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Title:
SEAT WITH DIVIDED SITTING PART SUPPORTS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2011/135462
Kind Code:
A2
Abstract:
Seat, the sitting part of which is divided to provide differential support in order to eliminate cardiovascular problems, problems with blood circulation and the highly debilitating and very expensive lower back problems by allowing everybody to be seated at a sufficient height (550 mm) for lengthy periods of time while at the same time, without need for manipulation, allowing them to perform active leg exercises consisting in combined movements of parting, raising and lowering each of their two thighs which are supported but work against elastic or pneumatic forces acting on their thigh supports (2 and 3) which are driven separately by the locomotive muscles and, in addition, firmly hold variable thigh postures at asymmetric obtuse angles (from 90° to 120°) of inclination with respect to the torso, which is invariably vertical, thus avoiding the unfavourable horizontal position of the thighs (which causes rounding of the back). The seat according to the invention is intended to be used at computer work stations and is particularly beneficial for the many people there are of larger size.

Inventors:
PRUD HOMME FRANCOIS (BE)
Application Number:
PCT/IB2011/001496
Publication Date:
November 03, 2011
Filing Date:
April 22, 2011
Export Citation:
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Assignee:
PRUD HOMME FRANCOIS (BE)
International Classes:
A47C7/02; A47C7/00; A47C9/00
Domestic Patent References:
WO1996010937A11996-04-18
WO2001000061A12001-01-04
Foreign References:
US4690459A1987-09-01
Other References:
EUROPEAN HEART JOURNAL, 12 January 2011 (2011-01-12)
EUROPEAN HEART JOURNAL
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Claims:
REVENDICATIONS

1 ) Siège avec une assise à appuis différenciés élaboré pour permettre aux personnes de tailles différentes régulièrement attablées de faire à volonté des exercices actifs salutaires de dégourdissement des jambes consistant en des mouvements combinés d'écartement , d'abaissement et de relèvement de chacune des deux cuisses qui sont entraînées séparément en asymétrie par leurs muscles locomoteurs ( exercices actifs de la marche ) en antagonisme avec des forces de rappel élastiques et ou pneumatiques agissantes sur leurs appuis fémoraux respectifs et cela , sans modifier l'alignement du tronc à la verticale et donc sans perdre de vue l'écran et de plus , sans devoir retirer les mains du clavier ni de la souris et donc sans devoir interrompre l'activité en cours aux postes informatisés ; pendant lesdits exercices actifs , le tronc de chaque personne attablée est supporté par un « appui élevé du fessier » qui est comme chacun des deux « appuis fémoraux » compris isolément dans l'état de la technique , ledit « appui élevé du fessier » est supporté par un piètement commun à une hauteur suffisante réglable ( de 500 mm à 580 mm ) ou invariable ( 550 m ) pour pouvoir abaisser répétitivement d'au moins 30 mm les creux poplités des personnes chaussées de grande taille et cela , en entraînant le relèvement automatique de la colonne vertébrale et la décompression des disques intervertébraux , caractérisé en ce que son assise à appuis différenciés comporte deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) qui sont séparément articulés :

▲ par deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » ( fig 1 et fïg 2 ) pour pouvoir s'écarter chacun par la force musculaire de la cuisse appuyée et cela , parallèlement par rapport à l'alignement longitudinal de Γ « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) tout en libérant momentanément les mouvements d'inclinaisons et de relèvements dudit « appui fémoral » ( 2 ou 3 ) écarté pour

S pratiquer des exercices actifs salutaires par la répétition des mouvements d'abaissements et de relèvements contrecarrés élastiquement et ou pneumatiquement H et de plus , pour changer de posture fémorale au moment précis de l'acquisition d'une inclinaison quelconque parmi celles praticables ( de 90° à 120° ) ,

▲ ou par deux « articulations combinées d'écartements angulaires et d'inclinaisons entraînées » ( fig 3 ) pour pouvoir s'écarter chacun par la force musculaire de la cuisse appuyée et cela , obliquement par rapport à l'alignement longitudinal tout en entraînant automatiquement , par l'intermédiaire d'un « parallélogramme articulé élastiquement et inclinable transversalement » ( 32 ou 33 ) , l'inclinaison vers l'avant et vers le bas dudit « appui fémoral » ( 2 ou 3 ) écarté simultanément , en ce que ledit parallélogramme articulé est normalement immobilisé au repos ( à la même hauteur que « appui élevé du fessier » dans sa forme rectangulaire ou préinclinée : - vers P « appui d'entre-deux cuisses » ( 1 ) de manière très modérée pour pouvoir supporter , sans s'incliner , une importante charge fémorale

ou latéralement de manière appréciable pour modifier les rapports entre grandeurs des inclinaisons entraînées et des écartements entraînants

2 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que lesdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fïg 1 ) sont séparément :

T articulés ( fig 1 ) par deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » dont les deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) tournent et coulissent tout en appuyant respectivement les deux zones de pli fessier de la personne assise T et poussés vers le haut par deux « dispositifs de poussée vers le haut » à deux ressorts mécaniques non représentés ou à deux ressorts pneumatiques ( ressorts à gaz 21 et 22 )

T et attirés vers « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) par la force du

« ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 fig 2 ) agissante sur les deux « dispositifs d'immobilisation » mécaniques ( embrayages 9 et 10 fig 2 ) ou pneumatiques ( têtes des ressorts à gaz blocables 21 et 22 ) et cela , pour pouvoir exécuter , par la force musculaire des deux cuisses bien appuyées avec adhérence sans devoir distraire l'activité en cours en position attablée , leurs mouvements séparés d'écartement en antagonisme avec l'attraction du « ressort hélicoïdal commun » ( 12 ) provoquant leurs déblocages respectifs en autorisant alors leurs mouvements séparés d'élévation et d'abaissement à angles ouverts en antagonisme avec la poussée vers le haut des « ressorts à gaz »( 21 et 22 ) et en finalité leurs mouvements séparés de rappel d'écartement par le relâchement musculaire de chacune des deux cuisses au moment de l'obtention des inclinaisons fémorales symétriques ou asymétriques du changement de posture fémorale visé ; des exercices actifs sont ainsi praticables sans devoir quitter son poste de travail ( informatisé ) par la répétition desdits changements de posture , tout en maintenant leurs écartements de déblocage

3 ) Siège selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que les deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » ( fig 2 ) sont formées respectivement par deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) qui tournent et coulissent sur un « axe tubulaire commun » ( 11 ) qui transperce en y étant solidarisé Γ « appui élevé d'entre-deux cuisses ( 1 ) et qui renferme le « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 ) tendu entre les deux « embouts de terminaison » ( 13 et 14 ) desdits deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) , en ce que les deux

« dispositifs d'immobilisation » mécaniques comportent , aux extrémités respectives rentrantes des deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) , les deux parties mobiles ( 9 et 10 ) des « embrayages à dents chanfreinées »

4 ) Siège selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que lesdits deux

« appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 ) sont à chaque départ de la personne antérieurement assise , ramenés automatiquement en position de repos : à l'horizontale ou à une inclinaison vers le bas modérée ( de l'ordre de 98° ) permettant de prendre place en position assise de manière habituelle , l'information de départ est donnée par un détecteur de suppression de charge corporelle existant ( sièges du parlement européen ) qui est inséré dans le vérin à gaz réglable en hauteur de « appui élevé du fessier » ( 4 ) ou dans un amortisseur de chocs pour les chaises de hauteur invariable ; ladite information de départ est alors transmise simultanément par câble aux deux têtes respectives de déclenchement des deux ressorts à gaz blocables ( 21 et 22 ) .

5 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que lesdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 3 ) sont séparément :

▲ articulés ( fig 3 ) par deux « articulations combinées d'écartements angulaires et d'inclinaisons entraînées » qui comportent :

ED deux « rotules de pivotement azimutal et d'inclinaison vers le bas » ( 30 et 31 ) respectivement insérées d'une part aux extrémités latérales de la bordure frontale de « appui élevé du fessier » ( 4 ) et d'autre part dans les deux angles arrières latéraux de chacun desdits « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et cela , à proximité des articulations de la hanche de la personne assise ( évitement des déplacements relatifs entre cuisses appuyées entraînantes et appuis fémoraux )

Z1 et deux « parallélogrammes articulés élastiquement et inclinables transversalement » ( 32 et 33 )

T qui sont normalement immobilisés au repos dans leur forme rectangulaire ou inclinée et cela , par deux « arrêts d'abaissement » ( 41 et 42 )

T qui s'intercalent transversalement entre les bases frontales respectives desdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) ainsi supportés à l'avant et les deux côtés respectifs du « support transversal frontal » ( 34 ) qui transperce Γ « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 )

T et qui sont attachés chacun , d'une part , par un « pivot de retenue » ( 35 ou 36 ) qui transperce son côté inférieur et un côté gauche ou droit du « support transversal frontal » ( 34 ) et d'autre part , par un « pivot d'entraînement » ( 37 ou 38 ) qui transperce son côté supérieur et le bord frontal d'un de ses deux « appuis fémoraux » ( 2 ou 3 ) et cela , dans son angle latéral

T et qui sont formés respectivement par quatre barres rigides ( en métal ou en matière plastique ) reliées entre elles par quatre angles articulés constitués par des équerres ou par des coudes rectangulaires ( 40 ) en matière élastique ( en caoutchouc synthétique )

— L'ajout d'un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 39 ) réglable ou non en tension , accroît l'antagonisme élastique aux écartements desdits « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et compense la diminution d'attraction dûe à la préinclinaisson latérale desdits deux « parallélogrammes articulés » ( 32 et 33 ) . les écartements séparés desdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) entraînés musculairement sont ainsi ramenés automatiquement en position de repos à la hauteur habituelle de Γ « appui élevé du fessier » ( 4 ) au relâchement musculaire de chacune des deux cuisses et donc à chaque départ de la personne qui était assise ; les exercices actifs de dégourdissement des jambes consistent en des mouvements séparés et répétitifs d'écartements angulaires des deux cuisses appuyées avec adhérence qui enentraînent automatiquement les abaissements des bords frontaux respectifs des deux »appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et ainsi leurs inclinaisons à angles ouverts .

6 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que ledit « piètement commun » adapté aux mouvements d'abaissement et d'écartement des deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fïg 1 et fig 3 ) est formé :

■ par un piètement à cinq pieds ( fig 3 ) : quatre pieds situés sous « appui élevé du fessier » ( 4 ) et un pied situé sous le bord frontal de « appui d'entre-deux cuisses » ( 1 )

ou par un piètement fourchu ouvert à l'avant du siège ( fig 1 ) et qui comporte : O une « structure montante d'entre-deux jambes » ( P : 420 mm ) qui est essentiellement portante , qui a sur toute sa hauteur , la même délimitation en largeur ( de l'ordre de 80 mm ) que F « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) , qui est susceptible , pour les sièges à hauteur fixe , d'être réalisé esthétiquement ( deux « montants étroits » 15 et 16 ) et qui est réalisé , pour les sièges à hauteur réglable en forme de double té par une « armature médiane étroite » ( L : 80 mm- P : 420 mm ) de F « assise à appuis différenciés » , un « ressort à gaz blocable » avec une colonne non pivotante (existante) ou pivotante avec rappel en position de départ en relevant les deux pieds du sol (existe par la suppression de charge au départ de l'occupant) et un « longeron étroit de base » ( 17 ) qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixées à ses extrémités

O et une « structure périphérique de base » en forme de U qui est essentiellement stabilisatrice , qui comporte une « traverse du fond » ( 18 ) solidarisée à l'extrémité arrière du « longeron médian étroit de base » ( 17 ) et deux « longerons latéraux » ( 19 et 20 ) et qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixées à ses deux extrémités avancées libres

7) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que son dossier est fixe ( 6 fig 1 ) ou réglable en profondeur (non représenté) selon la technique existante , en permettant l'ajustement de la superposition entre les plis de la région fessière de la personne assise et les deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 fig 1 et fig 2 ).

Description:
Siège avec une assise à appuis différenciés

La présente invention concerne les chaises confortables qui appuyent les zones fessières et fémorales , qui ont un piètement de hauteur invariable ou réglable ( ressort à gaz blocable ) et qui sont destinées à être utilisées régulièrement pendant des longues périodes de temps pour exercer des activités minutieuses aux postes informatisés , de travail de précision ou encore de bureau

Les dommages corporels résultant de la position assise pratiquemment inchangée durant les activités astreignantes et à fortiori lorsqu'elles sont collectives sans pouvoir quitter isolément son poste pour se dégourdir les jambes , sont de mieux en mieux cernés à ce jour ; documents Internet autorisés :

♦Pourquoi accorder tant d'importance au travail en position assise ? - Réponse SST du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail ( CCHST )

♦ Assis ou debout ? - Réponse de la caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accident ( SUVA Pro )

♦ Travailler assis ou debout ? - Réponse de l'Institut national de recherche et de sécurité de France ( INRS )

Les causes desdits dommages corporels sont :

13 le manque de mouvements du corps qui engendre des problèmes cardiovasculaires antérieurement qualifiés de délétères et qui aujourd'hui ne peuvent plus laisser de doute quant à leurs origines en suite de l'étude récente du Dr Geneviève Healy de l'Université de Queensland en Australie menée sur 4.700 employés de bureau porteurs d'accéléromètres enregistreurs ( publication du 12 janvier 2011 « European Heart Journal » )

• Les chaises de bureau existantes à ce jour sont couramment réglables en hauteur d'assise , pivotantes ( invention en 1926 du Federdreh ( Stoll ) et munies d'une assise dite dynamique comportant un mécanisme synchrone entre assise et dossier ( invention du premier modèle en 1976 de la chaise ( Brauning ) ;

l'exécution à volonté de mouvements répétitifs d'aller et retour de pivotements et ou d'inclinaisons du tronc vers l'arrière en antagonisme avec la force de rappel vers l'avant du dossier , empêche le cours normal des activités astreignantes et minutieuses des personnes attablées , sont distrayantes pour les autres employés et donc peu propices pour pouvoir éradiquer les problèmes cardiovasculaires sans devoir quitter son poste de travail ( informatisé ) et se dégourdir les jambes en marchant.

IH] et le manque de possibilités pour les personnes de grande et de petite taille et de diverses corpulences■ de pouvoir immobiliser stablement et séparément les deux cuisses à des inclinaisons variables à angles ouverts asymétriques ou symétriques pour trouver la meilleure posture des membres inférieurs en adaptation à chaque morphologie de la personne devant rester assise une longue période de temps

et de pouvoir , par la suite , changer à volonté de postures fémorales asymétriques réglables respectivement en continu ou pas à pas ; la posture fémorale dite des jambes croisées prise régulièrement en étant assis sur des chaises courantes de hauteur normalisée ( 470 mm ) plus basses que les creux poplités des personnes de grande taille chaussées ( 490 mm pour 95 centile-homme et 30 mm de talon soit : 520 mm ) , révèle le besoin instinctif de changement de posture fémorale et cela , malgré les désagréments bien connus de cette posture des jambes croisées .

• Le manque actuel de possibilités de changer aisément et pratiquement , sans interrompre l'activité minutieuse en cours , de postures fémorales stablement immobilisées tout en assurant la décompression des disques intervertébraux , conduit à des maladies chroniques du bas du dos invalidantes et très onéreuses ( en milliard d'euros par grand pays industrialisé ) et bien évidemment des troubles de la circulation sanguine.

• Les chaises de bureau existantes sur le marché et les assises décrites dans divers brevets pertinents non encore industrialisés ont été élaborées en vue de permettre à leurs utilisateurs des postures salutaires .

▲ La chaise de bureau dite à basculement frontal existe sur le marché ; son assise appuyé dans le même plan normalement à l'horizontale le fessier et les deux cuisses et bascule entièrement à volonté vers l'avant et vers le bas avec une inclinaison à angle ouvert ( de l'ordre de 102° ) insuffisant pour entraîner automatiquement le redressement complet de la colonne vertébrale , la posture obtenue par ledit basculement frontal nécessite une force musculaire permanente pour contenir la force de glissement du corps vers l'avant et en outre ne permet aucun mouvement des jambes

• Dans la conclusion de sa réponse SST : « chaise à basculement frontal » mise à jour le 6 juin 2007 , le Centre Canadien ( CCHST ) préconise l'utilisation de cette dite chaise , malgré ses désagréments connus , et cela , comme pis-aller .

▲ La chaise de bureau avec une assise dynamique existe depuis une trentaine d'années ( 1976 ) avec un mécanisme dit synchrone amélioré au fil du temps par chacun des principaux fabricants , ladite assise est réalisée dans un même plan horizontal ou en deux parties dont l'une frontale est inclinée communément pour les deux cuisses à un angle ouvert égal ou inférieur à 100° selon la division de l'assise en deux parties du brevet : US4.690459A - ULLMAN- le 1 septembre 1987 ) ; l'ouverture angulaire salutaire , entre les cuisses et le tronc à suffisance est acquise par l'inclinaison du tronc vers l'arrière de la chaise et cela , avec une posture intéressante pour le redressement de la colonne vertébrale mais qui est seulement compatible avec l'activité auditive ( appels téléphoniques ) tandis que la position de travail compatible avec l'activité visuelle ( écran ) et manuelle ( frappes sur le clavier ) qui nécessite un alignement vertical du tronc est prise avec une inclinaison insuffisante des cuisses vers le bas ( ouverture angulaire inférieure à 100° ) et la compression rémanente des disques intervertébraux ( dos arrondi ) est combattue par une pression inverse due au support lombaire pour autant qu'il soit tout à fait bien adapté à la morphologie de la personne assise ; le maintien d'une poussée réactive contrainte salutaire nécessitant la conviction et la discipline de chacune des différentes personnes assises , ce qui ne semble pas le cas au vu des postures avancées prises couramment dans les salles de postes informatisés ; dans le document réponse SST « chaise à basculement frontal » page 1 sur 3 , on peut lire : malgré les nombreuses recherches et études menées depuis quelques décennies , le nombre de personnes souffrant de problèmes liés à la posture en raison d'une position assise prolongée ne diminue pas ce qui est corroboré par la lecture des conclusions de la journée pour la sécurité au travail du 28 avril 2010 ( Prevent .be ) qui révèle de plus les coûts des maux du dos pour la société belge élevés à 1,6 milliard d'euros .

▲ Deux brevets pertinents d'assise divisée existent en vue d'appuyer en pente les deux cuisses : WO9610937 A ( DALHAUG ) du 18 avril 1996 et

WO 01/00061 Al ( Studio IN OVA/INC/CA du 4 janvier 2001 ; lesdits deux brevets décrivent la division de l'assise en un appui arrière de soutien des deux tubérosités ischiatiques et en deux appuis latéraux avant de soutien des deux cuisses qui sont inclinés communément vers l'avant et vers le bas et cela , de part et d'autre d'une partie médiane dénommée « pommeau de selle » .

O Le but à atteindre de l'invention consiste , pour toutes les personnes de différentes tailles et corpulences tout en gardant les mains libres pour pouvoir utiliser sans interruption le clavier d'un poste informatisé et aussi l'alignement du tronc à la verticale pour pouvoir avoir une vue optimale de l'écran ,

T de faire à volonté des exercices actifs salutaires de dégourdissement des jambes qui consistent : - en des mouvements répétitifs et combinés d'écartements et d'abaissements asymétriques des deux cuisses appuyées et poussées vers le haut ( ressorts à gaz avec blocage ) et cela , tout en étant inclinées à angles ouverts à suffisance ( entre 95° et 120° ) afin que les mouvements répétitifs desdits exercices actifs agissent sur les muscles locomoteurs et les muscles dorsaux en concomitance avec la décompression des disques intervertébraux de la personne assise à une hauteur supérieure d'au moins 50mm par rapport au niveau de ses creux poplités ( de l'ordre de 570 mm pour les personnes de grande taille )

▼ et de changer à volonté de posture fémorale en immobilisant stablement l'une des nombreuses inclinaisons intermédiaires des deux appuis fémoraux prises pendant les mouvements praticables des exercices actifs salutaires de

dégourdissement des jambes ; chaque posture fémorale immobilisée modifie conséquemment la répartition de charge corporelle entre les groupes séparés gauche et droit d'appui : protubérance ischiatique - cuisse et donc selon quatre zones de pression variable en fonction des inclinaisons asymétriques immobilisées à chaque changement de posture .

O Le but de l'invention consiste en outre à permettre aux personnes de petite taille assise , à une hauteur élevée par réglage de hauteur ( ressort à gaz pivotant ) , d'obtenir la correspondance salutaire de la hauteur des coudes avec la hauteur invariable du plan de travail et cela , sans devoir recourir à l'utilisation d'un repose-pieds adapté.

Un autre but de confort pratique à atteindre de l'invention , consiste à ramener automatiquement les deux « appuis fémoraux » , à chacun des départs du siège de la personne utilisatrice , à une position symétrique de repos à l'horizontale en vue de rendre habituelle la reprise de position assise. Le siège avec une assise à appuis différenciés remédie aux inconvénients des sièges existants et de ceux décrits dans les brevets , à cet effet

♦ il comporte , selon une première caractéristique , une « assise à appuis différenciés » formée , selon une division en quatre parties déjà décrite

( DAHAUG Terje - priorité 10.10.1994 NO ) ,

El par un « appui élevé du fessier » qui a une profondeur ( fesse— pli fessier de l'ordre de 260 mm ) déterminée par les mesures corporelles des personnes de grande taille , une largeur confortable habituelle ( de l'ordre de 460 mm ) et qui est supporté invariablement à l'horizontale fixement ou élastiquement par son piètement commun à une hauteur élevée maximale en considération favorable de l'inclinaison des cuisses sous le plan de travail ( informatisé ) pour pouvoir abaisser à suffisance le niveau des creux poplités par rapport au niveau du fessier des personnes de grande taille chaussées ( de l'ordre de 570 mm pour les chaises non réglables à quatre ou à cinq pieds et de 500 mm à 580 mm pour les chaises à hauteur réglable )

CED et par un « appui élevé d'entre-deux cuisses » qui a une largeur étroite ( de l'ordre de 80 mm ) pour pouvoir être chevauché en équilibrant la position assise , qui s'étend à l'horizontale ou en pente vers l'avant et vers le haut sur une profondeur avancée ( de l'ordre de 240 mm ) dans le prolongement de F « appui élevé du fessier » et qui est supporté fixement par son piètement commun

Ei et par deux « appuis fémoraux »□ qui ont chacun une profondeur avancée ( pli fessier - creux poplité de l'ordre de 230 mm ); cette valeur étant déterminée par les mesures corporelles des personnes de petite taille , qui ont chacun une largeur confortable ( de l'ordre de 190 mm ) et qui sont positionnés de part et d'autre des côtés latéraux de F « appui élevé d'entre-deux cuisses »

□ et qui sont , selon une première variante d'exécution , séparément articulés par deux « articulations combinées d'écarte- ments équidistants et d'inclinaisons » qui s'intercalent respectivement entre F « appui élevé du fessier » et les deux « appuis fémoraux » et qui appuyent sur une faible profondeur ( de l'ordre de 45 mm ) chacun des deux plis fessiers de la personne assise idéalement avec le dos appuyé contre le dossier ; cesdites « articulations combinées » sont formées par deux « tubes-appuis » en plastique technique qui tournent et coulissent sur un « axe tubulaire commun » qui transperce en y étant solidarisé « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( L : 80 mm ) et qui renferme un « ressort hélicoïdal commun de rappel d' écartement » ( L : 460 mm ) tendu entre les deux « embouts de terminaison » desdits deux « tubes-appuis » ( L : 190 mm , D : 45 mm ) ; lesdits deux « appuis fémoraux » ( L : 190 mm , P : 230 mm ) qui sont respectivement solidarisés auxdits deux « tubes-appuis » coulissants et tournants sont soumis chacun à la force d'attraction commune dudit « ressort hélicoïdal de rappel d' écartement » et alors attirés séparément vers les flancs de « appui élevé d'entre-deux cuisses » et cela , en provoquant leurs états respectifs d'immobilisation d'inclinaison ( blocages ) par l'intermédiaire de deux dispositifs existants d'immobilisation mécaniques ( embrayages à dents chanfreinées) ou pneumatiques ( commandes sur les têtes de deux ressorts à gaz blocables par leviers ou par terminaisons de câbles de Bowden ) ; chaque changement d'inclinaison de l'un desdits deux « appuis fémoraux » étant conditionné par son écartement préalable provoquant le déblocage de l'un des dispositifs d'immobilisation ; lesdits deux « appuis fémoraux » sont soumis , par surcroît , à deux forces respectives de poussée vers le haut provoqquées par l'intermédiaire de dispositifs existants de poussée mécaniques ou pneumatiques : par deux ressorts de compas de relevage ou par deux ressorts à gaz blocables fixés entre leurs bases respectives et la base de Γ « appui élevé du fessier » et cela , en permettant de changer de posture sans intervention manuelle tout en restant en place ( attablé ) ; ledit changement de posture est alors obtenu : par l'écartement préalable de «appui fémoral»à changer d'inclinaison par la force musculaire de la cuisse appuyée sans glissement possible (revêtement antidérapant ) exercée en antagonisme avec l'attraction élastique dudit « ressort hélicoïdal de rappel d'écartement »

♦ et ensuite , tout en maintenant l'écartement nécessaire au déblocage ( écart de l'ordre de 10 mm ) , par son abaissement conditionnel par la force musculaire de la cuisse appuyée exercée en antagonisme avec la force de poussée vers le haut de l'un desdits ressorts de compas de relevage ou desdits ressorts à gaz

♦ et enfin par le relâchement des deux forces musculaires fémorales coexistantes d'écartement et d'abaissement et cela , au moment précis de l'acquisition de l'inclinaison voulue destinée à être immobilisée par le blocage ( de la tête de l'un des deux ressorts à gaz blocable ) .

Pour ramener automatiquement les deux « appuis fémoraux » à l'horizontale en position de repos en correspondance avec la conformation des assises connues et utilisées couramment et cela , à chaque départ de la personne qui était dès avant assise , F « appui élevé du fessier » est supporté , selon que l'assise est à hauteur invariable ou variable , par un support intermédiaire constitué : par un amortisseur de chocs ou par un vérin à gaz blocable ; chacun desdits supports intermédiaires est muni d'un détecteur de suppression de charge corporelle qui commande , par l'intermédiaire de deux câbles ( de Bowden ) , les têtes de déclenchement des deux ressorts à gaz blocable qui poussent vers le haut séparément les deux « appuis fémoraux » et cela , jusqu'à butée en correspondance avec leurs positions respectives de repos à l'horizontale .

Le détecteur de suppression de charge corporelle des sièges existe et est inclus dans les colonnes qui équipent le parlement européen et cela , pour ramener en position haute le cône de vérin fixé dans la coque d'assise des sièges de bureau et encore pour ramener leur position de départ ( l'information existante

de détection de suppression de charge n'est pas élaborée pour être transmise en externe aux têtes de déclenchement d'autres ressorts à gaz blocable ) .

II s'ensuit que les multiples états respectifs d'immobilisation symétrique et asymétriques d'inclinaison de chacun desdits « appuis fémoraux » qui appuyent chacun une cuisse , permettent , aux personnes assises correctement , de prendre de nombreuses postures différentes et cela , avec des inclinaisons favorables dites à angle ouvert ajustables en continu ( ressorts à gaz blocables ) qui sont praticables ( de 90° à 120° ) et aussi avec des inclinaisons habituelles ( croisement des jambes ) moins favorables à angle fermé ( de 80° à 90° ) mais sans altération de la circulation sanguine et encore à angle droit à l'horizontale ( 90° ) ; ils permettent en outre sans appuyer les cuisses , de prendre des postures stables à califourchon après avoir escamoté manuellement vers le bas à la verticale lesdits deux « appuis fémoraux » et cela , avec les jambes libres de tous mouvements de part et d'autre de F « appui élevé d'entre-deux cuisses » .

Il s'ensuit également que les personnes assises correctement sur ladite « assise à appuis différenciés » peuvent faire des exercices actifs de dégourdissement des jambes tout en étant attablées par des mouvements répétitifs asymétriques d'abaissement et d'élévation des deux cuisses soumises aux forces antagonistes d'attraction et de poussée vers le haut ( comparables aux efforts de pédalage ) .

□ et qui sont , selon une seconde variante d'exécution , séparément articulés par deux « articulations combinées d'écartements angulaires et d'inclinaisons entraînées » ; chacune desdites articulations combinées est formée : * d'une part , par une « rotule de pivotement azimutal et d'inclinaison vers le bas » ( en matière plastique antibruit ) localisée dans son angle arrière latéral à proximité de l'articulation corporelle de la hanche de la personne assise en évitant alors les déplacements relatifs entre appui fémoral et cuisse appuyée

* et d'autre part , par un « parallélogramme articulé élastiquement et inclinable transversalement » qui est , au repos , rectangulaire ou préincliné

T dont les quatre angles articulés sont constitués par des équerres ou par des coudes en matière élastique ( en caoutchouc synthétique )

T et qui s'intercale transversalement entre les bases frontales respectives des deux « appuis fémoraux » et les deux côtés respectifs du « support transversal frontal » qui transperce F « appui élevé d'entre-deux cuisses »

T et qui est attaché par ses deux côtés horizontaux d'une part , par un « pivot de retenue » qui transperce son côté inférieur et un côté du « support transversal frontal » dans son angle du côté de F « appui d'entre-deux cuisses » et d'autre part par un « pivot d'entraînement » qui transperce son côté supérieur et le bord frontal d'un des deux « appuis fémoraux » dans son angle latéral

— un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » accroît l'antagonisme élastique aux écartements des « appuis fémoraux » entraînés musculairement et les ramènent automatiquement en position de repos à hauteur de F « appui élevé du fessier » au relâchement musculaire de chacune des deux cuisses à chaque départ de la personne qui était assise et donc les mouvements séparés et répétitifs d'écartements angulaires des deux cuisses appuyées avec adhérence entraînent automatiquement les abaissements des bords frontaux respectifs des deux « appuis fémoraux » et ainsi leurs inclinaisons à angles ouverts à partir de celles préétablies ( de l'ordre de 98° par les préinclinaisons des deux parallélogrammes articulés ) . ♦ et il comporte , selon une seconde caractéristique , un piètement commun adapté aux mouvements d'abaissement et d'écartement des deux « appuis fémoraux » qui est formé : par un piètement à cinq pieds :quatre pieds situés sous Γ « appui élevé du fessier » et un pied situé sous le bord frontal de « appui d'entre-deux cuisses »

ou qui est formé par un piètement fourchu ouvert à l'avant du siège et qui comporte :

H une « structure montante d'entre-deux jambes » ( P : 420 mm ) qui est essentiellement portante , qui a sur toute sa hauteur , la même délimitation en largeur ( ordre de 80 mm ) que F « appui élevé d'entre-deux cuisses » , qui est susceptible , pour les sièges à hauteur fixe , d'être réalisé esthétiquement ( deux « montants étroits » et qui est réalisé , pour les sièges à hauteur réglable en forme de double té par une « armature médiane étroite » ( L : 80 mm - P : 420 mm ) de F « assise à appuis différenciés » , un « ressort à gaz blocable » avec une colonne non pivotante ( existante ) ou pivotante avec rappel en position de départ en relevant les deux pieds du sol ( existe par la suppression de charge au départ de l'occupant ) et un « longeron étroit de base » qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixés à ses extrémités

S et une « structure périphérique de base » en forme de U qui est essentiellement stabilisatrice , qui comporte une « traverse du fond » solidarisée à l'extrémité arrière du « longeron médian étroit de base » et deux « longerons latéraux » et qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixés à ses deux extrémités avancées libres

♦ et il comporte , selon une troisième caractéristique , un « dossier » qui a une position invariable ou qui est réglable en profondeur et cela , en donnant la possibilité à la personne assise de pouvoir ajuster la superposition de son pli fessier sur la ligne transversale de séparation entre F « appui élevé du fessier » et les deux «appuis fémoraux » et alors de pouvoir appuyer très correctement son dos ; des réalisations différentes de réglages en profondeur des dossiers sont existantes .

Les dessins annexés illustrent l'invention :

□ la figure 1 représente en perspective , le siège élevé avec un « piètement fourchu » décrit ci-avant , avec un « dossier non réglable » et avec une « assise à appuis différenciés » réalisé selon la première variante d'exécution décrite

□ la figure 2 représente en coupe , les deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » ainsi que deux dispositifs d'immobilisation mécani- nique , la figure 1 comprend : - un « piètement fourchu » formé par une « structure montante d'entre-deux jambes » comportant les deux « montants étroits » ( 15 et 16 ) et un « longeron médian étroit de Base » ( 17 ) et par une « structure périphérique de base » en forme de U comportant la « traverse du fond » ( 18 ) et les deux « longerons latéraux » ( 19 et 20 ) - et un « dossier fixe » ( 6 )

- et une « assise à appuis différenciés » formée par un « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 , fig 1 et fig 2 ) horizontal et par un « appui élevé du fessier » ( 4 ) horizontal et creusé et par un « ensemble de flancs périphériques » ( 5 ) et par deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) inclinables et par deux « articulations combinées d'écartements et d'inclinaisons » comportant respectivement deux « tubes d'appui » ( 7 et 8 , fig 1 et fig 2 ) et un « axe tubulaire commun » ( 11 , fig 1 et fig 2 ) et un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 , fig 2 ) et deux « embouts de terminaison » ( 13 et 14 , fig 2 ) et par deux « dispositifs d'immobilisation mécanique » comportant respectivement deux « embrayages à dents chan- freinées » ( 9 et 10 , fîg 2 ) qui sont logés dans F « appui d'entre-deux cuisses » (1 ) et par deux « dispositifs de poussée vers le haut » comportant respectivement deux « ressorts à gaz » ( 21 et 22 ,fig 1 ) et deux « attaches coulissantes latéralement » ( 23 et 24 ,fig 1 ) qui sont fixes et localisées sous F « appui élevé du fessier » ( 4 ) et deux « attaches coulissantes latéralement » ( 25 et 26 ,fig 1 ) qui sont mobiles et fixées respectivement sous les « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ,fig 1 )

□ la figure 3 représente en perspective le siège élevé avec un piètement commun formé par cinq pieds avec un dossier non réglable et avec une « assise à appuis différenciés » réalisée selon la seconde variante d'exécution décrite ,

Ladite figure 3 comprend : une « assise à appuis différenciés » formée :

EU par un « appui élevé d'entre-deux cuisses ( 1 ) horizontal

H et par un « appui élevé du fessier » ( 4 ) horizontal

S et par deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 )

B et par deux «articulations combinées d'écartements angulaires et d'inclinaisons entraînées » qui sont respectivement formées symétriquement d'une part par deux « rotules de pivotement azimutal et d'inclinaison vers le bas » ( 30 et 31 ) et d'autre part par deux « parallélogrammes articulés élastiquement et inclinables transversalement » ( 32 et 33 ) qui comportent chacun quatre coudes rectangulaires ( 40 )

S et par un « support transversal frontal » ( 34 )

SI et par deux couples de pivots :♦ deux « pivots de retenue » ( 35 et 36 ) qui maintiennent respectivement les deux « côtés inférieurs » horizontaux desdits deux parallélogrammes articulés » ( 32 et 33 )

♦ et deux « pivots d'entraînement » ( 37 et 38 ) qui maintiennent respectivement les deux « côtés supérieurs » horizontaux desdits deux « parallélogrammes articulés » ( 32 et 33 )

@ et encore par un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 39 ) qui est tendu entre les deux côtés latéraux respectivement des deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et par deux « arrêts d'abaissement » ( 41 et 42 ) en position de repos .

Les sièges avec une assise a appuis différenciés sont destinés à être utilisés massivement pour éradiquer les maux temporaires à évolutions chroniques du bas du dos ( positions très courantes avec le dos arrondi ) , les troubles de la circulation sanguine ( positions des personnes de grande taille de plus en plus nombreuses avec les jambes repliées sous l'assise ) et les problèmes cardiovasculaires démontrés il y a peu ( European Heart Journal du 12 /01/2011— position d'immobilisation corporelle durant de longues périodes d'activités attablées ) ; tous ces maux , troubles et problèmes sont invalidants et très onéreux en frais de soins de santé et en absentéisme ( en milliards d'euros pour les pays industrialisés et surtout informatisés ) .

Lesdits sièges à s'asseoir d'une nouvelle manière à fabriquer pour des usagers professionnels , ont des performances optimales et dès lors sont réglables en hauteur par vérin pneumatique , sont munis chacun de deux ressorts à gaz spécifiques qui sont biocables en continu pour pouvoir immobiliser très stablement une multitude de postures fémorales stables asymétriques ou symétriques avec les deux cuisses inclinées à angles ouverts ( de 90° à 120° ) par rapport au tronc aligné correctement à la verticale ( avec une compression minimale des disques intervertébraux ) et de plus permettent ( en état de déblocage par le faible écartement de la cuisse à bouger ) de pratiquer des exercices actifs salutaires de dégourdissement des jambes sans devoir interrompre l'activité en cours à un poste informatisé ( le tronc vertical avec vue à l'écran et le déblocage par

l'écartement fémoral au lieu d'une manipulation ) .

Ils sont destinés à être acquis et utilisés professionnellement durant les activités astreignantes sans pouvoir quitter son poste informatisé pour se dégourdir les jambes et cela , en salles professionnelles collectives ou en d'autres lieux entr' autres à domicile ( télétravail ) en liaison avec des autres postes informatisés sans discontinuer ; le télétravail réalisable devra , de façon prévisible en égard à la croissance de la pollution , des coûts des déplacements et des problèmes de la circulation routière , s'intensifier .

Lesdits sièges à s'asseoir d'une nouvelle manière à fabriquer à des coûts modérés à hauteur invariable ( à cinq pieds ) minimale de l'appui de la zone fessière ( de l'ordre de 530 mm ) pour les personnes de grande taille ( 1 m 85 ) offre néamoins la possibilité d'écarter et d'incliner les cuisses en antagonisme avec des ressorts en métal ou en caoutchouc synthétique et de les immobiliser en postures fémorales asymétriques toujours stablement par pas et non en continu par l'intermédiaire de mécanismes à crans .

La nouvelle manière de s'asseoir ne nécessite plus de support lombaire pour contrecarrer le dos arrondi conséquent à l'alignement des cuisses à l'horizontale et ne nécessite plus de repose-pieds pour les personnes de petite taille qui veulent obtenir une élévation salutaire des coudes à hauteur des plans de travail très courants .