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Title:
POT CAPABLE OF CONTAINING A SOLID, LIQUID OR PASTY PRODUCT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2018/060610
Kind Code:
A1
Abstract:
Pot (100) comprising a body (10) exhibiting a cavity having an opening (11b), and a lid (20) able to move with respect to the body (10). The body (10) comprises an engagement element (14e) and the lid (20) comprises a closure tab (70) able to move between an engaged position in which, when the lid (20) is in a shutting-off position in which the lid shuts off the opening, the closure tab (70) collaborates with the engagement element (14e) and thus keeps the lid (20) in the shutting-off position, and a disengaged position in which the closure tab (70) does not collaborate with the engagement element (14e). The pot comprises a blocking tongue (42), able to move between a locked position in which it blocks the closure tab (70) in the engaged position, and an unlocked position in which the closure tab (70) is able to move between the engaged position and the disengaged position.

Inventors:
LEFEVRE SAVINE (FR)
GAUTIER FRANÇOIS (FR)
Application Number:
PCT/FR2017/052615
Publication Date:
April 05, 2018
Filing Date:
September 27, 2017
Export Citation:
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Assignee:
DIOR CHRISTIAN PARFUMS (FR)
International Classes:
A45D40/22; A45D40/00
Domestic Patent References:
WO2005039349A12005-05-06
Foreign References:
EP3064447A12016-09-07
US20060283476A12006-12-21
US5222619A1993-06-29
US6935507B12005-08-30
US5908037A1999-06-01
FR2701366A11994-08-19
Attorney, Agent or Firm:
VERRUE, Jacques et al. (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Pot (100, 200) comprenant un corps (10, 110) présentant une cavité apte à contenir un produit (12) solide, liquide ou pâteux, la cavité présentant une ouverture (11b, 111b) et un couvercle (20, 120) mobile par rapport au corps (10, 110), un premier élément parmi le corps (10, 110) et le couvercle (20, 120) comprenant un élément d'engagement (14e), un deuxième élément parmi le corps (10, 110) et le couvercle (20, 120) comprenant une patte de fermeture (70, 170) mobile entre une position engagée dans laquelle, lorsque le couvercle (20, 120) est dans une position d'obturation dans laquelle le couvercle obture l'ouverture, la patte de fermeture (70, 170) coopère avec l'élément d'engagement (14e) et maintient ainsi le couvercle (20, 120) en position d'obturation, et une position dégagée dans laquelle la patte de fermeture (70, 170) ne coopère pas avec l'élément d'engagement (14e), de manière à permettre un mouvement du couvercle (20, 120) par rapport au corps (10, 110), le pot étant caractérisé en ce qu'il comprend une languette de blocage (42, 142), mobile entre une position verrouillée dans laquelle la languette de blocage (42, 142) bloque la patte de fermeture (70, 170) dans la position engagée, et une position déverrouillée dans laquelle la patte de fermeture (70, 170) est mobile entre la position engagée et la position dégagée, et un actionneur (40, 140) configuré pour mouvoir la languette de blocage (42, 142) entre la position verrouillée et la position déverrouillée. 2. Pot selon la revendication 1, dans lequel la patte de fermeture (70, 170) est mobile en rotation.

3. Pot selon la revendication 1 ou 2, comprenant des moyens de rappel (78) configurés pour rappeler la patte de fermeture (70, 170) dans la position dégagée.

4. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, comprenant une pièce d'arrêt et dans lequel en position dégagée, la patte de fermeture (70, 170) est en butée contre ladite pièce d'arrêt.

5. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, dans lequel la languette de blocage (42, 142) est rigidement liée à l'actionneur (40, 140). 6. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, dans lequel la patte de fermeture (70, 170) comprend un ergot (72) configuré pour coopérer avec la languette de blocage (42, 142).

7. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, dans lequel l'actionneur est un bouton poussoir (40, 140) mobile en translation.

8. Pot selon la revendication 7, dans lequel le bouton poussoir comprend une paroi d'appui (41a) et une paroi de coulissement (41b) sensiblement perpendiculaire à la paroi d'appui (41a), la languette de blocage (42, 142) étant formée sur la paroi de coulissement (41b).

9. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, dans lequel le premier élément est le corps (10, 110) et le deuxième élément est le couvercle (20, 120).

10. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, dans lequel le corps (10, 110) et le couvercle (20, 120) sont articulés l'un par rapport à l'autre, par exemple au moyen d'une charnière.

11. Pot selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, dans lequel le couvercle (20, 120) comprend en outre un joint d'étanchéité (69, 169) et l'actionneur (40, 140) est configuré pour comprimer le joint d'étanchéité (69, 169), notamment de manière axiale, lorsque la languette de blocage (42, 142) est dans la position verrouillée.

Description:
Pot apte à contenir un produit solide, liquide ou pâteux

DOMAINE DE L'INVENTION

Le présent exposé concerne un pot, et plus particulièrement un pot apte à contenir un produit solide, liquide ou pâteux. Un tel pot peut être utilisé en particulier pour le conditionnement de produits cosmétiques.

ARRIÈRE-PLAN TECHNOLOGIQUE

On connaît, par exemple de la publication internationale WO 2005/039349, un pot comprenant un corps présentant une cavité apte à contenir un produit solide, liquide ou pâteux, la cavité présentant une ouverture, et un couvercle mobile par rapport au corps, un premier élément parmi le corps et le couvercle comprenant un élément d'engagement, un deuxième élément parmi le corps et le couvercle comprenant une patte de fermeture mobile entre une position engagée dans laquelle, lorsque le couvercle est dans une position d'obturation dans laquelle le couvercle obture l'ouverture, la patte de fermeture coopère avec l'élément d'engagement et maintient ainsi le couvercle en position d'obturation, et une position dégagée dans laquelle la patte de fermeture ne coopère pas avec l'élément d'engagement, de manière à permettre un mouvement du couvercle par rapport au corps.

Dans le pot divulgué par WO 2005/039349, l'élément d'engagement et la patte de fermeture prennent la forme de deux crochets pouvant s'engager l'un avec l'autre. La patte de fermeture est rigidement reliée à un bouton poussoir latéral, de sorte qu'une pression exercée sur le bouton poussoir fait passer la patte de fermeture de la position engagée à la position dégagée, permettant ainsi l'ouverture du couvercle. Le bouton poussoir est rappelé par un ressort.

Dans un tel pot, l'engagement de la patte de fermeture dans l'élément d'engagement est peu fiable et le pot peut s'ouvrir de manière intempestive, renversant alors son contenu. L'invention vise au moins à remédier en partie à cet inconvénient et à proposer un pot pour lequel le maintien en position d'obturation est plus fiable.

PRÉSENTATION DE L'INVENTION

Ce but est atteint grâce au fait que le pot comprend une languette de blocage, mobile entre une position verrouillée dans laquelle la languette de blocage bloque la patte de fermeture dans la position engagée, et une position déverrouillée dans laquelle la patte de fermeture est mobile entre la position engagée et la position dégagée, et un actionneur configuré pour mouvoir la languette de blocage entre la position verrouillée et la position déverrouillée.

En position verrouillée, la languette de blocage bloque la patte de fermeture dans la position engagée. Ainsi, aucun mouvement intempestif de la languette de fermeture n'est permis, ce par quoi la languette de fermeture coopère efficacement avec l'élément d'engagement et maintient le couvercle dans la position d'obturation de manière fiable. La position d'obturation correspond à la situation dans lequel le pot est fermé.

Dans certains modes de réalisation, le deuxième élément comprend la languette de blocage. La patte de fermeture et la languette de blocage sont donc prévues sur le même élément parmi le corps et le couvercle. Leur coopération est ainsi facilitée.

Dans certains modes de réalisation, la patte de fermeture est mobile en rotation. Par rapport à un glissement, une rotation entraîne peu de frottement, ce qui diminue l'usure des pièces.

Dans certains modes de réalisation, le pot comprend des moyens de rappel configurés pour rappeler la patte de fermeture dans la position dégagée. Ainsi, lorsque la patte de fermeture est bloquée par la languette de blocage, elle est immobile indépendamment des moyens de rappel et demeure en position engagée. En revanche, lorsque la languette de blocage est en position déverrouillée et ne bloque plus la patte de fermeture, la patte de fermeture est mue par les moyens de rappels dans la position dégagée. L'ouverture du pot est ainsi facilitée.

Les moyens de rappels peuvent être un élément élastique tel qu'un ressort, un aimant, ou tout élément apte à exercer une force de rappel.

Dans certains modes de réalisation, le pot comprend une pièce d'arrêt et en position dégagée, la patte de fermeture est en butée contre ladite pièce d'arrêt. La course de la patte de fermeture est donc précisément délimitée. Par suite, l'encombrement de la patte de fermeture compte-tenu de ses différentes positions reste limité.

Dans certains modes de réalisation, la languette de blocage est rigidement liée à l'actionneur. Son actionnement est donc fiable, puisqu'un mouvement de l'actionneur résulte directement en un mouvement de la languette de blocage.

Dans certains modes de réalisation, la patte de fermeture comprend un ergot configuré pour coopérer avec la languette de blocage. La présence d'un ergot rend plus précise la coopération de la languette de blocage et de la patte de fermeture.

Dans certains modes de réalisation, l'actionneur est un bouton poussoir mobile en translation. En particulier, lorsque la languette de blocage est rigidement liée à l'actionneur, la languette de blocage est mobile en translation selon la direction de translation de l'actionneur.

Le bouton poussoir peut être situé dans le deuxième élément, c'est- à-dire dans le même élément, parmi le corps et le couvercle, que la patte de fermeture.

Un élément de rappel tel qu'un ressort peut être configuré pour rappeler le bouton poussoir dans sa position de repos après son actionnement.

Dans certains modes de réalisation, le bouton poussoir comprend une paroi d'appui et une paroi de coulissement sensiblement perpendiculaire à la paroi d'appui, la languette de blocage étant formée sur la paroi de coulissement. La paroi d'appui est la paroi destinée à recevoir une force d'appui visant à actionner le bouton poussoir. La paroi de coulissement peut définir la direction dans laquelle le bouton poussoir coulisse lorsqu'une force est exercée transversalement à la paroi d'appui.

Dans certains modes de réalisation, le pot comprend en outre un socle, le bouton poussoir coopérant avec le socle par une came à parcours cœur. La came à parcours cœur sera présentée plus en détail par la suite. De cette façon, le bouton poussoir est mobile entre deux positions stables. Si un élément de rappel tend à éloigner le bouton poussoir du socle, le passage du bouton poussoir entre les deux positions stables s'effectue par des pressions sur le bouton poussoir, le cas échéant sur la paroi d'appui.

Dans certains modes de réalisation, le bouton-poussoir comprend une jupe coopérant avec une jupe du socle. Par exemple, les jupes peuvent coopérer par glissement l'une contre l'autre lorsque le bouton poussoir est translaté par rapport au socle. La présence de telles jupes limite la résonance provoquée par le mouvement du bouton poussoir.

Dans certains modes de réalisation, le premier élément est le corps et le deuxième élément est le couvercle. Le mécanisme d'ouverture du pot, comprenant notamment la patte de fermeture et éventuellement l'actionneur, est donc logé dans le couvercle.

Dans certains modes de réalisation, le premier élément et le deuxième élément sont articulés l'un par rapport à l'autre, par exemple au moyen d'une charnière.

Dans certains modes de réalisation, le couvercle comprend en outre un joint d'étanchéité. Le joint d'étanchéité peut être situé le long de l'ouverture. Le joint d'étanchéité assure ainsi l'étanchéité entre l'ouverture et le couvercle qui, en position d'obturation, obture l'ouverture.

Dans certains modes de réalisation, l'actionneur est configuré pour comprimer le joint d'étanchéité, notamment de manière axiale, lorsque la languette de blocage est ou passe dans la position verrouillée. La compression peut être effectuée indirectement, par une pièce actionnée elle-même par l'actionneur. Ainsi, le passage de la languette de blocage en position verrouillée et le verrouillage correspondant du pot s'accompagne d'une mise en étanchéité de la cavité grâce à l'actionnement correspondant, simultané ou non, du joint d'étanchéité.

En outre, l'actionneur peut être configuré pour laisser le joint d'étanchéité au repos lorsque la languette de blocage est dans la position déverrouillée.

De manière plus générale, le joint peut être configuré pour réaliser une étanchéité sur une surface normale à sa direction de compression.

BRÈVE DESCRIPTION DES DESSINS

L'invention et ses avantages seront mieux compris à la lecture de la description détaillée qui suit, de modes de réalisation de l'invention donnés à titre d'exemples non limitatifs. Cette description se réfère aux dessins annexés, sur lesquels :

- la figure 1 est une vue en coupe d'un pot selon un premier mode de réalisation, la patte de fermeture étant en position engagée ;

- la figure 2A représente en perspective éclatée le pot de la figure 1 ;

- la figure 2B est similaire à la figure 2A, selon un autre angle de perspective ;

- la figure 3 est une vue détaillée et en perspective du bouton poussoir selon le premier mode de réalisation ;

- la figure 4 représente un parcours c ur tel qu'utilisé dans le premier mode de réalisation ;

- la figure 5 est une vue en coupe du pot selon le premier mode de réalisation, la patte de fermeture étant en position dégagée ;

- la figure 6 est une vue en coupe d'un pot selon un deuxième mode de réalisation, la patte de fermeture étant en position engagée ; - la figure 7 est une vue du pot selon le deuxième mode de réalisation, en coupe un perpendiculaire au plan de coupe de la figure 6 ;

- la figure 8 est une vue en coupe du pot selon le deuxième mode de réalisation, la patte de fermeture étant en position dégagée ;

- la figure 9 est un détail, en perspective, d'un bouton poussoir tel que prévu dans le deuxième mode de réalisation ;

- la figure 10 est un détail, en perspective, d'un insert tel que prévu dans le deuxième mode de réalisation ;

- la figure 11 est un détail, en perspective, d'un socle tel que prévu dans le deuxième mode de réalisation.

DESCRIPTION DÉTAILLÉE DE L'INVENTION La structure d'un pot selon un premier mode de réalisation de l'invention va être détaillée en référence aux figures 1 à 4.

Comme indiqué précédemment, la figure 1 représente en coupe un pot 100 comprenant un corps 10 et un couvercle 20 mobile par rapport au corps 10. Dans le présent mode de réalisation, le corps 10 fait office de premier élément au sens de l'invention, tandis que le couvercle 20 fait office de deuxième élément. Toutefois, l'inverse peut être également réalisé. Dans la suite du présent exposé, sans perte de généralité et par pur souci de clarté, on ne se référera qu'au corps 10 et au couvercle 20 et non aux premier et deuxième éléments.

Le corps 10 présente une cavité apte à contenir un produit 12 solide, liquide ou pâteux, la cavité présentant une ouverture. En l'espèce, le corps comprend un habillage 10a dans lequel est disposée une cuve 11. La cuve 11 comprend un rebord lia et s'ouvre sur l'ouverture 11b (voir figure 2A).

Le couvercle 20 peut être positionné dans une position d'obturation dans laquelle le couvercle 20 obture l'ouverture 11b. Le pot 100 est alors considéré comme fermé. Il s'agit de la position représentée sur la figure 1. Le corps 10 comprend également une plaquette 14 comprenant une portion périphérique 14a, ici sensiblement annulaire, et un épaulement 14b prévu radialement à l'intérieur de la portion périphérique 14a. Par « sensiblement annulaire », on entend une forme sensiblement continue qui peut être sensiblement circulaire, elliptique, ovale ou analogue. L'épaulement 14b fait saillie, à partir de la portion périphérique 14a, en direction de l'ouverture 11b.

La plaquette 14 comprend en outre des éléments d'indexation 14d (voir figure 2B) destinés à coopérer avec des éléments d'indexation lOd (voir figure 2A) correspondants prévu sur l'habillage 10a, pour le positionnement et la fixation de la plaquette 14 sur l'habillage 10a.

Comme illustré sur la figure 1, le rebord lia de la cuve 11 est en appui sur l'épaulement 14b de la plaquette 14, de sorte que la cuve est suspendue dans l'habillage 10a. La cuve 11 est configurée pour contenir le produit 12 solide, liquide ou pâteux.

De manière optionnelle, le corps 10 peut comprendre un opercule

18. Comme représenté sur la figure 1, l'opercule 18 est destiné à fermer l'ouverture 11b de façon à protéger le produit 12. L'opercule 18 peut prendre appui sur le rebord lia de la cuve 11, par exemple sur un épaulement prévu à cet effet.

Le couvercle 20 comprend un socle 30 et un bouton poussoir 40. Le couvercle 20, ici plus précisément le socle 30, peut comprendre une charnière 32 pour l'articulation du couvercle 20 avec le corps 10. En l'espèce, la charnière 32 comprend des gonds 32a et une partie de masquage 32b. Les gonds 32a sont configurés pour recevoir des tiges 17. Par ailleurs, les tiges 17 sont configurées pour être insérées dans des supports de gonds 15 prévus sur la plaquette 14. Ainsi, l'articulation des gonds 32a par rapport aux supports de gonds 15 forme une charnière. La charnière ainsi formée est mobile en rotation autour de l'axe défini par les tiges 17. Les supports de gonds 15 font saillie, à partir de la portion périphérique 14a, vers l'intérieur de l'habillage 10a. La plaquette 14 comprend un orifice 14c prévu pour l'insertion de la charnière 32, ce qui permet d'aligner la charnière 32 avec les supports de gonds 15. La partie de masquage 32b est configurée pour masquer l'orifice 14c et les gonds 32a, en particulier lorsque le pot 100 est en position ouverte. A cet effet, la partie de masquage 32b est déportée par rapport aux tiges 17 définissant l'axe de pivot de la charnière 32, en direction du côté duquel s'ouvre le pot 100.

Les gonds 32a sont configurés pour accueillir un élément de rappel, en l'occurrence un ressort 16. En l'espèce, comme illustré sur la figure 2A, les gonds 32a comprennent une partie amincie autour de laquelle se loge le ressort 16. Le ressort 16 est monté en torsion entre les gonds 32a et les supports de gonds 15. Ainsi, le ressort 16 forme des moyens de rappel configurés pour rappeler le couvercle 20 en position ouverte du pot 100, c'est-à-dire pour éloigner le couvercle 20 de sa position d'obturation par rapport au corps 10.

Le socle 30 coopère avec un bouton poussoir 40. Le bouton poussoir 40 comprend une paroi d'appui 41a et une paroi de coulissement 41b sensiblement perpendiculaire à la paroi d'appui 41a. Le bouton poussoir 40, et plus particulièrement la paroi d'appui 41a, donne sur l'extérieur du couvercle 20. Comme indiqué précédemment et comme illustré sur la figure 3, une languette de blocage 42 est formée sur la paroi de coulissement 41b. La languette de blocage 42 sera décrite en détail par la suite.

Le bouton poussoir 40 comprend également des protubérances 44 aptes à coopérer avec des guides 34 du socle 30. En l'espèce, les protubérances 44 sont des tiges dont la section transversale est une croix. Dans cet exemple, les guides 34 sont des cylindres creux dont le diamètre intérieur est égal ou légèrement inférieur à la largeur de la section en croix. Ici, le socle 30 comprend deux guides 34 et le bouton poussoir 40 comprend deux protubérances 44 correspondantes. Les protubérances 44 sont configurées pour être insérées dans les guides 34 de façon à former une liaison glissière configurée pour guider le bouton poussoir 40 par rapport au socle 30.

Par ailleurs, le socle 30 et le bouton poussoir 40 comprennent des jupes respectives 35, 45, configurées pour coopérer de sorte à former une liaison glissière. La jupe 35 du socle 30 fait saillie vers le bouton poussoir 40. La jupe 45 du bouton poussoir 40 fait saillie vers le socle 30. Dans le présent mode de réalisation, les jupes 35, 45 sont cylindriques. Comme on peut le voir sur la figure 1, la surface radialement externe de la jupe 45 du bouton poussoir 40 glisse le long de la surface radialement interne de la jupe 35 du socle 30. La coopération des jupes 35, 45 permet d'atténuer les vibrations et la résonance dues au mouvement du bouton poussoir 40 par rapport au socle 30.

De plus, comme il ressort de la figure 3 le bouton poussoir 40 comprend des premiers éléments de glissière 46, en l'occurrence trois premiers éléments de glissière 46. Il pourrait y avoir plus ou moins de premiers éléments de glissière 46. Les premiers éléments de glissière 46 font saillie en direction du socle 30. L'extrémité distale des premiers éléments de glissière 46 est munie d'un épaulement 46a formant butée. Comme illustré sur la figure 5, l'épaulement 46a possède par ailleurs une forme permettant son assemblage par encliquetage avec les deuxièmes éléments de glissière 66 qui seront décrits ultérieurement.

Le bouton poussoir 40 et le socle 30 coopèrent par translation relative l'un par rapport à l'autre. En d'autres termes, le bouton poussoir 40 est mobile en translation, en l'espèce dans la direction dans laquelle s'étend la paroi de coulissement 41b, ici perpendiculairement à la paroi d'appui 41a. La direction de translation du bouton poussoir 40 est notée X sur la figure 1 et correspond à l'axe du couvercle 20. Dans le présent mode de réalisation, l'axe du couvercle X est selon la direction verticale lorsque le pot 100 est fermé et dans sa position d'utilisation normale, à savoir lorsque l'ouverture 11b donne vers le haut. Sauf indication contraire, les directions axiale, radiale et transverse seront données par la suite par rapport à l'axe du couvercle X.

Le socle 30 et le bouton poussoir 40 coopèrent par une came à parcours cœur. A cet effet, le socle comprend au moins un bras de came 38, ici deux (voir figure 2A). Les bras de came 38 sont situés radialement à l'intérieur de la jupe 35. Le bouton poussoir 40 comprend quant à lui au moins un parcours cœur 48, ici deux (voir figure 3). Les parcours cœur 48 sont situés radialement à l'intérieur de la jupe 45. En outre, un élément de rappel - prenant ici la forme d'un ressort 54 monté en compression entre le socle 30 et le bouton poussoir 40, en l'espèce à l'intérieur des jupes 35, 45 - tend à repousser le bouton poussoir 40 du socle 30. Le fonctionnement de la came à parcours cœur sera détaillé par la suite.

Le couvercle 20 comprend en outre une bague 50. Dans ce mode de réalisation, la bague 50 est sensiblement annulaire. La bague 50 forme la périphérie extérieure latérale du couvercle 20. Comme on peut le voir sur la figure 1, la paroi de coulissement 41b du bouton poussoir 40 coulisse le long de la surface radialement intérieure de la bague 50.

La bague 50 comprend des crans 52 (voir figure 2A) faisant permettant la fixation de la bague 50 sur le socle 30 par encliquetage. La paroi de coulissement 41b est apte à venir en butée contre les crans 52. Les crans 52 sont ici disposés à l'intérieur de la bague 50, le long d'une circonférence. Il est possible de prévoir un cran 52 unique ou plusieurs crans 52. Dans le cas d'un cran unique, ce cran 52 doit être interrompu au moins pour permettre le passage de la languette de blocage 42 qui, comme on le voit sur la figure 1, fait saillie de la paroi de coulissement 41b au-delà des crans 52. Le couvercle 20 comprend en outre un insert 60. L'insert 60 comprend un corps d'insert 62 duquel fait saillie un rail 64. Le rail 64, ainsi éventuellement que le corps d'insert 62, a une forme, en section transversale à l'axe du couvercle X, qui épouse sensiblement la forme de l'ouverture 11b. En outre, l'insert 60 comprend des deuxièmes éléments de glissière 66, ici trois deuxièmes éléments de glissière 66. Il pourrait y avoir plus ou moins de deuxièmes éléments de glissière 66. Les deuxièmes éléments de glissière 66 font saillie en direction du bouton poussoir 40. L'extrémité distale des deuxièmes éléments de glissière 66 est munie d'un épaulement 66a formant butée et comme on l'a vu précédemment, configuré pour permettre son assemblage par encliquetage avec les premiers éléments de glissière 46.

Les deuxièmes éléments de glissière 66 sont aptes à coopérer avec les premiers éléments de glissière 46 déjà décrits. Leur forme complémentaire permettant leur translation relative est bien visible sur la figure 1. Bien que le bouton poussoir 40 et l'insert 60 se trouvent de part et d'autre du socle 30, des fenêtres 36 ménagées dans le socle 30 (voir figure 2A), au droit des premiers et deuxièmes éléments de glissière 46, 66, permettent la mise en contact et la coopération des premiers et deuxièmes éléments de glissière 46, 66.

Les premiers et deuxièmes éléments de glissière 46, 66 définissent par leur coopération une course de translation du bouton poussoir 40 par rapport à l'insert 60. Par exemple, l'épaulement 46a est mobile en translation entre l'épaulement 66a et le corps d'insert 62.

L'insert 60 peut être assemblé au socle 30, du côté du corps 10. Par exemple, l'assemblage peut être effectué par emboîtement de créneaux 67 de l'insert 60 dans des éléments correspondants du socle 30.

Le couvercle 60 comprend en outre un cache 68. Comme illustré sur la figure 1, le cache 68 peut venir au contact du socle 30. Le cache 68 peut être fixé sur le socle 30 au moyen d'un élément de fixation, par exemple un bras d'encliquetage 68a coopérant avec une lumière de fixation 39 du socle 30. La surface libre du cache 68, c'est-à-dire la surface inférieure sur la figure 1, sera vue par l'utilisateur du pot 100 lorsque le pot 100 est ouvert, c'est-à-dire lorsque le couvercle 20 est éloigné du corps 10. Cette surface peut comprendre des éléments d'ornementation.

Le couvercle 20 comprend en outre un joint 69 ayant une forme du type tore creux. Le joint 69 comprend une fente 69a permettant son montage sur le rail 64 de l'insert 60. Dans ce mode de réalisation, la fente 69a parcourt le joint 69 sur toute sa longueur. Une fois monté, dans la mesure où la forme du joint 69 correspond à celle de l'ouverture 11b, le joint 69 réalise l'étanchéité de la fermeture opérée par l'opercule 18, comme on peut le voir sur la figure 1.

Le joint 69 est configuré pour réaliser une étanchéité axiale, c'est-à-dire que une étanchéité selon l'axe X du couvercle 20. En d'autres termes, le joint 69 réalise une étanchéité selon une surface normale à l'axe X du couvercle 20.

En outre, le joint 69 peut être configuré pour réaliser une étanchéité dans sa direction de compression, c'est-à-dire une étanchéité sur une surface normale à sa direction de compression. Sur l'exemple de la figure 1, le joint 69 peut être comprimé axialement, ici par mouvement axial de l'insert 60, et réalise alors une étanchéité axiale, ici sur l'opercule 18 et le rebord lia.

Comme indiqué précédemment, le couvercle 20 comprend également une patte de fermeture 70. La patte de fermeture 70 comprend un pivot 72 configuré pour être reçu dans un orifice correspondant 31 du socle 30. Ainsi, la patte de fermeture 70 est en rotation, autour du pivot 72, par rapport au socle 30. Dans le présent mode de réalisation, le pivot 72 est perpendiculaire à l'axe du couvercle X. Le pivot 72 est, dans cet exemple, placé à une extrémité de la patte de fermeture 70. La patte de fermeture 70 comprend, à son extrémité opposée au pivot 72, un crochet 74. Le crochet 74 désigne toute forme apte à s'engager avec un élément d'engagement 14e correspondant, prévu en l'occurrence dans la plaquette 14. Le crochet 74 est prévu du côté de la patte de fermeture 70 le plus proche du corps 10, tandis que le pivot 72 est prévu du côté de la patte de fermeture 70 le plus éloigné du corps 10, soit ici le plus proche du bouton poussoir 40.

La patte de fermeture 70 comprend en outre un ergot 76, faisant saillie radialement par rapport à l'axe du couvercle X, en direction de la languette de blocage 42. L'ergot 76 comprend une surface biseautée faisant face à la languette de blocage 42 et à la paroi d'appui 41a.

Le couvercle 20 est aussi muni de moyens de rappel configurés pour rappeler la patte de fermeture 70 dans la position dégagée, c'est-à- dire, comme indiqué précédemment, dans une position dans laquelle la patte de fermeture 70 ne coopère pas avec l'élément d'engagement 14e. Dans le présent mode de réalisation, les moyens de rappel comprennent un ressort 78. Le ressort 78 est monté en torsion entre le socle 30 et la patte de fermeture 70 de façon à faire pivoter la patte de fermeture 70 en l'éloignant de l'élément d'engagement 14e.

Alternativement ou en complément, les moyens de rappel pourraient comprendre un aimant, ou encore un poids destiné à faire basculer la patte de fermeture par gravité lorsque le pot 100 est dans sa position normale d'utilisation.

Le fonctionnement du pot 100 va maintenant être détaillé en se référant aux figures 1, 4 et 5.

Sur la figure 1 est illustré un état dans lequel le pot 100 est en position d'obturation : le couvercle 20 obture l'ouverture 11b, indépendamment de l'opercule 18. La patte de fermeture 70 est dans une position engagée dans laquelle la patte de fermeture 70 coopère avec l'élément d'engagement 14e et maintient ainsi le couvercle 20 en position d'obturation. Par ailleurs, la languette de blocage 42 est dans une position verrouillée dans laquelle la languette de blocage 42 bloque la patte de fermeture 70 dans la position engagée. En effet, comme on peut le voir sur la figure 1, toute rotation de la patte de fermeture 70 autour de son pivot 72 est impossible car l'ergot 76 est en appui contre la languette de blocage 42. Ainsi, le pot 100 est solidement fermé.

Dans ce mode de réalisation, le bouton poussoir 40 fait office d'actionneur configuré pour mouvoir la languette de blocage 42 entre la position verrouillée et la position déverrouillée.

Lorsqu'un utilisateur souhaite déverrouiller le pot 100, il active l'actionneur, ici en appuyant sur la paroi d'appui 41a du bouton poussoir 40. L'utilisateur exerce une pression axiale selon l'axe du couvercle X. Avant d'appuyer, les bras de came 38 sont dans la première position stable 38a indiquée sur la figure 4. En appuyant sur le bouton poussoir 40, contrant l'effet de rappel du ressort 54, les bras de came 38 suivent le parcours cœur 48 dans le sens des flèches sur la figure 4 et parviennent à la deuxième position stable 38b. Le bouton poussoir 40 est alors dans la position représentée sur la figure 5.

Comme illustré sur la figure 5, l'appui sur le bouton poussoir 40 permet une translation du bouton poussoir 40 le long de l'axe du couvercle X, en s'éloignant du corps 10. Le bouton poussoir 40 est donc éloigné du corps 10 par le ressort 54, jusqu'à ce qu'il soit retenu par la came à parcours cœur.

La languette de blocage 42, qui est solidaire en translation avec le bouton poussoir 40, s'éloigne également du corps 10. Ce faisant, elle n'est plus en contact avec l'ergot 76 ni, plus généralement, avec la patte de fermeture 70. La languette de blocage 42 est donc dans une position déverrouillée, dans laquelle la patte de fermeture 70 est mobile entre la position engagée et la position dégagée. Etant rappelée par le ressort 78, la patte de fermeture 70 pivote et passe de la position engagée à la position dégagée représentée sur la figure 5. Dans cette position, la patte de fermeture 70 ne coopère pas avec l'élément d'engagement 14e et l'utilisateur est libre d'ouvrir le pot 100. En l'espèce, l'ouverture du pot 100 est assistée, si ce n'est automatique, du fait de la présence du ressort 16 qui tend à faire en sorte que le couvercle 20 quitte sa position d'obturation.

Comme illustré sur la figure 5, le socle 30 comprend une pièce d'arrêt 37 prévue de sorte que lorsque la patte de fermeture 70 est en position dégagée, la patte de fermeture 70 est en butée contre la pièce d'arrêt 37. La pièce d'arrêt 37 définit donc, avec l'élément d'engagement 14e, la course en rotation de la patte de fermeture 70. La pièce d'arrêt 37 limite la rotation de la patte de fermeture 70 pour que son passage de la position dégagée à la position engagée puisse être entraîné facilement par la languette de blocage 42, comme il va maintenant être décrit.

Pour refermer et verrouiller le pot 100, l'utilisateur peut placer le couvercle 20 en position d'obturation, puis appuyer sur le bouton poussoir 40 servant d'actionneur. Ce faisant, les bras de came 38 passent de la deuxième position stable 38b à la première position stable 38a en suivant le sens des flèches indiqué sur la figure 4. Lors de l'appui sur le bouton poussoir 40, la languette de blocage 42 est déplacée en direction du corps 10. La languette de blocage 42 coopère, dans ce mouvement, avec l'ergot 76 et tend à replacer la patte de fermeture 70 dans la position engagée, contrant l'effet du ressort 78. Lorsque la première position stable 38a est de nouveau atteinte, la situation est de nouveau celle représentée à la figure 1 : position d'obturation du couvercle 20, position engagée de la patte de fermeture 70 et position verrouillée de la languette de blocage 42.

Les figures 6 à 10 présentent le pot dans un autre mode de réalisation. Sur ces figures, les éléments correspondant ou identiques à ceux du premier mode de réalisation recevront le même signe de référence, au chiffre des centaines près, et ne seront pas décrits à nouveau.

La figure 6 illustre un deuxième mode de réalisation d'un pot 200. Ce mode de réalisation diffère essentiellement du premier par la coopération du socle 130, du bouton poussoir 140 et de l'insert 160. A la place des premiers et deuxièmes éléments de glissières 46, 66, le bouton poussoir 140 et l'insert 160 comprennent respectivement des premiers et deuxièmes éléments d'encliquetage 146, 166 qui sont montés fixes les uns par rapport aux autres. Ainsi, dans ce mode de réalisation, l'insert 160 est solidaire en translation, en particulier le long de l'axe X du couvercle, du bouton poussoir 140.

Par ailleurs, comme on peut le voir sur la figure 7 dont la figure 6 est une vue en coupe selon le plan VI-VI, ainsi que sur la vue en perspective de la figure 10, les parcours cœur 148 ne sont plus prévus sur le bouton poussoir 140 mais sur l'insert 160. Les bras de came 138 sont toujours prévus sur le socle 130, mais en périphérie du socle 130, à l'extérieur de la jupe 135.

En appuyant sur le bouton poussoir 140, les bras de came 138 passent de la première position stable 138a à la deuxième position stable 138b, faisant ainsi passer la languette de blocage 142 dans la position dégagée représentée à la figure 8. La figure 8 est une vue dans un plan similaire à celui de la figure 6. La patte de fermeture 170 est en position dégagée. En outre, l'insert 160 s'est éloigné du corps 110, dégageant ainsi le joint 169 de l'ouverture 111b et, le cas échéant, de l'opercule 118. En d'autres termes, comme il ressort des figures 6 et 8, le joint 169 est solidaire en translation du bouton poussoir 140, ici via l'insert 160.

La figure 9 illustre en perspective le bouton poussoir 140 selon le deuxième mode de réalisation. Outre les caractéristiques déjà décrites, on note que la languette de blocage 142 présente, à sa jonction avec la paroi de coulissement 141b, un décalage radial 141c. Ce décalage 141c vise à compenser la projection radiale vers l'intérieur de la bague 150 (voir figure 8). Comme illustré sur la figure 6, dans la position verrouillée de la languette de blocage, la paroi d'appui 141a du bouton poussoir 140 est de niveau avec la projection radiale de la bague 150 qui lui est adjacente.

Ainsi que le montre la figure 10, l'insert 160 est très similaire à l'insert 60 du premier mode de réalisation, hormis la présent des parcours cœur 148. En outre, étant mobile par rapport au socle 130, l'insert 160 ne comprend pas d'élément correspondant aux créneaux 67.

La figure 11 illustre en perspective le socle 130. Sur cette figure, l'orifice 131 destiné à accueillir le pivot de la patte de fermeture 170 est particulièrement visible. A proximité de l'orifice 131 est prévue une entaille 131a configuré pour servir d'appui au ressort 78. Une entaille similaire peut être prévue dans le premier mode de réalisation (voir figure 3).

Comme il ressort des figures 6 et 8, le pot 200 ne comprend pas de cache similaire au cache 68. La surface du socle 130 qui fait face au corps 110 est une surface pleine et peut être ornée en elle-même.

En outre, le socle 130 ne comprend pas de guides similaires aux guides 34. De même, le bouton poussoir 140 ne comprend pas de guides similaires aux guides 44. Dans la mesure où les bras de came 138 sont prévus à l'extérieur de la jupe 135 et sont diamétralement opposés, ils sont suffisamment espacés pour offrir un guidage suffisant du bouton poussoir 140 et de l'insert 160 par rapport au socle.

Bien que la présente invention ait été décrite en se référant à des exemples de réalisation spécifiques, des modifications peuvent être apportées à ces exemples sans sortir de la portée générale de l'invention telle que définie par les revendications. En particulier, des caractéristiques individuelles des différents modes de réalisation illustrés/mentionnés peuvent être combinées dans des modes de réalisation additionnels. Par conséquent, la description et les dessins doivent être considérés dans un sens illustratif plutôt que restrictif.