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Title:
POWERING SYSTEM INTEGRATED BENEATH A LIFT CAGE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2002/057172
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a device for powering a lift of the type comprising a cage (10) or (210) integral with a car frame (21) co-operating with a counterweight (11). The arrangement of the pulleys is different depending on whether the guide means are central of lateral according to the load capacity. The motor (750) is integrated beneath the floor of the cage (10) or (210), the latter co-operates through transmission belts (700) on a traction sheave (23) or (123) which executes a movement raising or lowering the lift. The brake (330) (430) (540) is generally fixed on the deflection pulley (124) (224); it can also be installed on the traction sheave in a particular arrangement. The brake (330) (430) (540) or its offset device (540), is for the first time accessible from the cage (10) (210). Said braking access control device, is associated with a system linked to the ground through a fixed small cable (612) (614) passing on two small pulleys (600), the latter being mounted on a support (613) of the cage frame (617). Said device can be actuated from a landing door (718) with a linkage system (615) connected on the support (619) located at the low end of the small cable (614). The lift is released without auxiliary power by an operator of the remote monitoring system, who can operate the braking release system, thereby enabling the lift to drift by gravity in case of power failure, via a programmable automaton (333).

Inventors:
KADOCHE EMILE (FR)
Application Number:
PCT/FR2001/003993
Publication Date:
July 25, 2002
Filing Date:
December 14, 2001
Export Citation:
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Assignee:
KADOCHE EMILE (FR)
International Classes:
B66B9/02; B66B11/00; (IPC1-7): B66B11/00
Domestic Patent References:
WO1999043595A21999-09-02
Foreign References:
EP0924156A21999-06-23
EP1031528A12000-08-30
Other References:
PATENT ABSTRACTS OF JAPAN vol. 2000, no. 09 13 October 2000 (2000-10-13)
PATENT ABSTRACTS OF JAPAN vol. 017, no. 541 (M - 1488) 29 September 1993 (1993-09-29)
Attorney, Agent or Firm:
Bezault, Jean (36 avenue Hoche, Paris, FR)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. 1 Un système d'ascenseur ou similaire, installé dans une gaine prévue à cet effet, dans la structure d'un bâtiment, comprenant une cabine d'ascenseur ou similaire se déplaçant dans ladite gaine, alternativement avec un contrepoids : une nappe de câbles acier ou en matériau composite prévu pour supporter des charges dont les 2 extrémités sont fixées en partie haute de la gaine une poulie d'entraînement indépendante du moteur, embarquée dans la structure de l'étrier de la cabine. un moteur situé en dessous de la cabine fixé dans l'étrier, accessible que par le dessous de la cabine. un frein monté sur la poulie de déflexion, accessible depuis l'intérieur de la cabine un dispositif de réglage déporté du frein depuis la cabine un dispositif de libération du frein par un câble et une timonerie à distance. la libération du frein par la télésurveillance via un automate programmable et en collaboration de l'usager bloqué dans la cabine. Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que les deux extrémités de la nappe de câbles étant fixée en haut de gaine ; par définition les câbles ne bougent pas ; les 2 éléments mobiles cabine et contrepoids ce déplaçant sur la nappe de câbles. Système d'ascenseur suivant la revendication 2 caractérisé en ce que le mouvement de la cabine et du contrepoids, qui sont suspendus ou en appuis sur les câbles par les poulies respectives, est actionné par la rotation de la poulie d'entraînement, située dans la structure, en dessous ou sur le côté de la cabine 4 Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que la poulie d'entraînement est indépendante du moteur, par voie de conséquence, elle est déconnectée de la structure du moteur.
2. ystème d'ascenseur suivant la revendication 4 caractérisé en ce que la poulie d'entraînement est située en dessous de la cabine, celleci est fixée dans la structure inférieure horizontale de l'étrier.
3. Système d'ascenseur suivant la revendication 4 caractérisé en ce que la poulie d'entraînement est située sur le côté de la cabine, celleci est fixée dans la structure verticale de l'étrier.
4. Système d'ascenseur suivant la revendication 4 ou 6 caractérisé en ce que la poulie d'entraînement est située sur le côté de la cabine, une poulie de déflexion est superposée dans le mme alignement, permettant de faire un tour mort à la nappe de câbles sur les deux poulies, pour une meilleure adhérence.
5. Système d'ascenseur suivant la revendication 4 ou 5 caractérisé en ce que la poulie d'entraînement est située sous le plancher de la cabine, une autre poulie appelée, poulie de déflexion est fixée dans le mme alignement pour le renvoi des câbles, un tour mort de la nappe de câbles sur les deux poulies assurant une meilleure adhérence.
6. Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que le moteur se trouve sous la cabine d'ascenseur. Celuici collaborant avec la poulie d'entraînement.
7. Système d'ascenseur suivant la revendication 6 caractérisé en ce que le frein est installé sur la poulie d'entraînement sur le côté de la cabine, accessible derrière le panneau de contrôle cabine.
8. Système d'ascenseur suivant la revendication 7 caractérisé en ce que le frein est installé sur la poulie de déflexion sur le côté de la cabine, accessible derrière le panneau de contrôle cabine.
9. Système d'ascenseur suivant la revendication 8 caractérisé en ce que le frein est installé sur la poulie de déflexion sous la cabine 13 Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que le dispositif de réglage déporté du frein est accessible depuis l'intérieur de la cabine 14 Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que le dispositif de déblocage du frein de la cabine peut tre effectué à distance depuis une porte d'ascenseur déterminée au préalable.
10. 15 Système d'ascenseur suivant la revendication 1 caractérisé en ce que le dispositif de déblocage du frein peut tre effectué à distance par un opérateur de la télésurveillance, avec la coopération d'un usager bloqué dans la cabine, via un automate programmable embarqué.
Description:
MOTORISATION EMBARQUEE SOUS UNE CABINE D'ASCENSEUR La présente invention a pour objet un dispositif d'entraînement pour ascenseur ou autre installation similaire.

De façon plus précise, l'invention concerne des moyens qui permettent le mouvement de montée et descente de l'ascenseur ou similaire dans la cage d'ascenseur dans laquelle il est installé.

Dans la présente demande de brevet, pour ascenseur ou similaire, il faut entendre non seulement les ascenseurs au sens propre du terme mais également des monte-charge ou des dispositifs monte handicapés.

Il est bien connu qu'il existe deux grands modes de réalisation du dispositif moteur permettant de commander les mouvements de montée et de descente d'un ascenseur, ces dispositifs étant soit électriques soit hydrauliques.

La présente invention concerne exclusivement le domaine des ascenseurs commandés de façon électrique.

Dans les systèmes d'entraînement pour ascenseur du type électrique, de façon classique, un local machinerie est attenant à la gaine d'ascenseur.

On comprend que cette disposition entraîne obligatoirement des frais supplémentaires pour : - le propriétaire de l'immeuble, qui doit fournir un local machinerie.

- la conception du matériel de motorisation et des supports. L'ensemble est renforcé afin de résister aux charges suspendues. Ce détail important a une répercussion directe sur le coût de production et d'installation pour la société d'ascenseurs.

D'autres principes de motorisation sans local machinerie existent sur le marché et dont certaines sociétés classent leur système dans la catégorie des « machine-roomless » en réalité la motorisation est accrochée sur les rails ou autre support en haut de la gaine, celle-ci existe physiquement de façon indépendante de la cabine, avec en plus la difficulté d'accès à ma machine, et au système de freinage pour le personnel de maintenance.

D'autres principes sont vendus avec la motorisation sur le toit de cabine, ce concept a été développé et installé sur le toit pour la seule raison « avoir accès au système de freinage ».

Le toit d'une cabine d'ascenseur est déjà très chargé par les organes et composants « basic » pour le fonctionnement de l'ascenseur. Le personnel de maintenance à bien souvent du mal à ce mouvoir sur le toit de la cabine pour l'entretien, il est évident que la présence d'un moteur de traction et de la poulie d'entraînement (organes tournants) ne fait que rendre plus difficile la visite du personnel, et accroître les risques-

Le but de la présente invention de l'ascenseur sans local machinerie, est d'apporter un concept plus accessible pour le personnel d'entretien pour le réglage du système de freinage, une motorisation simplifiée, un contrôleur de manoeuvre simplifié par un automate programmable également embarqué.

Pour atteindre ce but selon l'invention, le dispositif moteur pour ascenseur du type motorisation embarquée comprenant une cabine solidaire d'un étrier coopérant avec des moyens de poulies et de guidages verticaux.

Ces différents arrangements se caractérisent comme suit : - position latérale des guidages de la cabine à vitesse supérieure à 1 m/s pour une charge jusqu'à 630 kg.

- position latérale des guidages de la cabine à vitesse inférieure à 1 m/s pour une charge jusqu'à 630 kg.

- position centrée des guidages de la cabine, en général pour une charge supérieure à 630 kg, « sans limitation de vitesse ».

- Freinage installé sur la poulie de déflexion située à hauteur d'homme, dans la structure verticale porteuse de l'ascenseur (appelée étrier), accessible depuis la cabine en ouvrant le panneau de contrôle.

- Lorsque le freinage est installé sur la poulie de déflexion située sous la cabine, un système auxiliaire de réglage et de déblocage est fixé sur un support accessible en ouvrant le panneau de contrôle, ce dernier permet depuis l'-intérieur cabine, d'atteindre le frein à l'aide d'une timonerie.

- Déblocage du frein en cas de coupure de courant depuis l'intérieur de la cabine par les usagers, en collaboration et instruction d'un opérateur de la télésurveillance. L'opération de déblocage ne nécessite aucune énergie de puissance électrique auxiliaire, le contrôle des sécurités est transmis depuis l'automate programmable embarqué, à l'opérateur, ce dernier dialogue avec les usagers de la cabine, et leur indique un code sur les boutons cabine pour le déblocage avec une sécurité totale.

- Déblocage de l'extérieur depuis la porte du rez-de-chaussée en cas de panne, par action sur le frein relié à une timonerie ou électriquement.

- Moteur électrique fixé sous la cabine. Accouplement moteur/poulie par courroies ou chaînes.

La face inférieure de la cabine est rarement exploitée, dans le cas présent cet endroit est idéal pour mettre une motorisation.

Le moteur une fois installé, ne nécessite pas de contrôle périodique, il est de série standard du commerce.

Brève description des schémas FIG. 1 schéma représentant une gaine d'ascenseur sans local indépendant pour la machinerie. Ce schéma représente un arrangement de câbles coopérant avec une poulie d'entraînement pour un ascenseur allant jusqu'à 630 kg de charge utile, pour une vitesse inférieure à 1 m/s. Disposition latérale des guides cabine selon la présente invention.

FIG. 2 schéma représentant un arrangement de câbles et de poulies pour un ascenseur jusqu'à 630 kg de charge utile, pour une vitesse supérieure à 0. 63 m/s. Disposition latérale des guides cabine selon la présente invention.

FIG. 3 schéma représentant un arrangement de câbles et de poulies pour un ascenseur de charge utile inférieure ou supérieure à 630 kg et pour une vitesse inférieure ou supérieure à 1 m/s. Disposition centrale des guides cabine, les poulies sont sous la cabine.

FIG. 4 schéma représentant une vue depuis l'intérieur de la cabine, le frein est positionné dans l'encombrement de la poulie d'entraînement, à hauteur d'homme, dans l'étrier cabine, selon la présente invention.

FIG. 5 schéma représentant une vue depuis l'intérieur de la cabine, le frein est positionné dans l'encombrement de la poulie de déflexion, à hauteur d'homme, dans l'étrier cabine, selon la présente invention.

FIG. 6 schéma représentant une vue depuis l'intérieur cabine, d'un moyen de réglage déporté du système de freinage fixé sur un support, selon la présente invention.

FIG. 7 schéma représentant la timonerie pour le déblocage du frein reliée à la porte du rez-de-chaussée suivant la présente invention.

FIG. 8 schéma représentant le moteur d'entraînement embarqué sous la cabine coopérant avec une poulie d'entraînement fixée dans un étrier latéral.

FIG. 9 schéma représentant le moteur d'entraînement embarqué sous la cabine coopérant avec une poulie d'entraînement fixée sur la traverse d'un étrier central, cette traverse est située sous la cabine.

DETAILS DE LA PRESENTE DEMANDE Le système fonctionne de la manière suivante :

La cabine et son contrepoids sont suspendus par une nappe de câbles acier ou en matériau composite ayant la mme résistance. Cette nappe de câble acier ou en matériau composite est fixée en haut de la gaine par ses deux extrémités, par 2 points fixes. Les câbles passent sous les poulies de renvoi et d'entraînement, la cabine et le contrepoids sont en quelques sortes en appui sur les torons des câbles.

A l'inverse d'un ascenseur traditionnel, la cabine est plus lourde que le contrepoids. Ce détail est important car techniquement, nous ne pourrions pas contrôler le déplacement de la cabine.

Lorsqu'un ordre de départ est donné, le moteur tourne dans le sens souhaité, celui-ci à son tour restitue le couple moteur sur des courroies ou des chaînes qui font tourner la poulie d'entraînement. Cette poulie d'entraînement est totalement désolidarisée du moteur électrique, celle-ci est fixée solidement dans la structure de l'étrier cabine, et sur laquelle passent les câbles de traction suivant le sens de rotation, elle permet le déplacement de la cabine en sens montée ou descente.

Un moteur électrique, désolidarisé de la poulie d'entraînement, permet plus facilement l'installation d'une cabine d'ascenseur soit avec un guidage central (un rail de chaque côté de la cabine), cet arrangement est intitulé traction directe.

Un guidage latéral (les 2 rails sont installés sur un côté ou à l'arrière) la cabine est tractée en porte-à-faux. Il et à noter que le moteur n'est pas accessible depuis l'intérieur de la cabine, mais seulement par le dessous.

Il en est de mme pour la poulie d'entraînement celle-ci est solidement fixée dans la structure de l'étrier de la cabine, elle est indépendante, par voie de conséquence, elle est déconnectée de la structure du moteur. Pour rappel, l'étrier est un ensemble de profilés métalliques, qui permet de guider la cabine dans les rails, de suspendre la cabine par une nappe de câbles, et d'immobiliser la cabine sur les rails en cas de chute, par un système de blocage mécanique, appelé parachute. L'étrier permet également de fixer des poulies dans sa structure. Les poulies peuvent y tre fixées au-dessus ou en dessous. Dans la présente demande de brevet la poulie d'entraînement peut tre fixée selon le cas de traction, en dessous ou sur le côté de l'étrier.

Il en est de mme pour la poulie de déflexion appelée parfois poulie de renvoi. Sa fonction est de déporter les câbles dans une autre direction, elle peut également servir de poulie de mouflage pour augmenter l'adhérence des câbles de traction.

Suivant le cas, elle peut tre installée sous le plancher dans la traverse horizontale de l'étrier à guidage centré. Elle peut également tre installée verticalement sur le côté latéral dans la structure de l'étrier, à guidage latéral.

Dans le cas d'une traction latérale, la poulie de déflexion ou de mouflage se trouve à hauteur d'homme dans la cabine, cette disposition permet d'installer sur le flanc de la polie, un système de freinage, accessible depuis l'intérieur de la cabine. Cette poulie de déflexion lorsqu'elle est utilisée pour le freinage, les gorges de celle-ci sont taillées en VE adaptées au diamètre des câbles. Cet

ensemble est bien entendu protégé par le panneau de la boîte à boutons.

L'ouverture de ce panneau est possible par un outil spécifique, que possède le personnel de maintenance.

Dans le cas d'une traction centrale, la poulie se trouve en dessous du plancher dans la traverse horizontale. Un mécanisme est installé à hauteur d'homme à l'intérieur de la cabine, derrière le panneau. Ce mécanisme est relié l'aide d'une timonerie, aux mâchoires du frein, qui dans cette configuration se trouve sur la poulie de renvoi située dans la traverse horizontale inférieure, pour le déblocage ainsi que pour le réglage de la levée du frein à distance.

Pour la première fois le frein n'est pas installé sur la poulie d'entraînement, en général celle-ci, est solidaire du moteur électrique.

Lorsqu'un ordre de marche est donné, le frein est libéré, les câbles de traction étant serrés par le mouflage des poulies, cela donne la possibilité à la poulie d'entraînement de pouvoir grimper le long des torons des câbles, dans le sens de la montée, ou de la descente, lorsque l'ordre est inverse.

Une autre application, non négligeable faisant partie de la présente demande, est l'emploi d'un contrôleur de manoeuvre réduit à sa plus simple expression, qui est soit un automate programmable, ou une carte électronique unique, qui regroupe toutes les fonctionnalités, y compris la sélection d'étages, cela sans l'emploi de relais, ni contacteur de puissance.

Ce dispositif permet également de jouer un rôle important en cas de panne de courant. En effet lorsque cela se produit, habituellement l'usager appui sur un bouton d'alarme, qui le met en relation avec une personne de la centrale de télésurveillance. Cette carte électronique ou l'automate programmable. Ce nouveau moyen de contrôle, permettrait, une vérification des sécurités à distance et pouvoir libérer l'usager bloqué dans la cabine par un code, que l'usager pourrait faire via les boutons d'appel, donc avec la collaboration de l'usager, et de déplacer la cabine par gravitation à l'étage le plus proche.

La cabine peut également tre contrôler, depuis la porte palière, par un connecteur qui est relié à la cabine.

Un système de déblocage de la cabine depuis la porte palière du rez de chaussée est prévu, le mécanisme est composé de deux poulies fixées sur le châssis de la cabine. Ces deux poulies collaborent avec une câblette. La câblette est en contact avec les deux poulies fixées sur un support horizontal, sur le châssis de l'étrier cabine. Une extrémité de ladite câblette, est fixée sur un support en haut de la gaine, l'autre extrémité est fixée sur un support en partie basse de la gaine. La câblette est fixe dans la gaine, seules les deux poulies tournent lorsque la cabine se déplace. Le support des deux poulies est fixé sur un axe au châssis de la cabine. A l'autre extrémité du support, le mouvement est limité par une butée vers le haut et un petit amortisseur vers le bas. Le mouvement du support à cette extrémité sur l'amortisseur permet de libérer mécaniquement les mâchoires du frein. Ce mouvement oscillatoire est provoqué par un effort admis sur le support.

Le support est relié à la porte palière, à l'aide d'une timonerie. Seule une

personne habilitée peut avoir accès au mécanisme, permettant la manoeuvre en cas de panne.

DESCRIPTION DE LA PRESENTE INVENTION.

Se référant à la FIG. (1), l'ascenseur est implanté dans une gaine (13), en général dans une structure de bâtiment (12), comprenant une cabine d'ascenseur (10), et un contrepoids (11).

La cabine d'ascenseur (10) ainsi que son contrepoids (11), suspendus par un câble (19) en acier du commerce, (sur le schéma un seul câble est représenté) pour matérialiser l'arrangement de la nappe de câbles, se déplacent dans la gaine (13) alternativement.

Le câble (19) est fixé à une extrémité (15) au plafond de la structure du bâtiment (12) à l'aplomb d'un point précis de la cabine ou à un support sur les rails (non représenté sur le schéma). L'autre extrémité (20) du câble au plafond de la structure du bâtiment (16) à l'aplomb d'un point précis du contrepoids (11).

Le mouvement montée/descente, des éléments mobiles suspendus, se fait par la rotation de la poulie d'entraînement (23).

Un ascenseur à vitesse inférieure à 1 m/s, avec une charge jusqu'à 630 kg, correspond à la FIG (1) représentant un arrangement de câbles (19) (20) de suspension, lorsque la disposition des guides cabine (10) est latérale, le câble (19) partant de son point fixe (15) depuis la partie haute de la gaine (13), descend à l'aplomb de la cabine (10), passe sous la poulie d'entraînement (23) qui est fixée dans l'étrier (21), remonte en partie haute de la gaine (13) passe sur une poulie de renvoi (17), redescend vers le contrepoids (11), passe sous la poulie de suspension (18) de ce dernier, et remonte vers le haut de la gaine (13) sur un point de fixation (16).

A vitesse supérieure à 1 m/s, avec une charge jusqu'à 630 kg, correspond à la FIG (2) représentant un arrangement de câbles (119) (120) de suspension, lorsque la disposition des guides cabine (10) est latérale, le câble (119) partant de son point fixe (115), descend à l'aplomb de la cabine (10), passe sous la poulie d'entraînement (123), qui est fixée dans l'étrier (21), remonte au-dessus de la poulie d'entraînement (123) dans le mme alignement, une seconde poulie appelée de déflexion (124) permet de faire aux câbles (125) un tour mort sur les deux poulies, afin d'éviter le glissement. Le câble remonte à son tour vers le haut, passe sur une poulie de renvoi (117), redescend vers le contrepoids (11), passe sous la poulie de suspension (118) et remonte vers son point de fixation (116).

La FIG. (3) représente une cabine d'ascenseur avec un guidage centré quelle que soit la vitesse ou la charge, la poulie d'entraînement (223) est fixée sous le plancher de la cabine (210) avec une deuxième poulie dans le mme alignement horizontal, appelée poulie de déflexion (224).

Le câble (219) partant de son point fixe (215) depuis la partie haute (214), descend à l'aplomb de la cabine (210), passe sous la poulie de déflexion (224) dans le mme alignement passe sous la poulie d'entraînement (223), fait un tour mort sur les 2 poulies repasse par le bas des deux poulies, remonte, passe sur une poulie de renvoi (217), redescend vers le contrepoids (211), passe sous la poulie de suspension (218), et se dirige vers le haut, sur un point de fixation (216).

Pour les ascenseurs de charge utile jusqu'à 630 kg pour une vitesse inférieure à 1 m/s, avec une disposition latérale des guides cabine, se référant à la FIG (4) la poulie d'entraînement (323) est équipée d'un frein (330) électromagnétique.

Le frein (330) se trouve quasiment à hauteur d'homme derrière le panneau de contrôle (332), qui est dans le mme alignement que les panneaux cabine (331), le personnel de maintenance peut travailler en toute sécurité, depuis l'intérieur cabine. L'automate (333) programmable se trouve également derrière le panneau de contrôle (332), celui-ci permet de visualiser, et de contrôler les circuits électriques. Le déblocage de l'ascenseur en cas de panne électrique, peut tre fait à distance par les équipes de télésurveillance. En effet toutes les cabines d'ascenseurs sont pratiquement liées à une centrale téléphonique. L'automate (333) peut joué un rôle très important lorsqu'un usager se trouve bloquer dans la cabine, appui sur le bouton alarme qui le met en relation immédiate à la permanence de la télésurveillance, ou à un service similaire. Si toutes les sécurités (gérées par l'automate (333) sont requises et vérifiables par la télésurveillance, un ordre de déblocage peut tre envoyé par téléphone permettant ainsi de faire descendre la cabine par gravitation, jusqu'au prochain arrt et de libérer les usagers, sans intervention physique externe, sans déplacement, et sans besoin d'énergie motrice auxiliaire. La FIG (5) représente une vue depuis l'intérieure de la cabine, le frein (430) est alors transféré de la poulie d'entraînement (423) à la poulie de déflexion (424) pour que ce dernier soit toujours plus accessible, en ouvrant le panneau de contrôle (332).

La FIG. (6) localise le dispositif de réglage (540) de freinage à distance, fixé sur un support (531), qui est lié au frein depuis l'intérieur de la cabine par une timonerie (532), allant au frein (530) FIG 9, il est monté sur la poulie de déflexion (224) sous la cabine (210).

FIG. (7) représente un mécanisme composé de deux poulies (600) fixées sur le châssis de la cabine (610). Ces deux poulies collaborent avec une câblette.

La câblette (612), (614) est en contact avec les deux poulies (600) fixées sur un support horizontal (613), sur le châssis de l'étrier (617) cabine (610). Une extrémité de ladite câblette (612), est fixée sur un support (611) en haut de la gaine (13), l'autre extrémité est fixée sur un support (619) en partie basse de la gaine. La câblette est fixe dans la gaine seules les deux poulies (600), tournent lorsque la cabine (610) se déplace. Le support (613) des deux poulies (600) est fixé sur un axe au châssis de la cabine (610). A l'autre extrémité du support (623), le mouvement est limité par une butée (624) vers le haut et un petit amortisseur (625) vers le bas. Le mouvement du support à cette extrémité sur l'amortisseur (625) permet de libérer mécaniquement les mâchoires du frein. Ce mouvement oscillatoire est provoqué par un effort admis sur le support (619). Le support (619)

est relié à la porte palière (618), à l'aide d'une timonerie (615). Seule une personne habilitée peut avoir accès au mécanisme, permettant la manoeuvre en cas de panne.

Les FIG 8 et FIG 9, le moteur (750) est installé sous la cabine (10) ou (210), son rôle est d'entraîner la poulie nommée poulie d'entraînement (123) ou (223). Pour ce faire, une petite poulie (700) est fixée sur l'extrémité l'arbre moteur (750), conçue pour recevoir des courroies (800) ou des chaînes. Une poulie de mme type « non représentée sur les FIG 8 et 9 », de diamètre plus grand, est adaptée sur la poulie d'entraînement (123) ou (223), son diamètre est calculé pour obtenir un rapport de rotation.