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Patent Searching and Data


Title:
ROLLING SURFACE FOR A PAINT CONTAINER
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2011/153614
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a portable container (1) provided with a sealed cover and characterised in that a portion of the cover (25) pivots and/or is deployed to become a rolling surface for distributing the coating on a paint roller (49).

Inventors:
PLOUFFE GILLES (CA)
Application Number:
PCT/CA2011/000656
Publication Date:
December 15, 2011
Filing Date:
June 02, 2011
Export Citation:
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Assignee:
PLOUFFE GILLES (CA)
International Classes:
B05C21/00; B44D3/12; B65D51/24
Domestic Patent References:
WO1989008590A11989-09-21
WO2003091123A12003-11-06
WO2005021287A22005-03-10
WO2002047922A12002-06-20
Foreign References:
US6102235A2000-08-15
JP2002254019A2002-09-10
US5404611A1995-04-11
GB2281894A1995-03-22
US20060226156A12006-10-12
US5341969A1994-08-30
US7159734B12007-01-09
GB2394933A2004-05-12
US2713469A1955-07-19
US4928843A1990-05-29
US3581904A1971-06-01
US1752361A1930-04-01
GB1318971A1973-05-31
FR2547774A11984-12-28
US20060219720A12006-10-05
US6202837B12001-03-20
US3312441A1967-04-04
US2524875A1950-10-10
US3239180A1966-03-08
US5079795A1992-01-14
US3448956A1969-06-10
US5645164A1997-07-08
US2723410A1955-11-15
US7784145B12010-08-31
US2184667A1939-12-26
US20090146022A12009-06-11
US20050145757A12005-07-07
ES2245268A12005-12-16
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Claims:
Revendications

Les réalisations de l'invention «Huppy Pail» ou «Pro Painter Pail» au sujet desquelles un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué, sont définies comme suit: pour un total de 27 revendications

1- Un contenant portable, d'utilisation manuelle, muni d'un couvercle étanche et caractérisé en ce que le couvercle (et/ou une partie du couvercle et/ou toute autre partie du contenant et/ou de son équipement) bascule et/ou se déploie pour devenir une surface de roulement pour la répartition de l'enduit sur un rouleau.

2- Un contenant (tel que défini en 1 ) caractérisé en ce que la surface de roulement, lorsque déployée, est aussi un bac pouvant contenir de l'enduit.

3- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une surface de roulement qui, lorsque déployée, a un entonnoir et/ou est de forme entonnoir et/ou a un quelconque rebord et/ou chemin directionnel, tous destinés à ce que le trop plein d'enduit retourne au contenant et servant de même quand on referme le couvercle pour un entreposage.

4- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par l'anse qui offre un support et/ou par un autre arrangement qui offre un support, destiné à assurer la surface de roulement d'une pente versante du trop plein vers le contenant.

5- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un intérieur suffisamment haut pour contenir un secteur inférieur pour la réserve d'enduit, et un secteur supérieur pour les outils et/ou pour les niches et supports de ces outils et/ou autres équipements et/ou autres utilités.

6- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une ou plusieurs séparations ou cellules intérieures verticales, fixes ou amovibles, totalement isolées de l'enduit et/ou d'autres non-isolées de l'enduit, et destinées à contenir des outils secs et/ou d'autres humides et/ou mouillés.

7- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une niche intérieure fixe ou amovible et destinée à soutenir un rouleau hors de l'enduit et/ou à en maintenir le dessous et/ou le devant et/ou le dessus; la partie supérieure de la niche pouvant être une partie du couvercle qui demeure fixée au contenant lorsque la partie arrière bascule par-dessus. 8- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce qu'une partie du couvercle demeure solidement fixée au contenant alors qu'une autre partie plus facile à ouvrir, bascule par-dessus, la première étant fixée pour retenir la seconde et suffisamment importante pour servir de partie supérieure de la niche pour le rouleau afin de l'empêcher de basculer vers l'arrière quand son manche est muni d'une rallonge relâchée sur le contenant.

9- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un appui ou plateau horizontal à l'intérieur, en arrière du contenant c'est-à-dire diamétralement opposé à la niche du rouleau situé en avant, et destiné à maintenir le manche du rouleau hors de l'enduit, et/ou pouvant aussi servir d'essuie pinceau et/ou d'accrochoir et/ou de perchoir d'équipement. 10- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un bac isolé, à l'intérieur du contenant, dans la section supérieure normalement hors de l'enduit, et destiné à contenir du liquide et/ou une éponge afin de maintenir une ambiance humide lorsque le contenant est refermé pour un entreposage. 1 1- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un dispositifs) d'ancrage à l'extérieur vers le haut du contenant, l'un à droite, l'autre à gauche, composé d'un point d'ancrage fixe au contenant lequel sert à y piquer un crochet lequel est amovible et transférable, de même pliage ou fabrication pour les deux côtés et destiné à supporter le contenant et l'accrocher à l'échelle ou l'escabeau de par la droite ou de par la gauche mais lequel crochet est aussi destiné au transfert d'un étage à l'autre pendant que l'un retient le contenant, le crochet du côté opposé est récupéré pour sauter vers l'autre étage.

12- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un pied(s) à l'extérieur dans le bas du contenant, fixe ou ajustable, l'un à droite, l'autre à gauche, et destiné à buter le bas du contenant sur le montant d'une échelle et/ou d'un escabeau et pour ainsi pouvoir assurer la stabilité avant-arrière et/ou latérale et/ou verticale du contenant, particulièrement lorsque ce dernier est accroché au montant et/ou au barreau d'une échelle ou d'un escabeau.

13- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce qu'il est équipé sinon prévoit être équipé de point d'appui, de niche, de ceinture, de support, crochet et/ou sinon de plusieurs de ces équipements en extérieur et/ou en intérieur du contenant et/ou de son couvercle en extérieur et/ou en intérieur, et que cet équipement soit configurable, fixe, amovible et destiné à recevoir des outils ou pour d'autre utilité.

14- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une chemise à glisser en son intérieur, amovible, substituable, qui garanti le libre passage de tous les équipments de l'appareil dont le chevalet et principalement destinée au changement d'enduit et/ou afin éviter le lavage du contenant.

15- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une petite porte étanche, de la grosseur d'une rallonge d'un manche à rouleau, dans l'arrière en haut du contenant, et destinée à laisser passer la rallonge et ainsi pouvoir refermer le couvercle sans enlever la rallonge.

16- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par une surface de roulement fixe ou amovible, à l'intérieur du contenant, de bas en haut, c'est-à-dire à partir du haut de l'enduit et vers le haut du contenant, avec une pente d'un angle plutôt à la verticale, laquelle surface est munie de trous et/ou de pitons suffisamment gros, destinés à l'évacuation du trop plein d'enduit pour faciliter le roulement du rouleau et afin d'empêcher le rouleau de glisser et lui garantir une bonne traction de roulement lorsqu'il est saucé d'un surcroît d'enduit; cette surface de roulement pouvant être extensionnée en extérieur de contenant et cette extension pouvant être corrigée vers un plan plus horizontal.

17- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce qu'il est équipé et/ou prévu être équipé par un chevalet fixe et/ou amovible à se glisser dans le contenant, muni de pieds, et/ou d'un cerceau d'appui, et/ou de d'autres points d'appuis afin de bien se maintenir dans le contenant, et dont la construction et/ou le montage comprend entre autres une et/ou tous les arrangements suivant: une surface de roulement vers la verticale à trous et pitons, et/ou une rallonge de cette surface de roulement, et/ou une niche pour le rouleau, et/ou une réserve humide, et/ou des cellules isolées pour outils sec et/ou humides, et/ou d'un appui arrière pour le manche du rouleau. Ce chevalet étant destiné à être facilement transférable d'un contenant à un autre, récupérable et facilitant le lavage du contenant lorsque dépouillé de cet équipement.

18- Un contenant (tel que défini en de 1) caractérisé par des composantes et/ou accessoires et/ou caractéristiques, qu'une seule ou que plusieurs d'entre elles soient intégrés dans la fabrication du contenant, et/ou ajoutées à la fabrication du contenant et/ou par suite, et qu'elles soient fabriquées d'un seul et/ou de plusieurs matériaux et/ou d'une combinaison de matériaux ainsi que de toute grandeur et/ou de tout design.

19- Un contenant (tel que défini de 1) caractérisé en ce qu'un, une partie ou tous les éléments et/ou équipements énumérés ci-haut parmi les revendications, sont décomposables pour être lavées et/ou récupérées séparément ou en partie ou dans un seul tout. 20- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce que le dégagement, entre la paroi intérieure du contenant et tous les différents accessoires ou équipements, laisse passage à toute la largeur du rouleau afin que ce dernier puisse lécher le contenant jusqu'au fond, exception faite lorsqu'on utilise une louche à piger l'enduit dans un contenant traditionnel qui est inséré et assis dans le fond du contenant.

21- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce qu'il est équipé d'une fixation (ou plusieurs) amovible et mobile, dont une extrémité est un collet pour enserrer un manchon de pinceau tandis que l'autre extrémité offre un crochet destiné à planter le pinceau ainsi serti dans son collet, en position debout avec ses poils vers le bas, et/ou à l'horizontale, à l'intérieur et/ou à l'extérieur sur tout le pourtour du contenant et/ou sur des ancrages intérieurs et/ou extérieurs, verticaux et/ou horizontaux, prévus à cet effet, que le couvercle soit ouvert ou fermé. 22- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé en ce qu'il possède un espace intérieur suffisant pour accommoder un et/ou plusieurs formats traditionnels et/ou réguliers de contenants d'enduit sur le marché, et dans ce cas, l'enduit étant destiné à être louché vers la réserve du bac de roulement du couvercle renversé ou autre bac déployé.

23- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé ce que le pied de la surface de roulement est suffisamment déporté vers le centre du contenant pour assurer un transfert de gravité destiné à faire contre-poids à la pression portée sur la haut de la surface de roulement lors de son utilisation.

24- Un contenant (tel que défini en 1) caractérisé par un couvercle étanche mais cependant amovible dont la partie devant et non basculable, est munie et/ou augmentée d'une fixation supérieure et sécuritaire, destinée à garantir l'adhérence de son siège sur le pourtour du contenant lorsque la partie arrière, dont le siège possède une adhérence inférieure dans le but d'être plus facilement ouvert, est basculée vers le devant.

25- Un contenant (tel que revendiqué en 1) caractérisé en ce qu'il est décrit et/ou qu'il y est décrit et/ou qu'il y est inscrit par quel procédé que ce soit l'expression ou une partie de l'expression «Huppy Pail ready go ready stop painter set up et/ou always ready» et/ou Pro Painter Pail, en quelque partie que ce soit.

26- Un contenant tel que revendiqué de 1 à 25 et dont je revendique une quelconque ou de multiples applications et ou caractéristiques entières ou partielles, ainsi que son nom et/ou inscription: «Huppy Pail ready go ready stop painter set up always ready Pro Painter Pail et/ou une partie de la composition et/ou du sens de ce nom et/ou expression dans quelqu'ordre que ce soit.

Description:
Description

SURFACE DE ROULEMENT POUR CONTENANT A PEINTURE

Procédé antérieur à l'invention

Dans l'application d'un enduit tel que de la peinture, il est d'usage courant d'utiliser de multiples contenants et outils aussi nécessaires que spécialisés. Par exemple: le pinceau, le rouleau, un bac à rouleau, une traîne pour le bac à rouleau, une rallonge pour le manche du rouleau, le contenant de peinture, le couvercle du contenant, un outil pour son ouverture, un autre pour sa fermeture, un grattoir, une éponge, un torchon, et bien d'autres aussi. Nul individu n'utilise tous ces équipements en même temps, cependant qu'ils s'étalent tous en même temps dispersés dans l'aire de travail.

Le séchage des outils et des contenants surveille constamment l'utilisateur. Une perte de temps s'inscrit chaque fois qu'on s'équipe d'un autre outil sinon de l'autre contenant. Il faut aller les chercher. Parfois l'un s'est égaré, parfois il est séché quand il est retrouvé, parfois trop tard quand il est durci et doit être jeté.

Le fastidieux de protéger les équipements contre l'assèchement, nous prive souvent d'une pause nécessaire, d'un appel, d'un repas, d'une envie, d'un engagement ou même d'une obligation. De façon générale et sauf pour quelque nécessité, on n'entreprend pas un ouvrage de peinture sans une plage horaire suffisante. On n'ouvre pas de contenant et on ne salit d'outils pour un simple badinage car c'est trop d'ouvrage de tout laver. Comme dirait l'adage et pour mieux faire comprendre: «on n'entomme pas un éléphant pour un simple petit bout d'oreille». On saute la pause, on garde son envie de pipi, on endure sa soif, on saute un repas et on tient le tempo.

D'une certaine façon c'est le matériaux qui mène l'ouvrage, à tout le moins l'horaire et le tempo, ce n'est pas l'utilisateur, sous peine d'assèchement. Nombreux sont ceux qui en ont l'aride et extrême expérience particulièrement vécue avec l'enduit pour entrée d'asphalte, quand on le fait avec un bon vent ou pire encore en plein soleil. Sous de telles contraintes, nombres d'outils sont difficiles à entretenir, à récupérer ou sinon carrément gaspillés. Afin de compenser l'assèchement sinon pour le contrer, l'utilisateur ajoute parfois du diluant alors qu'il ne vaudrait mieux pas, diminuant la qualité.

Pour divers endroits, les équipements sont mal conçus, prohibitifs ou interdits.

Par exemple, on voyage souvent l'escalier à redescendre et remonter pour retremper car y maintenir un bac à rouleau est un dégât quasi garanti et il en va de même dans l'échelle ou l'escabeau. On perd du temps sinon on prend du risque. Même lorsque le bac à rouleau est bien assis sur le plancher au meilleur de sa stabilité, un simple déplacement provoque très souvent un débordement. Débordement de moindre conséquence qu'un mur trop bas pour protéger une centrale nucléaire contre un tsunami, mais beaucoup plus fréquent. Pour contrer ce problème de côtés trop bas et de bac interdit en échelle, il existe la chaudière avec surface de roulement verticale intégrée. Voilà que pour régler un problème, un autre problème vient d'être créé. Cette chaudière a pour principal défaut que le rouleau glisse sur cette surface de glissement plutôt que de rouler. Et de plus , pour un job bien fait, cette chaudière a bien d'autres défauts comme de basculer quand on pousse pour rouler. Ça prend les deux mains et même un pied pour l'utiliser. Ainsi, cette chaudière pleine de promesse est pour plusieurs utilisateurs déjà devenue un autre superflu pour embarrasser l'aire de travail et augmenter l'ouvrage de nettoyage. Aussitôt redescendu de l'échelle ou de l'escalier, on veut retourner à l'équipement traditionnel plus contrôlable, plus performant, plus convivial, plus versatile et cela malgré déjà ses nombreux défauts mais de beaucoup plus acceptables.

Autant que le lavage ou la protection des accessoires et enduits est longue et fastidieuse, autant une plage horaire insuffisante nous empêchera de débuter un travail. Encore une fois, ce n'est pas l'utilisateur qui mène, mais plutôt l'équipement. La même chose pour une simple retouche car on ne voudra pas salir bac et rouleau ou l'équipement requis pour ensuite avoir à nettoyer pour un ouvrage trop petit. Parfois on utilisera un pinceau faisant moins bien l'ouvrage mais étant moins prohibitif à récupérer.

Et que dire du génial esprit qui, voulant sauver les outils salis, les envelope dans un sac de plastique pour les entreposer au congélateur qui sert aussi pour la nourriture. Bravo t'a pas eu à laver tes outils. Mais si ce n'est pas une omission c'est quoi ".!." parce que même s'il n'y pas d'odeur, il y a toujours la santé et il n'y a pas de risque à prendre avec ça. La peinture ne va pas avec la nourriture. Génial ou pas.

Cette grandiose tradition et de savoir faire s'est solidement implantée malgré que l'amalgame empiète sérieusement sur la productivité et d'autant sur la sécurité. La moitié des équipements sont mal conçus pour les endroits les plus risqués. Tout sèche alors que tout doit être protégé. Quand il faudrait s'arrêter, on est obligé de continuer.

Très souvent, la raison pour laquelle on engage un pro n'est pas le manque d'amour de la peinture, mais le manque de convivialité d'un attirail multiple et désordonné. Si ce n'était pas si compliqué d'arrêter un ouvrage que l'on vient tout juste de commencer, on pourrait laisser pinceaux et rouleaux aux enfants pour peinturer.

Voilà ce qui constitue et résume le principal procédé domestique d'application d'enduit de peinture et scellant de ce qui est antérieur à mon invention.

L'idée créatrice

Mon invention «Huppy Pail» intègre en un seul appareil tous les équipements énumérés plus hauts et les déploie à tout instant à portée de main. Les outils ne sont jamais égarés. La surface de roulement apparaît dès que le couvercle est déployé et les outils sont protégés dès qu'il est refermé sans nul besoin de les laver.

L'appareil tout entier s'équilibre naturellement dans un escalier et ne demande qu'une échelle pour s'y accrocher, Redescendre et remonter pour retremper devient chose du passé. Performance et sécurité sont au rendez-vous. L'aire de travail est dégagée. Il n'y plus qu'un seul contenant à gérer et à transporter. Partout et même sur le plancher l' appareil est d'une plus grande convivialité et pas besoin de se pencher: la traîne pour le bac à rouleau aussi est éliminée. Une seconde à ouvrir, une seconde à refermer, pour une pause ou plusieurs journées, et toujours prêt à peinturer.

J'ai découvert qu'un seul contenant de peinture conçu de façon appropriée, peut remplacer avantageusement l'ensemble des deux contenants traditionnellement utilisés. Rendant inutile, superflu et donc désormais nuisible le bac à rouleau dans l'environnement de travail. Lorsqu'on ouvre le couvercle, mon invention déploie une surface de roulement horizontale comme celle d'un bac traditionnel et en surplus une surface de roulement vertical comme celle de la chaudière à rouleau existante mais avec en plus des trous et pitons pour l'évacuation de surplus d'enduit, assurant la traction pour le roulement. L'appareil est conçu équilibré et est très stable quand on pousse sur les surfaces de roulement.

De plus, j'ai aussi découvert une façon appropriée dans un même contenant unique, de percher pinceau et rouleau en permanence sur des supports et des niches qui les isolent convenablement du matériaux contenu plus au fond dans ce nouvel appareil contenant tout en un. Un important désencombrement de l'aire de travail s'ensuit. Il y a une appréciable récupération de cognitif pour un meilleur et plus performant travail. Il y a moins de danger de se mettre les pieds dans les plats et de faire des dégâts.

Le nouvel arrangement que représente mon invention est d'autant plus commode qu'il élimine le traditionnel et récurrent débordement de peinture quand on bouge le bac à rouleau. A propos de la traîne de bac à rouleau, je me dois de faire remarquer les marques qu'elle laisse parfois de façon déplaisante sur le plancher.

Avec mon nouvel appareil il n'y a pas plus besoin de se pencher au niveau du plancher. Cependant que l'on soulève plutôt que de traîner. Désormais, l'appareil s'empoigne par l'anse située à bonne distance du plancher, et c'est un seul contenant avec l'enduit sécurisé et le couvercle refermé que l'on trimbale et d'ailleurs la seule pièce d'équipement à charroyer lors des nombreux repositionnements. C'est tout en un. Les outils ne sont jamais perdus. Toujours le bon outil au bon moment, c'est-à-dire en tout temps. Et toujours et tout autant le bon contenant tout le temps. De plus, le trempage et le contrôle du rouleau devient plus convivial car soulevé du plancher et plus près des yeux et des mains de l'utilisateur pour une dextérité augmentée.

Que ce soit pour un travail prolongé ou une simple retouche, l'accès est instantané et immédiat. Pour la première fois, il devient possible de peinturer pour un très court moment sans nul besoin d'une fastidieuse planification, ni préparation et sans le traditionnel souci de prévoir si le temps est suffisant pour que ça vaille la peine de saucer pinceau et rouleau que l'on ne veut pas gaspiller pour une vétille. Faire une retouche devient un petit rien si ce n'est qu'un réel plaisir.

Pour une période d'arrêt prolongée, rien ne sèche et il n'y a pas de peau sur la peinture. À cet effet, une réserve liquide et une éponge relâchent et maintiennent une ambiance humide à l'intérieur de l'appareil.

En somme nous obtenons l'élimination de beaucoup de superflu ou d'élément qui encombre. Nous récupérons en temps, en aisance, en facilité, en cognitif, en versatilité et non le moindre: en sécurité.

Et encore un autre bonus: en plus de sauver beaucoup d'eau, on sauve des cuvettes de lavage salies de peinture, et des endroits plus ou moins convenables que beaucoup de «pros» utilisent pour rejeter les liquides de rinçage tels que le «trou d'homme» sur le bord du trottoir, les abords de terrains et autres endroits de prédilection à la sauvette, bien fait, vite fait. Le comportement professionnel étant souvent de sauver son propre matériel et son profit plutôt que la propriété du client et son environnement surtout quand il ne nous voit pas.

Désormais, cet appareil protège illico tous les accessoires et les enduits afin d'être transportés vers l'endroit et le temps appropriés qui favorise un nettoyage sécuritaire et respectueux. Cette nouvelle façon est un solide coup de barre et de cœur pour l'environnement. C'est plus qu'une petite goutte et c'est bien davantage qu'un simple respect parfaitement inutile du virtuel ou du verbal. Mon invention est fonctionnelle et elle donne de véritables résultats palpables, reproductibles et mesurables.

C'est d'une toute nouvelle versatilité car ce genre d'arrangement est désormais convivial dans l'escabeau, dans l'échelle et dans l'escalier. Mon invention prévoit d'ailleurs une niche pour manchon télescopique et aussi pour un torchon car qui ne s'est jamais quasi écartelé en roulant le pied sur un manchon et qui ne s'est jamais accroché dans son torchon. Voilà d'autres désencombrements.

Et pour toutes ces raisons j'ai baptisé mon invention «Huppy Pail». Car je ne peux m'empêcher de sourire et d'être heureux lorsque je l'utilise. Et je prédis que Γ autrefois personnage rebuté par le fastidieux de la peinture en deviendra adepte et très Huppy. (Pro Painter Pail)

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Concernant les dessins

La figure 1 représente l'appareil ouvert vu en diagonale d'en arrière et de par le haut. La figure 2 représente l'appareil en une vue éclatée et sous le même angle que la fig 1.

Le contenant

L'appareil illustré comprend un contenant (1) dont la partie inférieure est prévue contenir un enduit tel que de la peinture. La partie supérieure du contenant pévoit les accessoires nécessaires à la manipulation ainsi que les appuis qu'exige la préservation de l'outillage hors de l'enduit. Les dimensions sont proportionnelles au rouleau utilisé et au travail envisagé et peuvent aussi bien aller du miniature pour retouches jusqu'au format géant pour gros travaux. Le matériaux de fabrication retenu est le plastic mais d'autres matériaux peuvent aussi bien convenir tel le métal. Il est choisi que l'enduit soit versé dans le contenant mais ce pourrait tout aussi bien être qu'un contenant conventionnel tel que le 3.78 litres soit assis dans le fond du contenant de l'appareil et louché vers la surface de roulement laquelle sera d'un design semblable au bac à rouleau conventionnel.

Le contenant est muni d'un pied (37) ajustable par un dispositif (39) de rallonge afin que le bout extérieur du pied, en venant bûter sur le montant d'échelle, puisse au besoin redresser l'appareil. Une dentelure (38) stabilise le bout du pied sur le montant d'échelle, équilibrant tous les avantages de l'appareil accessibles et de façon tout à fait sécuritaire.

Afin d'ajouter de la fonctionnalité, le pourtour extérieur du contenant peut être muni de crochets de commodités (35) auxquels on suspend par exemple une petite chaudière supplémentaire toujours commode. Des crochets de commodité sont aussi prévus au besoin pour l'intérieur du contenant.

Afin de rendre l'appareil accrochable à l'échelle ou l'escabeau, les côtés sont munis d'un point ou trou (33) d'ancrage, solidifié par une embase (34), et destiné à s'insérer dans une tige (40) de crochet (32), suite à ce que ce dernier soit tout d'abord engagé sur un barreau d'échelle ou d'escabeau.

Pour les deux côtés, l'ensemble crochet est de même pliage et fabrication, cependant qu'il est inversé selon qu'il est à droite ou à gauche, pour celui de droite la jambe (19) et le crochet (32) s'insèrent par l'arrière c'est-à-dire face au montant d'échelle, alors que pour celui de gauche, la jambe (20) et le crochet (42) s'insèrent par le devant du montant d'échelle c'est-à-dire par le côté opposé à l'utilisateur. La numérotation des crochets est double car deux crochets permetttent le saut d'étage c'est-à-dire qu'on engage d'abord un crochet au barreau et au côté choisi avant de désinsérer l'appareil de la tige d'où il est initialement inséré et pour le réinsérer dans la nouvelle tige. Et ainsi de suite car les crochets font à droite tout comme à gauche. Ces derniers peuvent être entreposés dans le contenant. Une chemise (lining ou sleeve non illustré) pourrait aussi être insérée dans le contenant avant d'y insérer l'enduit et les équipements et cela afin de faciliter la récupération et/ou le lavage et/ou pou convenir à l'adepte de «l'utilisez jetez».

Le couvercle

Un couvercle composé d'une partie arrière (25) et d'une partie avant (23) et reliées entre elles le long d'une ligne charnière (22), est ajusté sur le contenant. Le pourtour intérieur du couvercle (26) se referme sur le pourtour extérieur du contenant (36) pour former un joint étanche. On ouvre et on bascule la partie arrière du couvercle de par le bout du doigt placé sur le maneton (21). La partie arrière va alors s'appuyer sur l'anse (31) positionnée sur la partie du devant du couvercle (23) cette dernière munie de fixations (24) détachables additionnelles la maintenant solidement fixée au contenant. La partie avant qui reste fixée au contenant sert aussi d'appui pour le dessus du rouleau.

L'ouverture du couvercle ainsi répartie, assure un transfert de gravité, déporté vers le centre de l'appareil et assure une bonne stabilité lorsqu'on pose une pression sur la surface de roulement.

Dans une autre fabrication, cette partie de couvercle avant pourrait pour toujours être fixée au contenant et, dépendant du montage du chevalet et de ce qu'il contient, ce dernier pourrait être inséré avant ou après que la partie courvercle de devant soit fixée. Je choisis le couvercle à se déployer sur une charnière (22) alors qu'un autre moyen de suspension de la surface de roulement pourrait tout aussi bien aussi être ulilisé. Sur charnière c'est plus rapide et plus convivial.

Le couvercle bascule et se déploie en une surface de roulement pour le rouleau

(49). Cette surface est munie d'embossements (29) conventionnels dans le haut mais de plus en plus gros vers le bas afin d'assurer que le rouleau y roule plutôt que de glisser comme c'est trop souvent et presque toujours le cas avec les bacs conventionnels. Je choisis aussi de munir cette surface de pitons (28) pour assurer encore davantage de traction au rouleau mais aussi pour assurer l'évacuation du trop plein de peinture dans ce dernier. Un dévidoir (27) redirige la peinture vers le contenant. Il est à noter que le couvercle peut être muni d'une réserve de peinture plus importante similaire au bac à rouleau conventionnel. Avec ce design, il est probable que la peinture soit louchée à partir du contenant vers le bac et d'autant possible que la peinture soit directement louchée à partir d'un contenant conventionnel tel qu'un 3,78 litres déposé au fond du contenant de l'appareil.

Le chevalet

Cette partie est ainsi nommée car elle supporte plusieurs éléments et qu'elle repose sur pied (13) dans le fond du contenant tout en s' appuyant au pourtour à l'intérieur ce dernier.

Le chevalet se compose de divers éléments (2 à 18) et s'insère dans le contenant. Le chevalet ici représenté est d'une seule pièce et est ainsi récupérable pour un autre contenant ou pour le lavage. Il est cependant possible et prévu qu'il soit décomposable en plusieurs pièces et/ou qu'il fasse partie intégrante du contenant ou qu'il y soit fixé, en tout ou en partie. En d'autres termes, la plupart des composantes du chevalet pourraient être indépendantes, fixes et/ou amovibles ou partielles.

La partie de base du chevalet est une surface de roulement (10) alignée plutôt vers la verticale. Sur la figure 2, elle repose sur pied (13) dans le fond du contenant, et s'appuie aussi sur le contour intérieur par une ceinture en bas (14) et sur la devanture du contenant dans le haut sur le support (5) du rouleau. Il est entendu que si cette surface de roulement est fixé à la réserve humide (3), la ceinture du haut (2) devient aussi un support latéral ainsi que le bac isolé (12) et le bac mouillé (11) lorsque tous ensemble ils sont réunis.

La partie basse de la surface de roulement est dans le plus creux de l'enduit. En dehors de l'enduit et au fur et à la mesure que ce dernier diminue, apparaissent sur la surface de roulement verticale différents trous (9), fentes (8), et/ou de pitons, ces perforations et protubérances étant destinées à l'évacuation du trop plein d'enduit sur le rouleau et afin de garantir une bonne traction au roulement et une bonne répartition de l'enduit sur le rouleau.

La partie supérieure de la surface de roulement est repliée en horizontale et sert d'appui pour le bas (5) du rouleau. Le devant du rouleau appuie sur le côté (4) de la réserve humide (3) laquelle contient une éponge (non illustré)

Sur les illustrations nous retrouvons aussi un bac mouillé (11) et son accès (17) et des trous de communication (15), ainsi qu'un bac isolé (12) et son accès (6), les deux étant destinés aux outils et autres équipements selon qu'ils sont mouillés ou à sec. La configuration et l'emplacement de ces bacs pourraient en l'occurrence être tout autres ainsi que leur mode de fixation à l'intérieur du contenant. Dans tous les cas, l'ensemble des équipements du chevalets doivent laisser libre passage au rouleau afin que ce dernier puisse toujours lécher le fond du contenant et l'enduit jusqu'à la dernière goutte.

Le manchon (50) du rouleau vient s'appuyer sur une plate forme (16), laquelle sert aussi d'essuie pinceau lorsque l'appareil est en fonction et que le manchon est autrement appuyé. Une petite porte étanche arrière (30), lorsque qu'ouverte, permet de refermer le couvercle du contenant sans qu'il soit pour autant nécessaire d'enlever la rallonge de manchon lorsqu'elle est fixée. Pour un déplacement ou pour un court entreposage, la rallonge passe dans la petite porte ouverte alors que le rouleau se trouve enserré dans sa niche (5) pour le bas, (4) pour le devant et (23) pour le haut du rouleau.

L'appareil est muni d'une fixation pour un pinceau afin de suspendre ce dernier les poils (45) vers le bas, n'importe où sur le pourtour du contenant ouvert, le long ou dans les bacs humides ou mouillés ainsi qu'à divers endroits choisis selon le besoin et la commodité. Cette fixation pour le pinceau est composée, à l'un des deux bouts, d'un collet (47) pour le manche du pinceau (46), et à l'autre bout, d'un crochet de suspension (48).

Il est convenu que la seule bonne façon de transporter les enduits est de le faire avec le contenant refermé. Avec mon appareil, aussitôt que les outils sont déposés dans leurs niches d'appartenance, refermer l'appareil prend une fraction de seconde. C'est à cet instant que devient disponible l'anse pour le transport le plus sécuritaire.

Richement muni de nouvelles et nombreuses caractéristiques, mon appareil propose une performance et une sécurité nettement supérieures à la traditionnelle façon de faire et confronte dramatiquement un héritage d'incidents divers et de petits dégâts. (Huppy Pail ou Pro Painter Pail)