La présente invention concerne le domaine du mobilier et plus précisément celui des fauteuils ou chaises inclinables et repliables comprenant au moins un dossier et un repose-jambes.

Un exemple de ces fauteuils est décrit dans le brevet français FR2721811.

Ce document décrit un fauteuil de relaxation comprenant : un cadre formant dossier ; deux longerons parallèles formant assise, les longerons étant articulés au voisinage de l'extrémité inférieure du cadre formant dossier ; deux accotoirs parallèles entre eux et parallèles aux longerons d'assise, les accotoirs étant articulés sur le cadre formant dossier, chaque accotoir présentant un axe de coulissement parallèle aux longerons ; un cadre en forme de U formant repose-jambes dont les deux branches sont articulées à l'extrémité des longerons, l'extrémité supérieure des branches du cadre formant repose-jambes est articulée à l'extrémité des accotoirs; une toile tendue accrochée sur le cadre et aux longerons par des moyens élastiques.

Le fauteuil selon ce document comprend en outre, un piètement formé de deux jambages, respectivement avant et arrière, les jambages étant formés chacun de jambes parallèles solidaires des longerons, lesdits jambages étant articulés entre eux autour d'une chape, l'extrémité de chaque jambage avant présentant une chape apte à coulisser sur ledit axe de coulissement et un moyen de blocage en position, les jambes des jambages étant reliées entre elles par une bielle articulée, respectivement sur le jambage avant et sur une chape fixée à l'arrière du longeron, apte à autoriser le coulissement de chaque jambage arrière.

Ainsi, la transmission du mouvement entre le dossier et le repose-jambes se fait par la déformation du quadrilatère formé par le dossier, le repose-jambes, les longerons d'assise et l'axe de coulissement de l'accotoir. Pendant ce mouvement, tout le piètement est fixe, notamment la chape coulissante et la chape située à l'arrière du longeron, de sorte que l'accotoir se déplace en même temps que le dossier.

Comme décrit dans cet exemple, la chape à l'arrière du longeron est solidaire du longeron d'assise et permet le coulissement du jambage par rapport audit longeron. L'inconvénient de cette configuration est que cette chape n'est pas totalement satisfaisante d'un point de vue esthétique, notamment du fait que la vis maintenant la chape fixée est apparente et rend l'aspect général du fauteuil moins attractif.

L'invention a pour but de remédier à tout ou partie des inconvénients précités. L'invention a pour objet un fauteuil pliable et inclinable comprenant au moins :

- un dossier,

- une assise délimitée par au moins un premier et un deuxième longerons positionnés en regard l'un de l'autre, ladite assise étant articulée par rapport au dossier,

- un piètement, formé d'un premier jambage et d'un deuxième jambage, chaque jambage étant formé d'au moins une jambe avant et d'une jambe arrière, ladite jambe arrière comprenant une extrémité montée articulée sur la jambe avant, chaque jambage du piètement comprenant une chape de jambage comportant une première portion configurée pour permettre un coulissement de la jambe arrière et une deuxième portion fixée sur un longeron de l'assise, ledit piètement comprenant sur chaque jambage des moyens de limitation de coulissement de la jambe arrière, caractérisé en ce que la chape de jambage est formée d'au moins une coque de réception comprenant un premier logement de réception conformé pour loger au moins partiellement un organe de fixation, l'organe de fixation étant destiné à être fixé à un longeron de l'assise, et au moins une coque de recouvrement, articulée par rapport à la coque de réception, ladite coque de recouvrement comprenant sur une face un cache configuré pour masquer au moins partiellement l'organe de fixation logé au moins partiellement dans le premier logement de réception de la coque de réception.

Grâce à cette configuration, la fixation de chaque jambage au niveau d'un longeron d'assise est non visible, ce qui permet d'améliorer l'esthétique du fauteuil.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend en outre un premier logement de réception complémentaire conformé pour recevoir au moins partiellement l'organe de fixation.

Selon une caractéristique de l'invention, le premier logement de réception complémentaire est préférentiellement borgne et est positionné sur une face opposée au cache de la coque de recouvrement. Ainsi, lorsque la chape de jambage est fermée, l'organe de fixation est enfermé dans la chape de jambage et non visible.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de réception comprend un deuxième logement de réception conformé pour loger au moins partiellement une partie d'une jambe arrière d'un jambage, ledit deuxième logement de réception autorisant la mobilité de la jambe arrière. Selon une caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend un deuxième logement de réception complémentaire conformé pour recevoir au moins partiellement la jambe arrière logée au moins partiellement dans le deuxième logement de réception de la coque de réception. Ainsi, lorsque la chape de jambage est fermée, la jambe arrière est enfermée dans la chape de jambage tout en restant libre en coulissement.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement est montée en rotation sur la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de réception comprend au moins un ergot pivot configuré pour coopérer avec un organe complémentaire ménagé sur la coque de recouvrement.

Avantageusement, l'ergot pivot s'étend en saillie de part et d'autre de la coque de réception selon un axe transversal de la chape de jambage. Avantageusement, l'axe transversal selon lequel l'ergot pivot s'étend est sensiblement parallèle à l'axe selon lequel un deuxième logement de réception conformé pour recevoir en coulissement la jambe arrière d'un jambage s'étend.

Selon une caractéristique de l'invention, chaque ergot pivot est positionné latéralement par rapport à la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend au moins un organe complémentaire, préférentiellement sous la forme d'une patte destiné à coopérer avec le au moins un ergot pivot de la coque de réception. Avantageusement, la coque de recouvrement comprend au moins deux pattes positionnées en regard l'une de l'autre latéralement par rapport à la coque de recouvrement, chaque patte étant destinée à coopérer avec un ergot pivot saillant de la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de réception et la coque de recouvrement sont reliées l'une à l'autre par un organe de liaison, préférentiellement une lame ressort.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend un organe de fermeture de la chape de jambage, ledit organe de fermeture étant configuré pour coopérer avec un organe de fermeture complémentaire ménagé dans la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, l'organe de fermeture est saillant par rapport à la coque de recouvrement. Avantageusement, l'organe de fermeture s'étend selon un axe sécant et préférentiellement sensiblement perpendiculaire, à l'axe longitudinal selon lequel la chape de jambage s'étend. Selon une caractéristique de l'invention, l'organe de fermeture présente à une extrémité libre un élément de retenue conformé pour coopérer avec l'organe de fermeture complémentaire.

Selon une autre caractéristique de l'invention, l'organe de fermeture présente à une extrémité libre un élément de retenue conformé pour coopérer avec un orifice ménagé dans l'organe de fermeture complémentaire.

Selon une caractéristique de l'invention, l'organe de fermeture complémentaire est formé au-dessus du deuxième logement de la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, l'organe de fermeture complémentaire comprend un orifice conformé pour coopérer avec l'organe de fermeture de la coque de recouvrement.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend au moins une lame de guidage agencée au voisinage du premier logement de réception complémentaire et étant configurée pour coopérer avec un renfoncement ménagé dans la coque de réception.

Préférentiellement, la coque de recouvrement comprend deux lames de guidage positionnées de part et d'autre du premier logement de réception complémentaire.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la coque de recouvrement comprend au moins un élément de retenue conformé pour coopérer avec un élément de retenue complémentaire ménagé sur la coque de réception.

Selon une caractéristique de l'invention, l'élément de retenue comprend une extrémité libre présentant préférentiellement une forme de crochet.

Selon une caractéristique de l'invention, la coque de réception comprend un élément de retenue complémentaire conformé pour coopérer avec un élément de retenue ménagé sur la coque de recouvrement.

Selon une caractéristique de l'invention, l'élément de retenue complémentaire comprend une portion saillante, la forme de l'extrémité libre de l'élément de retenue étant conformée pour s'engager sur ladite portion saillante de l'élément de retenue complémentaire.

Selon une caractéristique de l'invention, les moyens de limitation de coulissement sur chaque jambage comprennent une bielle, présentant une première extrémité articulée autour de la jambe avant et une deuxième extrémité articulée autour de la chape de jambage, et un élément fixé dans la jambe arrière et conformé pour venir en butée contre la bielle au voisinage de sa deuxième extrémité. Préférentiellement, la coque de réception comprend une zone de réception conformée pour recevoir l'élément formant butée.

Selon une caractéristique de l'invention, le fauteuil comprend en outre, des accotoirs parallèles entre eux articulés sur le dossier, chaque accotoir présentant un axe de coulissement.

Selon une caractéristique de l'invention, le fauteuil comprend en outre un repose-jambes comprenant deux branches articulées par rapport à l'assise et par rapport aux accotoirs.

Selon une caractéristique de l'invention, le fauteuil comprend en outre une toile tendue destinée à recouvrir au moins le dossier, et/ou l'assise et/ou le repose-jambes.

L'invention sera mieux comprise, grâce à la description ci-après, qui se rapporte à un mode de réalisation selon la présente invention, donné à titre d'exemple non limitatif et expliqué avec référence aux dessins schématiques annexés, dans lesquels:

la figure 1 est une vue de côté du fauteuil selon l'invention en position allongée dépliée,

la figure 2 est une vue de côté du fauteuil selon l'invention en position assise dépliée,

- la figure 3 est une vue de côté du fauteuil selon l'invention en position intermédiaire repliée,

la figure 4 est une vue de côté du fauteuil selon l'invention en position repliée,

la figure 5 est une vue en perspective éclatée selon un côté de la chape de jambage du fauteuil selon l'invention,

la figure 6 est une vue en perspective éclatée selon l'autre côté de la chape de jambage du fauteuil selon l'invention,

la figure 7 est une vue en perspective selon un côté de la chape de jambage ouverte,

- la figure 8 est une vue en coupe transversale selon l'autre côté de la chape de jambage ouverte,

la figure 9 est une vue en perspective sensiblement similaire à la figure 7 avec la chape de jambage fermée,

la figure 10 est une vue en coupe transversale sensiblement similaire à la figure 8 avec la chape de jambage fermée, la figure 11 est une vue partielle de côté du fauteuil selon l'invention en position repliée,

la figure 12 est une vue partielle de dessous du fauteuil selon l'invention en position assise dépliée,

- la figure 13 est une vue de détail depuis l'intérieur du fauteuil selon l'invention en position assise dépliée.

Un fauteuil 100 selon l'invention est pliable et inclinable. Le fauteuil 100 comprend un dossier 101, une assise 102, un piètement formé d'un premier jambage 105 et d'un deuxième jambage 105, comme illustré aux figures 1 à 4.

En outre, le fauteuil selon l'invention comprend des accotoirs 104 parallèles entre eux articulés sur le dossier 101, chaque accotoir 104 présentant un axe de coulissement ; un repose-jambes 103 comprenant deux branches articulées par rapport à l'assise 102 et par rapport aux accotoirs 104; une toile tendue (non représentée) destinée à recouvrir le dossier 101, l'assise 102 et le repose-jambes 103.

Selon l'invention, l'assise 102 du fauteuil 100 est délimitée par au moins un premier et un deuxième longerons 102a positionnés en parallèle et en regard l'un de l'autre, ladite assise 102 étant articulée par rapport au dossier 101 comme illustré aux figures 1 et 2.

Dans l'exemple illustré aux figures 1 à 4, chaque jambage 105 est formé d'au moins une jambe avant 105a et d'une jambe arrière 105b. Chaque jambe arrière 105b de chaque jambage 105 comprend une extrémité 105c plane montée articulée sur une jambe avant 105a du même jambage 105. Chaque jambage 105 du piètement comprend une chape de jambage 1 comportant une première portion configurée pour permettre le coulissement de la jambe arrière 105b et une deuxième portion fixée sur un longeron 102a de l'assise 102.

Comme illustré aux figures 5 et 6, la chape de jambage 1 est formée d'au moins une coque de réception lb comprenant un logement de réception 2b d'un organe de fixation 4 conformé pour être fixé à un longeron 102a de l'assise 102, et au moins une coque de recouvrement la, articulée par rapport à la coque de réception lb.

La coque de recouvrement la comprend un cache configuré recouvrir l'organe de fixation 4 logé dans le logement de réception 2b de la coque de réception lb comme visible en figure 5. La coque de recouvrement la comprend en outre un logement de réception complémentaire 2a conformé pour recevoir au moins partiellement l'organe de fixation. Le logement de réception complémentaire 2a est préférentiellement borgne et est positionné sur une face opposée au cache de la coque de recouvrement la, comme illustré en figure 6. Ainsi, lorsque la chape de jambage est fermée, comme représenté en figure 10, l'organe de fixation 4 est enfermé dans la chape de jambage 1.

Comme on peut le voir notamment sur les figures 7 et 8, la coque de recouvrement la est montée en rotation selon l'axe X-X sur la coque de réception lb. En effet, la coque de réception lb comprend deux ergots pivot 5 destinés chacun à coopérer avec un organe complémentaire, sous forme de patte 6 ménagé sur la coque de recouvrement lb.

Comme illustré notamment en figure 6, chaque ergot pivot 5 s'étend en saillie de part et d'autre de la coque de réception lb selon un axe transversal X-X de la chape de jambage 1. Avantageusement, l'axe transversal X-X selon lequel chaque ergot pivot 5 s'étend, est sensiblement parallèle à l'axe selon lequel un deuxième logement de réception 3b, conformé pour recevoir en coulissement la jambe arrière 105b d'un jambage 105, s'étend.

En figure 6, on peut voir que la coque de recouvrement la comprend deux organes complémentaires 6 sous forme de pattes 6 conformés pour coopérer chacun avec un ergot pivot 5. Les deux pattes 6 sont positionnées en regard l'une de l'autre latéralement par rapport à la coque de recouvrement la.

De plus, la coque de réception lb et la coque de recouvrement la peuvent être reliées l'une à l'autre par un organe de liaison, préférentiellement une lame ressort.

Selon l'invention, la coque de réception lb comprend en outre un deuxième logement de réception 3b conformé pour recevoir en coulissement une jambe arrière 105b de jambage 105, comme représenté aux figures 5 à 10. Avantageusement, la coque de recouvrement la comprend un deuxième logement de réception complémentaire 3a conformé pour recevoir au moins partiellement la jambe arrière 105b logée dans le deuxième logement de réception 3b de la coque de réception lb. Ainsi, lorsque la chape de jambage est fermée, comme représenté en figure 10, la jambe arrière 105b est enfermée dans la chape de jambage 1.

Avantageusement, la coque de recouvrement la comprend un organe de fermeture 7 de la chape de jambage 1, ledit organe de fermeture 7 étant configuré pour coopérer avec un organe de fermeture complémentaire 8 ménagé dans la coque de réception lb, comme illustré notamment aux figures 8 et 10.

L'organe de fermeture 7 est saillant par rapport à la coque de recouvrement la et plus particulièrement s'étend selon un axe sécant et préférentiellement sensiblement perpendiculaire, à l'axe longitudinal selon lequel la chape de jambage 1 s'étend, comme visible en figure 10. L'organe de fermeture 7 présente à une extrémité libre un élément de retenue conformé pour coopérer avec l'organe de fermeture complémentaire 8, et plus précisément avec un orifice 8a ménagé dans l'organe de fermeture complémentaire 8.

L'organe de fermeture complémentaire 8 est formé au-dessus du deuxième logement 3b de la coque de réception lb comme visible en figures 8 et 10. L'organe de fermeture complémentaire 8 comprend un orifice 8a conformé pour coopérer avec l'organe de fermeture 7 de la coque de recouvrement la.

Comme illustré en figure 6, la coque de recouvrement la comprend en outre deux lames de guidage 12 agencées de part et d'autre du premier logement de réception complémentaire 2a. Les deux lames de guidages 12 étant destinées à coopérer avec un renfoncement ménagé dans la coque de réception lb. Bien entendu, ces lames de guidages sont optionnelles et peuvent être d'un nombre supérieur ou inférieur à deux.

En outre, dans l'exemple illustré notamment en figure 7, la coque de recouvrement la comprend un élément de retenue 11 conformé pour coopérer avec un élément de retenue complémentaire 10 ménagé sur la coque de réception lb. L'élément de retenue 11 comprend une extrémité libre présentant préférentiellement une forme de crochet comme visible en figure 7.

La coque de réception lb comprend un élément de retenue complémentaire 10 conformé pour coopérer avec un élément de retenue 11 ménagé sur la coque de recouvrement la. L'élément de retenue complémentaire 10 comprend une portion saillante, la forme de l'extrémité libre de l'élément de retenue 11 est conformée pour s'engager sur ladite portion saillante de l'élément de retenue complémentaire 10, comme illustré en figure 10.

Comme on peut le voir sur l'ensemble des figures 5 à 10, la coque de recouvrement la présente une face constituée par le cache et une face opposée comprenant l'ensemble des composants décrits ci-avant et destinés chacun à coopérer avec un composant complémentaire de la coque de réception lb.

Par ailleurs, sur chaque jambage 105, le fauteuil 100 comprend des moyens de limitation de coulissement de la jambe arrière 105b réalisés à l'aide d'une bielle 106 et d'un élément 107 formant butée.

La bielle 106 présente une première extrémité 106a articulée autour de la jambe avant 105a et une deuxième extrémité 106b articulée autour de la chape de jambage 1. Plus précisément, la première extrémité 106a est recourbée autour d'un élément de fixation traversant la jambe avant 105a, comme représenté notamment en figure 12, et la deuxième extrémité 106b est recourbée autour de l'organe de fixation 4 de façon à être logée dans la chape de jambage 1, comme représenté à la figure 7.

L'élément 107 formant butée est fixé dans la jambe arrière 105b à l'aide d'une tige de fixation 109 traversant des orifices 110 portés par ladite jambe arrière 105b.

Lors du déploiement du fauteuil 100, chaque jambe arrière 105b va coulisser vers l'arrière jusqu'à ce que l'élément 107 vienne en butée contre une zone de la bielle 106 située au voisinage de sa deuxième extrémité 106a. Le fauteuil 100 est alors stabilisé et autorise l'assise d'une personne.

La coque de réception lb présente avantageusement une zone de réception 108 concave conformée pour recevoir l'élément 107 au moment où celui-ci vient au contact de la bielle 106. Cela permet ainsi d'éviter la concentration des efforts exercés par l'élément 107 sur la seule bielle 106 et de les répartir entre la chape de jambage 1 et ladite bielle 106, la sécurité et la stabilité s'en trouvant de ce fait accrues.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée au mode de réalisation décrit et représenté aux figures annexées. Des modifications restent possibles, notamment du point de vue de la constitution des divers éléments ou par substitution d'équivalents techniques, sans sortir pour autant du domaine de protection de l'invention.