DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION

La présente invention concerne un assistant numérique personnel emboîtant un ordiphone, un clavier et une tablette, capable de prendre des images en trois dimensions.

Elle s'applique au domaine des téléphones intelligents, disposant des fonctions d'un assistant numérique personnel et d'un appareil photo permettant des prises de vue fixes ou animées et en relief.

ETAT DE LA TECHNIQUE

Ces dernières années on a vu un fort développement de la téléphonie mobile avec des appareils de type ordiphones et tablettes tactiles, capables d'offrir des fonctionnalités se rapprochant de celles des petits ordinateurs et pourvus de caméras adaptées pour les prises de vue au quotidien.

Cependant la plupart de ces appareils offrent un clavier tactile peu propice à un usage intensif, et les tablettes qui peuvent être associées à un vrai clavier sont de dimensions conséquentes et inadaptées pour être logées dans une poche. De plus, la plupart les ordiphones du marché sont pourvus d'un appareil photo ne disposant que d'une lentille fixe de petite ouverture, du fait de la faible épaisseur de ces appareils, ce qui ne permet pas de disposer d'un véritable objectif multi lentilles offrant une haute définition et un zoom optique. De même, toujours du fait de la faible épaisseur de ce type d'appareil, quasiment tous disposent d'un flash à diodes électroluminescentes (DEL ou LED, pour light emitting diode) dont les performances sont limitées. En outre les appareils cités plus haut ne permettent pas les prises de vue en trois dimensions.

OBJET DE L'INVENTION

La présente invention vise à remédier à tout ou partie de ces inconvénients.

A cet effet, selon un premier aspect, la présente invention vise un assistant numérique personnel portable comportant :

un téléphone mobile muni d'un premier écran, d'une première unité centrale gérant une première mémoire,

- un boîtier comportant au moins un deuxième écran, une deuxième unité centrale gérant une deuxième mémoire,

le boîtier comportant un logement configuré pour recevoir et retenir, de manière amovible, en son intérieur au moins une partie du téléphone mobile, des moyens de communication entre les unités centrales du boîtier et du téléphone mobile,

au moins une des unités centrales étant configurée pour stocker des données dans chacune des première et deuxième mémoires.

Grâce à ces dispositions, les périphériques d'au moins l'une des unités centrales, par exemple capteurs d'images, clavier, écran tactile et moyens de communication avec des réseaux de communication, peuvent fournir des données aux deux mémoires. Le partage de données est ainsi facilité et l'utilisateur dispose des données mémorisées dont il a besoin lorsqu'il sépare le téléphone mobile du boîtier.

Dans des modes de réalisation, chacune des unités centrales est configurée pour stocker des données dans chacune des première et deuxième mémoires.

Grâce à ces dispositions, les deux unités centrales, du boîtier et du téléphone mobile peuvent partager des données selon les instructions de l'utilisateur.

Dans des modes de réalisation, le téléphone mobile comporte un premier capteur d'images et le boîtier comporte une ouverture en regard du logement à la position où se trouve le capteur d'images lorsque le téléphone mobile est, au moins partiellement, inséré et retenu dans le logement du boîtier.

Grâce à ces dispositions, le même capteur d'images, du téléphone mobile, sert aussi bien au téléphone mobile, lorsqu'il n'est pas inséré dans le boîtier qu'au boîtier lorsque le téléphone mobile y est, au moins partiellement, inséré.

Dans des modes de réalisation, le boîtier comporte un deuxième capteur d'images positionné à une distance entre cinq et huit centimètres de ladite ouverture.

Grâce à ces dispositions, les deux capteurs d'images peuvent prendre des images en trois dimensions, avec un écartement de points de vue sensiblement égal à l'écartement entre les pupilles des yeux d'un utilisateur adulte. A moins une des unités centrales étant configurée pour stocker des données dans chacune des première et deuxième mémoires, une des mémoires peut recevoir des images provenant des deux capteurs d'image et donc conserver des images stéréoscopiques.

Dans des modes de réalisation, le deuxième écran est de type auto stéréoscopique. Grâce à ces dispositions, les images stéréoscopiques captées par les deux capteurs d'images peuvent être visualisées sur l'écran du boîtier.

Dans des modes de réalisation, le boîtier comporte, dans son logement, au moins un connecteur configuré pour se relier à un connecteur du téléphone mobile lorsque le téléphone mobile est, au moins partiellement, inséré dans ledit logement.

Grâce à ces dispositions, les moyens de communication entre les unités centrales comportent lesdits connecteurs. La consommation d'énergie est ainsi réduite. De plus, le boîtier peut alimenter et recharger la batterie du téléphone mobile. Dans des modes de réalisation, le boîtier comporte un clavier, le deuxième écran étant monté coulissant sur ledit clavier lorsqu'il est tourné vers l'extérieur du boîtier et en rotation lorsqu'il ne recouvre pas ledit clavier ou le recouvre en étant tourné vers l'intérieur du boîtier.

Grâce à ces dispositions, l'utilisateur dispose d'un ordinateur portable à écran inclinable, lorsque l'écran ne recouvre pas le clavier et d'une tablette lorsque l'écran recouvre le clavier et est tourné vers l'extérieur du boîtier.

Dans des modes de réalisation, le deuxième écran comporte, sur deux côtés opposés, deux plots latéraux, un support du deuxième écran dans le boîtier comportant, sur deux côtés opposés, deux rails de guidage en translation des plots du deuxième écran, le support comportant aussi deux plots latéraux sur lesdits côtés, et le deuxième écran étant entouré, sur lesdits côtés, de rails de guidage des plots latéraux du support.

Grâce à ces dispositions, l'écran coulisse sur le support qui comporte le clavier et peut soit cacher ce clavier, soit le rendre accessible à l'utilisateur.

Dans des modes de réalisation, chaque rail du support présente, à l'une de ses extrémités, une ouverture circulaire à un jeu de contacts électriques en arc de cercle correspondant à des contacts électriques situés sur un bord du deuxième écran, les contacts électriques du deuxième écran glissant sur les contacts électriques du support au cours de l'inclinaison de l'écran.

Grâce à ces dispositions, le deuxième écran reçoit, dans différentes positions d'inclinaison, les signaux d'images à afficher et l'alimentation de sa source de lumière.

Dans des modes de réalisation, chaque rail du support présente, à l'autre de ses extrémités, des contacts électriques sur lesquels les contacts électriques du deuxième écran viennent en appui lorsque le deuxième écran couvre le clavier en étant tourné vers l'extérieur du boîtier.

Dans des modes de réalisation, le boîtier comporte un troisième écran rangé dans une fente à l'intérieur du deuxième écran, le troisième écran sortant du deuxième écran quand on le tire puis venant se positionner bord à bord avec le deuxième écran.

Grâce à ces dispositions, on double, avec le troisième écran, la surface du deuxième écran.

Dans des modes de réalisation, des optocoupleurs sont solidaires respectivement du deuxième l'écran et d'un support du deuxième écran, lesdits optocoupleurs se trouvant en regard au cours d'un mouvement de rotation de l'écran par rapport à un support d'écran.

Grâce à ces dispositions, la communication entre l'écran et son support est fiabilisée et très rapide.

Dans des modes de réalisation, le boîtier comporte une touche pour prendre un appel lorsque le téléphone mobile est logé dans le logement et reçoit un appel téléphonique. Grâce à ces dispositions, l'utilisateur peut prendre un appel entrant sans avoir à sortir le téléphone mobile du logement du boîtier. Dans des modes de réalisation, au moins une des unités centrales est configurée pour commander le fonctionnement conjoint du boîtier et du téléphone mobile pour que, dans un mode de fonctionnement appareil photo ou caméra à images en trois dimensions :

les deux capteurs d'images aient le même champ de vision, éventuellement par biais d'un zoom numérique) et soient synchronisés.

l'image stéréoscopique, faite par une combinaison des deux images captées, soit conservée en mémoire, dans au moins une des première et deuxième mémoires.

Grâce à ces dispositions, les prises de vue sont automatiquement réalisées et synchronisées en dimensions et dans le temps, même si l'un des capteurs dispose d'un objectif à focale variable (zoom).

Dans des modes de réalisation, au moins une des unités centrales est configurée pour commander le fonctionnement conjoint du boîtier et du téléphone mobile pour que, dans un mode de fonctionnement de tablette, la première unité centrale de l'ordiphone gère le deuxième écran, les première et deuxième mémoires contenant les mêmes données applicatives, le deuxième écran servant au téléphone mobile, d'écran tactile en remplacement du premier écran, qui reste éteint.

Grâce à ces dispositions, les ressources du téléphone mobile, notamment en termes de puissance et de vitesse de calcul sont mise à profit dans le fonctionnement en tablette.

Dans des modes de réalisation, au moins une des unités centrales est configurée pour commander le fonctionnement conjoint du boîtier et du téléphone mobile pour que, dans un mode de fonctionnement d'ordinateur, le boîtier assure des fonctions classiques d'ordinateur, comportant un traitement de texte et une navigation sur Internet.

L'utilisateur dispose ainsi des fonctions habituelles d'un ordinateur.

Dans des modes de réalisation qui mettent en œuvre les modes de fonctionnement de tablette et d'ordinateur, le mode de fonctionnement d'ordinateur ne mettant pas en œuvre le même système d'exploitation que le mode de fonctionnement de tablette, la commutation entre les systèmes d'exploitation mis en œuvre étant automatiquement effectuée lors d'un changement de position de l'écran du boîtier. Grâce à ces dispositions, l'utilisateur n'a pas à effectuer lui-même la commutation entre les systèmes d'exploitation.

Dans des modes de réalisation, au moins une des unités centrales est configurée pour commander le fonctionnement conjoint du boîtier et du téléphone mobile pour que, dans un mode de fonctionnement de téléphone mobile étendu, dans lequel le deuxième écran sert de périphérique d'affichage et de capture d'appuis tactiles et un clavier sert pour la saisie de textes. Le boîtier peut ainsi avoir des ressources, notamment en termes de puissance et de vitesse de microprocesseur, limitées. L'assistant numérique personnel est ainsi moins onéreux. BREVE DESCRIPTION DES FIGURES

D'autres avantages, buts et caractéristiques de la présente invention ressortiront de la description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés, dans lesquels : la figure 1 montre, schématiquement, une face latérale d'un boîtier d'un mode de réalisation particulier de l'assistant numérique personnel objet de l'invention, la figure 2 montre, schématiquement, la face opposée à celle illustrée en figure 1 , la figure 3 montre, schématiquement, une face frontale fixe du boîtier illustré en figures 1 et 2, comportant un clavier,

la figure 4 montre, schématiquement, une face latérale du boîtier comportant une ouverture d'un logement pour un téléphone mobile,

la figure 5 montre, schématiquement, une face latérale du boîtier opposée à la face illustrée en figure 4,

la figure 6 montre, schématiquement, la face du boîtier opposée à la face illustrée en figure 3,

la figure 7 montre, schématiquement, la face frontale illustrée en figure 3, recouverte par un écran mobile par rapport au clavier, écran tourné vers l'extérieur,

la figure 8 montre, schématiquement, la face frontale illustrée en figure 3, recouverte par un écran mobile par rapport au clavier, écran tourné vers l'intérieur, c'est-à-dire vers le clavier,

la figure 9 montre, schématiquement, une variante de la face illustrée en figure 6, la figure 10 montre, schématiquement, le boîtier avec un objectif d'appareil de prises de vues déployé,

la figure 1 1 montre, schématiquement, un mode de réalisation d'une articulation entre l'écran et le boîtier,

la figure 12 montre, schématiquement et partiellement, la configuration de rotation de l'écran sur le boîtier et des contacts entre eux,

la figure 13 montre, schématiquement et en coupe, un ordiphone logé dans le logement illustré en figure 4,

la figure 14 montre, schématiquement et en coupe, un jeu de contacts électriques en bordure du clavier,

la figure 15 montre, schématiquement et en perspective, le boîtier recevant l'ordiphone dans son logement,

la figure 16 montre, schématiquement et en perspective, l'ordiphone sortie du logement du boîtier,

la figure 17 montre, schématiquement et en perspective, le déploiement en cours d'un troisième écran depuis l'écran illustré en figure 7,

la figure 18 montre, schématiquement et en perspective, le déploiement intégral du troisième écran illustré en figure 17,

la figure 19 montre, en six étapes et une vue de détail, le retournement de l'écran entre la configuration illustrée en figure 7 et celle illustrée en figure 8 et la figure 20 représente, schématiquement, des composants électroniques du boîtier et de l'ordiphone.

DESCRIPTION DE MODES DE REALISATION DE L'INVENTION

Comme on l'observe en figures 15 et 16, l'assistant numérique personnel 9 comporte deux parties principales : un boîtier 1 et un téléphone mobile 7, généralement un ordiphone. Un logement 6 du boîtier 1 présente la forme externe d'au moins une partie de l'ordiphone 7 et des moyens de retenue en position de l'ordiphone 7 dans le logement 6. L'ordiphone 7 comporte un premier écran 16. Le boîtier 1 comporte un deuxième écran 3.

Dans le mode de réalisation illustré en figures 15 et 16, le boîtier 1 comporte aussi un clavier 2. Préférentiellement, l'écran 3 est mobile par rapport au clavier 2 pour que l'écran 3 recouvre le clavier 2, soit en étant tourné vers l'extérieur, comme illustré en figure 7, soit en étant tourné vers l'intérieur, c'est-à-dire vers le clavier 2, comme illustré en figure 8.

On va maintenant décrire, en regard des figures 1 à 6, les six faces du boîtier 1 . La figure 1 montre une interface homme/machine pour les prises de vues réalisées avec au moins un des capteurs d'images suivants : un capteur d'image 4 du boîtier 1 et un capteur d'images 4' de l'ordiphone 7, tous deux représentés en figures 6, 9 et 20. La touche 21 permet le déclenchement de la prise de vue, fixe ou animée. En mode photo, choisi en mettant en œuvre la touche 23, un appui sur la touche 21 déclenche la saisie d'une photo, un appui prolongé permet une prise en rafales. En mode vidéo, choisi en mettant en œuvre la touche 23, un appui sur la touche 21 déclenche le démarrage de la capture d'une vidéo et un deuxième appui son arrêt. La touche 20 fait sortir le bloc optique du capteur d'images 4 et active la fonction prise de vue. Un deuxième appui sur la touche 20 provoque la rentrée du bloc optique du capteur d'images 4 et arrête le mode prise de vue. La touche 23 est une touche à glissière à quatre positions : photo 2D, photo 3D, vidéo 2D, Vidéo 3D. Dans le cas des photos et vidéo 3D, la touche 21 commande simultanément la capture d'images par le capteur 4 et la capture d'images par le capteur 4' et, dans le mode photo 3D, le déclenchement d'un flash 5 (figure 6).

La touche 31 , touche à répétition, permet de régler le flash 5, soit en mode automatique, soit en mode forcé (le flash est toujours déclenché), soit en mode sans flash. Le mode choisi apparaît par un logo sur l'écran 3. Par défaut à l'allumage, le flash se règle en mode automatique. D'autres paramétrages plus sophistiqués de dispositif de prise de vue sont mis en œuvre par l'intermédiaire de l'écran tactile 3 et sont comparables à ce qui se fait dans ce domaine, tant en ce qui concerne les appareils de type ordiphone que les appareils photos.

La touche 22 est une touche à basculement en mode prise de vue, elle agit sur l'objectif zoom (zoom optique) du capteur d'images 4, l'appui gauche augmentant la longueur focale et l'appui droit la réduisant. Dans un premier temps le zoom optique est activé, puis quand il atteint le seuil limite (par exemple 5X), un zoom numérique prend le relai. Un curseur sur l'écran 3 représente la longueur focale de l'objectif zoom. Pour faire des prises de vue en 3D, un zoom numérique est appliqué à l'image captée par le capteur 4' pour que les champs optiques angulaires des images captées par les deux capteurs d'images soient égaux.

En mode hors prise de vues, la touche 22 agit sur le volume sonore d'un haut-parleur du boîtier 1.

La figure 2 montre la face opposée avec, sur sa droite, une touche arrêt/marche générale 17, qui arrête ou lance le fonctionnement de l'assistant numérique personnel 9. Lorsque l'assistant numérique personnel 9 est en marche, un double appui sur la touche 17 provoque la fonction haut-parleur.

La figure 3 montre le clavier 2 avec un jeu de contacts électriques 8 permettant d'alimenter l'écran, de lui fournir des données à afficher et d'en recevoir des données d'appui tactile.

La figure 4 montre le logement 6 permettant de recevoir et retenir, au moins en partie, l'ordiphone 7 et un logement 20 pour un stylet (non représenté). On observe aussi, sur la droite, un connecteur femelle 31 permettant d'assurer le rechargement de la batterie (non représentée) du boîtier 1 et, au cas où il est retenu dans le logement 6, la batterie de l'ordiphone 7.

On observe, en figure 5, une prise 32 de connexion pour casque audio et, éventuellement, microphone. On observe, en figure 6, les capteurs d'images 4 et 4' et le flash 5. Pour que le capteur d'image 4' de l'ordiphone 7 prenne des images alors que l'ordiphone est logé dans le logement 6, une ouverture traversante traverse la paroi de la face illustrée en, figure 6. Préférentiellement, la distance entre les capteurs d'images 4 et 4' correspond à la distance entre les pupilles des yeux d'un adulte, soit, entre cinq et huit centimètres et, préférentiellement, entre six et sept centimètres. Ainsi, les images 3D, ou stéréoscopiques représente la vue normale d'un adulte.

On observe, en figure 7, l'écran 3 recouvrant le clavier 2 et étant tourné vers l'extérieur. Dans cette configuration l'assistant numérique personnel 9 s'utilise comme une tablette.

On observe, en figure 8, l'écran 3 recouvrant le clavier 2 et étant tourné vers l'intérieur, c'est-à-dire vers le clavier 2. Dans cette configuration, l'écran 3 est protégé et l'assistant numérique personnel 9 peut être mis dans la poche.

Un écran afficheur 30 permet, en cas d'appel entrant alors que l'ordiphone 7 est dans le logement 6, de connaître le numéro de l'appelant et, éventuellement, son nom. On observe aussi, en figure 8, un jeu de contacts électriques 13 pour alimenter l'écran 3. Une fois l'écran 3 retourné en fonction tablette (figure 7), les jeux de contacts électriques 8 (figure 3) et 13 entrent en contacts électriques et permettent à l'électronique du boîtier 1 d'alimenter l'écran 3, de lui fournir des données à afficher et de recevoir des données de saisie tactile, en retour.

En mode réception d'appel (l'ordiphone 7 est à l'intérieur du logement 6), le numéro ou le nom de l'appelant apparaît sur l'écran 30. Un appui court sur une touche dans cette situation provoque la mise en communication, l'utilisateur saisissant le boîtier qu'il porte à son oreille. Un appui long dans cette même situation (mode réception) provoque le rejet de l'appel. Dans la situation vue précédemment, lors d'un appel entrant et du décrochage du téléphone, à tout moment, l'utilisateur peut presser sur le bord de l'ordiphone 7 apparaissant, ce qui provoque son extraction (dispositif Push-Pull). L'utilisateur peut poursuivre la conversation avec son ordiphone 7 sans coupure, le boîtier 1 devenant simultanément disponible pour un autre usage.

La figure 9 montre la face arrière du boîtier, un objectif 4 du boîtier, un objectif 4' de l'ordiphone 7, un flash 5, un haut-parleur 29 et un microphone 28.

La figurel O montre le boîtier avec l'objectif du capteur d'image 4 déployé.

La figure 1 1 montre l'articulation entre l'écran 3 et le support d'écran du boîtier

1 , avec les plots solidaires du support et les plots solidaires de l'écran 3 guidés par les rails, respectivement de l'écran 3 et du support. Le système d'ouverture de l'écran 3 repose sur le principe de deux rails juxtaposés 25 et 27. Chacun des rails 25 et 27 est muni, à une de ses extrémités d'un plot, respectivement 26 et 24. Le plot de l'un est guidé par le rail de l'autre. Ces rails et plots sont placés sur chaque petit côté de l'écran 3, de manière symétrique. Deux rails 27 sont donc fixés de chaque côté de l'écran 3 et deux autres rails 25 de chaque côté du support d'écran solidaire du clavier 2.

Une fois l'écran 3 assemblé au support d'écran, les deux plots 24 des deux rails 27 solidaires de l'écran 3, sont engagés dans les deux rails 25 du support d'écran, et les deux plots 26 des deux rails 25 solidaires du support d'écran, sont engagés dans les deux rails 27 de l'écran 3. Dès son ouverture, l'écran 3 est guidé tout au long de sa course, de la position boîtier fermé, figure 19 en haut, à la position tablette, en bas de la figure 19. Les positions intermédiaires sont successivement représentées, de haut en bas, en figure 19.

La figure 12 montre la rotation de l'écran 3 sur le support d'écran et les contacts électriques en regard permettant d'alimenter l'écran et d'échanger des données avec lui. En position boîtier ouvert, l'écran 3 peut prendre plusieurs positions en rotation au gré de l'utilisateur. Pour ce faire, un jeu de contacts électriques 10 situés sur la base de l'écran 3 est en contact électrique avec un autre jeu de contacts électriques 1 1 formant un arc de cercle permettant l'alimentation de l'écran 3 selon plusieurs angles de rotation, figure 1 1 . L'électronique du boîtier alimente en parallèle les contacts électriques 1 1 et 8. Les jeux de contacts électriques 10 et 13 sont reliés par une liasse de conducteurs (non représentée). Lorsque l'écran 3 se ferme ou dépasse un certain angle d'ouverture, les contacts électriques 10 et les connecteurs 1 1 se désolidarisent, et l'écran 3 s'éteint. Ainsi, le boîtier 1 et l'écran 3 restent en contact électrique grâce au jeu de contacts électriques 10 situé sur la base de l'écran 3 glissant en rotation sur le jeu de contacts électriques 1 1 formant un arc de cercle, afin que l'écran 3 soit connecté en continu selon un plage d'angles importante.

Un autre jeu de contacts électriques 12 (figure 14) situé en bordure du boîtier 1 peut se substituer au jeu de contacts électriques 8 ou être utilisé en parallèle avec ce dernier, permettant une connexion avec le jeu de contacts électriques 10' de l'écran 3 et relié en parallèle avec le jeu de contacts électriques 10 situé sur la base de l'écran 3 lorsque le boîtier est positionné en mode tablette. La figure 13 montre l'ordiphone 7 logé dans le logement 6 et les contacts électriques souples 19 connectés à l'ordiphone 7 par les contacts électriques rigides 18. La figure 14 montre le jeu de contacts électriques 12 en bordure du support en contact électrique avec le contact rigide 10' en connexion parallèle avec le contact électrique 10.

L'assistant numérique personnel 9 se présente ainsi sous la forme d'un boîtier 1 , figure 7, disposant d'un vrai clavier mécanique 2, figure 3, dont l'ergonomie est comparable à celle d'un clavier d'un petit ordinateur, et d'un écran 3, figure 6, de taille confortable pour un usage prolongé. Cependant une fois refermé le boîtier 1 a une dimension adaptée pour être logée dans la poche d'une veste, voire d'une chemise. Le boîtier 1 dispose des moyens de communication à l'instar des ordiphones actuels, ainsi que tous les attributs des téléphones intelligents, mémoire interne mémoire externe, connections de proximité, selon les moyens de communication et des protocoles de communications tels que « Bluetooth » (marque déposée) ; WIFI (marque déposée) ; NFC (acronyme de Near Field Communication, marque déposée), ... et intégrant un véritable appareil de prise de vue classiques ou 3D.

L'ordiphone 7 dispose d'une électronique sophistiquée avec un microprocesseur multi- cceur de dernière génération, et capable de recevoir au moins une carte « SIM » (acronyme de subscriber identity module). Le boîtier 1 puise sa puissance et ses performances en exploitant la puissance de calcul intégrée dans l'électronique de l'ordiphone 7, via un jeu de contacts électriques et /ou une liaison optique. Cependant l'électronique du boîtier 1 est conçue pour des utilisations courantes de façon autonome, telles que connections Internet via un réseau WIFI, assistant personnel, ou encore lecture de vidéo ou écoute de la musique.

Le boîtier 1 et l'ordiphone 7 disposent chacun de sa propre batterie. Lorsque l'ordiphone 7 est logé dans le logement 6, les alimentations sont connectées permettant d'une part de charger le boîtier 1 et l'ordiphone 7 par une alimentation unique, d'autre part d'équilibrer les charges des deux batteries si nécessaire grâce à un logiciel adapté. A titre d'exemple, si la batterie de l'ordiphone 7 devient faible, son introduction dans le logement 6 permet une recharge partielle, et réciproquement, la batterie du boîtier 1 peut être rechargée par la batterie de l'ordiphone 7.

Le boîtier 1 , est également pourvu des moyens permettant de réaliser des prises de vues fixes ou animées tel qu'un objectif de qualité 4 conçu pour sortir du boîtier 1 lors de sa mise en œuvre, figure 8, et disposant d'un zoom optique, ainsi que d'un vrai flash 5 de type xénon par exemple. Il est également possible d'utiliser un objectif télescopique interne au boîtier dont l'mage est transmise à l'extérieure par un miroir à 45°.

En outre, le boîtier 1 intègre un logement 6 conçu pour recevoir un ordiphone 7 pourvu de son propre appareil photo avec son objectif 4' de telle sorte que la distance entre les axes optiques de l'objectif du capteur 4' et de l'objectif 4 du boîtier 1 corresponde à l'écartement moyen entre les pupilles des yeux d'un adulte, figure 7.

Dans les modes de réalisation décrits, le boîtier 1 est capable de prendre trois positions, figure 19.

- Une position, boîtier fermé, en haut. Seuls l'appareil photo/caméra 2D-3D ainsi que l'ordiphone sont fonctionnels.

Une position, boîtier ouvert, troisième configuration en partant du haut de la figure 19. Cette position permet l'utilisation du clavier 2 et de l'écran 3 à l'identique d'un ordinateur portable. L'ouverture se fait de la même manière, en pivotant l'écran 3 sur son axe de rotation 26 (figure 1 1 ), jusqu'à obtenir l'inclinaison que l'utilisateur aura choisie.

Une position en mode tablette, en bas de la figure 19.

Pour passer de la position boîtier fermé, figure 1 , à la position tablette, figure 6, il faut ouvrir l'écran 3 sur 180°. L'écran 3 et le boîtier 1 se trouvent alors sur le même plan, figure 4. Puis faire glisser l'écran 3 par translation, figure 5, jusqu'à ce que l'écran 3 soit parfaitement superposé au boîtier 1 , figure 6.

Compte tenu du déplacement important de l'écran 3, lorsqu'il prend les trois positions décrites plus haut, l'usage d'une liasse de conducteurs pour alimenter ledit écran 3 est peu recommandé car il y a un risque d'endommagement prématuré. Aussi, ledit écran 3 est alimenté par un jeu de contacts électriques 8 situé d'une part sur la partie supérieure du clavier, et d'autre part sur la partie inférieure du boîtier fermé 13, Une fois l'écran 3 retourné en fonction tablette, les jeux de contacts électriques 8 et 13 entrent en contacts électriques et permettent à l'électronique du boîtier 1 d'alimenter l'écran 3, figures 3 et 8.

Dans des modes de réalisation, les prises de vue fixes ou animées saisies simultanément par le capteur d'images 4 du boîtier 1 et par le capteur d'images 4'de l'ordiphone 7, permettent de générer un signal autorisant une vision en relief, car ils simulent des images saisies par chacun des deux yeux. A cet effet, La distance qui sépare les deux objectifs correspond à la distance inter pupillaire moyenne, soit de 65 mm, ce qui permet de générer des photos ou film en relief avec un traitement adapté.

Les signaux trois D, intégrant à la fois l'image saisie par le capteur 4 et par le capteur 4' peuvent être exploitées directement par l'écran 3, grâce à un traitement permis par l'électronique intégrée dans le boîtier 1 et un logiciel ad hoc, si ledit écran 3 est du type auto stéréoscopique, à savoir, pourvu sur sa surface une couche lenticulaire conçue pour différencier l'image perçue par l'œil droit et celle perçue par l'œil gauche afin de reconstituer le relief.

Si l'écran 3 n'est pas auto stéréoscopique l'image 3D, traitée par l'électronique du boîtier peut être perçue grâce à des lunettes, selon les techniques connues à ce jour, par exemple avec lunettes polarisées ou colorées (passif), synchronisées (actif). Le signal 3D peut être enregistré dans la mémoire de l'ordiphone et/ou du boîtier 1 afin d'être exploité par des systèmes de visualisation conçus pour la 3D tels que vidéo projecteur, téléviseur.

Dans des modes de réalisation illustrés en figures 17 et 18, un troisième écran 14 est rangé dans une fente à l'intérieur de l'écran 3 et sort de l'écran 3 quand on le tire puis vient se positionner bord à bord avec l'écran 3 permettant ainsi de doubler la surface d'écran de la tablette. Ce troisième écran 14 dispose d'un double jeu de contacts électriques 15. Dans cette configuration l'alimentation des deux écrans doit s'effectuer par le jeu de contacts électriques 12 en bordure du boîtier, qui entre en contact électrique avec un jeu de contacts électriques 15 situé en bas du troisième écran. Ce troisième écran alimente à son tour l'écran 3 par un autre jeu de contacts électriques situé sur sa partie supérieure qui entre en contact électrique avec le jeu de contacts électriques 10.

L'écran de la tablette est de type tactile et un stylet adapté est conçu pour coopérer avec ledit écran. Ledit stylet se range dans un logement 17 ad hoc.

L'ordiphone 7 conçu pour être logé dans le logement 6 dispose d'un jeu de contacts électriques 18 conçu pour coopérer avec un jeu de contacts électriques souples 19 adapté, situé à l'intérieur du boîtier 1 . Le jeu de contacts électriques 18 est en retrait et protégé par un peigne élaboré dans la matière isolante du boîtier. Ce jeu de contacts électriques est incliné par rapport au plan horizontal de sorte qu'à chaque manœuvre d'introduction et de sortie de l'ordiphone 7 de son logement 6, les frottements entre les contacts électriques fermes 18 et les contacts électriques souples 19 assurent un nettoyage desdits contacts électriques.

Dans des modes de réalisation, on remplace les contacts électriques 18 et 19 entre l'ordiphone 7 et le boîtier 1 par une liaison optique. Les signaux sont alors multiplexés et véhiculés par un support lumineux, puis décodés pour être exploités par l'électronique du boîtier 1 et de l'ordiphone 7. Certains contacts électriques restant classiques, notamment ceux liés au rechargement de l'ordiphone 7 par la batterie du boîtier 1.

En mode photo, le boîtier 1 est pourvu d'une interface homme machine spécifique, tel qu'une touche marche arrêt 20, une touche de déclenchement de la prise de vue située à droite pour un usage ergonomique, une touche 21 basculant selon deux positions permettant de régler la focale (zoom). Une touche glissante 23 permettant de sélectionner une des quatre positions : photo, film, film 3D, photo 3 D.

Le boîtier 1 peut également être utilisé comme un téléphone lorsque l'ordiphone 7 est logé dans le logement 6, l'ensemble des fonctionnalités du téléphone sont alors déportés de l'ordiphone 7 vers le boîtier 1 , le boîtier 1 disposant d'un micro 28 et d'un haut-parleur 29. Lors d'un appel entrant, le numéro de l'appelant ou son nom s'affiche sur l'afficheur-écran 30 situé sur le dos de l'écran 3, il est possible de prendre l'appel en pressant sur la touche 21 , utilisée également pour déclencher les prises de vue. En cours d'appel téléphonique pris avec le boîtier 1 , à tout moment l'utilisateur peut extraire l'ordiphone 7 du logement 6 et la communication peut se poursuivre à partir de l'ordiphone 7.

L'ordiphone 7 et le boîtier 1 sont reliés mécaniquement par un système d'accroché « push-pull » qui permet une extraction après une simple pression de l'ordiphone 7 vers l'intérieur du logement 6, une deuxième pression de l'ordiphone 7 dans la même direction permet à nouveau de solidariser le boîtier 1 et l'ordiphone 7 et d'effectuer par la même occasion les connections entre les circuits électroniques des deux composants.

Toutes les variantes de l'invention relatives aux formes, couleurs, matériaux, dispositions des sous-ensembles et des éléments de l'interface homme-machine restent dans le cadre de l'invention.

Préférentiellement, au-dessus de l'écran 3 est installée une webcam de définition classique. Préférentiellement, un filetage permet de fixer le boîtier sur un pied photo pour des prises de vues stables. Préférentiellement, plusieurs connecteurs, par exemple mettant en œuvre le protocole USB (acronyme de Universal Sériai Bus) sont disposés sur les faces latérales de l'assistant numérique personnel 9. Préférentiellement, l'une de ces faces porte aussi une prise micro-HDMI.

Concernant le rechargement des batteries et la capacité de rechargement du boîtier 1 vers le téléphone mobile 7, dans le cas où le téléphone mobile 7 atteint un seuil de charge inférieur à 30% par exemple, son introduction dans le boîtier 1 permet au boîtier 1 de recharger l'ordiphone 7. Dans le cas inverse, où c'est le boîtier 1 qui dispose d'un niveau de charge insuffisant, par exemple inférieur à 10%, l'introduction de l'ordiphone 7 alimente l'électronique du boîtier 1 en remplacement de l'alimentation par la propre batterie du boîtier 1 , dont la charge est faible. Dans cette configuration, la batterie de l'ordiphone 7 ne sert qu'au fonctionnement du boîtier 1 et non à l'alimentation de la batterie du boîtier 1. Pour résumer, la batterie de l'ordiphone 7 sert exclusivement à alimenter l'électronique du boîtier 1 sans le recharger.

Préférentiellement, l'ordiphone 7 dispose d'une double carte SIM. Les deux appareils, l'ordiphone 7 et le boîtier 1 , disposent d'un disque dur SSD important de 256 Go, programmés pour être en miroir à savoir à chaque introduction de l'ordiphone dans le boîtier, les deux mémoires échangent leurs données respectives de sorte que chacune des mémoires contiennent les données des deux électronique (ordiphone et boîtier).

Les deux appareils disposent d'un logement conçus pour recevoir une carte SD haute capacité. Préférentiellement, l'assistant numérique personnel comporte un tuner radio FM et/ou un Tuner TNT pour avoir également un vrai petit téléviseur dans la poche. L'utilisation d'une antenne rétractable est préférable. De plus ce dispositif permet d'avoir un mode radio sans casque.

Pour assurer la communication de données entre l'écran 3 et son support dans le boîtier 1 , on utilise préférentiellement une liaison par optocoupleurs. Les données du boîtier sont multiplexées et transmises vers l'écran 3, l'écran 3 et le boîtier communiquent via une liaison optique bidirectionnelle à très courte distance les données sont multiplexées avant le transfert puis démultiplexées après le transfert. Seuls les contacts électriques d'alimentation sont utiles dans cette configuration. Les deux optocoupleurs sont des composants de type CMS (composant monté en surface), l'un est situé dans l'écran 3, l'autre dans le support d'écran du boîtier 1 , ces deux composants sont situés en vis à vis pour échanger les données.

Pour réaliser des photos et des films en relief, l'objectif du capteur 4' de l'ordiphone 7 logé dans le logement 6 du boîtier 1 apparaît par une ouverture (voir figures 6 et 9). La prise de vue synchronisée de ces deux objectifs permet de générer des images 3D natives fixes ou animées.

L'écran 3 du boîtier est préférentiellement auto-stéréoscopique pour permettre à l'utilisateur de voir ses prises de vues directement en relief, ou d'exploiter la source 3D via un téléviseur ou projecteur adapté.

Dans des modes de réalisation, le boîtier 1 et l'ordiphone 7 comportent des moyens de communication pour communiquer entre eux sans liaison filaire.

On détaille, ci-dessous, les interactions fonctionnelles entre le boîtier 1 et l'ordiphone 7, selon des modes de fonctionnement comportant au moins deux des modes de fonctionnement suivants :

A/ En mode appareil photo ou caméra :

En prise de vues 2D, seul le capteur d'images du boîtier est utilisé ; en variante, seul le capteur d'images du téléphone mobile est utilisé,

En prise de vues 3D, les deux capteurs d'images ont le même champ angulaire de vision, éventuellement par biais d'un zoom numérique et sont synchronisés.

Le flash est synchronisé, en mode photo,

L'image stéréoscopique (la combinaison des deux images captées) est conservée en mémoire, dans au moins un des appareils, boîtier 1 et ordiphone 7 (optionnellement, le boîtier 1 peut les afficher, auquel cas l'image stéréoscopique est affichée sur l'écran 3 du boîtier.

B/ Mode tablette :

Le boîtier assure les fonctions classiques d'une tablette, l'unité centrale de l'ordiphone 7 gérant la tablette, la connexion entre les deux boîtiers permettant cette fonctionnalité. Par exemple, l'ordiphone 7 et le boîtier 1 fonctionnent tous deux sous Androïd (marque déposée).

Le boîtier 1 et l'ordiphone 7 peuvent fonctionner séparément, une fois désengagés.

Des fichiers sont éventuellement transférés depuis la mémoire du boîtier 1 à celle de l'ordiphone 7, mémoire miroir : sauf instruction et paramétrage contraire, les première et deuxième mémoires contiennent les mêmes données applicatives ; c'est-à-dire les données utilisées ou générées par les applications et programmes informatiques.

L'écran 3 du boîtier 1 servant au téléphone mobile 7, d'écran tactile en remplacement du premier écran, S'il y a un appel rentrant alors que l'ordiphone 7 est logé dans le logement 6, le numéro de l'appelant apparaît sur le petit écran du boîtier fermé ou sur l'écran 3 du boîtier ouvert. Le boîtier est pourvu d'un haut-parleur est d'un microphone pour prendre l'appel mais à tout moment le Smartphone peut être extrait du boîtier pour poursuivre la conversation avec le seul smartphone

CI Mode ordinateur :

Le boîtier assure les fonctions classiques d'ordinateur, comprenant au moins un traitement de texte et une navigation sur Internet,

Eventuellement, le boîtier 1 ne fonctionne pas avec le même système d'exploitation que l'ordiphone 7, selon les paramétrages de l'utilisateur, la commutation de système d'exploitation se faisant automatiquement lorsque le clavier est découvert,

Des fichiers sont éventuellement transférés depuis la mémoire du boîtier à celle du téléphone mobile.

Préférentiellement, dans le cas l'assistant numérique personnel met en œuvre les modes de fonctionnement de tablette et d'ordinateur, avec deux systèmes d'exploitation différents, la commutation entre les systèmes d'exploitation mis en œuvre étant automatiquement effectuée lors du changement de position de l'écran 3 du boîtier 1 .

D/ Mode téléphone mobile séparé du boîtier.

Hormis les fonctions de photographie et vidéo stéréoscopiques, on peut, par communication à courte distance (par exemple Bluetooth ou NFC), poursuivre le fonctionnement des modes décrits ci-dessus.

Dans des modes de réalisation, on ajoute à ces modes de fonctionnement un mode téléphone mobile étendu, dans lequel tout se passe comme si l'utilisateur avait un ordiphone ayant un plus grand écran que celui de son ordiphone et un clavier pour une saisie plus rapide des caractères, le boîtier servant de périphérique d'affichage et de capture d'appuis tactiles et, éventuellement, de saisie de textes au clavier et de capture d'image :

L'écran 3 du boîtier duplique l'écran du téléphone mobile et renvoie des données d'écran tactile au téléphone mobile,

Le clavier est éventuellement utilisé,

- Des fichiers sont éventuellement transféré depuis la mémoire du téléphone mobile à celle du boîtier et

s'il y a un appel rentrant alors que le téléphone est emboîté le numéro de l'appelant apparaît sur le petit écran du boîtier fermé ou sur l'écran 3 du boîtier ouvert. Le boîtier est pourvu d'un haut-parleur est d'un microphone pour prendre l'appel mais à tout moment le Smartphone peut être extrait du boîtier pour poursuivre la conversation avec le seul smartphone.

On observe, en figure 20, un assistant numérique personnel portable 33 qui comporte : un téléphone mobile 39 muni d'un premier écran 45, d'une première unité centrale 40 gérant une première mémoire 41 ,

un boîtier 34 comportant au moins un deuxième écran 35, une deuxième unité centrale 36 gérant une deuxième mémoire 37.

Le boîtier 34 comporte un logement configuré pour recevoir et retenir, de manière amovible, en son intérieur au moins une partie du téléphone mobile 39.

Des moyens de communication permettent l'échange de données, de manière filaire, par l'intermédiaire de connecteurs électriques, ou non filaire, par l'intermédiaire de connecteurs optiques ou de communication hertzienne, entre les unités centrales 36 du boîtier 34 et 40 du téléphone mobile 39.

Au moins une des unités centrales 36 et 40 est configurée pour stocker des données dans chacune des première et deuxième mémoires 41 et 37. Préférentiellement, chacune des unités centrales 36 et 40 est configurée pour stocker des données dans chacune des première et deuxième mémoires.

On observe aussi, en figure 20, un premier capteur d'images 42 du téléphone mobile 39 et un deuxième capteur d'image 38 du boîtier 34. Le boîtier 34 comporte une ouverture 46 en regard du logement à la position où se trouve le premier capteur d'images 42 lorsque le téléphone mobile 39 est, au moins partiellement, inséré et retenu dans le logement du boîtier 34. Les axes optiques des capteurs d'images 38 et 42 sont parallèles et séparés d'une distance comprise entre cinq et huit centimètres et, préférentiellement, entre six et sept centimètres. Préférentiellement, le premier et/ou deuxième écran 35 est auto stéréoscopique.

Des moyens de communication 43 et 44, constitués de connecteurs ou d'émetteurs- récepteurs à courte portée permettent la communication entre les unités centrales du boîtier et du téléphone mobile. Le boîtier 34 comporte préférentiellement un clavier 47 pour une saisie rapide de caractères alphanumériques.