG.18) et comportent :

a) « M » filtres optiques à bandes passantes étroites, ayant chacun « N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes étroites sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission dédiée, parmi lesdites « M » longueurs d’onde d’émission « ti, ... , /J\ / » ; les filtres optiques à bandes passantes étroites sont dénommés "filtres optiques internes d’émission à surfaces planes pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples" ; les surfaces filtrantes planes sont dénommés "surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples" ; et

b) Les « Mx N » surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sont réparties à raison de « N » surfaces filtrantes planes d’émission dont les bandes passantes étroites sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission « ktj » pour « 1 » groupe de cavités d’émission et de réception « GPT » où « j {l, ... , M}» (« N= 3 », 800403, 900403, 1000403 ; « N= 2 », 1600603) ; un module photonique d’émission et de réception de signaux par optique sans fil à longueurs d’onde multiples dont le substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples possède des filtres optiques internes d’émission est dénommé ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission".

19. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 18 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission est caractérisée en ce que :

a) Chacun des « » groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » où «y e {1, ... , M}» contient « N » lentilles de collimation (« N = 3 », 800402 ; « N= 2 », 1600602) destinées à transformer en « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission non-filtrés les rayonnements optiques acheminés (« N= 3 », 8Dbeaml, 8Dbeam2, 8Dbeam3) par les « N » fibres optiques d’émission « FIB-T/ , ... , FIB-T/.N » (« N= 3 », 800401, 900401, 1000401 ; « N= 2 », 1600601) ; les lentilles de collimation sont dénommées ci -après "lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission" ; et

b) Les « N » lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission de chaque groupe de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » sont disposées de manière à ce que chacun desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission non-filtrés puisse arriver orthogonalement sur l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission (« N= 3 », 800403, 900403, 1000403 ; « N = 2 ». 1600603) pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples, dont les bandes passantes sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission « tj », pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’un faisceau de rayons optiques parallèles émergent d’un filtre optique peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence ; les « N » sources d’émission de rayonnements optiques « s tj.i, .... s// \ » dont les bandes spectrales étroites sont centrées sur la même longueur d’émission « tj » étant par définition celles formées par lesdites « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission du groupe de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » dont les rayonnements sont « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés.

20. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 19 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission est caractérisée en ce que chacun des «M» groupes de cavités d’émission et de réception « GPT » où « j e {i, ..., M}» contient des moyens de guidage interne (« N = 3 », 800404, « N= 2 », 16Fibre- Segment) destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés (6IFROP ; « N= 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) pour atteindre l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302 ; « N= 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N = 2 ». 1600604) ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission".

21. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 20 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants (« N = 3 », 800404) placés, en concordance avec au moins l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples (« N = 3 », 800403, 900403, 1000403) et en concordance avec au moins l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques, de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés puisse arriver orthogonalement (« N = 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) à la surface diffusante de l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302 ; « N= 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N= 2 », 1600604), pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’une source étendue de diffusion de rayonnements optiques formée par un diffuseur peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence du rayonnement diffusé ; les miroirs réfléchissants sont dénommées ci-après "miroirs de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission, ayant au moins un miroir de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs".

22. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 20 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission comportent un ou plusieurs segments de fibre optique (« N = 2 », 16Fibre-Segment), destiné à acheminer des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission, ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique".

23. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 10 à 17 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont intégrés aux « M » connecteurs de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-ï, » où

«; e {i, ... , M}» et comportent :

a) « Mx N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites, destinés à filtrer les rayonnements optiques émis par les « MxN » photo émetteurs « PHT/ A » avant d’atteindre les extrémités de couplage optoélectronique d’émission des « MxN » fibres optiques d’émission « FIB-Ty , ... , FIB- Tj.N » (« N= 3 », 800401, 900401, 1000401 ; « N= 2 », 1600601) ; les «MxN» filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites sont dénommés ci-après "filtres optiques d’émission pour connecteur de couplage optoélectronique d’émission" ; et

b) Les « Mx N » filtres optiques d’émission pour connecteur de couplage optoélectronique d’émission ont :

i) Leurs bandes passantes d’émission centrées sur les « M » longueurs d’onde d’émission « ti, tu » ; et

ii) Ils sont répartis à raison de « N » filtres optiques d’émission dont les bandes passantes sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission « l tj » pour « 1 » connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-ï, » ; les « Mx N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés « s tj.i, s tj.N » étant par définition celles formées à la surface des «MxN» filtres optiques d’émission pour connecteur de couplage optoélectronique d’émission ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ayant des filtres optiques d’émission pour connecteur de couplage optoélectronique d’émission est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission".

24. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 23 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission est caractérisée en ce que :

a) Chacun des « M » groupes de cavités d’émission et de réception

« GPTR/ » où «y e {1, M}» contient « N » lentilles de collimation destinées à transformer en « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission les rayonnements optiques filtrés acheminées par lesdites « N » fibres optiques d’émission ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission" ; et

b) Chacun des « M » groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » contient des moyens de guidage interne destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés jusqu’à atteindre l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission".

25. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 24 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants placés, en concordance avec au moins l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques, de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés puisse arriver orthogonalement à la surface diffusante de l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques, pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’une source étendue de diffusion de rayonnements optiques formée par un diffuseur peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence du rayonnement diffusé ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique interne d’émission" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission, ayant au moins un miroir de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs".

26. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 24 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission comportent un ou plusieurs segments de fibre optique, destinés à acheminer des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique interne d’émission" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission, ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique".

27. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 26 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples (« N= 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N= 2 », 1500503 ; « N= 3 » et « tj = lh = f », FIG.ll- FIG.14, FIG.19 ; « N= 5 » et « ftj = lh = f », FIG.17 ; « N= 7 » et

« Àtj = / j = Àj », FIG.18) et comportent :

a) « M » filtres optiques à bandes passantes étroites ayant chacun « N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes étroites sont centrées sur une même longueur d’onde de réception dédiée, parmi les « M » longueurs d’onde de réception « lp, .... /.r\ / » : les filtres optiques à bandes passantes étroites sont dénommés ci-après "filtres optiques internes de réception à surfaces planes pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples" ; les surfaces filtrantes planes sont dénommées ci-après "surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples" ; et

b) Les « Mx N » surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sont réparties à raison de « N » surfaces filtrantes planes internes de réception dont les bandes passantes étroites sont centrées sur une même longueur d’onde de réception « lh » pour « 1 » groupe de cavités d’émission et de réception « GPT » où « j e { 1 , ... , M} » (« N = 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N= 2 »,

1500503) ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples dont le substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples possède des filtres optiques internes de réception est dénommé ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception".

28. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 27 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception est caractérisée en ce que chacun des « M » groupes de cavités d’émission et de réception « GPT » où «j e {l, contient :

a) « N» lentilles de collimation (100101, 200101 ; « N= 3 », 300101 ; « N= 2 », 1500502), dont chacune est destinée à transformer en « 1 » faisceau de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés non-filtrés « s h.i, ... , srj.N » (lDbeam ; « N = 3 », 3Dbeam) ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception" ; et

b) Des moyens de guidage interne (« N 3 », 300204 ; « N 2 », 15Fibre- Segment) destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés (1EFROP ; « N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) pour atteindre l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes de réception (« N= 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N= 2 », 1500503) du groupe de cavités ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception"; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR j.i, SR/. V » dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde de réception « lh » étant par définition celles formées sur les « N » surfaces filtrantes planes internes de réception du groupe de cavités d’émission et de réception « GPTR/ » dont les rayonnements sont « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés.

29. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 28 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception est caractérisée en ce que chacun des « M » groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR7 » où « j e {i, ..., M}» contient :

a) « N» lentilles de focalisation (« N= 3 », 300202, 500202 ; « N= 2 », 1500505), dont chacune est destinée à focaliser (3Cbeaml, 3Cbeam2, 3Cbeam3) sur l’extrémité de couplage photonique de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R7 , ... , FIB-R7.JV » (« N = 3 ». 300201, 400201, 500201 ; « N= 2 », 1500501), l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés issue de l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR7. SR JV » ; les « N » lentilles de focalisation sont dénommées ci-après "lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception avec filtres optiques internes de réception" ; et

b) Les « N » lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception de chaque groupe de cavité d’émission et de réception « GPTR/ » sont disposées en concordance avec les extrémités de couplage photonique des « N » fibres optiques de réception « FIB-Ry , ..., FIB- R/. v », de manière à ce que chacun desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une desdites « N » lentilles de focalisation de réception pour être focalisé.

30. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 29 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «M N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants (« N = 3 », 300204) placés, en concordance avec au moins l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples et en concordance avec au moins l’une desdites lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception (100101, 200101 ; « N= 3 », 300101), de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés (« N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP3) puisse arriver orthogonalement sur l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes de réception (« N= 3 », 300203, 400203, 500203) du groupe de cavités pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’un faisceau de rayons optiques parallèles émergent d’un filtre peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception, ayant au moins un miroir de guidage interne de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par miroirs".

31. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 29 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique (« N = 2 », 15Fibre-Segment), destinés à acheminer des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage internes de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception, ayant au moins un segment de fibre optique de guidage internes de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique".

32. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 10 à 26 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «MxN» angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques de réception sont intégrés aux « M» connecteurs de couplage optoélectronique de réception « CON -OE- » où «y e {l, et comportent :

a) « Mx N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites, destinés à filtrer les faisceaux de rayons optiques parallèles ou les faisceaux de rayons optiques focalisés émergents desdites extrémités de couplage optoélectronique des « MxN » fibres optiques de réception « FIB- .;, ... , FIB- R/JV » ; les « Mx N» filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites sont dénommés ci-après "filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception" ; et

b) Les « Mx N » filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception ont :

i) Leurs bandes passantes de réception centrées sur les « M » longueurs d’onde de réception « lp, ... , l GM » ; et

ii) Ils sont répartis à raison de « N » filtres optiques de réception pour couplage optoélectronique de réception dont les bandes passantes sont centrées sur une même longueur d’onde de réception « lh » pour « 1 » connecteur de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-R » ; les «MxN» sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « S R/. /. ... , SR7.JV » étant par définition celles formées à la surface des «MxN» filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ayant des filtres optiques pour connecteur de couplage optoélectronique de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception".

33. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 32 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que chacun des « M » groupes de cavités de réception « GPT » où «j e {1, ... ,M}» contient :

a) « N» lentilles de collimation, dont chacune est destinée à transformer en « 1 » faisceau de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés Tune des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés non-filtrés " s/ . /. .... s/'/. v » : les « N » lentilles de collimation sont dénommées ci-après

"lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception" ; et b) « N » lentilles de focalisation, dont chacune est destinée à focaliser l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés sur l’extrémité de couplage photonique de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R , .... FIB-R/. V » ; les « N » lentilles de focalisation sont dénommées ci- après "lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception" ; et

c) Des moyens de guidage interne, destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés de manière à ce qu’il puisse être focalisé de manière appropriée par l’une desdites « N » lentilles de focalisation de réception ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception".

34. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 33 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants, destinés à acheminer par réflexion au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés de manière à ce qu’il puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une des « N » lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception, ayant au moins un miroir optique de guidage interne de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception et à guidages internes par miroirs".

35. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 33 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique, destiné à l’acheminement des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibres optiques de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception, ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sans filtre optique de réception et à guidages internes par segment de fibre optique".

36. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 14 ou 16 à 26 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « MxN » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à la surface du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples et comportent :

a) « Mx N » filtres optiques hémisphériques, recouvrant les surfaces de réception des « MxN » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN/./t » où «; e {i, et « k \ I . .... A'} » : les filtres optiques hémisphériques sont dénommés "filtres hémisphériques surfaciques de réception" ; et

b) Les « Mx N » filtres hémisphériques surfaciques de réception ont : i) Leurs bandes passantes de réception centrées sur les « M » longueurs d’onde de réception « lp, ... , rM » ; et

ii) Ils sont répartis à raison de « N » filtres hémisphériques de réception centrés sur une même longueur d’onde de réception « lh » pour « 1 » groupe de cavités d’émission et de réception « GPT » ; étant donné que les rayonnements optiques externes quelconques incidents sont filtrés avant d’être transformés par lesdits « Mx N » concentrateurs de rayonnements optiques en «Mx N» sources de rayonnements optiques incidents concentrés, alors les « MxN » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « S ... , S%.JV » sont par définition les « MxN » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « srj.i, ... , srj.N » ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples dont le substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples possède des filtres hémisphériques surfaciques de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception".

37. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 36 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que chacun des « M » groupes de cavités d’émission et de réception « GPTR7 » où «; e {i, ... , M}» contient : a) « N» lentilles de collimation, dont chacune est destinée à transformer en « 1 » faisceau de rayons optiques parallèles de réception filtré, les rayonnements de l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés ... , SR/JV » dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur de réception « lh » ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception" ; et

b) « N » lentilles de focalisation, dont chacune est destinée à focaliser l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés sur l’extrémité de couplage photonique de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-Ry , .... FIB-R/. V » ; les lentilles de focalisation sont dénommées ci-après

"lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception" ; et

c) Des moyens de guidage interne, destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés de manière à ce qu’il puisse être focalisé de manière appropriée par l’une des « N » lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples sur l’extrémité de couplage photonique de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-Ry , ... , FIB-R/. V » ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception".

38. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 37 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «Mx N» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants, destinés à acheminer par réflexion au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés de manière à ce qu’il puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une des « N » lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception, ayant au moins un miroir de guidage interne de réception est dénommé ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception et à guidages internes de réception par miroirs".

39. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon la revendication 37 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique de guidage interne, destinés à acheminer des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique de guidage internes sont dénommés ci -après "segments de fibre optique de guidage internes de réception pour substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception" ; une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception, ayant au moins un segment de fibre optique de guidage internes de réception est dénommée ci-après "matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres hémisphériques surfaciques de réception et à guidages internes de réception par miroirs".

40. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 1 à 39 dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que les «M » longueurs d’onde d’émission « lίi, ... , l ÎM » sont respectivement identiques aux «M» longueurs d’onde de réception « lp, ... , ltM » ; i.e. pour tout «j e {1, on a

« tj = rj » ; leur valeur commune est dénommée "longueur d’onde d’émission et de réception" et désignée par « lίh » ; « lίh = tj = lh » ; les «M » longueurs d’onde d’émission et de réception étant « / ri. /.tr\/ ».

41. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux disposant d’une seule longueur d’onde d’émission dans le domaine de l’infrarouge ou du visible ; ledit dispositif élémentaire est destiné à la construction de dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; ledit dispositif élémentaire comprend « N » photo-émetteurs ayant des caractéristiques nominales d’émission identiques ; les « N » photo-émetteurs sont de type LED ou diode laser ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales d’émission au moins équivalentes à celles de ces dernières ; « N » est un nombre entier tel que « N ³ 2 » ; les « N » photo-émetteurs sont désignés par « PHTA » ; l’indice « k » est tel que « k e {1, ... , N}» ; ledit dispositif élémentaire est caractérisé en ce qu’il comprend au moins les « 2 » éléments suivants ou d’autres éléments permettant d’obtenir des résultats finaux équivalents : - (a) un module photonique d’émission de signaux par optique sans fil ayant « N » angles solides de diffusion ; - (b) des moyens de sélection sur requête des angles solides de diffusion ; Explicitement, ces « 2 » éléments sont tels que :

a) Ledit module photonique élémentaire d’émission de signaux par optique sans fil ayant « N » angles solides de diffusion, comporte un substrat pour composants photoniques de la forme d’un segment de cylindre ; ledit substrat possède « 1 » groupe de cavités ; ledit groupe de cavités est dénommé ci-après "groupe de cavités élémentaire d’émission" et désigné par « GPT » ; ledit substrat est dénommé ci-après "substrat cylindrique élémentaire d’émission" (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N = 3 ». 800405 et 800406 et 800407, 900405 et 900406 et 900407, 1000405 et 1000406 et 1000407 ; « N= 2 », 1600605 et 1600606) ; la courbe directrice du substrat cylindrique élémentaire d’émission est désignée par « fé’l· » et sa droite génératrice par « dt » ; (cas où « fê’r» est un polygone ayant « 14 » côtés et « N = 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400 ; cas où « r» est un polygone ayant « 10 » côtés et « N = 2 », 1600600) ; ledit module photonique élémentaire d’émission de signaux par optique sans fil est dénommé ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil" ; ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil comporte au moins les éléments suivants ou d’autres éléments donnant des résultats au moins équivalents :

i) Des moyens de connexions par fibres optiques dédiés aux photo émetteurs, ayant « N » fibres optiques destinées à acheminer les rayonnements issus des « N » photo-émetteurs « PHT/t », avant ou après leur filtrage optique, jusqu’à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission ; les « N » fibres optiques sont dénommées ci-après "fibres optiques d’émission" et désignées par « FI B-TA » (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N = 3 ». 800401, 900401, 1000401 ; « N= 2 », 1600601), leurs extrémités de couplage avec le substrat cylindrique élémentaire d’émission sont dénommées ci-après "extrémités de couplage photonique d’émission", et leurs extrémités de couplage avec les photo-émetteurs sont dénommées ci-après "extrémités de couplage optoélectronique d’émission" ; et

ii) Des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-émetteurs, destinés à filtrer les rayonnements issus des « N » photo-émetteurs « PHT/t » pour former « N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés ayant des bandes passantes spectrales étroites centrées sur une même longueur d’onde ; ladite longueur d’onde est dénommée "longueur d’onde d’émission" et désignée par « lί » ; les « N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur « lί » sont désignées par « s/;, .... s/v » ; lesdits moyens de filtrages optiques sont dénommés ci-après "moyens de filtrages optiques d’émission" (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N= 3 », 800403, 900403, 1000403 « N = 2 », 1600603) ; et

iii) « N » diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302) dédiés aux photo-émetteurs de type standard ou holographique ou autres donnant des résultats au moins équivalents et intégrés au substrat cylindrique élémentaire d’émission, destinés à transformer les « N » sources d’émission de rayonnements optiques « s ti, .... six » en « N » sources étendues de diffiision de rayonnements optiques dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde « lί » (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N= 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N= 2 », 1600604) ; les « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde « lί » sont désignées par « ST/. ... , ST V » et les « N » photo émetteurs associés via les « N » fibres optiques d’émission « FIB-T/, ... , FIB- T\ »» étant respectivement « PHT/. .... PHT\ »» : les « N » angles solides de diffusion des « N » sources étendues de diffusion « ST/. ... , Sïv » sont désignés respectivement par « Wt/. ... , Wt \ » et leurs « N » axes principaux de diffusion (6DIRA) sont désignés respectivement par « Dt/. ... , Dt,n » (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N= 3 », 8DIR1 à 8DIR3, 9DIR1 à 9DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

iv) Lesdits diffuseurs de rayonnements optiques sont disposés de manière à ce que, pour tout couple d’indices « p » et « q » où «p e {1, ... , N}» et leurs deux axes principaux de diffusion « Dtr » et « Dt^ » ne soient pas parallèles (cas où les moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission : « N = 3 », 8DIR1 Ù 8DIR3, 9DIR1 Ù 9DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

b) Lesdits moyens de sélection sur requête des angles solides de diffusion permettent d’autoriser l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « N » angles solides de diffusion « { Wt/, ... , Wϊn } » et de bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser Futilisation pour l’émission des signaux par optique sans fil d’un angle solide de diffusion « Wϊ/ » consiste à autoriser l’usage du photo-émetteur « PHT/ » auquel est associé la source étendue de diffùsion de rayonnements optiques « S T/ » dudit angle solide ; bloquer l’usage pour l’émission des signaux par optique sans fil d’un angle solide de diffusion « W¾ » consiste à bloquer l’usage dudit photo-émetteur « PHT/ ».

42. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 42, caractérisée en ce qu’il comporte des moyens de commande des puissances de diffusion de rayonnements optiques permettant sur requête, d’augmenter ou de diminuer les puissances des rayonnements optiques émises par chaque source étendue de diffusion de rayonnements optiques « Su » ; « k e {1, ... , N}».

43. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon l’une quelconque des revendications 42 à 43 dont les « N » photo-émetteurs « PHT* » où N}» sont caractérisés en ce que :

a) Ils sont nominalement identiques ; et

b) Ils sont disposés de manière à ce que leurs axes principaux d’émission soient parallèles et orthogonaux à leurs surfaces d’émission ; et

c) Ils forment une matrice plane unicolonne ayant « N » lignes où « k » est l’indice de la ligne ; la matrice plane est dénommée "matrice plane unicolonne de « N» photo-émetteurs".

44. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon l’une quelconque des revendications 42 à 44 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Chacune des extrémités de couplage optoélectronique d’émission des

« N » fibres optiques d’émission « FIB-T;, ... , FIB-Tv » comporte une lentille et un revêtement réfléchissant incliné de « 45° » par rapport à l’axe de ladite extrémité, destiné à optimiser l’acheminement de :

i) Un faisceau de rayons optiques parallèles incidents dont l’axe est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; ou

ii) Un faisceau de rayons optiques divergents incidents dont la source est placée au foyer de ladite lentille et dont l’axe est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; le foyer de ladite lentille étant destiné à se placer à la surface d’un photo-émetteurs « RHT, n » après assemblage ; et

b) Lesdits moyens de connexions par fibres optiques d’émission comportent un connecteur destiné à coupler les « N » photo-émetteurs « PHT/. ... , PFFfiv » avec les extrémités de couplage optoélectronique d’émission des « N » fibres optiques d’émission « FIB-ï/. ... , FIB-Tv » ; ledit connecteur est dénommé "connecteur de couplage optoélectronique d’émission" et désigné par « CONN-OE-t » ; et c) Le connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CONN- OE-T » comprend « N » conduits composé chacun de deux segments cylindriques creux raccordés par un coude de « 90°» dont l’un des segments cylindriques creux est destiné à l’installation d’une extrémité de couplage optoélectronique d’émission de l’une des « N » fibres optiques d’émission « FI B-B/. FIB-B V » et l’autre au passage d’un faisceau de rayons optiques d’émission issu de l’un des « N » photo émetteurs « PHT i, PHTv » ; et

i) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les extrémités de couplage optoélectronique d’émission sont coplanaires et parallèles ; et

ii) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les faisceaux de rayons optiques d’émission sont coplanaires et parallèles ; et

iii) La droite d’intersection du plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les extrémités de couplage d’émission avec le plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les faisceaux de rayons optiques d’émission est perpendiculaire à l’un des axes desdits segments de cylindre creux.

45. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 45 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que le connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CON -OE-t » et les « N » photo-émetteurs « PHT i, PHTv » associés sont tels que lorsqu’ils sont assemblés, les « N » axes principaux d’émission des photo-émetteurs soient confondus avec les « N » axes des conduits cylindriques creux pour les faisceaux de rayons optiques d’émission dudit connecteur.

46. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 46 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que la matrice unicolonne de « N » photo-émetteurs « PHT/t » où « k e {7, ... , /V}» est surmontée d’une matrice unicolonne de trous ayant « N » trous cylindriques pour le passage des rayonnements optiques émis par les « N » photo-émetteurs « PHT/t » ; la matrice unicolonne de trous est en adéquation avec le connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CONN-OE-t » de manière à ce que, lorsque la matrice unicolonne de « N » photo-émetteurs « PHT/t » et le connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CON -OE-t » sont assemblés, les « N » photo-émetteurs « PHT/t » soient optiquement isolés pour ne pas recevoir des rayonnements optiques inappropriés ; la matrice unicolonne de « N » trous est dénommée ci-après "matrice plane unicolonne d’isolement optique d’émission".

47. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon l’une quelconque des revendications 41 à 46 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce :

a) Les « N» sources étendues de diffusion de rayonnements optiques

« Sïi, ... , ST V » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde d’émission « lί » sont intégrées au groupe de cavités d’émission « GPT ; et

b) Le groupe de cavités d’émission « GPT » et les « N » axes principaux de diffusion « Dt/. ... , Dt,n » des « N » sources étendues de diffusion de rayonnements optiques « ST/, ... , Sïv » sont disposés de manière à ce que les « N » axes principaux de diffusion « Dt/. ... , Dt n » soient coplanaires et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « d/ > (« N = 3 », 8DIR1, 8DIR2, 8DIR3, 9DIR1, 9DIR2, 9DIR3).

48. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon l’une quelconque des revendications 41 à 47 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission (« N = 3 ». 800403, 900403, 1000403 ; « N= 2 », 1600603) et comportent :

a) Un filtres optique à bande passante étroite, ayant « N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes étroites sont centrées sur la même longueur d’onde d’émission « Xt » ; le filtre optique à bande passante étroite est dénommé ci-après "filtre optique interne d’émission à surfaces planes pour substrat cylindrique élémentaire d’émission" ; les surfaces filtrantes planes sont dénommées ci-après "surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission" ; et

b) Les « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sont réparties dans le groupe de cavités d’émission « GPT » (« N = 3 ». 800403, 900403, 1000403 ; « N= 2 », 1600603) ; une antenne photonique d’émission par optique sans fil ayant un filtre optique à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission est dénommée ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission".

49. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 48 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire avec filtre optique interne d’émission est caractérisée en ce que le groupe de cavités d’émission « GPT » contient :

a) « N» lentilles de collimation (« N= 3 », 800402 ; « N= 2 », 1600602), destinées à transformer en « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission non-filtrés les rayonnements optiques acheminé (« N= 3 », 8Dbeaml, 8Dbeam2, 8Dbeam3) par les « N » fibres optiques d’émission « FIB- T;, ..., FIB-TN » (« N = 3 », 800401, 900401, 1000401 ; « N= 2 », 1600601) ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne" ; et

b) Les « N » lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission du groupe de cavités d’émission « GPT » sont placées en concordance avec les « N » surfaces filtrantes planes de substrat cylindrique élémentaire d’émission dudit groupe, de manière à ce que chacun desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission non-filtrés puisse arriver orthogonalement sur l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission (« N= 3 », 800403, 900403, 1000403 ; « N= 2 », 1600603) pour substrat cylindrique élémentaire d’émission, pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’un faisceau de rayons optiques parallèles émergent d’un filtre optique peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence ; les « N » sources d’émission de rayonnements optiques « s ti, .... six » dont les bandes spectrales étroites sont centrées sur la même longueur d’émission « lί » étant par définition celles formées par les « N » surfaces filtrantes planes de substrat cylindrique élémentaire d’émission du groupe de cavités d’émission « GPT » dont les rayonnements sont « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés.

50. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 49 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission est caractérisée en ce que le groupe de cavités d’émission « GPT » contient des moyens de guidage interne (« N= 3 », 800404, « N= 2 », 16Fibre-Segment), destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés (6IFROP ; « N= 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) pour atteindre l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302 ; « N = 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N= 2 », 1600604) ; lesdits moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission".

51. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 50 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission est caractérisée en ce que les moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants (« N = 3 », 800404) placés, en concordance avec au moins l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission (« N = 3 », 800403, 900403, 1000403) et en concordance avec au moins l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques, de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés puisse arriver orthogonalement (« N= 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) à la surface diffusante de l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques (600302, 700302 ; « N= 3 », 800300, 800302, 900300, 1000300 ; « N= 2 », 1600604), pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’une source étendue de diffusion de rayonnements optiques formée par un diffuseur peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence du rayonnement diffusé ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission" ; une antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission ayant au moins un miroir de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs".

52. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 50 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire avec filtre optique interne est caractérisée en ce que les moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission comportent au moins un segment de fibre optique (« N = 2 », 16Fibre-Segment), destiné à acheminer des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; le segment de fibre optique est dénommé ci-après "segment de fibre optique de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission" ; une antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire avec filtre optique interne ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique".

53. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon l’une quelconque des revendications 44 à 47 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont intégrés au connecteur de couplage optoélectronique d’émission « CON -OE-t » et comportent :

a) « N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites, destinés à filtrer les rayonnements optiques issus des « N » photo-émetteurs « PHT/. ... , PHTv » avant d’atteindre les extrémités de couplage optoélectronique d’émission des « N » fibres optiques d’émission « FIB-T/. ..., FIB-Tv » ; les « N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites sont dénommés ci-après

"filtres optiques pour connecteur de couplage optoélectronique d’émission" ; et

b) Les « N » filtres optiques de couplage optoélectronique d’émission ont des bandes passantes centrées sur la longueur d’émission « lί » ; les « N » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés « s ti, .... six » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde « lί » étant par définition celles formées à la surface des « N » filtres optiques de connecteur de couplage optoélectronique d’émission ; une antenne photonique d’émission par optique sans fil ayant des filtres optiques de couplage optoélectronique d’émission est dénommée ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique".

54. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 53 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique est caractérisée en ce que :

a) Le groupe de cavités d’émission « GPT » contient « N » lentilles de collimation destinées à transformer en « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission les rayonnements optiques filtrés acheminées par lesdites « N » fibres optiques d’émission ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après

"lentilles de collimation d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique d’émission" ; et

b) Le groupe de cavités d’émission « GPT » contient des moyens de guidage interne destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés pour atteindre l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après

"moyens de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique d’émission".

55. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 54 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants, destinés à acheminer par réflexion au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés pour atteindre l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques ; les miroirs réfléchissants sont placés en concordance avec au moins l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles d’émission filtrés puisse arriver orthogonalement à la surface diffusante de l’un desdits diffuseurs de rayonnements optiques, pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’une source étendue de diffusion de rayonnements optiques formée par un diffuseur peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence du rayonnement diffusé ; les miroirs réfléchissants sont dénommées ci-après "miroirs de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique d’émission" ; un module photonique d’émission de signaux par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique ayant au moins un miroir de guidage interne d’émission est dénommé ci- après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique d’émission à guidages internes d’émission par miroirs".

56. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux selon la revendication 54 dont ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil, ayant « N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique interne comportent un ou plusieurs segments de fibre optique, destinés à acheminer des rayonnements issus des sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire d’émission vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage interne d’émission pour substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique d’émission" ; une antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne d’émission est dénommée ci-après "antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission sans filtre optique à guidages internes d’émission par segments de fibre optique".

57. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 17 à 40 dont les Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception sont caractérisées en ce qu’elles sont constituées de :

a) Deux dispositifs élémentaires nominalement identiques de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux (cf. revendications 41 à 56) et où :

i) La longueur d’onde d’émission « lί » est choisie égale à la longueur d’onde d’émission « BL » dédiée aux balises de signalisations ; et

ii) La courbe directrice du substrat cylindrique élémentaire d’émission « ¾”r » et la droite génératrice « ôr » des deux dispositifs élémentaires identiques de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux sont choisies respectivement identiques à la courbe directrice « fêlR » et à la droite génératrice « ÔTR » relatives audit dispositif de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception de signaux ; les deux dispositifs élémentaires nominalement identiques de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux constituant lesdites Balises de Signalisations sont dénommés "Balise « BSDLOl »" et Balise « B D L. O . les « bl xes principaux de diffusion de la Balise « BSDLOl » sont désignés par « Dt-BLli, Dt-BLLv » et les « N » axes principaux de diffusion de la Balise « BSDL02 » sont désignés par « AT-BL27, ... , AT-BL2TV » ; et

b) La Balise « BSDLOl » et la Balise « BSDL02 » sont collées aux deux extrémités du substrat cylindrique d’émission et de réception dudit dispositif de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception de signaux et orientées de manière à ce que (cas « l BL = DBL = B-DTR » et « tj = lh = j » : « N = 3 », 11BSDL01, 11BSDL02, 13BSDL01, 13BSDL02, FIG.19 ; « N= 5 », 17BSDL01, 17BSDL02 ; « N= 7 », 18BSDL01, 18BSDL02) :

i) Le substrat résultant de l’union des deux balises « BSDLOl » et « BSDL02 » avec le substrat cylindrique d’émission et de réception soit lui-même pratiquement un segment de cylindre dont la courbe directrice est « X lR » et la droite génératrice « ÔTR » ; et

ii) Les « N » axes principaux de diffusion « Dt-BLl i, ... , Dt-BL 1 y »» de la Balise « BSDLOl » et les « N » axes principaux de diffusion « Dt- BL2/. ..., Dt-Bί2n » de la Balise « BSDL02 » sont tels que, pour tout indice « p e {1, ... , N}» on ait « Dt-BLlp II AT-BL2P » ; et

iii) Les « N » axes principaux de diffusion « Dt-BLl i, ... , Dt-BL 1 y »» de la Balise « BSDLOl » et les «MxN» axes principaux de diffusion « Dt j.i, ... , Dϊ,. n » du substrat cylindrique d’émission et de réception sont tels que pour tout indice « k e {1, ... , N}» on ait « Dt-BLl/t II Dt î.k H ... Il NTM.k ».

58. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception de signaux disposant d’une seule longueur d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge ou du visible ; ledit dispositif élémentaire est destiné à la construction de dispositifs de communication par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples ; ledit dispositif élémentaire comprend « N » photo-détecteurs ayant des caractéristiques nominales de réception identiques ; les « N » photo-détecteurs sont de type PIN Photodiode ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales d’émission au moins équivalentes à celles de ces dernières ; « N » est un nombre entier tel que « N > 2 » ; les « N » photo-détecteurs sont désignés par « PHD* » ; l’indice « k » est tel que « k e {1, ... , N}» ; ledit dispositif élémentaire est caractérisé en ce qu’il comprend au moins les « 2 » éléments suivants ou d’autres éléments permettant d’obtenir des résultats finaux équivalents : - (a) un module photonique élémentaire de réception de signaux par optique sans fil ayant « N » angles solides de réception ; - (b) des moyens de sélection sur requête des angles solides de réception ; Explicitement, ces « 2 » éléments sont tels que :

a) Ledit module photonique élémentaire de réception de signaux par optique sans fil ayant « N » angles solides de réception, comporte un substrat pour composants photoniques de la forme d’un segment de cylindre ; ledit substrat possède « 1 » groupe de cavités ; le groupe de cavités dénommé ci-après "groupe de cavités élémentaire de réception" et désigné par « GPR » ; ledit substrat est dénommé ci-après "substrat cylindrique élémentaire de réception" (cas où lesdits moyens de filtrages optiques d’émission sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N= 3 », 300205 et 300206 et 300207, 400205 et 400206 et 400207, 500205 et 500206 et 500207 ; « N= 2 », 1500505 et 1500506 et 1500507) ; la courbe directrice est désignée par « ¾¾ » et la droite génératrice par « ÔR » ; (cas où « ¾¾ » est un polygone ayant « 14 » côtés et « N= 3 », 300200, 400200, 500200, 1100200, 1300200 ; cas où « ¾¾ » est un polygone ayant « 10 » côtés et « N= 2 », 1500500) ; ledit module photonique élémentaire de réception de signaux par optique sans fil est dénommé ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil" ; ladite antenne photonique de réception par optique sans fil comporte au moins les éléments suivants ou d’autres éléments donnant des résultats au moins équivalents :

i) « N » concentrateurs de rayonnements optiques (100103, 200103) dédiés aux photo- détecteurs de type DTIRC ou CPC ou autres donnant des résultats au moins équivalents et intégrés au substrat cylindrique élémentaire de réception, destinés à transformer sans distinction en « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés, les rayonnements optiques quelconques incidents externes audit substrat cylindrique élémentaire de réception arrivant sur leurs « N » surfaces de réception (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N= 3 », 300103, 400103, 500100 ; « N = 2 ». 1500504) ; les « N » concentrateurs de rayonnements optiques sont désignés par « CONCEN* », leurs « N » angles solides de réception de rayonnements optiques externes quelconques incidents sont désignés par « W¾ » et leurs axes principaux de réception (1 DIRA) sont désignés par « ARA » (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à rintérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N= 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés sont désignées par « s /' » ; et

ii) Les « N» concentrateurs de rayonnements optiques

« CONCENi, CONCEN V » sont disposés de manière à ce que, pour tout couple d’indices « p » et « q » où « p e { /. ..., N}» et « q e { I . .... A'} ». leurs deux axes principaux de réception « ARP » et « NRq » ne soient pas parallèles (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à rintérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N= 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; et

iii) Des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-détecteurs, destinés à filtrer les rayonnements optiques quelconques incidents externes avant ou après leur transformation par les « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCENA » en « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s - » afin de former, avant d’atteindre les « N » photo-détecteurs « PHDA », « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés ayant des bandes spectrales étroites centrées sur une même longueur d’onde ; ladite longueur d’onde est dénommée ci-après "longueur d’onde de réception" et désignée par « r » ; la longueurs d’onde de réception « /.r » est la même pour les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s n, ..., srv » ; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur de réception « r » sont désignées par « SR/. ... , S R\ » et leurs « N » angles solides de réception étant ceux des « N » concentrateurs associés « CONŒN/. ... , CONŒN V », à savoir respectivement « QRJ, ... , QR \ » et leurs « N » axes principaux de réception étant respectivement « ARI. ... , AR \ » ; lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-détecteurs sont dénommés ci-après "moyens de filtrages optiques de réception" (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N = 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N = 2 », 1500503) ; et

iv) Des moyens de connexions par fibres optiques dédiés aux photo détecteurs, ayant « N » fibres optiques destinées à acheminer les rayonnements issus des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « s n, srv » avant ou après leur filtrage optique afin de former, avant d’atteindre les « N » photo-détecteurs « PHD i, PHDy », les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés et filtrés « SRJ, ... , SR V » ; les « N » fibres optiques sont dénommées "fibres optiques de réception" et désignées par « FIB-R* » (cas où les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception : « N= 3 », 300201, 400201, 500201 ; « N= 2 », 1500501), leurs extrémités de couplage avec le substrat cylindrique élémentaire de réception par optique sans fil sont dénommées ci-après "extrémités de couplage photonique de réception" et leurs extrémités de couplage avec les photo-détecteurs sont dénommées ci-après "extrémités de couplage optoélectronique de réception" ; les « N » photo-détecteurs associés aux « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR/. ... , SR \ » via les « N » fibres optiques de réception « FIB-R/. ... , FIB-R V » étant respectivement « PHD-RJ, ... , PHD-i¾v » ; lesdits moyens de connexions par fibres optiques sont dénommés ci-après "moyens de connexions par fibres optiques de réception" ; lorsque les rayonnements optiques quelconques incidents externes sont filtrés avant d’être transformés par les « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN;, ... , CONŒN v » en « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés « sr/. .... srv ». alors ces dernières deviennent par définition les sources « SRI, SR V » ; et

b) Lesdits moyens de sélection sur requête des angles solides de réception permettent d’autoriser l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « N » angles solides de réception « { QR/. ... , Wΐ¾n } » et de bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil d’un angle solide de réception « W¾ » consiste à autoriser l’usage du photo-détecteur « PHD* » auquel est associé la source de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR* » dudit angle solide ; bloquer l’usage pour la réception des signaux par optique sans fil d’un angle de réception « Wh* » consiste à bloquer l’usage dudit photo-détecteur « PHD* ».

59. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 58, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de commande des gains d’amplification des signaux électriques générés par les photo -détecteurs permettant automatiquement ou sur requête, d’augmenter ou de diminuer le gain de l’amplificateur du signal électrique généré par chacun des « N » photo-détecteurs « PHD i, PHDy ».

60. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 59 dont les « N » photo-détecteurs « PHD* » où « k e {1, ... , N}» sont caractérisés en ce que :

a) Ils sont nominalement identiques ; et

b) Ils sont disposés de manière à ce que leurs « N » axes principaux de réception soient parallèles et orthogonaux à leurs surfaces de détection ; et

c) Ils forment une matrice plane unicolonne ayant « N » lignes où « k » est l’indice de la ligne ; la matrice plane est dénommée "matrice plane unicolonne de « N» photo-détecteurs".

61. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon l’une quelconque des revendications 58 à 60 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Chacune des extrémités de couplage optoélectronique de réception des « N » fibres optiques de réception « FIB-R/. ... , FIB-R V » comporte une lentille et un revêtement réfléchissant incliné de « 45° » par rapport à l’axe de ladite extrémité, destiné à transformer le faisceau de rayonnements optiques émergents de ladite extrémité en :

i) Un faisceau de rayons optiques parallèles dont l’axe de propagation est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; ou

ii) Un faisceau de rayons optiques convergents focalisé à une distance préalablement définie dont l’axe de propagation est incliné de « 90° » par rapport à l’axe de ladite extrémité ; le point focal étant destiné à se placer à la surface d’un photo-détecteur « PHD* » après assemblage ; et

b) Lesdits moyens de connexions par fibres optiques de réception comportent un connecteur destiné à coupler les « N » photo-détecteurs « PHD /. ... , PHD v » avec les extrémités de couplage optoélectronique de réception des « N » fibres optiques de réception « FIB-RJ, .... FIB-R V » ; le connecteur est dénommé ci-après "connecteur de couplage optoélectronique de réception" et désignés par « CONN-OE-R » ; et

c) Le connecteur de couplage optoélectronique de réception « CONN- OE-R » comprend « N » conduits de réception composés chacun de deux segments cylindriques creux raccordés par un coude de « 90° » dont l’un des segments cylindriques creux est destiné à l’installation d’une extrémité de couplage optoélectronique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB- R/. .... FIB-R V » et l’autre est destiné au passage d’un faisceau de rayons optiques de réception à destination de l’un des « N » photo-détecteurs « PHD i, PHD v » ; et

i) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les extrémités de couplage optoélectronique de réception sont coplanaires et parallèles ; et

ii) Les « N » axes des segments cylindriques creux pour les faisceaux de rayons optiques de réception sont coplanaires et parallèles ; et

iii) La droite d’intersection du plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les extrémités de couplage de réception avec le plan contenant les « N » axes des segments de cylindre creux pour les faisceaux de rayons optiques de réception est perpendiculaire à l’un des axes desdits segments de cylindre creux.

62. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 61 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que le connecteur de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-R » et les « N » photo-détecteurs « PHD;, ... , PHDN » associés sont tels que lorsqu’ils sont assemblés, les « N » axes principaux de réception des photo-détecteurs soient confondus avec les « N » axes des conduits cylindriques relatifs aux passages de faisceau de rayons optiques de réception dudit connecteur.

63. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 62 dont la matrice plane unicolonne de photo-détecteurs « PHD; » où « k e {7, ... , /V}» est caractérisée en ce qu’elle est surmontée d’une matrice plane unicolonne de trous ayant « N » trous cylindriques pour le passage des rayonnements optiques destinés aux « N » photo détecteurs « PHD; » ; la matrice plane unicolonne de trous est en adéquation avec le connecteur de couplage optoélectronique de réception « CONN-OE-R » de manière à ce que, lorsque la matrice plane des « N » photo-détecteurs « PHD/t » et le connecteur de couplage optoélectronique de réception « CON -OE-R » sont assemblés, les « N » photo-détecteurs « PHD/t » soient optiquement isolés pour ne pas recevoir des rayonnements optiques inappropriés ; la matrice plane de trous est dénommée ci-après "matrice plane unicolonne d’isolement optique de réception".

64. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon l’une quelconque des revendications 58 à 63 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que :

a) Les « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCEN;, ... , CONCENN » auxquels sont associés les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR;, ... , SRJV » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur de réception « Xr » sont intégrés au groupe de cavités de réception « GPR » ; et

b) Le groupe de cavités de réception « GPR » et les « N » concentrateurs de rayonnements optiques « CONCENZ, ... , CONCENZV » sont disposés de manière à ce que les « N » axes principaux de réception « AR/. ... , AR \ » soient coplanaires et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « à R » (« N= 3 », 3DIR1, 3DIR2, 3DIR3, 4DIR1, 4DIR2, 4DIR3).

65. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon l’une quelconque des revendications 58 à 64 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrage optiques de réception sont installés à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception (« N = 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N = 2 », 1500503) et comportent :

a) Un filtre optique à bande passante étroite, ayant chacun « N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes étroites sont centrées sur la longueur d’onde de réception « Xr » ; ledit filtre optique à bande passante étroite est dénommé ci-après "filtre optique interne de réception à surfaces planes pour substrat cylindrique élémentaire de réception" ; les surfaces filtrantes planes sont dénommés ci-après "surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception" ; et b) Les « N » surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sont réparties dans le groupe de cavités de réception « GPR » (« N = 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N = 2 », 1500503) ; un module photonique élémentaire réception de signaux par optique sans fil ayant un filtre optique interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception est dénommé ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception".

66. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendications 65 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception est caractérisée en ce que le groupe de cavités de réception « GPR » contient :

a) « N » lentilles de collimation (100101, 200101 ; « N= 3 », 300101 ; « N= 2 », 1500502), dont chacune est destinée à transformer en « 1 » faisceau de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés non-filtrés « s n, ... , srv » (lDbeam ; « N = 3 », 3Dbeam) ; les lentilles de collimation sont dénommées ci -après "lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception" ; et

b) Des moyens de guidage interne (« N= 3 », 300204, « N= 2 », 15Fibre- Segment), destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés (1EFROP ; « N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) pour atteindre l’une desdites « N » surfaces filtrantes planes de réception (« N= 3 », 300203, 400203, 500203 ; « N= 2 », 1500503) du groupe de cavités ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception" ; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR/. ... , SJV » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur d’onde de réception « r » étant par définition celles formées sur les « N » surfaces filtrantes planes de réception du groupe de cavités dont les rayonnements sont « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés.

67. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 66 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception est caractérisée en ce que le groupe de cavités de réception « GPR » contient :

a) « N » lentilles de focalisation (« N= 3 », 300202, 500202 ; « N= 2 », 1500505), dont chacune est destinée à focaliser sur l’extrémité de couplage photonique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB- R7, ... , FIB-RN » (« N= 3 », 300201, 400201, 500201 ; « N = 2 », 1500501), l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés issue de l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SRI, ... , SR V » ; les lentilles de focalisation sont dénommées ci-après "lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne" ; et

b) Les « N » lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception du groupe de cavités de réception « GPR » sont disposées en concordance avec les extrémités de couplage photonique de réception des « N » fibres optiques de réception, de manière à ce que chacun desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une des « N » lentilles de focalisation pour substrat cylindrique élémentaire de réception pour être focalisé.

68. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendications 67 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants (« N= 3 », 300204) placés, en concordance avec au moins l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception et en concordance avec au moins l’une desdites lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception (100101, 200101 ; « N = 3 », 300101), de manière à ce qu’au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés (« N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP3) puisse arriver orthogonalement sur l’une des « N » surfaces filtrantes planes internes de réception (« N = 3 », 300203, 400203, 500203) du groupe de cavités pour faire économiser de l’énergie, sachant que l’intensité d’un faisceau de rayons optiques parallèles émergent d’un filtre peut dépendre très fortement de l’angle d’incidence ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques internes de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception ayant au moins un miroir de guidage interne de réception est dénommée ci -après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par miroirs".

69. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 67 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique (« N = 2 », 15Fibre-Segment), destinés à l’acheminement des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques internes de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique".

70. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon l’une quelconque des revendications 61 à 64 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que lesdits moyens de filtrages optiques de réception sont intégrés au connecteur de couplage optoélectronique de réception « CON -OE-R » et comportent :

a) « N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites, destinés à filtrer les faisceaux de rayons optiques parallèles ou les faisceaux de rayons optiques focalisés émergents desdites extrémités de couplage optoélectronique de réception des « N » fibres optiques de réception « FIB- R;, .... FIB-R V » ; les « N » filtres optiques à surface plane à bandes passantes étroites sont dénommés ci-après "filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception" ; et

b) Les « N » filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception ont des bandes passantes centrée sur la longueur de réception « /.r » ; les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SRI, ... , SR V » étant par définition celles formées à la surface des « N » filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception ; une antenne photonique de réception par optique sans fil ayant des filtres optiques de réception pour connecteur de couplage optoélectronique de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception".

71. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 70 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que le groupe de cavités de réception « GPR » contient :

a) « N» lentilles de collimation, dont chacune est destinée à transformer en « 1 » faisceau de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés fune des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés non-filtrés « s n, ... , s rv » ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception" ; et

b) « N » lentilles de focalisation, dont chacune est destinée à focaliser l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés sur l’extrémité de couplage photonique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R/. ... , FIB-R V » ; les lentilles de focalisation sont dénommées ci-après "lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception" ; et

c) Des moyens de guidage interne, destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non-filtrés de manière à ce qu’il puisse être focalisé de manière appropriée par l’une desdites « N » lentilles de focalisation de réception ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception".

72. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 71 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants, destinées à acheminer à l’intérieur dudit module photonique de réception par réflexion au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception non- filtrés de manière à ce qu’il puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une desdites « N » lentilles de focalisation de réception ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception ayant au moins un miroir de guidage interne de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception à guidages internes de réception par miroirs".

73. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 71 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique, destinés à l’acheminement des rayonnements de sources situées à l’intérieur du substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; les segments de fibre optique sont dénommés ci-après "segments de fibre optique de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception sans filtre optique de réception à guidages internes de réception par segments de fibre optique".

74. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon l’une quelconque des revendications 58 à 64 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, est caractérisée en ce que les moyens de filtrages optiques de réception sont installés à la surface du substrat cylindrique élémentaire de réception et comportent :

a) « N » filtres optiques hémisphériques, recouvrant les surfaces de réception des « N » concentrateurs de rayonnements optiques « C’ONŒN/. ... , C’ONŒNv » ; les filtres optiques hémisphériques sont dénommés ci-après "filtres hémisphériques surfaciques de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception" ; et

b) Les « N » filtres hémisphériques surfaciques de réception ont des bandes passantes centrées sur la longueur d’onde de réception « Xr » ; étant donné que les rayonnements optiques externes quelconques incidents sont filtrés avant d’être transformés par les « N » concentrateurs de rayonnements optiques en « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés, alors les « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR;, ... , SRJV » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur de réception « Xr » sont par définition les « N » sources de rayonnements optiques « s n, ... , srv » ; une antenne photonique de réception par optique sans fil ayant des filtres hémisphériques surfaciques de réception à la surface du substrat cylindrique élémentaire de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception".

75. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 74 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que le groupe de cavités de réception « GPR » contient :

a) « N» lentilles de collimation, dont chacune est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles de réception filtré, les rayonnements de l’une des « N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés filtrés « SR/. .... SR V » dont les bandes spectrales sont centrées sur la longueur de réception « Xr » ; les lentilles de collimation sont dénommées ci-après "lentilles de collimation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception" ; et

b) « N » lentilles de focalisation, dont chacune est destinée à focaliser l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés sur l’extrémité de couplage photonique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R/. FI B-R V » ; les lentilles de focalisation sont dénommées ci-après "lentilles de focalisation de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception" ; et

c) Des moyens de guidage interne, destinés à acheminer au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés de manière à ce qu’il puisse être focalisé de manière appropriée par l’une des « N » lentilles de focalisation pour substrat cylindrique élémentaire de réception sur l’extrémité de couplage photonique de réception de l’une des « N » fibres optiques de réception « FIB-R/. ... , FIB-R v » ; les moyens de guidage interne sont dénommés ci-après "moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception".

76. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 75 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception comportent un ou plusieurs miroirs réfléchissants, destinés à acheminer par réflexion au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayons optiques parallèles de réception filtrés de manière à ce qu’il puisse arriver parallèlement à l’axe de l’une des « N » lentilles de focalisation de réception ; les miroirs réfléchissants sont dénommés ci-après "miroirs de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception ayant au moins un miroir de guidage interne de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception et à guidages internes de réception par miroirs".

77. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception des signaux selon la revendication 75 dont ladite antenne photonique de réception par optique sans fil, ayant « N » angles solides de réception de rayonnements optiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception est caractérisée en ce que lesdits moyens de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception comportent un ou plusieurs segments de fibre optique, destiné à G acheminement des rayonnements de sources situées à l’intérieur dudit substrat cylindrique élémentaire de réception vers des destinations situées à l’intérieur de ce dernier ; le segment de fibre optique est dénommé ci-après "segment de fibre optique de guidage interne de réception pour substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception" ; une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception ayant au moins un segment de fibre optique de guidage interne de réception est dénommée ci-après "antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques hémisphériques surfaciques de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique".

78. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception des signaux disposant d’une seule longueur d’onde d’émission dans le domaine de l’infrarouge ou du visible et d’une seule longueur d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge ou du visible ; ledit dispositif élémentaire est destiné à la construction de dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples dont ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples possède « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques (cf. revendications 1 à 40) ; ledit dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception des signaux est caractérisé en ce qu’il est formé par assemblage de :

a) Un dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission de signaux (cf. revendications 41 à 56) dont la courbe directrice du substrat cylindrique élémentaire d’émission de son antenne photonique d’émission par optique sans fil est « », la droite génératrice « dt » et dont la longueur d’onde d’émission est « lί » ; et

b) Un dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la réception de signaux (cf. revendications 58 à 77) dont la courbe directrice du substrat cylindrique élémentaire de réception de son antenne photonique de réception par optique sans fil est « » et la droite génératrice « ÔR » telles que

« cë'T = (Îo R » et « dt // ÔR », et dont la longueur d’onde de réception est « kr » ; et

c) Ledit assemblage est réalisé tel que ledit dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception des signaux possède un substrat élémentaire d’émission et de réception de la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ^ TR » et de droite génératrice « ÔTR » telles que « = 9^7 = ¾¾ » et « ÔTR II dt II dR » ; le module photonique élémentaire d’émission et de réception de signaux par optique sans fil dudit dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception des signaux est dénommé ci-après "antenne photonique d’émission et de réception par optique sans fil".

79. Dispositif élémentaire de communications par optique sans fil pour la l’émission et la réception des signaux selon la revendication 78, caractérisé en ce qu’il dispose d’une longueur d’onde unique pour l’émission et pour la réception dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, obtenue en choisissant une même la longueur d’onde pour ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil et ladite antenne photonique de réception par optique sans fil ; la longueur d’onde unique pour l’émission et pour la réception est dénommée ci-après "longueur d’émission et de réception" et désignée par « ktr » ; « ktr = kt = kr ».

80. Dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples selon l’une quelconque des revendications 17 à 40 dont ledit Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est caractérisé en ce qu’il est constitué de :

a) Deux dispositifs élémentaires nominalement identiques de communications par optique sans fil pour la réception de signaux (cf. revendications 58 à 77) et où : i) La longueur d’onde de réception « Xr » est choisie égale à la longueur d’onde de réception « XDBL » dédiée au Détecteur de Balises de signalisation des paramètres d’émission et/ou de réception ; et

ii) La courbe directrice du substrat cylindrique élémentaire de réception « ¾¾ » et la droite génératrice « ÔR » des deux dispositifs élémentaires nominalement identiques de communications par optique sans fil pour la réception de signaux sont choisies respectivement identiques à la courbe directrice « fé TR » et à la droite génératrice « ÔTR » relatives audit dispositif de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception de signaux ; les deux dispositifs élémentaires identiques de communications par optique sans fil pour la réception de signaux constituant le Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception sont dénommés ci-après "Partie « DTR-BSDLOl » du Détecteur de Balises" et "Partie « DTR- BSDL02 » du Détecteur de Balises" ; les « N » axes principaux de réception de la Partie « DTR-BSDLOl » sont désignés par « AR-DBL 1 /. AR-DBL I V » et les « N » axes principaux de réception de la Partie « DTR-BSDL02 » sont désignés par « AR-DBL2/. ... , AR-DBL2 \ » ; et

b) La Partie « DTR-BSDLOl » et la Partie « DTR-BSDL02 » sont collées aux deux extrémités du substrat cylindrique d’émission et de réception dudit dispositif de communications par optique sans fil pour l’émission et la réception de signaux ou collées aux deux extrémités du substrat résultant de l’union des deux balises « BSDLOl » et « BSDL02 » avec le substrat cylindrique d’émission et de réception, et orientées de manière à ce que (cas « XBL = XDBL = XB- DTR » et « Xtj = Ch = X] » : « N= 3 », 11DTR-BSDL01, 11DTR-BSDL02, 13DTR- BSDLOl, 13DTR-BSDL02, FIG.19 ; « N= 5 », 17DTR-BSDL01, 17DTR- BSDL02 ; « N= 7 », 18DTR-BSDL01, 18DTR-BSDL02) :

i) Le substrat résultant de l’union de la Partie « DTR-BSDLO 1 » et de la Partie « DTR-BSDL02 » avec le substrat cylindrique d’émission et de réception ou avec le substrat résultant de l’union des deux balises « BSDLOl » et « BSDL02 » avec le substrat cylindrique d’émission et de réception soit lui-même pratiquement un segment de cylindre dont la courbe directrice est « TR » et à la droite génératrice « ÔTR » ; et

ii) Les « N » axes principaux de réception « AR-DBL 1 /. .... AR- DBLl v » de la Partie « DTR-BSDLO l » et les « N » axes principaux de réception

« AR-DBL2 /. ... , AR-DBL2 \ » de la Partie « DTR-BSDL02 » sont tels que, pour tout indice « p e {/, ... , N}» on ait « ÂR-DBLlp II AR-DBL2P » ; et iii) Les « N » axes principaux de réception « AR-DBL 1 /. .... AR- DBL 1 y »» de la Partie « DTR-BSDL01 » et les « Mx N » axes principaux de réception « D .;, .... AR/. V »» du substrat cylindrique d’émission et de réception sont tels que pour tout indice « k e {1, ... , N}» on ait « AR- DBLl/t // AR î.k ll ... Il ARM* ».

81. Méthode de fabrication en série de « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs (« N= 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400) ayant « N » axes principaux de diffusion (« N = 3 ». 8DIR1 à 8DIR3, 9DIR1 à 9DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; lesdites « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil sont nominalement identiques et chacune d’entre elles est destinée à la construction, par juxtaposition avec d’autres antennes photoniques (« N= 3 » et « tj = lh = j », 1100400 et 1100200, 1300400 et 1300200), d’une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs (« N= 3 », 800404) ayant « M » longueurs d’onde d’émission « lίi, .... /AM » et « M » longueurs d’onde de réception « lp, .... /.r\ / » ; ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) étant destinés à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « N » et « Q » sont trois nombres entiers tels que « M ³ 2 », « N ³ 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte au moins les « 9 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « i » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent : a) Fabrication de « Q x N » sous-modules de diffusion de rayonnements optiques nominalement identiques (600300, 700300, 800300, 900300, 1000300), dont chaque sous-module est constitué d’un substrat (600301, 700301) contenant un écran diffuseur (600302, 700302) de rayonnements optiques destiné à transformer un faisceau de rayons optiques parallèles incident (6IFROP, 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) arrivant orthogonalement à sa surface diffusante en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques à l’extérieur dudit substrat ; et

b) Fabrication d’un filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane de longueur « L » et de largeur « l » ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur une même longueur d’onde d’émission « Àt » (« Q = 1 » et « N= 3 », 800403, 900403, 1000403) ; chacune desdites « Q x N » surfaces filtrantes planes est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés ayant une bande spectrale étroite centrée sur la longueur d’onde d’émission « lί » tout faisceau de rayons optiques parallèles approprié arrivant orthogonalement à sa surface ; ledit filtre optique doit être de type interférentiel / Fabry-Perrot à largeur de bande passante inférieure à « lOnm » ou « 5nm » ou d’un autre type ayant des caractéristiques nominales au moins équivalentes ; la fabrication dudit filtre optique doit être faite par une technique permettant d’avoir un taux de transmission d’au moins « 90% » telle que la technique appelée « hard coating », à savoir la « Pulvérisation par faisceau d'ions / Ion beam sputtering » ou la « Pulvérisation par plasma » de type « Magnetron sputtering » ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; ladite longueur « L » et ladite largeur « l » doivent être choisies en adéquation avec les nombres entiers « Q » et « N » ; et

c) Fabrication d’une matrice de lentilles de collimation d’émission, constituée de « Q x N » lentilles biconvexes nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes (« Q = 1 » et « N = 3 », 800402) ; chacune desdites « Q x N » lentilles est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles non-filtrés l’une des « Q x N » sources quasi-ponctuelles de rayonnements optiques (« Q = 1 » et « N= 3 », 8Dbeaml, 8Dbeam2, 8Dbeam3) pouvant être localisées aux « Q x N » extrémités de couplage photonique d’émission (« Q = 1 » et « N= 3 », 800401, 900401, 1000401) des fibres optiques d’émission ; la matrice de lentilles de collimation d’émission doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de collimation d’émission ; et d) Fabrication d’une barre de substrat cylindrique d’émission, ayant la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « fêl », de droite génératrice

« ôr » et de longueur égale à ladite longueur « L » ; la courbe directrice « fël » doit être choisie en adéquation avec le nombre entier « N » ; la barre de substrat cylindrique d’émission est destinée à contenir lesdits «QxN» sous-modules nominalement identiques de diffusion de rayonnements optiques, ledit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane ayant «QxN» surfaces filtrantes planes et ladite matrice de lentilles de collimation d’émission constituée de « x N » lentilles nominalement identiques; la barre de substrat cylindrique d’émission doit être composée de trois parties séparées (« Q = 1 » et «N = 3 », 800405 et 800406 et 800407, 900405 et 900406 et 900407, 1000405 et 1000406 et 1000407) de même longueur égale à ladite longueur « L » que l’on peut assembler, par colle ou autres moyens ; la fabrication des trois parties séparées s’effectue par moulage ou autre technique de micro-fabrication, de manière à obtenir :

i) Une première partie («2 = 1» et «N=3», 800405, 900405, 1000405) comportant d’une part, un emplacement dédié à ladite matrice de lentilles de collimation d’émission (« Q = 1 » et « N= 3 », 800402), avec des voies de sortie pour les «QxN» faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger des «QxN» lentilles de collimation lorsque ladite matrice de lentilles de collimation d’émission sera installée et d’autre part, «QxN» voies de passage pour l’installation de «QxN» extrémités de couplage photonique d’émission («2=1 » et « N = 3 », 800401, 900401, 1000401) des fibres optiques d’émission aux «QxN» foyers desdites lentilles de collimation d’émission de ladite matrice ; lesdites «QxN» fibres optiques d’émission étant destinées à acheminer les rayonnements non-filtrés issus des photo-émetteurs jusqu’à l’intérieur («2=1 » et « N = 3 », 8Dbeaml, 8Dbeam2, 8Dbeam3) de ladite première partie ; et

ii) Une deuxième partie (« Q = 1 » et «N= 3», 800406, 900406, 1000406) comportant d’une part, un emplacement dédié pour ledit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane (« Q = 1 » et «N= 3 », 800403, 900403, 1000403), avec des voies d’entrée pour les «QxN» faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger de ladite matrice de lentilles de collimation d’émission (« Q = 1 » et « N= 3 », 800402) lorsque cette dernière sera installée dans ladite première partie et d’autre part, des voies de sortie pour les «QxN» faisceaux de rayon optiques parallèles (« Q = 1 » et « N= 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) pouvant émerger dudit filtre optique lorsque ce dernier sera installé ; et

iii) Une troisième partie (« Q = 1 » et «N= 3», 800407, 900407, 1000407) comportant d’une part, des voies d’entrée pour les «QxN» faisceaux de rayon optiques parallèles (« Q = 1 » et «N = 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) pouvant émerger dudit fdtre optique (« Q = 1 » et « N= 3 », 800403, 900403, 1000403) lorsque ce dernier sera installé dans ladite deuxième partie et d’autre part, « Q x N » emplacements dédiés auxdits « Q x N » sous-modules nominalement identiques de diffusion (600300, 700300 ; « Q = 1 » et « N= 3 », 800300, 900300, 1000300) et des emplacements contenant des miroirs de guidages internes d’émission (« Q = 1 » et « N= 3 », 800404) ayant chacun un taux de réflexion d’au moins « 98% » ; les « Q x N » emplacements dédiés auxdits « Q x N » sous- modules nominalement identiques de diffusion doivent être tels que ces derniers, une fois installés, puissent former « Q » groupes de sous-modules de diffusion comprenant chacun « N » sous-modules de diffusion ayant « N » angles solides de diffusion dont les « N » axes principaux de diffusion « Dt/, ... , DTN » soient d’une part, coplanaires (« b = 1 » et « N= 3 », 8DIR1, 8DIR2, 8DIR3, 9DIR1, 9DIR2, 9DIR3) et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « ôr » et d’autre part, pour tout couple d’indices «p » et « q » où « p e { I . ... , N}» et « q e {1, ... , N}», les deux axes principaux de réception « Dtr » et « Dt^ » ne soient pas parallèles ; lesdits « Q » groupes de sous-modules de diffusion, une fois installés, doivent être tels que chaque groupe soit l’image d’un autre groupe par une translation parallèlement à la droite génératrice « dt » ; lesdits miroirs de guidages internes d’émission peuvent être intégrés par dépôt ou pulvérisation et leurs emplacements doivent être tels que pour chacun desdits « Q » groupes de sous- modules de diffusion, une fois ces derniers installés, ils pourront acheminer après des réflexions successives au moins l’un desdits « N » faisceaux de rayon optiques parallèles (« Q = 1 » et « N= 3 », 8IFROP1, 8IFROP2, 8IFROP3) pouvant émerger dudit filtre optique, lorsque ce dernier sera installé dans ladite deuxième partie, pour lui permettre d’arriver orthogonalement à la surface diffusante (600302, 700302 ; « Q = 1 » et « N= 3 », 800302) de l’un desdits « N » sous-modules de diffusion de rayonnements optiques (« Q = 1 » et « N= 3 », 800300, 900300, 1000300) appartenant au groupe ; et

e) Intégration de ladite matrice de lentilles de collimation d’émission

(« b = 1 » et « N= 3 », 800402) dans son emplacement dédié localisé dans la première partie (« Q = 1 » et « N= 3 », 800405, 900405, 1000405) de la barre de substrat cylindrique d’émission ; et

f) Intégration dudit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « lί » (« 0 = 1 » et « N= 3 », 800403, 900403, 1000403) dans son emplacement dédié localisé dans la deuxième partie (« Q = 1 » et « N= 3 », 800406, 900406, 1000406) de la barre de substrat cylindrique d’émission ; et g) Intégration desdits « Q x N » sous-modules nominalement identiques de diffusion de rayonnements optiques (« /V= 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400) dans leurs « Q x N » emplacements dédiés localisés dans la troisième partie (« Q = 1 » et « N= 3 », 800407, 900407, 1000407) de la barre de substrat cylindrique d’émission ; cette intégration peut se faire manuellement ou à l’aide de machine semi-automatique de placement de composants ou à l’aide de machine automatique à très grande vitesse de placement de type « Chip shooter » ou autres ; et

h) Assemblage, par colle ou autres moyens, des trois parties de la barre de substrat cylindrique d’émission (« Q = 1 » et « N= 3 », 800405 et 800406 et 800407, 900405 et 900406 et 900407, 1000405 et 1000406 et 1000407) pour former une seule barre de substrat cylindrique d’émission assemblée et chargée de composants photoniques, à savoir les « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil nominalement identiques à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes et à guidages internes par miroirs (« b = 1 » et « N= 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400) comprenant chacun « N » sous-modules de diffusion (« N = 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400), « N » surfaces filtrantes planes (« N= 3 », 800403, 900403, 1000403) dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « Xt » et « N » lentilles de collimation d’émission (« N= 3 », 800402) ; et

i) Découpe par laser femtoseconde, ou par une autre technique donnant des résultats au moins équivalents, de ladite barre de substrat cylindrique d’émission assemblée et chargée de composants photoniques ; ladite découpe doit être effectuée orthogonalement à la droite génératrice « ôr » de manière à obtenir « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil nominalement identiques à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs dont les bandes spectrales d’émission sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « t ».

82. Méthode de fabrication en série de « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique ou par segment de guide d’onde optique (« N= 3 », 1100400, 1300400) ayant « N » axes principaux de diffusion (« N= 3 », 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; lesdites « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil sont nominalement identiques et chacune d’entre elles est destinée à la construction, par juxtaposition avec d’autres antennes photoniques (« N= 3 » et « tj = lh = j », 1100400 et 1100200, 1300400 et 1300200), d’une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique ayant « M » longueurs d’onde d’émission « ti, / 'AM » et « M » longueurs d’onde de réception « lp, .... /.r\ t » ; ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) étant destinée à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et «Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « N » et « Q » sont trois nombres entiers tels que « M > 2 », « N > 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte au moins les « 10 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « j » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent :

a) Fabrication de « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques nominalement identiques, dont chaque sous-module est constitué d’un substrat contenant d’une part, un écran diffuseur de rayonnements optiques destiné à transformer un faisceau de rayons optiques parallèles incident arrivant orthogonalement à sa surface diffusante en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques vers l’extérieur dudit substrat et d’autre part, une lentille de collimation destinée à transformer une source quasi-ponctuelle de rayonnements optiques placée à son foyer en un faisceau de rayons optiques parallèles arrivant orthogonalement à la surface diffusante dudit écran diffuseur pour être transformé en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques vers l’extérieur dudit substrat ; et

b) Fabrication d’un filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane de longueur « L » et de largeur « l » ayant « Q N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroite et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « lί » ; chacune desdites « Q N » surfaces filtrantes planes est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés ayant une bande passante étroite centrée sur la longueur d’onde d’émission « lί » tout faisceau de rayons optiques parallèles approprié arrivant orthogonalement à sa surface ; le filtre optique doit être de type interférentiel / Fabry-Perrot à largeur de bande passante inférieure à « lOnm » ou « 5nm » ou d’un autre type ayant des caractéristiques nominales au moins équivalentes ; la fabrication dudit filtre optique doit être faite par une technique permettant d’avoir un taux de transmission d’au moins « 90% » telle que la technique appelée « hard coating », à savoir la « Pulvérisation par faisceau d'ions / Ion beam sputtering » ou la « Pulvérisation par plasma » de type « Magnetron sputtering » ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; ladite longueur « L » et ladite largeur « l » doivent être choisies en adéquation avec les nombres entiers « Q » et « N » ; et

c) Fabrication d’une matrice de lentilles de collimation d’émission, constituée de « Q x N » lentilles biconvexes nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes ; chacune desdites « Q x N » lentilles de collimation d’émission est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles non-filtrés l’une des « Q x N » sources de rayonnement optiques pouvant être localisées aux « Q x N » extrémités de couplage photonique d’émission des fibres optiques d’émission afin d’arriver orthogonalement sur l’une desdites « Q x N » surface filtrantes planes ; la matrice de lentilles de collimation d’émission doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de collimation d’émission ; et

d) Fabrication d’une matrice de lentilles de focalisation d’émission, constituée de « Q x N » lentilles biconvexes nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes ; chacune desdites « Q x N » lentilles de focalisation est destinée à transformer en source quasi-ponctuelle de rayonnements optiques filtrés un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés émergent de l’une desdites « Q x N » surfaces filtrantes planes ; la matrice de lentilles de focalisation d’émission, doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de focalisation d’émission ; et

e) Fabrication d’une barre de substrat cylindrique d’émission, ayant la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « l », de droite génératrice « dt » et de longueur égale à ladite longueur « » : la courbe directrice « fëi » doit être définie en adéquation avec le nombre entier « N » ; la barre de substrat cylindrique est destinée à contenir lesdits « Q x N » sous-modules nominalement identiques de collimation et de diffusion de rayonnements optiques, ledit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes, ladite matrice de lentilles de collimation d’émission constituée de « Q x N » lentilles nominalement identiques et ladite matrice de lentilles de focalisation d’émission constituée de « Q x N » lentilles nominalement identiques ; la barre de substrat cylindrique d’émission doit être composée de trois parties séparées de même longueur égale à ladite longueur « L » que l’on peut assembler, par colle ou autres moyens ; la fabrication des trois parties séparées s’effectue par moulage ou autre technique de micro-fabrication, de manière à obtenir :

i) Une première partie comportant d’une part, un emplacement dédié à ladite matrice de lentilles de collimation d’émission, avec des voies de sortie pour les « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger des « Q x N » lentilles de collimation lorsque ladite matrice de lentilles de collimation d’émission sera installée et d’autre part, « Q x N » voies de passage pour l’installation de « Q x N » extrémités de couplage photonique d’émission des fibres optiques d’émission aux « Q x N » foyers desdites lentilles de collimation d’émission de ladite matrice ; lesdites « Q x N » fibres optiques d’émission étant destinées à acheminer les rayonnements non-filtrés issus des « N » photo émetteurs « PHT/t » jusqu’à l’intérieur de ladite première partie ; et

ii) Une deuxième partie comportant d’une part, un emplacement dédié audit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane, avec des voies d’entrée pour les « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger de ladite matrice de lentilles de collimation d’émission lorsque cette dernière sera installée dans ladite première partie et d’autre part, un emplacement dédié à ladite matrice de lentilles de focalisation d’émission, avec des voies de sortie pour les « Q x N » faisceaux de rayon optiques focalisés formés par ladite matrice de lentilles de focalisation d’émission lorsque cette dernière sera installée ; et

iii) Une troisième partie comportant d’une part, « Q x N » emplacements dédiés aux « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques et d’autre part, « Q x N » conduits de rayonnements optiques destinés à la formation de « Q x N » segments de guide d’onde optique internes d’émission, de type segment de fibre optique ou autres types donnant des résultats au moins équivalents, afin d’acheminer les « Q x N » sources quasi- ponctuelles de rayonnements optiques filtrés pouvant être formées sur leurs « Q x N » extrémités d’entrée par ladite matrice de lentilles de focalisation d’émission lorsque cete dernière sera installée dans ladite deuxième partie ; chacun desdits « Q x N » conduits de rayonnements optiques doit être tel que, après assemblages desdites trois parties, son entrée soit en face de ladite deuxième partie et sa sortie soit sur l’un desdits « Q x N » emplacements pour l’installation de « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques ; ladite sortie doit être placée de manière à coïncider avec le foyer de la lentille de collimation de l’un desdits sous-modules de collimation et de diffusion lorsque ce dernier sera installé dans son emplacement ; ladite entrée doit être placée de manière à coïncider avec le foyer d’une lentille de focalisation de ladite matrice de lentilles de focalisation d’émission lorsque cete dernière sera installée dans ladite deuxième partie ; les « Q x N » emplacements dédiés auxdits « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques doivent être tels que ces derniers, une fois installés, puissent former « Q » groupes de sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques comprenant chacun « N » sous-modules de collimation et de diffusion ayant « N » angles solides de diffusion dont les « N » axes principaux de diffusion « Dt/, ... , Dt,n » soient d’une part, coplanaires et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « dt » et d’autre part, pour tout couple d’indices «p » et « q » où «p e {7, ... , N}» et « q e {1, ... , N}», les axes principaux de réception « Dtr » et « Dt^ » ne soient pas parallèles ; lesdits « Q » groupes de sous-modules de collimation et de diffusion, une fois installés, doivent être tels que chaque groupe soit l’image d’un autre groupe par une translation parallèlement à la droite génératrice « dt » ; et f) Intégration de ladite matrice de lentilles de collimation d’émission dans son emplacement dédié localisé dans la première partie de la barre de substrat cylindrique d’émission ; et

g) Intégration dudit filtre optique passe-bande rigide d’émission à surface plane ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « lί » dans son emplacement dédié localisé dans la deuxième partie de la barre de substrat cylindrique d’émission ; et

h) Formation de « Q x N » segments de guide d’onde optique internes d’émission et intégration desdits « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion de rayonnements optiques, dans leurs emplacements dédiés localisés dans la troisième partie de la barre de substrat cylindrique d’émission ; la formation de « Q x N » segments de guide d’onde optique internes d’émission peut se faire par injection dans lesdits « Q x N » conduits d’un polymère de type PMMA ou de matériaux chalcogénure/chalcogenide materials pour la formation de « Q x N » segments de fibre optique internes de guidage d’émission ; en fonction des matériaux utilisés, la formation desdits segments de fibre optique de guidages internes peut se faire en cas de besoin après le dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage pour tapisser l’intérieur de chaque conduit ; alternativement, ladite formation de « Q x N » segments de guide d’onde optique internes d’émission se fait par dépôt à la surface de chacun desdits « Q x N » conduits de rayonnements optiques de matériaux de revêtement donnant des résultats au moins équivalents à ceux desdits segments de fibre optique internes de guidage d’émission ; l’intégration desdits « Q x N » sous-modules de collimation et de diffusion peut se faire manuellement ou à l’aide de machine semi-automatique de placement de composants ou à l’aide de machine automatique à très grande vitesse de placement de type « Chip shooter » ou autres ; et

i) Assemblage, par colle ou autres moyens, des trois parties de la barre de substrat cylindrique d’émission pour former une seule barre de substrat cylindrique d’émission assemblée et chargée de composants photoniques, à savoir les « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil nominalement identiques à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes et à guidages internes par segments de fibre optique ou par segment de guide d’onde optique comprenant chacun « N » sous-modules de collimation et de diffusion, « N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « lί », « N » lentilles de collimation d’émission et « N » lentilles de focalisation d’émission ; et

j) Découpe par laser femtoseconde, ou par une autre technique donnant des résultats au moins équivalents, de ladite barre de substrat cylindrique d’émission assemblée et chargée de composants photoniques ; ladite découpe doit être effectuée orthogonalement à la droite génératrice « ôr » de manière à obtenir « Q » antennes photoniques d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique ou par segments de guide d’onde optique dont les bandes spectrales d’émission sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde d’émission « kt ».

83. Méthode de fabrication en série de « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par miroirs (« N= 3 », 300200, 400200, 500200, 1100200, 1300200) ayant « N » axes principaux de réception (« N = 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; lesdites « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil sont nominalement identiques et chacune d’entre elles est destinée à la construction, par juxtaposition avec d’autres antennes photoniques (« N= 3 » et « tj = lh = j », 1100200 et 1100400, 1300200 et 1300400), d’une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par miroirs (« N= 3 », 300204) ayant « M » longueurs d’onde d’émission « ti, .... /AM » et « M » longueurs d’onde de réception « lp, .... /.r\ / » ; ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) étant destinée à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « N » et « Q » sont trois nombres entiers tels que « M > 2 », « N > 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte au moins les « 9 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « i » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent :

a) Fabrication de « Q xN » sous-modules de concentration et de collimation de rayonnements optiques nominalement identiques (100100, 200100, 300100, 500100), dont chaque sous-module est constitué d’un substrat (100102, 200102) contenant d’une part, un concentrateur (100103, 200103, 300103, 400103) de rayonnements optiques destiné à transformer des rayonnements optiques externes quelconques incidents qui arrivent sur sa surface de réception en une source de rayonnements optiques incidents concentrés (lDbeam, 3Dbeam) localisée à l’intérieur dudit substrat et d’autre part, d’une lentille de collimation de type bille ou autres (100101, 200101, 300101), destiné à transformer ladite source de rayonnements optiques incidents concentrés (lDbeam, 3Dbeam) en un faisceau de rayons optiques parallèles (1EFROP, 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) émergent dudit sous-module ; et

b) Fabrication d’un filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane de longueur « L » et de largeur « l » ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur une même longueur d’onde de réception « Àr » (« Q = 1 » et « N= 3 », 300203, 400203, 500203) ; chacune desdites « Q x N » surfaces filtrantes planes est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés ayant une bande passante étroite centrée sur la longueur d’onde de réception « Àr » tout faisceau de rayons optiques parallèles approprié arrivant orthogonalement à sa surface ; ledit filtre optique doit être de type interférentiel / Fabry-Perrot à largeur de bande passante inférieure à « lOnm » ou « 5nm » ou d’un autre type ayant des caractéristiques nominales au moins équivalentes ; la fabrication des filtres optiques doit être effectuée par une technique permettant d’avoir un taux de transmission supérieur à « 90% » telle que la technique appelée « hard coating », à savoir la « pulvérisation par faisceau d'ions / ion beam sputtering » ou la « pulvérisation par plasma » de type « magnetron sputtering » ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; la longueur « L » et la largeur « l » doivent être choisies en adéquation avec les nombres entiers « Q » et « N » ; et

c) Fabrication d’une matrice de lentilles de focalisation de réception, constituée de « Q x N » lentilles biconvexes nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes (« Q = 1 » et « N = 3 », 300202, 500202) ; chacune des « Q x N » lentilles de focalisation est destinée à transformer en source quasi-ponctuelle de rayonnements (« Q = 1 » et « N = 3 », 3Cbeaml, 3Cbeam2, 3Cbeam3) un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés émergent de l’une desdites « Q x N » surfaces filtrantes planes O 0 = 1 » et « N = 3 », 300203, 400203, 500203) ; chaque matrice de lentilles de focalisation de réception, doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de focalisation de réception ; et

d) Fabrication d’une barre de substrat cylindrique de réception, ayant la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ¾ », de droite génératrice « ÔR » et de longueur égale à ladite longueur « L » ; la courbe directrice « ¾ » doit être choisie en adéquation avec le nombre entier « N » ; la barre de substrat cylindrique de réception est destinée à contenir lesdits « Q x N » sous-modules de concentration et de collimation de rayonnements optiques nominalement identiques, ledit filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane ayant « Q x N» surfaces filtrantes planes et ladite matrice de lentilles de focalisation de réception constituée de « Q x N » lentilles nominalement identiques ; la barre de substrat cylindrique de réception doit être composée de trois parties séparées (« Q = 1 » et « N= 3 », 300205 et 300206 et 300207, 400205 et 400206 et 400207, 500205 et 500206 et 500207) de même longueur égale à la longueur « L » et que l’on peut assembler par colle ou autres moyens donnant des résultats équivalents ; la fabrication des trois parties séparées s’effectue par moulage ou autre technique de micro-fabrication, de manière à obtenir :

i) Une troisième partie (« 0 = 1 » et « N= 3 », 300207, 400207, 500207) comportant d’une part, « Q x N » emplacements dédiés aux « Q x N » sous-modules de concentration et de collimation nominalement identiques (100100, 200100, 300100, 500100) et d’autre part, des emplacements dédiés aux miroirs de guidages internes de réception (« Q = 1 » et « N = 3 », 300204) ayant chacun un taux de réflexion supérieur à « 98% » et des voies de sortie pour les « Q x N» faisceaux de rayons optiques parallèles (« Q = 1 » et « N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) pouvant émerger directement des sous-modules de concentration et de collimation lorsque ces derniers seront installés ou après réflexions successives sur certains desdits miroirs de guidages internes de réception (« Q = 1 » et « N= 3 », 300204) ; les « Q x N » emplacements dédiés aux « Q x N » sous-modules de concentration et de collimation doivent être tels que ces derniers, une fois installés, puissent former « Q » groupes de sous- modules de concentration et de collimation comprenant chacun « N » sous-modules de concentration et de collimation ayant « N » angles solides de réception dont les « N » axes principaux de réception « AR/. ... , AR \ » soient d’une part, coplanaires (« Q = 1 » et « N= 3 », 3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3) et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « ÔR » et d’autre part, pour tout couple d’indices «p » et « q » où «p e {1, ... , N}» et « q e {1, ... , N}», les deux axes principaux de réception « ARP » et « AR(/ » ne soient pas parallèles ; les « Q » groupes de sous- modules de concentration et de collimation, une fois installés, doivent être tels que chaque groupe soit l’image d’un autre groupe par une translation parallèlement à la droite génératrice « 6R » ; les miroirs de guidages internes de réception peuvent être intégrés par dépôt ou pulvérisation et leurs emplacements doivent être tels que pour chacun des « Q » groupes de sous-modules de concentration et de collimation, une fois ces derniers installés, ils pourront acheminer après réflexions successives au moins l’un des « N » faisceaux de rayons optiques parallèles (« Q = 1 » et « N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) pouvant émerger des « N» sous- modules de concentration et de collimation (100100, 200100, 300100, 500100) pour lui permettre d’arriver orthogonalement à la surface de l’une des « N » surfaces filtrantes planes (« 0 = 1 » et « N = 3 », 300203, 400203, 500203) associées lorsque le filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane sera installé dans ladite deuxième partie ; et ii) Une deuxième partie (« Q = 1 » et « N= 3 », 300206, 400206, 500206) comportant d’une part, des voies d’entrée dédiées aux « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles (« b = 1 » et « N= 3 », 3EFROP1, 3EFROP2, 3EFROP3) pouvant émerger directement des sous-modules de concentration et de collimation (100100, 200100, 300100, 500100) lorsque ces derniers seront installés dans la troisième partie ou après réflexions successives sur certains des miroirs de guidages internes de réception (« Q = 1 » et « N= 3 », 300204) de la troisième partie et d’autre part, un emplacement dédié au filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane (« Q = 1 » et « N = 3 », 300203, 400203, 500203), avec des voies de sortie dédiées aux « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger du filtre optique lorsque ce dernier sera installé ; et

iii) Une première partie (« 0 = 1 » et « N = 3 », 300205, 400205, 500205) comportant d’une part, des voies d’entrée dédiées aux « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger du filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane (« Q = 1 » et « N = 3 », 300203, 400203, 500203) lorsque ce dernier sera installé dans la deuxième partie et un emplacement dédié à la matrice de lentilles de focalisation de réception (« Q = 1 » et « N = 3 », 300202, 500202) et d’autre part, « Q x N » voies de passage dédiées à l’installation de « Q x N » extrémités de couplage photonique des fibres optiques de réception (« Q = 1 » et « N = 3 », 300201, 400201, 500201) aux « Q x N » foyers des lentilles de focalisation de réception lorsque la matrice de lentilles de focalisation de réception sera installée ; les « Q x N » fibres optiques de réception étant destinées à l’acheminement des « Q x N » sources quasi-ponctuelles (« Q = 1 » et « N = 3 », 3Cbeaml, 3Cbeam2, 3Cbeam3) formées par ladite matrice de focalisation, une fois installée, jusqu’aux extrémités de couplage optoélectronique pour atteindre des photo-détecteurs situés à l’extérieur dudit substrat cylindrique ; et

e) Intégration des « Q x N » sous-modules de concentration et de collimation nominalement identiques (100100, 200100, 300100, 500100) dans leurs « Q x N » emplacements dédiés localisés dans la troisième partie (« Q = 1 » et « N = 3 », 300207, 400207, 500207) de la barre de substrat cylindrique de réception ; cette intégration peut se faire manuellement ou à l’aide de machine semi- automatique de placement de composants ou à l’aide de machine automatique à très grande vitesse de placement de type « Chip shooter » ou autres ; et

f) Intégration dudit filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « /.r » (« b = 1 » et « N = 3 », 300203, 400203, 500203) dans son emplacement dédié localisé dans la deuxième partie (« Q = 1 » et « N = 3 », 300206, 400206, 500206) de la barre de substrat cylindrique de réception ; et

g) Intégration de la matrice de lentilles de focalisation de réception

(« Q = 1 » et « N = 3 », 300202, 500202) dans son emplacement dédié localisé dans la première partie (« Q = 1 » et « N = 3 », 300205, 400205, 500205) de la barre de substrat cylindrique de réception ; et

h) Assemblage, par colle ou autres moyens donnant des résultats au moins équivalents, des trois parties de la barre de substrat cylindrique de réception (« Q = 1 » et « N= 3 », 300205 et 300206 et 300207, 400205 et 400206 et 400207, 500205 et 500206 et 500207) pour former une seule barre de substrat cylindrique de réception assemblée et chargée de composants photoniques, à savoir les « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil nominalement identiques à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par miroirs (« Q = 1 » et « N = 3 », 300200, 400200, 500200, 1100200, 1300200) comprenant chacun « N » sous- modules de concentration et de collimation (« Q = 1 » et « N = 3 ». 300100, 500100), « N » surfaces filtrantes planes (« Q = 1 » et « N= 3 », 300203, 400203, 500203) dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « r » et « N » lentilles de focalisation de réception (« Q = 1 » et « N= 3 », 300202, 500202) ; et

i) Découpe par laser femtoseconde, ou par une autre technique donnant des résultats au moins équivalents, de ladite barre de substrat cylindrique de réception assemblée et chargée de composants photoniques ; ladite découpe doit être effectuée orthogonalement à la droite génératrice « ÔR » de manière à obtenir « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil nominalement identiques, à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par miroirs dont les bandes passantes de réception sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « l r ».

84. Méthode de fabrication en série de « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique (« N= 3 », 1100200, 1300200) ayant « /V » axes principaux de réception (« N = 3 ». 1 1 DIR 1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N = 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; lesdites « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil sont nominalement identiques et chacune d’entre elles est destinée à la construction, par juxtaposition avec d’autres antennes photoniques (« N = 3 » et « l¾ = lh = j », 1100200 et 1100400, 1300200 et 1300400), d’une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique ayant «M » longueurs d’onde d’émission « Xti, . . . , XtM » et « M » longueurs d’onde de réception « Xri, Xr\ t » ; ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) étant destinée à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « /V » et « Q » sont trois nombres entiers tels que « M > 2 ». « N > 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte au moins les « 9 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « i » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent :

a) Fabrication d’un filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane de longueur « L » et de largeur « l » ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « Xr » chacune des « Q x N » surfaces filtrantes planes est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles filtrés ayant une bande passante étroite centrée sur la longueur d’onde de réception « Xr » tout faisceau de rayons optiques parallèles approprié arrivant orthogonalement à sa surface ; le filtre optique doit être de type interférentiel / Fabry-Perrot à largeur de bande passante inférieure à « lOnm » ou « 5nm » ou d’un autre type ayant des caractéristiques nominales au moins équivalentes ; la fabrication du filtre optique doit être faite par une technique permettant d’avoir un taux de transmission d’au moins « 90% » telle que la technique appelée « hard coating », à savoir la « Pulvérisation par faisceau d'ions / Ion beam sputtering » ou la « Pulvérisation par plasma » de type « Magnetron sputtering » ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; ladite longueur « L » et ladite largeur « l » doivent être choisies en adéquation avec les nombres entiers « Q » et « N » ; et

b) Fabrication d’une matrice de lentilles de collimation de réception, constituée de « Q x N » lentilles nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes ; chacune des « Q x N » lentilles de collimation de réception est destinée à transformer en un faisceau de rayons optiques parallèles non-filtrés l’une des « Q x N » source de rayonnements optiques incidents concentrés que pourront former « Q x N » concentrateurs de rayonnement optiques et acheminées par leurs prolongements par « Q x N » segments de fibre optique de guidages internes de réception ; la matrice de lentilles de collimation de réception, doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de collimation de réception ; et

c) Fabrication d’une matrice de lentilles de focalisation de réception, constituée de « Q x N » lentilles nominalement identiques de type bille ou autres, réparties en « Q » colonnes et « N » lignes ; chacune des « Q x N » lentilles de focalisation pour la réception est destinée à transformer en une source quasi- ponctuelle de rayonnements optiques concentrés et filtrés un faisceau de rayons optiques parallèles filtré pouvant émerger de l’une des « Q x N » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « /.r » ; la matrice de lentilles de focalisation de réception, doit être formée sur un support rigide de longueur et de largeur égales respectivement à ladite longueur « L » et ladite largeur « l » et de faible épaisseur par rapport aux dimensions desdites lentilles de focalisation de réception ; et

d) Fabrication d’une barre de substrat cylindrique de réception ayant la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ¾ », de droite génératrice « ÔR » et de longueur égale à la longueur « L » ; la courbe directrice « & R » doit être définie en adéquation avec le nombre entier « N » ; la barre de substrat cylindrique de réception est destinée à contenir le filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane ayant « Q x N » surfaces filtrantes planes, la matrice de lentilles de collimation de réception ayant « Q x N » lentilles nominalement identiques et la matrice de lentilles de focalisation de réception ayant « Q x N » lentilles nominalement identiques ; la barre de substrat cylindrique de réception doit être composée de trois parties séparées de même longueur égale à la longueur « L » et que l’on peut assembler par colle ou autres moyens donnant des résultats au moins équivalents ; la fabrication des trois parties séparées s’effectue par moulage ou autre technique de micro-fabrication, de manière à obtenir :

i) Une troisième partie comportant « Q x N » cavités nominalement identiques ayant chacune un conduit de rayonnements optiques, pour la formation par moulage/injection de « Q x N » concentrateurs de rayonnement optiques et leurs prolongements par « Q x N » segments de fibre optique de guidages internes de réception destinés à acheminer les « Q x N » source de rayonnements optiques incidents concentrés que pourront former les concentrateurs de rayonnement optiques jusqu’aux foyers des « Q x N » lentilles de la matrices de lentilles de collimation de réception lorsque cette dernière sera installée dans la deuxième partie ; chacun des « Q x N » conduits de rayonnements optiques doit être tel que, après assemblage des trois parties, son extrémité de sortie soit en face de la deuxième partie ; l’extrémité de sortie doit être placée de manière à coïncider avec le foyer de l’une des « Q x N » lentilles de la matrice de lentilles de collimation de réception lorsque cette dernière sera installée dans la deuxième partie ; les « Q x N » cavités nominalement identiques pour la formation par moulage/injection de « Q x N » concentrateurs de rayonnement optiques doivent être telles que ces derniers, une fois injectés/moulés, puissent former « Q » groupes de concentrateurs de rayonnement optiques comprenant chacun « N » concentrateurs ayant « N » angles solides de réception dont les « N » axes principaux de réception « ARI. AR,V » soient d’une part, coplanaires et le plan les contenant orthogonal à la droite génératrice « ÔR » et d’autre part, pour tout couple d’indices « p » et « q » où «p e {1, ... , N}» et « q e {7, ... , N}», \es axes principaux de réception « ARP » et « AR q » ne soient pas parallèles ; les « Q » groupes de concentrateurs de rayonnement optiques, une fois formés, doivent être tels que chaque groupe soit l’image d’un autre groupe par une translation parallèlement à la droite génératrice « 6R » ; et

ii) Une deuxième partie comportant d’une part, des voies d’entrée pour les rayonnements optiques issus des « Q x N » sources de rayonnements optiques incidents concentrés qui seront localisées aux extrémités de sortie des « Q x N » segments de fibre optique de guidages internes de réception de la troisième partie lorsque ces derniers seront formés par moulage/injection et un emplacement pour la matrice de lentilles de collimation de réception et d’autre part, un emplacement dédié au filtre optique passe-bandes de réception avec des voies d’entrée dédiées aux « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger de la matrice de lentilles de collimation de réception, lorsque cette dernière sera installée ; et iii) Une première partie comportant d’une part, des voies d’entrée dédiées aux « Q x N » faisceaux de rayons optiques parallèles pouvant émerger du filtre optique de réception lorsque ce dernier sera installé dans la deuxième partie et un emplacement dédié à la matrice de lentilles de focalisation de réception, avec des voies de sortie dédiées aux « Q xN » faisceaux de rayons optiques focalisés pouvant émerger de cette dernière lorsqu’elle sera installée et d’autre part, « Q xN » voies de passage dédiées à l’installation des « Q xN » extrémités de couplage photonique des fibres optiques de réception aux « Q xN » foyers des lentilles de focalisation de réception lorsque la matrice de lentilles de focalisation de réception sera installée ; les « Q xN » fibres optiques de réception étant destinées à l’acheminement des « Q xN » sources quasi-ponctuelles formées par la matrice de focalisation pour la réception, une fois installée, jusqu’aux extrémités de couplage optoélectronique pour atteindre les photo-détecteurs situés à l’extérieur dudit substrat cylindrique ; et

e) Formation dans la troisième partie de la barre de substrat cylindrique de réception de « Q xN » concentrateurs de rayonnement optiques et de « Q x N » segments de fibre optique de réception les prolongeant ; ladite formation peut se faire par moulage/injection d’un polymère de type PMMA ou de matériaux chalcogénure/Chalcogenide materials dans les « Q xN » cavités identiques et les « Q xN » conduits de rayonnements optiques les prolongeant ; en fonction des matériaux utilisés, ladite formation peut se faire en cas de besoin après le dépôt d’une Couche Diélectrique de Gainage pour tapisser l’intérieur de chaque cavité et conduit ; et

f) Intégration de la matrice de lentilles de collimation de réception et du filtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane dans leurs emplacements dédiés localisés dans la deuxième partie de la barre de substrat cylindrique de réception ; et

g) Intégration de la matrice de lentilles de focalisation de réception dans son emplacement dédié localisé dans la première partie de la barre de substrat cylindrique de réception ; et

h) Assemblage, par colle ou autres moyens donnant des résultats équivalents, des trois parties de la barre de substrat cylindrique pour former une seule barre de substrat cylindrique de réception assemblée et chargée de composants photoniques, à savoir :

i) Les « Q x N » concentrateurs de rayonnement optiques et leurs prolongements par « Q xN » segments de fibre optique de guidages internes de réception ; et ii) La matrice de lentilles de collimation de réception constituée de « Q xN » lentilles nominalement identiques ; et

iii) Le fdtre optique passe-bande rigide de réception à surface plane ayant « Q xN » surfaces filtrantes planes dont les bandes passantes sont étroites et centrées sur la même longueur d’onde de réception « /.r » ; et

iv) La matrice de lentilles de focalisation de réception constituée de « Q xN » lentilles nominalement identiques ; et

i) Découpe par laser femtoseconde, ou par une autre technique donnant des résultats au moins équivalents, de la barre de substrat cylindrique de réception assemblée et chargée de composants photoniques ; la découpe doit être effectuée orthogonalement à la droite génératrice « ÔR » de manière à obtenir « Q » antennes photoniques de réception par optique sans fil nominalement identiques à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique.

85. Méthode de fabrication en série de « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et filtres optiques internes de réception et à guidages internes d’émission et de réception par miroirs ; lesdits « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) sont nominalement identiques, ayant chacun «M» longueurs

... , M}» ; chacune desdites « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples est destinée à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « N » et « Q » sont des nombres entiers tels que « M > 2 »,

« N > 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte les « 4 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « d » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent :

a) Fabrication de « Q xM » antennes photoniques d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs (« N = 3 », 800400, 900400, 1000400, 1100400, 1300400) ayant « N » axes principaux de diffusion (cf. méthode de fabrication en série, revendication 81), en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde d’émission « lίh » parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, .... Xtr\ / ». fabriquer « Q » modules photoniques élémentaires nominalement identiques d’émission de signaux par optique sans fil ayant une longueur d’onde d’émission « Xt = Xtr/ » ; et

ii) Quel que soit la longueur d’onde d’émission « lίh », il faut utiliser la même courbe directrice «f^T= ^TR » et la même droite génératrice « dt = ÔTR » pour fabriquer ladite barre de substrat cylindrique d’émission ; et b) Fabrication de « Q xM» antennes photoniques de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par miroirs (« N= 3 », 300200, 400200, 500200, 1100200, 1300200) ayant « N » axes principaux de réception (cf. méthode de fabrication en série, revendication 83), en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde de réception « lίh » parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « tri, ... , XtrM », fabriquer « Q » modules photoniques élémentaires nominalement identiques de réception de signaux par optique sans fil ayant une longueur d’onde de réception « Xr = Cίh » ; et

ii) Quel que soit la longueur d’onde de réception « Xtrj », il faut utiliser la même courbe directrice « = <X TR » et la même droite génératrice « ÔR = ÔTR » pour fabriquer ladite barre de substrat cylindrique de réception ; et c) Formation de « Q xM» antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission et de réception avec filtre optique interne d’émission et filtre optique interne de réception et à guidages internes d’émission et de réception par miroirs, par juxtaposition en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde de réception « Cίh » parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, .... Xtr\ / ». assembler par collage ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents une antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par miroirs de l’alinéa « a » ayant une longueur d’onde d’émission « Xt = lίh » et une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par miroirs de l’alinéa « b » ayant une longueur d’onde de réception « Xr = lίh » ; et

ii) L’assemblage de ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil et ladite antenne photonique de réception par optique sans fil doit être exécuté en les disposant de manière à ce que ladite antenne photonique d’émission et de réception résultant dudit assemblage ait un substrat de la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ^ TR » et de droite génératrice « ÔTR » ; et d) Formation de « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et filtres optiques internes de réception et à guidages internes d’émission et de réception par miroirs, ayant « M» longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, ... , X ÎTM » ; ladite formation est à réaliser par juxtaposition, en procédant de la manière suivante :

i) Répartition desdits « Q xM » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil en « Q » groupes nominalement identiques, dont chaque groupe est composé de « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil dont l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception est égal à l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception « {Xtri, ... , CITM}» ; et

ii) Pour chacun desdits « Q » groupes nominalement identiques, assemblage par colle, ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents, des « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil dont l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception est égal à l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception « {Xtri, ... , CITM}» ; et iii) Pour chacun desdits « Q » groupes nominalement identiques, ledit assemblage des « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil doit être exécuté de manière à ce que ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples résultant dudit assemblage ait un substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples de la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ^ TR » et de droite génératrice « ÔTR ».

86. Méthode de fabrication en série de « Q » matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « M x N » angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et filtres optiques internes de réception et à guidages internes d’émission et de réception par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique ; lesdits « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix-ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER) sont nominalement identiques, ayant chacun « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « lίp, ... , lίTM », « M x N » axes principaux de diffusion « Dt/ , ... , DT/. » (« N= 3 », 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N = 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) et « Mx N» axes principaux de réception « D . AR/JV » (« N = 3 », 11DIR1 à 11DIR3, 13DIR1 à 13DIR3 ; « N= 5 », 17DIR1 à 17DIR5 ; « N= 7 », 18DIR1 à 18DIR7) ; «; e {i, ... , M}» ; chacune desdites « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples est destinée à la réalisation d’un dispositif de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, ayant plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible et « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; « M », « N » et « Q » sont des nombres entiers tels que « M > 2 », « N > 2 » et « Q > 1 » ; Ladite méthode de fabrication en série est caractérisée en ce qu’elle comporte les « 4 » principales étapes suivantes de l’alinéa « a » à « d » ou un autre ensemble d’étapes donnant un résultat final équivalent :

a) Fabrication de « Q x M » antennes photoniques d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtre optique interne d’émission et à guidages internes d’émission par segments de fibre optique ou par segment de guide d’onde optique (« N= 3 », 1100400, 1300400) ayant « N » axes principaux de diffusion (cf. méthode de fabrication en série, revendication 82), en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde d’émission « lίh » parmi les « M» longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, .... Xtr\ / ». fabriquer « Q » modules photoniques élémentaires nominalement identiques d’émission de signaux par optique sans fil ayant une longueur d’onde d’émission « Xt = lίh » ; et

ii) Quel que soit la longueur d’onde d’émission « lίh », il faut utiliser la même courbe directrice « X l = fêiR » et la même droite génératrice « dt = ÔTR » pour fabriquer ladite barre de substrat cylindrique d’émission ; et b) Fabrication de « Q x M » antennes photoniques de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par segments de fibre optique (« N= 3 », 1100200, 1300200) ayant « /V » axes principaux de réception (cf. méthode de fabrication en série, revendication 84), en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde de réception « Xtrj » parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, ... , XtrM », fabriquer « Q » modules photoniques élémentaires nominalement identiques de réception de signaux par optique sans fil ayant une longueur d’onde de réception « Xr = Xtrj » ; et ii) Quel que soit la longueur d’onde de réception « X trj », il faut utiliser la même courbe directrice « cë>R= 9 fTR » et la même droite génératrice « ÔR = ÔTR » pour fabriquer ladite barre de substrat cylindrique de réception ; et c) Formation de « Q M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission et de réception avec filtre optique interne d’émission et filtre optique interne de réception et à guidages internes d’émission et de réception par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique, par juxtaposition en procédant de la manière suivante :

i) Pour chaque longueur d’onde de réception « X trj » parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « Xtri, . . . , CITM », assembler par collage ou autres techniques dormant des résultats au moins équivalents une antenne photonique d’émission par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire d’émission avec filtres optiques internes d’émission et à guidages internes d’émission par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique de l’alinéa « a » ayant une longueur d’onde d’émission « lί = /.ίh » et une antenne photonique de réception par optique sans fil à substrat cylindrique élémentaire de réception avec filtre optique interne de réception et à guidages internes de réception par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique de l’alinéa « b » ayant une longueur d’onde de réception « r = lίh » ; et

ii) L’assemblage de ladite antenne photonique d’émission par optique sans fil et ladite antenne photonique de réception par optique sans fil doit être exécuté en les disposant de manière à ce que ladite antenne photonique d’émission et de réception résultant dudit assemblage ait un substrat de la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « ?" TR » et de droite génératrice « ÔTR » ; et d) Formation de « Q » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « M x N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques, et à substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples avec filtres optiques internes d’émission et filtres optiques internes de réception et à guidages internes d’émission et de réception par segments de guide d’onde optique ou segments de fibre optique, ayant « M» longueurs d’onde d’émission et de réception « l tri, trM » ; ladite formation est à réaliser par juxtaposition, en procédant de la manière suivante :

i) Répartition desdits « Q M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil en « Q » groupes nominalement identiques, dont chaque groupe est composé de « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil dont l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception est égal à l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception « {Àtri, ... , lΐTM }» ; et

ii) Pour chacun desdits « Q » groupes nominalement identiques, assemblage par colle ou autres techniques donnant des résultats au moins équivalents des « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil dont l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception est égal à l’ensemble des longueurs d’onde d’émission et de réception « {l tri, ... , l trjyt}» ; et

iii) Pour chacun desdits « Q » groupes techniques identiques, ledit assemblage des « M » antennes photoniques d’émission et réception par optique sans fil doit être exécuté de manière à ce que ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples résultant dudit assemblage ait un substrat cylindrique d’émission et de réception à groupes de cavités multiples de la forme d’un segment de cylindre de courbe directrice « TR » et de droite génératrice « ÔTR ».

87. Terminal mobile ou portable ou stationnaire, ou serveur, ou autre appareil ayant des composants électroniques, ou boîtier dédié, dénommé ci-après "appareil « TAEBD »", comportant des moyens de communications par optique sans fil disposant de plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible ; ledit appareil « TAEBD » est caractérisé en ce que lesdits moyens de communications par optique sans fil comprennent :

a) « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples (cf. revendication 40), dont chacun possède une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques et « M» longueurs d’onde d’émission et de réception

« /.//·; . /.//· / » (« trj = j », « N= 3 », llMatrix-ER,

12Matrix-ER, 13Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix- ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2 ; « N = 5 », 17Matrix-ER ; « N = 7 », 18Matrix-ER) où « M » et « N » sont des nombres entiers tels que « M > 2 » et « N > 2 » ; « L » est un nombre entier qui dépend de la forme dudit appareil « TAEBD » et « Z > 2 » ; et :

i) Les « Z » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, desdits « Z » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples sont intégrées à proximité ou à la surface dudit appareil « TAEBD » ; et

ii) Lesdites « Z » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples sont réparties de manière à ce que si un observateur, situé à une distance comprise entre « Z>Mm = 0.50m » et « Z>Max = 5m » dudit appareil « TAEBD », peut voir ce dernier alors ledit observateur verra aussi en même temps au moins l’une desdites « Z » matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples (« Z = 4 » et « N= 3 » : 19Mob-Terminal-Housing, 19Matrix- ER1, 19Matrix-ER2-Partl, 19Matrix-ER2-Part2, 19Matrix-ER3, 19Matrix-ER4- Partl, 19Matrix-ER4-Part2 ; 20Mob-Terminal-Housing ; 21Mob-Terminal ; 22Mob-Terminal, 22Matrix-ERl, 22Matrix-ER2-Partl, 22Matrix-ER2- Part2, 22Matrix-ER3, 22Matrix-ER4-Partl, 22Matrix-ER4-Part2 ; 30Mob- Terminal , 30Matrix-ERl, 30Matrix-ER4-Partl, 30Matrix-ER4-Part2 ; « Z = 6 » et « N= 7 » : 23Large-Flat-Screen, 23Matrix-ERl-23Matrix-ER6, 24Large-Flat- Screen, 24Matrix-ERl-24Matrix-ER2 ; « L = 12 » et « N= 5 » : 25Hifi-

Loudspeaker, 25Matrix-ERl-25Matrix-ERl2, 26Hifi-Loudspeaker, 26Matrix- ER3-26Matrix-ER6, 27PC-Workstation, 27Matrix-ERl-27Matrix-ERl2, 28PC- Workstation, 28Matrix-ERl-28Matrix-ERl2, 29PC-Workstation, 29Matrix-ER3, 29Matrix-ER7) ; lesdits « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples sont désignés ci-après par « Üh Rx,· » où « / » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , L} » ; et

b) Des moyens de sélection des dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples permettant sur requête d’autoriser l’usage pour l’émission et la réception des signaux par optique sans fil de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « L » dispositifs «{ âh Rx, , ... , ^TR ^}» et de bloquer l’usage du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous- ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; et c) Des moyens de gestion des « Z » Générateurs « GPIRC » des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides appartenant aux « Z » dispositifs « { JSh Rx, . .... ilh Rx, [ ». permettant périodiquement suivant une période instantanée préalablement établies, en concordance avec lesdites périodes instantanées « D/L£¾[T] » des « Z » Générateurs « GPIRC », de :

i) Mutualiser les ressources desdits « Z » Générateurs et coordonner leurs activités ; et

ii) Définir et envoyer des requêtes appropriées à mettre instantanément en œuvre par lesdits moyens de sélection des dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples, sur la base des résultats desdites analyses des données contenues à un instant « T » dans les Mémoires Double Accès des « Z » Détecteurs de Balises appartenant aux « Z » dispositifs « Üh Rxx , ... , i^TRx, » ; les moyens de gestion des « Z » Générateurs des Périodes Instantanées de Signalisation, des Périodes Instantanées de Détection et des Requêtes de Choix de longueurs d’onde et d’ angles solides sont dénommés ci-après " Module de Gestion des Générateurs des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides " ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Module de Gestion des Générateurs « GPIRC »" ; ladite période instantanée préalablement établie, en concordance avec les périodes instantanées « / ÎREQ\T\ » desdits « L » Générateurs, est désignée ci-après par « AÎGG [T] ».

88. Appareil « TAEBD» de type mobile ou autre, comportant des moyens de communications par optique sans fil disposant de plusieurs longueurs d’onde d’émission et de plusieurs longueurs d’onde de réception dans le domaine de l’infrarouge et/ou du visible selon la revendication 87 ; ledit appareil « TAEBD » est désigné ci-après par « TAEBDx » et il est dans un contexte où il est connecté par optique sans fil à « R » autres appareils similaires, désignés ci-après par « TAEBDz. , TAEBDZ/ ». ayant chacun « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples (cf. revendication 40) ; chacun desdits « L » dispositifs de communications possède une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant «MxN» angles solides de diffusion de rayonnements optiques et «Mx N» angles solides de réception de rayonnements optiques ; lesdites matrices disposent toutes des mêmes « M» longueurs d’onde d’émission et de réception « lίh, /.tr\i » ; les « R + 1 » appareils « TAEBDx, TAEBDz J, ... , TAEBDz. « » sont localisés dans un environnement ayant « E » autres appareils similaires en activité situés à proximité, désignés ci-après par « TAEBDs.7, .... TAEBDs./·. » auxquels ils ne sont pas connectés ; « M », « N », « R » et « E » sont des nombres entiers tels que « M > 2 », « N > 2 », « R > 1 » et « E > 0 » ; « Z » est un nombre entier qui dépend de la forme dudit appareil « TAEBDx » et « Z > 2 » ; ; « r » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ..., R}» ; Ledit appareil « TAEBDx» est caractérisé en ce que ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC » des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides, comporte de moyens utilisant un algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil permettant de chercher à rendre à tout instant « T » les communications par optique sans fil entre tout couple d’appareils « [TAEBDx et TAEBDz.r] » : - (a) adaptées aux positions à l’instant « T » des uns par rapport aux autres des « R + 1 » appareils « TAEBDx, TAEBDz J, ... , TAEBDz. « » et des « E » appareils similaires « TAEBDs J, ..., TAEBDs. E » ; - (b) adaptées aux vitesses de mouvement desdits appareils ; - (c) adaptées aux autres Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception à l’instant « T », fournis par lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres (cf. revendication 1, alinéa « g ») appartenant audit appareil « TAEBDx », à savoir le sous-ensemble des longueurs d’ondes en service, les sous-ensembles des angles solides de diffusions et/ou de réception en en service aux « R » appareils « TAEBDz , ... , TAEBDZ.J? » et/ou aux « E » appareils « TAEBDs , ... , TAEBDS E » ; Un appareil « TAEBDx » de type mobile ou autre, comportant des moyens utilisant ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil est dénommé ci-après "appareil « TAEBDx » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde" ou en abrégé "appareil « TAEBDx » à réseau d’antennes photoniques adaptatif APDLO" ; Explicitement, ledit algorithme d’optimisation permet de chercher à déterminer périodiquement, suivant ladite période instantanée « AÎGG [T] » (cf. revendication 87) périodiquement mise à jour et en concordance avec lesdits « R » appareils « TAEBDz.t, ... , TAEBDZ.J? » et lesdits « E » appareils « TAEBDsJ, ... , TAEBDS.E », pour chaque couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.r] » les éléments à utiliser entre un instant « T » et Y instant « T + AÎGG [T] » pour avoir des communications optimisées par optique sans fil, à savoir :

a) Un couple approprié de dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples

« [ ^TRx7r , ^TRz.rv ] » dont l’usage pourrait permettre d’avoir des communications de qualité optimale ; « z » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ..

«{ Î TRXj, ... , Üh RX, }» est l’ensemble des « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples appartenant à l’appareil « TAEBDx » ; » est un indice de numérotation

et est

l’ensemble des « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples appartenant à l’appareil « TAEBDz.r » ; et

b) Une longueur d’onde appropriée ou un couple de longueurs d’ondes appropriées dont l’usage par ledit couple de dispositifs « [ &TRX7 , Üh Rx.r.. ] » pourrait permettre d’avoir des communications par optique sans fil entre ledit couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.r] » sans interférence optique avec des signaux de communications par optique sans fil entre d’autres couples d’appareils formés à partir de l’ensemble « TAEBDx, TAEBD/ /. ... , TAEBD/.« » ou entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDsJ, ... , TAEBDS.E·} » ; explicitement, il s’agit de :

i) Une seule longueur d’onde appropriée « /Ji zr » à la fois d’émission et de réception des signaux par optique sans fil parmi les « M» longueurs d’onde d’émission et de réception « tri, ÎTM » ; » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « { /. ... , M}» ; ou

ii) Un couple de longueurs d’ondes appropriées d’émission et de réception des signaux par optique sans fil dont le premier élément est une longueur d’onde d’émission parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « l tri, tm » et le deuxième élément une longueur d’onde de réception parmi les « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « lίh, .... /.IGM » : ledit couple de longueurs d’ondes étant relatif audit dispositif « ϋu¾c7G » et celui qui est relatif audit dispositif « ξTR z.r » s’en déduit par permutation ; le couple de longueurs d’ondes relatif audit dispositif « i¾TRxzr » est désigné ci-après par

« \/-H x zr , l trR x zr ] » et celui qui est relatif audit dispositif « i§h'Rx.rx » étant le permuté « » est un indice de numérotation

appartenant à l’ensemble « {1, ; « k.c./c^ » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , M}» ; et

c) Deux couples d angles solides appropriés dont l’usage par ledit couple de dispositifs « [i¾TRxzr , i§h'Rx./' | » avec ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « trx zr » ou avec ledit couple de longueurs d’ondes x \/ i x Zl. . / rR x Zl. | » et son permuté ledit couple de longueurs d’ondes

« |/-/r[i X 7l. , /-/rT X Zl. ] », permet de :

i) Obtenir des communications par optique sans fil par vue- directe/line-of-sight dont, d’une part, le nombre des angles solides de diffusion et le nombre des angles solides de réception relatifs audit dispositif « » sont

réduits chacun à « 1 » au lieu des « N » angles solides pour chacun d’entre eux qui sont associés à ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « trx zr » ou audit couple de longueurs d’ondes « |/./rT x 7r . /.trK x 7r | », et d’autre part, le nombre des angles solides de diffusion et le nombre des angles solides de réception relatifs audit dispositif « i¾TRz.rx » sont réduits chacun à « 1 » au lieu des « N » pour chacun d’entre eux qui sont associés à ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « trx zr » ou audit couple de longueurs d’ondes

« \/-irK x zr , /./rT X zr ] », le permuté de celui relatif audit dispositif « Ü^TR zr » ; i.e. les signaux de communications par optique sans fil entre le couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.r] » sont confinés uniquement dans la région de l’espace qui, entre un instant « T » et Y instant « T + D/GG [T] », est formée par l’union ensembliste desdits deux couples Sangles solides et délimitée par la portée maximale des signaux échangés ou le cas échéant par des obstacles ; et

ii) Ne pas interférer optiquement dans les communications par optique sans fil entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDs. /. ... , TA EBD.S.EJ » même si ces derniers utilisent ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « l tr lx » ou ledit couple de longueurs d’ondes « |/./rT x 7x . /.trR x 7x | » et son permuté

iii) Ne pas laisser interférer optiquement les communications par optique sans fil entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDs. /. ... , TAEBD.S.E} » dans les communications par optique sans fil entre ledit couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.r] ».

89. Appareil « TAEBD » de type mobile ou autre, à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon la revendication 88 désigné ci-après par « TAEBDx », dont ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC » des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens d’émission et de réception de signaux par RF pouvant :

a) Se mettre instantanément en service, automatiquement ou sur requête envoyée par ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC », en cas d’anomalie dans l’émission et/ou la réception de signaux par optique sans fil pour assurer la continuité de l’émission et/ou de la réception des signaux par RF, sans interrompre le cas échéant une communication en cours ; lesdites anomalies étant l’une des suivantes :

i) Pour un couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.</] » interconnecté, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, après une ou plusieurs tentatives entre un instant « T » et Yinstant ient pas à identifier un couple approprié de dispositifs dont l’usage entre Yinstant « T » et Yinstant t permettre d’avoir des communications de qualité optimale entre ledit couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.</] » ; ou

ii) Pour un couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.</] » interconnecté, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, bien qu’ayant identifié entre un instant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] un couple approprié de dispositifs « [ ξTRX7. , iSh Rx./\. ] », ne parvient pas identifier après une ou plusieurs tentatives entre Yinstant « T » et Yinstant

« T + D/GG [T] » une longueur d’onde appropriée « l tr » à la fois d’émission et de réception des signaux par optique sans fil ou un couple de longueurs d’ondes appropriées « [/l/rTJÎ Zr , /l/rRJÎ Zr ] » d’émission et de réception des signaux par optique sans fil dont l’usage entre Yinstant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] » par ledit couple de dispositifs « | Üh RxZl. , Jlh Rx./y ] » pourrait permettre d’avoir des communications par optique sans fil entre ledit couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBD/x/ l » sans interférence optique avec des signaux de communications par optique sans fil entre d’autres appareils similaires ; ou

iii) Pour un couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBDz.</] » interconnecté, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, bien qu’ayant identifié entre un instant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] un couple approprié de dispositifs « | Üh Rx7. , Üh Rx./x ] » et une longueur d’onde appropriée « /l/rx zr » ou un couple de longueurs d’ondes appropriées « \/-H x Zl. , /.trR x 7r ] », ne parvient pas à identifier deux couples & angles solides dont l’usage entre un Yinstant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] » par ledit couple de dispositifs « [i^TRx , Üh Rx./x | » avec ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « /l/rx zr » ou avec ledit couple de longueurs d’ondes « \/-H x 7r . /.trR x 7r | « permet d’avoir des communications par optique sans fil entre le couple d’appareils « [TAEBDx, TAEBD/ */ 1 » par vue-directe/line-of- sight ; et

b) Se mettre instantanément à l’arrêt, automatiquement ou sur requête envoyée par ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC », dès que ladite anomalie est résolue ; lesdits moyens d’émission et de réception de signaux par RF sont dénommés ci-après "Module de Communications d’Appoint par RF".

90. Appareil « TAEBD» de type mobile ou autre, à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon l’une quelconque des revendications 88 à 89, dont ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC » des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des angles solides est caractérisé en ce qu’il dispose de moyens utilisant un algorithme permettant d’effectuer des sauts de longueurs d’ondes par des permutations, au sens mathématique du terme, des longueurs d’onde d’émission et par des permutations des longueurs d’onde de réception, afin de :

a) Supprimer les interférences optiques inter-symboles « Optical Inter-

Symbol Interférence / ISI » pour réduire le Bit Errer Rate / BER dans les communications par optique sans fil, selon les techniques telles que « All-Optical Orthogonal Frequency-Division Multiplexing / AO-OFDM », « All-Optical

Orthogonal Frequency-Division Multiple Access / AO-OFDMA » et « All-Optical Coded Orthogonal Frequency-Division Multiplexing / AO-COFDM » ou d’autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; et/ou

b) Etaler le spectre optique d’émission des rayonnements optiques, pour augmenter substantiellement la protection contre les risques d’interceptions malveillantes en internes des données véhiculées par des signaux de communications par optique sans fil dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant.

91. Appareil « TAEBD » de type mobile ou autre, à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon l’une quelconque des revendications 88 à 90, caractérisé en ce que ledit Module de Communications d’Appoint par RF comporte des moyens étendus permettant de rendre ledit appareil « TAEBD » capable de communiquer par RF via un réseau cellulaire de téléphonie mobile par RF de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G » et leurs évolutions futures ou autres réseaux.

92. Appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon l’une quelconque des revendications 88 à 91, destiné à être installé au sommet d’une baie/armoire pour data center ; ladite baie/armoire contient des serveurs au format rack/rack server ou au format lame /blade server ou autres formats appropriés ; le boîtier dudit appareil « TAEBD » est de la forme d’un segment de cylindre droit dont la courbe directrice « est un cercle et la droite génératrice « d » étant orthogonale au plan contenant le cercle « ^ », i.e. ledit boîtier est cylindrique circulaire ; les « L » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples desdits « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples (cf. revendication 87, alinéa « a ») sont réparties d’une part, à la surface latérale dudit boîtier cylindrique de manière à ce que leurs droites génératrices soient parallèles à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire et d’autre part, à la surface d’au moins une des deux bases circulaires de manière à ce que leurs droites génératrices soient orthogonales audit axe de symétrie ; « L » est un nombre entier qui dépend de la forme dudit appareil « TAEBD » et « L > 2 » ; ledit appareil « TAEBD » est caractérisé en ce que : a) Au moins « 1 » matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, parmi celles qui sont à la surface latérale dudit boîtier cylindrique circulaire, est installée sur un support mobile lui permettant d’effectuer des déplacements rectilignes parallèlement à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire et des déplacements angulaires par rapport audit axe de symétrie ; et

b) La course du déplacement angulaire dudit support mobile par rapport à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire n’est pas bornée ; et

c) La course du déplacement rectiligne dudit support mobile parallèlement à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire est telle que ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples qui est fixée sur ledit support mobile peut être positionnée entre deux positions extrêmes dont Tune est telle que ladite matrice d’antennes photoniques est au-dessus du sommet dudit boîtier cylindrique circulaire et l’autre est telle qu’elle est en dessous.

93. Appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde destiné à être installé au sommet d’une baie /armoire pour data center selon la revendication 92, caractérisé en ce que : a) Ledit support mobile sur lequel est installée ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples comporte des moyens de déplacement angulaire par rapport à un axe lié audit support mobile et parallèle à l’axe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire, permettant à ladite matrice d’antennes photoniques d’effectuer des mouvements angulaires par rapport audit axe hé au support mobile et parallèle à l’axe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire ; et

b) La course du déplacement angulaire dudit support mobile par rapport à l’axe lié audit support mobile et parallèle à l’axe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire n’est pas bornée.

94. Appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde destiné à être installé au sommet d’une baie /armoire pour data center selon l’une quelconque des revendications 92 à 93, caractérisé en ce qu’il comporte « 2 » ou « 3 » moteurs électriques à commande de position programmable dédiés audit support mobile sur lequel est installée ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ; lesdits moteurs électriques sont placés de manière à ce que ladite matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples puisse effectuer, suivant le cas : - (a) un déplacement rectiligne motorisé parallèlement à l’axe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire ; - (b) un déplacement angulaire motorisé par rapport audit axe de symétrie ; - (c) un déplacement angulaire motorisé par rapport audit axe lié au support mobile et parallèle audit axe de symétrie du boîtier cylindrique circulaire.

95. Appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon l’une quelconque des revendications 88 à 91 destiné à être installé au sommet d’une baie/armoire pour data center ; ladite baie/armoire contient des serveurs au format rack/rack server ou au format lame/blade server ou autres formats appropriés ; le boîtier dudit appareil « TAEBD » est de la forme d’un segment de prisme droit dont la courbe directrice « est un octogone régulier ; l’octogone régulier formant le sommet dudit segment de prisme droit est désigné ci-après par "ABCDEFGH" ; les « 8 » centres des arêtes « AB », « BC », « CD », « DE », « EF », « FG », « GH » et « HA » sont désignés respectivement par « Oi », « O2 », « O3 », « O4 », « Os », « Or, », « O7 », et « Os » ; les « L » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples desdits « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples (cf. revendication 87, alinéa « a ») sont intégrées aux arêtes dudit segment de prisme droit ; « L » est un nombre entier qui dépend de la forme dudit appareil « TAEBD » et « > 2 » ; ledit appareil « TAEBD » est caractérisé en ce que :

a) Parmi lesdites « L » matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, celles qui sont installées le long des « 8 » arêtes « AB », « BC », « CD », « DE », « EF », « FG », « GH » et « HA » de l’octogone régulier « ABCDEFGH » sont fixées chacune sur un support mobile lui permettant d’effectuer des déplacements rectilignes perpendiculairement au plan dudit octogone régulier « ABCDEFGH » ; et

b) Chacun desdits supports mobiles est placé sur un ou plusieurs rails dédiés lui permettant d’effectuer des mouvements rectilignes parallèlement à l’arête le long de laquelle il est installé ; et

c) Les courses de chacun desdits supports mobiles, perpendiculairement au plan dudit octogone régulier « ABCDEFGH » et parallèlement à l’arête le long de laquelle il est installé, sont telles que la matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples qui est fixé sur ledit support mobile peut être positionnée de manière à :

i) Pouvoir communiquer par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight avec des matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples appartenant à d’autres baies/armoires similaires installées de manière appropriée au sein d’un même data center ; et

ii) Ne pas obstruer les communications par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight entre des matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples appartenant à d’autres baies/armoires similaires installées de manière appropriée au sein dudit data center.

96. Appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde selon la revendication 95, dont lesdits supports mobiles, sur lesquels sont fixées des matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, sont caractérisés en ce qu’ils comportent chacun :

a) Un moteur électrique à commande de position programmable, lui permettant d’effectuer un déplacement rectiligne perpendiculairement au plan dudit octogone régulier « ABCDEFGH » et le maintenir à la distance désirée de ce dernier ; et

b) Un moteur électrique à commande de position programmable, lui permettant d’effectuer un déplacement rectiligne parallèlement à l’arête associée dudit octogone régulier « ABCDEFGH » et le maintenir à la distance désirée le long de ladite arête.

97. Dispositif photonique élémentaire d’intermédiation de communications par optique sans fil pour la formation d’une cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil ou d’un groupement de cellules photoniques élémentaires de communications par optique sans fil servant d’intermédiaire entre un réseau de communications électroniques ou un appareil électronique et des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) qu’ils soient en mouvement ou dans un état stationnaire ou entre seulement lesdits appareils « TAEBD » ; ledit dispositif photonique élémentaire d’intermédiation de communications par optique sans fil est destiné à être installé dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant, sur un mur ou sur un plafond ou sur un autre support approprié ; ledit dispositif photonique élémentaire d’intermédiation de communications par optique sans fil est dénommé ci-après "pseudo-satellite photonique", en abrégé "PSAT photonique" et désigné par "PSAT" ; ledit pseudo-satellite photonique est caractérisé en ce que :

a) Il est dépourvu de tout moyen de liaison filaire pour le relier au milieu extérieur, et notamment il ne comporte aucune fibre optique pour le relier à un réseau de communications électroniques ou un appareil électronique (FIG.30, FIG.43, FIG.45, FIG.47, FIG.72, FIG.74, FIG.76, FIG.97, FIG.99, FIG.101, FIG.118, FIG.119, FIG.120, FIG.125, FIG.126) ; et

b) Il comporte des moyens photoniques de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight (LOS) permettant de le relier par optique sans fil auxdits appareils « TAEBD » (FIG.30, FIG.214 àFIG.243) ; et c) Il comporte des moyens photoniques de liaisons par optique sans fil par faisceaux de rayons optiques parallèles permettant de le relier par optique sans fil au reste de la cellule photonique de communications par optique sans fil à laquelle il appartient (FIG.30, FIG.145, FIG.146, FIG.157, FIG.158, FIG.168, FIG.169) ; un faisceau de rayons optiques parallèles relatif à un « PSAT » photonique est dénommé ci-après "Faisceau FROP" ou en abrégé "FROP" (FIG.30, 14641 Al 1, 14642A11, 14641B11, 14642B11, 14641C11, 14642C11, 14641D11, 14642D11, 15841A11, 15842A11, 15841C11,

15842C11, 15841D11, 15842D11, 16941A11, 16942A22, 16941C11,

16942C11, 16941D11, 16942D11, 16941B21, 16942B21, 16941C21,

16942C21, 16941D21, 16942D21).

98. Pseudo-satellite photonique selon la revendication 94 dont lesdits moyens photoniques de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue- directe / line-of-sight (LOS) sont caractérisés en ce qu’ils sont amovibles et comportent au moins un module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques ayant une ossature de la forme d’un fuseau de dôme de révolution de centre « O d », de longitude « OÎPSAT » et d’ angle solide « £2PSAT » et d’axe de révolution « APSAT », destiné à la mise en place de composants photoniques dont des diffuseurs et des concentrateurs de rayonnements optiques ; ladite ossature est dénommée ci-après "châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme " et désigné par « 2? SAT », son axe de révolution « APSAT » est dénommé "axe principal du pseudo-satellite photonique" et son angle solide « £2PSAT » est dénommé

"angle solide du pseudo-satellite photonique" ; ledit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « J^PSAT » comporte « N » cavités similaires disjointes ou « N » groupes de cavités similaires disjointes ; « A » est un nombre entier tel que « A > 1 » ; (« OÎ SAT = TT/2 radians » i.e. « £¾SAT = TT/2 stéradians », FIG.40, FIG.68, FIG.69, FIG.93, FIG.94) ; lesdits diffuseurs et lesdits concentrateurs sont désignés ci-après respectivement par "DIFFRO" et "CONRO" ; les « A» cavités ou les « A » groupes de cavités sont désignés ci-après par « GPFTR/ » où l’indice de numérotation «y » est tel que «; e {7, ... , A}» (« JV» cavités, « OÎ PSAT = rr/2 radians » i.e. « £2PSAT = TT/2 stéradians », 68CONCENTFUSER-

PLACEA ; « A» groupes de cavités, « OÎ PSAT = TT/2 radians » i.e.

« 0>SAT = rr/2 stéradians », 40DIFFRO-PLACE, 40CONRO-

PLACE : 64DIFFRO-CNL/. 64CONRO-ALV/. 65DIFFRO-CNL/. 65CONRO- ALVi, 93CONRO-CNL/, 93CONRO-ALV/, 94CONRO-CNL/, 94CONRO- ALV/) ; lesdits « A» cavités ou « A » groupes de cavités « GPFTR7 » comprennent les éléments suivants :

a) « A» diffuseurs « DIFFRO » et « A » concentrateurs « CONRO » sous forme de composants discrets (32DIFFRO, 35DIFFRO/, 41DIFFRO ; 31CONRO, 34CONRO/, 41CONRO), répartis à raison de « 1 » diffuseur discret « DIFFRO » et « 1 » concentrateur discret « CONRO » pour « 1 » groupe de cavités « GPFTR/ » (« OÎ PSAT = TT/2 radians » i.e. « ξSAT = TT/2 stéradians » : 40DIFFRO -PLACE, 40CONRO-PLACE) ; chaque diffuseur discret « DIFFRO » possède un canal d’entrée pour Finstallation de l’extrémité d’une fibre optique (320PFIBRE-PLACE) où se place la source de rayonnement quasi-ponctuelle à diffuser par « DIFFRO » ; chaque concentrateur discret « CONRO » possède un canal de sorti pour l’installation de l’extrémité d’une fibre optique (310PFIBRE-PLACE) où se place la source de rayonnement quasi-ponctuelle ayant été concentrée par « CONRO » ; ou alternativement b) « N » sous-modules photoniques de diffusion et de concentration de rayonnements optiques nominalement identiques ; lesdits « N » sous-modules sont désignés ci-après par "Concentfuser" (64CONCENTFUSER-SUBSTRAT, 65CONCENTFU SER-SUB STRAT, 66CONCENTFUSER-COMPONENTS, 67CONCENTFUSER-LOADED) ; chaque sous-module « Concentfùser » est constitué d’une ossature ayant la forme d’un solide de révolution d’axes « ARCV » comportant « P » cavités contenant chacun « 1 » diffùseur intégré « DIFFRO » (« P = 1 » : 66Mini-TD, 67Mini-TD) et « K » cavités contenant chacun « 1 » concentrateur intégré « CONRO » (cas où « i e { /. .... K\» : 66CONRO/. 67CONRO/) ; « P » et « K » sont deux nombres entiers tels que « P > 1 » et « K ³ 1 » ; les « N » sous-modules « Concentfùser » sont répartis à raison de « 1 » sous-module « Concentfuser » pour « 1 » cavité « GPFTR/ » ; chaque sous-module « Concentfùser » (67CONCENTFUSER-LOADED) possède « P » guides d’onde internes intégrés de type segment de fibre optique (66PMMA-Fiber) dont chacun est dédié à l’un des « P » diffùseurs intégrés « DIFFRO » et dont les « P » extrémités d’entrée de rayonnements optiques sont regroupées au sein d’un tube cylindrique de manière à ce qu’elles soient contiguës et parallèles afin de pouvoir les relier par collimation et/ou par focalisation et/ou par une autre technique avec l’extrémité d’une fibre optique unique où se place la source quasi-ponctuelle de rayonnements destinée à être diffùsée par l’ensemble des « P » diffuseurs intégrés « DIFFRO » ; ledit tube cylindrique est dénommé "tube cylindrique d’entrée" et désigné par "DIFFRO-INPUT" (64DIFFRO-INPUT, 66DIFFRO-INPUT, 67DIFFRO-INPUT) ; chaque sous-module « Concentfùser » possède « K » guides d’onde internes intégrés de type segment de fibre optique (66PMMA-Fiber) dont chacun est dédié à l’un des « K » concentrateurs intégrés « CONRO » et dont les « K » extrémités de sorties de rayonnements optiques concentrés sont regroupés au sein d’un tube cylindrique de manière à ce qu’ils soient contigus et parallèles afin de pouvoir les relier par collimation et/ou focalisation ou par une technique avec l’extrémité d’une fibre optique unique où se place la source quasi-ponctuelle de rayonnements concentrés résultant de l un ion de l’ensemble des « K » sources de rayonnements concentrés par les « K » concentrateurs intégrés « CONRO » ; ledit tube cylindrique est dénommé "tube cylindrique de sortie" et désigné par "CONRO-OUTPUT" (64CONRO-OUTPUT, 66CONRO-OUTPUT, 67CONRO-OUTPUT) ; ou alternativement

c) « N » diffuseurs intégrés « DIFFRO » (95DIFFRO/) et « N » concentrateurs intégrés « CONRO » (95CONRO/) formés directement dans ledit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^PSAT » (93PSAT-LSI-CDC- CHASSIS-DOME-SUBSTRAT, 94PSAT-LSI-CDC-CHASSIS-DOME-

SUBSTRAT, 95PSAT-LSI-CDC-CHASSIS-DOME-LOADED) et répartis à raison de « 1 » diffuseur « DIFFRO » et « 1 » concentrateur « CONRO » pour « 1 » groupe de cavités « GPFTR/ » ; ledit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « d^psAT » avec ses « N » diffuseurs intégrés « DIFFRO » et ses « N » concentrateurs intégrés « CONRO » (95PSAT-LSI-CDC-CHASSIS-DOME- LOADED, 95DIFFRO/. 95CONRO/) possède « 2 x A » segments de guide d’onde internes de type segment de fibre optique dont chacun est dédié à l’un des « A » diffuseurs intégrés « DIFFRO » ou à l’un des « N » concentrateurs intégrés « CONRO » ; les « N » extrémités d’entrée de rayonnements optiques dédiées aux « N » diffuseurs intégrés « DIFFRO » sont regroupées au sein d’un tube cylindrique de manière à ce qu’elles soient contiguës et parallèles afin de pouvoir les relier par collimation et/ou par focalisation et/ou par une autre technique avec l’extrémité d’une seule fibre optique où se place la source quasi-ponctuelle de rayonnements destinée à être diffusée par l’ensemble des « N » diffuseurs intégrés « DIFFRO » ; ledit tube cylindrique est dénommé "tube cylindrique d’entrée" et désigné par "DIFFRO-INPUT" (93DIFFRO-INPUT, 95DIFFRO-INPUT) ; les « N » extrémités de sortie de rayonnements optiques dédiées aux « N » concentrateurs intégrés « CONRO » sont regroupées au sein d’un tube cylindrique de manière à ce qu’elles soient contiguës et parallèles afin de pouvoir les relier par collimation et/ou par focalisation et/ou par une autre technique avec l’extrémité d’une seule fibre optique où se place la source quasi-ponctuelle de rayonnements concentrés résultant de l’union de l’ensemble des « N » sources quasi-ponctuelles de rayonnements concentrés par les « N » concentrateurs intégrés « CONRO » ; ledit tube cylindrique est dénommé "tube cylindrique de sortie" et désigné par "CONRO- OUTPUT" (93CONRO-OUTPUT, 95CONRO-OUTPUT) ; et

d) Ues « N » diffuseurs « DIFFRO », les « N » concentrateurs « CONRO » et les « N » groupes de cavités « GPFTR; » sont disposés de manière à ce que : i) Les axes principaux de diffusion des angles solides des diffuseurs « DIFFRO » et les axes principaux de réception des angles solides des concentrateurs « CONRO » soient pratiquement concourants au centre « CL » dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « 2¾AT » ; et

ii) L’intersection de Y angle solide « £¾>IFFRO-PSAT » de sommet « CL » formé par l’union de l’ensemble des angles solides de sommet « CL » des « N » diffuseurs « DIFFRO » et de Y angle solide « £2CONRO-PSAT » de sommet « O d » formé par l’union de l’ensemble des angles solides de sommet « 0^ » des « N » concentrateurs « CONRO » contienne ou soit égal à Y angle solide « £2PSAT », i.e. alternativement

e) Les « N » sous-modules « Concentfuser » et les « N » cavités « GPFTR; » sont disposés de manière à ce que :

i) Les « N » axes de révolution des sous-modules « Concentfuser » soient pratiquement concourants au centre « O d » dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^Ϊ¾AT » (« OÎPSAT = rr/2 radians » i.e. « £2PSAT = rr/2 stéradians » : 69PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-BARE, 69CONC ENTF US ER- LO A D ED / à 69CONCENTFUSER-LOADEDTV, 69PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 70PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 70CONCENTFUSERA) ; et

ii) L’intersection de Y angle solide « £¾>IFFRO-PSAT » de sommet « O d » formé par l’union de l’ensemble des angles solides de sommet « O d » des diffuseurs « DIFFRO » et de Y angle solide « SCONRO-PSAT » de sommet « O d » formé par l’union de l’ensemble des angles solides de sommet « 0</ » des concentrateurs « CONRO » appartenant auxdits « N » sous-modules « Concentfuser » contienne ou soit égal à 1 angle solide « Î3PSAT », i.e. WR5AT c WE>IrRI10.r5AT P W¥N¾0.R5AT .

99. Pseudo-satellite photonique selon l’une quelconque des revendications

97 à 98, caractérisé en ce que lesdits diffuseurs « DIFFRO » sont de type holographique ou autres et lesdits concentrateurs « CONRO » sont de type DTIRC ou CPC ou autres.

100. Pseudo-satellite photonique selon l’une quelconque des revendications

98 à 99, dont lesdits moyens photoniques de liaisons par faisceaux FROP sont caractérisés en ce qu’ils sont amovibles et comportent au moins un module photonique d’émission, de réception et de déviation de faisceaux « FROP » ayant une ossature/châssis de la forme d’un segment de cylindre, destiné à la mise en place de composants photoniques (35CONFROP, 119CONFROP, 120CONFROP, 35CONFROP, 119CONSOP, 120CONSOP, 119DEVIFROP4, 119DEVIFROP3, 133CONFROP, 133CONSOP) ; ladite ossature/châssis est installée à la base dudit module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques ; ladite ossature/châssis est dénommée ci-après "châssis cylindrique principal de base de PSAT photonique", la courbe directrice est désignée par « 9 YB-PSAT » et la droite génératrice par « ÔB-PSAT » ; ledit châssis cylindrique principal de base de PSAT photonique est en deux parties séparables pour faciliter la mise en place des composants photoniques, dont une partie dite supérieure et une partie dite inférieure (42PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 42PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, 71PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER,

71PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, 96PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER,

96PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, 119PSAT-CHASSIS-BASE-

BARE, 120P S AT -CHA S SI S-B ASE-B ARE, 133COMBINED-ADAPT-PSAT- CHASSIS-BASE-UPPER, 133COMBINED-ADAPT-PSAT-CHASSIS-BASE- LOWER, FIG.134) ; ledit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique comporte :

a) « C » conduits de faisceau de rayons optiques destinés à orienter de manière appropriée les faisceaux de rayons optique parallèles issus de convertisseur ou de déviateur de rayonnements optiques ; « C » est un nombre entier tel que « C > 1 » ; un conduit de faisceau de rayons optiques est dénommé ci-après

"conduit CFO" ; et

b) Lesdits « C » conduits « CFO » sont disjoints, i.e. l’intersection ensembliste de tout couple de conduits quelconques est un sous-ensemble vide ; et c) Chacun desdits « C » conduits « CFO » possède « 2 » ouvertures de communications avec l’extérieur (FIG.133, 133PNIV1-CF01 à 133PNIV1- CF04) ; et

d) Les « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » sont nominalement identiques (« C = 4 » : 42PNIV1-CF01 à 42PNIV1-CF04, 71PNIV1-CF01 à 71PNIV1-CF04, 96PNIV1-CF01 à 96PNIV 1 -CF04) ; et

e) La surface interne d’une ouverture de communications avec l’extérieur est de la forme d’un segment de cylindre dont la courbe directrice possède un centre de symétrie, i.e. un rectangle, un cercle, un polygone ou autres, et dont la droite génératrice est orthogonale au plan de la courbe directrice ; la courbe directrice est désignée ci-après par « fé’i-cFO » et la droite génératrice par « ÔI-CFO » et

f) Les « 2 x C » axes de symétrie desdites ouvertures de communications avec l’extérieur sont coplanaires ; le plan contenant les « 2 x C » axes de symétrie est dénommé ci-après "plan de niveau" et désignés par "PNIVÆ" où « k » est un indice de numérotation est tel que « k e {1, ... , K}» ; « K » est un nombre entier tel que « K³ 1 » (« C = 4 » et « K = 1 » : 43PNIV1, 72PNIV1, 97NIV1) ; lesdits « C » conduits « CFO » sont désignés ci-après par « PNIVA- CFOy » ; « j » est un indice de numérotation est tel que «; e {i, ... , C}» ; et

g) Les « 2 » axes de symétrie des « 2 » ouvertures de communications avec Fextérieur de chacun desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ » sont concourants et forment un angle « OÎ CFO » ayant une mesure égale à la mesure de la longitude « OÎ LNG » dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « J^PSAT » ; et h) Lesdits « C » conduits « CFO » sont disposés de manière à ce que les « C » bissectrices des « C » angles, formés par les « 2 x C » axes de symétrie, appartiennent à la demi-droite formée par Fintersection du plan de niveau « PNIVA » et du plan méridien bissecteur dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^SAT » (FIG.42, FIG.43, FIG.71, FIG.72, FIG.96, FIG.97).

101. Pseudo-satellite photonique selon la revendication 100, dont ledit châssis cylindrique de base de « PSAT » photonique est caractérisé en ce que la surface interne d’au moins l’une desdits « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » comporte une ou plusieurs rainures d’alignement de précision, en abrégé "RALP" et/ou un ou plusieurs tenons d’alignement de précision, en abrégés "TALP", destinés à réaliser un auto- alignement de précision lorsqu’on y place un composant photonique comportant réciproquement des tenons « TALP » (33CONSOP-CONFROP-TALP1, 33CONSOP-CONFROP-TALP2), et/ou des rainures « RALP ».

102. Pseudo-satellite photonique selon l’une quelconque des revendications 100 à 101 dont ledit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique est caractérisé en ce qu’il comporte un convertisseur optique de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » installé dans l’un desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ », permettant de transformer une source de rayonnement quasi-ponctuelle en un faisceau « FROP » émergent dudit « PSAT » photonique par l’une des « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ » parallèlement à son axe de symétrie ; ledit convertisseur optique de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » est dénommé ci-après "convertisseur CONSOP" (34CONSOP, 119CONSOP, 120CONSOP ; cas « 1 » plan de niveau des conduits de « CFO », « PNFW » : 12551A ij, 1255 lBzÿ, 14751A11 à l515 lAl l, 15351A11, 15951A11 à l625 lAl l, 16451A11, 17051A11, 17151A11, 17351A11, 17651A11 ; cas « 2 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV2 » : FIG.182 à FIG.186, 18751A12, 18751D12, 18751C12, 18751B12, 18751D22, 18751A22, 18751C22, 18751B22, 18951A12, 18951D12, 18951B12, 18951A22, 18951C12, 18951D22 ; cas « 4 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV7 » : FIG.200 à FIG.205, 20951A14, 20951D 14, 21051A24, 21051B14, 21051C14, 21051D24, 21151B24, 21151C24).

103. Pseudo-satellite photonique selon Fune quelconque des revendications

100 à 102, dont ledit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique est caractérisé en ce qu’il comporte un convertisseur optique de faisceau « FROP » en source quasi-ponctuelle installé dans l’un desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ », permettant de transformer un faisceau « FROP » incident pénétrant de manière appropriée dans ledit « PSAT » photonique par l’une des « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ » parallèlement à son axe de symétrie, en une source de rayonnement quasi-ponctuelle ; ledit convertisseur optique de faisceau « FROP » en source quasi-ponctuelle est dénommé ci-après "convertisseur CONFROP" (35CONFROP, 119CONFROP, 120CONFROP ; cas « 1 » plan de niveau des conduits de « CFO », « PNFW » : 12552A//.

12552B7J, 14752A11 à 15152A11, 15352A11, 15952A11 à 16252A11, 16452A11, 17052A11, 17152A11, 17352A11, 17652A1 1 ; cas « 2 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV2 » : FIG.182 à FIG.186, 18752A12, 18752D12, 18752C12, 18752B12, 18752D22, 18752A22, 18752C22, 18752B22, 18952A12, 18952D12, 18952B 12, 18952A22, 18952C12, 18952D22 ; cas « 4 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV4 » : FIG.200 à FIG.205, 20952A14, 20952D14, 21052A24, 21052B14, 21052C14, 21052D24, 21152B24, 21152C24).

104. Pseudo-satellite photonique selon l’une quelconque des revendications 100 à 103, dont ledit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique est caractérisé en ce qu’il comporte au moins un déviateur optique de faisceau « FROP » installé dans l’un desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW- CFO/ », permettant de dévier par réflexion un faisceau « FROP » incident pénétrant de manière appropriée dans ledit « PSAT » photonique par l’une des « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » / « PNIW-CFO/ » parallèlement à son axe de symétrie, en un faisceau « FROP » émergent par l’autre ouverture parallèlement à son axe de symétrie de ce dernier ; ledit déviateur optique de faisceau « FROP » est dénommé ci-après "déviateur DEVIFROP" (119DEVIFROP3, 119DEVIFROP4, 12571 C /_ 1257207, 1257 lDÿ, 12572lD*ÿ ; FIG.145, FIG.146, 14771C11 à 14971C11, 15171C11 à 15271C11, 15471C11 ; 14772C11 à 14972C11, 15172C11 à 15272C11, 15472C11 ; 14771D11 à 15071D11, 15371D11 ; 14772D11 à 15072D11, 15372D11 ; 15971D11 à 16271D11, 16471D11 ; 15972D11 à 16272D11, 16472D11 ; FIG.168 à FIG.169, 17071D11, 17171D11, 17371D11, 17671D11, 17072D11, 17271D 11, 17372D11, 17672D11, 17071C21, 17171C21, 17571C21, 17871C21, 17072C21, 17172C21, 17572C21, 17872C21 ; FIG.182 à FIG.186, 18771A12, 18971A12, 19171A12, 18772A12, 18972A12, 19172A12, 18773D12, 18973D12, 19173D12, 18774D12, 18974D12, 19174D12, 18771B22, 19071B22, 19371B22, 18772B22, 19072B22, 19372B22, 18773C22, 19073C22, 19373C22, 18774C22, 19074C22, 19374C22 ; FIG.200 à FIG.205, 20671A14, 20672A14, 20673D14, 20674D14, 20871B24, 20872B24, 20873C24, 20874C24).

105. Pseudo-satellite photonique selon l’une quelconque des revendications 100 à 104, caractérisé en ce que :

a) Ledit châssis-substrat fuseau de dôme élémentaire de « PSAT » photonique comporte des tenons et/ou des mortaises d’auto-alignement de précision localisés à sa base permettant de l’assembler de manière précise et appropriée avec un autre module appartenant audit pseudo-satellite photonique (FIG.40 à FIG.41, FIG.68, FIG.70, FIG.93 à FIG.95) ; et

b) Ledit châssis cylindrique de base de « PSAT » photonique comporte des tenons et/ou des mortaises d’auto-alignement de précision localisés sur ses deux faces principales dont ceux de l’une des faces permettent de l’assembler de manière précise et appropriée avec un autre module appartenant audit pseudo-satellite photonique et ceux de l’autre face permettent également de l’assembler de manière précise et appropriée avec un autre module ou de le fixer de manière précise et appropriée à un support dédié (FIG.42 à FIG.43, FIG.71 à FIG.72, FIG.96 à FIG.97)

106. Pseudo-satellite photonique selon la revendications 105, caractérisé en ce qu’il comporte un couvercle de protection dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme, amovible et transparent aux rayonnements optiques ayant des longueurs d’onde appropriées (42PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME-COVER, 44PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME-COVER, 71PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME- COVER, 73PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-COVER, 96PSAT-LSI-CDC- CHAS SIS-DOME-COVER, 98PS AT-LSI-CDC-CHAS SIS-DOME-COVER) .

107. Pseudo-satellite photonique selon la revendication 106, caractérisé en ce qu’il comporte :

a) Un module de couplages mécanique et photonique installé entre ledit module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques et ledit module photonique d’émission, de réception et de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles, ayant une ossature/châssis de la forme d’un segment de cylindre destiné à la mise en place de composants photoniques permettant de relier par des fibres optiques de liaisons internes les composants photoniques dudit module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques avec ceux dudit module photonique d’émission, de réception et de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles ; l’ossature/châssis dudit module de couplages mécanique et photonique est dénommée ci-après "châssis cylindrique élémentaire de couplages mécanique et photonique", la courbe directrice est désignée par « fé’cPLR-psAT » et la droite génératrice par « ÔCPLR-PSAT » ; et

b) Ledit châssis cylindrique élémentaire de couplages mécanique et photonique est amovible et sa courbe directrice « ^CPLR-PSAT » est nominalement identique à la courbe directrice du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique dudit pseudo-satellite photonique (42PSAT- CHASSIS-INTERFACE, 44PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 71PSAT-CHASSIS- INTERFACE, 73PSAT-CHASSIS-INTERFACE, FIG.121 à FIG.122, 121PSAT- CHASSIS-INTERFACE-BARE, 122PSAT-CHASSIS-INTERFACE-BARE, 122PSAT-CHASSIS-INTERFACE-CONFIGURED) ; et

c) Ledit châssis cylindrique élémentaire de couplages mécanique et photonique comporte :

i) Un berceau pour l’installation de composants photoniques ; et ii) Un tambour d’enroulement de fibres optiques de liaison interne de composants photoniques permettant de respecter les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale (121INTERFACE- DRUM) ; et

iii) Des dispositifs de verrouillage et de déverrouillage par loquets (121INTERFACE-LATCH1, 121 INTERFACE-LATCH2) du couvercle de protection amovible dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme de PSAT photonique et ses « A » diffuseurs « DIFFRO » et « N » concentrateurs « CONRO » (42PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME-COVER, 44PSAT-DCDC- CHASSIS-DOME-COVER, 71PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-COVER,

73PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-COVER, 96PSAT-LSI-CDC-CHASSIS- DOME-COVER, 98PSAT-LSI-CDC-CHASSIS-DOME-COVER) ; et

iv) Des tenons et/ou des mortaises d’auto-alignement de précision (FIG.42, FIG.44, FIG.71, FIG.73, FIG.121, FIG.122) localisés sur ses deux principales faces dont, d’une part, celles de l’une des faces sont en adéquation respectivement avec les mortaises et/ou les tenons du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique appartenant audit pseudo-satellite photonique et d’autre part, celles de l’autre face sont en adéquation respectivement avec les mortaises et/ou les tenons dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme de PSAT photonique ; et

d) Dans le cas où les « N » diffuseurs « DIFFRO » et les « N » concentrateurs « CONRO » sont des composants discrets, ledit berceau comporte :

i) Un coupleur optique splitter dont le nombre des entrées est égal à « 1 » et le nombre des sorties est égal à « A » (350PC0UPLER-SPLITTER) permettant de relier ledit convertisseur optique « CONFROP » aux « N » diffuseurs « DIFFRO » ; et

ii) Un coupleur optique combiner dont le nombre des entrées est égal à « N » et le nombre des sorties est égal à « 1 » (340PC0UPLER-C0MBINER) permettant de relier le convertisseur optique « CONSOP » aux « N » concentrateurs optiques CONRO ; ou alternativement

e) Dans le cas où les diffuseurs « DIFFRO » et concentrateurs « CONRO » sont intégrés dans « N » sous-modules « Concentfuser », ledit berceau comporte :

i) Un splitter dont le nombre des entrées est égal à « 1 » et le nombre des sorties est égal à « A » permettant de relier ledit convertisseur optique « CONFROP » aux « A » entrées « DIFFRO-INPUT » des « A » sous-modules « Concentfuser » ; et

ii) Un combiner dont le nombre des entrées est égal à « A » et le nombre des sorties est égal à « 1 » permettant de relier les « A » sorties « CONRO- OUTPUT » des « A » sous-modules « Concentfuser » audit convertisseur optique

« CONSOP » ; ou alternativement

f) Dans le cas où les « N » diffuseurs « DIFFRO » et « N » concentrateurs « CONRO » sont formés directement dans ledit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^PSAT », ledit berceau comporte au moins : i) Une fibre optique de liaison interne de composants photoniques permettant de relier ledit convertisseur optique « CONFROP » à Tunique entrée « DIFFRO-INPUT » dudit châssis-substrat « J^PSAT » ; et

ii) Une fibre optique de liaison interne de composants photoniques permettant de relier Tunique sortie « CONRO-OUTPUT » dudit châssis-substrat « J PSAT » audit convertisseur optique « CONSOP ».

108. Convertisseur optique de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » et convertisseur optique de faisceau « FROP » en source quasi- ponctuelle, tous les deux destinés à être installés dans deux des « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » / « PNIVT-CFO/ » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique appartenant à un pseudo-satellite photonique selon la revendication 96 ; lesdits convertisseurs optiques sont caractérisés en ce qu’ils sont amovibles et nominalement identiques et comportent chacun une douille (33CONSOP- CONFROP-BODY) renfermant des composants photoniques de collimation ou de focalisation (33COUUIM-FOCUS-UENS) et une entrée de fibre optique (330PFIBER-PUACE) et dont :

a) La partie externe de ladite douille a une forme lui permettant d’épouser la surface interne d’une ouverture de communications avec l’extérieur dudit châssis cylindrique de base de « PSAT » photonique ; et

b) La partie externe de ladite douille comporte un ou plusieurs tenons « TALP » (33CONSOP-CONFROP-TALP1, 33CONSOP-CONFROP-TALP2) et/ou une ou plusieurs rainures « RALP », en adéquation respectivement avec les rainures « RALP » et/ou les tenons « TALP », figurant dans au moins une ouverture de communications d’un conduit « CFO » / « PNIVUCFO/ » ; « j » est un indice de numérotation tel que «j e {i, ... , C}».

109. Dispositif de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles destiné à être installé dans Tune des « 2 x C » ouvertures de communications avec l’extérieur desdits « C » conduits « CFO » / « PNIVT-CFO/ » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique appartenant à un pseudo satellite photonique selon Tune quelconque des revendications appropriées de 97 à 105 pour dévier un faisceau « FROP » relatif à un pseudo-satellite photonique ; ledit déviateur de « FROP », dénommé également « DEVIFROP », est caractérisé en ce qu’il est amovible (FIG.36 à FIG.39, 119DEVIFROP4, 119DEVIFROP3) et comporte : a) Un tube ayant deux ouvertures vers l’extérieur constitué de deux parties creuses reliées par un coude comprenant un composant photonique de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles de type miroir réfléchissant, prisme droit de réflexion totale ou d’un autre type donnant des résultats au moins équivalents ; et

i) La surface externe de chacune desdites parties creuses est de la forme d’un segment de cylindre dont la courbe directrice « ¾" o-cro » est nominalement identique à la courbe directrice » des conduits « CFO » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique auquel ledit dispositif de déviation est destiné ; droite génératrice étant orthogonal au plan de la courbe « fêo-cro » ; la courbe directrice « ' I-CFO » étant une courbe ayant un centre de symétrie (« C = 4 » : 39DEVIFR0P1-CF01, 39DEVIFR0P2-CF02,

39DEVIFROP3 -CF03 , 39DEVIFR0P4-CF04) ; et

ii) Les longueurs des « 2 » parties creuses dépendent des longueurs conduit « CFO » auquel ledit déviateur de « FROP » est destiné à y être installé et ils sont en adéquation avec ce dernier (« C = 4 » : 39DEVIFROP1, 39DEVIFROP2, 39DEVIFROP3, 39DEVIFROP4) ; et

iii) Les « 2 » axes de symétrie desdites parties creuses sont concourants et forment un angle « OÎDEV » ayant une mesure égale à la mesure de l’angle « OÎ CFO » de « 2 » axes de symétrie de « 2 » ouvertures de communications avec l’extérieur d’un conduit « CFO » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique auquel ledit dispositif de déviation est destiné ; et

b) Ledit composant photonique de déviation de faisceau de rayons optiques parallèles est fixé de manière à ce que tout faisceau de rayons optiques parallèles incident dont Taxe de propagation est confondu avec celui de l’une desdites parties creuses soit réfléchie sous forme de faisceau de rayons optiques parallèles dont Taxe de propagation est confondu avec celui de l’autre partie creuse (36DEVIMIRR3, 36DEVIMIRR4, 37DEVIMIRR2, 38DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR1) ; et

c) La partie externe dudit tube comporte un ou plusieurs tenons « TALP » (« C = 4 » : 36DEVIFROP 1 -TALP 1 à 36DEVIFROP 1-TALP4, 36DEVIFROP2- TALP1 à 36DEVIFROP2-TALP4, 36DEVIFROP3-TALP 1 à 36DEVIFROP3- TALP4, 36DEVIFROP4-TALP 1 à 36DEVIFROP4-TALP4) et/ou une ou plusieurs rainures « RALP », en adéquation respectivement avec les rainures « RALP » et/ou les tenons « TALP », figurant dans au moins une ouverture de communications d’un conduit « CFO » / « PNIVL-CFO/ » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique auquel ledit déviateur de « FROP » est destiné ; « j » est un indice de numérotation tel que «; e {i, ... , C}».

110. Module élémentaire d’augmentation du nombre des plans de niveau des conduits « CFO » d’un pseudo-satellite photonique, destiné à être fixé au châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique appartenant à un pseudo-satellite photonique selon Tune quelconque des revendications 100 à 109 et ayant « K » plans de niveau de conduits « CFO » et « C » conduits « PNIW-CFO/ » par plan de niveau, afin d’augmenter le nombre des conduits « CFO » de ce dernier ; « k » et «y » sont des indices de numérotation tels que « k e {1, ... , K}» et «; e {i, ... , C}» ; « K » et « C » sont deux nombres entiers tels que « K³ 1 » et « C ³ 1 » ; ledit module élémentaire d’augmentation du nombre des plans de niveau des conduits « CFO » est caractérisé en ce qu’il comporte une ossature/châssis de la forme d’un segment de cylindre destiné à la mise en place de composants photoniques permettant d’adapter ledit pseudo-satellite photonique au nombre des cellules d’un groupement de cellules photoniques élémentaires de communications par optique sans fil auquel il est destiné à être intégré ; l’ossature/châssis dudit module photonique élémentaire d’extension est dénommée ci-après "châssis cylindrique élémentaire additionnel de base de « PSAT » photonique", la courbe directrice est désignée par « ^ADD-PSAT » et la droite génératrice par « ÔADD-PSAT » ; ledit châssis cylindrique élémentaire additionnel de base de « PSAT » photonique est amovible et sa courbe directrice « ^ADD-PSAT » est nominalement identique à la courbe directrice « ^B-PSAT » du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique dudit pseudo-satellite photonique ; ledit châssis cylindrique élémentaire additionnel de base de « PSAT » est constitué de parties séparables pour faciliter la mise en place des composants photoniques, dont une partie dite supérieure et une partie dite inférieure et des parties dites centrales (« K = 2 » et « C = 4 » : FIG.46 à FIG.47, 46PSAT- CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER, 46PSAT-CHASSIS-BASE-ADD- MODULE-CENTRAL, 46PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER ; FIG.75 à FIG.76, 75PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER, 75PSAT- CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 75PSAT-CHASSIS-BASE- ADD-MODULE-LOWER ; FIG.100 à FIG.101, 100PSAT-CHASSIS-BASE- ADD-MODULE-UPPER, 100PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-

CENTRAL, ÎOOPSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER) ; ledit châssis cylindrique élémentaire additionnel de base de « PSAT » photonique comporte : a) « Vx C » conduits « CFO » / « PNIVA-CFO/ » réparties sur « V » plans de niveau de conduits « CFO » à raison de « C » conduits « CFO » pour « 1 » plan de niveau; « V » est un nombre entier tel que « V > 1 » ; « k » est un indice de numérotation est tel que « k e {K + 1, K + V}» (« K= 2 » et « C = 4 » et « V = 2 » : FIG.46 à FIG.47, 46PNIV4-CF01, 46PNIV4-CF02, 46PNIV4-CF03, 46PNIV4-CF04 ; FIG.75 à FIG.76, 75PNIV4-CF01, 75PNIV4-CF02, 75PNIV4- CF03, 75PNIV4-CF04 ; FIG.100 à FIG.101, 100PNIV4-CFO1, 100PNIV4- CF02, 100PNIV4-CF03, 100PNIV4-CF04) ; et

i) L’ensemble desdits « C » conduits « CFO » de chaque plan de niveau de conduits de « CFO » dudit châssis cylindrique élémentaire additionnel de base de PSAT photonique est nominalement identique à l’ensemble des « C » conduits « CFO » du plan de niveau de conduits de « CFO » du châssis cylindrique élémentaire principal de base de PSAT photonique appartenant audit pseudo satellite photonique ; et

ii) Lesdits « Vx C » conduits « CFO » sont disposés de manière à ce que si « V ³ 2 », les « C » conduits « CFO » de tout plan de niveau soient l’image des « C » conduits « CFO » d’autre plan de niveau par une translation parallèlement à une droite orthogonale au plan de ladite courbe directrice « ^ADD-PSAT » ; et b) Des tenons et/ou des mortaises d’auto-alignement de précision (FIG.46 à FIG.47, FIG.75 à FIG.76, FIG.100 à FIG.101) en adéquation respectivement avec les mortaises et/ou les tenons du châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique appartenant audit pseudo-satellite photonique et disposés de manière à ce que lorsque les deux châssis sont assemblés, les « K + V» plans de niveau de conduits « CFO » résultants soient tels que les « C » conduits « CFO » de tout plan de niveau soient les images de « C » conduits « CFO » d’un autre plan de niveau par une translation parallèlement à une droite orthogonale au plan de ladite courbe directrice ADD-PSAT » .

111. Groupement de « G » pseudo-satellites photoniques destiné à remplacer « G » pseudo-satellites photoniques « PSAT/. ... , PSATG » (cf. revendication 107) adjacents et de même dimensions afin, entres autres, de gagner de la place et de simplifier leurs installations dans une configuration multi-cellulaires et/ou pour former un pseudo-satellite photonique ayant « G » moyens photoniques indépendants de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue- directe / line-of-sight (LOS) et « G » moyens photoniques indépendants de liaisons par optique sans fil par faisceaux « FROP » ; « G » est un nombre entier tel que « G > 2 » ; ledit groupement de « G » pseudo-satellites photoniques est dénommé ci-après, en général "Multi-Pseudo-Satellite photonique", en abrégé "Multi- PSAT photonique" et désigné par "Multi-PSAT" ; si « G = 2 » ou « G = 3 » ou « G = 4 », ledit groupement est dénommé respectivement "Duo-Pseudo-Satellite photonique", en abrégé "Duo-PSAT photonique" ou "Trio-Pseudo-Satellite photonique", en abrégé "Trio-PSAT photonique" ou "Quatuor-Pseudo- Satellite photonique", en abrégé "Quat-PSAT photonique" ; ledit multi- pseudo-satellite est caractérisé en ce qu’il comprend au moins les « 4 » éléments suivants ou d’autres éléments permettant d’avoir des résultats finaux équivalents : - (a) un module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques ; - (b) un module photonique d’émission, de réception et de déviation de faisceaux de rayons optiques parallèles ; - (c) un module de couplages mécanique et photonique ; - (d) un module d’augmentation du nombre des plans de niveau des conduits « CFO » ; Explicitement, ces « 4 » éléments sont tels que (FIG.30, FIG.50 à FIG.55, FIG.58 à FIG.63, FIG.79 à FIG.84, FIG.87 à FIG.92, FIG.104 à FIG.109, FIG.112 à FIG.117) :

a) Ledit module photonique de diffusion et de concentration de rayonnements optiques a une ossature de la forme d’un fuseau de dôme de révolution de centre « Od », de longitude « CXG-PSAT » et d’angle solide « £2G-PSAT » ; ladite ossature est dénommée ci-après "châssis-substrat multi-fuseau de dôme " et désigné par « ^^-SAT » ; ledit châssis-substrat multi-fuseau de dôme « J^G-SAT » est tel qu’il est l’équivalent d’une combinaison des « G » châssis- substrats élémentaires fuseaux de dôme « 2¾AT; » desdits pseudo-satellites photoniques « PSATi » (cf. revendication 98) où « / e { I . ... , G}», disposés de manière à être adjacents et leurs « G » centres « O dt » soient confondus avec le centre « O d » dudit châssis-substrat multi-fuseau de dôme « ^G-SAT » ; explicitement :

i) Ledit châssis-substrat multi-fuseau de dôme « ^G-SAT » comporte « P » cavités similaires disjointes ou « P » groupes de cavités similaires

G

disjointes, tels que « P = '^Ni » ; « N » étant le nombre des cavités ou groupes

i= 1

de cavités du châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^PSAT; » (cas « G = 2 », « / e {1, 2}», « Nί = N », « P = 2 N cavités», « OÎPSAT; = TT/2 rad » i.e. « SPSAT; = TT/2 sr », « OÎ DUO-PSAT = 7T rad » i.e. « SDUO-PSAT = TT sr » : FIG.77,

77CONCENTFUSER-PLACEA ; cas « G = 4 », « i e {l, 4}», « N, = N ». « P = 4 N cavités», « OÎPSAT; = TT/2 rad » i.e. « SPSAT; = rr/2 sr », « OÎQUAT-

PSAT = 2TT rad» i.e. « ξUAT-PSAT = 2p sr» : FIG.85, 85CONCENTFUSER- PLACE ; Cas « G 2 N groupes de cavités», « OÎPSATÎ = TT/2 rad » SAT = 7T rad » i.e. « WΌ O-

PSAT = 7T sr » : FIG.48, 48DIFFRO-PLACE, 48CONRO-PLACE ; FIG.102, 102DIFFRO-CNL/, 102CONRO-ALV ; cas i e {1, ... , 4}»,

« Ni = N », « P = 4 N groupes de cavités», rad » i.e.

« SPSAT = TT/2 sr », « OÎQUAT-PSAT = 2TT rad» i.e. « ξUAT-PSAT = 2p sr» : FIG.56,

56DIFFRO-PLACE, 56CONRO-PLACE ; FIG.110, 1 10DIFFRO-CNL/.

1 ÎOCONRO-ALV/ ) : et

G

ii) La longitude « QÎG-PSAT » est telle que «aG-PSAT = ^aPSAT l· » où i

« CXPSATÎ » est la longitude du châssis-substrat élémentaire fuseau de

G

dôme « 2?PSAT; » ; i.e. l’angle solide « £2G-PSAT » est tel que «W0-R5AT = uW™, » et que sa mesure est égale à la somme des mesures des « G » angles solides {WKAΎI, SPSATG}, à savoir égale à « CXG-PSAT » où « ÎASAT; » est l’angle solide du châssis- substrat élémentaire fuseau de dôme « ^PSAT; » ; et

b) Ledit module photonique d’émission, de réception et de déviation de faisceaux de rayons optiques parallèles a une ossature de la forme d’un segment de cylindre ; ladite ossature est dénommée ci-après "châssis cylindrique principal de base de Multi-PSAT photonique" ; ledit châssis cylindrique principal de base de Multi-PSAT photonique est tel qu’il est l’équivalent d’une combinaison des « G » châssis cylindriques principaux de base de PSAT photonique des pseudo satellites « PSAT/ » (cf. revendication 100) ayant une même hauteur de base « HBASE-PSAT, = HBASE-PSAT », où « i X { I . .... G\». disposés de manière à être adjacents et leurs « G » droites génératrices soient parallèles, et que ladite combinaison ait la forme d’un segment de cylindre de hauteur « HBASE-G-PSAT = HBASE- PSAT » ; la courbe directrice de ladite combinaison, i.e. dudit châssis cylindrique principal de base de Multi-PSAT photonique est désignée par « 9s" B-G-PSAT » et la droite génératrice par « ÔB-G-PSAT » (50DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 52DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 52DUO-PSAT-CHASSIS-BASE- CENTRAL, 52DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.53, FIG.54,

58QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 58QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE- LOWER, FIG.59, 60QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 60QUAT-PSAT- CHASSIS-BASE-CENTRAL, 60QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.61, 79DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 79DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-LOWER, FIG.80, 81DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 81DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, 81DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.82, 87QUAT -P S AT -CHAS SI S-B ASE-UPPER, 87QUAT-PSAT-CHASSIS- BASE-LOWER, FIG.88, 89QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 89QUAT- PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, 89QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-

LOWER, FIG.90, 104DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 104DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.105, 106DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 106DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, 106DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-LOWER, FIG.107, 112QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, 112QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.113, 114QUAT-PSAT- CHASSIS-BASE-UPPER, 114QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, 114QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER, FIG.115) ; et

c) Ledit module de couplages mécanique et photonique a une ossature de la forme d’un segment de cylindre ; ladite ossature est dénommée ci-après "châssis cylindrique étendu de couplages mécanique et photonique" ; ledit châssis cylindrique étendu de couplages mécanique et photonique est tel que :

i) Il est l’équivalent d’une combinaison de « G » châssis cylindriques élémentaires de couplages mécanique et photonique des pseudo-satellites « PSAT; » (cf. revendication 107) ayant une même hauteur « HCPLR-PSAT; = HCPLR- PSAT », où « / ... , G}», disposés de manière à être adjacents et leurs « G » droites génératrices soient parallèles, et que ladite combinaison ait la forme d’un segment de cylindre de hauteur « HCPLR-G-PSAT = HCPLR-PSAT » ; la courbe directrice de ladite combinaison, i.e. dudit châssis cylindrique étendu de couplages mécanique et photonique est désignée par « CPLR-G-PSAT » et la droite génératrice par « ÔCPLR- G-PSAT » (50DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 52DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE, 58QUAT-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 60QUAT-PSAT- CHASSIS-INTERFACE, 79DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 81DUO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 87QUAT-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 89QUAT-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 104DUO-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE, 106DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, 112QUAT-PSAT- CHASSIS-INTERFACE, 114QUAT-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, FIG.123, FIG.124) ; et

ii) Les courbes directrices « TB-G-PSAT » et « ^CPLR-G-PSAT » sont identiques ; et

iii) Les « G » berceaux et les « G » tambours desdits « G » châssis cylindriques élémentaires de couplages mécanique et photonique des pseudo satellites « PSAT/ » sont mutualisés et remplacés respectivement par « 1 » berceau et « 1 » tambour ; et d) Ledit module d’augmentation du nombre des plans de niveau des conduits « CFO » a une ossature de la forme d’un segment de cylindre ; ladite ossature est dénommée ci-après "châssis cylindrique étendu additionnel de base de « Multi-PSAT » photonique" ; ledit châssis cylindrique étendu additionnel de base de « Multi-PSAT » photonique est tel que :

i) Il est l’équivalent d’une combinaison de « G » châssis cylindriques élémentaires additionnels de base de « PSAT » photonique des pseudo-satellites « PSATi » (cf. revendication 110) ayant une même hauteur « HADD-PSAT/ = HADD- PSAT », où « /' e { I . . . . , G} », disposés de manière à être adjacents et leurs « G » droites génératrices soient parallèles, et que ladite combinaison ait la forme d’un segment de cylindre de hauteur « HADD-G-PSAT = HADD-PSAT » ; la courbe directrice de ladite combinaison, i.e. dudit châssis cylindrique étendu additionnel de base de « Multi-PSAT » photonique est désignée par « ^ADD-G-PSAT » et la droite

G-PSAT » sont identiques.

112. Cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil destinée à être déployée dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant, afin de servir d’intermédiaire de communications par optique sans fil entre un réseau de communications électroniques ou un appareil électronique et des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) localisés dans ladite cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil qu’ils soient en mouvement ou dans un état stationnaire ou entre seulement lesdits appareils « TAEBD » ; ladite cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil est composée de « U » pseudo-satellites photoniques (cf. revendications 97 à 107) qui sont fixés sur des murs et/ou sur un plafond et/ou sur d’autres supports appropriés ; les « U » pseudo-satellites photoniques sont désignés ci-après par "PSAT-X" ou par « PSATA » ; « X » est un indice d’énumération alphabétique ou alphanumérique ; « k » est un indice de numérotation tel que « k e {7, U}» ;

« U » est un nombre entier tel que « U ³ 3 » ; ladite cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil est caractérisée en ce que :

a) Elle est dépourvue de tout moyen de liaison filaire pour la relier au milieu extérieur et notamment, elle ne comporte aucune fibre optique pour la relier à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique ou à un dispositif photonique quelconque (FIG.145 à FIG.156, FIG.157 à FIG.167) ni pour la relier à l’un desdits appareils « TAEBD » (FIG.214 à FIG.220, FIG.221 à FIG.227) ; et

b) Sa zone de couverture est un volume de l’espace délimité par une surface ayant la forme d’un segment de cylindre droit dont la base est au plancher, la courbe directrice est un polygone convexe ayant « U » côtes i.e. « U » sommets et dont la droite génératrice est orthogonale au plan dudit polygone convexe ; ladite zone de couverture est dénommée ci-après "zone prismatique de couverture " et désignée par "ZCOPRISM", sa courbe directrice est désignée par « ^P-CONVEX », sa droite génératrice par « ÔPRISM » et sa hauteur par « //PRISM » ; les « U » sommets du polygone convexe « ^P-CONVEX » sont désignés par "S-PRISM-X" ou par « S- PRISMA » ; « X » est un indice d’énumération alphanumérique ; « k » est un indice de numérotation tel que « k e {7, ... , U}» ; lesdits « U » pseudo-satellites photoniques « PSATA » qui forment ladite zone prismatique de couverture « ZCOPRISM » sont installés au sommet de cette dernière et localisés aux « U » sommets « S-PRISMA » /« S-PRISM-X » du polygone convexe « ^P-CONVEX » à raison de « 1 » pseudo-satellite photonique « PSATA »/« PSAT-X » par sommet « S-PRISMA »/« S-PRISM-X » (cas « U = 4 », « 'TP -CONVEX » est un rectangle de longueur « a » et de largeur « b », « E/PRISM = A » , « X e {Al l, Bl l, Cl l, D l l}» : FIG.145 à FIG.156) ; lesdits « U » pseudo-satellites photoniques « PSATA »/« PSAT-X » sont tels que : i) L’axe principal « APSAT-X » de chaque pseudo-satellite photonique

« PSAT-X », i.e. l’axe de révolution de son châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « 2^PSAT-X », est parallèle à ladite droite génératrice « ÔPRISM » et orienté de façon à ce que le sommet dudit châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « 2¾AT-C » soit vers le bas de ladite zone prismatique de couverture « ZCOPRISM » (cas « U = 4 », « ^P-CONVEX » est un rectangle de longueur « a » et de largeur « b », « LTPRISM = h », « X e {Al 1, Bl l, Cl l, DU}» : FIG.145 à FIG.146,

145A11 à 151A11, 153A11, 145B11 à 149B 11, 151B11, 152B11, 154B 11, 145C11 à 149C11, 152C11, 155C11, 145D11 à 150D11, 156D 11, FIG.157 à FIG.158, 157A11 à 162A11, 164A11 à 165A11, 158C11 à 161C11, 163C11, 166C11, 158D11 à 162D11, 167D11) ; et

ii) La longitude « a PSAT-X » du châssis-substrat élémentaire fuseau de dôme « ^PSAT-X » de chaque pseudo-satellite photonique « PSAT/t »/« PSAT-X » est au moins égale à l’angle interne du polygone convexe « ^P-CONVEX » dont le sommet est « S-PRISIVL »/« S-PRISM-X » où ledit pseudo-satellite photonique « PSAT/t »/« PSAT-X » est installé ; et

iii) Les « 2 » axes de symétrie des « 2 » ouvertures de communications avec l’extérieur d’un conduit « CFO » quelconque (cf. revendication 100) appartenant à chaque pseudo-satellite photonique « PSAT/t »/« PSAT-X » sont parallèles aux deux côtes de l’angle interne du polygone convexe « ^P-CONVEX » de sommet « S-PRISIVL »/« S-PRISM-X » où ledit pseudo-satellite photonique « PSAT/t »/« PSAT-X » est installé ; et

iv) Les « U » plans de niveau des conduits « CFO » des « U » pseudosatellites photoniques « PSAT-X » sont les mêmes, i.e. ils sont parallèles et situés à la même hauteur (cf. revendication 100, alinéa « f » à alinéa « h ») ; et

c) Elle communique avec le milieu extérieur par optique sans fil par des faisceaux « FROP » qui sont parallèles à certains desdits « U » côtes du polygone convexe « ^P-CONVEX » (cas « U = 4 », « ^P-CONVEX » est un rectangle de longueur

15842C11 à 16142C11, 16342C11, 16542C11 à 16642C1 1, 14641D 1 à

15141D11, 15341D11, 15641D11, 15841D11 à 16541D11, 16741D11, 14642D 11, à 15142D 11, 15342D11, 15642D11, 15842D11 à 16542D11, 16742D11) ; et d) Elle comporte un emplacement dédié à l’installation d’un adaptateur de communications par optique sans fil destiné à être relié par des fibres optiques à un réseau de communications électroniques distal ou à un appareil électronique distal pour permettre à ces derniers de communiquer par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec ladite cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil ; et

e) Elle communique avec lesdits appareils « TAEBD » qui sont localisés à l’intérieur de sa zone prismatique de couverture « ZCOPRISM », qu’ils soient en mouvement ou dans un état stationnaire, par optique sans fil de type propagation en Vue-directe / Line-Of-Sight (LOS) et/ou d’un autre type (FIG.214 à FIG.220) ; et f) Les dimensions de ladite zone prismatique de couverture

« ZCOPRISM » sont telles que « HMP < HmisM £ HMax » et que la distance entre un appareil « TAEBD » quelconque localisé à l’intérieur de ladite zone prismatique et un pseudo-satellite « PSAT^ »/« PSAT-X » quelconque parmi lesdits « U » pseudo-satellites photoniques est inférieure à une distance préalablement définie

« ÜMax » ; et

g) Les paramètres « HMax », « HMÎII » et « D\ia\ » sont définis de manière, d’une part, à augmenter l’autonomie des batteries des mobiles en limitant leurs puissances d’émission et d’autre part, à augmenter les vitesses de transfert des données sachant qu’en général la fréquence de coupure « fc » d’un signal émis par un photo-émetteur est proportionnelle à l’inverse de son temps de montée « tr »

0.35

(pratiquement on a fc ~ - ) ; ladite cellule de communications par optique sans fil est dénommée ci-après "cellule optique enveloppante" et désignée par "ENVOPCell" ou en abrégé "Cell" ; et

h) Le nombre des déviateurs de faisceau « FROP » (cf. revendication 104 ou 109) installés dans un pseudo-satellite photonique « PSAT/t »/« PSAT- X » dépend de l’emplacement de ce dernier au sein de la cellule optique enveloppante « ENVOPCell » sachant que ce nombre peut être égal à « 0 » ; (cas « U = 4 », « ^P-CONVEX » est un rectangle de longueur « a » et de largeur 14972C11, 15172C11 à 15272C11, 15472C11 FIG.157, FIG.158, 15971D11 à

16271D11, 16471D11, 15972D11 à 16272D11, 16472D11).

113. Groupement de cellules optiques enveloppantes de communications par optique sans fil, destiné à couvrir une surface continue dont les dimensions sont telles qu’une cellule photonique élémentaire de communications par optique sans fil ne peut pas couvrir seule à cause des caractéristiques limitatives de ses dimensions (cf. revendication 112 alinéa « f » et « g ») ; ledit groupement de cellules photoniques élémentaires de communications par optique sans fil est composé de « P x Q » cellules optiques enveloppantes « ENVOPCell » (cf. revendication 112, alinéa « e » à alinéa « g ») adjacentes lui permettant de servir d’intermédiaire de communications par optique sans fil entre un réseau de communications électroniques ou un appareil électronique et des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes ou entre seulement lesdits appareils « TAEBD » ; les « P x Q » cellules optiques enveloppantes sont désignées ci-après par "CeHpq" ou par "Cell [/?.</]" et leurs « P x Q » zones prismatiques de couverture par "ZCOPRBM \p q\" où « p » est un indice de numérotation de colonne tel que «p e {1, ... , P}» et « q » est un indice de numérotation de ligne tel que « q e { I . ..., Q}» ; les « Up.q » pseudo-satellites photoniques appartenant à une cellule enveloppante « Cell pq »/« Cell \p. q | » sont désignés ci-après par "PSAT-X/ </" où le paramètre « X » est un indice d’énumération alphabétique ou alphanumérique ou par "PSATlp.i/]^" où « k » est un indice de numérotation tel que « k e {1, Up g}» ; « P » et « Q » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « Up.q » est un nombre entier tel que « Up g > 3 » ; ledit groupement de cellules photoniques élémentaires de communications par optique sans fil est dénommé ci-après

"système d’intermédiation de communications par optique sans fil", en abrégé "système « SICOSF »" ; Ledit système d’intermédiation « SICOSF » est caractérisée en ce que :

a) Il est dépourvu de tout moyen de liaison filaire pour le relier au milieu extérieur et notamment, il ne comporte aucune fibre optique pour le relier à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique ou à un dispositif photonique quelconque (FIG.168 à FIG.211) ni pour la relier à l’un desdits appareils « TAEBD » (FIG.228 à FIG.243) ; et b) Sa zone de couverture « ZCOPRISM-G-CELLS » est le volume de l’espace formé par Giihίoh ensembliste des « P Q » zones prismatiques de couverture « ZCOPRISM [/>. <7] » des « P x Q » cellules enveloppantes « Cell \p.q\ » : i.e.

c) Il communique avec le milieu extérieur par optique sans fil par des faisceaux « FROP » relatifs auxdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ » (cas « P = 2 » et « g = 7 », « 2 » cellules enveloppantes « Cell [7.7] » et « Cell [2.7] » et « 7 » plan de niveau des conduits de « CFO », « PNIV7 » : FIG.168, 16941A11 à l714lAl l, 17341A11, 16942A11 à 17142A11, 17342A11, 16941D11 à l714lD l l, 17341D11, 16942D11 à 17142D11, 17342D11, 16941C11 à 17141C11, 17441C11, 16942C11 à 17142C11, 17442C11, 16941B21 à 17141B21, 17441B21 à 17541B21, 17741B21 à 17841B21, 16942B21 à

17142B21, 17442B21 à 17542B21, 17742B21 à 17842B21, 16941C21 à

17141C21, 17441C21 à 17541C21, 17741C21 à 17941C21, 16942C21 à

17142C21, 17442C21 à 17542C21, 17742C21 à 17942C21, 16941D21 à

17141D21, 17441D21, 17741D21, 18041D21, 16942D21 à 17142D21, 17442D21, 17742D21, 18042D21 ; cas « P = 2 » et « Q = 2 », « 4 » cellules enveloppantes « Cell [7.7] », « Cell [2.7] », « Cell [7.2] », « Cell [2.2] » et « 2 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV2 » : FIG.182 à FIG.184, 18541A12 à 18841A12, 18542A12 à 18842A12, 19141A12 à 19241A12, 19142A12 à 19242A12, 19441A12, 19441A12, 18541D12 à 18941D12, 19141D12 à 19241D12, 19441D 12, 18542D12 à 18942D12, 19142D12 à 19242D12, 19442D12, 18541B22 à 18841B22, 19041B22, 19241B22 à 19341B22, 19641B22, 18542B22 à

18842B22, 19042B22, 19242B22 à 19342B22, 19642B22, 18541C22 à 18841C22, 19041C22, 19241C22 à 19341C22, 19641C22, 19941C22, 18542C22 à 18842C22, 19042C22, 19242C22 à 19342C22, 19642C22, 19942C22, 18541A22 à 19041A22, 19241A22, 19541A22, 18542A22 à 19042A22, 19242A22, 19542A22, 18542B12 à 18942B12, 19242B12, 19542B 12, 18542B 12 à 18942B12, 18541B 12 à 18941B12, 19241B12, 19541B12, 18541C12 à 18941C12, 19241C12, 19541C12, 19841C12, 18542C12 à 18942C12, 19242C12, 19542C12, 19842C12, 18541D22 à 19041D22, 19241D22, 19541D22, 19841D22, 18542D22 à 19042D22, 19242D22, 19542D22, 19842D22 ; cas « P = 2 » et « Q= 4 », « 5 » cellules enveloppantes « Cell [7.7] », « Cell [2.7] », « Cell [7.2] », « Cell [2.2] »,

« Cell [7.3] », « Cell [2.3] », « Cell [7.4] », « Cell [2.4] » et « 4 » plans de niveau des conduits de « CFO », « PNIV4 » : FIG.200 à FIG.205, 20641A14, 20642A14, 20641D 14, 20642D14, 20741B 14, 20742B14, 20741C14, 20742C14, 20741A24, 20742A24, 20741B24, 20742B24, 20741C24, 20742C24, 20741D24, 20741D24, 20841B24, 20842B24, 20841C24, 20842C24, 20941A14, 20942A14, 20941D14, 20942D14, 21041A24, 21042A24, 21041B14, 21042B 14, 21041C14, 21042C14, 21041D14, 21042D14, 21141B24, 21142B24) ; et

d) Il comporte un emplacement dédié à l’installation d’un adaptateur de communications par optique sans fil destiné à être relié par des fibres optiques à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique pour permettre à ces derniers de communiquer par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec les « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q\ » ; et e) Il communique avec lesdits appareils « TAEBD » qui sont localisés à l’intérieur de sa zone de couverture

soient en mouvement ou dans un état stationnaire, par optique sans fil de type propagation en Vue-directe / Line-Of-Sight (LOS) et/ou d’un autre type via les pseudo-satellites « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/> » des « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell [ p . q\ » (FIG.228 à FIG.243) ; et

f) Le nombre des plans de niveau des conduits « CFO » des pseudo satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/ / » et le nombre des déviateurs de faisceau « FROP » (cf. revendications 104, 109) installés dans les conduits « CFO » sont en adéquation avec le nombre « P x Q » desdites cellules enveloppantes « Cell \p.q\ » et l’emplacement du pseudo-satellite considéré au sein du système d’intermédiation « SICOSF » (cas « 1 » plan de niveau des conduits de « CFO », « P = 2 » et « Q = 1 », « 2 » cellules enveloppantes : FIG.168 à FIG.181, FIG.228 à FIG.234 ; cas « 2 » plans de niveau des conduits de « CFO », « P = 2 » et « Q = 2 », « 4 » cellules enveloppantes : FIG.182 à FIG.199, FIG.235 à FIG.241 ; cas « 4 » plans de niveau des conduits de « CFO », « P = 2 » et « Q = 4 », « 8 » cellules enveloppantes : FIG.200 à FIG.211, FIG.242 à FIG.243).

114. Adaptateur de communications par optique sans fil destiné, entre autres, à être relié par des fibres optiques à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique pour leur permettre de communiquer par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec un système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113) comportant « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q | » ayant chacune « Up q » pseudo-satellites photoniques « PSATI/A Î/ I^ »/« PSAT-X/ / ». afin d’établir des liaisons par optique sans fil avec des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendication 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q\ » ; le paramètre « X » est un indice d’énumération alphabétique tel que « X e {A, B, C, D, ... , Z}») ou alphanumérique tel que « X e {Al l, Bl l, Cl l, Dl l, A y, B tj, G j, D j, ... , Zij} » ; « p » est un indice de numérotation de colonne tel que «p e {1, ... , *}» ; « q » est un indice de numérotation de ligne tel que « q e {1, Q}» : « k » est un indice de numérotation tel que « k e {7, Up q}» ; « P » et « Q » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « Up.q » est un nombre entier tel que « Up q > 3 » ; ledit adaptateur est dénommé ci-après "Adaptateur simple de communications par optique sans fil" et désigné par "ADAPT- COMFROP" ; Ledit adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP » est caractérisé en ce qu’il est formé par transformation d’un pseudo-satellite photonique « PSAT » (cf. revendication 104) ou d’un groupement Multi-Pseudo-Satellite photonique (cf. revendication 108) effectuée de la manière suivante (FIG.127 à FIG.132, 145ADAPT à 152ADAPT) :

a) En ôtant lesdits moyens photoniques de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight (LOS) permettant de le relier par optique sans fil auxdits appareils « TAEBD » (cf. revendication 97, alinéa « b » ; cf. revendication 98 ; cf. revendication 111, alinéa « a ») ; et

b) En installant dans les conduits « CFO » dudit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique (cf. revendication 100) ou dudit châssis cylindrique principal de base de « Multi-PSAT » photonique (cf. revendication 111, alinéa « b ») exclusivement :

i) Des couples de convertisseurs optiques (FIG.127, 127-

[2 x CONFROP + 2 x CONSOP], 128CONFROP, 128CONSOP, 130CONFROP, 130CONSOP, 132CONFROP, 132CONSOP) dont l’un est dédié à la conversion de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » émergent dudit adaptateur et l’autre dédié à la conversion de faisceau « FROP » incident entrant dans ledit adaptateur en source quasi-ponctuelle ; et

ii) Le nombre desdits couples de convertisseurs optiques est tel que chaque pseudo-satellite photonique « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/> » appartenant à une cellule enveloppante « Cell \p. q\ » possède un couple de convertisseurs optiques dédié (cas « U= 4 » pseudo-satellites photoniques, « ^P-CONVEX » est un 15261C11, 14762C11 à 14962C11, 15162C11 à 15262C11 ; 14761D11 à 15161D11, 14762D11 à 15162D11) ; et

c) En installant dans ledit module de couplages mécanique et photonique, notamment dans ledit châssis cylindrique élémentaire de couplages mécanique et photonique (cf. revendication 107) ou dans ledit châssis cylindrique étendu de couplages mécanique et photonique (cf. revendication 111, alinéa « c ») :

i) Les extrémités des fibres optiques destinées à relier ledit adaptateur « ADAPT-COMFROP » audit réseau de communications électroniques ou audit appareil électronique ; et

ii) Des moyens de connexion permettant de relier lesdites extrémités des fibres optiques auxdits couples de convertisseurs optiques ; et

d) En créant des trous de passage des fibres optiques pour relier ledit adaptateur « ADAPT-COMFROP » à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique (1270PTICAL-FIBER-H0LE à 1280PFIBER- HOLE, 130OPFIBER-HOLE, 1320PFIBER-H0LE) ; et

e) En remplaçant le couvercle de protection dudit pseudo-satellite photonique (cf. revendication 106) par un couvercle ajusté aux dimensions dudit adaptateur « ADAPT-COMFROP » (127ADAPT-CHASSIS-COVER, 129ADAPT-CHASSIS-COVER, 130ADAPT-CHASSIS-COVER, 132ADAPT- CHASSIS-COVER).

115. Adaptateur de communications par optique sans fil ayant des moyens photoniques de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue- directe / line-of-sight (LOS) intégrés, destiné d’une part, à se substituer à un pseudo-satellite photonique (cf. revendications 97 à 107) ou à un groupement multi- pseudo-satellite photonique (cf. revendication 111), et d’autre part, à être relié par des fibres optiques à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique pour leur permettre de communiquer par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec un système d’intermédiation « SICOSF » (cf. revendication 113) comportant « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell [p. ] » ayant chacune « Up q » pseudo-satellites photoniques « PSATI/lί/I^ »/« PSAT-X/ / », afin d’établir des liaisons par optique sans fil avec des appareils « TAEBDz » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q\ » ; le paramètre « X » est un indice d’énumération alphabétique tel que « X e {A, B, C, D, Z}») ou alphanumérique tel que « X e {Al l, Bl l, Cl l, D l l, A ij, B ij, Ci j, D i.j, ... , ¾}» ; «p » est un indice de numérotation de colonne tel que «p e {1, ... , P}» ; « q » est un indice de numérotation de ligne tel que « q <E {1, ... , Q}» ; « P » et « Q » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « Up q » est un nombre entier tel que « Up q > 3 » ; ledit adaptateur de communications par optique sans fil ayant des moyens photoniques de liaisons par optique sans fil de type propagation en vue- directe / line-of-sight intégrés est dénommé ci-après "adaptateur combiné « PSAT »" et désigné par "COMBINED-ADAPT-PSAT" ou plus précisément " ADAPT-PSAT -Xpq ' ' ou "ADAPT-X/?!/" ou "ADAPT-PSAT[/?.I/]a" s’il peut remplacer en même temps un pseudo-satellite photonique « PSATfp. j^ »/« PSAT-

Xpq , ou "COMBINED-ADAPT-G-PSAT" s’il peut remplacer en même temps un groupement multi-pseudo-satellite photonique ; si « G = 2 », un adaptateur combiné « COMBINED-ADAPT-G-PSAT » est aussi désigné par "COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT" ou plus précisément "ADAPT-PSAT-X/K/Y/ S" OU "ADAPT-X/¾/Yrs" ou "ADAPT- PSATI/i.i/^-PSATIr. v ^" s’il peut remplacer un groupement de « 2 » pseudo-satellites photoniques adjacents ?SkJ\px[\Lj« Xpq » et PSATIrs^ Ai Yrs » où le paramètre « Y » est un indice d’énumération alphanumérique, « r » est un indice de numérotation de colonne tel que

5 » est un indice de numérotation de ligne tel que k » est un indice de numérotation tel que « / » est un indice de numérotation tel que si « G = 3 » ou « G = 4 », un adaptateur combiné T-G-PSAT » est désigné respectivement par T-TRIO-PSAT" ou "COMBINED-ADAPT-QUAT- PSAT" ; ledit adaptateur combiné « COMBINED-ADAPT-PSAT » ou « COMBINED-ADAPT-G-PSAT » est caractérisé en ce qu’il est formé par transformation d’un pseudo-satellite photonique (cf. revendication 107) « PSAT » (FIG.133 à FIG.138, 133COMBINED -ADAPT -P S AT -OneLevel,

134COMBINED-ADAPT-PSAT-OneLevel, 135COMBINED-ADAPT-PSAT- TwoLevels, 136COMBINED-ADAPT-PSAT-TwoLevels, 137COMBINED- ADAPT-PSAT-FourLevels, 138COMBINED-ADAPT-PSAT-FourLevels) ou par transformation d’un groupement multi-pseudo-satellite photonique (cf. revendication 111) « Multi-PSAT » (FIG.139 à FIG.144, 139COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT-OneLevel, 140COMBINED -ADAPT -DUO -PS AT-

OneLevel, 141COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT-TwoLevels, 142COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT-TwoLevels, 143COMBINED -ADAPT -DUO -PS AT- FourLevels, 144COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT-FourLevels), qui est réalisée de la manière suivante (cas « 1 » plan de niveau « PNIV » et « 1 » cellule enveloppante : 157ADAPT-B11 à 161ADAPT-B 11, 163ADAPT-B 11,

165ADAPT-B11 ; cas « 7 » plan de niveau « PNIV » et « 2 » cellules enveloppantes : 168ADAPT-B11A21, 169ADAPT-B 11A21, 170ADAPT-

B 11A21, 171ADAPT-B 11A21, 172ADAPT-B 11A21, 174ADAPT-B11A21 ; cas « 2 » plans de niveau « PNIV » et « 4 » cellules enveloppantes : 182ADAPT- B 11A21, 183ADAPT -B 11 A21 , 184ADAPT-B 11 A21 , 185ADAPT-B 11A21,

186ADAPT-B11A21, 187ADAPT-B 11A21, 188ADAPT-B11A21, 189ADAPT- B l 1A21, 190ADAPT-B11A21, 192ADAPT-B 11 A21 ; cas « 4 » plans de niveau « PNIV » et « 8 » cellules enveloppantes : 200ADAPT-B11A21, 201ADAPT- B 11A21, 202ADAPT -B 11 A21 , 203 AD APT -B 11 A21 , 204 AD APT -B 11 A21 , 205ADAPT-B 11 A21 , 207ADAPT-B 11A21) :

a) En installant dans les conduits « CFO » dudit châssis cylindrique principal de base de « PSAT » photonique (cf. revendication 100) ou dudit châssis cylindrique principal de base de « Multi-PSAT » photonique (cf. revendication 111, alinéa « b ») exclusivement :

i) Des couples de convertisseurs optiques (FIG.133 à FIG.144, 133CONFROP à 144CONFROP, 133CONSOP à 144CONSOP) dont l’un est dédié à la conversion de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » émergent dudit adaptateur combiné et l’autre dédié à la conversion de faisceau « FROP » incident entrant dans ledit adaptateur combiné en source quasi-ponctuelle ; et

ii) Le nombre desdits couples de convertisseurs optiques est tel que chaque pseudo-satellite photonique « PSATfp. J^ »/« PSAT-X/%/ » appartenant à une cellule enveloppante « Cell \p. q | », mis à part celui qui est intégré audit adaptateur combiné, possède un couple de convertisseurs optiques dédié (cas « U = 4 » pseudo-satellites photoniques, « ^P-CONVEX » est un rectangle de longueur

b) En créant des trous de passage des fibres optiques pour relier ledit adaptateur combiné « COMBINED-ADAPT-PSAT» à un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique (1330PTICAL- FIBER-HOLE à 1360PTICAL-FIBER-H0LE, 1380PFIBER-H0LE, 140OPFIBER-HOLE, 1420PFIBER-H0LE, 1440PFIBER-H0LE) .

116. Adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT- COMFROP » selon la revendication 114 ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » selon la revendication 115, destiné à la communication par optique sans fil par des faisceaux « FROP » avec un système d’intermédiation « SICOSF » (cf. revendication 113) comportant « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Ce 11 \p. q\ » ayant chacune « Up q » pseudo-satellites photoniques « PSATI/i.c/^. »/« PSAT-X/%/ ». afin d’établir des liaisons par optique sans fil entre un réseau de communications électroniques ou à un appareil électronique et des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « Px Q » cellules optiques enveloppantes « C’ell \p.q\ » (214ADAPT à 220ADAPT, 227.ADAPT-B11 à 227.ADAPT-B11, 228ADAPT-B 11 A21 à 243ADAPT- B11A21) ; le paramètre « X » est un indice d’énumération alphabétique tel que « X e {A, B, C, D, ..., Z}») ou alphanumérique tel que « X e {Al l, Bl l, Cl l, Dl l, ... , A ij, B ij, Ci.j, D ij, Z i.j}» ; « p » est un indice de numérotation de colonne tel que «p e {1, ..., P}» ; « q » est un indice de numérotation de ligne tel que « q e {1, ... , Q » ; « k » est un indice de numérotation tel que « k e {1, Up.q }» ; « P » et « Q » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « Up.q » est un nombre entier tel que « Up q ³ 3 » ; Ledit adaptateur de communications par optique sans fil est caractérisé en ce qu’il est relié par des fibres optiques à « P x Q » cartes optoélectroniques distales réparties à raison de « 1 » carte optoélectronique distale pour une cellule optique enveloppante lui permettant de s’interfacer avec un réseau de communications électroniques ou avec un appareil électronique ; la carte optoélectronique dédiée à une cellule optique enveloppante « Cell \p.q\ » est désignée ci-après par "OPTOE- BRD[/.</| " ; ledit adaptateur est dénommé ci-après "Adaptateur de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées" ; Chaque carte optoélectronique distale « OPTOE-BRD[p.^] » dédiée à une cellule optique enveloppante « Cell [ p . q\ », comprend au moins les « 15 » éléments suivants ou d’autres éléments permettant d’obtenir des résultats finaux équivalents : - (a) «M x Up q » photo-émetteurs ; - (b) « x ^p.q” ph°to- détecteurs ; - (c) des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo émetteurs ; - (d) des moyens de filtrages optiques dédiés aux photo détecteurs ; - (e) « Up q » coupleurs optiques « combiner » ; - (f) « Up q » coupleurs optiques « splitter » ; - (g) « Up q » fibres optiques dédiées aux «Mx Up q » photo-émetteurs (h) « Up q » fibres optiques dédiées aux « Mx Up g » photo-détecteurs ; - (i) des moyens de sélection des longueurs d’onde d’émission sur requête ; - (j) des moyens de sélection des longueurs d’onde de réception sur requête ; - (k) des moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/ / » pour l’émission sur requête ; - (1) des moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-

Xpq » pour la réception sur requête ; - (m) des moyens de signalisations des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des pseudo-satellites photoniques « PSAT[p. q\kl »/« PSAT-X/ / » en service pour l’émission, et/ou des pseudo-satellites photoniques « PSAT \p q\k2 »/« PSAT-Y/;c/ » en service pour la réception, automatiquement ou sur requête ; - (n) des moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres, automatiquement ou sur requête ; - (o) des moyens de génération de requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « Afin. [T] » et « Ah un [T] » en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites < P x (J > cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ » ; Explicitement ces « 15 » éléments sont tels que :

a) Lesdits « Mx Up q » photo-émetteurs sont de type LED ou diode laser ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales d’émission au moins équivalentes à celles de ces dernières ; les « Mx Up q » photo-émetteurs sont désignés ci-après par « YWT\p.q\j k » ; « M » est un nombre entier tel que

« M ³ 2 » ; les indices de numérotation « j » et « k » sont tels que «j e {1, ... , M}» et « k e {l, Up q}» ; et

b) Lesdits « Mx Up q » photo-détecteurs sont de type PIN Photodiode ou d’autres types ayant des caractéristiques nominales de réception au moins équivalentes à celles de cette dernière ; les « Mx Up q » photo-détecteurs sont désignés ci-après par « PHD \p q\j k » ; et

c) Lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-émetteurs permettent de filtrer les rayonnements issus des « Mx Up q » photo-émetteurs « PHT \p.q\j k » pour former « Mx Up q » sources d’émission de rayonnements optiques filtrés ayant des bandes spectrales étroites centrées sur « M » longueurs d’onde distinctes ; les « M» longueurs d’onde distinctes sont dénommées ci-après "longueurs d’onde d’émission" et désignées par « Àtn, ...,lίGM» ; lesdits moyens de filtrage dédiés aux photo-émetteurs sont arrangés de manière à ce que les «M » longueurs d’onde d’émission soient réparties à raison de « 1 » longueur d’onde d’émission «lίh» pour « Upq » photo-émetteurs « PHTfp. ]^j, ..., PHTfp. ]^n » ; les «^Jp.q» sources d’émission de rayonnements optiques filtrés dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde d’émission «lίh» sont désignées par « ST\p.q\j j. » ; lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux

photo-émetteurs sont dénommés ci-après "moyens de filtrages optiques d’émission" ; et

d) Lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux photo-détecteurs, permettent de filtrer les rayonnements optiques destinés aux «M x Up q » photo détecteurs « PHDfp. ]^ » pour former «MxUp g» sources de rayonnements optiques incidents filtrés ayant des bandes spectrales étroites centrées sur «M» longueurs d’onde distinctes avant d’atteindre les «M x Up q » surfaces de détection des «Mx Up q » photo-détecteurs « PHDfp. ]^ » ; les «M » longueurs d’onde distinctes sont dénommées ci-après "longueurs d’onde de réception" et désignées par «/Jri, ...,/,/ v/». identiques auxdites «M» longueurs d’onde d’émission ; lesdits moyens de filtrage dédiés aux photo -détecteurs sont arrangés de manière à ce que les «M» longueurs d’onde de réception soient réparties à raison de «7» longueur d’onde «lίh» pour «Upq» photo-détecteurs

;les« Up » sources de rayonnements optiques

filtrés destinés aux photodétecteurs, dont les bandes spectrales sont centrées sur une même longueur d’onde de réception « lίh » sont désignées par « » : lesdits moyens de filtrages optiques dédiés aux

photo-détecteurs sont dénommés ci-après "moyens de filtrages optiques de réception" ; et

e) Lesdits « Up q » coupleurs optiques « combiner » possèdent chacun « M » entrées et « 1 » sortie et dont :

i) Les « M » entrées sont reliées à « M » photo-émetteurs dédiés parmi lesdits «MxUp q» photo-émetteurs« PHTfp. ]^ » et dont les «M» bandes spectrales après filtrages sont distinctes et centrées sur l’une des «M » longueurs d’onde d’émission « tn, /.iru » ; et ii) La sortie est reliée à un connecteur de fibre optique permettant de le relier par fibre optique audit adaptateur de communications par optique sans fil afin d’y former un faisceau « FROP » destiné à l’un desdits « Up q » pseudo-satellites photoniques « PSAT[p. q\k » ; un coupleur optique « combiner » relatif à un pseudo satellite photonique « PSATI i. ]^ » est désigné ci-après par "CPLR- COMBINER^.ÿ]^' ; et f) Lesdits « Up q » coupleurs optiques « splitter » possèdent chacun « 1 » entrée et « M » sorties et :

i) L’entrée est reliée à un connecteur de fibre optique permettant de le relier par fibre optique audit adaptateur de communications par optique sans fil afin d’y recevoir une source quasi-ponctuelle résultant de la conversion d’un faisceau « FROP » émis par l’un desdits « Up q » pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ » ; un coupleur optique « splitter » relatif à un pseudo-satellite photonique « PSATfp. ^ » est désigné ci-après par "CPLR- SPLITTER^y ; et

ii) Les « M » sorties sont reliées à « M » photo-détecteurs dédiés parmi lesdits « M x Up q » photo-détecteurs « PH \p.q\j k » dont les moyens de filtrage sont centrés sur « M » longueurs d’onde distinctes parmi lesdites longueurs d’onde de réception « lίp, /.tru » ; et

g) Lesdites « Up q » fibres optiques dédiées aux « Mx Up q » photo émetteurs « PHT|/r q \j k », ont l’une des deux extrémités connectée à la sortie d’un coupleur optique « combiner » dédié parmi lesdits « Up q » coupleurs optiques « CPLR-COMBINER|/AÎ;/ |/_ » et l’autre extrémité connectée à un convertisseur optique de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » (cf. convertisseur « CONSOP », revendications 102 ou 108) dédié à l’un desdits « Up q » pseudo satellites photoniques « PSAT[p. q\k »/« PSAT-Xpq » appartenant à ladite cellule enveloppante « Cell \p.q\ » ; lesdits « Up q » fibres optiques sont dénommées ci- après "fibres optiques d’émission" et désignées par « Y\Ji-T\p.q\k », leurs extrémités de couplage avec ledit adaptateur de communications par optique sans fil sont dénommées "extrémités de couplage photonique d’émission", et leurs extrémités de couplage avec les sorties desdits « Up q » coupleurs optiques « combiner » de ladite carte optoélectronique distale « OPTOE-BRDfp. ] » sont dénommées "extrémités de couplage optoélectronique d’émission" ; et h) Lesdites « p g » fibres optiques dédiées aux « Mx p g » photo détecteurs « ¥\S)\p.q\j k », ont l’une des deux extrémités connectée à l’entrée d’un coupleur optique « splitter » dédié parmi lesdits « Up g » coupleurs optiques « CPLR-SPLITTER[p. q\k » et l’autre extrémité est connectée à un convertisseur optique de faisceau « FROP » incident entrant dans ledit adaptateur de communications par optique sans fil en source quasi-ponctuelle (cf. convertisseur « CONFROP », revendications 103 ou 108) dédié à l’un desdits « Up g » pseudo satellites photoniques « PSAT[p. q\k »/« PSAT-X/ / » appartenant à ladite cellule enveloppante « Cell \p. q | » ; lesdites « Up g » fibres optiques sont dénommées ci- après "fibres optiques de réception" et désignées par « FIB-R[p. q\k », leurs extrémités de couplage avec ledit adaptateur de communications par optique sans fil sont dénommées "extrémités de couplage photonique de réception", et leurs extrémités de couplage avec les entrées desdits « Up g » coupleurs optiques de type « splitter » de ladite carte optoélectronique distale « OPTOE-BRD[ >. ] » sont dénommées "extrémités de couplage optoélectronique de réception" ; et

i) Lesdits moyens de sélection des longueurs d’onde d’émission permettent sur requête d’autoriser l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « M » longueurs d’onde d’émission « { /Jri. /.tr\/ } » et de bloquer l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde d’émission « lίh » consiste à autoriser l’usage d’au moins « 1 » des « Up g » photo-émetteurs « PHT \p.q\j . . . , PHT \p.q\j Up » dont les rayonnements optiques filtrés ont des bandes spectrales centrées sur ladite longueur d’onde d’émission « lίh » ; bloquer l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde d’émission « lίh » consiste à bloquer l’usage desdits « Up g » photo-émetteurs « PHT \p.q\j .... RHT|/lί/|/ ; / / » ; et j) Lesdits moyens de sélection des longueurs d’onde de réception permettent sur requête d’autoriser l’usage pour la réception des signaux par fibre optique de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « M » longueurs d’onde de réception « { À tri, . . . . /.Ir\/ [ » et de bloquer l’usage pour la réception des signaux par fibre optique du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour la réception des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde de réception « lίh » consiste à autoriser l’usage d’au moins « 1 » des « Up q » photo-détecteurs dont les rayonnements optiques incidents filtrés

associés ont les bandes spectrales centrées sur ladite longueur d’onde de réception « lίh » ; bloquer l’usage pour la réception des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde de réception « lίh » consiste à bloquer l’usage desdits « Up q » photo-détecteurs

k) Lesdits moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/> » pour l’émission permettent sur requête d’autoriser, pour chacune desdites longueurs d’onde d’émission « trj », l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « Up q » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, ... , PSAT|/ .c/|r/ t/ } » et de bloquer l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde d’émission « lίh » par un pseudo satellite photonique « PSATfp. ^ » parmi les « Up q » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, ... , PSAT|/ .c/|/ / t/ } appartenant à une cellule optique enveloppante « Cell \p. q\ », consiste à autoriser l’usage du photo-émetteur « RHT|/l q\ k » dont la bande spectrale de rayonnement est centrée sur ladite longueur d’onde d’émission « lίh » et qui est relié à l’une des « M » entrées du coupleur optique « CPLR-COMBINERfp. ^ » relatif audit pseudo-satellite photonique « PSATfp. ^ » ; bloquer l’usage pour l’émission des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde d’émission « lίh » par un pseudo-satellite photonique « PSATI .^]^ » consiste à bloquer l’usage dudit photo-émetteur « PHT \p-q\j k » ; et l) Lesdits moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSAT[p.</]£ »/« PSAT-X/N/ » pour la réception permettent sur requête d’autoriser, pour chacune desdites longueurs d’onde de réception « lίh », l’usage pour la réception des signaux par fibre optique de tout sous-ensemble, au sens mathématique du terme, de l’ensemble des « Up g » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, ... , PSAT|/;.c/|r/ t/ } » et de bloquer l’usage pour la réception des signaux par fibre optique du sous-ensemble complémentaire ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous-ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; par définition, autoriser l’usage pour la réception des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde de réception « lίh » par un pseudo-satellite photonique « PSATI .^]^ » parmi les « Up g » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, ... , PSAT|/;.c/|/ / t/ } appartenant à une cellule optique enveloppante « Cell \p.q\ ». consiste à autoriser l’usage du photo-détecteur « YH \p.q\j k '>'> auquel est destiné le rayonnement filtré ayant une bande spectrale centrée sur ladite longueur d’onde de réception « lίh » et qui est issu de l’une des « M » sorties du coupleur optique « C P L R- S P L I TT ER [/»_ <;/ |/c» relatif audit pseudo satellite photonique « PSATfp. ^ » ; bloquer l’usage pour la réception des signaux par fibre optique d’une longueur d’onde de réception « lίh » par un pseudo-satellite photonique « PSATfp. ^ » consiste à bloquer l’usage dudit photo-détecteur « VHD\p.q\] k » ; et m) Lesdits moyens de signalisations des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des pseudo satellites photoniques « PSATI/J.I/]^ »/« PSAT-X/n/ » en service pour l’émission, et/ou des pseudo-satellites photoniques « PSAT[p.¾i]Æ2 »/« PSAT-

Y pq » en service pour la réception, permettent automatiquement ou sur requête de diffuser périodiquement par optique sans fil et/ou par RF suivant une période préalablement définie, des signaux destinés à des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ » desquels ces dernières peuvent en déduire :

i) Ledit sous-ensemble des longueurs d’onde d’émission actives ; et/ou ii) Ledit sous-ensemble des longueurs d’onde de réception actives et/ou iii) Ledit sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques en service pour l’émission, de l’ensemble des « Up q » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, PSATfp. ]^ } » de ladite cellule optique enveloppante

« Ce 11 \p.q\ » ; et/ou

iv) Ledit sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques en service pour la réception, de l’ensemble des « Up q » pseudo-satellites photoniques « { PSAT[p. ];, ..., PSATfp. ]^ } » de ladite cellule optique enveloppante

« Cell \p.q\ » ; Lesdits moyens de signalisations des longueurs d’onde d’émission en service, et/ou des longueurs d’onde de réception en service, et/ou des pseudo satellites photoniques « PSATfp. ]^ »/« PSAT-X/ / » en service pour l’émission, et/ou des pseudo-satellites photoniques « PSAT \p q\k2 »/« PSAT-Y/ c/ » en service pour la réception, sont dénommés ci-après "Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ; la longueur d’onde d’émission des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés est une longueur d’onde dédiée, différente de chacune des longueurs d’onde d’émission et de réception « tri, .... /.t ni » : la longueur d’onde d’émission des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est dénommée ci-après "Longueur d’onde de Signalisations" et désignée par « y-nr. » ; ladite période préalablement définie peut dépendre de Y instant considéré ou être constante, elle est dénommée ci -après "Période Instantanée de Signalisations" et désignée par « D ÎBL [T] » où « T » est un instant, i.e. un point de Y espace affine temps ; et

n) Lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres, permettent automatiquement ou sur requête d’exécuter périodiquement, suivant une période préalablement définie, au moins les opérations suivantes :

i) Détecter par optique sans fil et/ou par RF des signaux diffusés par des Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception appartenant à des appareils « TAEBDz » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ » ; et ii) Faire l’acquisition des données utiles contenues dans les signaux diffusés par lesdites Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception ; et

iii) Ecrire lesdites données utiles dans une mémoire dédiée à double accès ; lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres sont dénommés ci-après "Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ; ladite mémoire dédiée à double accès est dénommée ci-après "Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception" ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises" ; la longueur d’onde de réception du Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est une longueur d’onde dédiée, différente de chacune des longueurs d’onde d’émission et de réception « l tri, ... , lίTM » ; la longueur d’onde de réception dédiée au Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception est dénommée ci-après "Longueur d’onde de Détection" et désignée par « IDBL » et on a « DBL = /./;/. » ; ladite période préalablement définie du Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception peut dépendre de Yinstant considéré ou être constante, elle est dénommée ci-après "Période Instantanée de Détections de Balises" et désignée par « AÎDBL [T] » où « T » est un instant, i.e. un point de Y espace affine temps ; et o) Lesdits moyens de génération de requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « AÎBL [T] » et « AÎDBL [T] » en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement des appareils « TAEBD » à reseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) en mouvement ou dans un état stationnaire localisés dans lesdites « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ », permettent d’exécuter périodiquement, suivant une période préalablement définie, au moins les opérations suivantes :

i) Lire la Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises pour recueillir les données qu’elle contient à un instant « T » ; et

ii) Effectuer une analyse des données contenues dans la Mémoire Double Accès de Détecteur de Balises afin d’établir d’une part, les Périodes Instantanées de Signalisation et de Détection de Balises « AÎBL [T] » et « AÎDBL [T] » appropriées et d’autre part, les paramètres à utiliser entre Yinstant « T » et Yinstant « T + AÎDBL [T] » pour communiquer avec lesdits appareils « TAEBD », à savoir un sous-ensemble des longueurs d’onde d’émission et/ou un sous-ensemble des longueurs d’onde de réception et/ou un sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/%/ » pour l’émission et/ou un sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-

Xpq » pour la réception ; l’ensemble vide étant considéré comme sous-ensemble de n’importe quel ensemble et tout ensemble est considéré comme étant un sous- ensemble de lui-même ; le sous-ensemble vide étant le complémentaire de tout ensemble considéré comme le sous-ensemble de lui-même et réciproquement ; et

iii) Sur la base du résultat de ladite analyse des données, envoyer des requêtes appropriées à mettre instantanément en œuvre par lesdits moyens de sélection des longueurs d’onde d’émission et/ou auxdits moyens de sélection des longueurs d’ondes de réception et/ou auxdits moyens de sélection des pseudo satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/ / » pour l’émission et/ou auxdits moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT- Xpq » pour la réception ; et

iv) Sur la base du résultat de ladite analyse des données, définir et affecter instantanément les Périodes Instantanées « D ÎBL [T] » et « AÎDBL [T] » appropriées respectivement aux Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et au Détecteur de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception ; lesdits moyens de génération des requêtes et de détermination des Périodes Instantanées « Alm. [T] » et « AÎDBL [T] » en fonction de la catégorie ou de la vitesse du mouvement des appareils « TAEBD », sont dénommés ci-après "Générateur des Périodes Instantanées de Signalisations, des Périodes Instantanées de Détections et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo satellites photoniques" ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Générateur des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques" et désigné par "GPIRC[p. ]" ; ladite période préalablement définie dudit Générateur « GPIRC[p. q\ » est désignée par « AÎREQ ».

117. Adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT- COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées selon la revendication 116, caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de gestion des « P x Q » Générateurs « GPIRC[p. ] » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques, appartenant chacun à une carte optoélectronique distale « OPTOE-BRDfp. ] » dédiée à la cellule optique enveloppante « Ce 11 \p.q\ » parmi les « P x Q » cellules optiques enveloppantes appartenant au système d’intermédiation « SICOSF » (cf. revendication 113) permettant de : a) Mutualiser les ressources desdits « P x Q » Générateurs « GPIRC[p. ] » et coordonner leurs activités ; et

b) Définir et envoyer des requêtes appropriées à mettre instantanément en œuvre par lesdits moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ^ »/« PSAT-X/> » pour l’émission et/ou par lesdits moyens de sélection des pseudo-satellites photoniques « PSATfp. ]^ »/« PSAT-X/%/ » pour la réception, sur la base des résultats desdites analyses des données contenues à un instant « T » dans lesdites Mémoires à Double Accès des « P x Q » Détecteurs de Balises appartenant aux « P x Q » cartes optoélectroniques distales « OPTOE- BRD|/ri;/| » ; « p » est un indice de numérotation des colonnes des cellules tel que «p e {1, ... , /*}» ; « q » est un indice de numérotation des lignes des cellules tel que « q e {/, ... , Q » ; « k » est un indice de numérotation des pseudo-satellites tel que « k e {1, Up g}» ; « P » et « Q » des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « Up.q » est un nombre entier tel que « Up g > 3 » ; lesdits moyens de gestion des « P x Q » Générateurs « GPIRC[p. ] » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques sont dénommés ci-après "Module de Gestion des Générateurs « GPIRC|/?.</] » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques" ou, si aucune confusion n’est à craindre, "Module de Gestion des Générateurs « GPIRC[/?.</] "

118. Adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT- COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées, selon la revendication 117 ; ledit adaptateur simple ou combiné comporte « P x Q » cartes optoélectroniques distales réparties à raison de « 1 » carte optoélectronique distale pour une cellule optique enveloppante lui permettant de s’interfacer avec un réseau de communications électroniques ou avec un appareil électronique pour relier ce dernier par des faisceaux « FROP » (FIG.30, 214ADAPT à 220ADAPT, 227.ADAPT-B11 à 227.ADAPT-B 11, 228ADAPT-B 11A21 à 243ADAPT-B11A21) à un système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113) comportant « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Ce 11 \p.q\ » (FIG.168 à FIG.211) ; ledit système d’intermédiation « SICOSF » d’une part, transforme en faisceaux « FROP » sans distinction les signaux émis par optique sans fil par des appareils localisés au sein de ses « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q\ » et reçus par leurs pseudo-satellites photoniques par propagation en vue-directe / line-of-sight (LOS) ou autres (FIG.228 à FIG.243) pour ensuite acheminer tous les faisceaux « FROP » ainsi formés vers lesdits adaptateurs « ADAPT-COMFROP » ou « COMBINED-ADAPT-PSAT » par des faisceaux « FROP », et d’autre part, transforme les faisceaux « FROP » fournis par lesdits adaptateurs « ADAPT-COMFROP » ou « COMBINED-ADAPT-PSAT » en plusieurs sources étendues de diffusions de rayonnements optiques par les pseudo-satellites photoniques destinataires des faisceaux « FROP » fournis au sein des cellules enveloppantes auxquelles ils appartiennent ; ledit système d’intermédiation « SICOSF » contient, au sein de ses « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p.q\ », « R » appareils « TAEBD » à reseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde qui sont similaires et interconnectés (cf. l’une des revendications 88 à 96) ; lesdits « R » appareils « TAEBD » comportent chacun « L » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples (cf. revendication 40) ; chacun desdits « L » dispositifs de communications possède une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples, ayant « Mx N » angles solides de diffusion de rayonnements optiques et « Mx N » angles solides de réception de rayonnements optiques ; lesdites matrices disposent toutes des mêmes « M » longueurs d’onde d’émission et de réception « /.in. /Jr\i » ; lesdits « R » appareils « TAEBD » sont désignés ci- après par « TAEBDz.t, ... , TAEBDZ.J? » ; ledit système d’intermédiation « SICOSF » contient, au sein de ses « P x Q » cellules optiques enveloppantes « Cell \p. q\ », entre autres, « E » autres appareils « TAEBD » en activités qui sont similaires aux « R » appareils « TAEBDzJ, ... , TAEBDZ.J? » mais auxquels les « R » appareils « TAEBDz /. ... , TAEBDz. « » ne sont pas connectés ; les « E » autres appareils « TAEBD » en activité sont désignés ci-après par « TAEBDsJ, ... , TAEBDS.E » ; « P » et « Q » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 2 » ; « L », « M », « N », « R » et « E » sont des nombres entiers tels que « Z > 2 », « M > 2 », « N > 2 », « R > 1 » et « E > 0 » ; « r » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , R}» ; Ledit adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou ledit adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED- ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées est caractérisé en ce que ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC[p. ] des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques, comporte des moyens utilisant un algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil permettant de chercher à rendre à tout instant « T » les communications par optique sans fil entre tout couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz.r] » composé d’un système « SICOSF » et un appareil « TAEBDz.r » : - (a) adaptées aux positions à l’instant « T » des uns par rapport aux autres des « R » appareils « TAEBDzJ, ... , TAEBDZ.J? » et des « E » appareils « TAEBDs.l, ... , TAEBDS.Æ » ; - (b) adaptées aux vitesses de mouvement desdits appareils ; - (c) adaptées aux autres paramètres instantanés d’émission et/ou de réception à l’instant « T », fournis par lesdits moyens de détections de Balises de Signalisations des Paramètres Instantanés d’Emission et/ou de Réception et d’acquisitions desdits paramètres (cf. revendication 116, alinéa « n ») appartenant audit adaptateur de communications par optique sans fil ; à savoir, le sous-ensemble des longueurs d’ondes d’émission et le sous-ensemble des longueurs d’ondes de réception en service, le sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques pour l’émission et le sous-ensemble des pseudo-satellites photoniques pour la réception en service i.e. les angles solides de diffusion et de réception desdits pseudo-satellites photoniques (cf. revendication 98), le sous-ensemble des angles solides de diffusion et le sous-ensemble des angles solides de réception en service appartenant aux « R » appareils « TAEBDz J, ... , TAEBDZ.J? » et/ou aux « E » appareils « TAEBDs.l, ... , TAEBDS.Æ » ; ledit adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou ledit adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées dont le Module de Gestion des Générateurs « GPIRC|/ .c/| des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques comporte des moyens utilisant un tel algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil sont dénommés ci-après respectivement «adaptateur simple de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde » ou «adaptateur combiné de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde » ou en abrégés respectivement "adaptateur simple de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives « APDLO »" ou "adaptateur combiné de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives « APDLO »" ; Un système d’intermédiation « SICOSF » en liaison avec un réseau de communications électroniques ou avec un appareil électronique via un adaptateur simple ou combiné de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives « APDLO » est dénommé ci-après "Système « SICOSF » à réseau de cellules photoniques enveloppantes, adaptatif en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde" ou en abrégé "Système « SICOSF » à réseau de pseudo-satellites d’émission et de réception, adaptatif « APDLO »" ou "Système « SICOSF » adaptatif

« APDLO »" ; Explicitement, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil permet de chercher à déterminer périodiquement, suivant ladite période instantanée « AÎGG [T] » (cf. revendication 87, alinéa « c ») périodiquement mise à jour et en concordance avec lesdits « R » appareils « TAEBDz.t, ... , TAEBDz.i? » et lesdits « A » appareils « TAEBDs , ... , TAEBDS.Æ », pour chaque couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz.r] » les éléments à utiliser entre un instant « T » et Yinstant « T + AÎGG [T] » pour avoir des communications optimisées par optique sans fil indépendamment de leurs positions et/ou leurs vitesses de mouvement, à savoir :

a) Un couple approprié « [Cell \pzr qzr ], Ü^TRz.rx ] » composé d’une cellule photonique enveloppante appropriée « Cell \p7r q7r ] » et d’un dispositif approprié de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples « Üh Rz.rx » dont l’usage pourrait permettre d’avoir des communications de qualité optimale ; » est un indice de numérotation

appartenant à l’ensemble « {1, ... , /*}» ; « q7r » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, .... Q\» : « x0 » est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , Z}» et « ,@TRz.r e { i^TRz.r,, ... , i^TRz.r, }» où «{ i^TRz.rj, ... , i^TRz.r^}» est l’ensemble des « Z » dispositifs de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples appartenant à l’appareil « TAEBDz.r » ; et

b) Une longueur d’onde appropriée ou un couple de longueurs d’ondes appropriées dont l’usage par ledit couple « [Cell \pzr qzr ], i¾TRz.rx ] » pourrait permettre d’avoir des communications par optique sans fil entre ledit couple « [système SICOSF, appareil TAEBDz.r] » sans interférence optique avec des signaux de communications par optique sans fil entre d’autres couples formés à partir de l’ensemble « {système SICOSF, TAEBDz. /. ... , TAEBDzn} » ou entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDs , TAEBDS.E·} » ; explicitement, il s’agit de :

i) Une seule longueur d’onde appropriée « /Jr. n » à la fois

|/'zrO ¾zroJ d’émission et de réception des signaux par optique sans fil parmi les «M» longueurs d’onde d’émission et de réception « l tri, ... , l ÎTM » ; « l/AnA/z J " est un indice de numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , M}» ; ou

ii) Un couple de longueurs d’ondes appropriées d’émission et de réception des signaux par optique sans fil dont le premier élément est une longueur d’onde d’émission parmi les «M » longueurs d’onde d’émission et de réception « lίh, ..., /.tr\i » et le deuxième élément une longueur d’onde de réception parmi les «M» longueurs d’onde d’émission et de réception « l tri, ..., ÎTM » ; ledit couple de longueurs d’ondes approprié étant relatif à ladite cellule enveloppante « Cell \p7r . q7 r ] » et celui qui est relatif audit dispositif « TR z.rx » s’en déduit par permutation ; le couple de longueurs d’ondes relatif à ladite cellule enveloppante particulière « Cell \p7r ,q7r ] » est désigné ci-après par

0 0

« [lί .. /.r ] » et celui relatif au dispositif particulier « ^TRz.r »

[P zro ¾zroJ [P zro ¾zroJ o étant le permuté « [l rrn n n] » est un indice de

[ zro· ^zroj |/^zr0· yzroj

numérotation appartenant à l’ensemble « {1, ... , M}» ; et

c) Un pseudo-satellite photonique approprié « PSAT[pzr0.^zr0]Æo » et un couple d angles solides approprié dudit dispositif « Ü^TRz.rx » où « kQ » est un indice de numérotation tel que « k e {1, Upzt .q7r } » et où « Upzt ,q7r > 3 » étant le nombre des pseudo-satellites photoniques de ladite cellule enveloppante

« Cell \p .qZr | »), dont l’usage par ledit couple « |Cell »

utilisant ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « /J r. n »

LAzrO-yzroJ ou utilisant ledit couple de longueurs d’ondes « [lί .. /./' ] » et son jr i-ir Lh.r» | LAzrO ^zroJ permuté ledit couple de longueurs d’ondes rw Lr zro-

i) Obtenir des communications par optique sans fil par vue- directe/line-of-sight dont, d’une part, le nombre des pseudo-satellites « R8AT[£>ZG0G0] » pour l’émission et pour la réception de ladite cellule enveloppante « C’cll |/i7 . 7r \ » sont réduits chacun à « 7 » au lieu des

0 0 « Upzr qzr » pour chacun d’entre eux qui sont associés à ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « Xtr » ou audit couple de longueurs

[rzro s/zroj

d’ondes « [lί part, le nombre des angles

L zrû-

solides de diffusion et le nombre des angles solides de réception relatifs audit dispositif « Üh Rx./x » sont réduits chacun à « 1 » au lieu des « N » pour chacun d’entre eux qui sont associés à ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « Xtr . » ou audit couple de longueurs d’ondes l/'zro· VzroJ

" \ r Xt ] », le permuté de celui relatif à ladite cellule

|/'zrO c/zroJ y zro ^/zroj

enveloppante particulière « Cell \p7r .cj7r ] » ; i.e. les signaux de communications par optique sans fil entre le couple approprié « [Cell \p7r qzr ], Üh Rx./'x ] » sont confinés uniquement dans la région de l’espace qui, entre un instant « T » et Y instant « T + D/GG [T] », est formée par l’union ensembliste de l’angle solide d’émission et/ou de réception du pseudo-satellite photonique « PSAT|/»Zro. <:/7ril |/ » et du couple à’ angles solides dudit dispositif « J¾TRZ./*X » et délimitée par la portée maximale des signaux échangés ou le cas échéant par des obstacles ; et

ii) Ne pas interférer optiquement dans les communications par optique sans fil entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDs. /. ... , TA EBDS E} » même si ces derniers utilisent ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « Xtr » ou ledit couple de longueurs d’ondes

[ zro s/zroj

; et

iii) Ne pas laisser interférer optiquement les communications par optique sans fil entre des appareils de l’ensemble « {TAEBDs. /. ... , TAEBDS E} » dans les communications par optique sans fil entre ledit couple « [SICOSF, TAEBDz.r] ». 119. Adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT-

COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées, selon l’une quelconque des revendications 117 à 118, dont ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC[/?.</| des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo-satellites photoniques est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens d’émission et de réception de signaux par RF pouvant : a) Se mettre instantanément en service, automatiquement ou sur requête envoyée par ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC \p.q\, en cas d’anomalie dans l’émission et/ou la réception de signaux par optique sans fil pour assurer la continuité de l’émission et/ou de la réception des signaux par RF, sans interrompre le cas échéant une communication en cours ; lesdites anomalies étant l’une des suivantes :

i) Pour un couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz.r] », ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, après une ou plusieurs tentatives entre un instant « T » et Y instant « T + D/GG [T] » ne parvient pas à identifier un couple approprié « [Cell \p7r q7r ], Üh Rz r | » composé d’une cellule photonique enveloppante appropriée « Cell \pzr qzr ] » et d’un dispositif approprié de communications par optique sans fil à longueurs d’onde d’émission et de réception multiples » dont l’usage entre Yinstant « T » et Yinstant

« T + D/GG [T] » pourrait permettre d’avoir des communications de qualité optimale entre ledit couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz r] » ; ou

ii) Pour un couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz r] » interconnecté, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, bien qu’ayant identifié entre un instant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] un couple approprié « [Cell \p7r q7r ], Üh Rx./y ] », ne parvient pas à identifier après une ou plusieurs tentatives entre Yinstant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] » une longueur d’onde appropriée « /J r. n » à la fois d’émission et de réception des

[Fzro· q zroj

signaux par optique sans fil ou un couple de longueurs d’ondes appropriées d’émission et de réception des signaux par optique sans fil dont l’usage entre Yinstant « T » et Yinstant

« T + D/GG [T] » par ledit couple « [Cell \p7r q7r ], Î^TR z.rx ] » pourrait permettre d’avoir des communications par optique sans fil entre ledit couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz r] » sans interférence optique avec des signaux de communications par optique sans fil entre d’autres appareils similaires ; ou

iii) Pour un couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz r] » interconnecté, ledit algorithme d’optimisation des communications par optique sans fil, bien qu’ayant identifié entre un instant « T » et Yinstant « T + D/GG [T] un couple « [Cell \pzr qzr ], i¾TRz.rx ] » et une longueur d’onde appropriée « Xtr » à la fois d’émission et de réception des signaux par optique sans

|/'zrO c/zroJ

fil ou un couple de longueurs d’ondes appropriées d’émission et de réception des signaux par optique sans fil « [lί Xr ] », ne parvient pas à

|/'zrO c/zroJ |/'z ·> </z ·o|

identifier un pseudo-satellite photonique approprié et un couple d "angles solides approprié dudit dispositif « ® est un indice de numérotation tel que « Qe { /. Upzr ,qZr > 3 »

étant le nombre des pseudo-satellites photoniques de ladite cellule enveloppante

« Cell \pzr ,q7r ] »), dont l’usage par ledit couple « [Cell \p7r q7r ], i¾TR z.r ] » utilisant ladite longueur d’onde à la fois d’émission et de réception « Xtr. n »

[P zrû-yzroj ou utilisant ledit couple de longueurs d’ondes « [ t .. Xr ] » et son

\r i-i· Lh.r» | \iJ7. iW Lhrn\ permuté ledit couple de longueurs d’ondes « [Xr Xt ] » permet

I/'zi-A/z i-o | [ zr o-yzroj d’avoir des communications par optique sans fil entre le couple « [Système SICOSF, appareil TAEBDz r] » par vue-directe/line-of-sight ; et b) Se mettre instantanément à l’arrêt, automatiquement ou sur requête envoyée par ledit Module de Gestion des Générateurs « GPIRC[p. ], dès que ladite anomalie est résolue ; lesdits moyens d’émission et de réception de signaux par RF sont dénommés ci-après "Module de Communications d’Appoint par RF".

120. Adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT- COMFROP » à cartes optoélectroniques distales intégrées ou adaptateur combiné de communications par optique sans fil « COMBINED-ADAPT-PSAT » à cartes optoélectroniques distales intégrées, selon l’une quelconque des revendications 117 à 119 dont ledit Module de Gestion des Générateurs « GPI RC [/?.</] » des Périodes Instantanées et des Requêtes de Choix des longueurs d’onde et des pseudo satellites photoniques est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens utilisant un algorithme permettant d’effectuer des sauts de longueurs d’ondes par des permutations, au sens mathématique du terme, des longueurs d’onde d’émission et par des permutations des longueurs d’onde de réception, afin de :

a) Supprimer les interférences optiques inter-symboles « Optical Inter- Symbol Interférence / ISI » pour réduire le « Bit Error Rate / BER » dans les communication par optique sans fil, selon les techniques telles que « All-Optical Orthogonal Frequency-Division Multiplexing / AO-OFDM », « All-Optical

Orthogonal Frequency-Division Multiple Access / AO-OFDMA » et « All-Optical Coded Orthogonal Frequency-Division Multiplexing / AO-COFDM » ou d’autres techniques donnant des résultats au moins équivalents ; et/ou

b) Etaler le spectre optique d’émission des rayonnements optiques, pour augmenter substantiellement la protection contre les risques d’interceptions malveillantes en internes des données véhiculées par des signaux de communications par optique sans fil dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant.

121. Passerelle photonique d’interconnexion de systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil, destinée à relier au moins deux systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113), afin de permettre à des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) qui sont localisés au sein desdits systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communiquer entre eux par optique sans fil, sans passer par un réseau de communications électroniques ou un appareil quelconque de communications électroniques ; ladite passerelle photonique d’interconnexion de systèmes d’intermédiation « SICOSF » est caractérisée en ce qu’elle comporte (FIG.212- FIG.213) au moins :

a) « 2 » Adaptateurs simples de communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP » (cf. revendication 114) désignés ci-après par « ADAPT- COMFROP1 » et « ADAPT-COMFROP2 » (213AD APT -COMFROP 1 , 213ADAPT-COMFROP2) ; et

b) « 1 » coupleur optique (2130PC0UPLER) permettant d’interconnecter lesdits adaptateurs de communications par optique sans fil « ADAPT- COMFROP 1 » et « ADAPT-COMFROP2 », tel que :

i) Les signaux optiques fournis par tous les convertisseurs optiques « CONFROP » de faisceau « FROP » en source quasi-ponctuelle (cf. revendication 103) appartenant à l’adaptateur « ADAPT-COMFROP 1 » (213ADAPT-COMFROP1) sont mélangés et distribués à tous les convertisseurs optiques « CONSOP » de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » (cf. revendication 102) appartenant à l’adaptateur « ADAPT-COMFROP2 » (213ADAPT-COMFROP2) ; et

ii) Les signaux optiques fournis par tous les convertisseurs optiques « CONFROP » de faisceau « FROP » en source quasi-ponctuelle (cf. revendication 103) appartenant à l’adaptateur « ADAPT-COMFROP2 » (213ADAPT-COMFROP2) sont mélangés et distribués à tous les convertisseurs optiques « CONSOP » de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » (cf. revendication 102) appartenant à l’adaptateur « ADAPT-COMFROP1 » (213ADAPT-COMFROP 1 ) .

122. Répéteur photonique pour cellule enveloppante de système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil, destiné à relier par optique sans fil des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 88 à 96) qui sont localisés au sein d’un même système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113), afin de leurs permettre de communiquer entre eux par optique sans fil sans passer par un réseau de communications électroniques ou un appareil quelconque de communications électroniques ; ledit répéteur photonique pour cellule enveloppante de système d’intermédiation « SICOSF » est caractérisé en ce qu’il comporte :

a) « 1 » adaptateur simple de communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP » (cf. revendication 114) ; et

b) « 1 » coupleur optique permettant d’interconnecter les composants photoniques appartenant audit adaptateur «communications par optique sans fil « ADAPT-COMFROP », tel que les signaux optiques fournis par tous les convertisseurs optiques « CONFROP » de faisceau « FROP » en source quasi- ponctuelle (cf. revendication 103) sont mélangés et distribués à tous les convertisseurs optiques « CONSOP » de source quasi-ponctuelle en faisceau « FROP » (cf. revendication 102).

123. Répéteur photonique pour cellule enveloppante de système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil selon la revendication 122 ou Passerelle photonique d’interconnexion de systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communication par optique sans fil (FIG.212- FIG.213) selon la revendication 121, caractérisé en ce qu’il ou elle comporte au moins un amplificateur optique de l’un des types suivants ou autres : - (a) amplificateur à effet RAMAN ; - (b) amplificateur à fibre dopée, par de l’erbium i.e. EDFA ou autres ; - (c) amplificateur optique à semi-conducteur, i.e. SOA ; - (d) amplificateur paramétrique.

124. Data center comportant plusieurs baies/armoires contenant chacune des serveurs au format rack/rack server ou au format lame /blade server ou autres formats appropriés ; certaines desdites baies /armoires sont de même dimensions et elles sont installées de manière à former une matrice de baies /armoires ayant « M » colonnes et « N » lignes ; les « M x /V » baies /armoires éléments de ladite matrice sont désignés ci-après par "B-Rack [/,/] " ; « / » est un indice de numérotation de colonne tel que « / e {/, ; « y » est un indice de numérotation de ligne tel que «; e {i, ... , N}» ; « M » et « N » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 1 » ; chaque baie/armoire « B-Rack |/./ | » comporte, installé à son sommet, un appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 92 à 94) ; le boîtier dudit appareil « TAEBD » est cylindrique circulaire, i.e. de la forme d’un segment de cylindre droit dont la courbe directrice « ?* » est un cercle et la droite génératrice « d » étant orthogonale au plan contenant ledit cercle «Jë » : ledit appareil « TAEBD » comporte plusieurs matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples ; certaines desdites matrices d’antennes photoniques sont réparties à la surface latérale dudit boîtier cylindrique circulaire de manière à ce que les droites génératrices de leurs substrats cylindriques d’émission et de réception à groupes de cavités multiples (cf. revendication 1, alinéa « a ») soient parallèles à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire ; certaines autres desdites matrices d’antennes photoniques sont réparties à la surface d’au moins une des deux bases circulaires dudit boîtier cylindrique circulaire de manière à ce que les droites génératrices de leurs substrats cylindriques d’émission et de réception soient orthogonales à l’axe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire ; au moins une matrice d’antennes photoniques parmi celles qui sont réparties à la surface latérale dudit boîtier cylindrique circulaire, est installée sur un support mobile lui permettant d’effectuer des déplacements rectilignes parallèlement à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire, des déplacements angulaires par rapport audit axe de symétrie et des déplacement angulaire par rapport à un axe lié audit support mobile et parallèle à Taxe de symétrie dudit boîtier cylindrique circulaire ; ledit support mobile dispose de plusieurs moteurs électriques dédiés à commande de position programmable pour effectuer lesdits déplacements de la matrice d’antennes photoniques ; un appareil « TAEBD » dédié à la baie/armoire « B-Rack [/.y] » et installé à son sommet est désigné ci-après par "TAEBD [i.j\ " ; les « M x N appareils « TAEBD [/.y] » sont nominalement identiques ; Ledit data center est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de communications par optique sans fil et/ou par RF comportant un algorithme permettant de commander tous les moteurs électriques à commande de position programmable de tous lesdits supports mobiles (cf. revendication 94) des « Mx N » appareils « TAEBD [/.y] » afin de mettre lesdites matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples qui sont installées sur lesdits supports mobiles, en coordination les unes avec les autres, dans des positions telles que tout appareil « TAEBD [/0./0] » dédié installé au sommet de la baie /armoire « B-Rack | » de la matrice des baie s /armoire s peut communiquer par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight via lesdites matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples avec des nombreux autres appareils « TAEBD |/,/ | », dont au moins les appareils suivants :

a) Tous les « N- 1 » appareils « TAEBD [A 0] » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack [Aj0] » qui sont localisées sur la colonne « k » et la ligne « j0 » où « k ¹ i0 » et « k e {/, ... , M}» ; et

b) Tous les « N - 1 » appareils « TAEBD [i0.k\ » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack[/0.A] » qui sont localisées sur la colonne « i0 » et la ligne « k » où « k j0 » et « k e {/, ... , N}».

125. Data center comportant plusieurs baies/armoires contenant chacune des serveurs au format rack/rack server ou au format lame /blade server ou autres formats appropriés ; certaines desdites baies /armoires sont de même dimensions et elle sont installées de manière à former une matrice de baies /armoires ayant « M » colonnes de baies /armoires et « N » lignes de baies/armoires ; les « Mx N » éléments de ladite matrice de baies /armoires sont désignés ci -après par "B- Rack |/,/| " : « / » est un indice de numérotation de colonne tel que « / e {i, «y » est un indice de numérotation de ligne tel que

« j e { /. ; « M » et « A » sont des nombres entiers tels qu’au moins l’un d’entre eux est supérieur à « 1 » ; chaque baies /armoires « B-Rack | i.j\ » comporte un appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde (cf. revendications 95 à 96) installé à son sommet ; le boîtier dudit appareil « TAEBD » étant de la forme d’un segment de prisme droit dont le sommet est un octogone régulier « ABCDEFGH » et les « 8 » centres des arêtes « AB », « BC », « CD », « DE », « EF », « FG », « GH » et « HA » étant respectivement par « Oi », « Ch », « Ch », « Ch », « Ch », « Ch », « Ch », et « Os » ; les matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples installées le long des « 8 » arêtes « AB », « BC », « CD », « DE », « EF », « FG », « GH » et « HA » de l’octogone régulier « ABCDEFGH » étant fixées chacune sur un support mobile lui permettant d’effectuer des déplacements rectilignes perpendiculairement au plan dudit octogone régulier « ABCDEFGH » et des déplacements rectilignes parallèlement à l’arête dudit octogone régulier « ABCDEFGH » relative à la matrice d’antenne photonique ; ledit appareil « TAEBD » est désigné ci-après par "TAEBD [/./] " : les « M x N » appareils « TAEBD [/.y] » installés aux sommets des « M x N » baies /armoires « B-

Rack f/.y] » sont nominalement identiques et les « M x N » octogones réguliers formant leurs sommets sont désignés par "ABCDEFGH [ .y] ", les arêtes de ces derniers par « AB [/,/] », « BC [/,/] », « CD [/,/] », « DE [i.j\ », « EF [i.j\ », « FG [/,/] », « GH [i.j\ » et « HA » et les centres de ces arêtes respectivement par « Oi \i.j\ ». « O2 [ij]», « O3 [/./]», « O4 [i.j]», « Os [i.j]», « Or, [i.j]», « O7 [i.j]» et « Os [/./!» ; Ledit data center est caractérisé en ce que les « Mx N » appareils « TAEBD [/, y] » installés aux sommets des « Mx N » baies /armoires « B-

Rack [/.y] » sont orientés de la manière suivante ou de toute autre manière similaire dont, entre autres, un changement par permutation circulaire des noms des arêtes :

a) Pour toute colonne « / », les centres « 01 [/ y] » des «y » arêtes

« AB [/.y] » et les centres « O5 [/.y]» des « y » arêtes « EF [/.y] » sont alignés sur une même droite « Ac / » spécifique à ladite colonne « / » ; et

b) Pour toute ligne « y », les centres « O3 [/.y]» des « / » arêtes « CD [/.y] » et les centres « Ch [/y]» des « y » arêtes « GH [/y] » sont alignés sur une même droite « AL, » spécifique à ladite ligne « / ».

126. Data center selon la revendication 125 dont chacun desdits « Mx N » appareils « TAEBD [7 y] » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde, dédiés aux desdites « Mx N » baies /armoires « B-Rackf/y] » et installés à leurs sommets, comporte pour chacune des « 8 » arêtes de son polygone régulier « ABCDEFGH [7 y] » deux moteurs électriques à commande de position programmable dédiés au support mobile sur lequel est fixée une matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples afin d’effectuer des déplacements perpendiculairement au plan du polygone régulier « ABCDEFGH [z ] » et des déplacements parallèlement à l’une de ses arêtes ; Ledit data center est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens de communications par RF disposant d’un algorithme permettant de commander lesdits moteurs électriques à commande de position programmable (cf. revendication 96) de chacun desdits « Mx N » appareils « TAEBD [/y] », afin de positionner les matrices d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples qui sont installées sur lesdits supports mobiles (cf. revendications 95 à 96) de manière à ce que chaque appareil « TAEBD [/0./0] » installé au sommet de la baies /armoires « B-Rack | if).jf)\ » de la matrice des baies /armoires puissent communiquer par optique sans fil de type propagation en vue-directe / line-of-sight via lesdites matrice d’antennes photoniques d’émission et de réception par optique sans fil à longueurs d’onde multiples avec des nombreux autres appareils « TAEBD |/./ | », dont au moins les appareils suivants :

a) Tous les « N- 1 » appareils « TAEBD [A 0] » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack [A 0] » qui sont localisées sur la colonne « A » et la ligne « j0 » où « k ¹ i0 » et « k e {/, ... , M}» ; et

b) Tous les « N - 1 » appareils « TAEBD [i0.k\ » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack [i0 k\ » qui sont localisées sur la colonne « i0 » et la ligne

c) Tous les appareils « TAEBD [r.s] » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack [r.s] » de la matrice de baies /armoires et dont la colonne d’indice « r » et la ligne d’indice « 5 » sont tels que les centres « O 21 r ..s | » des arêtes « BC [r.s] » et les centres « Or, [ . s | » des arêtes « GF |r..v | » des octogones réguliers « ABCDEFGH |/ . v| » des sommets desdits appareils « TAEBD |r..v | » sont alignés sur la droite passant par le centre « O2 [/0 0]» de l’arête « BC [/0 0] » et par le centre « O6[/0. 0]» de l’arête « GF [/0 0] » de l’octogone régulier « ABCDEFGH[70.y0] » de l’appareil « TAEBD [/0.j0] » ; et

d) Tous les appareils « TAEBD [r.s] » installés aux sommets des baies /armoires « B-Rack [r.s] » de la matrice de baies /armoires et dont la colonne d’indice « r » et la ligne d’indice « 5 » sont tels que les centres « 04 [r.i]» des arêtes « DE [r.s] » et les centres « O | ..s | » des arêtes « HA | / . v| » des octogones réguliers « ABCDEFGH |/ . v| » des sommets desdits appareils « TAEBD [r.s] » sont alignés sur la droite passant par le centre « O4 de l’arête « DE \ilrjll\ » et par le centre « O8[/0.70]» de l’arête « HA [70.y0] » de l’octogone régulier « ABCDEFGEI | i .j \ » de l’appareil « TAEBD [/0 0] ».

127. Data center comportant au moins une matrice « Mx N » de baies /armoires « B-Rack [7.7] » ayant chacune un appareil « TAEBD [7.7] » dédié à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde installé à son sommet selon l’une quelconque des revendications 124 ou 126 ; Ledit data center est caractérisé en ce qu’il comporte des moyens permettant de renforcer la capacité desdites « Mx N » baies /armoires « B-Rack \i.j\ » à communiquer par optique sans fil et, le cas échéant, la capacité à communiquer par optique sans fil d’autres matrices de baies/armoires ayant chacune un appareil « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde installé à son sommet (cf. revendications 92 à 96), à savoir au moins les moyens suivants :

a) Un système d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil (cf. revendication 113) déployé tel que ladite matrice « Mx N » de baies /armoires « B-Rack [/.y] » est au sein des cellules enveloppantes dudit système d’intermédiation « SICOSF » ; et

b) Une ou plusieurs Passerelles photoniques d’interconnexion de plusieurs systèmes d’intermédiation « SICOSF » (cf. revendication 121) si ledit data center comporte plusieurs systèmes d’intermédiation « SICOSF » dont les cellules enveloppantes contiennent des matrices de baies /armoires avec, installés à leurs sommets, des appareils « TAEBD » à réseau d’antennes photoniques adaptatif en positions d’antennes photoniques, en directions d’émission et de réception et en longueurs d’onde ; et/ou

c) Un ou plusieurs Répéteur photonique pour cellule enveloppante de système d’intermédiation « SICOSF ».

128. Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de communications par RF et/ou de réduction des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles de communication par RF et/ou de réduction de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants localisés dans les bâtiments ou autres environnements clos ou semi-clos ; Uadite Méthode est caractérisée en ce qu’elle consiste à :

a) Déployer dans lesdits bâtiments ou autres environnements clos ou semi-clos des systèmes « SICOSF » d’intermédiation de communications par optique sans fil (cf. la revendication 113) ; et

b) Mettre en place des moyens d’interconnexion dudit réseau cellulaire avec lesdits systèmes d’intermédiation « SICOSF » de communications par optique sans fil, via lesdits adaptateurs simples « ADAPT-COMFROP » de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde ou via lesdits adaptateurs combinés « COMBINED-ADAPT- PSAT » de communications par optique sans fil à cartes optoélectroniques distales intégrées adaptatives en positions des pseudo-satellites d’émission et de réception et en longueurs d’onde ; lesdits adaptateurs simples « ADAPT-COMFROP » et lesdits adaptateurs combinés « COMBINED-ADAPT-PSAT » étant configurés de manière appropriée pour pouvoir communiquer par des faisceaux « FROP » avec ledit système d’intermédiation « SICOSF » (cf. revendications 117 à 120) ; et c) Remplacer les terminaux mobiles et autres appareils communicants pouvant être utilisés dans lesdits bâtiments ou autres environnements clos ou semi- clos, par des appareils « TAEBD » capables de communiquer par RF via un réseau cellulaire de téléphonie mobile par RF de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G » et leurs évolutions futures ou autres réseaux (cf. revendication 91) ; et

d) Configurer lesdits moyens d’interconnexion de manière à pouvoir : i) Faire basculer automatiquement les liaisons par RF dudit réseau cellulaire avec lesdits terminaux « TAEBD » mobiles associés qui pénètrent ou qui sont localisés dans lesdits bâtiments ou autres environnements clos ou semi-clos, vers des liaisons par optique sans fil via lesdits systèmes « SICOSF » d’intermédiation de communications par optique sans fil ; et

ii) Faire basculer automatiquement vers des liaisons par RF, les liaisons par optique sans fil via lesdits systèmes « SICOSF » d’intermédiation de communications par optique sans fil avec lesdits terminaux « TAEBD » mobiles associés qui sortent ou qui sont localisés hors desdits bâtiments ou hors desdits autres environnements clos ou semi-clos.

Description:
TERMINAL MOBILE ET RESEAU CELLULAIRE A ANTENNES ET PSEUDO-SATELLITES PHOTONIQUES POUR AUGMENTER LES VITESSES DE TRANSFERTS ET REDUIRE LES RISQUES DE MALADIES DU CERVEAU ET LA POLLUTION ELECTROMAGNETIQUE DE RF

DESCRIPTION

La description est organisée de la manière suivante :

I-Domaine technique de l’invention : Page 4 à 6

II-Etat de le technique et appréciations : Page 6 à 14

III -Exposé de l’invention : Page 14 à 21

IV-Avantages apportés par l’invention : Page 21 à 25

V-Brèves descriptions de figures : Page 25 à 32

VI-Manières d’exécuter l’invention : Page 32 à 149

Les formes au plurielle de certains termes incluent les formes au singulier, à moins que le contexte ne dicte clairement le contraire. De plus, le terme "composé de" signifie "comprend" et réciproquement.

Les expressions "longueur d’onde en cours d’utilisation" et "longueur d’onde en service" sont équivalentes.

L’expression « Réseau de communications électroniques » englobe l’expression « Réseau de télécommunications ».

Selon la Recommandation UIT-T K.6l/Règlement des radiocommunications de l'UIT-R, le terme « Radiofréquence », « RF » en abrégé, est relatif aux ondes électromagnétiques ayant une fréquence comprise entre 9kHz et 300GHz.

Les systèmes, appareils et procédés décrits dans la présente invention ne doivent pas être interprétés comme limitant de quelque manière que ce soit. Au contraire, la présente invention concerne toutes les caractéristiques et les aspects nouveaux et non évidents des divers modes de réalisation décrits, seuls et dans diverses combinaisons et sous-combinaisons entre elles. Les systèmes, procédés et appareils décrits ne sont pas limités à un aspect ou une caractéristique spécifique quelconque ou à des combinaisons de ceux-ci, et les systèmes, procédés et appareils décrits n'exigent pas qu'un ou plusieurs avantages spécifiques soient présents ou que des problèmes soient résolus.

Bien que certains des procédés divulgués soient décrits dans un ordre séquentiel particulier pour une présentation commode, il faut comprendre que cette manière de décrire englobe le réarrangement. Par exemple, les procédés décrits séquentiellement peuvent dans certains cas être réarrangés ou effectués simultanément.

Les théories de fonctionnement, les principes scientifiques ou d'autres descriptions théoriques présentées ici en référence aux appareils ou aux procédés de cette description ont été fournis dans le but d'une meilleure compréhension et ne sont pas destinés à être limitatifs. Les appareils et les procédés dans les revendications ne sont pas limités à ces appareils et procédés qui fonctionnent de la manière décrite par ces théories de fonctionnement.

Tous les dessins sont donnés uniquement à titre d’exemples et les rapports entre les longueurs, distances et angles sont réalisés de manière à ce que les dessins soient intelligibles pour le lecteur. En d’autres termes, pour exécuter l’invention il n’est pas nécessaire de respecter les formes des dessins et les proportions entre les différents éléments qui les composent. D’autre part, tous ces dessins ne montrent qu’une partie des diverses manières dont les systèmes, procédés et appareils décrits peuvent être réalisés ou utilisés conjointement avec d'autres systèmes, procédés et appareils.

Les environnements clos ou semi-clos considérés comme stationnaires sont, entre autres, les bâtiments au sens large du terme, tels que les immeubles de bureaux ou d’habitation collectives, les maisons individuelles, les magasins, les hôpitaux, les aéroports, les gares routières ou ferroviaires, les stations et couloirs de métro, les stations d’arrêts de bus et autre emplacements extérieurs destinés au public. Les environnements clos ou semi-clos considérés comme ambulants sont, entre autres, les voitures particulières et les véhicules de transport collectif au sens large du terme tels que les trains, avions, bateaux, métros, autobus, taxis et autres moyens de déplacement.

REMARQUES IMPORTANTES concernant les figures FIG.145 à FIG.211 et FIG.214 à FIG.243 :

1°) Par convention (FIG.145 à FIG.211) :

- Les libellés désignant les faisceaux FROP sont de la forme « ZZ41 Xij » ou « ZZ42 Xij » ; le code « 41 » signifie que le faisceau FROP est émis par le pseudo-satellite photonique « PAST-X/ÿ » à destination de l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN » ; le code « 42 » signifie que le faisceau FROP est émis par l’adaptateur ADAPT-COMFROP et destiné au pseudo-satellite photonique «PSAT-Xÿ » ; «X» appartient à l’ensemble (« A », « B », « C », « D »} ; « i » et « j » désignent respectivement le numéro de colonne et numéro de ligne de la cellule « Cellÿ » ; « ZZ » désigne le N° de la figure ;

- Les libellés désignant les convertisseurs optiques CONSOP installés dans un pseudo-satellite photonique «PSAT-Xÿ » sont de la forme « ZZ5 lXÿ » ; le code « 51 » signifie qu’il est un convertisseur de source quasi-ponctuelle en faisceau FROP émergeant.

- Les libellés désignant les convertisseurs optiques CONFROP installés dans un pseudo-satellite photonique «PSAT-Xÿ » sont de la forme « ZZ52 Xÿ » ; le code « 52 » signifie qu’il est un convertisseur de faisceau FROP incident, en source quasi-ponctuelle pour être diffusé par le pseudo-satellite «PSAT-Xÿ ».

- Les libellés désignant les convertisseurs optiques CONSOP installés dans un adaptateur ADAPT-COMFROP sont de la forme « ZZ61 Xÿ » ; le code « 61 » signifie que le convertisseur est dédié au pseudo-satellite « PSAT-Xÿ », pour envoyer à ce dernier un faisceau FROP résultant de la conversion d’une source de rayonnement quasi-ponctuelle.

- Les libellés désignant les convertisseurs optiques CONFROP installés dans un adaptateur ADAPT-COMFROP sont de la forme « ZZ62 Xÿ » ; le code « 62 » signifie que le convertisseur à dédié au pseudo-satellite photonique « PAST- Xÿ » pour recevoir le faisceau FROP envoyé par ce dernier, pour les convertir en source de rayonnement quasi-ponctuelle pour être acheminé vers l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN ».

- Les libellés désignant les déviateurs de faisceau FROP installés dans le conduit « PNI V/c-CFO 1 » du pseudo-satellite « PSAT-Xij » est de la forme « ZZ71Xij- PNIVC

- Les libellés désignant les déviateurs de faisceau FROP installés dans le conduit « PNI V/c-CF02 » du pseudo-satellite « PSAT-Xij » est de la forme « ZZ72Xij- PNIVC

- Les libellés désignant les déviateurs de faisceau FROP installés dans le conduit « PNIV -CF03 » du pseudo-satellite « PSAT-Xij » est de la forme « ZZ73Xij- PNIVC

- Les libellés désignant les déviateurs de faisceau FROP installés dans le conduit « PNIV/c-CF04 » du pseudo-satellite « PSAT-Xij » est de la forme « ZZ74Xij- PNIVC

°) Les indices (FIG.214 à FIG.243) de la forme « i(k) » sont les images au sens mathématique du terme d’une bijection « / » ; il est recommandé de commencer par prendre connaissance de la partie VI.F, intitulé « Théorie de la méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF & Exemples d’application ».

I-DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION

La présente invention se rapporte en général au domaine des Réseaux de Communications Electroniques (RCE), tels que défini ci-après, et des appareils électroniques de traitement de l’information, de communications, de visualisations, d’enregistrements audiovisuels ainsi que des appareils périphériques et accessoires associés. Lesdits Réseaux de Communications Electroniques concernent plus particulièrement, mais non exclusivement, les réseaux étendus cellulaires, les réseaux locaux par optique sans fil (OSF) et autres. Lesdits appareils électroniques concernent plus particulièrement, mais non exclusivement, les appareils fixes, portables ou mobiles et notamment les serveurs, les stations de travail, les ordinateurs de bureau, les ordinateurs portables, les livres électroniques, les Baby phones ( i.e. écoute bébé), les Baby Cams, les appareils audiovisuels, les appareils audio HIFI, les appareils multimédia et les terminaux desdits Réseaux de Communications Electroniques dont les téléphones portables suivant le standard DECT ® , les téléphones mobiles simples et les téléphones mobiles dits « intelligents » ou « smartphone ». Lesdits appareils périphériques concernent plus particulièrement, mais non exclusivement, les claviers, les souris, les imprimantes, les mémoires de masse externes, les haut-parleurs HI-FI sans fil et autres. Lesdits accessoires concernent plus particulièrement, mais non exclusivement, les lunettes de visualisation stéréoscopique à obturateurs de lumière, les lunettes de réalité virtuelle à micro-écrans, les casques audio sans fil, les objets connectés et autres.

Rappelons que la dénomination « Réseau de Télécommunications » est devenue obsolète en France depuis 2013. Elle est remplacée par la dénomination « Réseau de Communications Electroniques » qui est plus à jour, comme on peut le constater ci-après :

Télécommunication : (Source : Conférence Internationale Radiotélégraphique de 1947 à Atlantic City, USA) : « On entend par télécommunication toute transmission, émission de signes, de signaux, d’écrits, d’images, de sons ou de renseignement de toute nature par fil, radioélectricité, optique ou autres systèmes électromagnétiques ». Communications électroniques (Source : Legifrance.gouv.fr 2013, Code des postes et des communications électroniques, Article L32) : On entend par communications électroniques les émissions, transmissions ou réceptions de signes, de signaux, d'écrits, d'images ou de sons, par voie électromagnétique.

Réseau de communications électroniques (Source : Legifrance.gouv.fr 2013, Code des postes et des communications électroniques, Article L32) : On entend par réseau de communications électroniques toute installation ou tout ensemble d'installations de transport ou de diffusion ainsi que, le cas échéant, les autres moyens assurant l'acheminement de communications électroniques, notamment ceux de commutation et de routage. Sont notamment considérés comme des réseaux de communications électroniques : les réseaux satellitaires, les réseaux terrestres, les systèmes utilisant le réseau électrique pour autant qu'ils servent à l'acheminement de communications électroniques et les réseaux assurant la diffusion ou utilisés pour la distribution de services de communication audiovisuelle.

Equipement terminal (Source : Legifrance.gouv.fr 2013, Code des postes et des communications électroniques, Article L32) : On entend par équipement terminal tout équipement destiné à être connecté directement ou indirectement à un point de terminaison d'un réseau en vue de la transmission, du traitement ou de la réception d'informations. Ne sont pas visés les équipements permettant exclusivement d'accéder à des services de radio et de télévision.

Les conséquences pour la présente invention, des définitions officielles ci-avant sont les suivantes : - a) Le terme « Terminal Mobile » et son pluriel englobent le terme « Téléphone Mobile » et son pluriel. - b) Le terme « Terminal Portable » et son pluriel englobent le terme « Téléphone Portable » et son pluriel.

Par ailleurs, étant donné que les appellations « Mobile » et « Portable » prêtent souvent à confusion, pour la présente invention, leurs définitions sont les suivantes : - a) Le terme « Mobile », accolé au terme « Terminal », signifie qu’ il s’ agit d’un appareil portatif i.e. objet conçu pour être facilement porté avec soi (Cf. Dictionnaire Larousse), qu’un utilisateur peut s’en servir tout en se déplaçant au sein d’une Zone Géographique Etendue (ZGE) prédéterminée, pouvant être une ou plusieurs villes, un ou plusieurs pays, un ou plusieurs continents, comme c’ est le cas actuellement des terminaux dits « intelligents », i.e. «smartphone» ou autre appareil cellulaire. - b) Le terme « Portable » accolé au terme « Terminal » signifie qu’il s’ agit d’un appareil portatif qu’un utilisateur peut s’en servir tout en se déplaçant, mais dans une Zone Locale Restreinte (ZLR) tel que l’intérieur d’un bâtiment à usages professionnels ou d’ habitation ou autres, comme c’ est le cas des téléphones portables sans fil suivant le standard DECT ® ou similaires.

Ainsi, dans le cadre de la présente invention, un terminal mobile est un terminal portable mais pas l’inverse.

II-ÉTAT DE LA TECHNIQUE & APPRÉCIATIONS

II.A - État de la technique relative aux communications par optique sans fil - Appréciations

A cause des nombreux avantages de la communication par OSF par rapport à la communication par RF, des nombreuses inventions et publications relatives aux communications par IR comme alternative aux communications par RF dans les bâtiments, ont vu le jour ces dernières années.

Ces avantages sont, entre autres, les suivants : - a) Des débits très importants par rapport à ceux de communications par RF ; - b) un niveau de confidentialité extrêmement élevé ; - c) un déploiement sans besoin d’autorisation ; - d) comme une cerise sur le gâteau, pas de risque de maladie du cerveau ou autres maladies inhérentes au signaux de RF des téléphones portables de communications par RF (pour plus de détails sur ces risques de problème de santé publique, voir la partie ILB).

Dans le brevet d’invention US4456793 intitulé « Cordless Téléphoné System », Baker et al. divulguent un système de téléphone sans fil par IR basé sur la propagation en vue-directe, i.e. Line Of Sight (LOS), entre des téléphones fixes ou terminaux portables et un ensemble de satellites hémisphériques omnidirectionnels installés aux plafonds.

Une analyse de l’invention US4456793 montre que : - a) Chaque satellite est relié à un système central via des sous-systèmes par des câbles installés sous le plafond. Ce qui fait que le déploiement d’un tel système, nécessite des travaux importants pour faire passer lesdits câbles sous tous les plafonds d’un immeuble de bureau ou d’habitation et ensuite restaurer lesdits plafonds en étant obligé, entre autres, de refaire toute la peinture des zones concernées. Il va de soi que pour procéder à des telles installations dans un immeuble, une autorisation du propriétaire de ce dernier est nécessaire. Une telle autorisation ne pourra être obtenu en général que sous certaines conditions, et notamment la désinstallation du système et la restauration des lieux en fin de bail ; ce qui fait perdre l’un des bénéfices majeurs qui amène une personne physique ou une société à opter pour un système de communication sans fil, à savoir un moyen de communication sans fil que l’on peut déployer sans avoir besoin d’une autorisation quelconque ; - b) chaque cellule de communication est constituée d’un satellite ou groupe de satellites et la frontière de ladite cellule est prédéterminée par le rayon de couverture dudit satellite ou groupe de satellites et donc les directions de communications sont orientées de l’intérieur vers l’extérieur de ladite cellule ou groupe de cellules ; comme conséquence, deux cellules adjacentes se recouvrent forcement à leur frontière commune d’où des interférences et donc des temps de latences supplémentaires pour leurs résolutions par la méthode utilisée par les inventeurs, à savoir la méthode connue sous le nom de « Zéro Crossing Technique » ; - c) au niveau de chaque cellule, la communication avec les téléphones portables localisés dans cette dernière se fait par multiplexage temporel (i.e. Time Division Multiplexing) et donc, en présence d’autres terminaux similaires dans une même cellule, le débit deviendra relativement faible pour le transfert de fichiers volumineux et notamment les fichiers multimédia ; - d) les transducteurs d’émission et de réception de signaux optiques sont placés au sommet du téléphone portable ou du terminal sur une surface hémisphérique afin de les rendre multidirectionnels ; comme conséquences, cela les rend relativement volumineux voire encombrants ; de plus, une émission multidirectionnelle sans possibilité de sélection de la direction de communications peut, d’une part, s’avérer préjudiciable pour l’autonomie de la batterie du téléphone portable et, d’autre part, entraîner des interférences avec des appareils similaires situés à proximité dont le traitement induirait des temps de latences ; - e) l’ensemble du système ne peut pas discerner les longueurs d’ondes multiples et par conséquent ne permet pas le multiplexage spectral, et notamment le multiplexage adaptatif en longueur d’onde, et les sauts adaptatifs en longueurs d’ondes pour l’étalement du spectre optique ; - f) à l’intérieur d’une cellule, le degré de liberté de mouvement de l’utilisateur est faible par rapport à celui d’un terminal portable de communication par RF, car l’utilisateur doit veiller à ce que sa tête et son corps soient dans une position telle que lesdits transducteurs du téléphone ou celui du terminal portable soient « visibles » par le satellite ou groupe de satellites de la cellule où ils sont localisés ; - g) en cas d’obstruction du rayonnement optique, une communication en cours est naturellement interrompue car le système ne possède pas de système de communications de secours par RF ; - h) lorsque ledit téléphone est dans la poche de l’utilisateur ou dans une serviette, ce dernier devient injoignable en cas d’appel. Dans le brevet d’invention US4727600 intitulé « Infrared Data Communication System », Avakian divulgue un système de communication de données sans fd par IR, basé sur le concept de répéteurs optoélectroniques (infrared data repeater) qui sont munis de surfaces hémisphériques ou sphériques tapissées par des nombreux LED et/ou de photodiodes pour relier entre eux des différents appareils mobiles ou fixes ayant chacun des moyens de communication par OSF appropriés et se trouvant dans des zones délimitées d’un bâtiment ; certaines versions de ces répéteurs sont destinées à faire traverser virtuellement les obstacles physiques, de type mur et autres, aux rayonnements IR. L’essentiel de ce concept vise à obtenir une diversité angulaire et spatiale en émission et en réception.

Une analyse de l’invention US4727600 montre que : - a) Bien que lesdits répéteurs optoélectroniques ne soient pas reliés par câble à un système central comme dans le cas du brevet US4456793, ils ont néanmoins besoin d’alimentations électriques pour fonctionner ; - b) les nombreuses LED et photodiodes qui tapissent les surfaces hémisphériques ou sphériques sont reliés par fils électriques à leur unité de traitements d’où inévitablement des débits très faibles par rapport aux fibres optiques, car ces fils électriques peuvent constituer des filtres passe-bas pour les signaux hyperfréquences ; - c) sur l’une des versions du terminal portable, la surface d’émission et celle de réception des transducteurs optoélectroniques sont hémisphériques afin d’être multidirectionnelles et situées aux sommets de deux tiges qui sont fixées sur la partie supérieure du terminal portable pour les éloigner de ce dernier ; comme conséquences, cela rend le terminal portable encombrant ; de plus, une émission multidirectionnelle sans possibilité de sélection de la direction de communications peut, d’une part, s’avérer préjudiciable pour l’autonomie de batterie du terminal portable et, d’autre part, entraîner des interférences optiques ; - d) sur l’autre version du terminal portable, la surface d’émission et celle de réception des transducteurs optoélectroniques sont fixées sur la partie supérieure du terminal portable ; ce qui rend l’ensemble compacte mais comme contrepartie l’angle solide d’émission-réception s’en trouve substantiellement réduit ; - e) l’ensemble du système ne peut pas discerner les longueurs d’ondes multiples et par conséquent ne permet pas le multiplexage spectral, et notamment le multiplexage adaptatif en longueur d’onde, et les sauts adaptatifs en longueurs d’ondes pour l’étalement du spectre optique, donc il y a des risques accrus d’interférences optiques avec des appareils mobiles similaires se trouvant à proximité ; - f) les répéteurs sont volumineux, entre autre, à causes des nombreux composants optoélectroniques discrets tapissant leurs surfaces hémisphériques ou sphériques ; - g) les versions de ces répéteurs qui ne sont pas destinés à faire traverser les obstacles aux rayonnements IR, s’installent au centre de la zone de couverture au plafond ou sur un support approprié ; ce placement au centre fait qu’à l’intérieur de ladite zone de couverture, les degrés de liberté de mouvement de l’utilisateur d’un terminal portable sont relativement limitées si ce dernier veut éviter les obstructions optiques, car il doit veiller à ce que sa tête et son corps soient dans une position telle que les transducteurs dudit terminal soient «visibles» par le répéteur.

Dans le brevet d’invention US4775996, intitulé « Hybrid Telephony Communication System », Emerson et al. divulguent un système de téléphone sans fil sécurisé contre les interceptions, dont le principe de fonctionnement est le suivant : la communication de la base vers le téléphone portable se fait par des signaux optiques IR, tandis que la communication du téléphone portable vers la base se fait par des signaux de RF.

Une analyse du brevet d’invention US4775996 montre que : - a) Contrairement aux brevets d’invention US4456793 et US4727600, bien qu’utilisant des rayonnements optiques IR, le brevet US4775996 expose l’utilisateur aux risques, à long et moyen terme, de maladie du cerveau et autres problèmes de santé inhérents dont sont fortement soupçonnés les signaux de RF, pour plus de détails sur problèmes de santé se reporter à la partie II.B ; en effet, le téléphone portable selon Emerson et al. émet des signaux de RF pour se connecter à sa base. Pour réduire les effets thermiques de ces signaux de RF sur l’organisme de l’utilisateur, il faut apporter une modification consistant à transposer les signaux de l’invention de Emerson et al., de manière à ce que, d’une part, les communications de la base vers le téléphone portable se fasse par RF et, d’autre part, les communications du téléphone portable vers la base se fasse par optique IR ; - b) le degré de liberté de mouvement de l’utilisateur du téléphone portable est relativement limitée si ce dernier veut éviter les obstructions, car il doit veiller à ce que sa tête et son corps soient dans une position telle que les transducteurs dudit téléphone soient «visibles» directement par ceux de la base, ou indirectement après des réflexions sur les murs (ce qui en soi peut créer d’autres problèmes).

Dans le brevet d’invention US5596648 intitulé « Infrared Audio Transmitter System », Fast divulgue un émetteur audio sans fil par IR rendu multidirectionnel par la mise en place de plusieurs FED reparties sur la surface latérale d’un cylindre et au sommet.

Entre 1996 et 2005, la société JVC avait mis sur le marché un ensemble d’appareils pour réaliser des réseaux locaux sans fil par infrarouge ; cet ensemble de produits dénommé VIPSLAN (sources : PC Magazine-l0.09. l996, Network World- 12.02.1996 et catalogue constructeur), permet de réaliser un réseau local par OSF de type propagation en vue-directe LOS, ayant un débit allant de l0Mbit/s pour VIPSLAN- 10 à l00Mbit/s pour le VIPSLAN-100 ; les produits VIPSLAN sont motorisés, par conséquent ils ont besoin, entres autres, d’alimentation électrique. Un autre produit de liaison par OSF par infrarouge, dénommé "Luciole" a également été mis sur le marché par JVC ; il est destiné à la transmission point à point, de signaux vidéo haute définition, d’une source à un téléviseur à grand écran, avec un débit de l.50Gbit/s et une portée de 5m.

II.B - État de la technique relative aux moyens de protection contre les risques de maladies du cerveau, et autre problèmes de santé publique liés aux émissions électromagnétiques de RF d’un terminal portable ou mobile - Appréciations

Les terminaux portables et les terminaux mobiles de communications par RF sont reliés aux points de terminaison de leurs réseaux RCE, appelés stations de base, par rayonnement électromagnétique de RF. L’utilisation de ces fréquences est réglementée et se fait par attribution de licence, notamment pour les réseaux RCE cellulaires étendus destinés aux terminaux mobiles. Cependant, il existe des bandes de fréquences appelées bandes ISM (Industrial, Scientific and Medical) dont l’usage est libre sous certaines conditions. Dans l’état actuel de la législation, les fréquences centrales des bandes ISM sont égales à 2.4Ghz, 5Ghz, 5.8Ghz, 60Ghz et peut-être d’autres fréquences.

Dans le cas des terminaux portables, les stations de base sont localisées à proximités des utilisateurs dans un bâtiment à usages professionnels et/ou d’habitation et sont généralement connectées par fils au Réseau Téléphonique Commuté Public (RTCP), communément appelé réseau fixe, ou à un réseau câblé public ou privé. Le rayon de couverture de ces stations de base est généralement de quelques dizaines de mètres voire une centaine.

Dans le cas des terminaux mobiles, les stations de base sont réparties, à travers la zone géographique couverte par le réseau RCE cellulaire, au sein de portions de surface adjacentes appelées cellules. Les dimensions de ces cellules sont prédéterminées par la puissance de rayonnement RF de la station de base qui y est installée de manière à ce que, lorsqu’un terminal mobile approprié est localisé dans une cellule donnée, alors il pourra accéder au RCE par la station de base installée dans ladite cellule. Les signaux de RF des terminaux mobiles de l’art antérieur sont classés comme pouvant être cancérogènes pour l’homme, comme stipulé dans le communiqué de presse N°208 du 31 mai 2011, émanant du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS : “The WHO /International Agency Research on Cancer (IARC) has classifled radiofrequency electromagnetic fleld as possibly carcinogenic to humans (Group 2B) based on an increased risk of glioma, a malignant type of cancer, associated with wireless phone use”.

Par ailleurs, des nombreux scientifiques dans le monde se sont penchés activement très tôt sur ce sujet, dans le cadre de nombreux groupes de travail internationaux indépendants et d’organisations internationales non gouvernementales pour étudier et mettre en évidence les effets morbides potentiels des signaux de RF. La plupart de ces travaux soupçonnent fortement ou concluent que les signaux de RF des terminaux mobiles de l’art antérieur sont géno-toxiques à moyen ou long terme, en fonction de la durée cumulée d’exposition de l’utilisateur.

Par ailleurs, pour se protéger contre les risques de problèmes de santé publique que peuvent induire les signaux RF des terminaux mobiles ou portables de l’art antérieur, des nombreuses demandes de brevet d’invention ont été déposées en vue de protéger les utilisateurs.

Dans le brevet d’invention DE4310230, intitulé « Portable radiotéléphone subscriber terminal has separate power and function modules, each with own transceiver”, BOEHM MANFRED DR divulgue un téléphone portable en deux parties séparées, qui sont reliées entre eux par des moyens de communications sans fil, par RF. Selon cette invention, l’une des deux parties sert de combiné téléphonique tandis que l’autre sert de relais pour communiquer avec le réseau cellulaire ; la puissance des signaux de communications entre les deux parties étant faible par rapport à la puissance de signaux de communications entre la partie qui sert de relais et ledit réseau cellulaire. Cette méthode qui est séduisante en soi, car elle permet de réduire substantiellement les effets thermiques de signaux de RF sur l’organisme de l’utilisateur en éloignant les moyens de liaisons par RF avec le réseau cellulaire, a été reprise avec des différentes améliorations et applications dans des nombreuses publications et demandes de brevet d’invention.

Le brevet d’invention DE4310230 ne s’attaque qu’aux effets thermiques des signaux RF, i.e. la puissance du vecteur de Poynting du champ électromagnétique des signaux RF, dont découle un indicateur permettant d’apprécier le niveau d’exposition des tissus biologiques du corps de G utilisateur aux rayonnements RF. Rappelons que cet indicateur est notoirement connu sous la dénomination « Débit d’Absorption Spécifique (DAS) » ou « Spécifie Absorption Rate (SAR) ».

Une analyse du brevet d’invention DE4310230 montre que :

1) Il ne prend pas en compte les risques de géno-toxicité dont sont fortement soupçonnés les signaux de RF à moyen ou long terme ;

2) Il associe à chaque terminal mobile ou portable de communication par RF, deux sources supplémentaires de signaux de RF, i.e. celles destinées à la communication entre les deux parties du téléphone, contribuant ainsi inévitablement à une augmentation substantielle de la pollution électromagnétique dans les bâtiments. En effet, si tous les téléphones mobiles ou portables utilisés dans le monde entier, dont le nombre est estimé à plusieurs milliards d’unités, avaient deux sources supplémentaires de signaux de RF, cela constituerait des milliards de sources de rayonnement de RF supplémentaires, qui viendraient s’ajouter aux autres milliards de sources de rayonnement de RF crées par les autres objets connectés dont les souris, les claviers, les haut-parleurs, et autres.

Dans la publication W00056051, intitulé « Cellular Téléphoné with reduced Radiation Exposure », Flamant et al. divulguent un téléphone mobile en deux parties détachables, qui sont reliées entre eux par des moyens de communications sans fil, par OSF. Selon cette invention, l’une des deux parties sert de combiné téléphonique tandis que l’autre sert de relais pour communiquer par RF avec le réseau cellulaire. Cette approche à l’avantage de ne pas créer deux sources supplémentaires de signaux de RF.

Une analyse de la publication W00056051 montre que : - a) Elle ne prend pas en compte les risques de géno-toxicité de signaux RF sur l’organisme, car comme les autres brevets d’invention évoqués ci-avant, les communications avec le réseau cellulaire sont réalisés uniquement par des signaux de RF ; - b) les transducteurs de communications par OSF sont omnidirectionnelles et placés au sommet d’une tige télescopique qui est fixée sur la partie utilisée comme combinée ; comme conséquences, cela rend le téléphone cellulaire encombrant lorsqu’il est en service ; de plus, une émission multidirectionnelle sans possibilité de sélection de la direction de communications peut, d’une part, s’avérer préjudiciable pour l’autonomie de la batterie du terminal portable et, d’autre part, entraîner des interférences avec d’autres téléphones similaires ; - c) les moyens de communication par OSF ne peuvent pas discerner les longueurs d’ondes multiples et par conséquent ne permet pas le multiplexage spectral, et notamment le multiplexage adaptatif en longueur d’onde, et les sauts adaptatifs en longueurs d’ondes pour l’étalement du spectre optique, donc il y a des risques d’interférences optiques avec des téléphones similaires se trouvant à proximité ; - d) le degré de liberté de mouvement de l’utilisateur du téléphone est relativement limitée si ce dernier veut éviter les obstructions, car il doit veiller à ce que sa tête et son corps soient dans une position telle que les transducteurs des deux parties du téléphone mobile cellulaire soient «visibles» l’un par l’autre.

Dans la publication EP 1331691 , intitulé « Mobile terminal with grounded radiation shield frame », Schweikle Andréas divulgue un téléphone mobile protégeant l’utilisateur contre les signaux de RF au moyen d’une structure servant de barrière conductrice d’électricité.

II.C - État de la technique relative aux appareils de surveillance à distance des bébés - Appréciations

Les appareils de surveillance à distance des bébés, généralement connus sous l’appellation « Baby phone » ou « écoute-bébé », exposent les bébés en permanence à leurs signaux de RF ; Or les bébés, qui sont des êtres en développement, ont le corps et la boîte crânienne très fragiles, ce qui fait que les signaux de RF y pénètrent plus profondément par rapport à ceux d’un adulte.

II.D - État de la technique relative aux réseaux cellulaires de téléphonie mobile - Appréciations

Les enquêtes menées par des associations de consommateurs et par des revues spécialisées de défense des consommateurs, montrent que les utilisateurs des réseaux cellulaires de téléphonie mobile (3 G ou 4G ou autre) sont en général mécontents de la qualité des services de ces derniers. Les principales causes de ces mécontentements sont, entre autres, les problèmes de connexions, l’absence de couverture, et surtout les débits très bas, par rapport aux débits annoncés par les opérateurs au moment de la souscription d’un abonnement, ainsi que des nombreuses autres incriminations. Face à ce type de situation, les opérateurs se montrent en général rassurants et conciliants, en précisant que les problèmes sont ponctuels, mais les reproches ne faiblissent pas. En réalité, ces problèmes ont des origines techniques très profondes, car la qualité des services d’un réseau cellulaire de téléphonie mobile dépend, entre autres, de son débit ; or le débit à un instant « T », est inversement proportionnel au nombre des utilisateurs connectés, i.e. plus le nombre des utilisateurs connectés est élevé plus le débit devient faible, car ce dernier est partagé par tous les utilisateurs connectés à l’instant « T ».

III-EXPOSÉ DE L’INVENTION

La présente invention consiste principalement en un système de communications électroniques composé de plusieurs éléments, à savoir : - a) des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques (i.e. à la fois RF et Optique) et autres appareils électroniques, ayant des réseaux d’antennes optoélectroniques ou photoniques adaptatifs en positions, directions d’émission-réception et longueurs d’onde (APDLO) ; - b) un inter-réseau étendu de communications électroniques à cellules RF, Optiques, et hybrides RF-Optiques, comportant un ou plusieurs Systèmes d’intermédiation de Communications par Optique Sans Fil (SICOSF), permettant de le relier par OSF, à très hauts débits genre fibre optique, auxdits terminaux mobiles et autres appareils électroniques, dans presque toutes les positions de ces derniers ; comme nous le verrons par la suite, un système SICOSF n’a aucun composant électronique ou optoélectronique, ni câble de liaison électrique ou optique, et il est constitué d’un réseau des cellules optiques enveloppantes adaptatif en positions, directions d’émission-réception et longueurs d’onde (COE-APDLO) permettant de le relier d’une part, à l’inter-réseau dont il fait partie par des faisceaux de rayons optiques parallèles (FROP), et d’autre part, aux terminaux mobiles et autres appareils électroniques par OSF de type propagation en Vue-Directe, connue aussi sous le nom de Line-Of-Sight (LOS) ; - c) des adaptateurs de communications par faisceaux FROP ; - d) des passerelles photoniques d’interconnexions n’ayant aucun composant électronique ou optoélectronique, permettant de relier plusieurs systèmes SICOSF entre eux ; - e) des moyens de commutations des liaisons ; - f) des moyens de supervision de l’ensemble dudit système de communications électroniques ; - g) des protocoles de communications par OSF de type propagation en vue-directe LOS ; - h) des méthodes d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF et aux antennes photoniques des terminaux mobiles et autres appareils électroniques, permettant de supprimer les risques d’interférences optiques et de réaliser des étalements du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueurs d’onde. Les terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques (FIG.19-FIG.22, FIG.30) et les autres appareils électroniques (FIG.23-FIG.29) comportent chacun, plusieurs groupements (FIG.11-FIG.14, FIG.17-FIG.18) de dispositifs d’émission-réception de signaux par optique sans fil (ERSOSF), qui sont répartis le long de plusieurs arêtes du boîtier (FIG.19-FIG.30) Chaque dispositif ERSOSF comporte un module d’émission (FIG.6-FIG.10) et un module de réception (FIG.1-FIG.5) qui sont accolés. Tous lesdits groupements de dispositifs ERSOSF sont équivalents voire identiques ; chaque groupement est borné à ses deux extrémités par deux balises dont chacune est destinée à la signalisation des directions d’émission-réception et à la signalisation des longueurs d’onde en cours d’utilisation (BSDLO), i.e. en services ; ces deux balises sont identiques (11BSDL01, 11BSDL02, 13BSDL01, 13BSDL02, 17BSDL01, 17BSDL02, 18BSDL01, 18BSDL02). Chaque groupement est également borné à ses deux extrémités par deux détecteurs de balises (DTR-BSDLO) jouxtant les deux balises BSDLO, dont chacune est destinée à identifier les balises BSDLO qui sont installées sur d’autres terminaux mobiles et sur d’autres appareils électroniques opérant à proximité ; ces deux détecteurs de balises sont identiques (11DTR- BSDLOl, 11DTR-BSDL02, 13DTR-BSDL01, 13DTR-B SDL02, 17DTR- BSDLOl, 17DTR-BSDL02, 18DTR-BSDL01, 18DTR-BSDL02). Chacun desdits dispositifs ERSOSF est dénommé « Antenne ERSOSF », et possède plusieurs directions d’émission (8DIR1 à 8DIR3, 9DIR1 à 9DIR3, 17DIR1 à 17DIR5, 18DIR1 à 18DIR7) et de réception (3DIR1 à 3DIR3, 4DIR1 à 4DIR3, 17DIR1 à 17DIR5, 18DIR1 à 18DIR7) et une longueur d’onde spécifique d’émission-réception. Chacun desdits groupements est dénommé « Matrice d’antennes ERSOSF », et le nombre de ses longueurs d’onde distinctes d’émission-réception est égal au nombre d’antennes ERSOSF qui le compose (llMatrix-ER, 12Matrix-ER, 13Matrix-ER-Partl, 13Matrix-ER-Part2, 14Matrix- ER-Partl, 14Matrix-ER-Part2, 17Matrix-ER, 18Matrix-ER). L’ensemble desdites matrices d’antennes ERSOSF forme un réseau dénommé « Réseau d’antennes ERSOSF », qui est adaptatif en positions, en directions d’émission-réception, et en longueurs d’onde (APDLO), afin de donner aux utilisateurs une très grande liberté de mouvements ; cette liberté de mouvements est proche de celle des terminaux mobiles de communications par RF de l’art antérieur, sauf dans quelques cas particuliers, comme par exemple celui où le terminal mobile se trouve dans une poche ou dans un sac ou dans une situation d’obstruction optique similaire ; dans tous ces types de cas, ledit terminal peut être activé automatiquement par le biais du réseau local d’appoint de communication par RF, qui fonctionne uniquement à la demande, tel que décrit ci-après au paragraphe d) relatif à l’inter-réseau étendu. Le réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO permet également de réduire substantiellement, les interférences inhérentes aux émissions/réceptions multidirectionnelles par OSF de l’art antérieur ainsi que la consommation d’énergie ; il permet aussi de prévenir les risques de maladie du cerveau et autres problèmes de santé liés aux signaux de RF, dont s’alarment l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS/CIRC communiqué de presse n°208 du 31.05.2011) ainsi que des nombreux scientifiques, dans des nombreuses publications spécialisées, la presse et les média.

Afin de le rendre adaptatif APDLO, le réseau d’antennes ERSOSF de chacun desdits terminaux et autres appareils électroniques est muni de moyens de recherches périodiques pour l’identification et le stockage automatique dans une mémoire RAM à double accès dédiée, d’un triplet de trois nombres entiers « (/,_/, k) ». Sauf dans quelques cas particuliers, ce triplet permet au réseau d’antennes ERSOSF d’un terminal mobile ou d’un autre appareil électronique, d’établir à tout instant « T » une liaison optimisée par OSF de type propagation en vue-directe LOS avec un inter-réseau étendu comportant un système SICOSF tel que décrit ci-après au paragraphe c) relatif à l’inter-réseau étendu, ou avec un autre terminal mobile ou un autre appareil électronique à réseau d’antennes ERSOSF, en fonction de la position de l’utilisateur et en tenant compte de la présence d’appareils similaires situés à proximité ; « / » est un nombre entier qui désigne le numéro d’une arête du boîtier longée par un matrice d’antennes ERSOSF ; «y » est un nombre entier qui désigne le numéro d’une antenne ERSOSF appartenant à ladite matrice d’antennes ERSOSF qui longe l’arête dont le numéro est égale à « / » ; notons que le choix de « j » équivaut implicitement au choix d’une longueur d’onde ; « k » est un nombre entier qui désigne le numéro de la direction d’émission-réception de ladite matrice d’antennes ERSOSF qui longe l’arête dont le numéro est égale à « i » ; « k » désigne également le numéro de la direction d’émission-réception de l’antenne ERSOSF dont le numéro est « j » et appartenant à ladite matrice d’antennes ERSOSF qui longe l’arête dont le numéro est égale à « / ». Par convention, on admet que si à un instant « T » on a « / = 0 », cela signifie qu’il n’existe pas à cet instant « T » de possibilité de liaison optimisée par OSF avec ledit réseau local ou avec ledit autre appareil électronique ; une telle situation est signalée à l’utilisateur par un signal sonore et/ou lumineux et/ou par texte, afin que ce dernier puisse modifier sa position ; en cas de persistance de cette anomalie au- delà un certain intervalle de temps préalablement défini, alors lesdits moyens de recherches périodiques peuvent mettre automatiquement en service un réseau local d’appoint de communication par RF.

L’identification périodique du triplet « (i,j, k ) » est réalisé par des algorithmes s’appuyant sur les signaux fournis par les balises BSDLO et/ou par les détecteurs de balises DTR-BSDLO qui les jouxtent ; la liste des longueurs d’onde en cours d’utilisations, qui est également fournie par lesdits signaux, permet d’établir par des soustractions ensemblistes, la liste des longueurs d’onde disponibles à l’instant « T » ; d’où la possibilité de réaliser un multiplexage adaptatif en longueur d’onde, et un étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueurs d’onde. Rappelons que les moyens de recherches périodiques pour l’identification et le stockage automatique, permettent à chacun desdits terminaux mobiles et autres appareils électroniques de renouveler périodiquement son triplet

« (i,j, k) ».

La période de recherche pour l’identification périodique des éléments « / » et « k » du triplet « (/,_/, k) » peut être sélectionnée en fonction du contexte, manuellement par l’utilisateur à partir d’une liste pré-enregistrée ; lorsqu’il s’agit des terminaux mobiles, cette liste pré-enregistrée peut être établie en tenant compte du fait que la vitesse maximale de déplacement à pied d’un homme en marche athlétique est égale 3.75m/s, la vitesse maximale de déplacement à pied d’un homme en course est égale l2.4222m/s, i.e. record du monde du lOOm et la vitesse maximale de déplacement d’un cycliste est de 25m/s, i.e. record du monde sur piste ; la période de recherche peut aussi être déterminée automatiquement à partir d’un ou plusieurs signaux fournis par les accéléromètres intégrés pour calculer la vitesse moyenne des mouvements de l’utilisateur. La période de recherches pour l’identification périodique des longueurs d’onde en cours d’utilisation, peut être établie automatiquement à partir d’une combinaison d’un ou plusieurs signaux fournis par les balises BSDLO, avec un ou plusieurs signaux fournis par les accéléromètres intégrés.

Comme conséquences, lorsque deux appareils électroniques, ayant chacun un réseau d’antennes optoélectroniques ou photoniques adaptatifs APDLO, veulent communiquer entre eux par OSF de type propagation en vue-directe LOS sans interférence optique, il suffit tout simplement à chacun d’entre eux de lire périodiquement sa mémoire RAM à double accès dédiée, pour obtenir le triplet « (/,_/, k) » qui constitue de fait, pour chacun des appareils, les "coordonnées" du photo-émetteur, du photo-détecteur et de la longueur d’onde à utiliser à l’instant « T » pour établir un liaision optimisée entre eux. C’est ainsi que les communications par OSF de type propagation en vue-directe LOS, deviennent pratiquement insensibles aux mouvements des utilisateurs et aux positions des uns par rapport aux autres desdits terminaux mobiles ou autres appareils électroniques, d’où la très grande liberté de mouvements et des nombreux autres avantages. Une antenne ERSOSF possède trois principales variantes, dont deux sont des variantes photoniques et la troisième étant une variante optoélectronique. Les deux variantes photoniques permettent des vitesses théoriques de transfert des données extrêmement élevées, comparables à celles d’une liaison filaire par fibre optiques de bout en bout, tout en étant un système de communication sans fil ; c’est la raison pour laquelle les liaisons avec les terminaux mobiles disposant de l’une des variantes photoniques sont dénommées « Liaisons Fibre-To-The-Mobile- Chipset » ou « Liaisons FTTMC ».

L’inter-réseau étendu de communications électroniques à cellules RF, Optiques et Hybrides RF-Optiques est dénommé « Inter-réseau IRECH-RF-OP » et il est obtenu par l’interconnexion de plusieurs réseaux dont, au moins, les quatre principaux réseaux et système suivants :

- a) Un réseau cellulaire de téléphonie mobile par RF, dénommé « RTMOB- RF ». Le réseau RTMOB-RF est en général un réseau de l’art antérieur pouvant être de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G ».

- b) Un réseau local possédant une ou plusieurs interfaces de communications par fibres optiques (ICFO) dénommé « OPFIBRE-LAN ». Le réseau OPFIBRE- LAN est en général un réseau Ethernet de l’art antérieur. Il doit être déployé de préférence dans un environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant.

- c) Un système SICOSF, destiné à servir d’intermédiaire de communications entre l’inter-réseau IRECH-RF-OP et les terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques et autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO, via l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN, pour leur permettre de s’échanger des signaux par OSF. Le système SICOSF est un système de communications photoniques sans fil, n’ayant aucun composant électronique ou optoélectronique.

- d) Un réseau local d’appoint de communication par RF dénommé « BACKUP -RF-LAN », déployé dans l’environnement du réseau local OPFIBRE- LAN pour pallier à d’éventuelles obstructions des liaisons par OSF, et qui peut être mis en service et éteint à la demande, par consigne envoyée par RF et/ou par OSF.

Le système SICOSF (FIG.145-FIG.243) comporte un ensemble de plusieurs dispositifs interdépendants de communications par OSF, dont chacun est dénommé « Pseudo-satellite photonique » ou « P S AT -Photonique » ou « PSAT » (FIG.42- FIG.47, FIG.50-FIG.55, FIG.58-FIG.63, FIG.71-FIG.76, FIG.79-FIG.84, FIG.87-FIG.92, FIG.96-FIG.101, FIG.104-FIG.109, FIG.112-FIG.117) Cet ensemble forme un réseau, dénommé « Réseau de pseudo-satellites photoniques ». Les principales caractéristiques du réseau de pseudo-satellites photoniques (FIG.145-FIG.243) sont les suivantes :

- a) Il fonctionne sans alimentation électrique, ni câble de liaison électrique ou optique ; et

- b) Il est organisé en une ou plusieurs cellules optiques enveloppantes (COE) permettant de réduire substantiellement les possibilités d’obstruction des liaisons optiques avec lesdits terminaux mobiles ou autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO ; et

- c) Il fonctionne sans interférence entre deux pseudo-satellites appartenant à une même cellule, et entre cellules adjacentes ; et

- d) Il est relié par des faisceaux de rayons optiques parallèles (FROP) au réseau cellulaire RTMOB-RF, via le réseau local OPFIBRE-LAN ; et

- e) Il est relié par OSF, par propagation en vue-directe LOS, auxdits terminaux et autres appareils électroniques, via leurs réseaux d’antennes photoniques adaptatifs APDLO respectifs ; et

- f) Il est adaptatif en positions, directions d’émission-réception et longueurs d’onde (COE-APDLO), en fonction de la localisation et l’orientation desdits terminaux et autres appareils électroniques au sein desdites cellules optiques ; et

- g) Il permet de réaliser un étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueurs d’onde.

La méthode pour rendre les cellules enveloppantes, appartenant à un système SICOSF faisant partie d’un inter-réseau étendu de communications électroniques, adaptatives COE-APDLO (FIG.214 à FIG.243), consiste à : - a) considérer G inter réseau étendu de communications électroniques comme étant un appareil électronique virtuel à réseau d’antennes ERSOSF ; - b) considérer toute cellule optique enveloppante « Cell// » comme étant une antenne ERSOSF virtuelle installée le long de l’arête du boîtier virtuel d’un appareil électronique virtuel ; les quatre pseudo-satellites PSAT-Aÿ, PSAT-B//, PSAT-Cÿ, PSAT-D// qui composent ladite cellule sont considérés comme étant tout simplement les quatre directions d’émission-réception de ladite antenne ERSOSF virtuelle.

Cette transposition des cellules optiques enveloppantes en antennes ERSOSF virtuelles, permet de simplifier les recherches périodiques pour l’identification et le stockage périodique et automatique dans une mémoire RAM à double accès dédiée, d’un triplet de trois nombres entiers « (/,_/, k) » par l’utilisation d’algorithmes semblables à ceux permettant de rendre adaptatif APDLO, le réseau d’antennes ERSOSF de chacun desdits terminaux et autres appareils électroniques.

L’adaptateur de communications par faisceaux FROP (FIG.127-FIG.132) est dénommé « ADAPT-COMFROP » et il est destiné à adapter les liaisons entre le réseau local OPFIBRE-LAN et le système SICOSF, à savoir :

- a) Convertir les faisceaux FROP émergents du système SICOSF en sources optiques quasi-ponctuelles, pour les transmettre par fibres optiques à l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN ; et

- b) Convertir les sources de rayonnements quasi-ponctuelles, reçues par fibres optiques en provenance de l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN, en faisceaux FROP pour les transmettre au système SICOSF.

D’autre part, afin d’optimiser le déploiement d’un système SICOSF et gagner de la place, l’adaptateur ADAPT-COMFROP peut être combiné avec un ou plusieurs pseudo-satellites photoniques pour former un dispositif à la fois adaptateur et pseudo-satellite photonique, dénommé « COMBINED-ADAPT-PSAT » (FIG.133 à FIG.138), ou à la fois adaptateur et groupement de deux pseudo-satellites, dénommé « COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT » (FIG.139 à FIG.144).

La passerelle photonique d’interconnexion (FIG.212-FIG.213) est dénommé « PPI-REPEATER », et elle est destinée à relier deux ou plusieurs systèmes SICOSF, pour former un réseau dénommé « Réseau de systèmes SICOSF à passerelles PPI-REPEATER », afin de permettre aux terminaux mobiles et autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF qui sont localisés au sein dudit réseau de systèmes SICOSF de former, entre autre, un réseau de communication à architecture Peer-to-Peer ou un réseau ad-hoc ; notons que la passerelle PPI- REPEATER fonctionne sans alimentation électrique, mais dans le cas où Ton souhaite utiliser de signaux à amplitude particulièrement faible, on peut, le cas échéant, lui adjoindre un amplificateur optique, de type RAMAN, ou à fibre dopée par de Terbium (EDFA), ou à semi-conducteur (SAO), ou paramétrique.

Les moyens de commutations des liaisons sont destinés à gérer les passages intercellulaires des terminaux mobiles ou autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO ; les commutations s’effectuent, entre autres, de manière à ce que le basculement d’une communication en cours, de l’OSF vers la RF et inversement, se fasse automatiquement sans interruption, si : - a) Un terminal passe d’une cellule optique ou hybride RF-Optique vers une cellule RF et inversement ; ou

- b) Etant localisé dans une cellule hybride RF-Optique, ledit terminal ou autre appareil électronique rencontre des difficultés d’accès à une cellule optique. Les moyens de supervision de l’ensemble dudit système de communications électroniques est destiné, entre autres, à l’établissement d’appel par OSF et/ou par RF, et à l’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF de communications aux terminaux mobiles et autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO. Les protocoles de communications sont destinés, d’une part, aux liaisons par OSF de type propagation en vue-directe LOS entre un réseau à système SICOSF et les terminaux mobiles et autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO, et d’autre part, aux liaisons de type Peer-to-Peer entre ces derniers. La méthode d’attribution des longueurs d’onde par le réseau local OPFIBRE-LAN aux pseuso-satellites photoniques d’un système SICOSF ainsi qu’aux terminaux mobiles et autres appareils électroniques à réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO qui y sont localisés, permet de supprimer tout risque d’interférences optiques entre ces différents appareils lorsqu’ils sont en communications avec d’autres appareils via l’inter-réseau IRECH-RF-OP.

IV-AVANTAGES APPORTÉS PAR L’INVENTION

Les principaux avantages spécifiques aux terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO (FIG.19-FIG.22) sont, entre autres, les suivants :

1) A l’extérieur d’un environnement clos, stationnaire ou ambulant, ils communiquent par RF via le réseau cellulaire de téléphonie mobile, comme n’importe quel terminal mobile de communication par RF de l’art antérieur.

2) A l’intérieur d’un environnement clos, stationnaire ou ambulant : 2.a) Ils communiquent par OSF de type propagation en vue-directe LOS avec le réseau cellulaire de téléphonie mobile, via le réseau local OPFIBRE-LAN à système SICOSF. Contrairement aux moyens de communications par OSF en vue-directe LOS de Fart antérieur, le degré de liberté de mouvements de l’utilisateur est similaire celui des terminaux mobiles de communications par RF de art antérieur, grâce à l’interaction adaptative de leurs réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO avec le système SICOSF (FIG.214-FIG.243)

2.b) A cause, entre autres, de la propagation en vue-directe LOS, les débits des liaisons sont extrêmement élevés, comparables à ceux d’une liaison filaire par fibre optique de bout en bout, tout en étant un système de communication sans fil ; c’est l’une des raisons pour lesquelles les liaisons entre les terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO, et un réseau local OPFIBRE- LAN à système SICOSF sont dénommés, liaisons «Fibre-To-The- Mobile-Chipset » ou « FTTMC».

2.c) Les communications sont totalement protégées contre les interceptions et autres actions malveillantes.

2.d) Les risques de maladies du cerveau et autres liés aux signaux de RF, ainsi que ceux associés aux lourds soupçons de géno-toxicité de signaux de RF sur l’organisme à moyen ou long terme, deviennent nuls.

Les principaux avantages spécifiques aux autres appareils électroniques, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO (FIG.23-FIG.29) sont, entre autres, les suivants :

1) Protection des bébés contre les signaux de RF et notamment ceux des appareils de surveillance à distance de l’art antérieur, i.e. Baby phone ou Baby Cam.

2) Contrairement aux terminaux mobiles de l’art antérieur qui pour utiliser un grand écran, doivent être connecté à ce dernier soit par fils par l’intermédiaire d’un dispositif externe approprié, soit sans fil en passant par la technologie WiGig, un terminal mobile cellulaire (FIG.19-FIG.22) et un grand écran (FIG.23-FIG.24) tous les deux à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO, peuvent communiquer directement sans aucun dispositif externe de liaison, et ledit terminal peut même être utilisé comme un pavé tactile, i.e. touch pad ou track pad ; ainsi, les risques liés à la pollution électromagnétique de RF de la technologie WiGig dont, entre autres, les lourds soupçons de géno- toxicité sur l’organisme à moyen ou long terme deviennent nuls.

3) Liaison d’une chaîne HI-FI avec des enceintes acoustiques HI-FI (FIG.25- FIG.26).

4) Caméscope professionnel ou semi-professionnel, permettant F acquisitions et la mise en ligne sans fil de vidéo en 4K, 8K voire plus.

5) Liaison d’une station de travail (FIG.27-FIG.29) ou un PC de salon avec des enceintes acoustiques HI-FI (FIG.25-FIG.26)

6) Diffusions et/ou visualisations sans fil des vidéos en 4K, 8K voire plus, en 3D stéréoscopique ou auto-stéréoscopique.

7) Contribution substantielle à la dépollution électromagnétique RF des environnements clos.

8) Contribution substantielle à la prévention des risques de problèmes de santé publique liés aux signaux électromagnétiques de RF.

Les principaux avantages pour un réseau cellulaire de téléphonie mobile de l’art antérieur de type « 2G », « 3G », « 4G » ou « 5G », d’être intégré au sein de l’inter- réseau IRECH-RF-OP sont, entre autres, les suivants :

1) Tous les terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF- Optiques à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO, qui sont localisés à l’intérieur des environnements clos communiquent par OSF de type propagation en vue-directe LOS avec ledit réseau cellulaire de téléphonie mobile de l’art antérieur, via les réseaux locaux OPFIBRE-LAN à système SICOSF. Comme conséquence, ledit réseau cellulaire de téléphonie mobile sera automatiquement allégé de tous les terminaux mobiles localisés dans un environnement clos, stationnaire ou ambulant ; et les débits des liaisons avec ces derniers seront extrêmement élevés, comparables à ceux d’une liaison filaire par fibre optiques de bout en bout, i.e. liaisons «Fibre-To-The-Mobile-Chipset » ou « FTTMC ».

2) Sachant que, quel que soit l’instant « T » de la journée, la grande majorité de la population est localisée dans un environnement clos, stationnaire ou ambulant (couloirs de métro, moyens de transport, lieux de travail, lieux d’habitation, et autres), le débit pour un utilisateur dudit réseau cellulaire de téléphonie mobile qui n’est pas localisé dans un environnement clos sera substantiellement augmenté, et les incriminations des utilisateurs évoquées dans la partie II.D seront estompées proprement. Rappelons que le débit à un instant « T » pour un utilisateur dépend du nombre des utilisateurs connectés à cet instant « T ».

3) La qualité des services dudit réseau cellulaire de téléphonie mobile de l’art antérieur sera substantiellement améliorée, car pour un utilisateur le débit est une composante fondamentale de la qualité des services.

4) Pratiquement tous les bâtiments des pays développés sont câblés par fibre optique (FTTB ou FTTH), ce qui permet un déploiement rapide et simple des réseaux locaux OPFIBRE-LAN à système SICOSF et leurs interconnexions avec ledit réseau cellulaire de téléphonie mobile de l’art antérieur.

5) Le système SICOSF comporte des nombreux avantages spécifiques, dont entre autres, les suivants : - a) Il fonctionne sans alimentation électrique, ni câble de liaison électrique ou optique ; - b) Il ne consomme aucune énergie ; - c) Il est pratiquement intemporel et peut couvrir des très grandes surfaces ; par exemples : - une surface au plancher continue de plus de 240m 2 , peut être couverte par un système SICOSF ayant huit cellules photoniques enveloppantes (FIG.242-FIG.243), sans aucun câble électrique ou optique et sans aucune alimentation électrique ; - deux surfaces au plancher disjointes de 30,25m2 chacune, éloignées l’une de l’autre (FIG.212- FIG.213) et ayant chacune un système SICOSF, peuvent être reliées par la passerelle photonique d’interconnexion PPI-REPEATER, pour constituer virtuellement une surface continue de 60,50m2 au plancher ; les appareils électroniques à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO, localisés dans les deux surfaces pourront communiquer entre eux par OSF de type propagation en vue-directe LOS, par exemple de pair à pair, i.e. Peer-to-Peer.

6) Les communications sont totalement protégées contre les interceptions et autres actions malveillantes à l’intérieur d’un environnement clos ayant réseau local OPFIBRE-LAN à système SICOSF.

7) Une contribution active et substantielle à la dépollution électromagnétique RF des environnements clos.

8) Une contribution active et substantielle à la prévention des risques de maladies du cerveau et autres problèmes de santé publique qui sont liés au signaux de RF. 9) Une contribution active et substantielle à la prévention des risques associés aux lourds soupçons de géno-toxicité de signaux de RF sur l’organisme à moyen ou long terme.

Les avantages communs aux terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides (FIG.21-FIG.22) et aux autres appareils électroniques à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO (FIG.23- FIG.29) sont, entre autres, les communications par OSF de type propagation en vue-directe LOS dans pratiquement toutes les positions des uns par rapport aux autres, les sauts de longueurs d’onde adaptatifs pour l’étalement du spectre optique, l’absence d’interférences optiques qui sont inhérentes aux appareils de communications par OSF de l’art antérieur lorsqu’ils sont à proximités les uns des autres. Cette absence d’interférences optiques étant obtenu grâce à leur capacité d’effectuer des multiplexages adaptatifs en longueur d’onde.

En conclusion, l’un des principaux avantages de la présente invention est une amélioration substantielle à la fois des réseaux cellulaires de téléphonie mobile de l’art antérieur (« 2G », « 3 G », « 4G » ou « 5G »), des terminaux mobiles associés et des téléphones portable sans fil, et des autres appareils communicants par RF. Cette amélioration permet, entre autres, d’augmenter substantiellement leurs vitesses de transferts des données, réduire les risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs, ainsi que la pollution électromagnétique de RF dans les environnements clos qui est actuellement l’objet de très lourds soupçons de géno-toxicité pour l’Homme et pour tous les organismes vivants à moyen ou long terme.

La liste des avantages évoqués ci-avant n’est naturellement pas exhaustive, car d’autres avantages apparaîtront implicitement ou explicitement, après l’exécution de l’invention.

V-BREVES DESCRIPTIONS DES FIGURES

Figure 1 : Sous-module de conversion des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée, en un faisceau Mini-FROP émergent. Figure 2 : Vue éclatée du sous-module de la figure 1. Figure 3 à 5 : Module de réception à trois facettes, i.e. « N=3 » directions de réception, de la variante N°l A de l’antenne ERSOSF, i.e. antenne photonique FOSI de réception ayant « N=3 » directions de réception.

Figure 6 : Sous-module de diffusion optique.

Figure 7 : Vue éclatée du sous-module de la figure 6.

Figure 8 à 10 : Module d’émission à trois facettes, i.e. « N=3 » directions d’émission, de la variante N°lA de l’antenne ERSOSF, i.e. antenne photonique FOSI d’émission ayant « N=3 » directions d’émission.

Figure 11 à 14 : Matrice d’antennes ERSOSF à trois facettes, i.e. « N=3 » directions d’émission-réception, i.e. Matrice d’antennes photoniques FOSI ayant « N=3 » directions d’émission-réception.

Figure 15 : Module de réception à deux facettes, i.e. « N=2 » directions de réception, de la variante N°l A de l’antenne ERSOSF, i.e. antenne photonique FOSI de réception ayant « N=2 » directions de réception.

Figure 16 : Module d’émission à deux facettes, i.e. « N=2 » directions de d’émission, de la variante N°lB de l’antenne ERSOSF, i.e. antenne photonique FOSI d’émission ayant « N=2 » directions d’émission.

Figure 17 : Matrice d’antennes ERSOSF à cinq facettes, i.e. « N=5 » directions d’émission-réception, i.e. Matrice d’antennes photoniques FOSI ayant « N=5 » directions d’émission-réception.

Figure 18 : Matrice d’antennes ERSOSF à sept facettes, i.e. « N=7 » directions d’émission-réception, i.e. Matrice d’antennes photoniques FOSI ayant « N=7 » directions d’émission-réception.

Figure 19 à 20 : Boîtier d’un terminal mobile cellulaire de communication hybrides RF-Optiques à « F=4 » matrices d’antennes photoniques FOSI ayant « N=3 » directions d’émission-réception.

Figure 21 à 22 : Terminal mobile cellulaire de communication hybrides RF- Optiques à « F=4 » matrices d’antennes photoniques FOSI ayant « N=3 » directions d’émission-réception.

Figure 23 à 24 : Grand écran plat à « F=6 » matrices d’antennes photoniques FOSI ayant « N=7 » directions d’émission-réception.

Figure 25 à 26 : Enceinte acoustique HIFI à « L=l2 » matrices d’antennes photoniques FOSI ayant « N=5 » directions d’émission-réception.

Figure 27 à 29 : Station de travail/ PC à « L=l2 » matrices d’antennes photoniques FOSI ayant « N=5 » directions d’émission-réception. Figure 30 : Présentation groupée montrant un PSAT, un DUO-PSAT, QUAT- PSAT, un adaptateur ADAPT-COMFROP, des faisceaux FROP et un terminal mobile hybride à « L=4 » matrices d’antennes photoniques ayant « N=3 » directions d’émission-réception.

Figure 31 : Concentrateur de rayonnements optiques CONRO de type DTIRC pour les grappes DCDC, vue de face, de côté, de dos, en perspective et éclaté.

Figure 32 : Diffuseur rayonnements optiques DIFFRO pour les grappes DCDC, vue de face, de côté, de dos, en perspective et éclaté.

Figure 33 : Convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP, vue de face, de côté, de dos, en perspective et éclatée.

Figure 34 : Grappe DCDC comportant « N » concentrateurs de rayonnements optiques CONRO reliés par un coupleur de type combiner à un convertisseur CONSOP, vue en perspective.

Figure 35 : Grappe DCDC comportant « N » diffuseurs de rayonnements optiques DIFFRO reliés par un coupleur de type splitter à un convertisseur CONFROP, vue en perspective.

Figure 36 : Déviateurs DEVIFROP pour une installation dans les conduits CF04 et CF03, vue de dessus et en perspective.

Figure 37 : Déviateur DEVIFROP pour une installation dans le conduit CF02, vue de dessus et en perspective.

Figure 38 : Déviateur DEVIFROP pour une installation dans les conduits CFOl, vue de dessus et en perspective.

Figure 39 : Corrélation entre les différentes longueurs des déviateurs DEVIFROP pour les quatre conduits CFOl, CF02, CF03, CF04.

Figure 40 à 41 : Structure PSAT-CHASSIS-DOME nue et garnie de grappe DCDC de concentrateurs et diffuseurs discrets.

Figure 42 à 43 : Pseudo-satellite DCDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 44 à 45 : Pseudo-satellite DCDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 46 à 47 : Pseudo-satellite DCDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective. Figure 48 à 49 : Structure de groupement DUO-PSAT-CHASSIS-DOME de deux pseudo-satellites nus et garnis de grappe DCDC de concentrateurs et diffuseurs discrets.

Figure 50 à 51 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites DCDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 52 à 53 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites DCDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 54 à 55 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites DCDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 56 à 57 : Structure de groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellites DCDC nus et garnis de grappe DCDC de concentrateurs et diffuseurs discrets.

Figure 58 à 59 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite DCDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 60 à 61 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite DCDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 62 à 63 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite DCDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 64 à 65 : Substrat du ConcentFuser nu.

Figure 66 : Composants photoniques à placer par injection de PMMA dans le substrat du ConcentFuser.

Figure 67 : ConcentFuser garni.

Figure 68 : Partie PSAT-CHASSIS-DOME nue pour le groupement de « N» ConcentFusers.

Figure 69 : Manière de mise en place de « N » ConcentFusers dans la partie PSAT- CHASSIS-DOME.

Figure 70 : Partie PSAT-CHASSIS-DOME garni de « N » ConcentFusers.

Figure 71 à 72 : Pseudo-satellite ICDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 74 à 74 : Pseudo-satellite ICDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 75 à 76 : Pseudo-satellite ICDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective. Figure 77 à 78 : Structure de groupement DUO-PSAT-CHASSIS-DOME de deux pseudo-satellites nus et garnis de grappe ICDC de « 2N » ConcentFusers.

Figure 79 à 80 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites ICDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 81 à 82 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites ICDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 83 à 84 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites ICDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 85 à 86 : Structure de groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellites ICDC nus et garnis de grappe ICDC de « AN » ConcentFusers.

Figure 87 à 88 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite ICDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 89 à 90 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite ICDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 91 à 92 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellites ICDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 93 à 94 : Substrat PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe FSI-CDC, nu.

Figure 95 : Partie PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe FSI-CDC garni de « N » concentrateurs optiques et de « N » diffuseurs optiques.

Figure 96 à 97 : Pseudo-satellite FSI-CDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 98 à 99 : Pseudo-satellite FSI-CDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 100 à 101 : Pseudo-satellite FSI-CDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 102 à 103 : Substrat du groupement DUO-PSAT-CHASSIS-DOME de deux pseudo-satellites, nu et garni de grappe FSI-CDC de « 2N » concentrateurs optiques et de « 2N » diffuseurs optiques.

Figure 104 à 105 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites FSI-CDC à un niveau de conduits CFO, vue en perspective et vue éclatée.

Figure 106 à 107 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites FSI-CDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 108 à 109 : Groupement DUO-PSAT de deux pseudo-satellites FSI-CDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective. Figure 110 à 111 : Substrat de groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo satellites, nus et garnis de grappe LSI-CDC de « AN » concentrateurs optiques et de « AN » diffuseurs optiques.

Figure 112 à 113 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite LSI-CDC à un niveau de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 114 à 115 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellite LSI-CDC à deux niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 116 à 117 : Groupement QUAT-PSAT de quatre pseudo-satellites LSI- CDC à quatre niveaux de conduits CFO, vue éclatée et vue en perspective.

Figure 118 : Un pseudo-satellite photonique possède un repère orthonormé lié, gravé sur sa partie PSAT-CHASSIS-BASE, appelé « Repère Propre » et dont le centre est le point O et les trois axes sont OX, OY, OZ.

Figure 119 à 120 : Exemple de la méthode de configuration de la partie PSAT- CHASSIS-BASE d’un pseudo-satellite PSAT, contenant deux convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP et deux déviateurs optiques DEVIFROP3 et DEVIFROP4.

Figure 121 : Vue éclatée de la partie PSAT-CHASSIS-INTERFACE.

Figure 122 : Exemple de la méthode de configuration de la partie PSAT- CHASSIS-INTERFACE d’un pseudo-satellite PSAT, contenant deux coupleurs optiques, dont un combiner et un splitter.

Figure 123 : Vue éclatée de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE.

Figure 124 : Vue éclatée de la partie QUAT -PSAT-CHASSIS-INTERFACE.

Figure 125 : Compositions de deux pseudo-satellites photoniques d’un système SICOSF, dont un PSAT-Aÿ et un PSAT-Bÿ.

Figure 126 : Compositions de deux pseudo-satellites photoniques d’un système SICOSF, dont un PSAT-Cÿ et un PSAT-Dÿ.

Figure 127 : Vue éclatée d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant un niveau de conduits CFO.

Figure 128 : Différentes vues d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant un niveau de conduits CFO.

Figure 129 : Vue éclatée d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant deux niveaux de conduits CFO.

Figure 130 : Différentes vues d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant deux niveau de conduits CFO. Figure 131 : Vue éclatée d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant quatre niveau de conduits CFO.

Figure 132 : Différentes vues d’un adaptateur ADAPT-COMFROP ayant quatre niveau de conduits CFO.

Figure 133 à 134 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-PSAT ayant un niveau de conduits CFO.

Figure 135 à 136 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-PSAT ayant deux niveaux de conduits CFO.

Figure 137 à 138 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-PSAT ayant deux niveaux de conduits CFO.

Figure 139 à 140 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT ayant un niveau de conduits CFO.

Figure 141 à 142 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT ayant deux niveaux de conduits CFO.

Figure 143 à 144 : Vue éclatée et vue en perspective d’un combiné COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT ayant quatre niveaux de conduits CFO.

REMARQUE : Avant de prendre connaissance des figures 145 à 211 et 214 à 243, il est vivement conseillé de lire la remarque importante de la page 2.

Ce sigle désigne une émission-réception par Optique Sans Fil (OSF) Figure 145 à 156 : Vues en perspective et zoom du système SICOSF canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC, optimisé pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par un adaptateur ADAPT-COMFROP.

Figure 157 à 167 : Vues en perspective et zoom du système SICOSF canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC, optimisé pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par un adaptateur combiné COMBINED-ADAPT-PSAT.

Figure 168 à 184 : Vues en perspective et zoom du système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant deux cellules photoniques enveloppantes.

Figure 185 à 199 : Vues en perspective et zoom du système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant quatre cellules photoniques enveloppantes. Figure 200 à 211 : Vues en perspective et zoom du système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant huit cellules photoniques enveloppantes.

Figure 212 à 213 : Passerelle photonique d’interconnexion PPI-REPEATER.

Figure 214 à 220 : Plusieurs vues des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques localisés dans un système SICOSF canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC, optimisé pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par un adaptateur ADAPT-COMFROP.

Figure 221 à 227 : Plusieurs vues des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques localisés dans un système SICOSF canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC, optimisé pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par adaptateur combiné COMBINED-ADAPT-PSAT. Figure 228 à 234 : Plusieurs vues des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques localisés dans un système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant deux cellules photoniques enveloppantes.

Figure 235 à 241 : Plusieurs vues des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques localisés dans un système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant quatre cellules photoniques enveloppantes.

Figure 242 à 243 : Plusieurs vues des terminaux mobiles cellulaires de communications hybrides RF-Optiques localisés dans un système SICOSF canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC, ayant huit cellules photoniques enveloppantes.

VI-MANIERES D’EXECUTER L’INVENTION

Pour des raisons de commodité, la présente section est organisée en sous-sections suivantes :

1) VI.A - Variantes photo niques et optoélectroniques des antennes ERSOSF - Terminaux mobiles cellulaires et autres appareils électroniques ayant un réseau d’antennes ERSOSF adaptatif en positions, directions de communications et longueurs d’onde (APDLO) - Méthodes de communications : Page 35 à 58

VI.A.1 - Variante N°1 de l’antenne ERSOSF

VI.A.2 - Variante N°2 de l’antenne ERSOSF

VI.A.3 - Variante N°3 de l’antenne ERSOSF VI.A.4 - Terminaux mobiles cellulaires et autres appareils électroniques ayant un réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif en positions, directions de communications et longueurs d’onde (APDLO)

VI.A.5 - Méthode de communications entre deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de deux triplets « ( ' /, /, k) »

VI.A.6 - Méthode de communications entre un appareil TAEDBx et « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDz:, TAEBDzg, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de « 2 Q » triplets « (i,j, k) »

- VI.A.7 - Méthode d’attribution des longueurs d’onde par un TAEDBx à « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDz:, TAEBDz // ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueur d’ondes ) VI.B - Inter-réseau étendu à cellules hybrides, RF et Optiques, ayant un système SICOSF : Page 58 à 96

VI.B.l - Architecture de l’inter-réseau IRECH-RF-OP, ayant un système SICOSF

VI.B.2 - Principales caractéristiques fonctionnelles de T inter-réseau IRECH-RF-OP

VI.B.3 - Méthode de communications entre un réseau local OPFIBRE- LAN ayant un système SICOSF et « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDz:, TAEBDz//, ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de « 2 Q » triplets « ( ' /, /, k) »

- VI.B.4 - Méthode d’attribution des longueurs d’onde par un réseau local OPFIBRE-LAN ayant un système SICOSF à « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDz:, TAEBDz/ / ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueur d’ondes - VI.B.5 - Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de communications par RF, de préventions des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles, et de réduction de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants dans les bâtiments

3) VI.C - Méthodes de fabrication des pseudo-satellites photoniques et de leurs différents groupements : Page 96 à 129

- VI.C.l - Méthodes de fabrication des concentrateurs optiques CONRO, des diffuseurs optiques DIFFRO et des parties de châssis associées PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO- PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME

- VI.C.2 - Méthodes de fabrication des couvercles de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO des parties PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO- PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME

- VI.C.3 - Méthodes de fabrication des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP et des déviateurs DEVIFROP

VI.C.4 - Méthodes de fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-BASE du châssis PSAT-CHASSIS

VI.C.5 - Méthodes de Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS- BASE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS

VI.C.6 - Méthodes de fabrication de la partie QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS

- VI.C.7 - Méthodes de fabrication de la partie PSAT-CHASSIS- INTERFACE du châssis PSAT-CHASSIS

VI.C.8 - Méthodes de Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS

VI.C.9 - Méthodes de fabrication de la partie QUATUOR-PSAT- CHASSIS-INTERFACE du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS

4) VI.D - Méthodes de fabrication des adaptateurs de communications par faisceaux FROP et des combinés Adaptateur-Pseudo-Satellites photoniques : Page 129 à 136 VI.D.l - Méthodes de fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS- BASE du châssis ADAPT-CHASSIS de l’adaptateur ADAPT- COMFROP

VI.D.2 - Méthodes de Fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS- INTERFACE du châssis ADAPT-CHASSIS de l’adaptateur ADAPT-

COMFROP

VI.D.3 - Méthode de fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS- PROTECTIVE COVER

VI.D.4 - Méthodes de fabrication des adaptateurs COMBINED- ADAPT-P SAT et COMBINED-ADAPT-DUO-P SAT

5) VI.E - Méthodes de fabrication d’une passerelle photonique d’interconnexion PPI-REPEATER de deux systèmes SICOSF : Page 136 à 136

6) VI.F - Méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites d’un système SICOSF - Exemples d’application : Page 137 à 149

VI.A - Variantes photoniques et optoélectroniques des antennes ERSOSF - Terminaux mobiles cellulaires et autres appareils électroniques ayant un réseau d’antennes ERSOSF adaptatif en positions, directions de communications et longueurs d’onde (APDLO) - Méthodes de communications

Cette partie de l’invention doit être exécutée, de préférence, par un homme de l’art dans le domaine de la micro-fabrication, la photonique, l’optoélectronique et la programmation des microcontrôleurs et leurs composants périphériques, i.e. logiciels de base, en anglais « core software ».

VI.A.1 - Variante N°1 de l’antenne ERSOSF

La variante N°l de l’antenne ERSOSF est une variante photonique, recommandée pour la réalisation de liaisons à très hauts débits entre des terminaux mobiles ou autres appareils électroniques et le réseau local OPFIBER-LAN, ou entre plusieurs terminaux mobiles ou autres appareils électroniques entre eux, i.e. architecture Peer-to-Peer. Les vitesses de transferts théoriques de ces liaisons peuvent atteindre celles des liaisons filaires par fibre optiques de bout en bout, tout en étant un système de communication sans fil.

La variante N°l comporte deux principales versions, dénommées variante N°lA et variante N° 1B. La variante N° 1A utilise des micro-miroirs de réflexion, tandis dans la variante N°lB les micro-miroirs de réflexion sont remplacées par des micro segments de fibre optique.

Pour réaliser les différentes versions de la variantes photoniques N°l de l’antenne ERSOSF on procède par micro-fabrication, technique connue par l’homme de l’art.

D’une manière générale, le module de réception, selon la variante photonique N° 1 A de l’antenne ERSOSF, comporte « N» conduits de rayonnement optique (CRO), où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire. Chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) un concentrateur de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source quasi- ponctuelle en un mini-faisceau de rayons optiques parallèles émergent (Mini- FROP) ; - c) le cas échéant, un ou plusieurs micro-miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini-FROP émergent de la lentille de collimation, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique passe-bande étroite ci-après ; - d) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ou le cas échéant d’un micro-miroir ; - e) une lentille de focalisation destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique, en une source quasi-ponctuelle pour une transmission par une fibre optique ; - f) une fibre optique de réception pour relier ledit CRO à un photo détecteur.

Comme exemple, dans le cas « N=3 » du module de réception de la variante N°lA (FIG.1-FIG.5), i.e. trois directions de réception, ledit concentrateur de rayonnement optique (100103, 200103, 400103) et ladite lentille de collimation (100101, 200101) sont intégrés dans une même capsule (100102, 200102) pour former un sous-module de concentration et de collimation ; ce sous-module (100100, 200100, 300100, 500100) est destiné à la conversion des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en un faisceau Mini-FROP émergent. Chaque conduit CRO du module de réception de la variante N°lA (300200, 400200, 500200) contient des composants photoniques, dont : - a) un sous-module de concentration et de collimation (100100, 200100, 300100, 500100) ; - b) quatre micro-miroirs réfléchissants (300204) permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini-FROP émergent du sous-module de concentration et de collimation (100100, 200100, 300100, 500100), afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique passe-bande étroite ci- après ; - d) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré (300203, 400203, 500203), dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP (3EFROP2) émergent directement du sous- module de concentration et de collimation (100100, 200100, 300100, 500100) ou le cas échéant d’un faisceau Mini-FROP (3EFROP1 ou 3EFROP3) émergent d’un micro-miroir (300204) ; - e) une lentille de focalisation (300202, 500202) destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique (300203, 400203, 500203), en une source quasi-ponctuelle pour une transmission par une fibre optique (300201, 400201, 500201) ; - f) une fibre optique de réception (300201, 400201, 500201) pour relier ledit CRO à un photo-détecteur.

D’une manière générale, le module de réception, selon la variante photonique N° 1B de l’antenne ERSOSF, comporte « N » conduits de rayonnement optique, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire ; chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) un concentrateur de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) un segment de fibre optique destiné à acheminer les rayonnements concentrés sous forme de source quasi-ponctuelle jusqu’au foyer de la lentille de collimation ci- après ; - c) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source quasi-ponctuelle en un faisceau Mini-FROP émergent, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique passe-bande étroite ci-après ; - d) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ; - e) une lentille de focalisation destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit fdtre optique, en une source quasi-ponctuelle pour une transmission par une fibre optique ; - f) une fibre optique de réception pour relier ledit CRO à un photo détecteur.

Comme exemple, dans le cas « N=2 » du module de réception de la variante N°lB (FIG.15), i.e. deux directions de réception, ledit concentrateur de rayonnement optique (1500504) est prolongé par un segment de fibre optique (15Fibre-Segment) pour acheminer les rayonnements concentrés jusqu’au foyer de la lentille de collimation (1500502). Chaque conduit CRO du module de réception de la variante N°lB (1500500) contient des composants photoniques, dont : - a) un concentrateur de rayonnements optiques (1500504) destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) un segment de fibre optique (15Fibre-Segment) destiné à acheminer les rayonnements concentrés sous forme de source quasi-ponctuelle jusqu’au foyer de la lentille de collimation ci- après ; - c) une lentille de collimation (1500502) destinée à la transformation de ladite source quasi-ponctuelle en un faisceau Mini-FROP émergent, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique passe-bande étroite ci-après ; - d) un filtre optique passe-bande (1500503) étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ; - e) une lentille de focalisation (1500502) destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique, en une source quasi- ponctuelle pour une transmission par une fibre optique, ci-après ; - f) une fibre optique de réception (1500501) pour relier ledit CRO à un photo-détecteur.

D’une manière générale, le module d’émission, selon la variante photonique N°lA de l’antenne ERSOSF, comporte « N» conduits CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire. Chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission pour relier ledit CRO à un photo-émetteur ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation d’une source quasi-ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau émergent Mini-FROP ; - c) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergeant de ladite lentille de collimation ; - d) le cas échéant, un ou plusieurs micro-miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique passe-bande étroite, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de l’écran de diffusion du diffuseur optique ci-après ; - e) un diffuseur de rayonnements optiques destiné à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique passe-bande étroite ou le cas échéant d’un micro-miroir, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

Comme exemple, dans le cas « N=3 » du module d’émission de la variante N°lA (FIG.6-FIG.10), i.e. trois directions d’émission, ledit diffuseur de rayonnement optique (600302, 700302) est intégré dans une capsule (600301, 700301) pour former un sous-module de diffusion optique ; ce sous-module (600300, 700300, 800300, 900300, 1000300) est destiné à la conversion d’un faisceau Mini-FROP incident en une source étendue de diffusion de rayonnement dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF. Chaque conduit CRO du module d’émission de la variante N°lA (800400, 900400, 1000400) contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission (800401, 900401, 1000401) pour relier ledit CRO à un photo-émetteur ; - b) une lentille de collimation (800402) destinée à la transformation d’une source quasi-ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau Mini- FROP (8IFROP) ; - c) un filtre optique passe-bande étroite (800403, 900403, 1000403) spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP (8IFROP) émergeant de ladite lentille de collimation ; - d) quatre micro-miroirs réfléchissants (800404) permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini- FROP émergent dudit filtre optique passe-bande étroite, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de l’écran de diffusion (600302, 700302) du sous-module de diffusion optique ci-après ; - e) un sous-module de diffusion de rayonnements optiques (600300, 700300, 800300, 900300, 1000300) destiné à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique passe-bande étroite ou le cas échéant d’un micro-miroir, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

D’une manière générale, le module d’émission, selon la variante photonique N°lB de l’antenne ERSOSF, comporte « N» conduits CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire. Chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission pour relier ledit CRO à un photo-émetteur ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation d’une source quasi-ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau émergent Mini-FROP afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique ci- après ; - c) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini- FROP émergeant de ladite lentille de collimation ; - d) un diffuseur de rayonnements optiques destiné à la transformation du faisceau Mini- FROP émergeant dudit filtre optique passe-bande étroite, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

Comme exemple, dans le cas « N=2 » du module d’émission de la variante N°lB (FIG.16), i.e. deux directions d’émission, la fibre optique d’émission (800401, 900401, 1000401) pour relier ledit CRO à un photo-émetteur (1600601) est prolongée pour acheminer les rayonnements jusqu’au foyer de la lentille de collimation (1600602). Chaque conduit CRO du module d’émission de la variante N°lB (1600600) contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission (1600601) pour relier ledit CRO à un photo-émetteur ; - b) une lentille de collimation (1600602) destinée à la transformation d’une source quasi- ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau Mini-FROP afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de filtrage du filtre optique ci-après ; - c) un filtre optique passe-bande étroite (1600603) spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergeant de ladite lentille de collimation ; - d) un écran de diffusion de rayonnements optiques (1600604) destiné à la transformation du faisceau Mini-FROP émergeant dudit filtre optique passe-bande étroite, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

Selon la variante photonique N°lA ou N°lB, une antenne ERSOSF ayant « N» directions d’émission-réception et une longueur d’onde unique d’émission- réception, est formée par la juxtaposition d’un module de réception et d’un module d’émission ayant, d’une part, respectivement « N » directions de réception et « N » directions d’émission où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » et, d’autre part, des filtres optiques passe-bandes étroites centrées sur la même longueur d’onde ; cette longueur d’onde unique d’émission-réception est désigné par « Lmda-ER ». D’autre part, une matrice d’antennes ERSOSF ayant « M » longueurs d’onde distinctes et « N» directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », est formée par la juxtaposition de « M » antennes ERSOSF ayant chacune « N » directions d’émission-réception et une longueur d’onde unique d’émission-réception. Les « M » longueurs d’onde de ladite matrice sont désignées par Lmda-ERi, ..., Lmda- ERM.

Selon la variante photonique N°1A ou N°1B, un réseau d’antennes ERSOSF, adaptatif APDLO possède :

a) « L » matrices identiques d’antennes ERSOSF, ayant chacune « M » longueurs d’onde distinctes et « N » directions d’émission-réception, où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « M » longueurs d’onde distinctes d’émission-réception étant désignées par Lmda-ERi, ..., Lmda-ERM ; et

b) « L x Mx N » photo-détecteurs ; ces photo-détecteurs sont répartis entre les « L » matrices, à raison de « Mx N » photo-détecteurs par matrice ; pour chaque matrice, les « M x N» photo-détecteurs sont répartis entre les « M » antennes ERSOSF, à raison de « N » photo-détecteurs par antenne ERSOSF ; chaque photo détecteur est relié par une fibre optique de réception dédiée, à l’un des « N » conduits CRO de réception de l’antenne ERSOSF correspondante ; et

c) « L x Mx N » photo-émetteurs ; ces photo-émetteurs sont répartis entre les « L » matrices, à raison de « Mx N » photo-émetteurs par matrice ; pour chaque matrice, les « M x N » photo-émetteurs sont répartis entre les « M » antennes ERSOSF, à raison de « N » photo-émetteurs par antenne ERSOSF ; chaque photo émetteur est relié par une fibre optique d’émission dédiée, à l’un des « N » conduits CRO d’émission de l’antennes ERSOSF correspondante.

Selon la variante photonique N° 1 A ou N° IB, un module de réception est dénommé «Antenne Photonique à Filtre Optique Sélectif Intégré de réception » ou « Antenne photonique FOSI de réception » ; un module d’émission est dénommé «Antenne Photonique à Filtre Optique Sélectif Intégré d’émission » ou « Antenne photonique FOSI d’émission » ; une antenne ERSOSF est également dénommée « Double- Antenne Photonique à Filtre Optique Sélectif Intégré d’émission-réception » ou « Double-Antenne photonique FOSI d’émission-réception » ou «Antenne photonique FOSI d’émission-réception » ; la matrice d’antennes ERSOSF (FIG.ll à FIG.14 et FIG.17 à FIG.18) est également dénommée «Matrice de double- antennes photoniques FOSI d’émission-réception » ou «Matrice d’antennes photoniques FOSI d’émission-réception ». Le système formé par l’ensemble des antennes photoniques FOSI, les photo-émetteurs et les photo-détecteurs, les dispositifs de sélection SPAD et SPLO, les balises BSDLO, les détecteurs de balises DTR-BSDLO, et le microcontrôleur de pilotage de l’ensemble, est dénommé « Réseau d’Antennes Photoniques FOSI Adaptatif en positions, directions et longueurs d’onde » ou « Réseau d’Antennes Photoniques FOSI-APDLO ».

VI.A.2 - Variante N°2 de l’antenne ERSOSF

La variante N°2 de l’antenne ERSOSF est une autre variante photonique, recommandée pour la réalisation de liaisons à très hauts débits entre des terminaux mobiles ou autres appareils électroniques et le réseau local OPFIBER-LAN, ou entre plusieurs terminaux mobiles ou autres appareils électroniques entre eux, i.e. architecture Peer-to-Peer. Les vitesses de transferts de ces liaisons peuvent atteindre celles des liaisons filaires par fibre optiques de bout en bout, tout en étant un système de communication sans fil. Cette variante diffère de la variante photonique N°l de l’antenne ERSOSF en ce que les conduits CRO sont dépourvus de filtres optiques sélectifs ; les filtres optiques sélectifs étant intégrés au niveau des photo détecteurs et des photo-émetteurs.

La variante N°2 comporte deux principales versions, dénommées variante N°2A et variante N°2B. La variante N°2A utilise des micro-miroirs de réflexion, tandis dans la variante N°2B les micro-miroirs de réflexion sont remplacées par des micro segments de fibre optique.

Pour réaliser les différentes versions de la variantes photoniques N°2 de l’antenne ERSOSF on procède par micro-fabrication, technique connue par l’homme de l’art.

D’une manière générale, le module de réception, selon la variante photonique N°2A de l’antenne ERSOSF, comporte « N» conduits CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal si la construction de ce dernier n’est pas modulaire ; chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) un concentrateur de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source quasi-ponctuelle en un mini-faisceau émergent Mini-FROP ; - c) le cas échéant, un ou plusieurs micro-miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini-FROP émergent de la lentille de collimation, afin de lui permettre d’arriver parallèlement à l’axe optique de la lentille de focalisation ci-après ; - d) une lentille de focalisation destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ou le cas échéant d’un micro-miroir, en une source quasi-ponctuelle pour une transmission par une fibre optique ; - e) une fibre optique de réception pour relier ledit CRO à un photo-détecteur à filtre optique passe-bande étroite intégré.

Comme exemple, dans le cas « N=3 », le module de réception de la variante N°2A, i.e. trois directions de réception, s’obtient en ôtant les filtres optiques (300203, 400203, 500203) figurant dans le cas « N=3 » de la variante N°lA (FIG.1-FIG.5)

D’une manière générale, le module de réception, selon la variante photonique N°2B de l’antenne ERSOSF, comporte « N» conduits CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal si la construction de ce dernier n’est pas modulaire ; chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) un concentrateur de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) un segment de fibre optique destiné à acheminer les rayonnements concentrés sous forme de source quasi- ponctuelle jusqu’au foyer de la lentille de collimation ci-après ; - c) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source quasi-ponctuelle en un faisceau Mini-FROP émergent, afin de lui permettre d’arriver parallèlement à l’axe optique de la lentille de focalisation ci-après ; - d) une lentille de focalisation destinée à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation en une source quasi-ponctuelle pour une transmission par une fibre optique, ci-après ; - e) une fibre optique de réception pour relier ledit CRO à un photo-détecteur à filtre optique passe-bande étroite intégré.

Comme exemple, dans le cas « N=2 », le module de réception de la variante N°2B, i.e. deux directions de réception, s’obtient en ôtant les filtres optiques (1500503) figurant dans le cas « N=2 » de la variante N°lB (FIG.15).

D’une manière générale, le module d’émission, selon la variante photonique N°2A de l’antenne ERSOSF, comporte « N » conduits de rayonnement optique CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire. Chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission pour relier ledit CRO à un photo-émetteur à filtre optique passe-bande étroite intégré ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation d’une source quasi-ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau Mini-FROP ; - c) le cas échéant, un ou plusieurs micro-miroirs réfléchissants permettant d’acheminer par des réflexions successives, le faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation, afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de l’écran de diffusion du diffuseur optique ci-après ; - d) un diffuseur de rayonnements optiques destiné à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ou le cas échéant d’un micro-miroir, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

Comme exemple, dans le cas « N=3 », le module d’émission de la variante N°2A, i.e. trois directions d’émission, s’obtient en ôtant les filtres optiques (800403, 900403, 1000403) figurant dans le cas « N=3 » de la variante N°lA (FIG.6 à FIG.10).

Le module d’émission, selon la variante photonique N°2B de l’antenne ERSOSF, comporte « N » conduits CRO, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; ces « N » conduits CRO traversent la paroi du substrat et donc du boîtier du terminal, si la construction de ce dernier n’est pas modulaire. Chaque conduit CRO contient des composants photoniques, dont : - a) une fibre optique d’émission pour relier ledit CRO à un photo-émetteur ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation d’une source quasi-ponctuelle de rayonnement, transmise par ladite fibre optique d’émission, en un faisceau émergent Mini-FROP afin de lui permettre d’arriver orthogonalement sur la surface de diffusion du diffuseur optique ci-après ; - c) un diffuseur de rayonnements optiques destiné à la transformation du faisceau Mini- FROP émergeant de ladite lentille de collimation, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF. Comme exemple, dans le cas « N=2 » le module d’émission de la variante N°2B, i.e. deux directions d’émission, s’obtient en ôtant les filtres optiques (1600603) figurant dans le cas « N=2 » de la variante N°lB (FIG.16).

Selon la variante photonique N°2, une antenne ERSOSF ayant « N » directions d’émission-réception est formée par juxtaposition d’un module de réception et d’un module d’émission ayant respectivement « N» directions de réception et « N» directions d’émission où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 ». D’autre part, une matrice d’antennes ERSOSF à « M » éléments et « N » directions d’émission-réception où « M » et « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », est formée par la juxtaposition de « M » antennes ERSOSF ayant chacune « N » directions d’émission-réception.

D’une manière générale, selon la variante photonique N°2, un réseau d’antennes ERSOSF, adaptatif APDLO possède : a) « L » matrices identiques d’antennes ERSOSF ayant chacune « M » éléments et « N » directions d’émission-réception, où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; et

b) « L x Mx N» photo-détecteurs à filtres optiques passe-bandes étroites intégrés ayant « M » longueurs d’onde distinctes de réception qui sont désignées par Lmda-ERi, ..., Lmda-ERM ; ces photo-détecteurs sont répartis entre les « L » matrices, à raison de « Mx N» photo-détecteurs et « M » longueurs d’onde distinctes par matrice ; pour chaque matrice, les « Mx N» photo-détecteurs sont répartis entre les « M » antennes ERSOSF, à raison de « N » photo-détecteurs ayant une même longueur d’onde par antenne ERSOSF ; chaque photo-détecteur est relié par une fibre optique de réception dédiée, à l’un des « N » conduits CRO de réception de l’antenne ERSOSF correspondante ; et

c) « L x Mx N» photo-émetteurs à filtres optiques passe-bandes étroites intégrés ayant « M » longueurs d’onde distinctes d’émission qui sont identiques à celles des « L x M x N » photo-détecteurs à filtres optiques passe-bandes étroites, et désignés également par Lmda-ERi , ..., Lmda-ERM ; ces photo-émetteurs sont répartis entre les « L » matrices, à raison de « Mx N » photo-émetteurs et « M » longueurs d’onde distinctes par matrice ; pour chaque matrice, les « Mx N » photo-émetteurs sont répartis entre les « M » antennes ERSOSF, à raison de « N » photo-émetteurs ayant une même longueur d’onde par antennes ERSOSF ; chaque photo-émetteur est relié par une fibre optique d’émission dédiée, à l’un des « N » conduits CRO d’émission de l’antenne ERSOSF correspondante. Selon la variante photonique N°2, un module de réception est dénommé « Antenne Photonique Neutre de réception » ; un module d’émission est dénommé « Antenne Photonique Neutre d’émission » ; une antenne ERSOSF est également dénommée « Double-Antenne Photonique Neutre d’émission-réception » ; la matrice d’antennes ERSOSF est également dénommée « Matrice de double-antennes photoniques Neutre d’émission-réception ». Le système formé par l’ensemble des antennes photoniques Neutre, les photo-émetteurs à filtres optiques passe-bandes étroites intégrés, les photo-détecteurs à filtres optiques passe-bandes étroites intégrés, les dispositifs de sélection SP AD et SPLO, les balises BSDLO, les détecteurs de balises DTR-BSDLO, et le microcontrôleur de pilotage de l’ensemble, est dénommé «Réseau d’Antennes Photoniques NT-FOS Adaptatif en positions, directions et longueurs d’onde» ou «Réseau d’Antennes Photoniques NT-FOS-APDLO».

VI.A.3 - Variante N°3 de l’antenne ERSOSF

La variante N°3 de l’antenne ERSOSF est une variante optoélectronique, recommandée pour la réalisation de liaisons à débits moyens par rapport aux débits des fibres optiques, entre des terminaux mobiles ou autres appareils électroniques et le réseau local OPFIBER-LAN, ou entre plusieurs terminaux mobiles ou autres appareils électroniques entre eux, i.e. architecture Peer-to-Peer. Cette variante optoélectronique diffère des variantes photoniques N° 1 et N°2 en ce que les photo détecteurs (PIN Photodiodes) et les photo-émetteurs (diodes lasers IR, LED IR) répartis le long des différentes arêtes du boîtier, et ils sont reliés par des fils électriques jusqu’aux circuits électroniques de mises en forme des signaux (amplificateurs transimpédances, amplificateurs opérationnels et autres) ; comme conséquence pour les signaux du domaine de l’hyperfréquence, ces fils électriques constituent des filtres passe-bas qui limitent les débits, ce qui explique pourquoi leurs vitesses théoriques de transferts de données sont relativement modestes par rapport à celles obtenues avec les antennes photoniques de la variante N° 1 et N°2.

Pour réaliser les différentes versions de la variante optoélectronique de l’antenne ERSOSF on procède par micro-fabrication associé à d’autres techniques utilisées dans le domaine de la fabrication des semi-conducteurs. Toutes ces techniques sont connues par l’homme de l’art.

D’une manière générale, le module de réception, selon la variante optoélectronique de l’antenne ERSOSF, comporte « N » photo-détecteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions de réception ; chaque photo-détecteur est composé de : - a) un concentrateur de rayonnements optiques destinés à la transformation des rayonnements incidents émis par des sources localisées dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF, en une source quasi-ponctuelle ; - b) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source quasi-ponctuelle en un faisceau Mini- FROP ; - c) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini- FROP émergent de ladite lentille de collimation ; - d) une photodiode de type PIN, destinée à transformer le faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique, en courant électrique ; - e) fils électriques destinés à relier ladite photodiode jusqu’aux circuits électroniques de mises en forme des signaux reçus (amplificateurs transimpédances et autres).

D’une manière générale, le module d’émission, selon la variante optoélectronique de l’antenne ERSOSF comporte « N » photo-émetteurs, où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des directions d’émission ; chaque photo-émetteur est composé de : - a) fils électriques pour acheminer les signaux transmis par les circuits électroniques de mises en forme des signaux (amplificateurs opérationnels et autres) ; - b) une diode laser IR ou une FED IR relié auxdits fils électriques pour transformer les signaux électriques en source de rayonnement optique ; - c) une lentille de collimation destinée à la transformation de ladite source de rayonnement en un faisceau Mini-FROP ; - d) un filtre optique passe-bande étroite spécifique au module considéré, dans le domaine de l’infrarouge ou du visible, destiné au filtrage du faisceau Mini-FROP émergent de ladite lentille de collimation ; - e) un diffuseur de rayonnements optiques destiné à la transformation du faisceau Mini-FROP émergent dudit filtre optique passe- bande étroite, en une source étendue de diffusion de rayonnements optiques dans une zone délimitée de l’espace liée à ladite antenne ERSOSF.

Selon la variante optoélectronique, une antenne ERSOSF ayant « N » directions d’émission-réception et une longueur d’onde unique d’émission-réception, est formée par la juxtaposition d’un module de réception et d’un module d’émission ayant, d’une part, respectivement « N » directions de réception et « N » directions d’émission où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » et, d’autre part, des filtres optiques passe-bandes étroites centrées sur la même longueur d’onde ; cette longueur d’onde unique d’émission-réception est désigné par « Fmda-ER ». Une matrice d’antennes ERSOSF ayant « M » longueurs d’onde distinctes et « N » directions d’émission-réception où « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », est formée par la juxtaposition de « M » antennes ERSOSF ayant chacune « N» directions d’émission-réception et une longueur d’onde unique d’émission-réception ; les « M » longueurs d’onde de ladite matrice sont désignées par Lmda-ERi, .. Lmda-ERM.

Selon la variante optoélectronique, un réseau d’antennes ERSOSF adaptatif APDLO possède « L » matrices identiques d’antennes ERSOSF, ayant chacune « M » longueurs d’onde distinctes et « N» directions d’émission-réception, où « L », « M » et « N » sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « M » longueurs d’onde distinctes d’émission-réception étant désignées par Lmda- ERi, ..., Lmda-ERM.

Selon la variante optoélectronique, un module de réception est dénommé «Antenne optoélectronique à Filtre Optique Sélectif Intégré de réception » ou « Antenne optoélectronique FOSI de réception » ; un module d’émission est dénommé «Antenne optoélectronique à Filtre Optique Sélectif Intégré d’émission » ou « Antenne optoélectronique FOSI d’émission » ; une antenne ERSOSF est également dénommée « Double-Antenne optoélectronique à Filtre Optique Sélectif Intégré d’émission-réception » ou « Double-Antenne optoélectronique FOSI d’émission-réception » ; la matrice d’antennes ERSOSF est également dénommée «Matrice de double-antennes optoélectronique FOSI d’émission-réception ». Le système formé par l’ensemble des antennes photoniques FOSI, les photo-émetteurs et les photo-détecteurs, les dispositifs SP AD et SPLO, les balises BSDLO, les détecteurs de balises DTR-BSDLO, et le microcontrôleur de pilotage de l’ensemble, est dénommé « Réseau d’Antennes optoélectronique FOSI Adaptatif en positions, directions et longueurs d’onde » ou « Réseau d’Antennes optoélectronique FOSI-APDLO ».

VI.A.4 - Terminaux mobiles cellulaires et autres appareils électroniques ayant un réseau d’antennes photo niques ou optoélectroniques adaptatif en positions, directions de communications et longueurs d’onde (APDLO)

Formellement, le boîtier d’une terminal mobile cellulaire ou d’un autre appareil électronique à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques intégrés (FIG.19 à FIG.29) comporte « L » matrices d’antennes photoniques ou optoélectroniques identiques qui sont répartis le long de « L » différentes arêtes du boîtier, dont chaque matrice d’antennes photoniques ou optoélectroniques est composé « M » antennes photoniques ou optoélectroniques ayant chacune « N » directions d’émission-réception, où « L », « M », « N» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; chaque antenne photonique, qu’il soit de la variante photonique N°l ou N°2, ou optoélectronique, est composé de deux modules accolés, dont l’un est un module de réception et l’autre un module d’émission.

La fabrication du boîtier se fait en général par moulage de type aluminium injecté. La matrice d’antennes photoniques ou optoélectroniques s’obtient en assemblant par collage « M » antennes photoniques ou optoélectroniques ayant chacune « N » directions d’émission-réception. Ces techniques de fabrication sont connues par l’homme de l’art.

Un terminal mobile cellulaire ou un autre appareil électronique à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO comporte une série d’informations, pré-enregistrées sur une mémoire EPROM ou EEPROM ou Flash, relatives à la supervision du système de communications électroniques qu’il doit former avec l’inter-réseau IRECH-RF-OP.

En particulier, lorsqu’il s’agit d’un terminal mobile cellulaire à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, cette série d’informations contient au moins les éléments suivants :

- a) Le numéro de série dudit terminal ; et

- b) Les information de la carte SIM, i.e. Subscriber Identity Module, embarquée ; et

- c) Une longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec le système d’établissement d’appel des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau ; et

- d) Une fréquence dédiée aux communications par RF avec le système d’établissement d’appel des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau ; et

- e) Une longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec le système de notifications des appels des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau ; et

- f) Une fréquence dédiée aux communications par RF avec le système de notifications des appels des réseaux locaux stationnaires ou ambulants à système SICOSF dudit inter-réseau. Par définition :

- La longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec ledit système d’établissement d’appel, est désignée par « Mob-SCall-LDosF ».

La fréquence dédiée aux communications par RF avec ledit système d’établissement d’appel, est désignée par « Mob-SCall-/RF ».

- La longueur d’onde dédiée aux communications par OSF avec ledit système de notifications des appels, est désignée par « Mob-SNotif-LDosF ».

La fréquence dédiée aux communications par RF avec ledit système de notifications des appels, est désignée par « ob-SNotif-/Ri ».

Un terminal mobile cellulaire à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO est configuré de manière à pouvoir fonctionner avec le système SICOSF stationnaire ou ambulant de l’inter-réseau IRECH-RF-OP ; cette configuration est faite de manière à ce que :

- a) La longueur d’onde Mob-SCall-LDosF soit égale à la longueur d’onde LAN- SCall-LDosF (*) ; et

- b) La longueur d’onde Mob-SNotif-LDosF soit égale à la longueur d’onde LAN-SNotif-LDosF (*) ; et

- c) La fréquence Mob-SCall-/RF soit égale à la fréquence LAN-SCalL/kr (*) ; et

- d) La fréquence ob-SNotif-/Ri soit égale à la fréquence LAN-SNotif-/Ri (*).

(*) : Ces longueurs d’onde et fréquences RF, sont définies dans la partie VLB.2, relative aux principales caractéristiques fonctionnelles de l’inter-réseau IRECH- RF-OP.

Les principaux moyens utilisés pour rendre adaptatif APDLO, un terminal mobile cellulaire ou un autre appareil électronique, ayant tous les deux un réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques, sont les suivants : a) Les balises BSDLO qui indiquent les directions d’émission-réception ainsi que les longueurs d’onde de communications qui sont en cours d’utilisation ;

b) Les détecteurs de balises DTR-BSDLO qui permettent d’identifier les balises BSDLO et les longueurs d’onde de communications en cours de terminaux mobiles et autres appareils électroniques opérant à proximité ; c) Un dispositif de sélection périodique des arêtes du boîtier et des directions d’émission-réception (SPAD), pour une adaptation aux diverses positions dudit terminal et de son utilisateur au sein d’une cellule optique ou hybride RF-Optique ou par rapport à un autre appareil à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques avec lequel ledit terminal est en liaison par OSF ;

d) Un dispositif de sélection périodique des longueurs d’onde (SPLO), pour un étalement du spectre optique par sauts de longueur d’onde sans interférence optique avec d’autres terminaux similaires ayant réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques en communications par OSF et situés à proximité ;

e) Un microcontrôleur, programmé selon un algorithme permettant l’identification périodique du triplet « (/, /, k) ».

Ces principaux moyens utilisés pour rendre adaptatif APDLO, font partie d’une couche de leur protocole de communications.

Afin d’alléger le langage, on désigne par « Appareil TAEBD » ou « TAEBD », un Terminal ou un autre Appareil Electronique ou un Boîtier quelconque Dédié.

On propose ci-après deux exemples de protocoles ayant de moyens permettant de rendre adaptatif APDLO des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques ; l’un des protocoles concerne un réseau de deux appareils TAEBD, tandis que l’autre est une généralisation à un réseau ayant plus de deux appareils.

VI.A.5 - Méthode de communications entre deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de deux triplets « (hj, k) »

Il convient de se référer aux figures FIG.ll à FIG.14 et FIG.17 à FIG.29 et d’ajouter, d’une part les préfixes « TAEDBx » et « TAEBDz » pour distinguer deux appareils, et d’autre part, les suffixes « ix », « jx », « kx » et « iz », « jz », « kz » pour distinguer respectivement les numéros des arêtes des boîtiers, la longueur d’onde utilisée, les directions d’émission-réception.

L’appareil TAEBDx (FIG.19 à FIG.29) comporte «Ix» matrices à « Mx» antennes photoniques ou optoélectroniques ayant chacune « Nx » directions d’émission- réception où « Lx », « Mx » et « Nx» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « Lx » matrices de l’appareil TAEBDx sont désignées par TAEBDx- Matrix-ERix où « ix » est un nombre entier variant de « 1 » à « Lx » ; les « Lx » matrices TAEBDx-Matrix-ERix sont réparties le long de « Lx » arêtes du boîtier de l’appareil TAEBDx ; l’arête du boîtier qui est longé par une matrice TAEBDx- Matrix-ERix est désignés par TAEBDx-Edge-ERix ; les deux balises BSDLO d’une matrice TAEBDx-Matrix-ERix sont désignées par TAEBDx-Matrix-ERix-BLS- BSDLOl et TAEBDx-Matrix-ERix-BLS-BSDL02 et les deux détecteurs de balises BSDLO sont désignés par TAEBDx-Matrix-ERix-DTR-BSDLOl et TAEBDx- Matrix-ERix-DTR-BSDL02 ; les « Nx » directions d’émission-réception communes aux deux balises BSDLO et aux deux détecteurs de balises d’une matrice TAEBDx-Matrix-ERix sont désignées par TAEBDx-Matrix-ERix-DirAx où « kx » est un nombre entier variant de « 1 » à « Nx » ; les « Mx» longueurs d’onde d’émission-réception des « Mx » double-antennes d’une matrice TAEBDx- Matrix-ERix sont désignées par TAEBDx-Matrix-ERix-2Ant/x-Lmda-ER où « jx » est un nombre entier variant de « 1 » à « Mx ».

L’appareil TAEBDz (FIG.19 à FIG.29) comporte «Lz» matrices à « Mz» antennes photoniques ou optoélectroniques ayant chacune « Nz » directions d’émission- réception où « Lz », « Mz » et « Nz» sont des nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 » ; les « Lz » matrices de l’appareil TAEBDz sont désignées par TAEBDz- Matrix-ERiz où « iz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Lz » ; les « Lz » matrices TAEBDz-Matrix-ERiz sont réparties le long de « Lz » arêtes du boîtier de l’appareil TAEBDz ; l’arête du boîtier qui est longé par une matrice TAEBDz- Matrix-ERiz est désignés par TAEBDz-Edge-ERiz ; les deux balises BSDLO d’une matrice TAEBDz-Matrix-ERiz sont désignées par TAEBDz-Matrix-ERiz-BLS- BSDLOl et TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS-BSDL02 et les deux détecteurs de balises BSDLO sont désignés par TAEBDz-Matrix-ERiz-DTR-BSDLOl et TAEBDz- Matrix-ERiz-DTR-BSDL02 ; les « Nz » directions d’émission-réception communes aux deux balises BSDLO et aux deux détecteurs de balises d’une matrice TAEBDz-Matrix-ERiz sont désignées par TAEBDz-Matrix-ERiz-Dir&z où « kz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Nz » ; les « Mz» longueurs d’onde d’émission-réception des « Mz » double-antennes d’une matrice TAEBDx-Matrix- ERiz sont désignées par TAEBDz-Matrix-ER/z-2Ant/z-Lmda-ER où « jz » est un nombre entier variant de « 1 » à « Mz ».

Le protocole de communications entre deux appareils TAEDBx et TAEBDz comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification de deux couples de nombres entiers « (ixo, kxo ) » et « (izo, kzo) » qui sont tels qu’à un instant « T », les antennes photoniques des matrices TAEBDx-Matrix-ERixo et TAEBDz- atrix- ER/ b et leurs directions d’émission-réception respectives TAEBDx- Matrix-ERix ft -Dirfcc ft et TAEBDz-Mat ri x - E Rfoo- D i rkzo, soient appropriés pour une communications par OSF entre les deux appareils.

Par exemple, les deux couples de nombres entiers « (ixo, kxo ) » et « (izo, kzo ) » peuvent être tels que :

- a) La puissance reçue par les deux détecteurs de balises de la matrice TAEBDz-Matrix-ER/20 suivant la direction TAEBDz-Matrix-ER/^-DiiA^, des signaux émis par les balises de la matrice TAEBDx-Matrix-ER x» suivant la direction T A E B Dx- M at ri x - E R/xa- D i rkx . soit supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; ou

- b) La puissance reçue par les deux détecteurs de balises de la matrice T A E B Dx- M at ri x - E Rix suivant la direction T A E B Dx- M at ri x - E R ixo- D i rkxo. des signaux émis par les balises de la matrice TAEBDz-Matrix-ER/^ suivant la direction soit supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie.

L’attribution d’une longueur d’onde de communications, i.e. le paramètre « jo » pour obtenir les deux triplets « ( ixo, jo , kxo ) » ou « ( izo, jo , kzo ) », s’effectue sur la base d’une liste variable dont le contenu varie en fonction de l’état des communications en cours. Le contenu à l’instant « T » de cette liste variable, s’obtient par différence ensembliste entre une liste permanente et les différentes longueurs d’onde en cours d’utilisation. Les longueurs d’onde en cours d’utilisation s’obtiennent périodiquement à partir des signaux reçus par les détecteurs de balises TAEBDx-Matrix-ER x fl -DTR-BSDLO 1 et TAEBDx-Matrix-ER xe-DTR- BSDL02 ou TAEBDz-Matrix-ER/z0-DTR-BSDLOl et TAEBDz- atrix-ER/ e- DTR-BSDL02. La liste permanente des longueurs d’onde disponibles est stockée dans une mémoire ROM dédié installée chacun des appareils. Les périodes d’acquisitions des longueurs d’onde en cours d’utilisation peuvent être définies soit manuellement soit établies automatiquement à partir d’une combinaison d’un ou plusieurs signaux fournis par les balises BSDLO, avec un ou plusieurs signaux fournis par au moins un accéléromètre intégré dans l’un des appareils TAEBD.

Par exemple, lorsque le réseau de communications formé par les deux appareils TAEBDx et TAEBDz à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, est un réseau à architecture Master/Slave, leur protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des arêtes des deux boîtiers et de leurs directions d’émission- réception. Ces moyens utilise un algorithme se déroulant de la manière suivante, ou un algorithme donnant des résultats équivalents :

- a) Le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBD par OSF et/ou par RF, un signal d’attribution de numéro de tranche de temps et de synchronisation de la base de temps de ses moyens de sélection périodique d’une arête Edge-ERi^ i.e. une atrix-ER/ï, et d’une direction d’émission-réception TAEBDz- at iϊ x - E R Di rk de ladite matrice ; et

- b) Dans la tranche de temps attribuée au Slave TAEBD :

bl -En concordance avec le Master TAEBDx, le Slave TAEBD fait varier « iz » de « 1 » à « Lz » et « kz » de « 1 » à « Nz », et pour chaque couple de nombres entiers « ( iz , kz) » il fait émettre dans la direction d’émission-réception TAEBDz-Mat iϊ x - E R Di rkz , les balises

TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS-BSDLOl et TAEBDz-Matrix-ER/z-BLS- BSDL02 appartenant à sa matrice TAEBDz-Matrix-ER/z ; et en même temps ;

b2 -Pendant les émissions des balises du Slave TAEBD,-, le Master TAEBDx fait varier « ix » de « 1 » à « Lx » et « kx » de « 1 » à « Nx », et compare pour chaque couple de nombres entiers « (ix, kx) » les puissances des signaux reçus dans la direction d’émission-réception TAEBDx-Matrix-ERix-DirAx, par ses deux détecteurs de balises TAEBDx-Matrix-ER/x-DTR-BSDLOl et TAEBDx-Matrix-ER x- DTR-BSDL02, à une puissance de référence dénommée iRef-Receiver, préalablement définie ;

b2.1 - Si pour un couple de nombres entiers « ( ixo , kxo) » les puissances des signaux reçus par les deux détecteurs de balises sont supérieures ou égales à IRef-Receiver, Alors le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBD,- par OSF et/ou RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (ixo, kxo) » dans une mémoire dédiée ; et le Slave TAEBD,- sauvegarde le couple de nombres entiers « (izo, kzo) » correspondants dans une mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape c) ;

b2.2 - Sinon, le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBD par OSF et/ou par RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; et le Slave TAEBD,- sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; ensuite b2.3 - Tant que la tranche de temps attribuée au Slave TAEBDz n’est pas écoulée, recommencer à partir du sous-paragraphe bl) ; ensuite

- c) Le Slave TAEBDz se met en mode IDLE, en attente du prochain signal d’attribution de numéro de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b).

Par convention, si à un instant « T » on a « izo = 0 », cela signifie qu’il n’existe pas à cet instant « T » de possibilité de liaison optimisée par OSF entre les deux appareils TAEBDx et TAEBDz ; dans pareil cas, l’appareil TAEBDz alerte l’utilisateur par un signal sonore et/ou lumineux et/ou par texte lorsque « izq = 0 » afin qu’il puisse modifier sa position.

Les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques sont déterminées soit automatiquement à partir d’un signal ou plusieurs signaux fournis par au moins un accéléromètre intégré dans l’un des appareils soit manuellement par l’utilisateur à partir d’une liste pré-enregistrée dans au moins l’un des appareils.

VI.A.6 - Méthode de communications entre un appareil TAEDBx et « Q » appareils TAEBD¾ TAEBD¾ ..., TAEBDzg, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de « 2 Q » triplets « (/,_/, k) »

Par exemple, lorsque le réseau de communications formé par un appareil TAEBDx et « Q » autres appareils TAEBDz/, TAEBDzz, ..., TAEBDzg, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, est un réseau à architecture MASTER/SLAVE, leur protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification des arêtes des différents boîtiers et de leurs directions d’émission-réception ; ces moyens utilise un algorithme se déroulant de la manière suivante, avec une généralisation des notations, ou un algorithme donnant des résultats équivalents :

- a) Le Master TAEBDx envoi par OSF et/ou par RF aux Slaves TAEBDz^, TAEBD¾ ..., TAEBDz , un signal d’attributions de numéros de tranche de temps, à chacun d’entre eux, et de synchronisation générale des bases de temps de leurs moyens de sélection périodique d’une arête Edgc-ER/zr/, i.e. une Matrix- ER izq, et d’une direction d’émission-réception T A E B Dz</ - at ri x - E R/z</ - D i \kzq de ladite matrice ; « q » étant un nombre entier variant de « 1 » à « Q » ; et ensuite : - b) Le Master TAEBDx initialise la variable « q » à « 0 » ; ensuite

- c) Tant que « q » est inférieur à « Q », faire les étapes d) à f) ; sinon aller à l’étape h) ;

- d) Le Master TAEBDx incrémente la variable « q » de « + 1 » ; ensuite

- e) Tant que la tranche de temps attribuée au Slave TAEBD,-</ n’est pas écoulée, faire les étapes el) à e2), sinon aller à l’étape f) ;

el - En concordance avec le Master TAEBDx, le Slave TAEBD,-</ fait varier le paramètre « izq » de « 1 » à « Lzq » et le paramètre « kzq » de « 1 » à « Nzq », et pour chaque couple « (izq, kzq ) », il fait émettre dans la direction d’émission-réception TAEBDz< -Matrix-ERiz< -Dirfe< , les balises TAEBDz</- atrix-ER/,"</-BLS-BSDLO 1 et TAEBDz<y-Matrix- ER/,"i/-BLS-BSDL02 appartenant à sa matrice TAEBD </- atrix- ERizq ; et simultanément ;

e2 -Pendant les émissions des balises BSDLO du Slave TAEBDz< , le Master TAEBDx fait varier le paramètre « ix » de « 1 » à « Lx » et le paramètre « kx » de « 1 » à « Nx » et compare, pour chaque couple de nombres entiers « (ix, kx) », les puissances des signaux reçus dans la direction d’émission-réception TAEBDx-Matrix-ER/x-DirAx, par les deux détecteurs de balises TAEBDx-Matrix-ERix-DTR-BSDLOl et TAEBDx-Matrix-ER x-DTR-BSDL02 appartenant à sa matrice T A EB Dx- atrix- ER/x, à une puissance de référence dénommée iRef- Receiver, préalablement définie ;

e2.1 - Si pour un couple de nombres entiers « (ixqo, kxqo) », les puissances des signaux reçus par les deux détecteurs de balises sont supérieures ou égales à iRef-Receiver, Alors le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDZÎ/ par OSF et/ou RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple « (ixqo, kxqo ) » dans une mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDZÎ/ sauvegarde le couple « (izqo, kzqo ) » correspondants dans une mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape f) ;

e2.2 - Sinon, le Master TAEBDx envoi au Slave TAEBDZÎ/ par OSF et/ou par RF un signal d’arrêt de recherche, et sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; et le Slave TAEBDZÎ/ sauvegarde le couple de nombres entiers « (0,0) » dans sa mémoire dédiée ; ensuite aller à l’étape e) ; - f) Le Slave AEBD,-</ se met en mode IDLE, en attente du prochain signal d’attributions de numéros de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b) ; ensuite

- g) Aller à l’étape c) ;

- h) Les « Q » Slaves TAEBDz/, TAEBDzz, TAEBDzg, se mettent en mode IDLE, en attente du prochain signal d’attributions de numéros de tranche de temps et de synchronisation pour recommencer à partir de l’étape b).

Par convention, pour tout « q » compris entre « 1 » et « Q », si à un instant « T » on a « izq = 0 », cela signifie qu’il n’existe pas à cet instant « T » de possibilité de liaison optimisée par OSF entre le Master TAEBDx et le Slave TAEBDz// ; dans ce cas, l’appareil TAEBDz// alerte l’utilisateur par un signal sonore et/ou lumineux et/ou par texte lorsque « izq = 0 » afin qu’il puisse modifier sa position.

Comme dans le cas de deux appareils, les périodes de recherches desdits moyens de recherches périodiques sont déterminées soit automatiquement à partir d’un signal ou plusieurs signaux fournis par au moins un accéléromètre intégré dans l’un des appareils, soit manuellement par l’utilisateur à partir d’une liste pré enregistrée dans au moins l’un des appareils.

VI.A.7 - Méthode d’attribution des longueurs d’onde par un TAEDBx à « Q » appareils TAEBD^, TAEBD¾ TAEBD ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Etalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueur d’ondes

Lorsque le réseau de communications formé par un appareil TAEBDx et « Q » autres appareils TAEBDz/, TAEBDz:, ..., TAEBDzg, à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, est un réseau à architecture MASTER/SLAVE, la méthode d’attribution des longueurs d’onde par le Master TAEBDx à chacun des « Q » Slaves TAEBDz/, TAEBDz:, ..., TAEBDz // , consiste à : - a) considérer le Master TAEBDx comme étant un réseau local OPFIBRE-LAN Virtuel ; - b) considérer les « Q » Slaves TAEBDz/, TAEBDz: ? , ..., TAEBDz // , comme étant des pseudo-satellites photoniques virtuels.

Ensuite, grâce à cette transposition, il suffit d’appliquer à ce réseau local virtuel et ses pseudo-satellites photoniques virtuels la méthode d’attribution des longueurs d’onde, ainsi que la méthode d’étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueurs d’onde de la partie VI.B.4

VI.B - Inter-réseau étendu à cellules hybrides, RF et Optiques, ayant un système SICOSF

L’inter-réseau IRECH-RF-OP est destiné principalement aux terminaux mobiles et autres appareils électroniques ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques, tels qu’exposés ci-avant à la section III, afin de leur permettre de communiquer en priorité par OSF, dans des conditions pratiques offrant à l’utilisateur une très grande liberté de mouvement. Par ailleurs, rappelons que les communications par OSF sont très avantageuses, car elles permettent de prévenir les risques de maladies du cerveau ou autres problèmes de santé, qui sont inhérents aux signaux RF des appareils mobiles de l’art antérieur ; de plus, les vitesses de transfert des données peuvent être extrêmement élevées par rapport à ceux d’une liaison par RF ; ces vitesses peuvent être similaires à celles d’une liaison filaire par fibre optiques de bout en bout, tout en étant un système de communication sans fil. L’inter-réseau IRECH-RF-OP permet également de réduire substantiellement les pollutions électromagnétiques RF dans les environnements clos ou semi- clos, stationnaires ou ambulants, qui sont induites par les réseaux locaux de communication par RF et les terminaux ou autres appareils connectés, faisant partie de l’Art antérieur.

VI.B.l - Architecture de l’inter-réseau IRECH-RF-OP, ayant un système SICOSF comportant des pseudo-satellites photoniques

Rappelons que l’inter-réseau IRECH-RF-OP est formé par l’interconnexion d’un réseau cellulaire RTMOB-RF, un réseau local OPFIBRE-LAN, un réseau local d’appoint BACKUP-RF-LAN.

Le réseau cellulaire RTMOB-RF est un réseau de téléphonie de l’art antérieur tel que le réseau « 2G », « 3 G », « 4G » ou « 5G » ou les futures évolutions ou un réseau similaire.

Le réseaux local OPFIBRE-LAN est de préférence un réseau de type Ethernet 10 Gigabits par seconde, ou Ethernet 40 Gigabits par seconde ou Ethernet 100 Gigabits par seconde ou Ethernet 200 Gigabits par seconde ou Ethernet 400 Gigabits par seconde.

Le réseau local BACKUP-RF-LAN est destiné en priorité à : - a) la synchronisation par RF d’une base de temps du réseau local OPFIBRE-LAN avec la base de temps du dispositif de sélection SPAD du terminal mobile et autres appareils électroniques à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, pour une adaptation automatique aux positions de ces derniers et des leurs utilisateurs ; - b) pallier par RF à toute obstruction intempestive du rayonnement optique de liaison dudit terminal mobile ou de l’un desdits autres appareils électroniques avec le réseau local OPFIBRE-LAN.

Le réseau BACKUP-RF-LAN peut, par exemple, être construit sur la base d’un standard de communication local de l’art antérieur tel que le standard Wi-Fi ® IEEE 802.11 de l’organisation Institute of Electrical and Electronics Engineers dont l’acronyme est IEEE, opérant à l’heure actuelle dans les bandes de fréquence 2.4, 3.6 et 5 GHz ou sur le standard Bluetooth ® de l’organisation Bluetooth Spécial Interest Group dont l’acronyme est SIG, opérant à l’heure actuelle dans la bande de fréquence 2.4 GHz ainsi que sur les évolutions futures de ces deux standards.

Les réseaux locaux OPFIBRE-LAN et BACKUP-RF-LAN doivent être déployés dans le même environnement ; cet environnement, s’il est stationnaire, doit être de préférence localisé à l’intérieur de la zone de couverture dudit réseau RTMOB-RF ; s’il est ambulant, son itinéraire doit être, de préférence, localisé à l’intérieur de ladite zone de couverture.

L’homme de l’art dans le domaine des réseaux de communications électroniques, peut dimensionner et réaliser le déploiement de l’inter-réseau IRECH-RF-OP.

Le système SICOSF est destiné à être déployé dans l’environnement du réseau local OPFIBRE-LAN auquel il est associé, mobile et clos ou semi-clos, dans une zone sans obstacle à la propagation des rayonnements optiques ayant des longueurs d’ondes appropriées ; cette zone est dénommée « Zone de Couverture Optique du SICOSF », en abrégé ZCO-SICOSF, et constitue également ladite Zone de Couverture Optique dudit réseau local OPFIBRE-LAN. Le système SICOSF communique sans fil, d’une part, avec ledit réseau local OPFIBRE-LAN par des faisceaux de rayons optiques parallèles (FROP) et, d’autre part, avec les terminaux mobiles et autres appareils électroniques à réseau d’antennes photonique ou optoélectronique adaptatif APDLO qui sont localisés dans la zone ZCO-SICOSF par les pseudo-satellites photoniques (FIG.42 à FIG.47, FIG.50 à FIG.55, FIG.58 à FIG.63, FIG.71 à FIG.76, FIG.79 à FIG.84, FIG.87 à FIG.92, FIG.96 à FIG.101, FIG.104 à FIG.109, FIG.112 à FIG.117).

Selon leurs emplacements au sein du système SICOSF, afin de gagner de la place et optimiser leurs installations, les pseudo-satellites photoniques sont regroupés par deux ou par quatre (FIG.50 à FIG.55, FIG.58 à FIG.63, FIG.79 à FIG.84, FIG.87 à FIG.92, FIG.104 à FIG.109, FIG.112 à FIG.117).

L’adaptateur ADAPT-COMFROP (FIG.127 à FIG.132), pour la communication entre le réseau local OPFIBRE-LAN et le système SICOSF, est destiné à être relié, d’une part, au réseau local OPFIBRE-LAN par un câble de fibres optiques à travers l’interface ICFO de ce dernier, et d’autre part, au système SICOSF par des faisceaux FROP (145ADAPT à 152ADAPT, 214ADAPT à 220ADAPT).

Selon son emplacement au sein du système SICOSF, afin de gagner de la place et optimiser leurs installations, l’adaptateur ADAPT-COMFROP peut être combiné avec un ou plusieurs pseudo-satellites photoniques (FIG.133 à FIG.144). La combinaison d’un adaptateur avec un pseudo-satellite photonique est destinée à être reliée, d’une part, au réseau local OPFIBRE-LAN par un câble de fibres optiques à travers l’interface ICFO de ce dernier, et d’autre part, au système SICOSF par des faisceaux FROP (157ADAPT-B11 à 161ADAPT-B11, 163ADAPT-B11,

165ADAPT-B11, 221ADAPT-B11 à 227ADAPT-B11) ; il est de même pour un combinaison d’un adaptateur avec un groupement de deux pseudo-satellites photoniques (168ADAPT -B 11 A21 à 172ADAPT-B11A21, 174ADAPT-B11A21, 177ADAPT-B11A21, 182ADAPT-B11A21 à 190ADAPT-B11A21, 192ADAPT- B11A21, 200 AD APT -B 11 A21 à 205ADAPT-B11A21, 207ADAPT-B11A21, 228ADAPT-B11A21 à 243ADAPT-B11A21).

Un pseudo-satellite photonique (FIG.42 à FIG.47, FIG.71 à FIG.76, FIG.96 à FIG.101) peut être défini comme étant un dispositif fonctionnant sans alimentation ni câble de liaison électrique ou optique, et ayant un châssis garni de composants lui permettant principalement de (FIG.34 à FIG.39) :

Collecter (34CONRO/) par concentration optique, sous la forme de sources quasi-ponctuelles, les rayonnements optiques issus de sources localisées dans une zone spécifique de l’espace et orientées de manière appropriée, et ensuite transformer (34CONSOP) lesdites sources quasi-ponctuelles en un faisceau FROP ; et - Diffuser (35DIFFRO/) de manière à couvrir ladite zone spécifique, les rayonnements optiques qu’il reçoit sous forme de faisceau FROP, après avoir transformé chaque faisceau FROP en sources quasi-ponctuelle (35CONFROP) ; et le cas échéant,

Dévier d’un angle ayant une valeur prédéfinie (36DEVIFROP4, 36DEVIFROP3, 37DEVIFROP2, 38DEVIFROP1, 39DEVIFROP1, 39DEVIFROP2, 39DEVIFROP3, 39DEVIFROP4) un ou plusieurs faisceaux FROP qui le traversent de manière appropriée.

Ladite zone spécifique du Pseudo-Satellite est dénommée « Zone de Couverture Optique du Pseudo-Satellite », en abrégé « ZCO-PSAT ».

Le nombre des composants photoniques qui peuplent un pseudo-satellite dépend de l’emplacement de ce dernier au sein du système SICOSF (FIG.119, FIG.120, FIG.125, FIG.126). Le châssis d’un pseudo-satellite photonique est dénommé « PSAT-CHASSIS », et il est composé de trois parties principales dénommées « PSAT-CHASSIS-DOME », « PSAT-CHASSIS-BASE » et « PSAT-CHASSIS- INTERFACE » (FIG.42, FIG.44, FIG.46, FIG.71, FIG.73, FIG.75, FIG.96, FIG.98, FIG.100). Etant un dispositif de précision, un pseudo-satellite photonique possède un repère orthonormé lié (FIG.118), gravé sur la partie PSAT-CHASSIS- BASE, appelé « Repère Propre R-O-OX-OY-OZ » et dont le centre est le point O et les trois axes sont OX, OY, OZ.

La partie PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.40 à FIG.42, FIG.69 à FIG.71, FIG.94 à FIG.96) comporte une portion ayant la forme d’un quart d’hémisphère creux de centre O d et de rayon Rd. Cette partie est destinée à être garnie, sur sa portion quart- hémisphérique, principalement par les composants suivants :

1. Un groupement de « N » concentrateurs de rayonnements optiques imageurs ou non-imageurs, chacun en abrégé « CONRO », où « N » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 », permettant de transformer (FIG.31, FIG.66, FIG.67, FIG.93 à FIG.95) en un groupement de « N » sources quasi-ponctuelles les rayonnements ayant des longueurs d’ondes appropriés et dont les sources sont localisées à différents endroits dans la zone ZCO-PSAT, qui est incluse dans la zone ZCO-SICOSF. Ces concentrateurs sont orientés de manière à ce que leurs axes de symétrie soient pratiquement concourants au point O d (FIG.69 à FIG.70) ; ce qui fait que, la zone ZCO-PSAT est contenue pour l’essentiel dans le cône de centre O d et dont la directrice est la courbe définie par le contour de la surface quart- hémisphérique du PSAT-CHASSIS-DOME ; en d’autres termes, cela correspond à la portion de ce cône dont les points sont situés à une distance du centre O d comprise entre Rd et une Distance Maximale préalablement définie, notée Dmax ; rappelons que la valeur numérique en stéradians de l’angle solide définie par un tel cône est égale à p/2.

2. Un groupement de « N » diffuseurs de rayonnements optiques standards ou holographiques, chacun en abrégé « DIFFRO », permettant d’étaler (FIG.32, FIG.33, FIG.66, FIG.67, FIG.93 à FIG.95) un groupement de « N » sources quasi-ponctuelles de rayonnements de longueurs d’ondes appropriés en augmentant substantiellement leurs dimensions et les diffuser dans la zone ZCO-PSAT. Ces Diffuseurs sont orientés (FIG.69 à FIG.70) de manière à ce que leurs axes de symétrie soient pratiquement concourants au point O d ; ce qui fait que ladite zone prédéfinie de l’espace est la même que celle des Concentrateurs.

3. Un couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO du PSAT-CHASSIS-DOME (44PSAT-DCDC-CHASSIS- DOME-COVER, 71PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 96PSAT-LSI- CDC-CHASSIS-DOME-COVER), transparent aux rayonnements optiques ayant des longueurs d’onde appropriées.

La partie PSAT-CHASSIS-BASE (FIG.42 à FIG.47, FIG.71 à FIG.76, FIG.96 à FIG.100, FIG.119, FIG.120) comporte plusieurs Conduits de Faisceaux Optiques, en abrégé CFO, répartis sur un ou plusieurs niveaux en général à raison de quatre conduits par niveau. Lorsque l’on souhaite découpler plusieurs secteurs d’un pseudo-satellite photonique de manière à pouvoir contrôler lesdits secteurs indépendamment les uns des autres, alors on met en place quatre conduits supplémentaires par secteur et ainsi de suite ; dans ce cas, lesdits secteurs sont considérés comme étant des pseudo-satellites photoniques indépendants mais ils sont dénommés « Sous-pseudo-satellites photoniques ». Les conduits CFO appartenant au même niveau sont caractérisés en ce qu’ils ont le même plan de symétrie, dénommé « Plan de Niveau », en abrégé PNIV. Les différents plans PNIV d’un pseudo-satellite photonique sont parallèles et équidistants ; ils sont numérotés, s’il y a au moins deux plans de niveau, à savoir PNIV1, PNIV2, et ainsi de suite (43PINV1, 45PNIV1, 45PNIV2, 47PNIV1 à 47PNIV4, 72PINV1, 74PNIV1, 74PNIV2, 76PNIV1 à 76PNIV4, 97PINV1, 99PNIV1, 99PNIV2, 101PNIV1 à 101PNIV4). Les conduits CFO d’un même pseudo-satellite photonique appartenant au plan PNIV dont le numéro est égal au nombre entier « k » sont dénommés PNIV/t-CFOl, PNIV/c-CF02, PNIV/c-CF03, PNIV/c-CF04 ; par exemple, PNIV1- CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 pour le plan PNIV1 et PNIV2- CFOl, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04 pour le plan PNIV2 et ainsi de suite (42PNIV1-CF01 à 42PNIV1-CF04, 44PNIV2-CF01 à 44PNIV2-CF04, 46PNIV4-CF01 à 46PNIV4-CF04, 71PNIV1-CF01 à 71PNIV1-CF04,

73PNIV2-CF01 à 73PNIV2-CF04, 75PNIV4-CF01 à 75PNIV4-CF04,

96PNIV1-CF01 Ù 96PNIV1-CF04, 98NIV2-CF01 à 98PNIV2-CF04, 100PNIV4- CFOl à 100PNIV4-CF04). Lorsque le pseudo-satellite photonique ne possède qu’un seul niveau, alors les quatre conduits CFO sont dénommés PNIV-CFOl, PNIV-CF02, PNIV-CF03, PNIV-CF04 et si aucune confusion n’est à craindre, alors ils sont dénommés CFOl, CF02, CF03, CF04. La surface interne de chacun desdits conduits CFO peut être décrite comme étant l’union de deux parties appartenant à deux surfaces cylindriques dont les droites génératrices Dl et D2 sont perpendiculaires et dont les courbes directrices sont deux rectangles ou deux carrés ou deux cercles ayant les mêmes dimensions.

La partie PSAT-CHASSIS-BASE est destinée à être garnie principalement par les composants suivants (FIG.119, FIG.120) : a) Un convertisseur optique de source ponctuelle en abrégé CONSOP, permettant de transformer (FIG.33, FIG.34, 119CONSOP, 120CONSOP) une source quasi-ponctuelle de rayonnement en faisceau FROP émergent. Le convertisseur CONSOP est un système optique centré, relié au dit groupement de « N » concentrateurs par un coupleur optique (340PC0UPLER-C0MBINER), dénommé « CONSOP-CPLR », dont le nombre des entrées est égal à « A» et le nombre des sorties est égal à « 1 » ; ce type de coupleur est en général connu dans le domaine de la photonique sous le nom de « Combiner ». Ce convertisseur est placé dans un conduit CFO appartenant au plan de niveau PNI V/c.

b) Un convertisseur optique de faisceau FROP, en abrégé CONFROP, permettant de transformer (FIG.33, FIG.35, 119CONFROP, 120CONFROP) un faisceau FROP incident en une source quasi-ponctuelle de rayonnement. Le convertisseur CONFROP, qui est identique au convertisseur CONSOP sauf qu’il n’a pas le même rôle que ce dernier, est relié au dit groupement de « N» Diffuseurs par un coupleur optique (350PC0UPLER-SPLITTER), dénommé « CONFROP-CPLR », dont le nombre des entrées est égal à « 1 » et le nombre des sorties est égal à « N » ; ce type de coupleur est en général connu dans le domaine de la photonique sous le nom de « Splitter ». Ce convertisseur est placé dans un conduit CFO appartenant au même plan de niveau PNI V/c que celui du convertisseur CONSOP.

c) Selon l’emplacement du pseudo-satellite photonique au sein du système SICOSF, certains conduits CFO comportent des déviateurs de faisceau FROP, en abrégé DEVIFROP, qui sont des systèmes catoptriques, destinés à dévier d’un angle égal à « 90° » tout faisceau FROP incident (FIG.36 à FIG.39, 36DEVIFROP4, 36DEVIFROP3, 37DEVIFROP2, 38DEVIFROP1, 39DEVIFROP1, 39DEVIFROP2, 39DEVIFROP3, 39DEVIFROP1, 119DEVIFROP3, 119DEVIFROP4).

d) Deux capuchons de protection des conduits CFO, qui sont transparents aux rayonnements optiques ayant des longueurs d’onde appropriées.

Fa partie PSAT-CHASSIS-INTERFACE (FIG.42, FIG.44, FIG.46, FIG.71, FIG.73, FIG.75, FIG.96, FIG.98, FIG.100, FIG.121, FIG.122) se fixe par vissage sur la partie PSAT-CHASSIS-BASE et par collage sur la partie PSAT-CHASSIS- DOME pour les assembler et elle contient les principaux éléments suivants :

1. Un tambour d’enroulements de fibres optiques dénommé PSAT-DRUM et un berceau, dénommé PSAT-CRADLE, qui placé à l’intérieur dudit tambour. Le berceau PSAT-CRADLE est destinée à être occupé par les coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350P COUPLER- SPLITTER) . Le tambour PSAT-DRUM (121INTERFACE- DRUM) est destiné à l’enroulement des fibres optiques (34N-CONRO-FROP, 35FROP-N-DIFFRO) desdits coupleurs avant d’être reliés respectivement, d’une part, au convertisseur CONSOP (34CONSOP) et au groupement de « N » concentrateurs CONRO, et d’autre part, au convertisseur CONFROP (35CONFROP) et au groupement de « N » diffuseurs. Le diamètre du tambour PSAT-DRUM doit être tel que l’enroulement autour, desdites fibres optiques permet de respecter les contraintes techniques inhérentes à tout fibre optique, à savoir le rayon minimal de courbure en dessous duquel il peut en résulter des sévères dégradations des performances.

2. Deux dispositifs de verrouillage / déverrouillage par loquets du couvercle de protection du PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.121). Le loquet de chacun de ces dispositifs (121INTERFACE-LATCH1, 121INTERFACE-LATCH2) s’engage par pression et se désengage par friction.

Afin d’optimiser la construction d’un système SICOSF, les pseudo-satellites photoniques qui sont destinés à se retrouver côte à côte à deux, à trois ou à quatre dans la formation des cellules optiques, peuvent être remplacés respectivement par un duo, un trio, ou un quatuor de pseudo-satellites photoniques équivalents, dénommés respectivement DUO-PSAT, TRIO-PSAT et QUATUOR-PSAT ou QUAT-PSAT. Ces regroupements en duo (FIG.51, FIG.53, FIG.55, FIG.80, FIG.82, FIG.84, FIG.105, FIG.107, FIG.109) trio et quatuor (FIG.59, FIG.61, FIG.63, FIG.88, FIG.90, FIG.92, FIG.113, FIG.115, FIG.117) permettent de réduire les dimensions de l’ensemble et de partager certains éléments tels que les tambours d’enroulements de fibres optiques et les berceaux des coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR ; en effet, on utilise un seul tambour et un seul berceau au lieu de deux, trois, ou quatre. Les DUO-PSAT, TRIO-PSAT et QUAT-PSAT s’obtiennent en remodelant les parties correspondantes des châssis des pseudo-satellites photoniques qui les composent ; après remodelage, les parties des châssis sont dénommées DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT - CHASSIS-BASE et DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, pour celles du DUO- PSAT ; TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS-BASE et TRIO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE, pour celles du TRIO-PSAT ; QUAT-PSAT- CHASSIS-DOME, QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE et QUAT-PSAT-CHASSIS- INTERFACE, pour celles du QUAT-PSAT.

La partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME comporte une portion ayant la forme d’une demie-hémisphère (FIG.48 à FIG.50, FIG.77 à FIG.79, FIG.102 à FIG.104) creuse de centre O d et de rayon Rd, comportant « 2 x N » concentrateurs optiques CONRO, « 2 x A» diffuseurs optiques DIFFRO. La partie TRIO-PSAT- CHASSIS-DOME comporte une portion ayant la forme d’un trois-quarts d’hémisphère creux de centre O d et de rayon Rd, comportant « 3 x N» concentrateurs optiques CONRO, « 3 x A » diffuseurs optiques DIFFRO. La partie QUAT-PSAT-CHASSIS-DOME comporte une portion ayant la forme d’un hémisphère (FIG.56 à FIG.58, FIG.85 à FIG.87, FIG.110 à FIG.112) creux de centre O d et de rayon Rd, comportant « 4 x A » concentrateurs optiques CONRO, « 4 x A » diffuseurs optiques DIFFRO ; « A » est un nombre entier supérieur ou égal à « 1 » qui représente le nombre des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs optiques DIFFRO d’un pseudo-satellite photonique. Le Repère Propre de chacun desdits groupements étant le Repère Propre de l’un des pseudo-satellite qui le compose, à savoir un repère R-O-OX-OY-OZ (FIG.118).

Par définition, l’ensemble des pseudo-satellites photoniques interdépendants (FIG.145 à FIG.243) entrant dans la composition d’un système SICOSF est dénommé « Réseau de pseudo-satellites photoniques ». De plus, un réseau de pseudo-satellites photoniques dans lequel les axes des itinéraires des FROP sont parallèles ou orthogonales est dénommé « Réseau canonique de pseudo-satellites photoniques » ; dans ce cas, le nombre des conduits CFO par niveau est généralement égale à quatre. L’itinéraire d’un faisceau FROP depuis son point de départ jusqu’à son point d’arrivée est dénommé « Route-Photonique » ou « Photonic-Route ». L’ensemble des itinéraires des faisceaux FROP d’un réseau de pseudo-satellites photoniques est dénommé « Réseau de Route-Photonique » ou « Photonic-Route-Network ».

Un adaptateur ADAPT-COMFROP (FIG.127 à FIG.132) de communication par faisceaux FROP, peut être défini comme étant dispositif fonctionnant sans alimentation ni câble de liaison électrique, mais avec un câble de fibres optiques (1270PTICAL-FIBER-H0LE, 1280PTICAL-FIBER-H0LE, 130OPTICAL- FIBER-HOLE, 1320PTICAL-FIBER-H0LE), et ayant un châssis garni de composants lui permettant principalement de :

Collecter tous les faisceaux FROP (14641A11, 14641D11, 14641B11, 14641C11, 14741A11, 14741D11, 14741B11, 14741C11, 14841A11,

14841D11, 14841B11, 14841C11, 14941A11, 14941D11, 14941B11,

14941C11, 15041A11, 15041D11, 15041B11, 15041C11, 15141A11,

15141D11, 15141B11, 15141C11, 15241A11, 15241D11, 15241B11,

15241C11) générés par les pseudo-satellites photoniques (145A11, 145B11, 145C11, 145D11, 146A11, 146B11, 146C11, 146D11, 147A11, 147B11, 147C11, 147D11, 148A11, 148B11, 148C11, 148D11, 149A11, 149B11, 149C11, 149D11, 150A11, 150B11, 150C11, 150D11, 151A11, 151B11, 151C11, 151D11, 152A11, 152B11, 152C11, 152D11) du système SICOSF (FIG.145 à FIG.156) pour les convertir en autant de sources quasi- ponctuelles de rayonnement optique qu’il y a de pseudo-satellite photonique ; ensuite transmettre chacune desdites sources quasi-ponctuelles par une fibre optique dédiée au réseau local OPFIBRE-LAN ;

Transmettre à chacun des pseudo-satellites photoniques (145A11, 145B11, 145C11, 145D11, 146A11, 146B11, 146C11, 146D11, 147A11, 147B11, 147C11, 147D11, 148A11, 148B11, 148C11, 148D11, 149A11, 149B11, 149C11, 149D11, 150A11, 150B11, 150C11, 150D11, 151A11, 151B11, 151C11, 151D11, 152A11, 152B11, 152C11, 152D11) du système SICOSF (FIG.145 à FIG.156) un faisceau FROP dédié (14642A11, 14642D11,

14642B11, 14642C11, 14742A11, 14742D11, 14742B11, 14742C11,

14842A11, 14842D11, 14842B11, 14842C11, 14942A11, 14942D11,

14942B11, 14942C11, 15042A11, 15042D11, 15042B11, 15042C11,

15142A11, 15142D11, 15142B11, 15142C11, 15242A11, 15242D11,

15242B11, 15242C11), obtenu par conversion d’une source quasi- ponctuelle dédiée de rayonnement optique, reçue par une fibre optique dédiée en provenance de l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN. NB : Par convention, un faisceau FROP émis par un pseudo-satellite photonique « PSAT-X// ou Xij ou X » est désigné par « 41 Xij ou 41X » ; un faisceau FROP destiné à un pseudo-satellite photonique « PSAT-X// ou Xij ou X » est désigné par « 42 X// ou 42X» ; la méthode de désignations des pseudo-satellites photoniques d’un système SICOSF est détaillée au paragraphes relatifs à la réalisation des réseaux canoniques.

Le châssis d’un adaptateur ADAPT-COMFROP est dénommé « ADAPT- CHASSIS » et il est composé de trois parties principales (FIG.127, FIG.129, FIG.131), dénommées « ADAPT-CHASSIS-BASE » (127ADAPT-CHASSIS- BASE, 129ADAPT-CHASSIS-BASE, 131DAPT-CHASSIS-BASE), « ADAPT- CHASSIS-INTERFACE » (127ADAPT-CHASSIS-INTERFACE, 129ADAPT- CHASSIS-INTERFACE, 131DAPT-CHASSIS-INTERFACE), et « ADAPT- CHASSIS-PROTECTIVE COVER » (127ADAPT-CHASSIS-COVER,

128ADAPT-CHASSIS-COVER, 129ADAPT-CHASSIS-COVER, 130ADAPT- CHASSIS-COVER, 131DAPT-CHASSIS-COVER, 132ADAPT-CHASSIS- COVER). Etant un dispositif de précision, un adaptateur ADAPT-COMFROP possède un repère orthonormé lié, gravé sur la partie ADAPT-CHASSIS-BASE, appelé « Repère Propre R-O-OX-OY-OZ » et dont le centre est le point O et les trois axes sont OX, OY, OZ.

La partie ADAPT-CHASSIS-BASE comporte un ou plusieurs trous de passage pour les câbles de fibres optiques destinés à relier l’adaptateur ADAPT-COMFROP au réseau local OPFIBRE-LAN via l’interface ICFO de ce dernier (1280PFIBER- HOLE, 130OPFIBER-HOLE, 1320PFIBER-H0LE) ; elle comporte également, comme la partie PSAT-CHASSIS-BASE du châssis du pseudo-satellite photonique, plusieurs conduits CFO repartis sur un ou plusieurs niveaux à raison de quatre par Plan de Niveau PNIV (127PNIV1, 128PNIV1, 129PNIV2, 131PNIV4) ; les différents Plans de Niveau sont parallèles et équidistants ; les Plans de Niveau et les conduits CFO sont numérotés de la manière que ceux de la partie PSAT-CHASSIS-BASE (127PNIV1-CF01, 127PNIV1-CF02, 127PNIV1-CF03, 127PNIV1-CF04, 129PNIV2-CF01, 129PNIV2-CF02, 129PNIV2-CF03,

129PNIV2-CF04, 131PNIV4-CF01, 131PNIV4-CF02, 131PNIV4-CF03,

131PNIV4-CF04). Le nombre des niveaux est au moins égal au nombre des niveaux d’un pseudo-satellite photonique du système SICOSF, sachant que tous les pseudo-satellites faisant partie d’un même système SICOSF ont de préférence le même nombre des niveaux. Contrairement à un pseudo-satellite photonique, les conduits CFO de l’adaptateur ADAPT-COMFROP sont dédiés exclusivement auxdits convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP (FIG.33) pour les échanges de signaux optiques par des faisceaux FROP entre le réseau local OPFIBRE-LAN et le système SICOSF. La surface interne de chacun des conduits CFO peut être décrite comme étant une portion d’une surface cylindrique dont la courbe directrice est un rectangle ou un carré ou un cercle. La partie ADAPT- CHASSIS-BASE est destinée principalement à la mise en place des composants suivants : a) Plusieurs convertisseurs optiques CONSOP (128CONSOP, 130CONSOP, 132CONSOP) à raison d’un convertisseur par pseudo-satellite photonique figurant au sein du système SICOSF. b) Plusieurs convertisseurs optiques CONFROP (128CONFROP, 130CONFROP, 132CONFROP) à raison d’un convertisseur par pseudo-satellite photonique figurant au sein du système SICOSF. c) Des capuchons de protection des conduits CFO, transparents aux rayonnements optiques ayant des longueurs d’onde appropriées.

La partie ADAPT-CHASSIS-INTERFACE (127ADAPT-CHASSIS- INTERFACE, 129ADAPT-CHASSIS-INTERFACE) est similaire à celle d’un DUO-PSAT (123DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE) et se fixe par vissage sur la partie ADAPT-CHASSIS-BASE et elle est composée des principaux éléments suivants :

1. Un tambour d’enroulements (123INTERFACE-DRUM) de fibres optiques dénommé « ADAPT-DRUM » et le cas échéant, un berceau, dénommé « ADAPT- CRADLE », qui placé à l’intérieur dudit tambour. Le tambour ADAPT-DRUM est destiné à l’enroulement des fibres optiques permettant de relier les convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP à l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE- LAN. Le diamètre du tambour ADAPT-DRUM est tel que l’enroulement autour desdites fibres optiques permet de respecter les contraintes techniques inhérentes à tout fibre optique.

2. Quatre dispositifs de verrouillage/déverrouillage par loquets du ADAPT-

CHASSIS-PROTECTIVE COVER (123INTERFACE-LAT CH 1 ,

123INTERFACE-LATCH2, 123INTERF ACE-LAT CH3 , 123INTERFACE- LATCH4). Le loquet de chacun de ces dispositifs s’engage par pression et se désengage par friction.

La partie ADAPT-CHASSIS-PROTECTIVE COVER (127ADAPT-CHASSIS- COVER, 128ADAPT-CHASSIS-COVER, 129ADAPT-CHASSIS-COVER, 130ADAPT-CHASSIS-COVER, 132ADAPT-CHASSIS-COVER) est un couvercle de protection de la partie supérieure de l’adaptateur ADAPT- COMFROP ; elle peut être opaque. Ce couvercle de protection se fixe sur la partie ADAPT-CHASSIS-INTERFACE grâce aux quatre dispositifs de verrouillage / déverrouillage par loquets.

Afin d’optimiser la construction d’un système SICOSF, un adaptateur ADAPT- COMFROP peut être intégré directement dans un ou plusieurs pseudo-satellites photoniques modifiés, pour ne former qu’un seul dispositif combiné ; les modifications sont effectuées de manière à ce que les pseudo-satellites photoniques du dispositif combiné puissent communiquer avec le réseau local OPFIBRE- LAN par des fibres optiques sans passer par des faisceaux FROP. Fes dispositifs combinés résultants sont dénommés « COMBINED-ADAPT-PSAT », « COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT », « COMBINED-ADAPT-TRIO-PSAT », « COMBINED-ADAPT-QUATUOR-PSAT », s’il s’agit respectivement d’une combinaison avec un, deux, trois, quatre pseudo-satellites photoniques modifiés (FIG.133 à FIG.144).

Les réseaux canoniques de pseudo-satellites photoniques sont classés en deux catégories, dénommées « Réseau Canonique Elémentaire de Pseudo-Satellites Photoniques », en abrégé RCE-PSAT-PHOTONIC et « Réseau Canonique Composé de Pseudo-Satellites Photoniques », en abrégé RCC-PSAT-PHOTONIC.

Réalisation du réseau RCE-PSAT-PHOTONIC : Le réseau canonique élémentaire de pseudo-satellites photoniques RCE-PSAT-PHOTONIC (FIG.145 à FIG.167) est destiné à couvrir une zone de l’espace ayant la forme d’un parallélépipède rectangle de longueur égale à « a », de largeur égale à « h » et de hauteur égale à « h », dénommée « Cellule Optique Enveloppante » ou « Envelopping Optical Cell », en abrégé ENVOPCell ou Cell, dont la base est délimitée au plancher par un rectangle ABCD de longueur égale à « a », de largeur égale à « h » où « a » et « b » sont des nombres inférieurs à 6.25m et « h » un nombre compris entre 2.50m et 2.80m. Par ailleurs, il est avantageux de choisir « a » et « b » égaux ; en choisissant par exemple « a » et « b » égaux à 5,50m, la valeur « S » de la surface couverte au plancher est égale à environ 30,25m 2 . Les trois nombres « a », « b », « h » sont les constantes caractéristiques du réseau RCE- PSAT-PHOTONIC. Le positionnement relativement précis des pseudo-satellites photoniques les uns par rapport aux autres étant essentiel, il est avantageux de définir un repère orthonormé Rl-01-01X1-01Y1-01Z1 (FIG.145, FIG.146, FIG.157, FIG.158, FIG.214 à FIG.216) lié à la cellule ENVOPCell et dont l’origine est le point 01 et les trois axes sont 01XJ O! Y!, OlZl ; ce repère est choisi de manière à ce que son origine 01 coïncide avec le sommet A du rectangle ABCD et ses axes 01X1 et 01Y1 soient respectivement parallèles aux côtés AB et AD ; l’axe OlZl étant la droite orthogonale au plan du rectangle ABCD et passant par le point A et elle orientée positivement du plancher vers le sommet de la cellule ENVOPCell. Le réseau RCE-PSAT-PHOTONIC possède deux principales variantes, dénommées « RCE-PSAT-PHOTONIC -Type I » et « RCE-PSAT- PHOT ONIC-T ype II ».

La variante RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I (FIG.145 à FIG.156, FIG.214 à FIG.220) est optimisée pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par un adaptateur ADAPT-COMFROP ; elle comporte quatre pseudo-satellites photoniques dénommés « PSAT-A », « PSAT-B », « PSAT-C » et « PSAT-D » ; si aucune confusion n’est à craindre, ils sont aussi dénommés respectivement « A », « B », « C », « D ». Parmi les nombreuses possibilités, la position de l’adaptateur ADAPT-COMFROP au sein du Réseau RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I peut être réalisée de manière à ce que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl , d’une part, les coordonnées de l’origine O de son repère propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « al 2 », « 0 » et « h » et, d’autre part, les axes OX et OZ soient respectivement parallèles aux axes 01 Y1 et OlZl mais de sens contraires ; tandis que Taxe OY soit parallèle à Taxe OlYl et même sens.

La variante RCE-PSAT-PHOTONIC-Type II (FIG.157 à FIG.167, FIG.221 à FIG.227) est optimisé pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN par un adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT ; elle diffère de celle de Type I en ce que l’un des pseudo-satellites photoniques est remplacé par cet adaptateur qui, comme précisé dans un paragraphe précédent, est une combinaison de l’adaptateur ADAPT-COMFROP et d’un pseudo-satellite photonique modifié. Tous les dispositifs du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC ont des conduits CFO sur un seul niveau.

Les principales caractéristiques des variantes RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I et RCE-PSAT-PHOTONIC-Type II sont les suivantes : a) Réseau Canonique Elémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC- Type I (FIG.145 à FIG.156, FIG.214 à FIG.220) : La composition et le déploiement des quatre pseudo-satellites photoniques PSAT-A, PSAT-B, PSAT-C et PSAT-D sont effectués comme suit : - a.l) Composition et coordonnées de déploiement du pseudosatellite photonique PSAT-A (FIG.125, FIG.153, 153A11) : Le convertisseur optique CONSOP est installé dans le conduit CF03 de manière à ce que le faisceau FROP (15341A11) émergeant de la conversion de la source quasi-ponctuelle, soit parallèle à l’OY du repère propre (FIG.118). Le convertisseur optique CONFROP est installé dans le conduit CF04 de manière à pouvoir convertir en source optique quasi-ponctuelle le faisceau FROP (15342A11) incident à qui est parallèle à Y OY du repère propre. Il y a deux déviateurs DEVIFROP qui sont installés dans les conduits CFOl et CF02 ; le DEVIFROP (15371D11) du conduit CFOl est destiné à dévier de 90° tout faisceau FROP entrant parallèlement à l’axe OX du repère propre pour le rendre parallèle à l’axe OY ; le DEVIFROP (15372D11) du conduit CF 02 est destiné à dévier de 90° tout faisceau FROP entrant parallèlement à l’axe OY du repère propre pour le rendre parallèle à l’axe OX. La position du pseudo satellite photonique PSAT-A (153A11) au sein du réseau RCE-PSAT- PHOTONIC est telle que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl , d’une part, les coordonnées de l’origine O de son repère propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « 0 », « 0 » et « h » et, d’autre part, les axes OX et OY soient respectivement parallèles et de même sens que le axes OlYl et 01X1 ; tandis que l’axe OZ soit parallèle à l’axe OlZl mais de sens contraire, i.e. orienté vers le plancher.

- a.2) Composition et coordonnées de déploiement du Pseudo- Satellite Photonique PSAT-B (FIG.125, FIG.154, 154B11) : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT-B sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo-satellite photonique PSAT-A par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- a.3) Composition et coordonnées de déploiement du pseudosatellite photonique PSAT-C (FIG.126, FIG.155, 155C11) : Il ne comporte aucun déviateur DEVIFROP. Le convertisseur optique CONSOP est installé dans le conduit CFOl de manière à ce que le faisceau FROP (15541C11) émergeant de la conversion de la source quasi-ponctuelle, soit parallèle à l’axe OX de son repère propre (FIG.118). Le convertisseur optique CONFROP est installé dans le conduit CF 02 de manière à pouvoir convertir en source optique quasi-ponctuelle le faisceau FROP (15542C11) incident à qui est parallèle à YOX. La position du pseudo satellite photonique PSAT-C (155C11) au sein du Réseau RCE-PSAT- PHOTONIC est telle que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl , d’une part, les coordonnées de l’origine O de son repère propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « a », « b » et « h » et, d’autre part, les axes OX, OY et OZ soient respectivement parallèles aux axes OlYl, 01X1 et 01 ZI mais de sens contraires.

- a.4) Composition et coordonnées de déploiement du pseudosatellite photonique PSAT-D (FIG.126, FIG.156, 156D11) : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT-D (156D11) sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo satellite photonique PSAT-C par rapport au plan orthogonal à Taxe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé R1-01-01X1-01Y1- 01Z1. b) Réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type II (FIG.157 à FIG.167, FIG.221 à FIG.227) : La différence entre ce réseau et le réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I est que le pseudo-satellite photonique PSAT-B est remplacé par un adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT dénommé, en référence au pseudo-satellite qu’il remplace, COMBINED-ADAPT-PSAT-B et dont les coordonnées de déploiement sont identiques à celles du Pseudo-Satellite Photonique PSAT-B du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I. L’adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT-B (158ADAPT-B11, 159ADAPT-B11, 160ADAPT-B11, 161ADAPT-B11, 163ADAPT-B11, 165ADAPT-B11) ne comporte naturellement aucun déviateur DEVIFROP et ses convertisseurs optiques sont répartis de la manière suivante :

- b.l)Deux convertisseurs optiques CONFROP (16562D11, 16562C11) sont installés dans le conduit CFOl de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents (16541D11, 16541C11) dont l’un est parallèle à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du repère propre.

- b.2)Deux convertisseurs optiques CONSOP (16561D11, 16561C11) sont installés dans le conduit CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP émergents (16542D11, 16542C11) de la conversion de deux sources quasi- ponctuelles, soient parallèles l’un à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du repère propre.

- b.3)Un convertisseur optique CONFROP (16562A11) est installé dans le conduit CF03 de manière à pouvoir convertir en une source optique quasi- ponctuelle un faisceau FROP incident (16541A11) parallèle à Taxe OX du repère propre.

- b.4)Un convertisseur optique CONSOP (16561A11) est installé dans le conduit CF04 de manière à ce que le faisceau FROP émergent (16542A11) de la conversion d’une source quasi-ponctuelle, soit parallèle à l’axe OX du Repère Propre.

Réalisation du réseau RCC-PSAT-PHOTONIC (FIG.168 à FIG.212, FIG.228 à FIG.243) : Le réseau canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC est destiné à couvrir des grandes zones de l’espace ayant la forme d’un parallélépipède rectangle dont la longueur est égale à « m » fois la longueur « a » du réseau canonique RCE- PSAT-PHOTONIC et dont de largeur est égale à « « » fois la largeur « b » ; la hauteur est inchangée, i.e. égale au nombre « h » ; « m » et « n » étant des nombres entiers différents de zéro ; par ailleurs, il est avantageux de choisir les nombres « a » et « b » égaux ; le réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC est une généralisation du RCE-PSAT-PHOTONIC, qui correspond au cas « m = n = 1 ».

Le réseau canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC est une juxtaposition de « x « » cellules ENVOPCell, telles que exposé ci-avant dans la partie relative au réseau canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC ; cet ensemble de cellules forme une matrice de cellules optiques enveloppante, au sens algébrique du terme, en abrégé M-ENVOPCell ou Cell, ayant « m » colonnes et « n » lignes dont les éléments sont dénommées « ENVOPCell// ' » ou « Cell// ' » ; la cellule ENVOPCell// ' étant celle qui est située sur la colonne et la ligne dont les numéros sont respectivement égaux à « / » et à « / ' ». Les paramètres « / » et « j » sont indépendants et chacun d’entre eux peut être supérieur ou égal à « 1 » ; pour « a = b = 5,50m » en prenant par exemple « m » égal à « 1 » et « n » égal à « 2 » on obtient une surface « S » au plancher de 60,50m 2 ; en prenant par exemple « m » égal à « 2 » et « n » égal à « 2 » on obtient une surface « S » au plancher de 12 lm 2 ; en prenant par exemple « m » égal à « 2 » et « n » égal à « 4 » on obtient une surface « S » au plancher d’environ 242m 2 . Le repère orthonormé R1-01-01X1-01Y1- 01Z1 lié à la matrice M-ENVOPCell est définie de la même manière que dans le cas du réseau élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC. Chaque cellule ENVOPCell- ij où « / » est un nombre entier compris entre « 1 » et « m » et « j » un nombre entier compris entre « 1 » et « n », comporte quatre pseudo-satellites photoniques dénommés « PSAT-A-Cellÿ », « PSAT-B-Cellÿ », « PSAT-C-Cellÿ », « PSAT-D- Cellÿ » ou « PSAT-Aÿ », « PSAT-Bÿ », « PSAT-Cÿ », « PSAT-Dÿ » si aucune confusion n’est à craindre. Lorsque des pseudo-satellites photoniques PSAT-X , PSAT-Y/ v, PSAT-Z/w, PSAT-Tvw sont regroupés en duo, trio ou quatuor, alors ils sont respectivement dénommés « DUO-PSAT-Xpq-Yrs » , « TRIO-PSAT-Xpq-Yrs- Ztu » et « QUAT-PSAT-Xpq-Yrs-Ztu-Tvw » ; «X », « Y », « Z » , « T » sont des lettres différentes les unes des autres appartenant à l’ensemble (A, B, C, D} ; «p », « r », « t » , « v » sont des entiers compris entre « 1 » et « » ; « q », « s », « u », « w » sont des entiers compris entre « 1 » et « n ». Contrairement aux pseudo satellites du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC, les conduits CFO du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC se trouvent sur un ou plusieurs niveaux. Les réseaux canoniques RCC-PSAT-PHOTONIC sont classés en plusieurs catégories en fonction du nombre des niveaux de conduits CFO qu’ils possèdent ; ceux qui possèdent un, deux, trois, quatre niveaux et ainsi de suite, sont dénommés respectivement « RCC-PSAT-PHOTONIC-OneLevel », « RCC- PSAT-PHOTONIC-TwoLevels », « RCC-PSAT-PHOTONIC-ThreeLevels »,

« RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevels », et ainsi de suite. Chacune de ces catégories possède trois principales variantes qui sont optimisées pour une liaison avec le réseau local OPFIBRE-LAN via les adaptateurs ADAPT-COMFROP, COMBINED-ADAPT-PSAT, COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT. Les variantes du réseau canoniques RCC-PSAT-PHOTONIC qui sont réalisées ci-après sont celles des catégories RCC-PSAT-PHOTONIC-OneLevel, RCC-PSAT- PHOT ONIC-T woLevels et RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevels. Il s’agit des variantes suivantes :

1. Réalisation du réseau canonique composé RCC-PSAT-PHOTONIC- OneLevel-Type I : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur ADAPT- COMFROP. C’est un cas particulier ayant une seule cellule ENVOPCell, i.e. cas « m = n = 1 », ce qui en fait tout simplement un réseau canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I, tel que celui réalisé précédemment (FIG.145 à FIG.156, FIG.214 à FIG.220).

2. Réalisation du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-OneLevel- Type ll (FIG.168 à FIG.181) : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT. C’est un cas particulier ayant une seule cellule ENVOPCell, ce qui en fait tout simplement un réseau canonique élémentaire RCE- PSAT-PHOTONIC-Type II tel que celui réalisé précédemment (FIG.157 à FIG.167, FIG.221 à FIG.227).

3. Réalisation du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-OneLevel- Type IIE (FIG.168 à FIG.181, FIG228 à FIG.234) : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT. Ce réseau est obtenu en ajoutant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-OneLevel-Type II (FIG.157 à FIG.167, FIG.221 à FIG.227) son symétrique par rapport au plan orthogonal à Taxe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « a » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl. La réalisation de cette symétrie est accompagnée de quelques simplifications apportées par des groupements de deux pseudo-satellites photoniques. C’est ainsi que le réseau canonique RCC-PSAT- PHOTONIC-OneLevel-Type IIE comporte deux cellules ENVOPCelUi et ENVOPCcll2/ formant une matrice M-ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 2 » et le nombre des lignes égal à « 1 » et où la cellule ENVOPCell 7 est la symétrique de la cellule ENVOPCell/ / qui est identique à la cellule ENVOPCell du réseau canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC-Type IL Les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell/ / sont donc normalement PSAT-A/ /, PSAT-B/ /, PSAT-C/ /, PSAT-D/ / et les quatre Pseudo- Satellites Photoniques de la cellule ENVOPCcll-2/ sont PSAT-A2/, PSAT-B2/, PSAT-C2/, PSAT-D2/. Cependant, étant un réseau canonique de Type IIE, l’adaptateur COMB1NED-ADAPT-PSAT-B/ / et son symétrique, dénommé COMBINED-ADAPT-PSAT-A21, sont remplacés par l’adaptateur COMBINED- ADAPT-DUO-PSAT qui comporte deux pseudo-satellites modifiés qui sont leurs équivalents ; cet adaptateur est dénommé, en référence aux deux pseudo-satellites PSAT-B 11 et PSAT-A2/ qu’il remplace, COMBINED-ADAPT -DUO-P SAT -B 77 - A 21. Par ailleurs, à cause de leurs emplacements particuliers au sein du système SICOSF, les pseudo-satellites PSAT-C/ / et PSAT-D2/ sont appropriés pour former le duo DUO-PSAT-C77-D27 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Yr.s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « D » ; « p », « r » respectivement égaux à « 1 » et « 2 » ; « q », « s » respectivement égaux à « 1 » et « 1 ». La composition et les coordonnées de déploiement des six pseudo-satellites photoniques PSAT-A 77, PSAT-D/ /, PSAT- B 21, PSAT-C2/, DUO-PSAT-C/ 1-Ό21 sont effectués de la manière suivante :

- 3.a) Pseudo-satellites photoniques PSAT-A77 et PSAT-D77 : Les deux pseudo-satellites photoniques PSAT-A1.1 (173A11) et PSAT-D1.1 (173D11) sont respectivement identiques aux pseudo-satellites photoniques PSAT- A (161A11, 162A11) et PSAT-D (161D11, 162D11) du réseau canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC-Type II (FIG.157 à FIG.167) et ils ont les mêmes coordonnées de déploiement.

- 3.b) Pseudo-satellites photoniques PSAT-B27 et PSAT-C.27 : La composition et les coordonnées de déploiement des pseudo-satellite photoniques PSAT-B27 (169B21, 170B21, 171B21, 175B21) et PSAT-C 7 (169C21, 170C21, 171C21, 175C21) sont effectuées de manière à ce qu’ils deviennent respectivement les symétriques des pseudo-satellites photoniques PSAT-A77 et PSAT-D77 par rapport au plan orthogonal à Taxe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « a » dans le repère orthonormé R1-01-01X1-01Y1-01Z1.

- 3.c) Groupement de deux pseudo-satellite photoniques DUO- PSAT-C77-D27 : La composition et les coordonnées de déploiement de la partie correspondant à PSAT-C77 du groupement DUO-PSAT-C77-D27 (171C11D21, 172C11D21, 174C11D21) sont identiques à celles du pseudo-satellite photonique PSAT-C (157C11, 159C11, 160C11, 161C11, 163C11, 166C11) du réseau canonique élémentaire RCE-PSAT-PHOTONIC-Type II (FIG.157 à FIG.167). La composition de la partie correspondant à PSAT-D2/ du groupement DUO-PSAT- C11-D21 est telle que ce dernier soit le symétrique de la partie PSAT-C11 par rapport au plan orthogonal à l’axe OX au point O dans le repère propre du DUO- PSAT-C77-D27.

4. Réalisation du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels- Type l : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur ADAPT-COMFROP. Ce réseau est composé de deux cellules ENVOPCcll/ / et ENVOPCcll /2 formant une matrice M-ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 1 » et le nombre des lignes égal à « 2 » ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell77 sont donc normalement PSAT-A 11, PSAT-B/ /, PSAT-C//, PSAT-D// et les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell- 12 sont PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C72, PSAT-D72. Cependant, à cause de leurs emplacements dans le système SICOSF, les pseudo-satellites photoniques PSAT-C 11 et PSAT-B/2 sont appropriés pour former le duo DUO-PSAT-C//- B 12 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Yr.s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « B » ; « p » et « r » respectivement égaux à « 1 » et « 1 » ; « q » et « s » respectivement égaux à « 1 » et « 1 ». Les pseudo satellites photoniques PSAT-D/ / et PSAT-A/2 sont appropriés pour former le duo DUO-PSAT-D//-A/2 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Yr.s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « A » ; « p » et « r » respectivement égaux à « 1 » et « 2 » ; « q », et « s » respectivement égaux à « 1 » et « 2 ». La composition et les coordonnées de déploiement des huit pseudo-satellites photoniques PSAT-A//, PSAT-B/ /, PSAT- C 12, PSAT-D 72, DUO-PSAT-C77-B72, DUO-PSAT-D77-A72 sont les suivants :

- 4.a) Pseudo-satellites photoniques PSAT-A77 : La composition en convertisseurs optiques CONSOP, CONFROP et déviateurs DEVIFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV1 du Pseudo-Satellite Photonique PSAT- All, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04, sont respectivement identiques à ceux des conduits CFOl, CF02, CF03, CF04 du pseudo-satellite photonique PSAT-A du réseau canonique élémentaire RCE- PSAT-PHOTONIC-Type I et ils ont les mêmes coordonnées de déploiement. Tous les conduits CFO du Niveau PNIV2 contiennent des déviateurs DEVIFROP.

- 4.b) Pseudo-satellites photoniques PSAT-B77 : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT- B77 s’effectuent de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo-satellite photonique PS AT- A / 1 par rapport au plan orthogonal à Taxe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 4.c) Pseudo-satellites photoniques PSAT-C/2 : Tous le conduits CFO des plans de niveau PNIV1 des Pseudo-Satellites Photonique PSAT-C/2 sont vides. Deux conduits CFO du plan de niveau PNIV2 du pseudo-satellite photonique PSAT-C/2, à savoir PNIV2-CF01, PNIV2-CF02 sont également vides ; un convertisseur optique CONSOP est installé dans le conduit PNIV2-CF03 de manière à ce que le faisceau FROP, émergeant de la conversion de la source quasi- ponctuelle, soit parallèle à Taxe OX de son repère propre ; le convertisseur optique CONFROP est installé dans le conduit PNIV2-CF04 de manière à pouvoir convertir en source optique quasi-ponctuelle le faisceau FROP incident à qui est parallèle à Y OX. La position du pseudo-satellite photonique PSAT-C/2 au sein du Réseau Canonique Composé RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevel-Type I est telle que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl, d’une part, les coordonnées de l’origine O de son Repère Propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « a », « 2 b » et « h » et, d’autre part, les axes OX, OY et OZ soient respectivement parallèles aux axes OlYl, 01X1 et OlZl mais de sens contraires.

- 4.d) Pseudo-satellites photoniques PSAT-D/2 : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT-D/2 sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo-satellite photonique PSAT-C/2 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 4.e) Groupement de deux pseudo-satellite photoniques DUO- PSAT-C//-B/2 : La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV1 de la partie correspondant au pseudo-satellite photonique PSAT-C/ /, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04, sont respectivement identiques à ceux des conduits CFOl, CF02, CF03, CF04 du pseudo-satellites photonique PSAT-C du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04CF0 du plan de niveau PNIV2 de la partie correspondant au pseudo-satellite photonique PSAT-B/2, sont respectivement identiques à ceux des conduits CFOl, CF02, CF03, CF04 du pseudo-satellites photonique PSAT-B du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I ; cependant, bien qu’ils soient placés au-dessus de la partie PSAT-C 11 ces convertisseurs optiques appartiennent à la partie correspondant au pseudo-satellite photonique PSAT-B/2 ; les conduit CFO du plan de niveau PNIV2 de la partie correspondant au pseudo-satellite photonique PSAT-B/2 sont entièrement vides ; les deux pseudo-satellites photoniques DUO-PSAT-C//-B/2 ont les mêmes coordonnées de déploiement que le pseudo-satellites photonique PSAT-C du réseau canonique RCE-PSAT-PHOTONIC-Type I.

- 4.f) Groupement de deux pseudo-satellite photoniques DUO- PSAT-D77-A7.2 : La composition et les coordonnées de déploiement des deux pseudo-satellite photoniques DUO-PSAT-D77-A72 sont effectuées de manière à ce qu’ils deviennent les symétriques des deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-C77-B72 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse est égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

5. Réalisation du Réseau Canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- TwoLevels-Type II : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED- ADAPT-PSAT. Ce réseau est composé de deux cellules ENVOPCell77 et ENVOPCell72 formant une matrice M-ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 1 » et le nombre des lignes égal à « 2 ». La seule différence entre ce réseau et le réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I est que le pseudo-satellite photonique PSAT-B77 est remplacé par un adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT dénommé, en référence au pseudo-satellite qu’il remplace, COMBINED-ADAPT-PSAT-B77 et dont les coordonnées de déploiement sont identiques à celles du pseudo-satellite photonique PSAT-B77 du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I. L’adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT-B77 ne comporte naturellement aucun déviateur DEVIFROP et ses convertisseurs optiques sont répartis de la manière suivante :

- 5.a) Le conduits CFO du niveau PNIV1 contiennent : Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIVl-CFOl de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP sont installés dans le conduit PNIV1-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeants de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Un convertisseur optique CONFROP est installé dans le conduit PNIV1-CF03 de manière à pouvoir convertir en une source optique quasi-ponctuelle un faisceau FROP incident parallèle à l’axe OX du repère propre ; - Un convertisseur optique CONSOP est installé dans le conduit PNIV1-CF04 de manière à ce que le faisceau FROP, émergeant de la conversion d’une source quasi-ponctuelle, soit parallèle à l’axe OX du repère propre.

- 5.b)Le conduits CFO du niveau PNIV2 contiennent : - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV2-CF01 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV2-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeant de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV2-CF03 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP sont installés dans le conduit PNIV2-CF04 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeant de la conversion de deux sources quasi- ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OXet l’autre à l’axe OY du Repère Propre.

6. Réalisation du Réseau Canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- TwoLevels-Type IIE (FIG.182 àFIG.199, FIG.235 àFIG.241) : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT. Ce réseau est obtenu en ajoutant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevel- Type II son symétrique par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « a » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl . La réalisation de cette symétrie est accompagnée de quelques simplifications apportées par des groupements de deux pseudo-satellites photoniques. C’est ainsi que le réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type IIE comporte quatre cellules ENVOPCellii, ENVOPCell72, ENVOPCell27 et ENVOPCell22 (Cellii, Cell22, CeU22, Cell22) et où les cellules ENVOPCell27 et ENVOPCell22 sont respectivement les symétriques des cellules ENVOPCcll//, ENVOPCcll /2. Ces quatre cellules forment ainsi une matrice M-ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 2 » et le nombre des lignes égal à « 2 ». Les cellules ENVOPCcll// et ENVOPCcll /2 étant identiques à celles du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type II. Rappelons que les quatre pseudo satellites photoniques de la cellule ENVOPCellii sont PSAT-A/ / (182A11 à 189A11, 191A11), PSAT-B 11, PSAT-C 11, PSAT-D 11 ; les quatre pseudo satellites photoniques de la cellule ENVOPCell72 sont PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C72, PSAT-D72 (182D12 à 189D12, 197D12). Les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell27 sont PSAT -A2J PSAT-B27 (182B21 à 188B21, 190B21, 193B21), PSAT-C27, PSAT-D27 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell22 sont PSAT-A22, PSAT -B 22, PSAT-C22 (182C22 à 188C22, 190C22, 199B21), PSAT-D22. A cause de leurs emplacements particuliers dans le système SICOSF, les groupements des deux pseudo-satellites DUO-PSAT-C/ /-B/2 et son symétrique DUO-PSAT-D2/-A22 sont appropriés pour former le groupement QUATUOR-PSAT-C/ /-B/2-D2/-A22 (182C11D21A22B12 à 190C11D21A22B12, 195C11D21A22B12) qui, in fine, est le groupement des quatre pseudo-satellite photonique PSAT-C 11, PSAT-B/2, PSAT-D2/, PSAT-A22 ; ce qui correspond dans l’appellation générique QUATUOR-PSAT-Xpc/-Y/-s-Z/M-Tv’H’ au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « D » ; « Z » est égal à « A » ; « T » est égal à « B » ; « p », « r » , « t », « v » respectivement égaux aux nombres « 1 », « 2 », « 2 » et « 1 » ; « q », « s », « u », « w » respectivement égaux aux nombres « 1 », « 1 », « 2 » et « 2 ». Le symétrique du groupement de deux pseudo satellite DUO-PSAT-D/ /-A /2 est le groupement DUO-PSAT-C2/-B22. Le pseudo satellites PSAT-C /2 et son symétrique PSAT-D22 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT- C12-D22 (182C12D22 à 190C12D22, 198C12D22) ; ce qui correspond dans l’appellation générique au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « D » ; « p », « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 2 » ; « q », « s » respectivement égaux aux nombres « 2 » et « 2 ». Etant un réseau canonique de Type IIE, l’adaptateur CO BINED-ADAPT-PSAT-B / / et son symétrique, dénommé COMBINED-ADAPT-PSAT-A27, sont remplacés par l’adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT qui comporte deux pseudo-satellites modifiés qui sont leurs équivalents ; cet adaptateur est dénommé, en référence aux deux pseudo-satellites PSAT-B / / et PSAT-A2/ qu’il remplace, COMBINED-ADAPT- DUO-P S AT -B 11 -A21 (182 ADAPT-B 11 A21 à 190ADAPT-B1 1A21, 192ADAPT- B1 1A21).

7. Réalisation du Réseau Canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- FourLevels-Type I : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur ADAPT- COMFROP. Ce réseau est composé de quatre cellules ENVOPCelll. l, ENVOPCelll2, ENVOPCelll3 et ENVOPCelll4, formant une matrice M- ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 1 » et le nombre des lignes égal à « 4 ». Les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCellii sont donc normalement PSAT-A 11, PSAT-B/ /, PSAT-C / /, PSAT-D / / ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell72 sont PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C72, PSAT-D72 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCcll/3 sont PSAT-A /3, PSAT- B 13, PSAT-C /3, PSAT-D/3 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell74 sont PSAT-A74, PSAT-B 74, PSAT-C74, PSAT-D74. Cependant, à cause de leurs emplacements dans le système SICOSF, les pseudo-satellites photoniques PSAT-C 11 et PSAT-B/2 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-C/ /-B/2 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO- PSAT-X/¾/-Y/-s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « B » ; « p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q » et « s » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 2 ». Les pseudo-satellites PSAT- D 11 et PSAT-A /2 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-D/ /- A 12 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Y au cas où « X » est égal à « D » ; « Y » est égal à « A » ; « p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q », et « s » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 2 ». Les pseudo-satellites PSAT-C 2 et PSAT-B/3 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-C72-B/3 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Yr.s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « B » ; « p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q » et « s » respectivement égaux aux nombres « 2 » et « 3 ». Les pseudo-satellites PSAT- D 12 et PS AT- A /3 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-D/2- A 13 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Y au cas où « X » est égal à « D » ; « Y » est égal à « A » ; «p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q », et « s » respectivement égaux aux nombres « 2 » et « 3 ». Les pseudo-satellites SAT-C73 et PSAT-B/4 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-C/3-B/ ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Yr.s au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « B » ; « p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q » et « s » respectivement égaux aux nombres « 3 » et « 4 ». Les pseudo-satellites PSAT- D 13 et PSAT-A/4 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-D/3- A 14 ; ce qui correspond dans l’appellation générique DUO-PSAT-X/?c/-Y au cas où « X » est égal à « D » ; « Y » est égal à « A » ; «p » et « r » respectivement égaux aux nombres « 1 » et « 1 » ; « q » et « s » respectivement égaux aux nombres « 3 » et « 4 ». La composition et les coordonnées de déploiement des seize pseudo satellites photoniques PSAT-A 11, PSAT-B 11, PSAT-C 14, PSAT-D/4, DUO- PSAT-C77-B72, DUO-PSAT-D77-A72, DUO-PSAT-C72-B73, DUO-PSAT- Ό12-A13, DUO-PSAT-C73-B74, DUO-PSAT-D73-A74 sont les suivantes :

- 7.a) Pseudo-satellite photonique PSAT-A77 : La composition en convertisseurs optiques CONSOP, CONFROP et déviateurs DEVIFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV1 du pseudo-satellite photonique PSAT-A77, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04, sont respectivement identiques à ceux des conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 du pseudo-satellite photonique PSAT-A77 du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I. Tous les conduits CFO des plans de niveau PNIV2, PNIV3, PNIV4, contiennent des déviateurs DEVIFROP. Les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT-A77 au sein du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevel- Type I sont identiques celles du pseudo-satellite du même nom au sein du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I.

- 7.b) Pseudo-satellite photonique PSAT-B77 : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT- B 11 s’effectuent de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo-satellite photonique PSAT-A 11 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 7.c) Pseudo-satellite photonique PSAT-C/7 : Tous les conduits CFO des plans de niveau PNIV1 PNIV2, PNIV3 du pseudo-satellite photonique PSAT-C/ sont vides deux conduits CFO des plans de niveau PNIV4, à savoir PNIV4-CF01, PNIV4-CF02 sont également vides ; un convertisseur optique CONSOP est installé dans le conduit PNIV4-CF03 de manière à ce que le faisceau FROP, émergeant de la conversion de la source quasi-ponctuelle, soit parallèle à l’axe OX de son repère propre ; un convertisseur optique CONFROP est installé dans le conduit PNIV4-CF04 de manière à pouvoir convertir en source optique quasi-ponctuelle le faisceau FROP incident à qui est parallèle à Y OX de son repère propre. La position du pseudo-satellite photonique PSAT-C/ au sein du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevel-Type I est telle que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl , d’une part, les coordonnées de l’origine O de son repère propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « a », « 4 b » et « h » et, d’autre part, les axes OX, OY et OZ soient respectivement parallèles aux axes OlYl, 01X1 et OlZl mais de sens contraires.

- 7.d) Pseudo-satellite photonique PSAT-D/7 : La composition et les coordonnées de déploiement du pseudo-satellite photonique PSAT-D/4 sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du pseudo-satellite photonique PSAT-C14 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 7.e) Groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-C//-B/2 : Tous les conduits CFO des plans de niveau PNIV3 et PNIV4 du groupement DUO-PSAT-C/ /-B/2 sont vides. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO des plans de niveau PNIV1 et PNIV2 des parties associées au pseudo-satellites photoniques PSAT-C 11 et PSAT- B 12 est identique à celle correspondante du DUO-PSAT-C/ /-B/2 appartenant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I. Les groupement DUO-PSAT-C/ /-B/2 a les mêmes coordonnées de déploiement que le groupement DUO-PSAT-C/ /-B/2 appartenant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- TwoLevels-Type I.

- 7.f) Groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-D77-A7.2 : La composition et les coordonnées de déploiement des deux pseudo-satellite photoniques DUO-PSAT-D77-A72 sont effectuées de manière à ce qu’ils deviennent les symétriques des deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-C11-B12 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse est égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 7.g) Groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-C/2-B/J : Tous les conduits CFO des plans de niveau PNIV1 et PNIV4 du groupement DUO-PSAT-C/2-B/3 sont vides. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV2 de la partie associée au pseudo-satellite photonique PSAT-C/2 est identique à celle correspondante du pseudo-satellite photonique PSAT-C/2 appartenant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-TwoLevels-Type I. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV3 est identique à celle du niveau PNIV2 du groupement DUO-PSAT- C11-B12. Les groupement DUO-PSAT-C72-B73 a les mêmes coordonnées de déploiement que le pseudo-satellites photonique PSAT-C/2 du réseau canonique RCC-P S AT -PHOT ONIC-T woLevels-T ype I.

- 7.h) Groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-D/2-A/3 : La composition et les coordonnées de déploiement du groupement DUO-PSAT-D/2-A/3 sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du groupement DUO-PSAT-C/2-B/3 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse est égale à « al 2 » dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl.

- 7.i) Groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO- PSAT-C/3-B/4 : Tous les conduits CFO des plans de niveau PNIV1 et PNIV2 du groupement DUO-PSAT-C/3-B/4 sont vides. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV3 est identique à celle du plan PNIV2 du groupement DUO-PSAT-C/2-B/3. La composition en convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP des conduits CFO du plan de niveau PNIV4 est identique à celle du plan PNIV3 du groupement DUO- PSAT-C/2-B/3. La position du groupement DUO-PSAT-C/3-B/4 au sein du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevel-Type I est telle que dans le repère orthonormé Rl-Ol-OIXl-OlYl-OlZl , d’une part, les coordonnées de l’origine O de son Repère Propre R-O-OX-OY-OZ soient égales aux nombres « a », « 3 b » et « h » et, d’autre part, les axes OX, OY et OZ soient respectivement parallèles aux axes OlYl, 01X1 et OlZl mais de sens contraires.

- 7.j) Groupement de deux pseudo-satellite photoniques DUO- PSAT-D/3-A/4 : La composition et les coordonnées de déploiement du groupement DUO-PSAT-D/3-A/4 sont effectuées de manière à ce qu’il devienne le symétrique du groupement DUO-PSAT-C/3-B/4 par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse est égale à « al 2 » dans le repère orthonormé R1-01-01X1-01Y1-01Z1.

8. Réalisation du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- FourLevels-Type II : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED- ADAPT-PSAT. Ce réseau est composé de quatre cellules ENVOPCcll//, ENVOPCelU2, ENVOPCcll /3 et ENVOPCcll / , formant une matrice M- ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 1 » et le nombre des lignes égal à « 4 ». La seule différence entre ce réseau et le réseau canonique RCC- PSAT-PHOTONIC-FourLevels-Type I est que le pseudo-satellite photonique PSAT-B/ / est remplacé par un adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT dénommé, en référence au pseudo-satellite qu’il remplace, COMBINED-ADAPT-PSAT-B/ / et dont les coordonnées de déploiement sont identiques à celles du pseudo-satellite photonique PSAT-B/ / du réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevels- Type l. L’adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT -B77 ne comporte naturellement aucun déviateur DEVIFROP et ses convertisseurs optiques sont répartis de la manière suivante :

- 8.a) Le conduits CFO du niveau PNIV1 contiennent : - Deux convertisseurs optiques CONFROP , installés dans le conduit PNIVl-CFOl de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV1-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeants de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du Repère Propre ; - Un convertisseur optique CONFROP installé dans le conduit PNTV1-CF03 de manière à pouvoir convertir en une source optique quasi-ponctuelle un faisceau FROP incident parallèle à Taxe OX du Repère Propre ; - Un convertisseur optique CONSOP installé dans le conduit PNIV1-CF04 de manière à ce que le faisceau FROP, émergeant de la conversion d’une source quasi- ponctuelle, soit parallèle à Taxe OX du repère propre.

- 8.b)Le conduits CFO du niveau PNTV2 contiennent : - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV2-CF01 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV2-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP émergeant de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à Taxe OX et l’autre à Taxe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNTV2-CF03 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV2-CF04 de manière à ce que les deux faisceaux FROP émergeants de la conversion de deux sources quasi- ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre.

- 8.c) Le conduits CFO du niveau PNIV3 contiennent : - Deux Convertisseurs Optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV3-CF01 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du Repère Propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV3-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP émergeant de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV3-CF03 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV4-CF04 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeants de la conversion de deux sources quasi- ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre.

- 8.d)Le conduits CFO du niveau PNIV4 contiennent : - Deux Convertisseurs Optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV4-CF01 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV4-CF02 de manière à ce que les deux faisceaux FROP émergeant de la conversion de deux sources quasi-ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONFROP installés dans le conduit PNIV4-CF03 de manière à pouvoir convertir en deux sources optiques quasi-ponctuelles les deux faisceaux FROP incidents dont l’un est parallèle à l’axe OX et l’autre à l’axe OY du repère propre ; - Deux convertisseurs optiques CONSOP installés dans le conduit PNIV4-CF04 de manière à ce que les deux faisceaux FROP, émergeants de la conversion de deux sources quasi- ponctuelles, soient parallèles l’un à l’axe OXet l’autre à l’axe OY du Repère Propre.

9. Réalisation du Réseau Canonique RCC-PSAT-PHOTONIC- FourLevels-Type IIE (FIG.200 à FIG.211, FIG.242 à FIG.243) : C’est la variante optimisée pour l’adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT. Ce réseau est obtenu en ajoutant au réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevel- Type II son symétrique par rapport au plan orthogonal à l’axe 01X1 au point dont l’abscisse égale à « a » dans le repère orthonormé R1-01-01X1-01Y1-01Z1. La réalisation de cette symétrie est accompagnée de quelques simplifications apportées par des groupements de deux et quatre pseudo-satellites photoniques. C’est ainsi que le réseau canonique RCC-PSAT-PHOTONIC-FourLevels-Type IIE comporte huit cellules ENVOPCellii (Cellii), ENVOPCelli2 (Celli2), ENVOPCellii (Cellii), ENVOPCellii (Cellii), ENVOPCell2i (CelL2i), ENVOPCell22 (Cell22), ENVOPCcll23 (Cell2i), ENVOPCell2i (Cell 24) et où les quatre cellules ENVOPCell2i, ENVOPCell22, ENVOPCell2i, ENVOPCell2i sont respectivement les symétriques des cellules ENVOPCcll/ /, ENVOPCelli2, ENVOPCcll /i, ENVOPCcll /i. Ces huit cellules forment ainsi une matrice M- ENVOPCell dont le nombre des colonnes est égal à « 2 » et le nombre des lignes égal à « i ». Les cellules ENVOPCellii, ENVOPCelli2, ENVOPCellii, ENVOPCcll/^/ sont identiques à celles du réseau canonique RCC-PSAT- PHOTONIC-FourLevels-Type II. Rappelons que les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCellii sont PS AT- A/ / (200A11 à 206A11, 242A11 à 243A11), PSAT-B 11, PSAT-C 11, PSAT-Dii ; les quatre pseudo satellites photoniques de la cellule ENVOPCelli2 sont PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C /2, PSAT-D/2 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCel i sont PSAT-Aii, PSAT-Bii, PSAT-Cii, PSAT-Dii ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCeUii sont PSAT-A/i, PSAT- B 14, PSAT-C 14, PSAT-Dii (200D14 à 205D14, 209D14, 242D14 à 243D14). Les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell2i sont PSAT-A2/, PSAT-B27 (200B21 à 205B21, 208B21, 242B21 à 243B21), PSAT-C27, PSAT- D2i ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell22 sont PSAT-A22, PSAT-B22, PSAT-C22, PSAT-D22 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell25 sont PSAT-A25, PSAT-B23, PSAT-C23, PSAT-D23 ; les quatre pseudo-satellites photoniques de la cellule ENVOPCell2i sont PSAT-A2i, PSAT-B2i, PSAT-C2i (200C24 à 205C24, 211C24, 242C24 à 243C24), PSAT-D2i. A cause de leurs emplacements particuliers dans le système SICOSF, les groupements des deux pseudo-satellites DUO-PSAT-Cii-Bi2 et son symétrique DUO-PSAT-D2i-A22 sont appropriés pour former le groupement QUATUOR-PSAT-Cii-D2i-A22-Bi2 (200C11D21A22B12 à 205C11D21A22B12, 207C11D21A22B12,

243C11D21A22B12) qui est le groupement des quatre pseudo-satellites photoniques PSAT-Cii, PSAT-B72, PSAT-D27, PSAT-A22 ; ce qui correspond dans l’appellation générique QUATUOR-PSAT-X/¾/-Y/-S-Z/M-TV’H’ au cas où « X » est égal à « C » ; « Y » est égal à « D » ; « Z » est égal à « A» ; « T » est égal à « B » ; « p », « r » , « t », « v » respectivement égaux aux nombres « 1 », « 2 », « 2 » et « 1» ; « q », « s », « u », « w » respectivement égaux aux nombres « 1 », « 1 », « 2 » et « 2 ». Le symétrique du groupement de deux pseudo-satellites DUO- PSAT-D//-A/2 est le groupement DUO-PSAT-C2/-B22. Les groupements des deux pseudo-satellites DUO-PSAT-C 2-B/3 et son symétrique DUO-PSAT-D22- A 23 sont appropriés pour former le groupement QUATUOR-PSAT-C72-B/3- Ό22-A23 (200C 12D22A23B 13 à 205C12D22A23B13, 243C12D22A23B13) qui est le groupement des quatre pseudo-satellites photoniques PSAT-C/2, PSAT-B/3, PSAT-D22, PSAT-A23. Le symétrique du groupement de deux pseudo-satellites DUO-PSAT-D72-A73 (200D12A13 à 205D12A13, 243D12A13) est le groupement DUO-PSAT-C22-B23 (200C22B23 à 205C22B23, 243C22B23). Les groupements des deux pseudo-satellites DUO-PSAT-C73-B/ et son symétrique DUO-PSAT-D23-A2 sont appropriés pour former le groupement QUATUOR- ŸSAT-C13-B14-O23-A24 (200C13D23A24B14 à 205C13D23A24B14,

243C13D23A24B14) qui est le groupement des quatre pseudo-satellites photoniques PSAT-C/3, PSAT-B/ , PSAT-D23, PSAT-A2 . Le symétrique du groupement de deux pseudo-satellites DUO-PSAT-D/3-A/ (200D13A14 à 205D13A14, 242D13A14, 243D13A14) est le groupement DUO-PSAT-C23-B2 (200C23B24 à 205C23B24, 242C23B24, 243C23B24). Le pseudo-satellite PSAT- C 14 et son symétrique PSAT-D2 sont appropriés pour former le groupement DUO-PSAT-C7 -D2 (200C14D24 à 205C14D24, 242C14D24, 243C14D24). Etant un réseau canonique de Type IIE, l’adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT- B 11 et son symétrique, dénommé COMBINED-ADAPT-PSAT-A27, sont remplacés par l’adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT qui comporte deux pseudo-satellites modifiés qui sont leurs équivalents ; cet adaptateur est dénommé, en référence aux deux pseudo-satellites PSAT-B/ / et PSAT-A2/ qu’il remplace, COMBINED-ADAPT-DUO-P S AT -B 11 -A21 (200ADAPT-B11A21 à

205ADAPT-B11A21, 207ADAPT-B11A21, 242ADAPT -B 11 A21 à 243ADAPT- B11A21).

VI.B.2 - Principales caractéristiques fonctionnelles de l’inter-réseau IRECH- RF-OP

L’inter-réseau IRECH-RF-OP possède cinq principales types de cellule qui sont les suivantes : a) Cellule stationnaire RF-Pure : C’est une cellule localisée en général dans une zone couverte par le réseau cellulaire RTMOB-RF mais qui ne contient aucun environnement clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN. Ce type de cellule se trouve en général dans des zones ne couvrant pas un environnement stationnaire ou ambulant clos ou semi- clos dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN.

b) Cellule stationnaire Optique-Pure : C’est une cellule localisée dans un environnement stationnaire clos ou semi-clos couvert par le réseau cellulaire RTMOB-RF et dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN mais dans lesquels les liaisons par RF avec le réseau cellulaire RTMOB-RF sont inexistantes ou laissent à désirer, en raison entre autre de la configuration de certaines parties des lieux.

c) Cellule stationnaire Hybride RF-Optique : C’est une cellule localisée dans environnement stationnaire clos ou semi-clos couvert par le réseau cellulaire RTMOB-RF, et dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN.

d) Cellule ambulante Optique-Pure : C’est une cellule localisée dans environnement ambulant clos ou semi-clos couvert par réseau cellulaire RTMOB- RF, dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN, mais dans lesquels les performances des liaisons avec le réseau cellulaire RTMOB-RF laissent temporairement à désirer en raison, entre autres, d’un passage sous un tunnel ou d’une transition vers une zone non couverte par le réseau cellulaire RTMOB-RF ; par exemple le décollage d’un avion, éloignement d’un train, d’un navire ou autres. e) Cellule ambulante Hybride RF-Optique : C’est une cellule localisée dans environnement ambulant clos ou semi-clos couvert par le réseau cellulaire RTMOB-RF, et dans lequel est déployé un réseau local OPFIBRE-LAN ; Ce type de cellule est en général localisé dans les véhicules de transport collectif en mouvement, type train, bus, métropolitain, avion et autres dans lesquels il y un réseau local OPFIBRE-LAN et dont les itinéraires sont localisés dans les zones couvertes par le réseau cellulaire RTMOB-RF.

L’interconnexion du réseau étendu RTMOB-RF et des deux réseaux locaux BACKUP -RF -LAN et OPFIBRE-LAN pour former l’inter-réseau IRECH-RF-OP est réalisée de manière à ce que l’interaction de ce dernier avec un terminal mobile cellulaire à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO puisse se dérouler, au moins, de la façon suivante :

1. Le terminal est localisé dans une cellule stationnaire RF-Pure : La liaison se fait par RF comme pour un terminal cellulaire RF de l’art antérieur.

2. Le terminal est localisé dans une cellule stationnaire Optique-Pure : Les deux principaux cas sont les suivants : - 2.a) Si le terminal est en service et sans obstruction volontaire de la part de l’utilisateur de son rayonnement optique de liaison avec le système SICOSF, par exemple par une mise dans un sac ou dans la poche de G utilisateur, alors il fonctionne d’une manière similaire à celle d’un terminal cellulaire RF de l’art antérieur, sauf que tout se passe par OSF ;

- 2.b) Si ledit terminal est en service, mais avec obstruction volontaire de la part de l’utilisateur de son rayonnement optique de liaison avec le système SICOSF, par exemple par une mise dans un sac ou dans la poche de l’utilisateur, alors l’inter-réseau IRECH-RF-OP active ledit réseau local d’appoint BACKUP - RF-LAN, pour déclencher la sonnerie dudit Terminal ; pour réaliser cette opération, l’inter-réseau IRECH-RF-OP se base sur la dernière position connue du terminal avant la disparition de son signal optique due à la mise en sac ou en poche par exemple ; suite au déclenchement de cette sonnerie, si l’utilisateur sort le terminal de son obstruction optique, alors la communication sera établi automatiquement par OSF ; s’il ne le fait pas, après un certain intervalle de temps après la mise en œuvre du réseau local d’appoint BACKUP -RF-LAN, l’inter-réseau IRECH-RF-OP traite terminal comme étant éteint.

3. Le terminal est localisé dans une cellule stationnaire, hybride RF- Optique : L’inter-réseau IRECH-RF-OP le traite en priorité comme étant localisé dans une cellule stationnaire Optique-Pure. Si, en cas de besoin, ledit réseau local d’appoint BACKUP-RF-LAN, n’arrive pas déclencher la sonnerie du terminal dans l’intervalle de temps imparti, alors l’inter-réseau IRECH-RF-OP le traitera comme s’il était localisé dans une cellule stationnaire RF-Pure ; et de plus, une fois que l’utilisateur répond, alors l’inter-réseau RECH-RF-OP fera basculer automatiquement la communication de la RF vers F OSF.

4. Transition d’une cellule stationnaire RF-Pure vers une cellule stationnaire Optique-Pure : C’est le cas typique d’un utilisateur qui initie une communication téléphonique avec le terminal alors qu’il est dans la rue (liaison par RF), et qui tout en marchant pénètre dans un environnement clos fixe comportant un réseau local OPFIBRE-LAN ; dans ce cas, l’inter-réseau IRECH-RF-OP fait basculer automatiquement la communication en cours de la RF vers OSF.

5. Transition d’une cellule stationnaire Optique-Pure vers une cellule stationnaire RF-Pure : C’est le cas typique d’un utilisateur qui initie une communication téléphonique avec le Terminal alors qu’il est localisé dans un environnement clos fixe comportant un réseau local OPFIBRE-LAN et qui tout en marchant se trouve dans la rue ; dans ce cas, l’inter-réseau IRECH-RF-OP fait basculer automatiquement la communication en cours de l’OSF vers la RF. 6. Transition d’une cellule ambulante Optique-Pure vers une cellule stationnaire RF-Pure : C’est le cas typique d’un utilisateur qui initie une communication téléphonique avec le terminal alors qu’il est dans un environnement clos ambulant de type autobus par exemple et comportant un réseau local OPFIBRE-LAN et qui en descendant de l’autobus se trouve dans la rue ; dans ce cas, l’inter-réseau IRECH-RF-OP fait basculer automatiquement la communication en cours de l’OSF vers la RF.

Les réseaux locaux OPFIBRE-LAN stationnaires ou ambulants à système SICOSF, faisant partie de l’inter-réseau IRECH-RF-OP, comportent chacun au moins les moyens suivants :

- a) Un système de commutation pour gérer les passages des terminaux mobiles cellulaires à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO lorsque, étant localisé au sein d’un système SICOSF, ils passent :

al -d’ une cellule optique-pure ou hybride à une autre cellule optique-pure ou hybride ;

a2 -d’une cellule optique-pure ou hybride à une cellule RF-pure ;

- b) Un système d’établissement d’appel par OSF ou RF et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF de communications aux terminaux mobiles de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO ;

- c) Un système de notifications des appels par OSF ou RF aux terminaux mobiles de communications par RF à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO, par le biais des canaux dédiés de communications ;

- d) Un système de supervision de l’ensemble.

Par définition :

Le processus de commutation est dénommé « Transfert inter-cellules optiques » ou « Optical-cells handover».

La longueur d’onde dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SCall- LDOSF ».

La fréquence RF dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SCall-/RF ». - La longueur d’onde dudit système de notifications des appels pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SNotif- LDOSF ».

- La fréquence RF dudit système d’établissement d’appel pour communiquer avec les terminaux mobiles, est désignée par « LAN-SNotif/RF ».

Les communications par RF entre un réseau local OPFIBRE-LAN stationnaire ou ambulant à système SICOSF, faisant partie de l’inter-réseau IRECH-RF-OP et un appareil TAEBD à réseau d’antennes photoniques ou optoélectronique adaptatif APDLO sont effectuées par ledit système d’appoint BACKUP -RF-LAN qui est destiné à pallier aux obstructions des communications par OSF.

Les réseaux locaux OPFIBRE-LAN stationnaires à système SICOSF, sont reliés par fibre optique et/ou par câble coaxial à une station de base BSC, i.e. Base Station Controller, ou à un centre de commutation des mobiles MSC, i.e. Mobile Switching Center, ou MTSO i.e. Mobile Téléphoné Switching Office, qui appartiennent au réseau cellulaire RTMOB-RF.

Un réseau local OPFIBRE-LAN stationnaire à système SICOSF peut, en outre, être équipé de manière à constituer une station de base BSC ou un centre de commutation des mobiles MSC ou MTSO pour le réseau cellulaire RTMOB-RF. Par définition, un tel réseau local OPFIBRE-LAN est dénommé « Réseau local à système SICOSF et à BSC intégré » ou « Réseau local à système SICOSF et à MSC intégré » ou « Réseau local à système SICOSF et à MTSO intégré ».

Lorsque terminal mobile cellulaire à réseau d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO, localisé dans l’un desdits réseaux locaux OPFIBRE-LAN stationnaires ou ambulants à système SICOSF, est mis en service alors son interaction avec l’inter-réseau IRECH-RF-OP se déroule périodiquement, suivant une période préalablement définie, au moins de la manière suivante ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Ledit terminal se met automatiquement, en utilisant ladite longueur d’onde Mob-SCall-LDosF, à la recherche d’un pseudo-satellite photonique dont la puissance du signal reçu est supérieure ou égale à une valeur limite préalablement définie ; et puis,

- b) Si ledit terminal trouve un tel pseudo-satellite, alors ledit terminal mobile transmet par le biais de ce dernier, son numéro de série et les informations relatives à sa carte SIM embarquée ; sinon ledit terminal les transmet en utilisant ladite fréquence Mob-SCalL/m ; et puis,

- c) Le réseau local OPFIBRE-LAN stationnaire ou ambulant à système SICOSF au sein duquel ledit terminal est localisé, enregistre lesdits numéros de série et les informations de la carte SIM et les transmet, en y intégrant la localisation dudit terminal, au MSC ou MTSO auquel appartient ledit terminal ; et puis,

- d) Ledit terminal se met en scrutation permanente par OSF ou en cas d’obstruction par RF, du signal de notifications des appels dudit système de notifications des appels appartenant au dit réseau local, en vue de savoir s’il y a un appel pour lui.

Pour établir un appel téléphonique, après la saisie par l’utilisateur du numéro de téléphone du correspondant, l’interaction dudit terminal mobile avec l’inter-réseau IRECH-RF-OP se déroule de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Ledit terminal mobile transmet un paquet contenant son numéro de série ainsi que le numéro de téléphone du correspondant et les informations de la carte SIM embarquée, au système d’établissement d’appel et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF appartenant au réseau local OPFIBRE-LAN stationnaire ou ambulant à système SICOSF où il est localisé ; et puis,

- b) Le réseau local OPFIBRE-LAN transmet ledit paquet au MSC ou MTSO ; et puis,

- c) Après les vérifications, le MSC ou MTSO envoie au dit réseau local le numéro d’un canal disponible de communication par fibre optique et/ou par câble coaxial ou par RF ; puis,

- d) Le réseau local OPFIBRE-LAN via son système d’établissement d’appel et d’assignation de longueurs d’onde et de fréquence RF, assigne au dit terminal :

dl -une seule longueur d’onde d’émission-réception ou deux longueurs d’onde, dont l’une est pour l’émission et l’autre pour la réception ; et

d2 -une fréquence RF ; et puis,

- e) Ledit terminal commute automatiquement pour utiliser ladite ou lesdites longueurs d’onde pour communiquer avec son correspondant via le pseudo-satellite photonique le plus approprié de la cellule optique-pure ou hybride où il est localisé ou pour utiliser, en cas d’obstruction, ladite fréquence RF via ledit système d’appoint BACKUP-RF-LAN associé au réseau local OPFIBRE-LAN ; et puis, - f) Ledit terminal reste en attente du décrochage du téléphone de son correspondant.

Pour recevoir un appel téléphonique, l’interaction dudit terminal mobile avec G inter-réseau IRECH-RF-OP se déroule de la manière suivante, ou d’une manière donnant des résultats similaires :

- a) Le réseau local OPFIBRE-LAN stationnaire ou ambulant à système SICOSF reçoit un paquet transmis par le MSC/MTSO ; et puis,

- b) Le réseau local OPFIBRE-LAN via son système de notifications des appels diffuse par OSF et/ou par RF un message relatif au dit paquet, en y intégrant une ou deux longueurs d’onde de communications par OSF et une fréquence de communications par RF, pour communiquer avec lui ; et puis,

- c) Ledit terminal qui scrute en permanence par OSF, ou en cas d’obstruction par RF, le signal de notifications d’appel dudit système de notifications des appels appartenant au réseau local OPFIBRE-LAN, récupère ledit paquet ; et puis,

- d) Ledit terminal mobile commute selon les indications contenues dans ledit paquet, pour utiliser la ou les longueurs d’ondes ou la fréquence RF assignées ; et puis, il active sa propre sonnerie pour que son utilisateur puisse prendre l’appel.

VI.B.3 - Méthode de communications entre un réseau local OPFIBRE-LAN ayant un système SICOSF et « Q » appareils TAEBDz, TAEBD¾ ..., TAEBD¾ > , ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Recherches périodiques pour l’identification de « 2 Q » triplets « (/,_/, k) »

Les communications entre le réseau local OPFIBRE-LAN à système SICOSF et « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDzz, ..., TAEBDzg, doivent être, de préférence, de type MASTER/SLAVE. Le réseau local OPFIBRE-LAN étant le MASTER et les « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDz:, ..., TAEBDzg les SLAVES. Leur protocole de communication comporte des moyens de recherches périodiques pour l’identification, d’une part, des pseudo-satellites photoniques du système SICOSF et, d’autre part, des arêtes des différents boîtiers et de leurs directions d’émission- réception.

Pour identifier les « 2 Q » triplets « (/, j, K) », il est avantageux de considérer un réseau local OPFIBRE-LAN à système SICOSF (FIG.214 à FIG.243) ayant une matrice à « m x n » cellules « Cellÿ », où « i » est le numéro des colonnes et « j » le numéro des lignes, comme étant un appareil électronique virtuel ayant une seule matrice d’antennes photoniques Neutres virtuelles d’émission-réception, dont le nombre des antennes photoniques est égale à « m x n ». En d’autres termes, cette transposition consiste à considérer une cellule « Cell// » comme étant une seule antenne photonique Neutre virtuelle d’émission-réception appartenant à ladite matrice d’antennes photoniques virtuelles, installée le long de l’arête du boîtier virtuel dudit appareil électronique virtuel. Les quatre pseudo-satellites photoniques PS AT- A//, PSAT-B//, PSAT-Cÿ, PSAT-D// sont considérés comme étant tout simplement les quatre directions d’émission-réception de ladite antenne photonique neutre virtuelle « Cell// ».

Grâce à cette transposition, on peut utiliser l’algorithme développé au VI.A.6, relatif à un appareil TAEDBx qui est le MASTER et « Q » appareils TAEBDzi, TAEBDz:, ..., TAEBDzg, qui sont les SLAVES ; cet algorithme permet des recherches périodiques pour l’identification des « 2 Q » triplets « ( ' /, /, k) ». Le réseau local OPFIBRE-LAN à système SICOSF est considéré comme étant virtuellement un appareil TAEDBx.

VI.B.4 - Méthode d’attribution des longueurs d’onde par un réseau local OPFIBRE-LAN ayant un système SICOSF à « Q » appareils TAEBD,- / , TAEBD¾ TAEBD ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO - Etalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueur d’ondes

Lorsque « Q » appareils TAEBDz/, TAEBDzz, ..., TAEBDzg ayant des réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatif APDLO sont localisés au sein du système SICOSF d’un réseau local OPFIBRE-LAN, chacun d’entre eux utilise en général une ou plusieurs longueurs d’onde, en adéquations avec les longueurs d’ondes attribuées au pseudo-satellite photonique via lequel il communique avec le réseau local OPFIBRE-LAN.

La méthode d’attribution des longueurs d’onde aux pseudo-satellites photoniques d’un système SICOSF, par le réseau local OPFIBRE-LAN associé, s’appuie sur la partie de l’Analyse Combinatoire relative aux calculs des cardinaux des ensembles finis. Etant données les nombreuses formules mathématiques qui sont utilisées, pour des raisons d’ordre pratique cette méthode est détaillée dans la partie VI.F où l’on trouvera quelques rappels en Mathématiques. La méthode d’étalement du spectre optique d’émission-réception par des sauts adaptatifs de longueurs d’onde, consiste à effectuer des permutations périodiques, au sens ensembliste du terme, des longueurs d’onde attribuées aux pseudo satellites ; la méthode d’attribution des longueurs d’onde détaillée dans la partie VI.F garantie que cela s’effectue sans interférence optique.

VI.B.5 - Méthode d’augmentation des vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de communications par RF, de préventions des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles, et de réduction de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants dans les bâtiments

La méthode pour augmenter les vitesses de transferts de données d’un réseau cellulaire de téléphonie mobile par RF de l’art antérieur, consiste à alléger ce dernier en le déchargeant de tous ses terminaux cellulaires qui sont localisés dans des bâtiments ou dans d’autres environnements clos ou semi-clos, stationnaire ou ambulant ; sachant que dans une journée de la semaine la très grande majorité de la population d’une ville se trouve dans un environnement clos ou semi-clos cet allégement est donc substantiel.

Pour réaliser un tel allègement, il suffit de procéder de la manière suivante :

- a) Equiper les terminaux mobiles cellulaires de communication par RF de l’art antérieur, de réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques adaptatifs APDLO. Pour cela, on remplace leurs boîtiers par des boîtiers comportant lesdits réseaux d’antennes photoniques ou optoélectroniques ; et

- b) Transformer le réseau cellulaire de téléphonie mobile par RF de l’art antérieur en inter-réseau IRECH-RF-OP, en déployant des réseaux locaux OPFIBRE-LAN à système SICOSF ainsi que les systèmes d’appoint BACKUP - RF-LAN associés, dans les bâtiments ou dans les environnements clos ou semi- clos, stationnaire ou ambulant ; et à

- c) Mettre en place des moyens permettant de faire basculer automatiquement les liaisons par RF dudit réseau cellulaire avec les terminaux mobiles associés qui pénètrent ou qui sont localisés dans lesdits bâtiments ou autres environnements clos, vers des liaisons par OSF via lesdits réseaux locaux OPFIBRE-LAN à système SICOSF. De plus, cette méthode permet de réaliser des réductions substantielles, d’une part, des risques de maladies du cerveau pour les utilisateurs des terminaux mobiles cellulaires de l’art antérieur, et d’autre part, de la pollution électromagnétique liée aux signaux de RF des appareils communicants dans les bâtiments.

L’Homme de l’art dans le domaine des réseaux de communications électroniques sait comment exécuter une telle interconnexion du réseau étendu RTMOB-RF et des deux réseaux locaux BACKUP-RF-LAN et OPFIBRE-LAN.

VI.C - Méthodes de fabrication des pseudo-satellites photoniques et de leurs différents groupements

Dans cette partie nous allons détailler une manière de fabriquer les principaux éléments constitutifs des pseudo-satellites photoniques ainsi que les différents modules optiques qui permettent de les configurer en fonction de leur emplacement au sein d’un système SICOSF, à savoir les convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP, et les déviateurs DEVIFROP. Par ailleurs, rappelons que tous ces éléments ont été décrits dans l’exposé de l’invention.

VI.C.l - Méthodes de fabrication des concentrateurs optiques CONRO, des diffuseurs optiques DIFFRO et des parties de châssis associées PSAT- CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME

Les groupements des concentrateurs optiques CONRO, des diffuseurs optiques DIFFRO et les parties associées du châssis peuvent être fabriqués de trois manières, selon le degré d’intégration des différents composants photoniques, afin de réduire substantiellement leurs dimensions et les coûts. C’est la raison pour laquelle ces groupements sont classés en trois catégories, dénommées : - « Grappe de Concentrateurs et de Diffuseurs Discrets » ou « Discrète Concentrators and Diffusers Cluster » ; - « Grappe de Concentrateurs et de Diffuseurs Intégrés » ou « Integrated Concentrators and Diffusers Cluster » ; - « Grappe de Concentrateurs et de Diffuseurs intégrés à Grande Echelle » ou « Large Scale Integrated Concentrators and Diffusers Cluster ». Ces trois catégories peuvent être fabriquées de la manière suivante, en utilisant les techniques de la micro fabrication :

1. Fabrication de la grappe « Discrète Concentrators and Diffusers Cluster » en abrégé DCDC : Pour ce groupement (FIG.34, FIG.35), les éléments discrets à fabriquer sont : - les « N » concentrateurs optiques CONRO (34CONRO/), les « N » diffuseurs optiques DIFFRO et la partie PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.40 à FIG.42) du châssis PSAT-CHASSIS (42PSAT-DCDC- CHASSIS) ; - les « 2 x N » concentrateurs optiques CONRO, les « 2 x N » diffuseurs optiques DIFFRO (35DIFFRO/) et la partie DUO-PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.48 à FIG.50) du châssis DUO-PSAT-CHASSIS (50DUO-PSAT- DCDC-CHASSIS) ; - les « 3 x A» concentrateurs optiques CONRO, les « 3 x A» diffuseurs optiques DIFFRO et la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME du châssis TRIO-PSAT-CHASSIS ; - les « 4 x A» concentrateurs optiques CONRO, les

« 4 x A» diffuseurs optiques DIFFRO et la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.56 à FIG.58) du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS (58QUAT- PSAT-DCDC-CHASSIS). Tous les concentrateurs optiques CONRO sont identiques ; il en est de même pour tous les diffuseurs optiques DIFFRO ; nous allons montrer comment en construire un seul et ensuite il suffit de le dupliquer autant de fois qu’il est nécessaire. On procède de la manière suivante :

- l.a) Fabrication du concentrateur optiques

CONRO (31CONRO) : On fabrique dans un premier temps un douille (FIG.31) opaque, formée de trois parties. La première partie (31CONRO-P1) est destinée à abriter un concentrateur de rayonnement optique (31DTIRC) de l’un des types suivants, dont la méthode de fabrication est connue de l’Homme de l’art : - Dielectric Totally Internally Reflecting Concentrator, en abrégé DTIRC ; ce type de concentrateur a été introduit en 1987 par X. Ning, R. Winston, et J. O’Gallagher dans la revue « Applied Optics » ; - Concentrateur imageur ; - Lentille de Fresnel ; - Concentrateur hémisphérique ; Compound Parabolic Concentrator, en abrégé CPC ; - DTIRC Parabolique ; - DTIRC elliptique. La seconde partie (31CONRO- P2), comporte trois emplacements destinés à abriter deux lentilles biconvexes (31COLLIM-LENS, 31FOCUS-LENS) et l’entrée d’une fibre optique (310PFibre- PLACE) ; la première lentille (31COLLIM-LENS) est destinée à la collimation et l’autre (31FOCUS-LENS) à la focalisation du rayonnement collimaté par la première, à l’extrémité d’une fibre optique si cette dernière a été introduite de manière appropriée. Enfin, la troisième partie (31CONRO-P3), est destinée à enfermer et sécuriser, par collage ou autre, les lentilles biconvexes au sein de la seconde partie. La première et la seconde partie peuvent être formées en un seul morceau, par moulage par exemple, ce qui permettra d’éviter à avoir à les coller par la suite. Le principe de fonctionnement du concentrateur optique CONRO (31CONRO) ainsi formé est le suivant : - Tous les rayonnements optiques incidents, ayant des longueurs d’onde appropriés, qui frappent la surface d’entrée du concentrateur (31DTIRC) sous un angle d’incidence inférieure à une valeur limite donnée, se propage à l’intérieur du concentrateur par des réfractions multiples jusqu’à atteindre la surface de sortie du concentrateur dont les dimensions sont très faibles par rapport à celles de la surface d’entrée ; ce qui en fait des sources quasi-ponctuelles sur ladite surface de sortie ; la lentille biconvexe de collimation (31COLLIM-LE S) est disposée de manière ce que son foyer coïncide avec le centre de la surface de sortie du concentrateur ; ce qui fait que les rayonnements issus des sources quasi-ponctuelles se trouvant sur la surface de sortie du concentrateur seront transformés en faisceau FROP, qui sont ensuite transformées en sources quasi-ponctuelles localisées au foyer de la lentille biconvexe de focalisation (31FOCUS-LENS) ; on récupère ces sources ponctuelles pour les acheminer où l’on veut, en introduisant (310PFibre-P ACE) dans ce dispositif une fibre optique appropriée, de manière à ce que son extrémité se positionne au foyer de la lentille biconvexe de focalisation. Ees lentilles biconvexes doivent être, de préférence, épaisses voire des lentilles billes, car une lentille bille produit des aberrations chromatiques « n » fois plus faible que celles produites par une lentille mince de même focale où « n » est la valeur de l’indice du verre des lentilles ; l’homme de l’art dans le domaine de l’optique sait en faire mathématiquement la démonstration. Ees matériaux préférés pour la fabrication des lentilles biconvexes et du concentrateur étant le « Fused Silica » ou le « Polymethyl méthacrylate » en abrégé « PMMA ».

- 1. b) Fabrication du diffuseur optique DIFFRO (32DIFFRO) : On fabrique dans un premier temps un douille (FIG.32) en une seule partie (32DIFFRO-BODY) avec des emplacements pour abriter un écran de diffusion optique (32DIFFUS-HEAD), holographique ou standard, une lentille biconvexe de collimation (32COLLIM-LENS), et une entrée de fibre optique (320PFIBER- PLACE). La lentille biconvexe est de préférence une lentille épaisse voire une lentille bille pour les mêmes raisons que dans le cas du concentrateur optique CONRO. L’emplacement de cette lentille biconvexe doit être tel que son foyer puisse coïncider avec l’extrémité d’une fibre si cette dernière a été introduite de manière appropriée (320PFIBER-PLACE). Le principe de fonctionnement du diffuseur optique DIFFRO ainsi formé est le suivant : - une source quasi-ponctuelle se trouvant au foyer de la lentille biconvexe (32COLLIM-LE S) à l’extrémité d’une fibre optique est projetée sous forme de faisceau FROP sur l’écran de diffusion (32DIFFUS-HEAD) holographique ou standard pour le transformer en source étendue.

- l.c) Fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-DOME : La partie PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.40 à FIG.42) du châssis PSAT-CHASSIS (40PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME-BARE, 41PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME- LOADED) possède une portion ayant la forme d’un quart d’hémisphère creux. Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède plusieurs emplacements (40CONRO-PLACE, 40DIFFRO-PLACE) pour les « N » concentrateurs optiques CONRO (31CONRO) et les « N » diffuseurs DIFFRO (32DIFFRO). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les concentrateurs et tous les diffuseurs sont mis en places, leurs différents axes optiques soient pratiquement concourants au centre O d du quart d’hémisphère creux (41CONRO, 41DIFFRO). La construction du PSAT-CHASSIS-DOME peut se faire par moulage de matériaux rigide et léger.

- l.d) Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME : La partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.48 à FIG.50) du châssis DUO-PSAT- CHASSIS (48DU O-PSAT -DCDC-CHAS SIS-DOME-B ARE, 49DUO-PSAT- DCDC-CHASSIS-DOME-LOADED) possède une portion ayant la forme d’une demie-hémisphère creuse. Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi- sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie DUO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède plusieurs emplacements (48CONRO- PLACE, 48DIFFRO-PLACE) pour les « 2 x N » concentrateurs optiques CONRO (31CONRO) et les « 2 x A » diffuseurs DIFFRO (32DIFFRO). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les concentrateurs et tous les diffuseurs sont mis en places, leurs différents axes optiques soient pratiquement concourants au centre O d de la demi-hémisphère creuse. La construction du DUO-PSAT-CHASSIS-DOME peut se faire par moulage de matériaux rigide et léger.

- l.e) Fabrication de la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME : La partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME du châssis TRIO-PSAT-CHASSIS possède une portion ayant la forme d’un trois-quarts d’hémisphère creux. Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées. Elle possède plusieurs emplacements pour les « 3 x A» concentrateurs optiques CONRO (31CONRO) et les « 3 x A » diffuseurs optiques DIFFRO (32DIFFRO). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les concentrateurs et tous les diffuseurs sont mis en places, leurs différents axes optiques soient pratiquement concourants au centre O d du trois-quarts d’hémisphère creux. La construction du TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME peut se faire par moulage de matériaux rigide et léger.

- l.f) Fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME : La partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.56 à FIG.58) du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS (56QUAT -P SAT -DCDC-CHAS SIS- DOME-BARE, 57QUAT-PSAT-DCDC-CHASSIS-DOME-LOADED) possède une portion ayant la forme d’un hémisphère creux. Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède plusieurs emplacements (56CONRO-PLACE, 56DIFFRO-PLACE) pour les « 4 x N » concentrateurs optiques CONRO (31CONRO) et les « 4 x A » diffuseurs optiques DIFFRO (32DIFFRO). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les concentrateurs et tous les diffuseurs sont mis en places, leurs différents axes optiques soient pratiquement concourants au centre O d de l’hémisphère creux. La construction du QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME peut se faire par moulage de matériaux rigide et léger.

2. Fabrication de la grappe « Integrated Concentrators and Diffusers Cluster », en abrégé ICDC : Pour réaliser ce groupement (FIG.64 à FIG.67), on utilise «K» concentrateurs optiques CONRO et « L » diffuseurs optiques DIFFRO, où « K » et « L » sont deux nombres entiers supérieurs ou égaux à « 1 », que l’on combine dans un même substrat (64CONCENTFUSER-SUBSTRAT, 65CO CENTFUSER-SUB STRAT, 67CO CENTFU SER-SUB STRAT) pour former un seul dispositif à la fois Concentrateur et Diffuseur de rayonnement optique (67CON CENTFUSER-SUB STRAT -LOADED), dénommé

« ConcentFuser ». Les éléments à fabriquer sont les suivants : - les « N » ConcentFusers et la partie PSAT-CHASSIS-DOME (68PSAT-ICDC-CHASSIS- DOME-BARE, 69PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 70PSAT-ICDC- CHAS SIS-DOME-B ARE) du châssis PSAT-CHASSIS (71PSAT-ICDC- CHASSIS-DOME) ; - les « 2 x N» ConcentFusers et la partie DUO-PSAT- CHAS SIS-DOME (77DUO-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-BARE, 78DUO- PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 79DUO-PSAT-ICDC-CHASSIS- DOME-LOADED) du châssis DUO-PSAT-CHASSIS ; - les « 3 x A » ConcentFusers et la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME du châssis TRIO- PSAT-CHASSIS ; - les « 4 x N » ConcentFusers et la partie QUATUOR-PSAT- CHASSIS-DOME (85QUAT-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-BARE, 86QUAT- PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 87QUAT-PSAT-ICDC-CHASSIS- DOME-LOADED) du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS. Tous les ConcentFusers sont identiques ; nous allons donc montrer comment en construire un seul et ensuite il suffit de le dupliquer autant de fois qu’il est nécessaire. On procède de la manière suivante :

- 2.a) Fabrication du substrat du ConcentFuser (FIG.64 à FIG.67) :

Ce substrat est de la forme d’un solide de révolution (64CONCENTFUSER- SUBSTRAT) possédant « K » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO (66CONRO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant (66PMMA-Fiber, 66CONRO-OUTPUT) et « L » canaux destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO (66Mini-TD, 66Ball-Lens) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant (66PMMA-Fiber, 66DIFFRO- INTPUT) ; sa face avant est plane et il possède à l’arrière deux cylindres dont l’un est dénommé CONRO-OUTPUT (66CONRO-OUTPUT, 67CONRO-OUTPUT) et l’autre DIFFRO-INPUT (66DIFFRO-INTPUT, 67DIFFRO-INTPUT) ; les bases des cylindres CONRO-OUTPUT et DIFFRO-INPUT sont dédiées respectivement aux débouchés des canaux relatifs aux concentrateurs aux diffuseurs. Les canaux relatifs aux concentrateurs (64CONRO-CNL/, 65CONRO-CNL/) sont dénommés CONRO-CNL/ où « / » est un nombre entier variant de « 1 » à « K » ; chaque canal CONRO-CNL/ possède, sur la face avant du substrat, une alvéole dénommée CONRO -ALV/ (64CONRO-ALV/, 65CONRO-ALV/) dont la forme est telle qu’une fois remplie de polymère PMMA par des techniques de micro-fabrications, telle que l’injection par exemple, elle puisse constituer un concentrateur de l’un des types proposés ci-avant, de préférence de type DTIRC ; la partie restante du canal CONRO-CNL/ est un tube cylindrique qui peut être considéré mathématiquement comme étant la surface générée par un cercle dont le centre Oi décrit orthogonalement une courbe centrale CONRO-A/B/ comprise entre un point Ai et un point B/ où Ai est le centre de la surface de sortie de l’alvéole et B/ est situé sur la surface de la base du cylindre CONRO-OUTPUT ; les « K » courbes centrales CONRO-AiBi sont telles que, d’une part, elles ne se croisent pas, et d’autre part, les tubes qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale. Les canaux relatifs aux diffuseurs f 64 D I F F R O-C N L/ ' , 65 D I F F R O - C N L/ ' ) sont dénommés DIFFRO-CNL/ où « / ' » est un nombre entier variant de « 1 » à « L » ; chaque canal DIFFRO-CNL/ ' possède, sur la face avant du substrat, une alvéole dénommée DIFFRO-ALV/ (64DIFFRO-ALV /, 65DIFFRO-ALV /) dont la forme est telle qu’on puisse y placer un module miniature (66Mini-TD, 67Mini-TD) appelé « Mini-Tête de Diffusion », en abrégé Mini-TD, dont une méthode de fabrication est proposé ci-après ; la partie restante du canal DIFFRO-CNL/ est un tube cylindrique qui peut être considéré comme étant la surface générée par un cercle dont le centre Oj décrit orthogonalement une courbe centrale DIFFRO-E/F/ comprise entre un point Ej et un point F j où E / est le centre de la surface de sortie de l’alvéole et Ej est situé sur la surface de la base du cylindre DIFFRO-INPUT ; les « L » courbes centrales DIFFRO-E/F/ ' sont telles que, d’une part, elles ne se croisent pas entre elles et ne croisent pas les courbes CONRO-A/B/, et d’autre part, les tubes qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale. L’ensemble des « K+L » courbes CONRO-A/B/ et DIFFRO-E/ ' F/ ' peuvent être construites, de préférence, en tant qu’ ensemble de courbes B-Splines ou B-Splines Rationnelles, i.e. NURBS ; En utilisant des outils de CAO, l’Homme de l’art en Mathématiques, et notamment dans le domaine de l’Analyse Numérique sait comment réaliser des telles courbes à partir de vecteurs des nœuds et des points de contrôle, connus respectivement sous les appellations « knot vector » et « control points ».

- 2.b) Formation des concentrateurs et des fibres optiques associées au sein du substrat du ConcentFuser (FIG.64 à FIG.67) : La formation des concentrateurs et des fibres optiques associées se fait après dépôt, le cas échéant, d’une Couche Diélectrique de Gainage, en abrégé CDIG, pour tapisser l’intérieur de chaque canal ; cependant si le substrat dans son intégralité peut constituer un Diélectrique de Gainage, cette étape devient alors superflue ; ensuite injection simultanée d’un polymère de type PMMA dans les « K » canaux CONRO-CNL/ du substrat du ConcentFuser ; le polymère PMMA peut être remplacé par un autre produit ayant des caractéristiques au moins égales. Cette injection peut s’accompagner, simultanément ou après, d’un processus de moulage pour former les grandes faces des concentrateurs ainsi que les extrémités des fibres optiques associés. L’Homme de l’art dans le domaine de la micro-fabrication sait comment mettre en œuvre un tel procédé.

- 2.c) Formation des fibres optiques associées aux diffuseurs au sein du substrat du ConcentFuser : Après dépôt, le cas échéant, d’une couche CDIG dans chaque canal, la formation peut se faire par injection simultanée d’un polymère de type PMMA dans les « L » parties des canaux DIFFRO-CNF/ ' du substrat du ConcentFuser qui sont destinées à la formation des fibres optiques. Toutes les alvéoles DIFFRO-ALV/ doivent impérativement rester vides de manière à pouvoir y placer ultérieurement les têtes de diffusion Mini-TD. Cette injection peut s’accompagner, simultanément ou après, d’un processus de moulage pour former les extrémités des fibres optiques. L’Homme de l’art dans le domaine de la micro fabrication sait comment mettre en œuvre un tel procédé.

- 2.d) Fabrication de « L » Mini-Têtes de Diffusion et intégration au sein du substrat du ConcentFuser : Nous allons montrer comment en construire un seul Mini-TD et ensuite il suffit de le dupliquer autant de fois qu’il est nécessaire. On fabrique dans un premier temps une douille en une seule partie avec des emplacements pour abriter un écran de diffusion optique, holographique ou standard, une lentille biconvexe de collimation, et une entrée de fibre optique. La lentille biconvexe est de préférence une lentille épaisse voire une lentille bille pour les mêmes raisons que dans le cas du concentrateur optique CONRO. Cette construction doit être en adéquation avec les extrémités des fibres optiques formées par injection du PMMA dans les canaux DIFFRO-CNL/ réalisée ci-avant ; en effet, la tête Mini-TD doit être telle qu’après son placement dans une alvéole dédiée au sein du substrat du ConcentFuser, l’extrémité de la fibre optique associée à l’alvéole puisse se trouver au foyer de ladite lentille biconvexe de collimation. Pour une fabrication en grandes quantités de Mini-TD, il est avantageux d’effectuer l’assemblage de la douille avec l’écran de diffusion optique et la lentille biconvexe de collimation par des machines de placement automatique de composants de type Chip shooter ou autre. Les machine les plus appropriées à l’heure actuelle étant celles des fabricants Universal Instruments, Fuji, Siemens ou autres machines équivalentes.

- 2.e) Fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-DOME pour le groupement de « A » ConcentFusers : La partie PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.68 à FIG.71) de la grappe ICDC tout comme celui de la grappe DCDC possède une portion ayant la forme d’un quart d’hémisphère creux (68PSAT-ICDC- CHAS SIS-DOME-BARE, 69PSAT -ICDC-CHASSIS-DOME-BARE, 70PSAT- ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 71PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-

LOADED). Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie PSAT-CHASSIS- INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède « N » emplacements (68CONC ENT F U S E R- P LAC E/c) pour abriter les « N » ConcentFusers (70CONCENTFUSER/c). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les ConcentFusers y sont installés, leurs différents axes centraux soient pratiquement concourants au centre Od du quart d’hémisphère creux. Cette construction peut se faire par l’une des techniques de micro fabrications, de préférence par moulage de matériaux léger.

- 2.f) Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME pour le groupement de « 2 x N » ConcentFusers : La partie DUO-PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.77 à FIG.78) de la grappe ICDC possède une portion ayant la forme d’une demie-hémisphère creuse (77DUO-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-BARE, 78DUO-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 79DUO-P SAT -ICDC- CHASSIS-DOME-LOADED). Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie DUO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède « 2 x A » emplacements f 77 CO N C E N T F U S E R - P LA C E /c ) pour abriter les « 2 x A » ConcentFusers 178CONC ENTEUSER-P LAC E/c ). Ces emplacements doivent être tels que lorsque tous les ConcentFusers y sont installés, leurs différents axes centraux soient pratiquement concourants au centre O d de la demie-hémisphère creuse. Cette construction peut se faire par moulage de matériaux léger.

- 2.g) Fabrication de la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME pour le groupement de « 3 x N» ConcentFusers : La partie TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME de la grappe ICDC possède une portion ayant la forme de trois-quarts d’hémisphère creux. Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi- sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie TRIO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées. Elle possède « 3 x N » emplacements pour abriter les « 3 x N » ConcentFusers. Ces emplacements doivent être tels que lorsque tous les ConcentFusers y sont installés, leurs différents axes centraux soient pratiquement concourants au centre Od du trois-quarts d’hémisphère creux. Cette construction peut se faire par moulage de matériaux léger.

- 2.h) Fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME pour le groupement de « 4 X JV » ConcentFusers : La partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.85 à FIG.87) de la grappe ICDC possède une portion ayant la forme d’un hémisphère creux (85QUAT-PSAT-ICDC- CHAS SIS-DOME-BARE, 86QUAT-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED, 87QUAT-PSAT-ICDC-CHASSIS-DOME-LOADED). Elle comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de la fixer avec précision par collage sur la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis qui a des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin. Elle possède « 4 x N » emplacements ( 85CONC ENT F U S E R- P LAC E/c ) pour abriter les « 4 x /V» ConcentFusers (86CONCENTFUSER/c). Ces emplacements sont tels que lorsque tous les ConcentFusers y sont installés, leurs différents axes centraux soient pratiquement concourants au centre Od de l’hémisphère creux. Cette construction peut se faire par moulage de matériaux léger.

- 2.i) Intégration des ConcentFusers dans les parties de châssis PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT- CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME : L’intégration des « N », « 2 x /V », « 3 x N » et « 4 x N » ConcentFusers respectivement dans les parties PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT- CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME peut se faire par collage, manuellement ou à l’aide d’une machine de placement manuelle ou semi- automatique (FIG.69). Cependant, pour une fabrication en grandes quantités de grappes ICDC, il est avantageux d’effectuer cette intégration par une machine de placement automatique de composants. Les machine les plus appropriées à l’heure actuelle étant celles des fabricants Universal Instruments, Fuji, Siemens ou autres machines équivalentes.

3. Fabrication de la grappe Large Scale Integrated Concentrators and Diffusers Cluster, en abrégé LSI-CDC : Pour ce groupement les concentrateurs optiques CONRO et les diffuseurs optiques DIFFRO sont directement formés dans la partie associée du châssis qui devient ainsi un substrat ; les quatre substrats à fabriquer sont les suivants : - la partie PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.93 à FIG.96) du châssis PSAT-CHASSIS ; - la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.102 à FIG.104) du châssis DUO-PSAT-CHASSIS ; - la partie TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME du châssis TRIO-PSAT-CHASSIS ; - la partie QUATUOR-PSAT- CHAS SIS-DOME (FIG.110 à FIG.112) du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS. Tous les concentrateurs optiques CONRO formés au sein de ces substrats sont identiques ; il en est de même pour tous les diffuseurs optiques DIFFRO.

- 3.a) Fabrication du substrat PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe LSI-CDC : Bien qu’étant un substrat, cette partie PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.93 à FIG.96) du châssis PSAT-CHASSIS possède une portion ayant la forme d’un quart d’hémisphère creux comportant « N » canaux (94CONRO- CNL/), destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO (95CONRO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant et « N » autres canaux (94DIFFRO-CNL/) destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO (95DIFFRO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant. Il possède à l’arrière, deux cylindres dont l’un est dénommé CONRO-OUTPUT (93CONRO-OUTPUT) et l’autre DIFFRO-INPUT (93DIFFRO-INPUT) ; les bases des cylindres CONRO-OUTPUT et DIFFRO-INPUT sont dédiées respectivement aux débouchés des canaux relatifs aux concentrateurs aux diffuseurs. Les canaux relatifs aux concentrateurs sont dénommés CONRO-CNL/ où « / » est un nombre entier variant de « 1 » à « N » ; chaque canal CONRO-CNL/ possède, sur la face avant de la partie quart d’hémisphère du PSAT-CHASSIS-DOME, une alvéole dénommée CONRO-ALV/ (93CONRO-ALV /, 94CONRO-ALV /) dont la forme est telle qu’une fois remplie de polymère PMMA, elle puisse constituer un concentrateur de l’un des types proposés ci-avant, de préférence de type DTIRC ; la partie restante du canal CONRO-CNL/ est un tube cylindrique qui peut être considéré comme étant la surface générée par un cercle dont le centre O / décrit orthogonalement une courbe centrale CONRO-A/B/ comprise entre un point Ai et un point B/ où Ai est le centre de la surface de sortie de l’alvéole et B/ est situé sur la surface de la base du cylindre CONRO-OUTPUT ; les « N » courbes centrales CONRO-A/B/ sont telles que, d’une part, elles ne se croisent pas, et d’autre part, les tubes qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale. Les canaux relatifs aux Diffuseurs sont dénommés DIFFRO-CNL/ où « /» est un nombre entier variant de « 1 » à « N » ; chaque canal DIFFRO-CNL/ possède, sur la face avant du substrat, une alvéole dénommée DIFFRO-ALV/ (93DIFFRO-ALV/, 94DIFFRO-ALV/) dont la forme est telle qu’on puisse y placer une tête de diffusion Mini-TD identique à celle du ConcentFuser ; la partie restante du canal DIFFRO-CNL/ est un tube cylindrique qui peut être considéré comme étant la surface générée par un cercle dont le centre Oj décrit orthogonal ement une courbe centrale DIFFRO-E/F/ comprise entre un point Ej et un point F j où E / est le centre de la surface de sortie de l’alvéole et Ej est situé sur la surface de la base du cylindre DIFFRO-INPUT ; les « N » courbes centrales DIFFRO-E/F/ ' sont telles que, d’une part, elles ne se croisent pas entre elles et ne croisent pas les courbes CONRO-A/B/, et d’autre part, les tubes qu’elles permettent d’engendrer respectent les contraintes inhérentes aux fibres optiques concernant le rayon de courbure minimale. L’ensemble des « 2 x A » courbes CONRO-A/B/ et DIFFRO-E/F/ peuvent être construites, de préférence, en tant qu’ensemble de courbes B-Splines ou B-Splines Rationnelles, i. NURBS, de manière similaire à celles de la construction du ConcentFuser. Ce substrat comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de le fixer avec précision par collage sur un autre élément du Pseudo-Satellite Photonique ayant des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin.

- 3. b) Fabrication du substrat DUO-PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe LSI-CDC : Cette partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.102 à FIG.104) du châssis DUO-PSAT-CHASSIS possède une portion ayant la forme d’une demie-hémisphère creuse comportant « 2 x N » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO (103CONRO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant et « 2 x N » autres canaux destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO (103DIFFRO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant. Il possède à l’arrière quatre douilles dont deux sont dénommés CONRO-OUTPUT 1 (103CONRO-OUTPUT) et CONRO-OUTPUT2 (103CONRO-OUTPUT) et les deux autres DIFFRO-INPUT 1 (103DIFFRO- INPUT) et DIFFRO-INPUT2 (103DIFFRO-INPUT) ; les extrémités des douilles CONRO-OUTPUT 1, CONRO-OUTPUT2 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux concentrateurs, tandis que celles des douilles DIFFRO-INPUT 1 et DIFFRO-INPUT2 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux diffuseurs. Les « 2 x A » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO, peuvent être réalisés avantageusement en construisant « N » canaux identiques à ceux du substrat PSAT-CHASSIS-DOME et en y ajoutant « A » canaux symétriques par rapport au plan de symétrie de la portion demie-hémisphère creuse de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME ; il en est de même pour les « 2 x N » canaux, destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO ; les deux douilles CONRO-OUTPUT2 et DIFFRO-INPUT2 sont respectivement les symétriques, par rapport au même plan, des douilles CONRO-OUTPUT 1 et DIFFRO-INPUT 1. Ce substrat comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de le fixer avec précision par collage sur un autre élément du Pseudo-Satellite Photonique ayant des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin.

- 3.c) Fabrication du substrat TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe LSI-CDC : Cette partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME du châssis TRIO- PSAT-CHASSIS possède une portion ayant la forme de trois-quarts d’hémisphère creux comportant « 3 x N » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO et des morceaux de fibres optiques les prolongeant et « 3 x A » autres canaux destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO et des morceaux de fibres optiques les prolongeant. Il possède à l’arrière six douilles dont trois sont dénommés CONRO-OUTPUT 1, CONRO-OUTPUT2 et CONRO- OUTPUT3 et les trois autres DIFFRO-INPUT 1, DIFFRO-INPUT2 et DIFFRO- INPUT 3 ; les extrémités des douilles CONRO-OUTPUT 1, CONRO-OUTPUT2, CONRO-OUTPUT3 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux concentrateurs, tandis que celles des douilles DIFFRO-INPUT 1, DIFFRO- INPUT2, DIFFRO-INPUT3 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux diffuseurs. Les « 3 x A » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO, peuvent être réalisés avantageusement en construisant « 2 x A » canaux identiques à ceux du substrat DUO-PSAT-CHASSIS-DOME et en y ajoutant « A » canaux symétriques de ceux se trouvant dans le deuxième quart d’hémisphère ; il en est de même pour les « 3 x A » canaux, destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO et des six douilles CONRO-OUTPUT 1, CONRO- OUTPUT2, CONRO-OUTPUT3, DIFFRO-INPUT 1 , DIFFRO-INPUT2 et DIFFRO. Ce substrat comporte un grand nombre de petits tenons demi-sphériques permettant de le fixer avec précision par collage sur un autre élément du pseudo satellite photonique ayant des mortaises appropriées.

- 3.d) Fabrication du substrat QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME de la grappe LSI-CDC : Cette partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME (FIG.110 à FIG.112) du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS possède une portion ayant la forme d’un hémisphère creux comportant « 4 x A » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO (41 ICON RO/) et des morceaux de fibres optiques les prolongeant et « 4 x A » autres canaux destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO (41 1 DIFFRO/j et des morceaux de fibres optiques les prolongeant. Il possède à l’arrière huit douilles dont quatre sont dénommés CONRO-OUTPUT 1 (111 CONRO-OUTPUT), CONRO-OUTPUT2 (111CONRO-OUTPUT), CONRO-OUTPUT3 (111CONRO-OUTPUT) et CONRO-OUTPUT4 (111CONRO-OUTPUT) et les quatre autres DIFFRO- INPUT1 (111DIFFRO-INPUT), DIFFRO-INPUT2 (111DIFFRO-INPUT), DIFFRO-INPUT3 (111DIFFRO-INPUT) et DIFFRO-INPUT4 (111DIFFRO- INPUT) ; les extrémités des douilles CONRO-OUTPUT1, CONRO-OUTPUT2, CONRO-OUTPUT3 et CONRO-OUTPUT4 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux concentrateurs, tandis que celles des douilles DIFFRO- INPUT1, DIFFRO-INPUT2, DIFFRO-INPUT3 et DIFFRO-INPUT4 sont dédiées aux débouchés des canaux relatifs aux diffuseurs. Les « 4 x N » canaux, destinés à la formation des concentrateurs optiques CONRO, peuvent être réalisés avantageusement en construisant « 2 x N » canaux identiques à ceux du substrat DUO-PSAT-CHASSIS-DOME et en y ajoutant « 2 x N » canaux symétriques par rapport au plan de symétrie de la portion hémisphérique creuse de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME ; il en est de même pour les « 2 x A» canaux, destinés à la formation des diffuseurs optiques DIFFRO ; les quatre douilles CONRO-OUTPUT3, DIFFRO-INPUT3, CONRO-OUTPUT4 et DIFFRO- INPUT4 sont respectivement les symétriques, par rapport au même plan, des douilles CONRO-OUTPUT2, DIFFRO-INPUT2, CONRO-OUTPUT1 et DIFFRO-INPUT1. Ce substrat comporte un grand nombre de petits tenons demi- sphériques permettant de le fixer avec précision par collage sur un autre élément du pseudo-satellite photonique ayant des mortaises appropriées, comme nous le verrons plus loin.

- 3.e) Formation des concentrateurs et des fibres optiques associées au sein des substrats PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS- DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME de la grappe LSI-CDC : Pour le substrat PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.93 à FIG.96), après dépôt, le cas échéant, d’une couche CDIG dans chaque canal du substrat, la formation peut se faire par injection simultanée d’un polymère de type PMMA dans les « N » canaux CONRO-CNL/ (94CONRO-CNL/) du substrat de la grappe LSI-CDC ; ce polymère PMMA peut être remplacé par un autre produit ayant des caractéristiques au moins égales. Cette injection peut s’accompagner, simultanément ou après, d’un processus de moulage pour former les grandes faces des concentrateurs ainsi que les extrémités des fibres optiques associés. On procède de la même manière pour les autres substrats DUO-PSAT- CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT- CHASSIS-DOME.

- 3.f) Formation des fibres optiques associées aux diffuseurs au sein des substrats PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe LSI-CDC : Pour le substrat PSAT-CHASSIS-DOME (FIG.93 à FIG.96), après dépôt, le cas échéant, d’une couche CDIG dans chaque canal du substrat, la formation peut se faire par injection simultanée d’un polymère de type PMMA dans les « N » parties des canaux DIFFRO-CNIi du substrat de la grappe LSI- CDC qui sont destinées à la formation des fibres optiques. Toutes les alvéoles DIFFRO-ALV/ (94DIFFRO-ALV/) doivent impérativement rester vides. Cette injection peut s’accompagner, simultanément ou après, d’un processus de moulage pour former les extrémités des fibres optiques. On procède de la même manière pour les autres substrats DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME.

- 3.g) Fabrication de plusieurs Mini-Têtes de Diffusion et intégrations au sein au sein des substrats PSAT-CHASSIS-DOME, DUO- PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME, QUATUOR- PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe ESI-CDC : Ces tête de diffusion Mini-TD sont identiques à celles du ConcentFuser. Pour des fabrications en grandes quantités, il est avantageux d’effectuer l’intégration de ces « N», « 2 x N », « 3 x A » , « 4 x A » Têtes Mini-TD respectivement dans les substrats PSAT- CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME de la grappe LSI-CDC, par des machines de placement automatique de composants de type Chip shooter ou autre ; rappelons que ces substrats contiennent par ailleurs déjà des concentrateurs et leurs fibres optiques ainsi que les fibres optiques des diffuseurs, mises en place par injection. Les machine les plus appropriées à l’heure actuelle étant celles des fabricants Universal Instruments, Fuji, Siemens ou autres machines équivalentes.

VI.C.2 - Méthodes de fabrication des couvercles de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO des parties PSAT- CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT-CHASSIS- DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME

Les couvercles de protection (FIG.44, FIG.50, FIG.52, FIG.58, FIG.60, FIG.71, FIG.73, FIG.81, FIG.87, FIG.89, FIG.96, FIG.98, FIG.104, FIG.106, FIG.112, FIG.114) des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO des parties PSAT-CHASSIS-DOME, DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, TRIO-PSAT- CHASSIS-DOME, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME, sont des solides creux avec des faces avant épousant les formes de ces parties. Leurs bases sont surmontées de deux mini-cylindres pour la partie PSAT-CHASSIS-DOME, quatre mini cylindres pour la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME, six mini-cylindres pour la partie TRIO-PSAT-CHASSIS-DOME et huit mini-cylindres pour la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME ; chacun de ces mini-cylindres comporte une encoche en adéquation avec les loquets de verrouillage des parties PSAT- CHASSIS-INTERFACE, DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, TRIO-PSAT- CHASSIS-INTERFACE, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE, comme nous le verrons plus loin. Ces couvercles peuvent être fabriqués par moulage et le matériau doit être transparent aux rayonnements optiques ayant les longueurs d’onde appropriées.

VI.C.3 - Méthodes de fabrication des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP et des déviateurs DEVIFROP

Les convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP sont identiques (FIG.33) et leur différence réside dans l’usage qu’on en fait. En effet, si l’on fait apparaître une source quasi-ponctuelle sur l’extrémité d’une fibre optique placée de manière appropriée à l’entrée d’un convertisseur CONFROP, alors il en émergerait un faisceau FROP ; si l’on envoie un faisceau FROP incident de manière appropriée sur un convertisseur CONSOP, alors on ferait apparaître une source quasi- ponctuelle sur l’extrémité d’une fibre optique placée de manière appropriée à l’entrée de ce convertisseur CONSOP. Par conséquent nous allons procéder à la fabrication d’un seul d’entre eux, par exemple le convertisseur optique CONFROP. Pour cela, on fabrique dans un premier temps un douille (33CONSOP-COMFROP- BODY) en une seule partie et une bague cylindrique associé (33FASTENING- RING). La douille comporte des emplacements pour abriter une lentille biconvexe de collimation ou de focalisation (33COLLIM-FOCUS-LENS) et une entrée de fibre optique (330PFIBER-PLACE). La bague cylindrique a des dimensions telles qu’elle puisse sécuriser la fixation de la lentille biconvexe de collimation au sein la douille. La lentille biconvexe est de préférence une lentille épaisse voire une lentille bille pour les mêmes raisons que dans le cas du concentrateur optique. L’emplacement de cette lentille biconvexe doit être tel que son foyer puisse coïncider avec l’extrémité d’une fibre optique, si cette dernière a été introduite de manière appropriée dans la douille. La partie externe de la douille comporte deux « Tenons d’Alignement de Précision », en abrégés « CONFROP-TALP1 » et « CONSOP -TALP2 » (33CONSOP-CONFROP-TALP1, 33CONSOP-

CONFROP-TALP2), en adéquation avec deux des quatre Rainures d’Alignement de Précision, figurant dans chaque conduit CFO comme nous le verrons plus loin. Les matériaux préférés pour la fabrication de la lentille biconvexe est le Fused Silica ou le PMMA, et pour la douille un matériau rigide et léger. Les déviateurs optiques DEVIFROP (36DEVIFROP4, 36DEVIFROP3, 37DEVIFROP2, 38DEVIFROP1, 39DEVIFROP1, 39DEVIFROP2, 39DEVIFROP3, 39DEVIFROP4) se classent en quatre catégories selon les emplacements qu’ils occupent dans les conduits CFO, indépendamment des plans de niveau de ces conduits. C’est ainsi que, quel que soit le nombre « k », compris entre « 1 » et « 4 », les déviateurs optiques DEVIFROP destinés aux conduits PNIV/c-CFO l du plan de niveau de numéro « k », à savoir le plan PN IV/c, sont dénommés DEVIFROP-CFOl (38DEVIFROP 1 , 39DEVIFROP 1) ; les déviateurs destinés aux conduits PNIV/c-CF02 du plan de niveau PNIV/c, sont dénommés DEVIFROP-CF02 (37DEVIFROP2, 39DEVIFROP2) ; les déviateurs destinés aux conduits PNIV/c-CF03 du plan de niveau PN IV/c, sont dénommés DEVIFROP- CF03 (36DEVIFROP3, 39DEVIFROP3) ; les déviateurs destinés aux conduits PNI V/c-CF04 du plan de niveau PNIV/c, sont dénommés DEVIFROP-CF04 (36DEVIFROP4, 39DEVIFROP4). Chaque déviateur a la forme d’un tube creux courbé à 90° dénommé « Pipe de déviation à 90° », en abrégé DEVIPIPE-90, et comporte un miroir miniature de déviation, en abrégé DEVIMIRR, placé à l’intérieur du DEVIPIPE-90 0 au niveau de la courbure et une plaquette de sécurisation dénommée « DEVIPLAQUE », permettant de sécuriser la fixation du miroir DEVIMIRR et placée au-dessus de ce dernier. La surface interne du DEVIPIPE-90 peut être décrite comme étant l’union de deux parties appartenant à deux surfaces cylindriques dont les droites génératrices D l et D2 sont perpendiculaires et dont les courbes directrices sont deux rectangles ou deux carrés ou deux cercles ayant les mêmes dimensions ; sa surface externe peut être décrite la même manière sauf que les courbes directrices ont des dimensions plus grandes. La partie externe de chaque tube DEVIPIPE-90 comporte quatre « Tenons d’ Alignement de Précision », en abrégés DEVIT-TALP 1, DEVIT-TALP2, DEVIT- TALP3, DEVIT-TALP4 (38DEVIFROP 1 -TALP 1 , 38DEVIFROP 1 -TALP2,

38DEVIFROP 1 -TALP 3, 38DEVIFROP 1 -TALP4, 37DEVIFROP2 -T ALP 1 , 37DEVIFROP2-TALP2, 37DEVIFROP2-TALP3, 37DEVIFROP2 -T ALP4, 36DEVIFROP3 -TALP 1 , 36DEVIFROP3 -TALP2, 36DEVIFROP3 -TALP3 , 36DEVIFROP3 -TALP4, 36DEVIFROP4-TALP 1 , 36DEVIFROP4-T ALP2 ,

36DEVIFROP4-TALP3, 36DEVIFROP4-TALP4), qui sont identiques à l’un de ceux des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP, étudié ci-avant ; ce qui fait que ces différents dispositifs peuvent être placés alternativement dans le même conduit CFO ; une telle propriété est très avantageuse pour la configuration d’un pseudo-satellite photonique en fonction de son emplacement au sein d’un système SICOSF. Le miroir DEVIMIRR (36DEVIMIRR4, 36DEVIMIRR3, 37DEVIMIRR2, 38DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR1, 39DEVIMIRR2, 39DEVIMIRR3, 39DEVIMIRR4) est un prisme droit dont la base est un triangle rectangle isocèle ; sa grande face, i.e. face latérale faisant un angle Q = 45° avec chacune des deux autres faces latérales, est réfléchissantes et constitue un miroir de réflexion pour un faisceau de rayon optique incident ; ce prisme comporte trois passage creux identiques pour les passages de trois vis de fixation et pour assurer un alignement précis à l’intérieur du DEVIPIPE-90 0 ; de plus, le miroir DEVIMIRR comporte quatre encoches identiques en adéquation avec les quatre tenons du DEVIPIPE-90 0 pour augmenter la précision de cet alignement. Les quatre déviateurs DEVIFROP-CFO 1 , DEVIFROP-CF02, DEVIFROP-CF03, DEVIFROP-CF04 sont identiques en tout point, sauf au niveau des tubes DEVIPIPE-90 qui ont des longueurs différentes ; ces quatre tubes sont dénommés, à cause de ces différences, respectivement DEVIPIPE-90-CFO1, DEVIPIPE-90- CF02, DEVIPIPE-90-CFO3, DEVIPIPE-90-CFO4. Le principe de fonctionnement d’un déviateur DEVIFROP est le suivant : - tout faisceau FROP incident, ayant son axe confondu avec celui du tube DEVIPIPE-90 0 émerge en ayant subi par le miroir DEVIMIRR une déviation d’un angle égal à 90°. Les matériaux préférés pour la fabrication des DEVIPIPE-90 sont des matériaux rigides et légers.

VI.C.4 - Méthodes de fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-BASE du châssis PSAT-CHASSIS

La partie PSAT-CHASSIS-BASE (119PSAT-CHASSIS-BASE-BARE, 119PSAT-CHASSIS-BASE-CONFIGURED) du châssis PSAT-CHASSIS est composée de plusieurs éléments (FIG.42 à FIG.46, FIG.71 à FIG.76, FIG.96 à FIG.101, FIG.119, FIG.120) qui s’assemblent par vissage, ou collage, après la mise la place des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP et le cas échéant des déviateurs DEVIFROP ; rappelons que la présence ou non des déviateurs DEVIFROP dépend de l’emplacement réservé au pseudo-satellite photonique considéré au sein du système SICOSF. Le nombre de ces éléments est fonction du nombre des plans de niveau des conduits CFO ; les éléments situés aux extrémités de la partie PSAT-CHASSIS-BASE sont dénommés « PSAT-CHASSIS-BASE- LOWER » et « PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER » ; S’il y a deux plans de niveau, alors il y a un élément supplémentaire dénommé « PSAT-CHASSIS-BASE- CENTRAL », qui s’intercale entre les éléments PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER et PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, afin de les former. Nous allons construire successivement des parties ayant un, deux et quatre niveaux de conduits CFO ; des telles parties sont dénommées respectivement « PSAT-CHASSIS-BASE- OneLevel », « PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels », « PSAT-CHASSIS-BASE- FourLevels ». Pour les fabriquer on peut procéder de la manière suivante : 1. Fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel (FIG.42, FIG.43, FIG.71, FIG.72, FIG.96, FIG.97, FIG.119, FIG.120) : N’ayant qu’un seul plan de niveau, cette partie comporte donc deux éléments qui sont dénommés PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER (42PSAT-CHASSIS-LOWER, 71 P S AT -CHAS SIS -LO WER, 96P S AT-CHA S SIS -LO WER) et PSAT-CHASSIS- BASE-OneLevel-UPPER (42PSAT-CHASSIS-UPPER, 71PSAT-CHASSIS- UPPER, 79PSAT-CHASSIS-UPPER, 96PSAT-CHASSIS-UPPER) dont l’assemblage permet de former les quatre conduits CFOl, CF02, CF03, CF04. Ces deux éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- l.a) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié de ces quatre conduits CFO ainsi que la moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés CFOl- RALP1, CF01-RALP2, CF01-RALP3, CF01-RALP4, pour le conduit CFOl ; CF02-RALP1, CF02-RALP2, CF02-RALP3, CF02-RALP4, pour le conduit CF02 ; CF03-RALP1, CF03-RALP2, CF03-RALP3, CF03-RALP4, pour le conduit CF03 ; CF04-RALP1, CF04-RALP2, CF04-RALP3, CF04-RALP4, pour le conduit CF04. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie PSAT-CHASSIS-DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte un passage pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER- COMBINER), ainsi que quatre mortaises d’ alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER.

- l.b) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER : La face inférieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits ainsi que la moitié des seize Rainures d’Alignement de Précision. Ces moitiés sont identiques à celles de l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER et disposées de manière à ce qu’après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau. Il comporte un passage pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP- CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350P COUPLER- COMBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les quatre mortaises d’alignement de l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- LOWER pour réaliser un assemblage de précision.

2. Fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels (FIG.44, FIG.45, FIG.73, FIG.74, FIG.98, FIG.99) : Ayant deux plans de niveau, elle comporte donc trois éléments qui sont dénommés PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels-LOWER (44PSAT-CHASSIS-LOWER, 73PSAT-CHASSIS- LOWER, 98PSAT-CHASSIS-LOWER, 99PSAT-CHASSIS-LOWER), PSAT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER (44P S AT -CHA S SIS -UPPER, 73PSAT- CHAS SIS-UPPER, 98PSAT-CHASSIS-UPPER, 99P SAT-CHAS SIS-UPPER) et PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL (44PSAT-CHASSIS-

CENTRAL, 73PSAT-CHASSIS-CENTRAL, 98PSAT-CHASSIS-CENTRAL 99PSAT-CHASSIS-CENTRAL) dont l’assemblage permet de former les huit conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 pour le plan de niveau PNIV1 et PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04 pour le plan de niveau PNIV2. Ces trois éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- 2.a) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV2, à savoir PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2- CF04 ainsi que la moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés PNIV2-CFO 1 -RALP 1 , PNIV2-CF01-RALP2, PNIV2-CF01-RALP3, PNIV2- CF01-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF01 ; PNIV2-CF02-RALP1, PNIV2- CF02-RALP2, PNIV2-CF02-RALP3, PNIV2-CF02-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF02 ; PNIV2-CF03-RALP1, PNIV2-CF03-RALP2, PNIV2-CF03- RALP3, PNIV2-CF03-RALP4, pour le Conduit PNIV2-CF03 ; PNIV2-CF04- RALP1, PNIV 2 -CF 04-RALP2 , PNIV 2 -CF 04-RALP3 , PNIV2-CF04-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF04. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie PSAT-CHASSIS-DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte un passage pour les fibres optiques des coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels-CENTRAL.

- 2.b) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER : La face inférieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV1, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1- CF04 ainsi que la moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés PNIV 1 -CFO 1 -RALP 1, PNIV 1 -CFO 1-RALP2, PNIV 1 -CFO 1-RALP3, PNIV1- CF01-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF01 ; PNIV1-CF02-RALP1, PNIV1- CF02-RALP2, PNIV1-CF02-RALP3, PNIV 1 -CF 02-RALP4, pour le conduit PNIV1-CF02 ; PNIV 1-CF03 -RALP 1, PNIV 1 -CF 03 -RALP2, PNIV1-CF03- RALP3, PNIV 1 -CF 03 -RALP4, pour le conduit PNIV1-CF03 ; PNIV1-CF04- RALP1, PNIV 1 -CF 04-RALP2 , PNIV 1 -CF 04-RALP3 , PNIV 1 -CF04-RALP4, pour le conduit PNIV 1 -CF 04. Il comporte un passage pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les quatre mortaises d’alignement de l’élément PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-CENTRAL pour réaliser un assemblage de précision.

- 2.c) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL : La face supérieure de cet élément comporte l’autre moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV1, à savoir les conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1- CF03, PNIV1-CF04 ainsi que l’autre moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER et disposées de manière à ce qu’après l’assemblage ils en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV 1. La face inférieure de cet élément comporte l’autre moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV2, à savoir les conduits PNIV2- CFOl, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04 ainsi que l’autre moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-LOWER et disposés de manière à ce qu’après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV2. Il comporte un passage pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER- COMBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), huit mortaises d’alignement, dont quatre sont destinés à s’emboîter dans les quatre tenons d’alignement de l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER et les quatre restants pour s’emboîter dans les quatre tenons d’alignement de l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER.

3. Fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-BASE-Four Levels (FIG.46, FIG.47, FIG.75, FIG.76, FIG.100, FIG.101) : Cette partie s’obtient par adjonction à la partie PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels, déjà construite ci-avant, d’un module additionnel dénommé PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL- MODULE (46PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE, 75PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE, 100PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE). Ce module additionnel est composé des trois éléments suivants dénommés PSAT- CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-LOWER (46PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-LOWER, 75PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE- LOWER, ÎOOPSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER), PSAT- CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-UPPER (46PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-UPPER, 75PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE- UPPER, 100PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER), et PSAT- CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-CENTRAL (46PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 75PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-

MODULE-CENTRAL, 100PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-

CENTRAL). Il se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels :

- 3.a) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE- LOWER : Cet élément est identique en tout point à l’élément PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-LOWER, sauf que sa hauteur est réduite de manière à ce qu’il puisse être installé sous ce dernier.

- 3.b) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE- UPPER : Cet élément est identique en tout point à l’élément PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-UPPER.

- 3.c) Elément PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE- CENTRAL : Cet élément est identique en tout point à l’élément PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-CENTRAL.

VLC.5 - Méthodes de Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS

La partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS est composée de plusieurs éléments (FIG.50 à FIG.55, FIG.79 à FIG.84, FIG.104 à FIG.109) qui s’assemblent par vissage, ou collage, après la mise la place des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP et le cas échéant des déviateurs DEVIFROP. Le nombre de ces éléments est fonction du nombre des plans de niveau des conduits CFO ; les éléments situés aux extrémités de la partie DUO-PSAT- CHASSIS-BASE sont dénommés DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER et DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER ; S’il y a deux plans de niveau, alors il y a un élément supplémentaire dénommé DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, qui s’intercale entre les éléments DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER et DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER, afin de les former. Nous allons construire successivement des parties ayant un, deux et quatre niveaux de conduits CFO ; des telles parties sont dénommées respectivement DUO-PSAT-CHASSIS-BASE- OneLevel, DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-Tôlées, DUO-PSAT-CHASSIS-BASE- Four Levels.

Etant donné qu’un DUO-PSAT est un groupement de deux Pseudo-Satellites Photoniques mis côte à côte, afin de simplifier la fabrication des parties DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel, DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels, DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-FourLevels, il est avantageux de procéder par symétries de certaines portions de la partie PSAT-CHASSIS-BASE du châssis PSAT-CHASSIS construite ci-avant. Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel (FIG.50, FIG.51, FIG.79, FIG.80, FIG.104, FIG.105) : N’ayant qu’un seul plan de niveau, elle comporte donc deux éléments qui sont dénommés DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER (50DUO-PSAT-CHASSIS-LOWER, 79DUO-P SAT-CHAS SIS-LO WER, 104DUO-PSAT-CHASSIS-LOWER) et

DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER (50DUO-PSAT-CHASSIS- UPPER, 79DUO-PSAT-CHASSIS-UPPER, 104DUO-PSAT-CHASSIS-UPPER) dont l’assemblage permet de former les huit conduits CFOl, CF02, CF03, CF04, CF05, CF06, CF07, CF08. Les quatre conduits CFOl, CF02, CF03, CF04 sont identiques à ceux de la partie PSAT-CHASSIS-BASE et les quatre CF05, CF06, CF07, CF08 sont leurs symétriques par rapport à un plan. Ces deux éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- l.a) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER :

La face supérieure de cet élément comporte la moitié de ces huit Conduits CFO ainsi que la moitié des trente-deux Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés CFO/-RALP/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 8 », désigne le numéro du conduit CFO et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré ; par exemple, CF07-RALP2, désigne la rainure N°2 du conduit CF07. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte deux passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que cinq mortaises d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER.

- 1.b) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER :

La face inférieure de cet élément comporte la moitié des huit conduits CFO ainsi que la moitié des trente-deux Rainures d’ Alignement de Précision. Ces moitiés sont identiques à celles de l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- LOWER et disposées de manière à ce qu’après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau. Il comporte deux passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que cinq tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les cinq mortaises d’alignement de l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER pour réaliser un assemblage de précision.

2. Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels (FIG.52, FIG.53, FIG.81, FIG.82, FIG.106, FIG.107) : Ayant deux plans de niveau, elle comporte donc trois éléments qui sont dénommés DUO-PSAT- CHAS SIS -B ASE-T woLevels -LO WER (52DUO-PSAT-CHASSIS-LOWER, 81DUO-P SAT-CHAS SIS-LO WER, 106DUO-PSAT-CHASSIS-LOWER), DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER (52DUO-PSAT-CHASSIS-UPPER, 81DUO-PSAT-CHASSIS-UPPER, 106DUO-PSAT-CHASSIS-UPPER) et DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL (52DUO-PSAT-CHASSIS- CENTRAL, 81DUO-PSAT-CHASSIS-CENTRAL, 106DUO-PSAT-CHASSIS- CENTRAL) dont l’assemblage permet de former les seize conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 , PNIV1-CF05, PNIV1-CF06, PNIV1-CF07, PNIV1-CF08 pour le plan de niveau PNIV1 et PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04, PNIV2-CF05, PNIV2-CF06, PNIV2-CF07, PNIV2-CF08 pour le plan de niveau PNIV2. Ces trois éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- 2.a) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-

LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié des huit conduits CFO du plan de niveau PNIV2, à savoir PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2- CF03, PNIV2-CF04 , PNIV2-CF05, PNIV2-CF06, PNIV2-CF07, PNIV2-CF08 ainsi que la moitié des trente-deux Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés PN I V2-C F O/- R A L P/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 8 », désigne le numéro du conduit CFO du plan de niveau PNIV2 et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré ; par exemple, PNIV2-CF06-RALP3, désigne la rainure N°2 du conduit CF06. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte deux passage pour les fibres optiques des coupleurs optiques CONSOP- CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350P COUPLER- COMBINER), ainsi que cinq tenons d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL.

- 2.b) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER :

La face inférieure de cet élément comporte la moitié des huit conduits CFO du plan de niveau PNIV1, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1- CF04 , PNIV1-CF05, PNIV1-CF06, PNIV1-CF07, PNIV1-CF08 ainsi que la moitié des trente-deux Rainures d’Alignement de Précision, dénommés PNIV1- CFO/-RALP/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 8 », désigne le numéro du conduit CFO du plan de niveau PNIV2 et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré. Il comporte deux passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que cinq tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les cinq mortaises d’alignement de l’élément DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL pour réaliser un assemblage de précision.

- 2.c) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-

CENTRAL : La face supérieure de cet élément comporte l’autre moitié des huit conduits CFO du plan de niveau PNIV1, à savoir les conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 , PNIV1-CF05, PNIV1-CF06, PNIV1-CF07, PNIV1-CF08 ainsi que l’autre moitié des trente-deux Rainures d’Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels-UPPER et disposées de manière à ce qu’après l’assemblage, ils en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV1. La face inférieure de cet élément comporte l’autre moitié des huit conduits CFO du plan de niveau PNIV2, à savoir les conduits PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2- CF04 , PNIV2-CF05, PNIV2-CF06, PNIV2-CF07, PNIV2-CF08 ainsi que l’autre moitié des trente-deux Rainures d’Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER et disposés de manière à ce qu’après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV2. Il comporte deux passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), dix mortaises d’alignement, dont cinq sont destinés à s’emboîter dans les cinq tenons d’alignement de l’élément DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER et les cinq restants pour s’emboîter dans les cinq tenons d’alignement de l’élément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- LOWER.

3. Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-FourLevels (FIG.54, FIG.55, FIG.83, FIG.84, FIG.108, FIG.109) : Cette partie s’obtient par adjonction à la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels, déjà construite ci- avant, d’un module additionnel dénommé DUO-PSAT-CHASSIS-BASE- ADDITIONAL-MODULE (54DUO-P SAT-CHAS SIS-B ASE-ADD-MODULE, 83DUO-P SAT-CHAS SIS-B ASE-ADD-MODULE, 108DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE). Ce module additionnel est composé des trois éléments suivants dénommés DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE- LOWER (54DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER, 83DUO-

PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER, 108DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-LOWER), DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-

ADDITIONAL-MODULE-UPPER (54DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD- MODULE-UPPER , 83DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER , 108DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER) et DUO-PSAT-

CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-CENTRAL (54DUO-PSAT-

CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 83DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 108DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD- MODULE-CENTRAL). Il se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie DUO-PSAT- CHAS SIS-BASE-TwoLevels :

- 3.a) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL- MODULE-LOWER : Cet élément est identique en tout point à l’élément DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER, sauf que sa hauteur est réduite de manière à ce qu’il puisse être installé sous ce dernier.

- 3.b) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL- MODULE-UPPER : Cet élément est identique en tout point à l’élément DUO- PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER.

- 3.c) Elément DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL- MODULE-CENTRAL : Cet élément est identique en tout point à l’élément DUO-

PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL.

VLC.6 - Méthodes de fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS

La partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE du châssis QUATUOR-PSAT- PSAT-CHASSIS est composée de plusieurs éléments (FIG.58 à FIG.63, FIG.87 à FIG.92, FIG.112 à FIG.117) qui s’assemblent par vissage, ou collage, après la mise la place des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP et le cas échéant des déviateurs DEVIFROP. Le nombre de ces éléments est fonction du nombre des plans de niveau des conduits CFO ; les éléments situés aux extrémités de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE sont dénommés QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE-LOWER et QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-UPPER ; S’il y a deux plans de niveau, alors il y a un élément supplémentaire dénommé QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, qui s’intercale entre les éléments QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER et QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE-UPPER, afin de les former. Nous allons construire successivement des parties ayant un, deux et quatre niveaux de conduits CFO ; des telles parties sont dénommées respectivement QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-OneLevel, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels, QUATUOR- PSAT-CHASSIS-BASE-FourLevels.

Etant donné qu’un QUATUOR-PSAT est un groupement de quatre pseudo satellites photoniques mis côte à côte, afin de simplifier la fabrication des parties QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel, QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-FourLevels, il est avantageux de procéder par symétries de certaines portions de la partie DUO- PSAT-CHASSIS-BASE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS construite ci-avant. Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel (FIG.58, FIG.59, FIG.87, FIG.88, FIG.112, FIG.113) : N’ayant qu’un seul plan de niveau, elle comporte donc deux éléments qui sont dénommés QUATUOR- PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER (58QUAT-PSAT-CHASSIS-

LOWER, 87QUAT-PSAT-CHASSIS-LOWER, 112QUAT-PSAT-CHASSIS- LOWER) et QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER (58QUAT- PSAT-CHASSIS-UPPER, 87QUAT-PSAT-CHASSIS-UPPER, 112QUAT-PSAT- CHASSIS-UPPER) dont l’assemblage permet de former les seize conduits CFO / où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO. Les huit conduits CFOl, CF02, CF03, CF04, CF05, CF06, CF07, CF08 sont identiques à ceux de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE et les huit autres sont leurs symétriques par rapport à un plan. Ces deux éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- l.a) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié de ces seize conduits CFO ainsi que la moitié des soixante-quatre Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés CFO/-RALP/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie QUATUOR-CHASSIS-DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte quatre passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPFER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER- COMBINER), ainsi que quatre mortaises d’ alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- UPPER.

- 1.b) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- UPPER : La face inférieure de cet élément comporte la moitié des seize conduits CFO ainsi que la moitié des soixante-quatre Rainures d’ Alignement de Précision. Ces moitiés sont identiques à celles de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-OneLevel-LOWER et disposées de manière à ce qu’ après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau. Il comporte quatre passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER- COMBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les quatre mortaises d’alignement de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel- LOWER pour réaliser un assemblage de précision.

2. Fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels (FIG.60, FIG.61, FIG.89, FIG90, FIG.114, FIG.115) : Ayant deux plans de niveau, elle comporte donc trois éléments qui sont dénommés QUATUOR- PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER (60QUAT-PSAT-CHASSIS- LOWER, 89QUAT-PSAT-CHASSIS-LOWER, 114QUAT-PSAT-CHASSIS- LOWER), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER (60QUAT- PSAT-CHASSIS-UPPER, 89QUAT-PSAT-CHASSIS-UPPER, 114QUAT-PSAT- CHASSIS-UPPER), et QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- CENTRAL (60QUAT-PSAT-CHASSIS-CENTRAL, 89QUAT-PSAT-CHASSIS- CENTRAL, 114QUAT-PSAT-CHASSIS-CENTRAL) dont l’assemblage permet de former les trente-deux conduits PNIV/c-CFO/ où « k », un nombre entier compris entre « 1 » et « 2 », désigne le numéro du plan de niveau, et « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO dans le plan de niveau considéré. Ces trois éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger.

- 2.a) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié des seize conduits CFO du Plan de Niveau PNIV2, à savoir les conduits PNIV2-CFO/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO dans le plan de niveau PNIV2, ainsi que la moitié des soixante-quatre Rainures d’Alignement de Précision, dénommés PNI V2-CFO/-RALP/ où « i », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO du plan de niveau PNIV2 et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- DOME et servir aussi d’appui au couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO. Il comporte quatre passages pour les fibres optiques des coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER- COMBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL.

- 2.b) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- UPPER : La face inférieure de cet élément comporte la moitié des seize conduits CFO du Plan de Niveau PNIV1, à savoir les conduits PNIV1 -CFO/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO dans le plan de niveau PNIV1, ainsi que la moitié des soixante-quatre Rainures d’Alignement de Précision, dénommés PNIV1 -CFO/-RALP/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO du plan de niveau PNIV1 et « j », un nombre entier compris entre « 1 » et « 4 », désigne le numéro de la Rainure dans le conduit CFO considéré. Il comporte quatre passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER- COMBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER), ainsi que quatre tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les quatre mortaises d’alignement de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- CENTRAL pour réaliser un assemblage de précision.

- 2.c) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- CENTRAL : La face supérieure de cet élément comporte l’autre moitié des seize conduits CFO du plan de niveau PNIV1, à savoir les conduits PNIV1-CFO/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO dans le plan de niveau PNIV1, ainsi que la moitié des soixante-quatre Rainures d’Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits CFO et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-UPPER et disposées de manière à ce qu’ après l’assemblage ils en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV1. La face inférieure de cet élément comporte l’autre moitié des seize conduits CFO du plan de niveau PNIV2, à savoir les conduits savoir les conduits PNIV2-CFO/ où « / », un nombre entier compris entre « 1 » et « 16 », désigne le numéro du conduit CFO dans le plan de niveau PNIV2, ainsi que l’autre moitié des soixante-quatre Rainures d’Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits CFO et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-LOWER et disposés de manière à ce qu’après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV2. Il comporte quatre passages pour les fibres optiques des coupleurs CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER- COMBINER), huit mortaises d’alignement, dont cinq sont destinés à s’emboîter dans les quatre tenons d’alignement de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-UPPER et les quatre restants pour s’emboîter dans les quatre tenons d’alignement de l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels-LOWER.

3. Fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE- FourLevels (FIG.62, FIG.68, FIG.91, FIG.92, FIG.116, FIG.117) : Cette partie s’obtient par adjonction à la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE- TwoLevels, déjà construite ci-avant, d’un module additionnel dénommé QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE (62QUAT-

PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE, 91QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE- ADD-MODULE, 116QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE). Ce module additionnel est composé des trois éléments suivants dénommés QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-LOWER (62QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER, 91QUAT-PSAT-

CHAS SIS-B ASE-ADD-MODULE-LO WER, 116QUAT-P SAT-CHASSIS-

BASE-ADD-MODULE-LOWER), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-

ADDITIONAL-MODULE-UPPER (62QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD- MODULE-UPPER, 91QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER, 116QUAT-PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-UPPER) et QUATUOR-

PSAT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-CENTRAL (62QUAT- PSAT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 91QUAT-PSAT-

CHAS SIS-B ASE-ADD-MODULE-CENTRAL, 116QUAT-P SAT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-CENTRAL). Il se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie

QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels :

- 3.a) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-

ADDITIONAL-MODULE-LOWER : Cet élément est identique en tout point à l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER, sauf que sa hauteur est réduite de manière à ce qu’il puisse être installé sous ce dernier.

- 3.b) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-

ADDITIONAL-MODULE-UPPER : Cet élément est identique en tout point à l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER. - 3.c) Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-

ADDITIONAL-MODULE-CENTRAL : Cet élément est identique en tout point à l’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL.

VI.C.7 - Méthodes de fabrication de la partie PSAT-CHASSIS-INTERFACE du châssis PSAT-CHASSIS

La partie PSAT-CHASSIS-INTERFACE (121PSAT-CHASSIS-INTERFACE- BARE, 122PSAT-CHASSIS-INTERFACE-BARE, 122PSAT-CHASSIS- INTERFACE-CONFIGURED) du châssis PSAT-CHASSIS est composée de quatre principaux éléments (FIG.121 à FIG.122) dénommés PSAT-CHASSIS- INTERE ACE-LO WER (121INTERFACE-LOWER), PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH 1 (121INTERFACE-LAT CH 1 ), PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LAT CH2 (121INTERFACE-LAT CH2), PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM (121INTERFACE-DRUM). Les trois éléments PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LOWER, PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1 et PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH2 s’assemblent de préférence par collage. Les deux éléments PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER et PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM s’assemblent par vissage après la mise la place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER). Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Elément PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER : Cet élément

(121INTERF ACE-LO WER) est destiné à être monté par vissage sur la face supérieure de la partie PSAT-CHASSIS-BASE (FIG.42 à FIG.46, FIG.71 à FIG.76, FIG.96 à FIG.101, FIG.119, FIG.120) ; rappelons que cette face supérieure correspond à l’élément PSAT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER ou PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER ou PSAT-CHASSIS-BASE-

FourLevels-UPPER. Il comporte un berceau, i.e. PSAT-CRADLE, pour la mise en place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR. L’élément PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER doit être fabriqué en adéquation avec la partie PSAT-CHASSIS-BASE ; les trous de vissage sont entourés des cylindres creux d’alignement. Cet élément se fabrique par moulage d’un matériau opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie PSAT- CHASSIS-BASE.

2. Eléments PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1 et PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LATCH2 : Ces deux éléments (121 INTERFACE- LATCH1, 121INTERFACE-LATCH1), constituent les dispositifs de verrouillage / déverrouillage par loquets du couvercle de protection du PSAT-CHASSIS-DOME. Ils sont identiques et conçus de manière à ce que, d’une part, le loquet de chacun d’entre eux puisse s’engager, par simple pression, dans l’encoche approprié du couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO du PSAT-CHASSIS-DOME pour le verrouiller et le maintenir dans cet état, et d’autre part, le déverrouillage puisse s’effectuer par simple friction sur les boutons associés. Les composants permettant de fabriquer le mécanisme de tels éléments sont de ressorts hélicoïdaux et autres pièces que l’Homme de l’art, dans le domaine de la micromécanique, sait comment les fabriquer et les assembler.

3. Elément PSAT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM : Cet élément (121INTERFACE-DRUM) est composé de deux solides cylindriques coaxiaux dont le plus petit est placé au-dessus du plus grand ; chacun de ces cylindres comporte des rainures hélicoïdales. Le plus grand cylindre comporte latéralement deux grandes ouvertures pour le passage des fibres optiques avant leurs enroulements ainsi que des trous pour sa fixation par vissage sur l’élément PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LOWER (121INTERFACE-LOWER).

VI.C.8 - Méthodes de Fabrication de la partie DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE du châssis DUO-PSAT-CHASSIS

La partie DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE (123DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-CONFIGURED) du châssis DUO-PSAT-CHASSIS est composée de six principaux éléments (FIG.123) dénommés DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LOWER (123INTERFACE-LOWER), DUO-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LAT CH 1 (123INTERFACE-LATCH 1 ), DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH2 (123INTERFACE-LATCH2), DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH3 (123INTERFACE-LAT CH3 ), DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH4 (123INTERFACE-LATCH4), DUO-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM (123INTERFACE-DRUM). Les cinq éléments DUO-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LOWER, DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-

LATCH1, DUO-P S AT-CH AS SIS -INTERF ACE-LAT CH2 , DUO-PSAT- CHAS SIS-INTERFACE-LAT CH3 , DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-

LATCH4 s’assemblent de préférence par collage. Les deux éléments DUO-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LOWER et DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE- DRUM s’assemblent par vissage après la mise la place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER). Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Elément DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER : Cet élément (123INTERFACE-LOWER) est destiné à être monté par vissage sur la face supérieure de la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE (FIG.50 à FIG.55, FIG.79 à FIG.84, FIG.104 à FIG.109) ; rappelons que cette face supérieure correspond à l’élément DUO-PSAT-BASE-OneLevel-UPPER ou DUO-PSAT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-UPPER ou DUO-PSAT-CHASSIS-BASE-FourLevels- UPPER. Il comporte un berceau, i.e. DUO-PSAT-CRADLE, pour la mise en place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR. L’élément DUO- PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER doit être fabriqué en adéquation avec la partie DUO-PSAT-CHASSIS-BASE ; les trous de vissage sont entourés des cylindres creux d’alignement. Cet élément se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie DUO- PSAT-CHASSIS-BASE.

2. Eléments DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1, DUO-

PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH2, DUO-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LATCH3 et DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH4 :

Ces quatre éléments (123INTERFACE-LAT CH 1 , 123INTERFACE-LATCH2, 123INTERFACE-LATCH3, 123INTERFACE-LATCH4) constituent les dispositifs de verrouillage / déverrouillage par loquets du couvercle de protection du DUO-PSAT-CHASSIS-DOME. Ils sont identiques et conçus de manière à ce que, d’une part, le loquet de chacun d’entre eux puisse s’engager, par simple pression, dans l’encoche approprié du couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO du DUO-PSAT-CHASSIS-DOME pour le verrouiller et le maintenir dans cet état, et d’autre part, le déverrouillage puisse s’effectuer par simple friction sur les boutons associés. Les composants permettant de fabriquer le mécanisme de tels éléments sont de ressorts hélicoïdaux et autres pièces que l’Homme de l’art, dans le domaine de la micromécanique, sait comment les fabriquer et les assembler.

3. Elément DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM : Cet élément (123INTERFACE-DRUM) est identique à l’élément PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM (121INTERFACE-DRUM) du châssis PSAT-CHASSIS. VI.C.9 - Méthodes de fabrication de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS- INTERFACE du châssis QUATUOR-PSAT-CHASSIS

La partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE (124QUAT-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-CONFIGURED) du châssis QUATUOR-PSAT- CHASSIS est composée de dix principaux éléments (FIG.124) dénommés QUATU OR-P S AT-CHA S SIS -INTERF ACE-LO WER (124INTERFACE-

LOWER), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1

(124INTERF ACE-LAT CH 1 ), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE- LATCH2 (124INTERFACE-LATCH2), QUATUOR-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH3 (124INTERF ACE-LAT CH3 ), QUATUOR-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LATCH4 (124INTERFACE-LATCH4), QUATUOR- PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH5 (124INTERFACE-LATCH5),

QUATU OR-P S AT-CHA S SIS -INTERF ACE-LAT CH6 (124INTERFACE-

LATCH6), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH7

(124INTERFACE-LATCH7), QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE- LATCH8 (124INTERFACE-LATCH8), QUATUOR-PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM (124INTERFACE-DRUM). Les neuf éléments QUATUOR- P S AT -CHAS SIS -INTERF ACE-LO WER, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LAT CH 1 , QUATU OR-P S AT-CHAS SIS-INTERF ACE-LAT CH2 , QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH3, QUATUOR-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LATCH4, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE- LATCH5, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH6, QUATUOR- P S AT -CHAS SIS -INTERF ACE-LAT CH7 , QUATUOR-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LATCH8, s’assemblent de préférence par collage. Les deux éléments QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER et QUATUOR- P S AT -CHAS SIS -INTERF ACE-LAT CH8 , QUATUOR-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-DRUM s’assemblent par vissage après la mise la place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR (340PC0UPLER-C0MBINER) et CONFROP-CPLR (350PC0UPLER-C0MBINER). Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER : Cet élément (124INTERFACE-LOWER) est destiné à être monté par vissage sur la face supérieure de la partie QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE (FIG.58 à FIG.63, FIG.87 à FIG.92, FIG.112 à FIG.117) ; rappelons que cette face supérieure correspond à l’élément QUATUOR-PSAT-BASE-OneLevel-UPPER ou QUATUOR-PSAT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER ou QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE-FourLevels-UPPER. Il comporte un berceau, i.e. QUATUOR- PSAT-CRADLE, pour la mise en place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR. L’élément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE- LOWER doit être fabriqué en adéquation avec la partie QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE ; les trous de vissage sont entourés des cylindres creux d’alignement. Cet élément se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie QUATUOR-PSAT- CHASSIS-BASE.

2. Eléments QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1,

QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH2, QUATUOR-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LATCH3, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-

INTERFACE-LATCH4, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-

LATCH5, QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH6,

QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH7, QUATUOR-PSAT- CHASSIS-INTERFACE-LATCH8 : Ces huit éléments (124INTERFACE- LATCH1 à 124INTERFACE-LATCH8) constituent les dispositifs de verrouillage/déverrouillage par loquets du couvercle de protection du QUATUOR- PSAT-CHASSIS-DOME. Ils sont identiques et conçus de manière à ce que, d’une part, le loquet de chacun d’entre eux puisse s’engager, par simple pression, dans l’encoche approprié du couvercle de protection des concentrateurs optiques CONRO et des diffuseurs DIFFRO du QUATUOR-PSAT-CHASSIS-DOME pour le verrouiller et le maintenir dans cet état, et d’autre part, le déverrouillage puisse s’effectuer par simple friction sur les boutons associés. Les composants permettant de fabriquer le mécanisme de tels éléments sont de ressorts hélicoïdaux et autres pièces que l’Homme de l’art, dans le domaine de la micromécanique, sait comment les fabriquer et les assembler.

3. Elément QUATUOR-PSAT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM : Cet élément (124INTERFACE-DRUM) est identique à l’élément PSAT-CHASSIS- INTERFACE-DRUM (121INTERFACE-DRUM) du châssis PSAT-CHASSIS.

VI.D - Méthodes de fabrication des adaptateurs de communications par faisceaux FROP et des combinés Adaptateur-Pseudo-Satellites photoniques

Dans cette partie nous allons détailler une manière de fabriquer les principaux éléments constitutifs d’un adaptateur de faisceaux FROP autonome, i.e. stand-alone ainsi des combinés d’un adaptateur de faisceaux FROP et un pseudo-satellite photonique ou un groupement de deux pseudo-satellites. Par ailleurs, rappelons que ces adaptateurs ont été décrits dans l’exposé de l’invention. VI.D.l - Méthodes de fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE du châssis ADAPT-CHASSIS de l’adaptateur AD APT -C OMFROP

La partie ADAPT-CHASSIS-BASE du châssis ADAPT-CHASSIS (FIG.127, FIG.129, FIG.131) est composée de plusieurs éléments (FIG.127-FIG.132) qui s’assemblent par vissage, ou collage, après la mise la place des convertisseurs optiques CONFROP et CONSOP. Le nombre de ces éléments est fonction du nombre des plans de niveau des conduits CFO.

Les éléments situés aux extrémités de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE (127ADAPT-CHASSIS-BASE, 129ADAPT-CHASSIS-BASE, 131DAPT- CHASSIS-BASE) sont dénommés ADAPT-CHASSIS-BASE-LOWER (127ADAPT-CHASSIS-BASE-LOWER, 129ADAPT-CHASSIS-BASE-

LOWER, 131DAPT-CHASSIS-BASE-LOWER) et ADAPT-CHASSIS-BASE- UPPER (127ADAPT-CHASSIS-BASE-UPPER, 129ADAPT-CHASSIS-BASE- UPPER, 131DAPT-CHASSIS-BASE-UPPER) ; S’il y a deux plans de niveau, alors il y a un élément supplémentaire dénommé ADAPT-CHASSIS-BASE- CENTRAL (129ADAPT-CHASSIS-BASE-CENTRAL, 131ADAPT-CHASSIS- BASE-CENTRAL), qui s’intercale entre les éléments ADAPT-CHASSIS-BASE- LOWER et ADAPT-CHASSIS-BASE-UPPER. Nous allons construire successivement des parties ayant un, deux et quatre plans de niveau de conduits CFO ; des telles parties sont dénommées respectivement ADAPT-CHASSIS- BASE-OneLevel (127ADAPT-COMFROP-OneLevel, 128ADAPT-COMFROP- OneLevel), ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels (129ADAPT-COMFROP- TwoLevels, 130ADAPT-COMFROP-TwoLevels), ADAPT-CHASSIS-BASE- FourLevels (131ADAPT-COMFROP-FourLevels, 132 ADAPT-COMFROP- FourLevels). Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel : N’ayant qu’un seul plan de niveau, cette partie (FIG.127, FIG.128) comporte donc deux éléments qui sont dénommés ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER (127ADAPT-CHASSIS-BASE-LOWER) et ADAPT-CHASSIS-BASE- OneLevel-UPPER (127ADAPT-CHASSIS-BASE-UPPER) dont l’assemblage permet de former les quatre conduits CFOl, CF02, CF03, CF04 (127PNIV1- CFOl, 127PNIV1-CF02, 127PNIV1-CF03, 127PNIV1-CF04). Ces deux éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériau opaque rigide et léger.

- l.a) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits ainsi que la moitié des seize Rainures d’Alignement de Précision, dénommés CFOl-RALPl, CF01-RALP2, CF01-RALP3, CF01-RALP4, pour le conduit CFOl ; CF02- RALP1, CF02-RALP2, CF02-RALP3, CF02-RALP4, pour le conduit CF02 ; CF03-RALP1, CF03-RALP2, CF03-RALP3, CF03-RALP4, pour le conduit CF03 ; CF04-RALP1, CF04-RALP2, CF04-RALP3, CF04-RALP4, pour le conduit CF04. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos du couvercle de protection de la partie supérieure de l’adaptateur ADAPT-COMFROP et lui servir aussi d’appui. Il comporte un ou plusieurs trous de passage (1280PFIBER-H0LE) pour les câbles de fibres optiques permettant de relier l’adaptateur ADAPT-COMFROP au réseau local OPFIBRE-LAN, deux larges ouvertures pour le passage des fibres optiques que contiennent lesdits câbles, cinq mortaises d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER.

- l.b) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER : La face inférieure de cet élément comporte l’autre moitié des quatre conduits ainsi que l’autre moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision. Ces moitiés sont identiques à celles de l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-LOWER et disposées de manière à ce qu’ après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau. Il comporte deux larges ouvertures pour le passage des fibres optiques que contiennent lesdits câbles et cinq tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les cinq mortaises d’alignement de l’élément ADAPT-CHASSIS- BASE-OneLevel-UPPER pour réaliser un assemblage de précision.

2. Fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels : Ayant deux plans de niveau, cette partie (FIG.129, FIG.130) comporte donc trois éléments qui sont dénommés ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER (129ADAPT-CHASSIS-BASE-LOWER), ADAPT-CHASSIS-BASE-

TwoLevels-UPPER (129ADAPT-CHASSIS-BASE-UPPER) et ADAPT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL (129ADAPT-CHASSIS-BASE-

CENTRAL) dont l’assemblage permet de former les huit conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1-CF04 pour le plan de niveau PNIV1, et PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04 (129PNIV2-CF01, 129PNIV2-CF02, 129PNIV2-CF03, 129PNIV2-CF04) pour le plan de niveau PNIV2. Ces trois éléments peuvent être fabriqués par moulage d’un matériau opaque rigide et léger.

- 2.a) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER : La face supérieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV2, à savoir PNIV2-CF01, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2- CF04 ainsi que la moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés PNIV2-CFO 1 -RALP 1 , PNIV2-CF01-RALP2, PNIV2-CF01-RALP3, PNIV2- CF01-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF01 ; PNIV2-CF02-RALP1, PNIV2- CF02-RALP2, PNIV2-CF02-RALP3, PNIV2-CF02-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF02 ; PNIV2-CF03-RALP1, PNIV2-CF03-RALP2, PNIV2-CF03- RALP3, PNIV2-CF03-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF03 ; PNIV2-CF04- RALP1, PNIV 2 -CF 04-RALP2 , PNIV 2 -CF 04-RALP3 , PNIV2-CF04-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF04. La hauteur de cet élément est telle qu’il puisse recouvrir le dos du couvercle de protection de la partie supérieure de l’adaptateur ADAPT-COMFROP et servir aussi d’appui. Il comporte un ou plusieurs trous de passage pour les câbles de fibres optiques, dénommés OPTICAL-FIBER-HOLE (130OPFIBER-HOLE), permettant de relier l’adaptateur ADAPT-COMFROP au réseau local OPFIBRE-LAN, deux larges ouvertures pour le passage des fibres optiques que contiennent lesdits câbles, cinq tenons d’alignement pour garantir un assemblage de précision avec l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- CENTRAL.

- 2.b) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER : La face inférieure de cet élément comporte la moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV1, à savoir PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1-CF03, PNIV1- CF04 ainsi que la moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision, dénommés PNIV 1 -CFO 1-RALP1, PNIV 1 -CFO 1-RALP2, PNIV 1 -CFO 1-RALP3, PNIV1- CF01-RALP4, pour le conduit PNIV2-CF01 ; PNIV1-CF02-RALP1, PNIV1- CF02-RALP2, PNIV1-CF02-RALP3, PNIV 1 -CF 02-RALP4, pour le conduit PNIV1-CF02 ; PNIV 1 -CF03 -RALP 1 , PNIV 1 -CF 03 -RALP2, PNIV1-CF03- RALP3, PNIV 1 -CF 03 -RALP4, pour le conduit PNIV1-CF03 ; PNIV1-CF04- RALP1, PNIV 1 -CF 04-RALP2 , PNIV 1 -CF 04-RALP3 , PNIV 1 -CF04-RALP4, pour le conduit PNIV1-CF04. Il comporte deux larges ouvertures pour le passage des fibres optiques, cinq tenons d’alignement destinés à s’emboîter dans les cinq mortaises de l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL pour réaliser un assemblage de précision.

- 2.c) ADAPT-CHASSIS-BASE-Type I-TwoLevels-CENTRAL :

La face supérieure de cet élément comporte l’autre moitié des quatre conduits du plan de niveau PNIV1, à savoir les conduits PNIVl-CFOl, PNIV1-CF02, PNIV1- CF03, PNIV1-CF04 ainsi que l’autre moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des Rainures de Précision sont identiques à celles de l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER et disposées de manière à ce qu’après l’assemblage ils en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV 1. La face inférieure de cet élément comporte l’autre moitié des quatre conduits du plan de Niveau PNIV2, à savoir les conduits PNIV2- CFOl, PNIV2-CF02, PNIV2-CF03, PNIV2-CF04 ainsi que l’autre moitié des seize Rainures d’ Alignement de Précision associées ; les moitiés des conduits et des rainures de précision sont identiques à celles de l’élément ADAPT-CHASSIS- BASE-TwoLevels-LOWER et disposés de manière à ce qu’ après l’assemblage elles en soient les symétriques par rapport au plan de niveau PNIV2. Il comporte deux larges ouvertures pour le passage des fibres optiques, dix mortaises d’alignement, destinées à s’emboîter avec les dix tenons d’alignement des éléments ADAPT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER et ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels- LOWER.

3. Fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE-Four Levels : Cette partie (FIG.131, FIG.132) s’obtient par adjonction à la partie ADAPT-CHASSIS- BASE-TwoLevels, construite ci-avant, d’un module additionnel dénommé ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE (131ADAPT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE). Ce module additionnel est composé des trois éléments suivants, dénommés ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE- LOWER (131ADAPT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-LOWER), ADAPT- CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-MODULE-UPPER (131ADAPT-CHASSIS- BASE-ADD-MODULE-UPPER), et ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL- MODULE-CENTRAL (131ADAPT-CHASSIS-BASE-ADD-MODULE-

CENTRAL). Il se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie ADAPT-CHASSIS-BASE- TwoLevels :

- 3.d) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-

MODULE-LOWER : Cet élément est identique en tout point à l’élément ADAPT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-LOWER, sauf que sa hauteur est réduite de manière à ce qu’il puisse être installé sous ce dernier.

- 3.e) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-

MODULE-UPPER : Cet élément est identique en tout point à l’élément ADAPT- CHASSIS-BASE-TwoLevels-UPPER.

- 3.f) Elément ADAPT-CHASSIS-BASE-ADDITIONAL-

MODULE-CENTRAL : Cet élément est identique en tout point à l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-TwoLevels-CENTRAL.

VLD.2 - Méthodes de Fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS- INTERFACE du châssis ADAPT-CHASSIS de l’adaptateur ADAPT- COMFROP

La partie ADAPT-CHASSIS-INTERFACE (127ADAPT-CHASSIS- INTERFACE, 129ADAPT-CHASSIS-INTERFACE, 131ADAPT-CHASSIS- INTERFACE) du châssis ADAPT-CHASSIS (FIG.127, FIG.129, FIG.131) est similaire à la partie DUO-PSAT-CHASSIS-INTERFACE) du DUO-PSAT (FIG.123), construite à la sous-section IV.C.8. Cette partie est composée de six principaux éléments dénommés ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER, ADAPT -CHASSIS-INTERFACE-LAT CH 1 , ADAPT-CHASSIS-INTERFACE- LATCH2, ADAPT -CHASSIS-INTERFACE-LATCH3 , ADAPT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH4, ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM. Les cinq éléments ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER, ADAPT-CHASSIS- INTERFACE-LAT CH 1 , ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH2, ADAPT- CHAS SIS-INTERFACE-LAT CH3 , ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH4, s’assemblent de préférence par collage. Les deux éléments ADAPT-CHASSIS- INTERFACE-LOWER, et ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM s’assemblent par vissage après la mise la place des coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR. Pour les fabriquer, on peut procéder de la manière suivante :

1. Elément ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER : Cet élément est destiné à être monté par vissage sur la face supérieure de la partie ADAPT- CHASSIS-BASE ; rappelons que cette face supérieure correspond à l’élément ADAPT-CHASSIS-BASE-OneLevel-UPPER ou ADAPT-CHASSIS-BASE- TwoLevels-UPPER ou ADAPT-CHASSIS-BASE-FourLevels-UPPER. Il peut comporter un berceau, i.e. ADAPT-CRADLE, pour la mise en place le cas échéant de coupleurs optiques CONSOP-CPLR et CONFROP-CPLR, au cas où Ton veut par exemple réduire le nombre de fibres optiques ce qui aurait, entre autres, une incidence substantielle sur la sensibilité optique du système SICOSF. L’élément ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LOWER doit être fabriqué en adéquation avec la partie ADAPT -CHASSIS-BASE ; les trous de vissage sont entourés des cylindres creux d’alignement. Cet élément se fabrique par moulage d’un matériaux opaque rigide et léger, de préférence le même matériau que celui de la partie ADAPT- CHASSIS-BASE.

2. Eléments ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH1, ADAPT-

CHASSIS-INTERFACE-LATCH2, ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-

LATCH3, ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-LATCH4 : Ces quatre éléments constituent les dispositifs de verrouillage / déverrouillage par loquets du couvercle de protection opaque du châssis de l’adaptateur. Il sont identiques et conçus de manière à ce que, d’une part, le loquet de chacun d’entre eux puisse s’engager, par simple pression, dans l’encoche approprié du couvercle de protection opaque du châssis (127ADAPT-CHASSIS-COVER, 128ADAPT-CHASSIS-COVER, 129ADAPT-CHASSIS-COVER, 130ADAPT-CHASSIS-COVER, 131ADAPT- CHASSIS-COVER, 132ADAPT-CHASSIS-COVER), pour le verrouiller et le maintenir dans cet état, et d’autre part, le déverrouillage puisse s’effectuer par simple friction sur les boutons associés. Les composants permettant de fabriquer le mécanisme de tels éléments sont de ressorts hélicoïdaux et autres pièces que l’Homme de l’art, dans le domaine de la micromécanique, sait comment les fabriquer et les assembler.

3. Elément ADAPT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM : Il est identique à l’élément PSAT-CHASSIS-INTERFACE-DRUM du châssis PSAT-CHASSIS.

VI.D.3 - Méthode de fabrication de la partie ADAPT-CHASSIS- PROTECTIVE COVER

Rappelons que la partie ADAPT-CHASSIS-PROTECTIVE COVER est le couvercle de protection de l’adaptateur ADAPT-COMFROP. C’est est un solide creux (127ADAPT -CHAS SIS-COVER, 128ADAPT-CHASSIS-COVER, 129ADAPT-CHASSIS-COVER, 130ADAPT-CHASSIS-COVER, 131DAPT- CHAS SIS-COVER, 132ADAPT-CHASSIS-COVER) avec une face avant épousant la forme de la partie ADAPT-CHASSIS-INTERFACE ; sa base est surmontée de quatre mini-cylindres comportant chacun une encoche en adéquation avec les loquets de verrouillage de la partie ADAPT-CHASSIS-INTERFACE. Ce couvercle peut être fabriqué par moulage et le matériau peut être opaque.

VI.D.4 - Méthodes de fabrication des adaptateurs COMBINED-ADAPT- PSAT et COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT

Les adaptateurs COMBINED-ADAPT-PSAT et COMBINED-ADAPT-DUO- PSAT peuvent être fabriqués ex-nihilo, mais la façon la plus simple de procéder est de modifier respectivement un pseudo-satellite photonique PSAT ou un groupement de deux pseudo-satellites photoniques DUO-PSAT (FIG.133 à FIG.144) de la manière suivante :

1. Modifications des parties de châssis PSAT-CHASSIS-BASE et DUO- PSAT-CHASSIS-BASE : L’opération consiste (FIG.133 à FIG.144) a percer des trous de passage de câbles (1330PFIBER-H0LE, 1340PFIBER-H0LE, 1350PFIBER-H0LE, 1360PFIBER-H0LE, 1380PFIBER-H0LE,

140OPFIBER-HOLE, 142 OPFIBER-HOLE, 1440PFIBER-H0LE) de fibres optiques dans les éléments PSAT-CHASSIS-BASE-LOWER et DUO-PSAT- CHASSIS-BASE-LOWER des parties de châssis PSAT-CHASSIS-BASE et DUO- PSAT-CHASSIS-BASE. Une partie des fibres optiques de ces câbles est destinée à relier à l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-LAN, les éléments suivants : - les « N » concentrateurs optiques CONRO, pour un adaptateur COMBINED- ADAPT-PSAT ou les « 2 x N » concentrateurs optiques CONRO pour un adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO-PSAT ; - les « N » diffuseurs optiques DIFFRO, pour un adaptateur COMBINED-ADAPT-PSAT ou les « 2 x A » diffuseurs optiques DIFFRO, pour un adaptateur COMBINED-ADAPT-DUO- PSAT.

2. Installations des convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP : Installation de plusieurs convertisseurs optiques CONSOP à raison d’un convertisseur par pseudo-Satellite photonique figurant au sein du système SICOSF. De même, installation de plusieurs convertisseurs optiques CONFROP à raison d’un convertisseur par pseudo-satellite photonique figurant au sein du système SICOSF. Chacun de ces convertisseurs optiques CONSOP et CONFROP est destiné à être relié par une fibre optique à l’interface ICFO du réseau local OPFIBRE-FAN.

VI.E-MÉ THODE DE FABRICATION D’UNE PASSERELLE PHOTONIQUE D’INTERCONNEXION DE DEUX SYSTEMES SICOSF (PPI-REPEATER) La fabrication d’une passerelle photonique d’interconnexion de deux systèmes SICOSF (FIG.212-FIG.213), nécessite l’utilisation de deux adaptateurs ADAPT- COMPFROP (213 ADAPT-COMFROP 1 , 213ADAPT-COMFROP2) tels que fabriqués dans la partie VI.D.2 ci-avant. Ensuite on procède, au moyen d’un coupleur optique (2130PC0UPLER), de la manière suivante :

- a) Les signaux optiques fournis par tous les convertisseurs optiques

CONFROP appartenant à l’un des adaptateurs ADAPT-COMFROP (213ADAPT- COMFROP1) sont mélangés et réparties à tous les convertisseurs optiques CONSOP à l’autre adaptateur ADAPT-COMFROP (213ADAPT-COMFROP2) ; et

- b) Les signaux fournis optiques par tous les convertisseurs optiques

CONSOP appartenant à l’un des adaptateurs ADAPT-COMFROP (213ADAPT- COMFROP2) sont mélangés et réparties à tous les convertisseurs optiques CONFROP de l’autre adaptateur ADAPT-COMFROP (213ADAPT- COMFROP1). VI.F - MÉTHODE D'ATTRIBUTION DES LONGUEURS D'ONDE AUX PSEUDO-SATELLITES D'UN SYSTÈME SICOSF - EXEMPLES D'APPLICATION

VI.F.l - RAPPELS D'ANALYSE COMBINATOIRE VI.F.1.A - Théorème : Soit E et F deux ensembles finis non vides de cardinaux respectifs m et n (m < n), l'ensemble des injections de E dans F est fini et a pour cardinal :

Exemple :

E = (1, 2, ..., m] et F = (xi, ..., x H }

Soit « i » une injection de E dans F : p i(p) = xi(p)

L’image de l’injection « i » de E dans F est i (E) = (xi(i), xi(2), .. xi «>).

VI.F.1.B - Définition : L’image d’une injection « i » de E dans F, s’appelle un arrangement sans répétition de « n » objets xi, ..., x«, « m » à « m ». VI.F.l.C - Théorème : Le nombre des bijections l’ensemble E = ( 1, 2, ..., «} sur un ensemble F = (xi, .. x«} est égale à « « ! ».

C’est une application du théorème du paragraphe VI.F.l.A, au cas m = n.

VI.F.l.D - Définition : Une bijection d’un ensemble fini sur lui-même s’appelle une permutation. VI.F.l.E - Théorème : Le nombre des parties à « » éléments d’un ensemble à « n » éléments est égale à :

VI.F.l. F - Définition : Toute partie à « m » éléments d’un ensemble à « » éléments est appelée combinaison sans répétition de « n » éléments « » à « ». VI.F.l.G - Propriétés :

VI.F.2 - MÉTHODE D’ATTRIBUTION DES LONGUEURS D'ONDE ET D’ÉTALEMENT DU SPECTRE D'ÉMISSION-RÉCEPTION PAR DES SAUTS ADAPTATIFS DE LONGUEUR D'ONDE

VI.F.2.A - Position du problème

Soit L = (li, ..., lhc} l'ensemble des longueurs d'onde d'émission et de réception d'un réseau local ayant un système SICOSF et E = { 1, ..., hc } où « nx » est égal au cardinal de L. Soit « n s » le nombre des pseudo-satellites photoniques du système SICOSF et PST = (PSAT1, PSAT« s } l'ensemble de ces pseudo-satellites.

Le problème consiste à déterminer une partition de l'ensemble des longueurs d'onde L= {h, l«l} dont le nombre des parties soit égal à « n s » pour les attribuer aux « ns » pseudo-satellites PSAT1, PSAT« s afin que ces derniers puissent communiquer sans interférence entre eux, même en effectuant des sauts de longueurs d'onde.

VI.F.2.B - Méthode de Résolution du Problème a) Notation

Soit « i » une bijection de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., lhc} sur lui- même, noté l / ,· ΐ(l*).

D'après le théorème VI.F. l.C, le nombre des bijections est égal à « m. ! ».

En posant i( t) = li«-i où k e ( 1, ..., m , l'image de la bijection « i » sur l'ensemble L= {h, l«l} est un ensemble ordonné ayant nx éléments, i.e. un « «l-uplets », à savoir i (L) = (l ¾ ) , ..., lί( l)). b) Extractions et attribution des sous-ensembles de longueurs d'onde aux « «s » pseudo-satellites PSAT7, PSAT« s Il faut noter la condition nécessaire nx > n & .

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., lhc} s'effectue de la manière suivante :

Soit «i » une bijection quelconque parmi les « nx ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, sur lui- même et i (L) = ( ' l ί/ i, ..., l, ί /. >) son image. b.l) Cas où hc est divisible n : posons n = q n :

On choisit les « «s » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q » éléments. Ce choix est effectué de la manière suivante :

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί ( r, ..., ( q j est attribué au pseudo-satellite photonique PS AT7; il est noté « li^ /) » où ki e { 1, ...

, q} et peut être ordonné et noté « (lί(r, ..., ( q) ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (?+ ) , ..., lί (2?) } est attribué au pseudo-satellite PSAT2 ; il est noté « Li(k ) » où fo e {<7+1, ··· , 2 q} et peut être ordonné et noté « /.Xq />, ..., lί( 2 q) ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {k' iiq.ns - q+\) , ..., (q.na] est attribué au pseudo-satellite PSATm ; il est noté « Li( k«v) » où kns e {(q.m - q+ 1), ... , q.m} et peut être ordonné et noté « (h(q.m, - q i i, ..., (q.na ) ». b.2) Cas où hc n’est pas divisible n : posons nx = q n s + r = q (ns - 1) +q +r où 0 < r < n s

On choisit les « (n s - 1) » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q » éléments, tandis que le sous-ensemble restant aura ( q + r) éléments, de la manière suivante :

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί(r, ..., l^, ) j est attribué au pseudo-satellite photonique PSATi; il est noté « Li( k/) » où ki e { 1, ...

, q} et peut être ordonné et noté « (l ¾ ) , ..., /.ii /) ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (?+2) , a ) ! est attribué au pseudo-satellite PSAT2 ; il est noté « Li (k ) » où ki e {q+ 1, ... , 2q\ et peut être ordonné et noté « (k (q / >, ···, aq ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde \ (q.n - iq \ i, ..., (q .ns- ?)} est attribué au pseudo-satellite « PSAT(ws - 1) » ; il est noté « l^ «n-/) » où kns-i e {(q.ns - 2q+\ ), ..., ( q.ns-q )} et peut être ordonné et noté « ( tq.n

- 2q+l), ..., E(q .ns- q )) »·

Le sous-ensemble des longueurs d'onde { i(q. ns - q+\) , ..., ï.(q.,^ n ] est attribué au pseudo-satellite PSATm ; il est noté « l^ «n) » où kns e {q («s - l)+l, q.ns+r} et peut être ordonné et noté « (htq.ns - q i i, ..., /.ii (/ .«s n) ».

VI.F.2.C - Application de la Méthode à un réseau de communications électroniques ayant un système SICOSF dont la matrice de cellules photoniques CELLiÿ comporte «m » colonnes et « n » lignes où « m = 1 » et « n = 1 » a) Rappel du contexte : Dessins FIG.214 à FIG.227

Le système SICOSF comporte une seule cellule CELLÏ 1 et nous allons nous restreindre au cas n s = 4 et m = 4 et au cas n s = 4 et m = 8. b) Cas n s = 4 et hc = 4 ou hc = 8 : Extractions et attribution des sous-ensembles de longueurs d'onde aux « 4 » pseudo-satellites PSAT-A77, PSAT-B77, PSAT- C77, PSAT-D77 de la cellule unique CELL77

La condition nécessaire m ³ n s est vérifiée. b.l) Cas hc = 4 et n s = 4 => q = 1 :

Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 4 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., Et] sur lui-même et i (L) = (Lii/i, ..., li >) son image.

Le nombre des permutations des « 4 » longueurs d'onde est égale à « 4 ! = 24 » et le nombre des arrangements sans répétition des « 4 » longueurs d'onde « 1 » à « 1 »

, , , A l 4!

est égal a A, = - -— = 4 .

(4 -1)!

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ) \ s'effectue de la manière suivante :

On choisit les « n s = 4 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 1 » élément, ensuite on attribue :

La longueur d'onde « lί(ΐo) » où ki = 1 , i.e. « (h », au pseudo-satellite photonique PSAT-A77.

La longueur d'onde « Li (k 2 ) » où ki = 2, i.e. « <2 ) », au pseudo-satellite photonique PSAT-B77. b.l) Cas » l = 8 et n s = 4 => q = 2

Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 8 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., lb} sur lui-même et i (L) = OMD, ..., h(8)) son image.

Le nombre des permutations des « 8 » longueurs d'onde est égale à « 8 ! = 40320 » et le nombre des arrangements sans répétition des « 8 » longueurs d'onde « 2 » à

2 8'

« 2 » est égal à A = - -— = 56 .

8 (8 -2)!

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., l«} s'effectue de la manière suivante :

On choisit les « n s = 4 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 2 » éléments, ensuite on attribue : - Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liq ) , Liq ) } au pseudo-satellite photonique PSAT-A/ /; il est noté « Li( k/) » où lu <º { 1, 2} et peut être ordonné et noté « (lί(r, lipi) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liq ) , Liq} au pseudo-satellite photonique PSAT-B77; il est noté « >.i( k ) » où lu e {3, 4} et peut être ordonné et noté « (lί(3), li >) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί ( >, Liq ) } au pseudo-satellite photonique PS AT-Ci 2; il est noté « Li( kj) » où Âo e {5, 6} et peut être ordonné et noté « (l^, /M ») ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (7 >, < K) au pseudo-satellite photonique PSAT-D/ /; il est noté « < U) » où lu e {7, 8} et peut être ordonné et noté « (lί(7), lί(«) ».

VI.F.2.D - Application de la Méthode à un réseau de communications électroniques ayant un système SICOSF dont la matrice de cellules photoniques CELLï/ comporte «m » colonnes et « n » lignes où « m = 2 » et « n = 1 » a) Rappel du contexte : Dessins FIG.228 à FIG.234 Le système SICOSF comporte deux cellules CE LL// et CELL27 et nous allons nous restreindre au cas n s = 8 et m = 8 et au cas n s = 8 et m = 16. b) Cas n s = 8 et hc = 8 ou hc = 16 : Extractions et attribution des sous- ensembles de longueurs d'onde aux « 8 » pseudo-satellites PSAT-A77, PSAT- B77, PSAT-C77, PSAT-D77 et PSAT-A27, PSAT-B27, PSAT-C27, PSAT-D27

La condition nécessaire ni ³ n s est vérifiée. b.l) Cas hc = 8 et n s = 8 => q = 1 :

Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 8 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., l«} sur lui-même et i (L) = (Lii/i, ..., lί(«) son image.

Le nombre des permutations des « 8 » longueurs d'onde est égale à « 8 ! = 40320 » et le nombre des arrangements sans répétition des « 8 » longueurs d'onde « 1 » à

, 8'

« 1 » est égal à A = - -— = 8 .

8 (8-1)!

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., l«} s'effectue de la manière suivante :

On choisit les « n s = 8 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 1 » élément, ensuite on attribue :

La longueur d'onde « Li( k/) » où ki = 1, i.e. « Liçz ) », au pseudo-satellite photonique PSAT-A77.

La longueur d'onde « Li (k 2 ) » où ki = 2, i.e. « <2 ) », au pseudo-satellite photonique PSAT-B77.

La longueur d'onde « Lin ) » où ks = 5, i.e. « lί (5 > », au pseudo-satellite photonique PSAT-D77.

La longueur d'onde « Li (k6) » où /« = 6, i.e. « < 6) », au pseudo-satellite photonique PSAT-C77.

La longueur d'onde « Li (k 7 ) » où h= 7, i.e. « lί (7 > », au pseudo-satellite photonique PSAT-D27.

La longueur d'onde « Li (k s ) » où ks = 8, i.e. « ( S) », au pseudo-satellite photonique PSAT-C2/. b.2) Cas » l = 16 et n s = 8 => q = 2 :

Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 16 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., lΐό} sur lui-même et i (L) = Gui , ..., / i >) son image. Le nombre des permutations des « 16 » longueurs d'onde est égale à « 16 ! = 20 922 789 888 x 10 3 » et le nombre des arrangements sans répétition des

« 16 » longueurs d'onde « 2 » à « 2 » est égal à A 3 = = 240.

16 (16 -2)!

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., lΐό} s'effectue de la manière suivante : On choisit les « n s = 8 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 2 » éléments, ensuite on attribue :

Le sous-ensemble des longueurs d'onde au pseudo-satellite photonique P S AT- Ai 2; il est noté « Li( k/) » où ki e {1, 2} et peut être ordonné et noté « (lί(r, ' /UD) ».

- Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lίm ) , lί^} au pseudo-satellite photonique PSAT-B77; il est noté « >.i( k ) » où lu <º {3, 4} et peut être ordonné et noté « (lί(3), / 4 ) ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (5 >, lί (6 >} au pseudo-satellite photonique PSAT-A2/; il est noté « Li( kj) » où ki e {5, 6} et peut être ordonné et noté « (l^, ht / , ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (7 >, h< H | au pseudo-satellite photonique PSAT-B2/; il est noté « k /U) » où lu e {7, 8} et peut être ordonné et noté « (lί(7), h(s) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde ίli^ ) , Liq» ) } au pseudo-satellite photonique PSAT-D/ /; il est noté « Li (k 5 ) » où ks e {9, 10} et peut être ordonné et noté « (lί( ¾ i, l,aί») ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liqq, h^n} au pseudo-satellite photonique PSAT-C7 /; il est noté « Li (k6) » où /« e { 11, 12} et peut être ordonné et noté « QÙ(U), k(n )) ».

- Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liq ) , }M au pseudo-satellite photonique PSAT-D27; il est noté « Li (k 7 ) » où L e { 13, 14} et peut être ordonné et noté « (lί< % lΐί«>) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί^, ae au pseudo satellite photonique PSAT-C27; il est noté « Li (k s ) » où ks e { 15, 16} et peut être ordonné et noté « (lί(u), l ¾ ¾ ) ». VI.F.2.E - Application de la Méthode à un réseau de communications électroniques ayant un système SICOSF dont la matrice de cellules photoniques CELLiÿ comporte «m » colonnes et « n » lignes où « m = 2 » et « n = 2 » a) Rappel du contexte : Dessins FIG.235 à FIG.241

Le système SICOSF comporte quatre cellules CELL/ /, CELL27, CELL72, CELL22 et nous allons nous restreindre au cas n·, = 16 et m = 16 et au cas n s = 16 et m = 32. b) Cas n s = 16 et hc = 16 ou hc = 32 : Extractions et attribution des sous- ensembles de longueurs d'onde aux « 16 » pseudo-satellites PSAT-A77, PSAT- B77, PSAT-C77, PSAT-D77 et PSAT-A27, PSAT-B27, PSAT-C27, PSAT-D27 et PSAT-A72, PSAT-B72, PSAT-C72, PSAT-D72 et PSAT-A22, PSAT-B22, PSAT-C22, PSAT-D22

La condition nécessaire m ³ n s est vérifiée. b.l) Cas hc = 16 et n s = 16 => q = 1 :

Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 16 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, ..., lΐό} sur lui-même et i (L) = (Lii/i, ..., a ) son image.

Le nombre des permutations des « 16 » longueurs d'onde est égale à « 16 ! = 20 922 789 888 x 10 3 » et le nombre des arrangements sans répétition des

, 16'

« 16 » longueurs d'onde « 1 » à « 1 » est égal à A, = - -— = 16 .

16 (16 -1)!

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., lΐό} s'effectue de la manière suivante :

On choisit les « n s = 16 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 1 » élément, ensuite on attribue :

La longueur d'onde « Li (k p » où ki = 1, i.e. « h(i ) », au pseudo-satellite photonique P S AT- Ai 1.

La longueur d'onde « lί^ » où lu = 2, i.e. « h<2 ) », au pseudo-satellite photonique PSAT-Bii.

La longueur d'onde « lί^ » où ks = 5, i.e. « lί (5 > », au pseudo-satellite photonique PSAT-Dii.

La longueur d'onde « l^ 6) » où /« = 6, i.e. « < 6) », au pseudo-satellite photonique PSAT-Cii.

La longueur d'onde « lί^ ) » où kç = 9, i.e. « < </) », au pseudo-satellite photonique P S AT- Ai 2.

La longueur d'onde « < i ) » où kio 10, i.e. « ί(ΐo) », au pseudo- satellite photonique PSAT-B22.

La longueur d'onde « >.i k//) » où ku 11, i.e. « lϊ ( ) », au pseudo- satellite photonique PSAT-A22.

La longueur d'onde « lί^ ) » où kn 12, i.e. « lϊ( 2) », au pseudo- satellite photonique PSAT-B22.

La longueur d'onde « lί^ ) » où kn 13, i.e. « /.i ( 7 ) », au pseudo- satellite photonique PSAT-D/2.

La longueur d'onde « » où ku 14, i.e. « lί(ΐ ) », au pseudo- satellite photonique PSAT-C/2.

La longueur d'onde « >.ii k/5) » où ku, 15, i.e. « lί(75) », au pseudo- satellite photonique PSAT-D22.

La longueur d'onde « lί^ ό) » où ki6 16, i.e. « lί(76) », au pseudo- satellite photonique PSAT-C22. b.2) Cas n % = 32 et n s = 16 => q = 2 : Soit « i » une bijection quelconque parmi les « 32 ! » bijections de l'ensemble des longueurs d'onde L = (li, /.n } sur lui-même et i (L) = (lί(r, /un ) son image.

Le nombre des permutations des « 32 » longueurs d'onde est égale à « 32 ! = 2.6313083693369 x 10 35 » et le nombre des arrangements sans répétition des « 32 » longueurs d'onde « 2 » à « 2 » est égal

L'extraction des sous-ensembles de longueurs d'onde formant une partition de l'ensemble L = (li, ..., /.n\ s'effectue de la manière suivante :

On choisit les « n s = 16 » sous-ensembles des longueurs d'onde de façon à ce qu'ils aient chacun « q = 2 » éléments, ensuite on attribue :

Le sous-ensemble des longueurs d'onde au pseudo-satellite photonique P S AT- Ai 2; il est noté « Li( k/) » où ki e {1, 2} et peut être ordonné et noté « (lί(r, lipi) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lίm ) , t 4 ) } au pseudo-satellite photonique PSAT-B77; il est noté « >.i( k ) » où lu e {3, 4} et peut être ordonné et noté « (lί(3), /U4 ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (5 >, lί (6 >} au pseudo-satellite photonique PSAT-A2/; il est noté « Li( kj) » où kt e {5, 6} et peut être ordonné et noté « (l^, ht / , ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde { <7 ) , lί ( « ) } au pseudo-satellite photonique PSAT-B2/; il est noté « lί (M > » où lu e {7, 8} et peut être ordonné et noté « (lί(7), (s) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί ( 9 ) , Liq» ) } au pseudo-satellite photonique PSAT-D/ /; il est noté « Li (k 5 ) » où ks e {9, 10} et peut être ordonné et noté « (lί( ¾ i, ' /uit») ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liqq, l^} au pseudo-satellite photonique PSAT-C7 /; il est noté « Li (k6) » où /« e { 11, 12} et peut être ordonné et noté « ( i(ii), ht//) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liq ) , } Ù au pseudo-satellite photonique PSAT-D27; il est noté « Li (k 7 ) » où L e { 13, 14} et peut être ordonné et noté « (ki(i3), t ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {Liq5 j , ath au pseudo satellite photonique PSAT-C2/; il est noté « Li (k s ) » où ks e { 15, 16} et peut être ordonné et noté « (Liq ), /uir,) ». Le sous-ensemble des longueurs d'onde i(i7), h(is)} au pseudo satellite photonique PSAT-A/2 ; il est noté « Li (k9) » où kç e { 17, 18} et peut être ordonné et noté

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί (ϋ>) , h(2(> ) ! au pseudo satellite photonique PSAT-B/2 ; il est noté « l^ / « ) » où kio e { 19, 20} et peut être ordonné et noté « (lί (i9), lί^o)) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {h(2i), h(22) ! au pseudo satellite photonique PSAT-A22 ; il est noté « Li k//) » où kn e {21, 22} et peut être ordonné et noté « (lί( 2 r, lί( 22 ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {hw, h<24) ! au pseudo satellite photonique PSAT-B22 ; il est noté « Li (k 2) » où kn e {23, 24} et peut être ordonné et noté « (lί(23), lί(¾)) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί( 2 5>, h<26) ! au pseudo satellite photonique PSAT-D /2 ; il est noté « Li k/j) » où kn e {25, 26} et peut être ordonné et noté « (lί^, ' /nir») ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {h(27 ) , h(2«) } au pseudo satellite photonique PSAT-C72 ; il est noté « h(ui 4) » où ku e {27, 28} et peut être ordonné et noté « (lί( 27) , ha*)) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {h(29), h<30) } au pseudo satellite photonique PSAT-D22 ; il est noté « >.i k/5) » où kn e {29, 30} et peut être ordonné et noté « (lί( 2r) , lί^o ) ».

Le sous-ensemble des longueurs d'onde {lί », heu ) j au pseudo satellite photonique PSAT-C22 ; il est noté « Li (k/6) » où ki6 e {31, 32} et peut être ordonné et noté « (lί^r, /n ) ».

VI.F.2.F - Application de la Méthode à un réseau de communications électroniques ayant un système SICOSF dont la matrice de cellules photoniques CELLiÿ comporte «m » colonnes et « n » lignes où « m = 2 » et « n = 4 » a) Rappel du contexte : Dessins FIG.242 à FIG.243

Le système SICOSF comporte huit cellules CELLÏ 1, CELL27, CELL/2, CELL22 et CELL/3, CELL23, CELL14, CELL24. Ces « 8 » cellules possèdent chacune « 4 » pseudo-satellites photoniques, soit au total « 32 » pseudo-satellites photoniques pour le système SICOSF. b) Application de la Méthode

Il suffit de considérer un tel système SICOSF comme étant une juxtaposition de deux sous-systèmes SICOSF identiques, ayant chacun « m = 2 » colonnes et « n = 2 » lignes, et attribuer à chacun des « 2 » sous-systèmes SICOSF un ensemble de longueurs d'onde selon la méthode développée ci-avant à la section VI.F.2.E. En d'autres termes, il suffit de considérer les cellules CELL// et CLEL21, CLEL12 et CELL22 comme appartenant à l'un desdits sous-systèmes SICOSF et les cellules CELL/ J et CELL23, CELL 14 et CLEL24 à l'autre ; les pseudo-satellites photoniques des cellules CELL 11 et CELL/ J auront les mêmes longueurs d'onde ; les pseudo-satellites photoniques des cellules CLEL21 et CELL 23 auront les mêmes longueurs d'onde ; les pseudo-satellites photoniques des cellules C E L L / 2 et C LLL 14 auront les mêmes longueurs d'onde ; les pseudo-satellites photoniques des cellules CELL22 et CLLL24 auront les mêmes longueurs d'onde.

VI.F.3 - CONCLUSIONS

Avec la présente méthode, quel que soit le nombre « m > 2 » des colonnes et le nombre « n > 2 » des lignes d'un système SICOSF quelconque, on le décompose en une juxtaposition de plusieurs sous-systèmes SICOSF ayant chacun des cellules réparties sur « 2 » colonnes et « 2 » lignes, comme ci-avant à la section VI.F.2.F ; ensuite : a) Il suffit d'utiliser « 16 » longueurs d'onde distinctes si l'on veut, par exemple, avoir des communications bidirectionnelles par des rayonnements optiques de même longueur d'onde, sans interférence entre les pseudo-satellites photoniques des différentes cellules et avec des possibilités de sauts de longueurs d'onde, pour l'ensemble des pseudo-satellites photoniques du système SICOSF, par des permutations dont le nombre est égal à « 16 ! = 20 922 789 888 x 10 3 ». Pour chaque pseudo-satellite photonique, le nombre des arrangements sans répétition des

« 16 » longueurs d'onde « 1 » à « 1 » est égal

b) Il suffit d'utiliser « 2 x 16 = 32 » longueurs d'onde distinctes si l'on veut, par exemple, avoir des communications bidirectionnelles par des rayonnements optiques ayant « 2 » longueurs d'onde distinctes, sans interférence entre les pseudo satellites photoniques des différentes cellules et avec des possibilités de sauts de longueurs d'onde, pour l'ensemble des pseudo-satellites photoniques du système SICOSF, par des permutations dont le nombre est égal à « 32 ! = 2.6313083693369 x 10 35 ». Pour chaque pseudo-satellite photonique, le nombre des arrangements sans répétition des « 32 » longueurs d'onde « 2 » à « 2 »

32!

est égal à A 32 = = 992.

(32 -2) c) En généralisant, il suffit d'utiliser « 16p » longueurs d'onde distinctes si l'on veut, par exemple, avoir des communications bidirectionnelles par des rayonnements optiques ayant « p » longueurs d'onde distinctes, sans interférence entre les pseudo satellites photoniques des différentes cellules et avec des possibilités de sauts de longueurs d'onde, pour l'ensemble des pseudo-satellites photoniques du système SICOSF, par des permutations dont le nombre est égal à « (16p) ! ». Pour chaque pseudo-satellite photonique, le nombre des arrangements sans répétition des

« 167 » longueurs d'onde «p » à «p » est égal