Touche multi-directions décrivant vingt-huit trajets détectés. La présente invention concerne les touches à saisir, par manipulations successives, les textes et toutes les autres données : des ordinateurs mobiles portables et de poche ( PDA) ainsi que de ceux fixes de bureau - des téléphones mobiles de poche ( GSM), des photomobiles et des consoles de jeux de poche et fixes des appareils à effectuer des opérations de calcul ( calculettes de poche utilisables de mémoire dans l'obscurité) des télécommandes audiovisuelles, d'ouverture des portes des véhicules et des locaux ( secret des manipulations indéchiffrables à proximité qui peuvent être exécutées de mémoire dans l'obscurité en composant un code par mot et ou par nombre des appareils distributeurs de valeurs accessibles à partir de lieux publics fixes ( secret des saisies des codes) des appareils spécifiques pour aveugles et mal voyants ( saisies mnémotechniques sensitives et de mémoire) des appareils d'assistance de la conduite des véhicules ( saisies mnémotechniques de mémoire d'un grand nombre de fonctions sans devoir détourner l'attention du conducteur) Dans les touches multi-directions de ce genre qui sont connues, il existe : -le gros bouton « i DRIVE » de l'entreprise automobile BMW à manipuler en le serrant entre les extrémités des doigts pour le pousser latéralement dans huit directions rectilignes en étoile ( rayons) : chacune de ces directions étant détectée en générant un signal de présélection d'un groupe de fonctions en facilitant ainsi la navigation sur écran et cela , en détournant négativement le regard du conducteur vers ce bouton et aussi vers l'écran à visionner à chaque manipulation -et les joysticks très répandus ( GSM, consoles de jeux ) ; ils sont chacun à quatre directions rectilignes en croix à poussée plongeante en fin de course de manipulation Les inconvénients des touches poussoirs des claviers étendus existants ( Querty et Azerty) des ordinateurs fixes et portables sont dûs aux faits : -qu'elles nécessitent, pour être bien adaptées aux doigts, de larges déplacements successifs des deux mains, -que le boîtier sur lequel elles sont implantées doit être posé sur un support stable ou , à défaut, sur l'appui formé par les deux genoux et cela, avec une diminution de la dissipation calorifique des circuits des portables -et que les manipulations doivent être exécutées avec un maintien corporel adéquat et exigeant ( ergonomie des sièges des dactylos) et cela, en concordance avec les habitudes sédentaires et lointaines des frappes sur machine à écrire développées afin de bien répartir trois rangées courbes de leviers mécaniques ( Remington 1874) Les inconvénients des touches poussoirs des claviers réduits existants ( Querty et Azerty) des ordinateurs de poche ( PDA) et des terminaux ( GSM d'écriture) sont dûs aux faits : qu'elles sont trop petites et trop peu écartées et donc mal adaptées aux doigts des adultes , qu'elles nécessitent leur illumination dans l'obscurité ( au détriment de l'autonomie) et une bonne acuité visuelle ( mal voyants âgés) pour les toucher et cela, séparément lors des déplacements successifs limités souvent à un seul doigt manipulateur ( l'index) L'inconvénient supplémentaire commun aux touches poussoirs des claviers existants est dû au fait que leurs manipulations sont déchiffrables à faible distance par les yeux et les caméras ( en nombre croissant) indiscrètes (passagers des véhicules sur terre et air assis côte à côte, caméras installées aux abords des distributeurs de billets bancaires) La touche multi-directions décrivant vingt-huit trajets détectés , permet de remédier aux inconvénients des touches existantes mécaniques à bouton poussoir , des touches tactiles affichées sur écran , des touches « joystick » limitées chacune à quatre directions rectilignes en croix et aussi des gros boutons « i DRIVE » de l'entreprise BMW limités chacun à huit directions rectilignes en étoile aux huit entrées trop proches l'une de l'autre. ElIe comporte en effet : ** un équipage à mobilité latérale qui comprend lui-même : = une tête mobile glissante et ou tournante sur elle-même dont la paroi du sommet est adhérente et ou creusée par une concavité ( 36) , qui est à dactylo-entraîner latéralement et dont la valeur de la surface accessible est égale ou supérieure à 250 mm2 et cela, en adaptation ergonomique aux grosseurs des bouts de doigt des adultes et des enfants qui sont susceptibles de rester posés pendant les longs laps de temps des saisies de textes ou d'autres données ; cette tête mobile ayant la forme plate ( 35 fig.2) en étant seulement glissante ou roulante parallèlement à la surface supérieure de son boîtier à tenir à la main ou entre les deux mains ou ayant la forme d'un rotor en étant tournante sur elle-même entre les butées d'arrêt de sa queue mobile ( 37) tout en étant glissante par ses deux tourillons entre ses coussinets dans les limites de son jeu axial fonctionnel ou encore ayant la forme d'une boule en étant seulement tournante dans son logement et cela, selon les limites des mouvements orthogonaux de sa queue mobile ( 37) entre ses butées d'arrêt = et une queue mobile ( 37) qui prolonge la base de la tête mobile ( 35) et dont la section propre est égale ou inférieure à 25 mm2 et cela , en adaptation, d'une part ergonomique, aux flexions successives minimales du doigt manipulateur posé sur la tête mobile ( 35) et d'autre part, aux possibilités croissantes de miniaturisation des composants mécaniques et électroniques des appareils portables , de poche et de poignet ; cette queue mobile ( 37) étant moulée d'un seul tenant avec la tête mobile ( 35) en formant un ensemble « tête — queue » indissociable ou étant reliée par un moyen d'attache rigide ou élastique ( couronne interne en matière élastomère) = et un moyen de monture permettant la mobilité latérale de l'ensemble « tête-queue » ; ce moyen de monture étant adapté à la forme de tête mobile : tourillons et coussinets pour celle de forme cylindrique, logement sphérique pour celle en forme de boule ( boule des souris d'ordinateurs ) , glissières constituées par des couches pelliculaires glissantes pour celles de forme plate ou selon la variante d'exécution mécanique présentée à la figure 2 , le patin roulant à bille ( 42 ) , la semelle de roulement ( 43 ) qui supporte la poussée plongeante exercée par le bout du doigt manipulateur et la feuille plissée ( 44) en matière élastomère = et un moyen élastique sensitif de rappel ( 44) de la queue mobile ( 37) en position centrale de repos qui est à effet permanent - A - ** et un dispositif d'engagement de la queue mobile ( 37) , tour à tour, dans quatre ouvertures en deux étapes distinctes de progression pour chaque trajet sensitif détecté : ce dispositif d'engagement est constitué : = par une plaque mobile ( 39) entaillée en croix dans toute son épaisseur par quatre ouvertures d'engagement serré de première étape de la queue mobile ( 37) dont la position centrale de repos est située à égale distance des entrées évasées des quatre ouvertures d'engagement serré de première étape, chaque ouverture d'engagement serré de première étape est formée par trois côtés de délimitation qui ont des longueurs égales et qui ont chacun la fonction de bordure-poussoir , l'une du fond et les deux autres de côté = et par une plaque fixe ( 41) entaillée en croix dans toute son épaisseur par quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape qui sont donc respectivement plus larges ( 1 mm) et plus profondes ( 1 mm) et respectivement superposées , en correspondance, avec celles d'engagement serré de première étape de la plaque mobile (39) , chaque ouverture d'engagement lâche de seconde étape est formée par trois côtés de délimitation qui ont des longueurs égales et qui ont chacun la fonction de bordure-butoir l'une du fond et les deux autres de côté = et par un moyen élastique sensitif d'appui et de rappel en position normale de première étape de la plaque mobile ( 39) ( quatre piliers élastiques de soutien ( 40) ) qui est à effet momentané et qui augmente brusquement l'entrave ( additionnelle à celle à effet permanent) à la progression latérale de la queue mobile ( 37) ressentie par le bout du doigt manipulateur posé dans la concavité ( 36) de la tête mobile ( 35) et cela, au moment où la queue mobile ( 37), qui est déjà engagée par son glissement à partir de sa position centrale de repos dans sa position de première étape entre les trois bordures-poussoirs de délimitation de l'une des quatre ouvertures d'engagement serré de première étape entaillée dans la plaque mobile ( 39) , commence à se diriger , en début de la seconde étape , vers l'une des trois bordures-butoirs de délimitation de l'ouverture d'engagement lâche de seconde étape ( 25 ou 26 ou 27 ou 28) ; la résistance antagoniste d'entrave à la progression latérale de la queue mobile ( 37) du moyen élastique sensitif de rappel ( 40) pour atteindre , en fin de trajet sensitif, une bordure-butoir du fond étant de valeur supérieure à celle ressentie pour atteindre une des deux bordures-butoirs de côté ( conformation concentrique de chacun des quatre piliers élastiques de soutien ( 40) de la plaque mobile ( 39) , distance latérale ( lmm) entre les deux bordures (poussoir et butoir) superposées du fond et distance latérale ( 0,5 mm) entre deux bordures ( poussoir et butoir) superposées de côté ) . Les bordures -butoirs de chacune des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape ( 25, 26, 27 et 28) sont atteintes, en générant un signal déterminé de fin de trajet sensitif simple , en ligne droite pour les quatre du fond et après bifurcation pour les huit de côté et cela, en sens anti-horlogique pour quatre d'entre elles et en sens horlogique pour les quatre autres de côtés opposés ** et un dispositif de détections séparées d'arrivée de la queue mobile (37) contre chacune des douze bordures-butoirs ( 1 à 12) des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape en fin de trajet sensitif ; chacune des détections séparées étant obtenue - par modification ponctuelle d'un état électrique ( plots-butées ( 1 à 12) de contact électrique emboîtés chacun sur une bordure-butoir et sur une fin de piste conductrice de l'électricité d'une plaque mobile ( 39) de circuit imprimé entaillée par quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape ) - ou par modification d'un état optoélectronique ( interruption ou réflexion d'un rayon infrarouge) - ou par détection globale ( caméra interprétant les dactylo-entraînements de l'équipage à mobilité latérale - ou par reconnaissance des tracés sur un écran tactile d'une pointe terminant l'extrémité inférieure de la queue mobile ( 37) et passant outre du fond du boîtier de la touche multi-directions - ou encore par un autre moyen de détections séparées ** et un circuit global de traitement électronique combinatoire des douze trajets sensitifs simples et des seize trajets sensitifs combinés détectés = les douze bordures-butoirs ( 1 à 12), atteintes en fin de trajet sensitif simple de la queue mobile ( 37), ont des emplacements mnémotechniques qui correspondent aux emplacements, sur un cadran de montre ou d'horloge, des douze chiffres des heures ( 1 à 12 ou 13 à 24) . ° les quatre bordures-butoirs du fond, emplacées aux heures 12 ou 24, 3 ou 15, 6 ou 18 et 9 ou 21 , sont atteintes en ligne droite sans arrêt et cela, respectivement vers le haut, vers la droite, vers le bas et vers la gauche en passant outre de chaque résistance antagoniste d'entrave à la progression latérale ( distance 1 mm) de la «queue mobile (37) du moyen sensitif d'appui et de rappel ( 40) 0 les huit bordures-butoirs de côté, emplacées par couple de part et d'autre d'une bordure-butoir du fond aux heures 11 ou 23 et 1 ou 13 ou 2 ou 14 et 4- ou 16 , 5 ou 17 et 7 ou 19 et 8 ou 20 et 10 ou 22 , sont atteintes chacune après bifurcation en sens anti-horlogique pour générer le signal déterminé correspondant au chiffre de l'heure du rang précédent celui de la bordure-butoir du fond ayant été atteinte seulement dans l'ouverture d'engagement serré de première étape et en sens horlogique pour générer le signal déterminé correspondant au chiffre de l'heure du rang suivant celui de la bordure-butoir du fond ayant été atteinte seulement dans l'ouverture cl' engagement serré de première étape et donc sans vaincre la résistance antagoniste momentanée du moyen sensitif d'appui et de rappel ( 40) ressentie par le bout du doigt manip-ulateur = les seize trajets sensitifs combinés à exécuter supplémentairement a.nx douze trajets sensitifs simples ( vingt-huit en tout) aboutissent chacun à deux bordu*res-butoirs contigues d'une même ouverture lâche de seconde étape qui sont donc disposées à angle droit et cela, avec un ordonnancement prédéterminé en correspondance avec le caractère ou la donnée déterminée à saisir ; l'une des deux bordures-butoirs étant atteinte « en premier » et l'autre étant atteinte « en second » sans relâcher la poussée latérale du bout du doigt manipulateur pendant le glissement de la queue mobile ( 37) en continuant donc à maintenir le contact établi « en premier » de façon à obtenir et à détecter la simultanéité de contact entre la queue mobile ( 37) et les deux bordures-butoirs contigues atteintes dans l'ordre de succession prédéterminé détecté aussi avant Le relâchement de la poussée latérale du bout du doigt en fin d'un trajet sensitif combiné ( les deux bordures-butoirs sont recouvertes chacune d'un plot-butée de contact électrique relié à l'extrémité d'une piste de circuit imprimé ( 41) et la queue mobile ( 37) est portée au niveau électrique de référence 1 dans la variante d'exécution de la fig-2 avec détection par modification ponctuelle d'un état électrique) 0 douze des seize trajets sensitifs combinés mnémotechniques sont exécutés par l'atteinte « en premier » de la bordure-butoir qui est identifiée par le chiffre de 13 à 24 de son emplacement mnémotechnique horaire correspondant au chiffre d'id&jntification ( de 13 à 24) du caractère ou de la donnée à saisir et ensuite par l'atteinte « e_n second » , de la bordure-butoir qui est contigue à celle atteinte « en premier » et cela, par glissement sans relâchement de la queue mobile ( 37) ; cette atteinte étant exécutée par bifurcation en sens horlogique pour les bordures-butoirs du fond ayant été atteintes « en premier » et identifiées par les chiffres 24 , 15 , 18 et 21 ( en conséquence de l'alternative entre sens horlogique et anti-horlogique de fin de parcours ) 0 quatre des seize trajets sensitifs combinés ( sans relation horaire courante) sont exécutés par l'atteinte « en premier » de l'une des quatre bordures-butoirs du fond des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape ( 25 ou 26 ou 27 ou 28 de la figure 2 ) et ensuite par l'atteinte « en second » de la bordure-butoir qui est contigue à celle atteinte « en premier » et cela, par bifurcation en sens anti-horlogique ; les identifications des quatre caractères ou données à saisir étant celles 25 , 26 , 27 et 28 des rangs qui suivent les 24 chiffres horaires et qui sont en correspondance avec les chiffres 25, 26, 27 et 28 d'identification des quatre ouvertures disposées en croix. + Selon une variante d'exécution du dispositif des détections séparées d'arrivée de la queue centrale mobile ( 37), les douze bordures-butoirs ( 1 à 12) de fin de trajet sensitif sont recouvertes respectivement de douze plots-butée ( 1 à 12) de contact électrique emboîtés chacun en fin d'une piste de circuit imprimé ( 41) et selon une variante d'exécution du circuit global de traitement électronique combinatoire des douze trajets sensitifs simples et des seize trajets sensitifs combinés détectés par la touche multi-f onctions, les groupes de trois plots-butée de contact électrique implantés dans chacune des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape 25, 26, 27 et 28 sont respectivement reliés aux quatre circuits identiques de traitement électronique combinatoire élaborés chacun pour la reconnaissance de trois simples détections et de quatre détections combinatoires à deux contacts électriques détectés d'abord dans un ordre défini l'un « en premier » et le suivant « en second » et ensuite détectés « simultanément » ; l'un de ces quatre circuits identiques de traitement électronique combinatoire est représenté par le schéma électronique de la figure 1 relatif à l'ouverture d'engagement lâche 25 localisée en haut de l'axe longitudinal du boîtier sur lequel est implantée la touche multi-fonctions. 0 Ce circuit électronique relatif à l'ouverture 25 comporte trois circuits bistables d'attente Q 11, Q 12 et Q 1 ( mémoires à bascule RS) qui sont remis à zéro par la transmission de chacun des sept signaux de sortie et cela, en S 25, en S 11, en S 23, en S 12, en S 24, en S 1 et en S 13 et dont chacune des sorties propres complémentaires Q > est donc, à l'état normal ( remise à zéro), portée au niveau de référence « 1 » et cela, en rendant passant les trois circuits de porte « ET » H Il, H 12 et H 1 ; dans cet état normal, la fermeture d'un contact électrique P 11 ou P 12 ou P 1 provoque la mise en mémoire d'un circuit bistable d'attente correspondant Q 11, Q 12 ou Q 1 et conséquemment l'inhibition de deux des trois portes H 11, H 12 et H 1 en attente de la réouverture du seul et même contact électrique pour saisir le caractère ( 1 à 12) qui correspond à un trajet sensitif simple ou en attente de la fermeture « en second » d'un des deux autres contacts tout en laissant en contact celui fermé « en premier » ( états simultanés ) pour saisir le caractère ( 13 à 28) qui correspond à un trajet sensitif combiné ° Chacun des trois contacts électriques P 11, P12 et P 1 est résistif ( R Il, R12 et R 1 ) et est dû à la poussée de la queue centrale mobile ( 37) portée au niveau 1 contre un plot-butée ( 1 à 12) en matière élastomère conductrice résistive de l'électricité. ° La mise en mémoire commune d'un seul circuit bistable d'attente Q 11 ou Q 12 ou Q 1 , par son entrée « S » à chacune des vingt-huit saisies d'un caractère différent, est réalisée via le circuit de porte « ET » N 11 ou N 12 ou N 1 et via le circuit monostable 1 11 ou 1 12 ou I I déclenché par le flanc positif de la fermeture de l'un des contacts électriques P 11 ou P 12 ou P 1 en générant une impulsion permettant la remise à zéro directe du circuit bistable d'attente par son entrée « R » et cela, pendant l'ouverture de son contact P 11, Pl2 ou P 1 fermé « en premier ». * Etats logiques successifs qui suivent la mise en mémoire commune du seul circuit bistable Q 11, Q 12 ou Q 1 et cela, pour traiter les trois trajets sensitifs simples de l'ouverture périphérique 25 : ° Dans l'état conservé de mise en mémoire du circuit bistable d'attente, l'ouverture du seul et même contact électrique P Il ou P 12 ou Pl génère, en correspondance, un signal de sortie déterminé de caractère à saisir en S 11 ou en S 12 ou en S 1 et cela, à partir de la porte logique correspondanteK 11 ou K 12 ou K 1 via la sortie « Q » portée au niveau « 1 » et via le circuit monostable L Il ou L 12 ou L l déclenché par le flanc négatif du signal provoqué par l'ouverture du seul et même contact électrique P 11 ou P 12 ou P 1 ; le circuit monostable F Il ou F 12 ou F l déclenché par le flanc positif transmet un signal mis en forme à la sortie S 11 ou S 12 ou S 1 ainsi qu'à une des entrées de porte logique « OU » O 11 ou O 12 ou O 1 dont la sortie reliée à une entrée « R » d'un des circuits bistables d'attente Q 11 ou Q 12 ou Q 1 provoque sa remise à zéro. *Etats logiques successifs qui suivent la mise en mémoire commune du seul circuit bistable d'attente Q 11 ou Q 12 ou Q 1 et cela, pour traiter les quatre trajets sensitifs combinés de l'ouverture périphérique 25 : ° Dans l'état conservé du circuit bistable d'attente mis en mémoire, par la fermeture « en premier » de l'un des contacts électriques P 11 ou P 12 ou P 1 qui a porté au niveau « 1 » une entrée de porte logique « ET » D 25 ou D 23 ou D 24 ou D 13 via sa sortie « Q » , la fermeture « en second » , du contact contigu à celui fermé « en premier » , porte au niveau 1 la deuxième entrée de la porte logique « ET » D 25 ou D 23 ou D 24 ou D 13 correspondante au caractère ou à la donnée à saisir et cela, en transmettant un signal de sortie en S 25 ou en S 23 ou en S 24 ou en S 13 qui est mis en forme par l'un des circuits monostables F 25 ou F 23 ou F 24 ou F 13 ; ce même signal de sortie remettant à zéro l'entrée « R » du circuit bistable d'attente qui a été mis en mémoire par la fermeture « en premier » de son contact électrique de commande P 11 ou P 12 ou P 1 et cela via la porte logique « OU » O 11 ou O 12 ou O 1 dont la sortie est connectée à sa propre entrée « R » et cela avant l'ouverture du contact P Il ou P 12 ou P l correspondant au circuit bistable d'attente mis en mémoire Q Il ou Q 12 ou Q l qui, dans le cas contraire, transmettrait un signal de sortie en S 11 ou en S 12 ou en S 1 . Selon la variante d'exécution représentée à la figure 2 , * l'équipage à mobilité latérale ( vue en coupe) comporte : 0 une tête mobile ( 35) qui est de forme plate et ronde ( diamètre : 19 mm) incurvée à son sommet par une concavité ( 36) et qui est seulement roulante parallèlement à la paroi supérieure du boîtier dans lequel est implantée la touche multi-directions ° et une queue mobile ( 37) de section ronde diamètre : 3 mm) qui est moulée d'un seul tenant avec, à son extrémité supérieure, la tête mobile ( 35 ) et avec, à son extrémité inférieure, le patin roulant ( 42) à cinq billes dont celle centrale, de niveau inférieur par rapport à celui des quatre autres, rentre dans le logement central ( 49) pratiqué dans la semelle de roulement ( 43) et cela, à la position centrale de repos de la queue mobile (37) qui est ainsi rendue précise ( entre les entrées évasées des quatre ouvertures d'engagement serré de la plaque mobile ( 39 ) ) et sensitive au doigt manipulateur posé sur la tête mobile ( 35) ° et un moyen de monture permettant la mobilité latérale de l'ensemble « tête-queue- patin » qui est formé : - par une semelle de roulement ( 43) qui supporte le patin roulant ( 42) et ainsi la poussée plongeante exercée par le bout de doigt posé sur le sommet de la tête mobile ( 35) - et par une double feuille plissée ( 44) en matière élastomère dont les bords des plis opposés sont réunis complètement ou en partie - Cette double feuille plissée ( 44) constitutive du moyen de monture et aussi constitutive du moyen élastique sensitif de rappel à effet permanent de la queue mobile ( 37) en position centrale de repos et cela, par sa force latérale vers la zone centrale de la touche multi-directions ainsi que par sa force plongeante d'engagement de la bille centrale du patin roulant (42) dans le logement central (49)pratiqué dans la semelle de roulement (43) - Cette double feuille plissée ( 44) est d'une part attachée à sa couronne centrale par le manchon ( 45) emboîté autour du haut de la queue mobile ( 37) et est d'autre part attachée à son pourtour par quatre manchons ( 47) emboîtés respectivement autour des quatre piliers rigides d'attache ( 46) reliés au boîtier de la touche multi-directions et cela, à un niveau inférieur par rapport à celui du manchon ( 45) de façon à obtenir la force plongeante d'engagement de la bille centrale du patin roulant ( 42) dans le logement central ( 49). * Le dispositif d'engagement de la queue mobile ( 37), tour à tour dans quatre ouvertures en deux étapes distinctes de progression pour chaque trajet sensitif détecté (vue en coupe et vue en plan ) comporte : - une plaque mobile ( 39) entaillée en croix ( quatre branches de 3,1 mm x 3,1 mm ) dans toute son épaisseur par quatre ouvertures d'engagement serré de première étape qui comportent chacune trois bordures-poussoirs l'une du fond et les deux autres de côté ( douze en tout ) emplacées mnémotechniquement aux douze positions des chiffres horaires d'un cadran de montre qui sont situées à égales distances de la queue mobile ( 37) ramenée dans sa position centrale de repos par son moyen élastique sensitif de rappel, qui est carrée et en matière rigide conductrice de l'électricité et à faible coefficient de frottement ( laiton poli sur les flancs de chacune des trois bordures-poussoirs des quatre ouvertures d'engagement serré) , qui est maintenue par quatre piliers élastiques de soutien ( 40) dont la conformation concentrique présente deux sensibilités du moyen élastique sensitif d'appui et de rappel, qui est poussée latéralement par la queue mobile ( 37) et cela, pendant la seconde étape distincte de progression de chacun des trajets sensitifs détectés simples et combinés ( une poussée par trajet sensitif simple et deux poussées orthogonales par trajet sensitif combiné et cela, avec détection de simultanéité des deux poussées) et qui est portée au niveau électrique de référence « 1 » par ses piliers ( 40) ou par un fil souple enroulé sur lui-même - et une plaque fixe ( 41) qui est fixée aux quatre piliers d'attache ( 46) par quatre supports en équerre ( 50) et qui est entaillée en croix ( quatre branches de 4,1mm x 4,1mm) dans toute son épaisseur par quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape et qui comportent chacune trois bordures-butoirs superposées aux trois bordures- poussoirs ( 3,1 mm x 3,1 mm) et cela donc, avec un retrait de 1 mm pour celle du fond et avec un retrait de 0,5 mm pour chacune des deux de côté et qui est carrée en matière isolante de l'électricité * Le dispositif de détections séparées d'arrivée de la queue mobile ( 37) contre chacune des douze bordures-butoirs ( 1 à 12) des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape comporte : - douze plots-butée de contact électrique emboîtés chacun d'une part sur une des douze bordures-butoirs et d'autre part sur la fin d'une des douze pistes conductrices de la plaque fixe ( 41) qui a une double fonction (celle d'engagement lâche de seconde étape et celle de circuit imprimé) - et un manchon ( 48) conducteur de l'électricité et en matière résistante aux chocs de fin de course de la queue mobile ( 37) à chacune de ses arrivées successives d'une part sur une bordure-butoir recouverte par un plot-butée et d'autre part sur une bordure-poussoir ; ce manchon ( 48), dont la hauteur couvre la plaque mobile ( 39) et la plaque fixe ( 41), transmet le niveau électrique de référence « 1 » porté par toute la plaque mobile (39) au plot-butée atteint par la queue mobile (39)en fin de trajet sensitif. Selon la variante d'exécution représentée à la figure 3 qui est proposée comme la «meilleure manière de réaliser l'invention»,seuls l'équipage à mobilité latérale et le dispositif de détections séparées de la queue mobile ( 37 ) contre chacune des douze bordures-butoirs ont été modifiés par rapport à la variante d'exécution de la figure 2 et , de plus , l'identification numérique des douze bordures-butoirs ( de 1 à 12 ) a été complétée par des caractères alphabétiques au nombre de vingt-six répartis en dix triplets et deux quadruples euphoniques : 1 ab , 2 cd , 3 ef , 4 gh , 5 ij , 6 klz , 7 mn , 8 op , 9 qr , 10 st , 11 uv , 12 wxy et cela , afin d'initier une écriture nouvelle de parfaite mobilité à saisies mnémotechniques basée sur la double connaissance généralisée en Occident des emplacements des chiffres d'un cadran d'une montre et de l'alphabet ; cette écriture nouvelle , d'une puissance minimale de 144 ( 12 x 12 ) caractères et maximale de 576 ( 24 x 24 ) caractères , étant à exécuter de mémoire sans besoin d'éclairage de touches par les déplacements latéraux millimétriques des deux pouces posés sans discontinuer dans les concavités ( 36 ) des figures 2 et 3 de deux touches multi-directions revendiquées qui sont implantées sur une ligne transversale d'un boîtier ( sans fil ) de poche à tenir entre les deux mains . * L'équipage à mobilité latérale comporte : ° une tête mobile ( 35 ) en matière plastique qui est de forme plate et ronde (diamètre 19 mm ) incurvée à son sommet par une concavité ( 36 ) et qui est roulante sur une unique bille centrale ( 38 ) et glissante sur un patin glissant ( 42 ) et cela , parallèle¬ ment à la paroi supérieure du boîtier dans lequel est implantée la touche à multi- directions 0 et une queue mobile ( 37 ) en acier de section ronde ( diamètre : 3 mm ) dont la partie supérieure est terminée par une tête enrobée ( 34 ) et dont la partie inférieure est terminée par une bille mobile ( 38 ) en acier ( diamètre : 2 mm ) et de plus est entourée par un patin glissant ( 42 ) enchâssé qui est en matière à faible coefficient de frottement ( téflon ) 0 et un moyen de monture permettant la mobilité latérale de l'ensemble « tête- queue » qui est lui-même composé : (x) par une semelle de roulement et de glissement ( 43 ) en matière résistante et conductrice ou non de l'électricité qui permet le glissement du patin glissant ( 42 ) sur sa surface supérieure et qui est rainurée en croix par quatre pistes de guidage de roulement ( 33 ) ( quatre branches de 4,5 mm x 4,5 mm chacune ) entourant la surface carrée centrale ( 3,1 mm x 3,1 mm ) creusée en son centre par un logement central ( 49 ) rendant la position centrale de repos de la queue mobile (37 ) précise et sensitive ; chacune des quatre pistes de guidage de roulement ( 33) est aussi creusée en son centre par un logement décentré ( 30 ) rendant les quatre positions normales de première étape de la queue mobile ( 37 ) précise et sensitive par le bout du doigt posé dans la concavité ( 36 ) (x) et par une double feuille plissée ( 44 ) en matière élastomère ( fig. 3 ) conduc- trice résistive de l'électricité ou non dont la force élastique de sa composante latérale donne lieu au rappel à effet permanent de la queue mobile ( 37 ) en position centrale de repos et dont la force élastique de sa composante plongeante donne lieu à l'engagement de la bille mobile ( 38 ) dans le logement central ( 49 ) ou dans l'un des quatre logements décentrés ( 30 ) * Le dispositif de détections séparées d'arrivée de la queue mobile ( 37 ) contre chacune des douze bordures-butoirs ( 1 à 12 ) des quatre ouvertures d'engagement lâche de seconde étape comporte : - douze plots-butée de contact électrique emboîtés chacun d'une part sur une des douze bordures-butoirs et d'autre part sur la fin d'une des douze pistes conductrices de la plaque fixe ( 41 ) qui a une double fonction ( celle d'engagement lâche de seconde étape et celle de circuit imprimé ) - et la queue mobile ( 37 ) portée elle-même au niveau électrique de référence « 1 » via sa bille mobile ( 30 ) en acier en contact permanent avec la semelle de roulement et de glissement ( 43 ) en matière conductrice de l'électricité ( laiton ) au niveau électrique de référence « 1 » et ou via la double feuille plissée ( 44 ) en matière élastomère conductrice résistive de l'électricité au niveau électrique de référence « 1 » ; la queue mobile ( 37 ) portant elle-même , à chacune de ses arrivées succes¬ sives sur un plot-butée en fin de trajet sensitif , son niveau électrique de référence « 1 » et cela , avec l'avantage de la suppression du manchon ( 48 ) conducteur de l'électricité de la figure 2 tout en permettant à la plaque mobile ( 39 ) ainsi qu'à ses piliers ( 40 ) de la fig.2 de ne plus devoir être en matière conductrice de l'électricité Les touches multi-directions décrivant chacune vingt-huit trajets sensitifs détectés selon l'invention sont particulièrement destinées , par le fait de leurs faibles encombrements , à équiper : tous les appareils autonomes de poche ( sans fil ) ou portables ( GSM , PDA ,...) qui sont déjà équipés d'un clavier intégré à touches poussoirs ( AZERTY et QUERTY) et cela , en remplaçant les touches poussoirs en grand nombre par deux touches multi-directions alignées transversalement : le pouce gauche posé sans discontinuer sur la touche de gauche sélectionnant « en premier » l'une des douze ou des vingt-quatre suites mnémotechniques disponibles ( numérique de 1 à 12 , caractères alphabétiques des rangs impairs , des rangs pairs , signes de ponctuation , données téléphoniques ...) représentée en ligne sur une « table de composition des saisies combinatoires » à mémoriser dans laquelle figure le caractère ou la donnée à saisir et le pouce droit posé sans discontinuer sur la touche de droite sélectionnant « en second » l'une des douze ou des vingt-quatre colonnes de la même table ( 1 ab , 2 cd , 12 wxy ) renfermant tous les caractères et toutes les données de même rang que celui du caractère ou de la donnée à saisir - toutes les télécommandes multimédia ( audiovisuelles ) souvent utilisées dans l'obscurité - toutes les calculettes - les appareils de bord de tous les véhicules terrestres , aériens et maritimes en permettant de ne plus devoir détourner le regard pour exécuter de nombreuses saisies successives de données - tous les appareils à saisir des textes et des données dans l'obscurité ( de nuit ) et et ceux plus spécialement élaborés pour les aveugles - tous les appareils distributeurs extérieurs et intérieurs à carte ( billets bancaires , carburants ....)