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Patent Searching and Data


Title:
SAFETY WRIST-WATCH WITH A WARNING SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1990/013070
Kind Code:
A1
Abstract:
In order to reduce the risk of children being kidnapped, or to locate kidnapped children more easily and quickly, this wrist-watches includes an acoustic warning system with at least two different, separate stages and safety contacts (10, at 4, at 11, 12) for immediately triggering a warning signal when the watch is being manipulated by unauthorized persons. The wrist-band (2) is attached to the watchcase (1) in such a manner that it cannot be opened or cut without triggering the warning signal if it has previously been initialized.

Inventors:
MULLER BERNARD (CH)
SCHMID MARLYSE (CH)
Application Number:
PCT/CH1990/000110
Publication Date:
November 01, 1990
Filing Date:
April 25, 1990
Export Citation:
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Assignee:
JEANNERAT PHILIPPE (CH)
International Classes:
G04C21/16; G04G13/02; (IPC1-7): G04G13/02
Foreign References:
GB2141567A1984-12-19
FR2180349A51973-11-23
US4694284A1987-09-15
DE3222349A11984-01-05
Other References:
PATENT ABSTRACTS OF JAPAN, Vol. 9, No. 68 (P-344) (1791), 28 Mars 1985; & JP-A-59202090 (Sanyo Denki K.K.) 15 Novembre 1984
Attorney, Agent or Firm:
GASSER, François, W. (CH)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Montrebracelet englobant un alarme sonore, un affichage (3), des moyens de réglage (4, 6) de l'heure et de l'alarme, un boîtier (1) et un bracelet (2) y relié, caractérisée en ce que l'alarme présente au moins deux stages différents et distincts, se suivant automatiquement après un laps de temps prédéterminé après l'enclenchement, si durant ce laps de temps l'alarme n'a pas été interrompu correctement, et en ce qu'elle comprend plusieurs contacts de sécurité (10, vers 4, vers 11, 12) dont chacun sert à enclencher immédiatement l'alarme, indépendemment de l'heure où il est actionné, et en ce qu'elle comprend un circuit électronique permettant de comparer un code d'interruption de l'alarme à un code prédéterminé.
2. Montrebracelet selon la revendication 1, caractérisée en ce que le premier stade d'alarme est un stade de réveil, signalant que l'heure prédéterminée de l'alarme est atteinte ou sera atteinte sous peu, tandis qu'un second stade d'alarme est un alarme particulier déterminé, de préférence ininterrompu.
3. Montrebracelet selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comprend un troisième stade d'alarme initialisant des moyens de détection et/ou de localisation.
4. Montrebracelet selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens de réglage (4, 6) permettent également de définir un code d'interruption de l'alarme, par application duquel uniquement le timer de l'alarme ou l'alarme luimême peuvent être interrompus.
5. Montrebracelet selon la revendication 1, caractérisée en ce que les contacts de sécurité (10, vers 4, vers 11, 12) sont placés de telle sorte à ce que chaque essaie illicite de régler la montre ou l'alarme, d'interrompre le timer de ce dernier, d'enlever la montre du poignet ou d'atteindre la batterie de la montre, actionne immédiatement l'alarme.
6. Montrebracelet selon la revendication 1, caractérisée en ce que le bracelet (2) comprend des bandes de contact (13) servant comme interrupteur lors d'une séparation du bracelet (2).
7. Montrebracelet selon la revendication 4, caractérisée en ce que les moyens de réglage comprennent une tige de réglage (4) pouvant être positionnée dans quatre positions différentes, et trois boutons poussoir (6a, 6b, 6c) .
Description:
MONTRE-BRACELET DE SECURITE ENGLOBANT UN ALARME

La présente invention concerne une montre-bracelet de sécurité englobant un alarme selon le préambule de la revendication 1.

De ces jours, la vigilance contre enfants est malheureusement devenue un problème sérieux. En fait, surtout dans les agglomérations urbaines et là dans les cercles d'un certain standing de vie privilégié, le rapt d'enfants est un risque permanent. A part de ce risque concret, les parents de petits enfants et d'enfants de moyen âge se voient confronté aux risques de viols, de disparitions prolongées sans nouvelles et d'accidents de leurs enfants. Cette situation de risques multiples crée une atmosphère d'incertitude et de stress, chaque fois qu'un enfant ne rentre pas à l'heure désirée ou convenue. L'expérience a démontré qu'en cas de rapt surtout, il est important de ne pas laisser écouler trop de temps avant de déclencher un alarme, respectivement une recherche policière de l'enfant, afin d'avoir une certaine chance d'éviter des conséquences souvent tragiques. D'autre part on sait pertinemment bien que les enfants ne sont souvent pas concernés par les conséquences que leur retard sur l'heure de rentrée prévue peut avoir et oublient tout simplement de consulter une montre de temps à autre afin de s'assurer qu'ils ne devraient pas déjà être à la maison. Dans tous ces cas il serait bien entendu ridicule de déclencher un alarme policier ou même une action de recherche policière de l'enfant. Souvent la police réagit aussi en conséquence, si des parents inquiets l'alertent peu après l'heure où leur enfant aurait dû rentrer.

Le but de la présente invention est de proposer un moyen permettant de réduire le risque de faux alarmes et facilitant, le cas échéant, la recherche d'un enfant disparu, créant ainsi

une atmosphère de confiance et un lien certain entre parents et enfant.

Ce but est atteint, selon l'invention, par une montre-bracelet de sécurité englobant un alarme ainsi que défini à la revendication 1.

Une telle montre-bracelet n'assure pas seulement que l'enfant qui la porte est averti à temps que 1'heure à laquelle il doit être à la maison approche, mais rend également nerveux un ravisseur et facilite la recherche de l'enfant, après son enlèvement éventuel, grâce à l'alarme qu'elle englobe.

Dans une exécution particulièrement avantageuse, cette montre- bracelet initie, à un moment défini par avance, un moyen d'alerte et/ou de reconnaissance discret, détectable depuis un hélicoptère, par exemple, si elle n'a pas préalablement été déclenchée.

Deux exécutions avantageuses d'une montre-bracelet selon l'invention sont décrites en détail dans ce qui suit, à l'aide du dessin annexé, dans lequel la

fig. 1 illustre la première exécution d'une telle montre- bracelet en vue perspective, telle qu'elle est normalement portée au poignet, la

fig. 2 montre cette montre-bracelet en position de réglage, tant de mise à l'heure que du réglage du timer contrôlant le déclenchement de l'alarme, avec le bracelet fermé, la

fig. 3 illustre le mécanisme de fermeture du bracelet, la

fig. 4 est une coupe transversale partielle à travers cette montre-bracelet, illustrant certains éléments de construction particuliers qu'elle comporte,

fig. 5 est une coupe latérale partielle à travers l'endroit de fixation permanent du bracelet à la montre et du bracelet lui- même, et la

fig. 6 est une vue depuis le dessus sur la seconde exécution d'une montre selon l'invention, le couvercle étant ouvert.

Aux figs. 1 à 3 on reconnaît la montre-bracelet selon l'invention en trois positions différentes et distinctes aussi du point de vue de son fonctionnement. A la fig. 1 la montre- bracelet est illustrée telle qu'elle est portée autour du poignet; le boîtier 1 ainsi que le bracelet 2 sont fermés. Sur un affichage 3 est indiqué l'heure actuelle, par exemple sous forme "heure, minute et seconde" ainsi qu'une indication, par exemple sous forme du mot "on", montrant que le tinter de l'alarme est activé. Un symbole, par exemple sous forme d'une batterie, indique le degré de remplissage de la source d'énergie de la montre. Dans cette position une tige de réglage 4 est recouverte au moins partiellement par un couvercle extérieur 5, de sorte qu'elle ne peut pas être actionnée.

A la fig. 2 le couvercle extérieur 5 du boîtier 1 de l'exécution décrite d'une montre-bracelet selon l'invention est ouvert et rend accessible tant la tige de réglage 4 que des boutons de réglage 6a, 6b et 6c. De plus, dans cette position on peut atteindre un couvercle intérieur 7 servant à fixer le bout libre 2a du bracelet 2 au boîtier 1 de la montre.

En ouvrant le couvercle intérieur 7 du boîtier 1, le bout libre 2a du bracelet 2 est libéré, respectivement peut être engagé dans le boîtier 1, afin de fixer la montre-bracelet autour du poignet. Par la fermeture du couvercle intérieur 7 un mécanisme de fixation, illustré à la fig. 4, pince le bout libre du bracelet 2 et par là le met enboucle fermée.

Tel qu'il ressort de la fig. 2, la tige de réglage 4 peut de préférence prendre trois positions de réglage distinctes, dont une position 1a, dans laquelle la tige 4 est complètement tirée, sert à la mise à l'heure de la montre à l'aide des trois boutons de réglage 6a, 6b et 6c, dont par exemple le premier sert au réglage de l'indication des heures, le second au réglage des minutes et le troisième au réglage des secondes. Une position moyenne 4b permet de mettre à l'heure de la même manière le timer, c'est-à-dire de programmer l'heure à laquelle l'alarme de la montre-bracelet se déclenchera, si le timer n'est pas remis à zéro préalablement. Dans une troisième position 4c de la tige de réglage, on peut définir, après le réglage du timer, le code, par lequel le timer peut à nouveau être mis à zéro et donc déclencher l'alarme. Un tel code se compose, par exemple d'une suite définie d'actionnements sur les boutons de réglage 6a, 6b et 6c. La position complètement repoussée de la tige de réglage 4 correspond à la position normale de celle-ci et ne permet aucun réglage de la montre-bracelet.

Ainsi qu'illustré aux figs. 2 et 3, les boutons de réglage 6a, 6b et 6c sont de préférence distincts l'un de l'autre, de préférence tant en ce qui concerne leur forme que leur couleur, afin de faciliter à la personne réglant régulièrement la montre ou son timer de se souvenir des fonctions de ces boutons. Ils peuvent bien entendu aussi être munis des lettres B H M , "M", et "S". Afin de faciliter encore plus la manutention de la montre-bracelet de sécurité selon l'invention, il est préférable que chaque position de réglage de la tige de réglage 4 allume un symbole particulier sur l'affichage, par exemple un symbole de montre analogue avec aiguilles dans la position 4a de réglage de l'heure, un symbole d'alarme dans la position moyenne 4b de réglage du timer et un symbole "code" dans la position 4c permettant de définir le code de sécurité par lequel le timer peut être remis à zéro préalablement à l'initialisation de l'alarme ou permettant d'arrêter ce dernier en cas de déclenchement.

Aux figs. 4 et 5 sont illustrés en coupes transversale respectivement latérale partielles quelques éléments de construction particuliers de la montre-bracelet selon l'invention, la distinguant de montres-bracelets traditionnelles. D'une part on reconnaît à la fig. 4 une construction avantageuse d'un couvercle intérieur 7 servant à pincer à l'aide d'une nervure 8 le bracelet 2 contre une assise rigide 1a du boîtier 1 et par là fermer le bracelet 2 à une longueur quelconque autour du poignet d'un enfant. En même temps, au moment de la fermeture de ce couvercle intérieur 7 un levier 9 actionne in interrupteur 10 servant à déclencher immédiatement l'alarme, dès qu'une personne non-habilitée ouvre le couvercle intérieur 7 afin d'enlever la montre- bracelet du poignet de l'enfant. Afin de rendre le bon fonctionnement de la montre-bracelet de sécurité selon la présente invention fiable et insensible à des manipulations illicites, il est recommandable de prévoir encore d'autres sécurités déclenchant l'alarme dès que l'un ou l'autre des critères cités ci-dessous est rempli, pour autant qu'une heure d'alarme a été programmée de la manière décrite ci-devant. Ainsi, il est préférable de prévoir qu'après initialisation du timer d'alarme toute manipulation à la tige de réglage 4 en vue de changer soit l'heure affichée sur l'affichage 3, soit l'heure de déclenchement de l'alarme, déclenche immédiatement ce dernier. Cela peut être réalisé électroniquement ou électro-mécaniquement à l'aide d'un micro-switch co-opérant avec la tige de réglage 4. De plus, il est avantageux de prévoir que chaque actionnement des boutons de réglage 6a, 6b et 6c dans un ordre différant de celui par lequel dans la position 4c de la tige de réglage 4 on a défini le code servant à désactiver l'alarme au moment du réglage de ce dernier, déclenche immédiatement l'alarme. Ceci est de préférence réalisé électroniquement par une comparaison d'une suite de signaux à une autre suite prédéfinie. Afin d'éviter que la montre-bracelet de sécurité selon l'invention puisse

tout simplement être mise hors service par l'enlèvement de sa pile, il est recommandé de prévoir un micro-switch ou autre élément adéquat déclenchant l'alarme dès qu'on essaie de dévisser le couvercle de batterie 11. Afin d'empêcher qu'une personne qui aurait enlevé l'enfant portant la montre-bracelet de sécurité selon l'invention s'en débarrasse par le simple fait de l'enlever du poignet de l'enfant, il est avantageux de prévoir tant un contact de sécurité 12 à l'endroit de la fixation permanente du bracelet 2 au boîtier 1 de la montre, que de prévoir un bracelet 2 muni de bandes de contacts 13 reliées à l'électronique de la montre, tel qu'illustré à la fig. 5, de manière à ce que tant le fait d'arracher le bracelet 2 du boîtier 1 de la montre que le fait de couper le bracelet 2 déclenche l'alarme.

Si le système acoustique (par exemple und "Buzzer") est placé dans le couvercle 5 il est avantageux de prévoir un contact de sécurité qui détecte chaque forcement du couvercle 5, avant que celui-ci puisse être arraché de la montre pour éviter l'alarme. Il est aussi possible de prévoir un nez dans la charnière du couvercle 5 qui soulèvera la boucle 7 dès qu'on ouvre le couvercle 5 de plus de 90° et qui déclanche donc l'alarme à travers le même contact de sécurité qui contrôle la fermeture de la boucle 7.

En ce qui concerne l'alarme, il est recommandable de prévoir au moins deux stages différents et distincts d'alarme. Un premier stage d'alarme pouvant par exemple déclencher un alarme de son intermittent connu dans des montres-bracelet traditionnelles équipées d'alarme ou de réveil, rendant l'enfant attentif au fait, que l'heure à laquelle il doit être à la maison approche ou est déjà atteinte. Durant ce premier stage d'alarme on peut prévoir qu'un "bip-bip" est activé plusieurs fois pendant un laps de temps prédéterminé, par exemple un quart d'heure ou une demie-heure. Si l'alarme n'est pas mis hors service correctement par une personne habilitée, en appuyant sur les boutons de réglage 6a, 6b et 6c de la

manière présélectionnée au moment du réglage du timer, lorsque la tige de réglage 4 se trouvait dans sa position 4c, l'alarme change automatiquement de stage, lorsque le laps de temps prédéterminé du premier stage d'alarme touche à sa fin. Un second stage d'alarme peut comprendre un alarme continu, éventuellement sous forme de "bip-bip" ne cessant plus jusqu'à la désactivation de l'alarme à l'intermédiaire des boutons de réglage 6a, 6b, 6c- Parallèlement à un tel alarme continu ou comme troisième stage d'alarme, durant lequel l'alarme sonore peut à nouveau être déclenché afin de ménager la batterie de la montre, on peut prévoir soit l'émission d'un signal radio ou à ultrason servant à mettre en service un circuit électronique de localisation respectivement de détection passif, tel qu'ils sont par exemple utilisés dans des installations servant à localiser des skieurs étant été surpris par une avalanche, et caché à un endroit secret sur l'enfant, par exemple dans ses habits ou sous sa peau, de sorte que lors d'une recherche de l'enfant, par exemple à l'aide d'hélicoptères, celui-ci puisse être localisé à grande distance sans contact optique direct, et même à l'intérieur de bâtiments ou d'autres abris, sans que le ou les ravisseurs s'en rendent compte. Bien entendu, le circuit électronique de localisation peut aussi faire partie de la montre-bracelet de sécurité selon l'invention, ce qui cependant peut être à l'origine de problèmes de localisation de l'enfant, si le ravisseur suppose que la montre-bracelet de l'enfant contient une telle installation et par conséquence s'en débarrasse.

En ce qui concerne la fiabilité de la montre-bracelet de sécurité selon la présente invention, il est évident que l'affichage du degré de charge de la batterie au moment du réglage du timer, respectivement de l'alarme, est un élément additionnel de sécurité de fonctionnement correct en cas de nécessité. Des circuits permettant de surveiller ce fait sont connus et ne nécessitent pas de description détaillée. De même, des circuits électroniques de montres-bracelet comprenant un alarme sont également connus en soi et ne

nécessitent pas de description ici. Il en est de même pour tous les autres circuits électroniques servant à réaliser les opérations telles que décrites ci-dessus, de sorte qu'on renonce, à cet endroit, d'y donner une description détaillée. Ceci d'autant plus qu'une fonction précise peut normalement être réalisée avec plusieurs circuits électroniques.

L'homme du métier reconnaît facilement, à la lecture de ce qui précède, que certaines fonctions de la montre-bracelet de sécurité selon la présente invention peuvent être réalisées différemment de la manière décrite. Ainsi, par exemple, il n'est nullement nécessaire de prévoir une tige de réglage, car les mêmes fonctions peuvent sans autre être réalisées à l'aide de boutons-poussoirs, tels que fréquemment utilisés dans des montres électroniques englobant un alarme.

A la fig. 6 une telle exécution d'une montre-bracelet selon l'invention est illustrée schématiquement. On reconnaît que plusieurs boutons-prèssoirs additionnels sont prévus sur la montre, en-dessous du couvercle, ici ouvert, dont un peut avantageusement être actionné à travers le couvercle afin de rendre l'utilisation du timer plus facile.

Dans une telle montre-bracelet l'affichage 3 ne doit pas forcément afficher les mots "on" et "off" tel que cela ressort du dessin et sert à indiquer si la fonction d'alarme est en service ou non. Toute autre indication appropriée peut également être prévue. A cette fin on peut aussi mentionner que la montre-bracelet peut être une montre permettant d'indiquer, à côté de l'heure, la date, et que l'alarme peut, le cas échéant, être dessiné de sorte à ce qu'on puisse le prévoir à une heure définie d'un jour à venir. Bien entendu, la montre-bracelet de sécurité selon la présente invention ne doit pas non plus forcément être une montre à affichage digital, bien que ceci facilite sa réalisation. Il est suffisamment connu dans l'horlogerie comment on construit une montre électronique à alarme avec affichage analogique du

temps, afin qu'un homme du métier puisse réaliser la montre- bracelet selon la présente invention sous cette forme.

La réalisation proposée du bracelet, respectivement de la fixation du bracelet au boîtier et la surveillance de l'intégrité du bracelet peuvent sans autre aussi être atteintes par d'autre moyens que ceux décrits ci-dessus, bien que ceux-ci sont faciles et efficaces. La fiabilité de fonctionnement due à une charge suffisante de la source d'énergie de la montre peut, par exemple, être augmentée par l'utilisation d'un accumulateur au lieu d'une batterie, combinée avec des cellules photo-voltaïques. Bien entendu, il est également possible de prévoir deux points de contacts sur le boîtier de la montre, permettant de recharger l'accumulateur dans un chargeur spécialement conçu pour servir à cette fin.

L'homme du métier reconnaîtra facilement, que la montre- bracelet selon la présente invention est conçu de sorte à ce qu'elle comprend plusieurs éléments permettant de surprendre un ravisseur éventuel d'un enfant, car tout alarme, surtout s'il est de nature particulière, rendu publique comme alarme d'enlèvement, peut servir à initier un ravisseur à interrompre son action illégale et de libérer l'enfant qu'il à enlevé. D'autre part, si la montre-bracelet selon la présente invention est utilisée en combinaison avec un circuit de localisation passif tel que décrit ci-dessus, elle est sans doute un élément décisif dans la recherche d'un enfant enlevé ou disparu.

Bien que la présente description se limite à décrire l'invention sous forme d'une montre-bracelet, il est évident qu'il existe beaucoup d'autres formes sous lesquelles un instrument de ce genre peut être réalisé. On ne mentionnera ici à titre informatif que des bagues, pendentifs, colliers ou bijoux. Afin de garantir un bon fonctionnement de l'installation selon la présente invention même sous

conditions d'utilisation difficiles, il est préférable de prévoir un boîtier étanche et une électronique résistant à des chocs. Le cas échéant, le bracelet peut être équipé, à côté des bandes de contacts, d'une antenne, permettant tant de transmettre des signaux que d'en recevoir.

D'autres modification de l'exécution décrite de l'objet de la présente invention sont à la porté de tout homme de métier qualifié et ne nécessitent pas d'explications.