De la nature à la physique les organisations sont compatibles, à prendre exemple sur la nature. Le premier point à observer est la symétrie des arbres, des plantes, des animaux, des implantations des yeux, de nos mains. La nature procède par symétrie. Le monde des mécaniques procède aussi par symétrie sur les voitures, sur les avions, certes là la situation des ailes des avions rend évidente une porteuse symétrique donc une voilure symétrique, même si certains essaient des prototypes de voilure asymétrique. Les technologies de l'électricité sur les oscilloscopes déterminent des courbes de rotations des phases électriques qui passent toujours par un point centré quelle que soit la fréquence et le type de modulation.

Les mouvements périodiques dépendent des règles de rotations ώΤ, cosinus théoriques. Toutes les lois de rotations ou de mouvements périodiques comme les alternances des pistons sur un moteur, ou de membranes acoustiques doivent restées centrées, mais ce n'est pas le cas, elles ne suivent ces lois de la justesse théorique. De la théorie à la pratique, les choses en actions dérivent sont en distorsions de phase ou de déformation par les mouvements périodiques en charges des déséquilibrages par les contraintes ou en dérives du cycle théorique.

En mécanique, par exemple ou sur les roues, les pignons de boites de vitesse, les transmissions hélice d'avion, il faut assurer l'équilibrage des masses pour lever toute vibration, déviation de balourd des masses qui viennent contredire la théorie des technologies.

En électricité, les dérives s'appellent distorsions harmoniques tant dans les traitements des signaux électriques que dans les exécutions mécaniques des membranes acoustiques. Ce sont les amplifications des transmissions électromécaniques qui ne restent pas en phase parfaite pendant les cycles différents et simultanés ώΤ des différentes notes suivant leurs décompositions de Fourier. Les effets de dérives électriques et mécaniques s'accumulent. L'appareil s'apparente à un micro haut-parleur sans membrane par son fonctionnement qui est la référence des corrections harmoniques. Si pour les effets mécaniques, on comprend les effets des balourds des masses, sur les effets électriques des appareils de reproduction sonore, les effets électromécaniques sont en effet soumis à des distorsions d'informations dues aux effets de masses des membranes/moteurs qui ne peuvent suivre la vitesse des impulsions électriques et cela suivant les fréquences demandées et les masses en action ont une fréquence de résonnance spécifique. Au-delà, en dessus/en dessous de ces fréquences, les distorsions d'informations augmentent, elles ne sont plus en phase avec l'émission originale.

En électricité, d'autres notions électriques interviennent par les effets de diaphonies, ou tout simplement par la nature des conducteurs, des composants électroniques passifs ou actifs.

Des dispositifs ont essayé d'auto contrôler les déphasages dans le monde acoustique, Dolby lui a éliminé des franges, bandes, spectres sonores, car aucune solution ne parvient à corriger. En mécanique, on remarque la mise en place des plombs sur les roues, sur les avions une dérive. En optique, le passage de la lumière est concerné surtout au point focal où toutes les informations électromagnétiques sont convergentes. La présente dépose repose sur ces aspects différents qui ont tous un point commun que nous pouvons utiliser pour résoudre toutes ces dérives, distorsions par une correction automatique qui rend parfaitement stable ou en partie les mouvements aléatoires engendrés par toutes les optiques, les mécaniques, organes mécaniques, ou les machines mécaniques ou électriques comme les ordinateurs, gestions électroniques, téléphones portables, tablettes électroniques, toutes les électroniques en général ou les moteurs électriques de toutes natures ou toutes les "machines" de transformations d'énergies ou d'industries des matériaux ou d'extractions de matériaux. Toutes les gestions de courants faibles ou de puissances sont concernées. Tous les véhicules terre, mer, air, vélo moto automobile camion bus sous-marin bateau fusée navette spatial drones, sans limitation de moyens de locomotion à venir, tous ces exemples entrant et définissant tous les domaines "des machines" issues de toutes les technologies. En effet, toutes les productions industrielles, scientifiques couvrent par leur dynamique les champs d'applications à corriger par nos appareils proposés, car toutes les théories sont soumises à des corrections de remise en phase sur les "machines" d'applications.

En effet, les remises en phase sur des chaînes cinématiques mécaniques, électriques ou électromécaniques, les balourds mécaniques ou les dérives, les surjections d'informations électriques ou de diaphonies ou de rayonnements électriques sont des distorsions de disfonctionnements qui s'accumulent toutes entre elles et apportent inconfort, une fiabilité mise en jeu avec des seuils critiques de fonctionnement et de fortes énergies perdues.

Il faut connaître les seuils acceptables sous peine que les vibrations, les bruits, les seuils de tolérances ne soient dépassés par les charges d'amplitudes maxi à contenir. Les industriels ont des limites de performances de leurs "machines" dues à ces inconvénients d'instabilité des machines électriques ou mécaniques, des qualités des produits, tolérance de fabrications, de réalisation pour donner un rendu, une performance. La pratique apporte toutes les dérives de fonctionnement "dysfonctionnements" distorsions aux déroulements réguliers des cycles des machines et d'informations électriques harmoniques qui se traduisent par des délivrances de vibrations, de bruits et de qualité de prestations altérées et de confort aussi altéré.

Tous ces seuils d'intolérances sont revisités et corrigés par nos appareils venant gommer les imperfections connues. Les dysfonctionnements des rotations, des alternances soumis aux réactions aléatoires qui peuvent être constatées, captées et corrigées par une réponse idoine électroniquement, apportant performances, sécurités, efficacités aux prestations demandées pour toutes "les machines" mécaniques, appareils électriques, électroniques prennent leurs vraies fonctions sans aléas, sans distorsions, sans perte de fiabilité. Au contraire, avec les appareils du présent PCT, toutes les corrections apportent des performances augmentées de 20 à 30% au moins, ceci par domaine électrique et/ou mécanique dont les conséquences sont également la gestion des effets de nature chimique dans les combustions des moteurs ou les chaudières par exemples.

La présente dépose de PCT apporte une solution basée sur la connaissance appliquée des effets secondaires engendrés par l'émergence de forces contradictoires qui s'opposent au bon déroulement théorique identifié par les signatures provenant des rayonnements électromagnétiques et ou magnétiques. En effet, l'usage de piézo électricité permet de capter les déformations élastiques des matériaux qui émettent des ondes électromagnétiques et/ou magnétiques par les déformations subites engendrées par les balourds, ou les torsions sur les organes mécaniques ou voire sur les hélices, sur les ailes d'avion ou hélices de bateau.

Les ondes électromagnétiques/magnétiques, signatures à corriger sont captées, sont renvoyées en inverse de phase, par l'appareil, ce qui a pour effet de stabiliser la déformation ou le balourd par une information contraire dans les matériaux des machines que ce soient les bâtis des machines, masse fixe passive subissant les contraintes des organes mécaniques ou les pièces mécaniques actives en rotations ou en actions alternatives.

Les appareils électriques sont tous rayonnants, pèrdant automatiquement les énergies et les informations électriques. Les lois de rayonnements dissipés sont connues, ce sont celles de Laplace, "Champ" du champ chemin courant, puis les effets résistifs, et "force contre électromotrice" FCE et entres autres les effets thermiques engendrés et les pertes par diaphonie, essentiellement. Les rayonnements des infrarouges, des effets thermiques sont également des pertes électromagnétiques/magnétiques rayonnées dans les espaces des machines venant altérer les gestions électroniques. Les ventilateurs comme les éoliennes sont générateurs de champs électromagnétiques/magnétiques dans l'espace, tout comme les frottements de l'air sur les carrosseries, les avions avec l'air, ou sur les coques de bateau avec l'eau. Les réponses électromagnétiques ou magnétiques de la magnétostriction sont diverses mais en temps réel, ce sont les signatures qui servent à capter les contraintes subites, rayonnements émis dans l'espace ou dans les masses des pièces mécaniques actives ou les blocs ou carters des organes mécaniques. Les masses métalliques sont des antennes privilégiées de ces rayonnements qui s'accumulent en ondes scalaires ou statiques à éradiquer par l'appareil. Ces pertes de rayonnements électromagnétiques et/ou magnétiques rayonnent dans tous les espaces. Les machines, mécaniques ou électriques sont dans nos maisons, nos usines, les trains, les bus, nos voitures, les avions, les bateaux etc.... par le monde civilisé que nous avons mis en place. Les appareils produits engagent un espace sain sans se priver des technologies modernes, en les rendant plus performantes, efficaces, sans nous nuire, sans créer des brouillards électromagnétiques auxquels certaines personnes deviennent hyper sensibles. Les appareils sont des masses de toutes formes constituées de produit piézo dont les propriétés sont de capter les champs électriques et/ou magnétiques et de les convertir pour partie en ondes de vibrations mécaniques ou de les renvoyer depuis les vibrations mécaniques en ondes électromagnétiques et/ou magnétiques. Ce convertisseur réversible est la base du produit, appareil, mais il ne serait pas efficace, s'il n'y avait pas la présence d'au moins un trou capital d'une autre réversibilité qu'énonce la loi de Dirac, concernant le sens des électrons.

Cette loi de Dirac est l'équilibre des flux des électrons/des photons dans leur sens d'action et de type de flux plus et moins pression dépression. Les flux sont bien l'objet des signatures des champs électromagnétiques et/ou magnétiques des masses matières déformées, dont les conditions entre matières et champs sont intriquées par les rayonnements de magnétostrictions.

Tout oscille dans l'univers des planètes aux électrons, aux pièces des machines, aux roues, l'ordre de la perfection s'impose et est contrôlé dans le cosmos par les champs de gravités, c'est ce que nous faisons en microcosme sur notre environnement des masses des pièces des machines, de nos électroniques par nos produits qui captent les champs électriques et/ou magnétiques et en corrigent les signatures, par une émission en inverse de phase en partie et une absorption pour partie.

Ces effets oscillatoires des perturbations cycliques non respectées ou ponctuelles sont soumises à des distorsions mécanique ou électrique ou les deux suivant les applications, qui relèvent de l'instabilité des fonctionnements qui doivent rester "au point zéro de stabilité" en tout point de la chaine cinématique et pour chaque fonction. Les corrections que font le ou les appareils stabilisent les activités aléatoires, désordonnées, en discontinuités de fonctionnements, dysfonctionnements aléatoires.

Le point zéro des équilibres en référence permet une remise en place systématique dans l'espace d'activités des machines par au moins un appareil posé fixé sur la machine ou organe mécanique, ou ordinateurs ou appareils électroniques comme les écrans plats de télévision à l'arrière des postes, sur les proximités ou un peu éloigné, car il capte, corrige par réponses aux informations perçues. C'est un auto-centrage, une auto régulation en phase en tout point des machines" de tous les mouvements ou passages des informations des énergies corrigées en temps réel. Le point zéro devient une réalité de positionnement dynamique qui est pratique, et qui rétablit dynamiquement toutes les fonctions dynamiques des "machines" mécaniques, électriques qui ont des fonctionnements synchrones dorénavant là où les appareils du PCT sont présents. Le procédé corrige comme sur l'instrument de musique les fonctions dynamiques des technologies. Procédé conforme aux principes appliqués du point zéro en toute circonstance du fait qu'il y a un intérieur et un extérieur sur un saxo, sur un piano, un violon sur les cordes qui tournent, il y a une dynamique Interne et externe complémentaire, des parois. Dans l'approche physique de notre appareil nous avons respecté cette multiplicité d'informations signatures internes et externes complémentaires en réalisant le trou que la masse de piézo permet de transcrire délimitant une paroi active " interne et externe" qui permet l'activité de correction "du point zéro" en tout point des "machines" situé entre les deux parois de la masse "interne et externe". Cette harmonie atteinte par les appareils de notre PCT sur les appareils de reproduction du son, prévaut des corrections pour les restitutions harmoniques parfaites et des variations de puissances et amplitudes des déformations mécaniques ou distorsions électriques d'informations déterminées par l'appareil, pour toutes les "machines" issues de la physique appliquée de l'électricité et de l'exercice de la transmission mécanique. La chaîne cinématique de la reproduction sonore devient impeccable dans son résultat sonore, propre, dynamique et les notes restent parfaitement indépendantes. Ainsi l'aspect d'intermodulation des fréquences des sons, fondamentales et harmoniques à reproduire électriquement/mécaniquement répond à toutes les applications périodiques des régimes des mécaniques variables des moteurs, suspensions et de toutes les applications des distorsions électriques des ordinateurs, des électroniques.

Pour satisfaire à cette loi de Dirac, nous avons fait au moins un trou dans l'appareil qui est constitué d'une masse coupée coupe A-A fig.l (1) munie au moins d'un trou (2). La masse (1) vue de dessous en Fig.2 avec son trou (2). Pourquoi le trou est-il si important ? Cela relève des faits expliqués sur la présence des faces internes et externes d'une surface soumise à contrainte de pression variable de l'air comme tous les instruments de musique pour obtenir les harmoniques, la cohérence des vibrations. L'appareil peut être fait d'une série de tubulures différentes ou identiques. Le monde électromagnétique et/ou magnétique signe et suit les contraintes mécaniques de l'instrument qui sont les signatures de la magnétostriction des contraintes subites pour un instrument de musique, processus généralisé à toutes les machines mécaniques et électroniques, électricité. Afin de gérer tous les sens de flux des électrons, en créant au moins un trou dans la masse, on crée les deux polarités interne et externe de l'expression des vibrations et des signatures issues d'un point ou d'un plan qui rayonnent en réalité dans un volume rayonnant sur 3 dimensions. La vision du milieu concerné est le monde des électrons/photons donc nous répondons aux lois des électrons et des photons et les rayonnements qui partent se répartissent autour du point de contrainte dans tous les sens. L'appareil du PCT permet d'apporter de vraies corrections en temps réel de façon très logique des fonctions réelles pour obtenir les multiples corrections. Les appareils ainsi formés et constitués de produits piézo agglomérés permettent avec efficacité d'assurer les fonctions de corrections de toutes les signatures de champs électromagnétiques et/ou magnétiques captés. On constate que le sens du trou modifie, accentue plus ou moins la performance. Les Corrections des signatures des contraintes, le sens des flux d'électrons/photons à corriger sont donc complexes. De ce fait, la pièce de l'appareil peut avoir au moins un trou voir plusieurs trous pour plus d'efficacité. Plusieurs sens des trous permettent plusieurs corrections. Les trous peuvent être ronds, coniques ou autres formes spécifiques comme des pavillons acoustiques réalisés par l'homme de l'art suivant les configurations et exigences des machines.

L'appareil en piézo peut être un agglomérat de produit piézo oxyde de zinc, de titane, de silicate, de quartz pour exemples sous-forme de poudre de granulométrie de 10 microns à un ou plusieurs millimètres, facilement configuré, aggloméré en forme adaptable pour les situations des appareils. Fig.3 par exemple non limitatif de réalisation. On peut également avoir une mousse expansée aérée pour créer ce conglomérat de masse (1) présentant une multitude d'espace de trous vides (2) créant une masse hétérogène pleine et trouée, les trous vont de micros trous à des trous ronds ou allongés de plusieurs millimètres, comme sur une éponge. La masse du produit d'agrégation des piézo immergés peut être un liant comme du plâtre, des ciments, des silicones, des polymères par exemples non limitatifs de réalisation par l'homme de l'art à parité de 30% de la masse de produit piézo par exemple. Pour améliorer les sensibilités des champs par les appareils, on peut incorporer, immerger des charges en poudres micrométriques de métal, de fer, de cuivre, d'or, d'aluminium ou autres particules métalliques à raison de quelques 5% voire 10% de la masse produit totale. Comme il s'agit de convertisseur de champs électriques et /ou magnétiques, électromécaniques, on peut intégrer, implémenter au moins une double boucle couplée en cuivre, en fer, ou en cuivre (3) par exemple, qui peut être incorporée dans la masse de l'appareil fig. 3 avec un angle de 10° à 90° afin de convertir et d'équilibrer, de diminuer les charges électriques et magnétiques par ce convertisseur intégré, suivant la loi de Maxwell revisitée d'Ampère, 3 ou 4 boucles couplées qui sont aussi conformes à cette loi dans les 3 dimensions de l'espace pour diminuer, réguler les conversions, diminutions des champs électriques et des champs électromagnétiques. Enfin, l'appareil peut recevoir dans sa constitution 30 % d'oxyde de graphène sous forme soluble ou de poudre de graphène sous forme de granulométrie de plusieurs microns de la masse totale du produit piézo de l'appareil avec son agrégat plâtre ou autres poudres, ou boucles, afin d'avoir une activité ultra rapide par ce composant supra conducteur. Les produits "piézo" sont des céramiques techniques, céramiques silicatées, oxydées, céramiques non oxydées et céramiques piézo-électriques en combinaison avec les alumines, oxyde d'aluminium, silicate d'aluminium, d'oxyde d'aluminium par exemple. Les appareils apportent un silence, le confort, fluidité, efficacité hors normes, les mouvements parfaitement lissés et en ordre sans agitation, un monde audio-visuel parfait de qualité sonore extrêmement réaliste et images transparentes ainsi que sur les photos et le cinéma. Sur les suspensions automobiles, des régulations sans redondances, hyper stabilisées. Explication de la multiplicité des effets des contraintes sur une pièce qui est une simple application, elles sont bien plus importantes quand il est considéré toute la chaîne cinématique d'une transmission tant sur les pièces en mouvement que sur les pièces passives, carter. Fig. 4 la pièce (1) subit une double contrainte de pression (2,3) le module de la pièce (1) en longueur diminue, c'est la contrainte (4). L'édifice électronique subit donc des distorsions de stabilité, une réorganisation structurelle électronique pour effectuer la déformation, qui engendre des émissions d'électrons/photons et aussi des émissions thermiques consécutives aux mouvements des électrons, vrai en mécanique comme en électronique ou le passage des courants dans les câbles. La cohérence harmonique est rétablie. Les émissions par contraintes de forme de la matière au point (2) entraine des pressions en zone (6) et des extensions en zone (5) inversement pour la compression au point (3). Ces fluctuations sont très importantes en qualité de direction signatures des flux d'électrons/photons qui sont des quantités d'informations signatures représentées par les flèches (7.8.9) à traiter en même temps. Ce sont des émissions d'ondes Signatures des champs électromagnétiques et magnétiques qui sont captées par nos appareils et dont les réponses en inverse de phase ou en partie sont absorbées. Le produit piézo ne peut pas assurer les corrections sur une masse uniforme du produit, il ne peut pas répondre à toutes les directions de flux simultanément. En effet les vitesses de conversions internes des fonctions piézo ne peuvent traiter aussi toutes les signatures en même temps. Aussi les segments de surfaces différentes externe/interne de la masse piézo permettent simultanément de traiter tous les types d'ondes de signatures pression et extension par la piézo qui par le ou les trous traitent une des fonctions des deux polarités de contraintes "signatures" en même temps que par la paroi externe qui traite l'autre polarité. C'est la condition du point zéro qui reçoit les deux polarités des signatures de la même contrainte (2) décomposée en deux signatures "extension (8) et pression (7)". Le trou conique ou en pavillon acoustique, confère la meilleure géométrie, puisqu'elle gère toutes les harmoniques les plus fines ondes sonores et ondes électromagnétiques/magnétiques qui suivent les mêmes lois par la vibration des sons. Cette échelle de déformation de l'air nous permet d'établir les différentes échelles de la déformation de la matière. Les effets de la déformation du milieu élastique des pièces mécaniques sont assimilés à ceux de l'air, ce que les résultats confirment. L'appareil est un régulateur de tension, de parasites émergentes, pour satisfaire toutes ces propagations dans tous les sens, le ou les trous sont fondamentaux car ils prennent simultanément les deux aspects complémentaires des énergies des flux des champs électriques et /ou magnétiques du "point zéro" (10) autour duquel les équilibres des pièces sous contraintes se déforment. Les corrections se font au niveau de la vision électronique électrons/photons des flux de captage des flux et des réponses par nos appareils. La stabilité est totale, ce que nous constatons sur les voitures, les moteurs électriques, les ordinateurs, les écrans, sur les traitements des images et des sons, comme au cinéma du fait du traitement simultané des signatures des contraintes, tout le monde audio-visuel est concerné.