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Title:
A SECTIONAL DOOR WITH UNIVERSAL DRIVE MECHANISM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2010/015631
Kind Code:
A1
Abstract:
The sectional door comprises a compensated curtain (4) and a means for driving this curtain comprising in particular a vertical endless chain (54) tensioned between two pinions (52), (53). The chain, secured to the curtain (4), engages with a pinion (55) which is coupled by a clutch to a drive motor (50) installed at a person's height. The mechanical connection (8) between the chain (54) and the curtain (4) is such that it induces a delay time in the upward drive of the curtain from its locked bottom position. This results in an empty travel of the chain. During this travel, an unlocking action is applied by the drive means (5) to a mechanism for locking the curtain in the bottom position. The mechanical connection (8) is guided by a backstop (30) adjoining the guide rail (31) of the curtain and said connection is secured to the lower panel (40) of the curtain by an articulation of axis BB'.

Inventors:
ESNAULT PAUL (FR)
Application Number:
PCT/EP2009/060101
Publication Date:
February 11, 2010
Filing Date:
August 04, 2009
Export Citation:
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Assignee:
ESNAULT PAUL (FR)
International Classes:
E05F15/10; E05F15/16
Foreign References:
DE7706577U11977-07-21
DE20309285U12003-10-16
FR2686368A11993-07-23
US6485068B12002-11-26
FR2719332A11995-11-03
Attorney, Agent or Firm:
RAVINA, Bernard (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1/. Porte sectionnelle comprenant une structure de guidage (3) prévue pour être fixée contre les jambages (20) d'une baie (2) d'un bâtiment, un tablier (4) monté en coulissement vertical dans cette structure de guidage entre une position basse de fermeture et une position haute d'ouverture, et un moyen d'entraînement (5) du tablier (4) le long de la structure de guidage (3), le moyen d'entraînement (5) comprenant un organe moteur d'entraînement (50) possédant un arbre de sortie rotatif (51) sur lequel un couple d'entraînement est disponible, ledit moteur (50) pouvant être du type électrique et pouvant être connecté électriquement à des moyens de commande électrique installés dans un boîtier de commande (6), le tablier étant formé de plusieurs panneaux (40) articulés les uns aux autres comportant dans le prolongement des axes d'articulation une paire de galets latéraux de guidage engagés dans la structure de guidage, caractérisée en ce que le moyen d'entraînement (5) est latéral au tablier (4), n'agit que sur un seul côté du tablier (4), et comprend un pignon à chaîne denté supérieur (52) monté en rotation sur un axe horizontal fixe par rapport à la structure de guidage, un pignon à chaîne denté inférieur (53) monté en rotation sur un axe horizontal fixe par rapport à la structure de guidage, une chaîne sans fin (54) à maillons articulés engrenée sur les deux pignons supérieur et inférieur et montée en tension entre ces deux pignons, ladite chaîne (54) étant mécaniquement liée au panneau inférieur (40) et étant accouplée au moteur d'entraînement (50) par l'intermédiaire d'un pignon d'entraînement à chaîne (55) engrené avec la chaîne (54) et apte à être accouplé à l'arbre de sortie (51) du moteur (50).

2/ Porte sectionnelle selon la revendication 1 , caractérisée en ce que le tablier (4) de la porte, est suspendu à un mécanisme d'équilibrage (7) apte à compenser le poids du tablier (4), ce mécanisme d'équilibrage (7) exerçant sur le tablier deux efforts de traction verticaux d'égales intensités et situés à distance égale de l'axe médian vertical du tablier (4).

3/ Porte sectionnelle selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée en ce que le moteur (50) que comporte le moyen d'entraînement (5) est placé à hauteur d'homme. 4/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le moteur d'entraînement (50) est placé en fixation dans le boîtier de commande (6).

5/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que l'arbre de sortie (51) du moteur (50), traverse de part en part un perçage formé dans la paroi arrière verticale (60) du boîtier (6) et s'accouple directement par emboîtement de forme avec le pignon d'entraînement (55), l'accouplement autorisant la séparation du moteur (50) et du pignon (55) l'un de l'autre par déplacement axial de l'un par rapport à l'autre.

6/ Porte sectionnelle selon la revendication 5, caractérisée en ce que le boîtier (6) est solidarisé de manière mobile en translation selon l'axe géométrique de rotation de l'arbre de sortie (51) du moteur (50), à un support fixe (56) portant le pignon à chaîne d'entraînement (55), ce support fixe étant fixé à la structure de guidage et/ou au jambage (20) de la baie (2).

Il Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que le mouvement de déplacement en translation du boîtier (6) est guidé par au moins deux colonnes horizontales (58) fixées au support (56) et engagées dans respectivement dans des fourreaux (58a) de guidage, internes au boîtier (6) et fixés à ce dernier et que ce déplacement est limité par au moins une butée (59) portée par l'une des colonnes au moins. 8/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que :

- la structure de guidage (3) est formée d'une paire de tapées verticales rectilignes (30), fixée contre les jambages de l'ouverture et d'une paire de rails de guidage (31), solidaire de la paire de tapées (30), les dits rails de guidage (31) recevant les galets latéraux de guidage des panneaux (40) du tablier. 9/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que :

- la chaîne (54) du moyen d'entraînement (5) est solidarisée au panneau inférieur (40) par l'intermédiaire d'une liaison mécanique (8) comportant un chariot de guidage (81) mobile verticalement dans l'une des tapées (30), - ladite chaîne d'entraînement (54) est fixée à ce chariot de guidage (81).

10/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la liaison mécanique (8), à distance du chariot (81) comporte un organe d'attache (86) solidarisé au panneau inférieur (40), cet organe d'attache (86) coopérant, en emboîtement de forme avec un second organe d'attache (45) complémentaire, fixé au panneau inférieur, ces organes d'attache étant disposés regard et à distance du rail (31) correspondant.

11/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les deux organes d'attache coopèrent en articulation l'un avec l'autre selon un axe géométrique BB' horizontal, cet axe BB' étant parallèle aux grandes faces du panneau (40) et occupant une position inférieure par rapport à ce dernier. 12/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comporte un mécanisme de verrouillage automatique (9), solidaire de la structure de guidage (3), installé en partie inférieure de cette dernière, ledit mécanisme s'opposant à la manœuvre du tablier 4 dans le sens de l'ouverture sous l'effet d'une action autre que celle générée par le moyen d'entraînement, que la chaîne (54) en début de mouvement d'ouverture fonctionne à vide, cette dernière n'agissant qu'avec retard sur le tablier, et qu'avant la fin de la course à vide de la chaîne, une action est appliquée par le moyen d'entraînement (5) sur le mécanisme de verrouillage (9) afin de mouvoir ce dernier vers une position déverrouillée.

13/ Porte sectionnelle selon les revendications 9 et 12 prises ensemble, caractérisée en ce que la liaison mécanique est extensible rétractible selon un axe vertical, et est apte à induire une course à vide de la chaîne (54) sur une distance déterminée, en prémices au mouvement ascendant du tablier (4) depuis sa position de fermeture.

14/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que la liaison mécanique extensible rétractible (8) est du type glissière et comprend une platine d'entraînement (80) portée par le chariot de guidage (81) et une contre platine (83) solidaire d'une part de la platine (80) et d'autre part du panneau inférieur (40), la platine (80) et la contre platine (83) possédant l'une par rapport à l'autre, une possibilité de mouvement vertical de translation d'amplitude limitée, l'amplitude de ce mouvement déterminant la valeur de la course à vide de la chaîne (54) du mécanisme d'entraînement (5).

15/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que la platine (80) présente deux perçages traversants (84), oblongs orientés chacun de manière que leur grand axe soit vertical et la contre platine présente deux pions (85) engagés respectivement dans les deux perçages traversants de la platine (80),le diamètre de chaque pion correspondant, au jeu fonctionnel près à la largeur de chaque perçage oblong.

16/ Porte sectionnelle selon la revendication 14 ou la revendication 15, caractérisée en ce que la contre platine (83) est équipée du premier organe d'attache (86) lequel se présente sous la forme d'un fourreau formant un palier, et que le panneau (40) est équipé d'un tourillon cylindrique (45) d'un diamètre adapté, formant le second organe d'attache (45), cet organe d'attache étant engagé avec jeu fonctionnel dans le premier organe d'attache (86).

17/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications 8 à 16, caractérisée en ce que le panneau inférieur (40), à l'opposé du moyen d'entraînement (5) reçoit un équipage mobile (10) comprenant un chariot (101) monté dans la tapée (30) correspondante de façon à y être mobile verticalement et que ce chariot (101) est équipé d'une platine verticale (102) laquelle, comporte un premier organe d'attache (103) au panneau inférieur (40), cet organe d'attache (103) coopérant en emboîtement de forme avec un second organe d'attache (104) complémentaire, fixé au panneau inférieur (104), ces organes d'attache étant disposés en regard et à distance du rail (31) correspondant. 18/ Porte sectionnelle selon les revendications 11 et 17 prises ensemble, caractérisée en ce que les deux organes d'attache (103, 104) sont articulés l'un à l'autre selon l'axe BB'.

19/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications 12 à 18, caractérisée en ce que le mécanisme de verrouillage (9) comprend un bras basculant (90), sollicité par son propre poids vers sa position de verrouillage, ledit bras (90), en partie inférieure, comportant un logement de blocage (91) apte à venir coiffer, en position de verrouillage, un pion de blocage (92) porté par la contre platine (83) et/ou par le panneau inférieur.

20/ Porte sectionnelle selon la revendication précédente, caractérisée en ce que le bras de verrouillage (90) présente une surface de came (94) et que la platine d'entraînement (80) présente un doigt de manœuvre (95) apte, au cours de la course à vide ascendante de ladite platine d'entraînement (80), à rouler sur la surface de came (94) et repousser le bras de verrouillage (90) vers une position de déverrouillage, selon laquelle le bras (90), et par voie de conséquence le logement de blocage (91), sont angulairement écartés du pion de blocage (92).

21/ Porte sectionnelle selon la revendication 19 ou la revendication 20, caractérisée en ce que le bras de verrouillage (90) est monté en pivotement sur un axe horizontal (96), parallèle au plan de la baie, porté par un support (93) solidaire de la structure de guidage et/ou du jambage correspondant de la baie (2). 22/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque câble de suspension (72) du mécanisme d'équilibrage (7) est fixé à une plaque latérale de suspension (43) rigidement fixée à la partie inférieure de la bordure latérale correspondante du panneau

(40). 23/ Porte sectionnelle selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le moteur d'entraînement (50) est du type manuel et est constitué par une noix et par une chaîne à maillons engrenée avec ladite noix, cette noix étant une roue dont le fond est doté d'empreintes à la forme des maillons.

Description:
PORTE SECTIONNELLE AVEC MECANISME D'ENTRAÎNEMENT UNIVERSEL. Domaine technique

La présente invention est relative à une porte sectionnelle de grande largeur pour baie de bâtiment industriel et autre local. Plus précisément, la présente invention concerne notamment un moyen d'actionnement universel de porte sectionnelle, avec lequel sont résolus les problèmes liés au mou de câble, ce mécanisme pouvant être utilisé pour les différents types de portes sectionnelles, que cette porte soit à levée verticale, à levée haute, à levée normale, ou à levée réduite.

État de la technique antérieure. Typiquement une porte sectionnelle est constituée d'un tablier mobile dans le sens de la fermeture et de l'ouverture dans une structure de guidage fixée contre les jambages de la baie qui l'accueille. Cette structure de guidage est formée par deux rails accueillant le tablier. Le tablier, formé essentiellement de panneaux articulés selon des axes horizontaux, est entraîné dans le sens de l'ouverture par un moyen moteur agissant en traction sur le panneau inférieur du tablier. II existe plusieurs types de portes sectionnelles. C'est ainsi que l'on connaît des portes du type à levée verticale pour lesquelles les rails de guidage dans leur intégralité se développent verticalement, et des portes du type à levée haute, normale et réduite pour lesquelles les rails de guidage présentent chacun une partie verticale se développant le long des jambages de la baie et une partie horizontale raccordée à la partie verticale par une partie courbe. En position d'ouverture, le tablier d'une porte du type à levée haute, normale ou réduite est situé, selon le type de levée, en partie ou en totalité dans la partie horizontale des rails de guidage.

Le moyen moteur d'actionnement du tablier est constitué par un jeu de deux câbles, fixés au panneau inférieur et enroulés sur deux tambours montés en fixation sur une barre d'entraînement horizontale, motorisée, engagée dans des paliers de guidage en rotation, fixés contre ou au-dessus du linteau de la baie. La barre horizontale est accouplée par un manchon d'entraînement à l'arbre de sortie rotatif d'un moteur électrique.

Au moyen moteur est associé un mécanisme de débrayage permettant de désolidariser la barre d'entraînement et le moteur électrique l'un de l'autre pour autoriser une manœuvre manuelle de la porte en cas notamment de panne du moteur ou de coupure de l'alimentation électrique. Sont prévus aussi des mécanismes d'équilibrage associés à la barre d'entraînement pour maintenir le tablier en position d'équilibre lorsque le moteur est débrayé.

Les portes sectionnelles de l'état de la technique sont dotées de verrou électromagnétique assurant le verrouillage du tablier en position de fermeture. Ce type de verrou, pour passer de l'état verrouillé à l'état déverrouillé, est connecté à une source de tension électrique. Exposé de l'invention

Problème technique

L'un des inconvénients d'une porte telle que précédemment décrite, réside dans le fait que le tablier lors de sa descente peut se bloquer dans la structure de guidage. Dans cette condition, l'organe moteur étant toujours alimenté, les câbles d'entraînement se dévident de leur tambour respectif ce qui libère au-dessus du tablier une longueur de mou de câble plus ou moins importante. Dans cette condition, le tablier n'est plus retenu par les câbles et le déblocage de ce dernier devient potentiellement dangereux, le tablier pouvant alors chuter brusquement et blesser gravement toute personne se trouvant sur sa trajectoire.

Ce même problème apparaît aussi lorsque le tablier n'arrive pas à quitter la partie horizontale des rails de guidage. Pour tenter de résoudre ce problème sont utilisés des détecteurs de défaut aptes à détecter le foisonnement des câbles autour de leur tambour respectif et signaler le danger potentiel que cela représente. Mais une telle solution manque de fiabilité.

Un autre inconvénient des portes sectionnelles réside dans la position du moteur en partie supérieure. Ce problème n'est pas critique pour une porte de faible hauteur dans la mesure où le moteur peut facilement être atteint, mais le devient lorsque le moteur est installé à une hauteur notable, de plus de cinq mètres, hors de portée du réparateur. Dans ce cas de figure, pour une panne du moteur, le réparateur devra alors intervenir en hauteur et dans ce dessein, devra ériger un échafaudage ou bien utiliser une nacelle de levage comme l'exige la réglementation. Ainsi pour mener à bien une simple réparation, peut coûteuse en soi, des moyens lourds et coûteux devront être utilisés. Compte tenu de cette contrainte réglementaire, la réparation, dans la majorité des cas, ne peut être accomplie rapidement. Pour cette raison, bien souvent, les contraintes réglementaires sont violées, et les réparateurs, malgré le danger que cela représente, utilisent une échelle pour accéder au moteur.

Un autre inconvénient de la position en hauteur du moteur d'entraînement, tient au fait que son boîtier de commande étant installé à hauteur d'homme, une liaison filaire d'une longueur relativement importante, devra être établie entre ce dernier et le moteur ce qui renchérit le coût de l'installation.

Un autre inconvénient des portes sectionnelles réside dans la nature du moyen de débrayage.

À ce sujet, l'état de la technique enseigne l'utilisation de crabots interposés cinématiquement entre la barre d'entraînement et le moteur, difficiles à manœuvrer si des grippages apparaissent. Il enseigne aussi l'usage d'un mécanisme de débrayage agencé en équipage pivotant possédant une position de déséquilibre selon laquelle il est en prise avec la barre et une position d'équilibre selon laquelle il est écarté de la barre. Un tel moyen de débrayage présente l'avantage d'une grande simplicité, et d'une très grande fiabilité.

Mais quelle que soit la technique utilisée, il devra être fait appel à des moyens additionnels tels que tringles et autres pour assurer à distance la commande du débrayage et de l'embrayage. Un autre inconvénient des portes de l'état de la technique réside dans l'utilisation de verrou électromagnétique pour assurer le verrouillage du tablier en position de fermeture. En effet, cette solution est onéreuse en soi et une coupure de courant dû à un défaut dans l'alimentation électrique du verrou se traduira par l'impossibilité d'actionner le tablier vers sa position d'ouverture.

Enfin un dernier inconvénient de l'état de la technique est qu'à chaque type de levée de porte correspond une solution spécifique pour actionner et guider le tablier, la solution adoptée pour l'un des types de levée étant difficilement utilisable pour un autre type de levée.

On connaît du DE 77 06 577 Ul une porte sectionnelle dont l'entraînement du tablier s'effectue par chaîne sans fin. Un pignon motorisé entraîne la chaîne dans le sens de l'ouverture du tablier ou de sa fermeture. Le moteur d'entraînement du pignon est installé en hauteur et est difficilement accessible. On connaît du DE 203 09 285 Ul une porte sectionnelle dont l'entraînement du tablier est effectué par un mécanisme à chaîne sans fin.

On connaît du US 6 485 068 un dispositif pare-chute pour porte à levée verticale, ce dispositif pare-chute pouvant constituer un mécanisme de verrouillage en position inférieure du tablier. Ce dispositif pare-chute ne devient actif que si le câble qui supporte le tablier de la porte est détendu ou sectionné. Solution technique

La présente invention a pour objet de résoudre les problèmes sus évoqués. En particulier, l'invention propose une porte sectionnelle à sécurité améliorée conçue de manière à éviter tout risque de chute du tablier dans sa structure de guidage. Un autre but de la présente invention est de proposer une porte sectionnelle pour laquelle sont résolus les problèmes liés à une intervention en hauteur sur le moteur électrique.

Un autre but de la présente invention est une porte sectionnelle pour laquelle, la fonction de débrayage du moteur ne fait appel à aucun moyen spécifique.

Un autre but de la présente invention est de réduire la longueur de la liaison filaire entre le moteur et le boîtier de commande.

Un autre but de la présente invention est de pouvoir aisément déverrouiller le tablier de la porte même en cas de rupture de l'alimentation électrique.

Un autre but de la présente invention est de proposer un moyen d'actionnement de porte qui puisse s'adapter à tout type de levée sans aucune modification. À cet effet la porte sectionnelle selon la présente invention, comprend une structure de guidage prévue pour être fixée contre les jambages d'une baie d'un bâtiment, un tablier monté en coulissement dans cette structure de guidage entre une position basse de fermeture et une position haute d'ouverture, et un moyen d'entraînement du tablier le long de la structure de guidage, le moyen d'entraînement comprenant un organe moteur d'entraînement possédant un arbre de sortie rotatif sur lequel un couple d'entraînement est disponible, ledit organe moteur pouvant être du type électrique et pouvant être connecté électriquement à des moyens de commande électriques installés dans un boîtier de commande, le tablier de cette porte étant formé de plusieurs panneaux articulés les uns aux autres comportant selon chaque axe d'articulation une paire de galets latéraux de guidage engagés dans la structure de guidage.

Cette porte sectionnelle, telle que définie, se caractérise essentiellement en ce que le moyen d'entraînement est latéral au tablier, n'agit que sur un seul côté du tablier et comprend un pignon à chaîne denté supérieur monté en rotation sur un axe horizontal solidaire de la structure de guidage, un pignon à chaîne denté inférieur monté en rotation sur un axe horizontal solidaire de la structure de guidage, une chaîne sans fin à maillons articulés engrenée sur les deux pignons supérieur et inférieur et montée en tension entre ces deux pignons, ladite chaîne étant mécaniquement liée au panneau inférieur et étant accouplée au moteur d'entraînement par l'intermédiaire d'un pignon à chaîne, d'entraînement, engrené avec la chaîne, apte à être accouplé à l'arbre de sortie du moteur.

La mise en œuvre pour une porte sectionnelle, d'un moyen d'entraînement selon l'invention autorise un contrôle total du mouvement du tablier que ce soit vers sa position d'ouverture que vers sa position de fermeture et écarte tout risque de chute de ce dernier consécutif à un éventuel blocage du tablier soit dans la partie verticale des rails, soit dans la partie horizontale de ces derniers. Ainsi le problème de la formation du mou de câble se trouve résolu.

En outre, ce contrôle total du mouvement du tablier se trouve encore renforcé par le fait que le tablier de la porte, selon une autre caractéristique de l'invention se trouve suspendu à un mécanisme d'équilibrage apte à compenser le poids du tablier, ce mécanisme d'équilibrage exerçant sur le tablier et plus précisément sur le panneau inférieur de ce dernier, deux efforts de traction verticaux d'égales intensités et situés à distance égale de l'axe médian vertical du tablier.

Cette disposition, outre l'équilibrage, assure le maintien à l'horizontale du tablier et de ses panneaux, quelle que soit sa position en hauteur. Par ailleurs, du fait de son équilibrage, aucun effort important de traction ne sera nécessaire pour déplacer le tablier. Ainsi la puissance du moteur pourra être limitée.

En outre, cet effort de traction dont l'intensité demeure faible, s'exerce sur le panneau inférieur du tablier verticalement et latéralement au plus près de la structure de guidage. Ainsi cet effort de traction ne possède qu'une composante, laquelle est de direction strictement verticale, cette direction verticale étant celle du mouvement du point bas du panneau du tablier. Il faut aussi noter qu'en raison de l'absence de toute autre composante notamment d'une composante perpendiculaire au panneau, aucun effet de flexion du panneau visant à le déformer n'est à craindre.

Par ailleurs, en cas de blocage du tablier dans la structure de guidage, l'arbre de sortie du moteur se trouve bloqué en rotation par l'arrêt de la chaîne alors qu'il est encore sous tension électrique. Il alors possible, dans cette condition de blocage d'analyser, par des moyens connus, l'intensité électrique absorbée par le moteur et d'interrompre alors son alimentation électrique et de signaler le défaut.

L'utilisation de ce mode particulier d'entraînement par chaîne et pignon, outre sa fiabilité, permet de placer le moteur électrique non plus en partie supérieure mais, selon une caractéristique additionnelle de l'invention, à hauteur d'homme. On comprend alors que toute intervention sur le moteur pourra être effectuée d'une manière rapide et efficace et ce en toute sécurité. On réalise ainsi l'économie de l'emploi de nacelles et autres moyens lourds de travail en hauteur.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le moteur électrique est placé en fixation dans le boîtier de commande.

De cette façon, tant le moteur électrique que les liaisons filaires entre ce moteur et le boîtier de commande sont physiquement protégées par la coque de ce dernier et la longueur de ces liaisons filaires se trouve limitée à quelques centimètres et ce quelle que soit la hauteur de la porte. Il y a lieu de préciser que pour ce qui concerne les dispositions antérieures, la longueur des liaisons filaires dépend notamment de cette hauteur.

Ainsi est réalisée une économie notable de câbles électriques et est écarté le risque de détérioration des liaisons filaires entre le boîtier et le moteur, ces liaisons filaires, pour ce qui concerne les portes de l'art antérieur, étant externes et exposées aux chocs et à l'arrachement.

Selon une autre caractéristique de l'invention, l'arbre de sortie du moteur, traverse de part en part un perçage formé dans la paroi arrière verticale du boîtier et s'accouple directement par emboîtement de forme avec le pignon d'entraînement, l'accouplement autorisant la séparation du moteur et du pignon l'un de l'autre par déplacement axial de l'un par rapport à l'autre. Cette disposition particulièrement simple et fiable évite l'utilisation de moyen d'embrayage et débrayage additionnel, ce qui réduit encore davantage le coût de l'installation.

Avantageusement, selon une autre caractéristique de l'invention, le boîtier est solidarisé de manière mobile en translation, selon l'axe géométrique de rotation de l'arbre de sortie du moteur, à un support fixe portant le pignon à chaîne d'entraînement, ce support étant fixé à la structure de guidage et/ou au jambage correspondant de la baie.

Ainsi par simple déplacement du boîtier dans le sens de l'éloignement par rapport au pignon d'entraînement est assurée d'une manière simple et efficace la fonction débrayage.

Pour faciliter cette manœuvre, le boîtier, selon une autre caractéristique de l'invention, est équipé de deux poignées de préhension destinées à être saisies par l'utilisateur.

Ainsi l'utilisateur par simple traction sur les poignées peut débrayer aisément le moteur et par simple poussée l'embrayer au pignon d'entraînement. On comprend que ces deux opérations et essentiellement l'opération de débrayage, peuvent être effectuées d'une manière particulièrement rapide et aisée. Selon une autre caractéristique de l'invention, le mouvement de déplacement du boîtier est guidé par au moins deux colonnes horizontales fixées au support fixe et engagées respectivement dans au moins deux fourreaux de guidage internes au boîtier et fixés à ce dernier, le déplacement du boîtier étant limité par au moins une butée portée par l'une des colonnes au moins.

De cette façon, le boîtier en position de déverrouillage du moteur demeure solidaire du support fixe et le moteur d'entraînement par son arbre de sortie peut ainsi demeurer en position d'alignement avec l'axe de rotation du pignon d'entraînement. Cette disposition a pour but de rendre aisée les opérations d'embrayage et débrayage du moteur.

Selon une autre caractéristique de l'invention, les colonnes de guidage pénètrent dans le boîtier et la ou chaque butée est installée sur la partie de colonne interne à ce boîtier. De cette façon, la ou chaque butée est protégée par le boîtier.

Avantageusement, selon une autre caractéristique de l'invention, la ou chaque butée est amovible ce qui autorise, après démontage de cette dernière le retrait du boîtier.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la structure de guidage est formée d'une paire de tapées verticales, fixée contre les jambages de l'ouverture et d'une paire de rails de guidage solidaire de la paire de tapées, les dits rails de guidage recevant les galets latéraux de guidage des panneaux du tablier.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la chaîne du moyen d'entraînement est solidarisée au panneau inférieur du tablier par l'intermédiaire d'une liaison mécanique faisant partie du moyen d'entraînement, cette liaison comportant un chariot de guidage mobile verticalement dans la tapée correspondante, ladite chaîne d'entraînement étant fixée à ce chariot de guidage. Selon une autre caractéristique de l'invention, la liaison mécanique entre la chaîne et le panneau inférieur du tablier, à distance du chariot de guidage comporte un premier organe d'attache solidarisé au panneau inférieur, cet organe d'attache coopérant en emboîtement de forme avec un second organe d'attache complémentaire, fixé au panneau inférieur, ces organes d'attache étant disposés en regard et à distance du rail de guidage correspondant. Ces deux organes d'attache, selon une autre caractéristique de l'invention coopèrent en articulation l'un avec l'autre selon un axe géométrique BB' horizontal, cet axe BB' étant parallèle aux grandes faces du panneau et occupant une position inférieure par rapport à ce dernier.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le panneau inférieur, à l'opposé du moyen d'entraînement, reçoit un équipage mobile comprenant un chariot monté dans la tapée correspondante de façon à y être mobile verticalement et ce chariot est équipé d'une platine verticale laquelle, comporte un premier organe d'attache au panneau inférieur, cet organe d'attache coopérant en emboîtement de forme, avec un second organe d'attache complémentaire, fixé au panneau inférieur, ces organes d'attache étant disposés en regard et à distance du rail correspondant. Ces organes d'attache, selon une autre caractéristique de l'invention, sont articulés l'un à l'autre selon l'axe BB'. Grâce à ces dispositions, la partie inférieure du panneau inférieur qui ne comporte, en partie inférieure pour des portes à levées haute, normale et réduite, aucun galet latéral de guidage dans les rails de guidage, se trouvera cependant maintenue en regard de la partie verticale de ces rails. Au niveau du coude que forme chaque rail, la partie inférieure du panneau sera maintenue dans le prolongement vertical de la partie rectiligne de chaque rail et ce sans pour autant être guidée par ces derniers. II est nécessaire, lorsque le tablier est en position de fermeture, d'en interdire sa manœuvre dans le sens de l'ouverture depuis l'extérieur du bâtiment. À cet effet, la porte sectionnelle, selon une autre caractéristique de l'invention, comporte un mécanisme de verrouillage mécanique, automatique s'opposant à la manœuvre du tablier dans le sens de l'ouverture sous l'effet d'une action autre que celle générée par le moyen d'entraînement. Il est cependant nécessaire que le mécanisme de verrouillage ne puisse pas s'opposer à l'ouverture du tablier lorsque le moyen d'entraînement est activé. Ainsi, selon une autre caractéristique de l'invention, la chaîne d'entraînement, en début de mouvement d'ouverture, fonctionne à vide, cette dernière n'agissant qu'avec retard sur le tablier. De plus avant la fin de la course à vide de la chaîne, une action est appliquée par le moyen d'entraînement sur le mécanisme de verrouillage afin de mouvoir ce dernier vers une position déverrouillée. Dans la pratique, selon une autre caractéristique de l'invention, la liaison mécanique entre la chaîne d'entraînement est extensible rétractible selon un axe vertical, et est apte à induire une course à vide de la chaîne sur une distance déterminée, en prémices au mouvement ascendant du tablier depuis sa position de fermeture. Ainsi le tablier n'est entraîné vers sa position d'ouverture que lorsque la liaison mécanique atteint son degré d'extension maximal. Selon une autre caractéristique de l'invention, la liaison mécanique extensible rétractible est du type glissière.

Dans la pratique, selon une autre caractéristique de l'invention, cette liaison mécanique du type glissière comprend une platine d'entraînement portée par le chariot de guidage et une contre platine solidaire d'une part de la platine et d'autre part du panneau inférieur, la platine et la contre platine possédant l'une par rapport à l'autre, une possibilité de mouvement vertical de translation d'amplitude limitée, l'amplitude de ce mouvement déterminant la valeur de la course à vide de la chaîne du mécanisme d'entraînement.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le mécanisme de verrouillage comprend un bras basculant sollicité par son propre poids vers sa position de verrouillage, ledit bras, en partie inférieure, comportant un logement de verrouillage apte à venir coiffer, en position de verrouillage, un pion de blocage porté par la contre platine ou alternativement porté par le panneau inférieur.

L'intérêt d'une telle solution réside essentiellement dans le fait qu'elle n'exige, pour sa mise en œuvre, aucune source d'énergie électrique, pneumatique ou hydraulique supplémentaire. Par ailleurs, en raison de cette disposition, une rupture de l'alimentation électrique ne pourra interdire le déverrouillage du tablier depuis l'intérieur du bâtiment. En outre en raison de la possibilité de débrayage du moteur du moyen d'entraînement et de la suspension du tablier au mécanisme d'équilibrage, la manœuvre à la main en ouverture et fermeture du tablier s'effectuera sans devoir produire d'effort important.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le bras de verrouillage présente une surface de came et la platine d'entraînement présente un doigt de manœuvre apte, au cours de la course à vide ascendante de la platine d'entraînement, à venir rouler contre la surface de came et repousser le bras de verrouillage vers sa position de déverrouillage selon laquelle ce bras de verrouillage et par voie de conséquence le logement de blocage sont angulairement écartés du pion de blocage.

Cette disposition assure un déverrouillage mécanique automatique du bras de verrouillage. Par ailleurs, pendant la course à vide de la chaîne aucune sollicitation de traction n'est exercée sur le tablier de sorte qu'aucune action n'est exercée sur le bras de verrouillage par le pion de blocage. Cette disposition facile le déverrouillage du bras. Avantages de l'invention.

Le principal avantage du moyen d'actionnement selon l'invention est d'être applicable sans modification à tout type de levée de porte sectionnelle qu'elle soit à levée verticale, à levée normale, à levée haute, à levée réduite ce qui est de nature à abaisser de manière significative son prix de fabrication.

Un autre avantage de l'invention est de résoudre les problèmes liés au mou de câble que présentent les portes de la technique antérieure

Enfin un autre avantage de l'invention est d'assurer le verrouillage et le déverrouillage, mécanique, automatique du tablier.

Description sommaire des figures et des dessins.

D'autres avantages, buts et caractéristiques de l'invention apparaîtront à la lecture de la description d'une forme préférée de réalisation donnée à titre d'exemple non limitatif en se référant aux dessins annexés en lesquels : - la figure 1 est une vue en perspective d'une porte sectionnelle du type à levée réduite,

- la figure 2 est une vue de face d'une porte sectionnelle du type à levée verticale,

- la figure 3 est une vue dépouillée, partiellement en écorché montrant le moyen d'entraînement universel que comporte la porte selon l'invention,

- la figure 4 est une vue en coupe selon la ligne AA de la figure 2, - la figure 5 est une vue en coupe montrant le moteur du moyen d'entraînement en position embrayée,

- la figure 6 est une vue en coupe montrant le moteur du moyen d'entraînement en position débrayée,

- la figure 7 est une vue en coupe selon la ligne CC de la figure 4, montrant la liaison mécanique entre la chaîne et le panneau inférieur du tablier et le mécanisme de verrouillage en position verrouillée,

- la figure 8 reprend la figure 7 et montre le mécanisme de verrouillage en cours de déverrouillage sous l'effet du mouvement à vide ascendant de la chaîne du moyen d'entraînement, - la figure 8a est une vue selon la flèche F de la figure 8,

- la figure 9 est une vue montrant un équipage mobile équipant le panneau inférieur du tablier. Meilleure manière de réaliser l'invention

Aux figures jointes est représentée une porte sectionnelle 1 conforme à l'invention. Cette porte, associée à une baie 2 de bâtiment est montée à l'intérieur de ce dernier et comprend une structure de guidage 3 prévue pour être fixée contre les jambages 20 de la baie, à l'intérieur d'un bâtiment, un tablier 4, formé de panneaux articulés 40, monté en coulissement dans cette structure de guidage 3 entre une position basse de fermeture de la baie et une position haute d'ouverture, et un moyen 5 d'entraînement du tablier le long de la structure de guidage 3. La structure de guidage est formée d'une paire de tapées verticales 30 fixée contre les jambages de l'ouverture et d'une paire de rails de guidage 31 solidaire de la paire de tapées 30. Selon la forme préférée de réalisation, comme on peut le voir en figure 3, chaque tapée 30 est constituée par un profilé substantiellement en U. L'une des deux tapées présente une forme de rail de guidage et assure le guidage de l'un des éléments du moyen 5 d'entraînement. On peut observer également sur cette figure, que la paire de tapée 30 est située entre la paire de rail de guidage 31 et les jambages de la baie. On observe également sur cette figure que chaque tapée 30 et le rail de guidage 31 associé, sont réunis l'une à l'autre par l'aile d'un profilé cornière, solidaire, par son autre aile du jambage de la baie 2.

Pour une porte sectionnelle dite à levée verticale telle que représentée en figure 2, chaque rail de guidage 31 sera rectiligne et vertical tandis que pour une porte sectionnelle à levée, haute, normale ou réduite telle que visible en figure 1, chaque rail de guidage comportera une section verticale 31 a rectiligne de rail de guidage prolongée par une section horizontale 3 Ib rectiligne horizontale de rail de guidage liée à la précédente par une section courbe 3 Ic de rail de rail de guidage .

Le tablier, selon chaque axe d'articulation de deux panneaux adjacents l'un à l'autre, comporte une paire de galets latéraux 46 engagée dans la structure de guidage 3 et plus précisément dans les rais de guidage 31.

Chaque panneau 40 du tablier, perpendiculairement au plan de sa grande face externe au volume interne du bâtiment, comprend deux ailes latérales d'étanchéité 41 prolongeant respectivement les rives verticales droite et gauche du panneau 40. Les ailes latérales 41 des panneaux 40 se prolongent mutuellement afin que le tablier 4, notamment en position de fermeture, présente deux ailes latérales continues, s'étendant verticalement. Chacune de ces ailes latérales vient en appui latéral contre un joint vertical d'étanchéité 35 porté par la tapée 30 correspondante. Cette disposition assure l'étanchéité latérale de la porte.

Le tablier 4 comporte en partie inférieure un joint d'étanchéité horizontal 42 prévu pour venir en appui contre le seuil de la baie 2 en position de fermeture du tablier. Ce joint assure l'étanchéité basse de la porte. Ce joint 42 est porté par la bordure inférieure horizontale du panneau inférieur 40 du tablier.

De préférence, le tablier 4 de la porte est suspendu à un mécanisme d'équilibrage 7 d'un type connu, apte à compenser son poids. Ce mécanisme d'équilibrage 7 exerce sur le tablier 4 deux efforts de traction verticaux d'égales intensités situés à distance égale de l'axe médian vertical du tablier.

Ce mécanisme d'équilibrage 7 comprend un arbre horizontal 70 de liaison, monté en rotation dans deux paliers 71 d'extrémité, fixés par tout moyen connu à la structure du bâtiment et ce au-dessus de la baie 2. Le mécanisme de d'équilibrage 7 comprend en outre deux tambours d'enroulement 71, coniques, montés en fixation sur l'arbre de liaison 70. Chaque tambour 71 reçoit un câble de suspension 72 fixé, par une attache appropriée, au panneau inférieur 40 du tablier 4. Enfin le mécanisme d'équilibrage 7 comprend deux organes ressorts 73 de mêmes caractéristiques, aptes à appliquer en combinaison sur l'arbre de liaison 70 un couple résistant égal et opposé à celui généré par la résultante des efforts appliqués par le tablier 4 sur les deux câbles de suspension 72. L'arbre de liaison 70 pourra être constitué de deux demi arbres de liaison axialement alignés et accouplés l'un à l'autre par un manchon approprié monté dans un palier médian 74. Chaque demi-arbre recevra l'un des deux tambours d'enroulement 71 et l'un des deux ressorts 73. Ces dispositions en répartissant en parts égales le couple résistant de part et d'autre du palier médian, contribuent à limiter la torsion de l'arbre 70 et contribuent un meilleur équilibrage du tablier en répartissant le couple résistant de part et d'autre du palier médian.

Dans la forme préférée de réalisation, chaque câble de suspension 72 du mécanisme d'équilibrage 7 est fixé à une plaque latérale de suspension 43 rigidement fixée à la partie inférieure de la bordure latérale correspondante du panneau inférieur 40. Cette plaque de suspension 43 comporte un ergot 44 auquel est fixée l'extrémité du câble 72 (Fig.3).

Le moyen d'entraînement 5, comme on peut le voir notamment en figure 3, comprend un organe moteur d'entraînement 50 possédant un arbre de sortie rotatif 51 sur lequel un couple d'entraînement est disponible. Cet organe moteur 50, du genre moto réducteur électrique, est connecté électriquement à des moyens de commande électriques, installés dans un boîtier de commande 6 et manœuvrables par l'utilisateur afin de commander l'ouverture ou la fermeture de la porte 1.

Conformément à un premier aspect de l'invention, le moyen d'entraînement 5 est latéral au tablier 4, n'agit que sur un seul côté du tablier 4 et comprend en outre, un pignon à chaîne denté supérieur 52 monté en rotation sur un axe horizontal dans une chape solidaire de la zone dorsale de la tapée 30 correspondante de la structure de guidage 3, un pignon à chaîne denté inférieur 53 monté en rotation sur un axe horizontal dans une chape solidaire de la zone dorsale de la tapée 30 correspondante de la structure de guidage, une chaîne sans fin 54 à maillons articulés engrenée sur les deux pignons supérieur et inférieur et montée en tension entre ces deux pignons. La chaîne 54 est solidarisée au panneau inférieur 40 et est accouplée au moteur d'entraînement 50 par l'intermédiaire d'un pignon à chaîne 55, d'entraînement, engrené avec la chaîne 54 et accouplé pour l'entraînement du tablier 4 à l'arbre de sortie 51 du moteur 50. Comme on peut le voir en figure 3, les pignons supérieur 52 et inférieur 53 de la chaîne 54 sont en partie logés dans la tapée 30 correspondante et à cet effet sont engagés chacun dans une ouverture traversante pratiquée dans la zone dorsale de la tapée 30. La chaîne par l'un de ses deux brins verticaux est interne à la tapée 30 et par l'autre est externe à cette dernière. Le plan de la chaîne est parallèle à celui de la baie. Le brin externe de la chaîne coopère avec le pignon d'entraînement 55 et brin interne agit sur le tablier 4. Selon une forme particulière de réalisation, la chaîne 54 est solidarisée au panneau inférieur 40 par l'intermédiaire d'une liaison mécanique faisant partie du moyen 5 d'entraînement. Cette liaison mécanique comporte un chariot de guidage 81 monté dans la tapée 30 de manière à pouvoir s'y déplacer. Ce chariot de guidage 80 comprend un corps de chariot de guidage 81a portant deux galets de guidage 82 verticalement superposés, prévus pour être engagés dans la forme de rail de la tapée correspondante. Avantageusement la chaîne, par son brin interne, est fixée au chariot de guidage 81. Dans la pratique, la chaîne 54, par ses deux extrémités est rigidement fixée par des boulons au corps 81 a de chariot de guidage.

La liaison mécanique peut être du type indéformable, ou bien, selon la forme préférée de réalisation, extensible rétractible selon un axe vertical et apte à induire un temps de retard dans la manœuvre du tablier 4 depuis sa position de fermeture vers sa position d'ouverture, ou bien, d'une autre manière, apte à induire une course à vide de la chaîne 54 sur une distance déterminée, en prémices au mouvement ascendant du tablier 4 depuis sa position de fermeture. En d'autres termes le tablier, depuis sa position de fermeture n'est entraîné par la chaîne que lorsque la liaison mécanique aura atteint son degré maximal d'extension. Alors cette liaison pourra transmettre au tablier l'effort d'entraînement généré par le mécanisme d'entraînement.

Selon la forme pratique d'exécution, cette liaison mécanique extensible rétractible est du type glissière. De préférence, cette liaison mécanique 8, outre le chariot de guidage 81, comprend une platine d'entraînement 80 portée par le chariot de guidage 81 et une contre platine 83 solidaire d'une part de la platine 80 et d'autre part du panneau inférieur 40. La platine 80 et la contre platine 83 possèdent l'une par rapport à l'autre, une possibilité de mouvement vertical de translation d'amplitude limitée. L'amplitude de ce mouvement détermine la valeur de la course à vide de la chaîne du mécanisme d'entraînement. Dans la pratique, la platine 80 présente deux perçages traversants 84, oblongs, orientés chacun de manière que leur grand axe soit vertical et la contre platine présente deux pions 85 engagés respectivement dans les deux perçages traversants de la platine 80 ,1e diamètre de chaque pion, correspondant, au jeu fonctionnel près, à la largeur de chaque perçage oblong. Avantageusement, chaque pion 85 est formé par une vis engagée par sa tige filetée dans le perçage oblong 84 correspondant de la platine et dans un taraudage ménagé dans la contre platine 83. La tête de la vis constitue butée et assure la solidarisation de la platine et de la contre platine l'une à l'autre.

Avantageusement, le pignon d'entraînement 55, par une forme de manchon 55a qu'il présente, est monté dans au moins un palier à billes 57 fixé à un support fixe 56 constitué essentiellement par plusieurs platines verticales parallèles distantes les unes des autres, le moteur d'entraînement 50 étant solidaire de ce support fixe 56. Ce support 56 peut être fixé à la structure de guidage et/ou au jambage de la baie.

Pour assurer le maintien de la chaîne 54 en accouplement avec le pignon d'entraînement 55 sont prévus deux pignons à chaîne, annexes 55b occupant une position latérale par rapport au pignon 55. Par enroulement partiel de la chaîne 54 sur ces pignons 55b est assuré le maintien d'un enroulement partiel minimal de la chaîne 54 sur le pignon d'entraînement 55. On évite ainsi le déraillement de la chaîne 54. Chaque pignon annexe 55b est monté dans un palier à bille solidaire du support 56. Un de ces pignons annexe 55b sera ajustable en position par coulissement de son palier à bille dans une lumière oblongue 56a du support 56 afin d'assurer la mise en tension de la chaîne d'entraînement 54. Les dispositions précédemment évoquées autorisent la mise en place du moteur d'entraînement 50 à hauteur d'homme par exemple à une distance du sol comprise entre 1,5 mètres et 1,7 mètres.

Comme on peut le voir en figure 5 et 6, le moteur d'entraînement 50 est monté en fixation dans le boîtier de commande 6. Ce boîtier se présente sous la forme d'un coffre parallélépipédique possédant une paroi arrière verticale 60, quatre parois latérales 61 et un couvercle 62 d'accès à son volume interne. Ce boîtier 6 est solidaire du support fixe 56. Ce boîtier renferme outre le moteur 50, les différents composants électriques nécessaires à la commande du moteur ainsi qu'une unité à microprocesseur et mémoires assurant le contrôle du mouvement du tablier.

Selon une disposition avantageuse de l'invention, l'arbre de sortie 51 du moteur 50, traverse de part en part un perçage formé dans la paroi arrière verticale 60 du boîtier 6 et s'accouple directement par emboîtement de forme avec le pignon d'entraînement 55 ou avec un élément qui lui est lié. Selon la forme préférée de réalisation, l'arbre de sortie 51 est destiné à être accouplé avec le manchon 55a du pignon 55. Cet accouplement est conçu de manière autoriser le débrayage du moteur 50, c'est à dire la séparation de l'arbre de sortie 51 du moteur 50 et du pignon d'entraînement 55 l'un de l'autre, par simple déplacement axial de l'un par rapport à l'autre. Dans la pratique, l'arbre de sortie 51 du moteur 50 comportera des cannelures mâles 51a et l'alésage du manchon 55a du pignon d'entraînement 55 comportera des cannelures femelles 55c prévues pour recevoir les cannelures mâles.

Avantageusement, le moteur 50 est fixé dans le boîtier 6 de manière à ne pouvoir s'y déplacer. Le boîtier est solidarisé de manière mobile en translation, selon l'axe géométrique de rotation de l'arbre de sortie 51 du moteur 50, au support fixe 56. Pour aider le déplacement du boîtier 6 et donc du moteur entre la position embrayée (fïg.5) et la position débrayée (fîg.6), sont prévues deux poignées de manœuvre 63 fixées rigidement au boîtier 6 et plus particulièrement à son couvercle 62.

Afin de guider le mouvement du boîtier 6 et du moteur d'entraînement 50 entre la position embrayée et la position débrayée, sont prévues au moins deux colonnes de guidage 58 horizontales, solidaires du support fixe 56 et s'étendant de manière parallèle à l'arbre 51 du moteur 50 et deux fourreaux de guidage 58a horizontaux, parallèles, internes au boîtier et fixés à ce dernier, ces fourreaux recevant en coulissement, respectivement les deux colonnes de guidage 58.

Avantageusement, ces deux fourreaux de guidage 58a sont fixés par une de leurs extrémités à une platine métallique 60a de renfort, doublant la paroi arrière 60 du boîtier 6. Il va de soi que dans l'axe de chaque fourreau 58a, la paroi arrière 60 et la platine de renfort 60a seront dotées d'un perçage traversant. En vue de limiter l'amplitude du mouvement du boîtier et du moteur de la position embrayée à la position débrayée, est prévue au moins une butée 59 portée par l'une des colonnes 58a au moins. Cette butée pourra être constituée par la tête d'une vis engagée par sa tige filetée dans un taraudage pratiqué dans la colonne correspondante, et d'un diamètre suffisant pour qu'en position débrayée l'extrémité du fourreau 58a correspondant puisse venir buter contre elle. La porte sectionnelle 1 selon un autre aspect de l'invention, comporte un mécanisme de verrouillage 9 automatique s 'opposant à la manœuvre du tablier 4 par action directe sur ce dernier. Ce mécanisme de verrouillage est solidaire de la structure de guidage 3 et est installé en partie inférieure de cette dernière. Ce mécanisme n'est pas porté par le tablier.

Pour permettre son déverrouillage avant la fin de la course à vide de la chaîne 54, une action est appliquée sur le mécanisme de verrouillage 9 pendant cette course à vide afin de mouvoir ce dernier vers une position déverrouillée qu'il atteint avant la fin de cette course à vide.

Selon la forme préférée de réalisation, le mécanisme de verrouillage 9 comprend un bras basculant 90 monté en pivotement sur un axe horizontal 96, parallèle au plan de la baie, porté par un support 93 solidaire de la structure de guidage par exemple de la tapée 30 correspondante. Ce support peut être aussi solidaire du jambage correspondant de la baie 2. Ce bras est sollicité vers sa position de verrouillage, c'est à dire vers l'avant, par l'effet de son propre poids. Pour renforcer cette aptitude à rejoindre la position de verrouillage, le bras est doté d'une masse décentrée 97 formant contre poids. Avantageusement cette masse est agencée en poignée pour faciliter le déverrouillage manuel du bras 90.

Ce bras 90, en partie inférieure, comporte un logement de blocage 91 apte à venir coiffer, en position de verrouillage, un pion de blocage 92 porté par la contre platine 83. Avantageusement, ce pion de blocage 92 se présente sous la forme d'un galet. De cette façon, au cours du mouvement ascendant ou descendant du tablier, le pion de blocage 92 pourra rouler sur la rive longitudinale avant du bras de verrouillage 90. On évite ainsi tout frottement mécanique générateur d'usure.

De plus ce bras de verrouillage 90 présente le long de la rive longitudinale précitée une surface de came 94 et la platine d'entraînement 80 présente un doigt de manœuvre 95 apte, au cours de la course à vide ascendante de la platine 80 et de la chaîne 54, à rouler sur la surface de came 94 et repousser le bras de verrouillage 90 vers sa position de déverrouillage (fig.8). Selon cette position, le bras 90, et par voie de conséquence le logement de blocage 91, sont angulairement écartés du pion de blocage 92.

Le logement de blocage 92 est formé par une creusure pratiquée dans le bras 90 depuis sa face rive inférieure. Cette face de rive entre la creusure et la rive avant, est arrondie et constitue une seconde surface de came contre laquelle pourra venir rouler le galet 92 lors notamment du mouvement ascendant du tablier. Cette disposition a pour but de repousser le bras 90 vers l'arrière, c'est à dire vers la position déverrouillée, au cas où ce n'aurait pas été repoussé de manière suffisante par le galet 95.

On remarque que lorsque le bras est en position de verrouillage, la surface de came est oblique et sécante à la trajectoire du doigt de manœuvre 95. On remarque aussi que dans cette position, le bras 90 est oblique par rapport à la verticale. Ceci est justifié par la nécessité d'écarter l'axe de pivotement 96 du bras 90 notamment de la trajectoire du pion de blocage 92 et du doigt 95. Un autre avantage de cette disposition réside dans le fait que lorsque le bras est en position de verrouillage, tout de levage autre que celui généré par le moyen d'entraînement 5, tendra à maintenir ce bras en position verrouillée et non à l'écarter de cette position.

Le doigt de manœuvre 95 est avantageusement constitué par un galet.

Selon la forme préférée de réalisation, la liaison mécanique 8 entre la chaîne 54 et le panneau inférieur 40, comporte à distance du chariot 81 un premier organe d'attache 86 solidarisé au panneau inférieur 40, cet organe d'attache 86 coopérant en emboîtement de forme, de préférence de manière articulée selon un axe géométrique BB' horizontal, avec un second organe d'attache 45 complémentaire, fixé au panneau inférieur 40. Ces deux organes d'attache sont disposés regard et à distance du rail 31 correspondant. L'axe BB' qu'ils définissent est parallèle aux grandes faces du panneau 40 et occupe une position inférieure par rapport à ce dernier. On comprend que cet axe géométrique de suspension BB' au cours de l'évolution du tablier 4 entre ses positions de fermeture et d'ouverture, suit un mouvement de translation verticale sans se rapprocher ou s'écarter de la tapée 30 et ce quel que soit le type de levée de la porte. Pour une levée haute, normale ou réduite, l'articulation des deux éléments d'attache, autorise le pivotement du panneau inférieur 40 lorsque ce dernier évolue dans la partie courbe 31 c de chaque rail de guidage 31.

Avantageusement, l'axe BB' est disposé au plus près de la rive inférieure du panneau inférieur 40 et se situe au plus près du joint inférieur 42 du tablier 4. Cette configuration, lors du pivotement du panneau inférieur 40 écarte ou pour le moins minimise les risques d'arrachement ou de détérioration de ce joint 42 contre les joints latéraux 35 d'étanchéité.

Dans la pratique, la contre platine 83 sera équipée du premier organe d'attache 86 lequel se présente sous la forme d'un fourreau formant palier, se développant selon l'axe géométrique BB'. Selon cette forme de réalisation, le panneau 40 ou bien la plaque suspension basse 43, selon l'axe BB', sera dotée d'un tourillon cylindrique 45, d'un diamètre adapté, engagé avec jeu fonctionnel approprié dans le palier 86, ce tourillon formant le second organe d'attache. Cette disposition, outre le fait de permettre le pivotement du panneau 40 assure également le maintien de la partie basse de ce dernier à distance constante de la tapée 30. Avantageusement, le fourreau 86 traverse de part en part la contre platine 83 ce qui allonge sa portée de guidage. Cette disposition a pour but de réduire fortement l'amplitude du mouvement de branlement de la contre platine 83 par rapport au tourillon 45, dû au jeu fonctionnel, et de mieux assurer le maintien à la verticale de la contre platine 83 et de la platine 80.

Enfin il y a lieu de noter que le pion de blocage 92 qui se présente sous la forme d'un galet pourra être monté sur le tourillon 45 en avant du palier 86.

Le panneau inférieur 40, à l'opposé du moyen d'entraînement 5, reçoit un équipage mobile 10 comprenant un chariot 101 monté dans la tapée 30 correspondante de façon à y être mobile verticalement. Ce chariot 101 est équipé de deux organes de roulement 101a verticalement superposés et d'une platine verticale 102 laquelle comporte un premier organe d'attache 103 au panneau inférieur 40, cet organe d'attache 103 coopérant en emboîtement de forme de préférence de manière articulée selon l'axe géométrique BB', avec un second organe d'attache 104 complémentaire, fixé au panneau inférieur 10, ces organes d'attache étant disposés en regard et à distance du rail 31 correspondant.

Les deux précédentes dispositions, assurent le maintien de la partie basse du panneau inférieur 40 à distance constante des tapées 30 et maintiennent l'axe d'articulation BB' toujours en regard de la partie rectiligne verticale de rail ou en regard de son prolongement vertical.

Pour une levée strictement verticale du tablier, dans ce cas les rails 30 étant, sur toute leur longueur verticaux et rectilignes, les deux organes d'attache 86, 45 pourront le cas échéant être liés l'un à l'autre de manière non articulée, il en sera de même pour les organes d'attache 103 et 104.

Le moteur d'entraînement 50 pourra être à actionnement manuel et constitué par une noix et une chaîne à maillons engrenée avec la noix, cette noix étant une roue dont le fond est doté d'empreintes à la forme des maillons. Dans ce cas de figure la roue restera constamment en prise avec le pignon 55 pour une manœuvre manuelle permanente.

Il va de soi que la présente invention peut recevoir tous perfectionnements et variantes du domaine des équivalents techniques sans sortir du cadre du présent brevet.




 
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