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Title:
SUPPORT ELEMENT AND DEVICE FOR HOOKING AND POSITIONING PAINTINGS OR THE LIKE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1997/007720
Kind Code:
A1
Abstract:
The device for supporting and positioning a painting to a substantially vertical wall (1) comprises an intermediairy fixing element (6 or 7) which has a threaded passage (22, 23), means (12, 13, 16, 17, 19) for fixing said intermediary fixing element to the wall, an element (8 or 9) for positioning and supporting said painting, and comprising a central threaded part (20, 21, 50) which cooperates with said threaded passage in order to be screwed or unscrewed, a lower extremity (49) which has a means (48) for rotationally actuating said central threaded part, an upper extremity which carries or hires a bracket (24, 26, 51) supporting at least a portion of a cross-beam (5) of the frame (4) of the painting.

Inventors:
HOLDER PHILIPPE (FR)
Application Number:
PCT/FR1996/001325
Publication Date:
March 06, 1997
Filing Date:
August 28, 1996
Export Citation:
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Assignee:
HOLDER PHILIPPE (FR)
International Classes:
A47G1/16; A47G1/20; B25B13/48; (IPC1-7): A47G1/16; B25B13/48; A47G1/20
Foreign References:
US2940712A1960-06-14
GB264933A1927-01-31
US2791388A1957-05-07
US2509424A1950-05-30
US2474626A1949-06-28
US5103573A1992-04-14
EP0479182A21992-04-08
US2965339A1960-12-20
US0368251A1887-08-16
US2522901A1950-09-19
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Dispositif de support et de positionnement d'un tableau sur une paroi (1) sensiblement verticale telle qu'un mur, caractérisé en ce qu'il comporte : un élément intermédiaire de fixation (6 ou 7) qui comporte un passage fileté (22, 23), des moyens (12, 13, 16, 17, 19) de fixation à ladite paroi dudit élément intermédiaire de fixation, un élément de positionnement et de support (8 ou 9) dudit tableau, qui comporte : une partie centrale filetée (20, 21, 50) qui est apte à coopérer avec ledit passage fileté, pour être vissée ou dévissée, une extrémité inférieure (49) qui comporte un moyen (48) d'actionnement en rotation de ladite partie centrale filetée, une extrémité supérieure qui porte ou comporte une console (24, 25, 51) sur laquelle peut prendre appui au moins une partie d'une traverse (5) du cadre (4) dudit tableau.
2. Dispositif pour suspendre un tableau muni d'un élément (5) proéminent sur sa face arrière, sur une paroi (1) sensiblement verticale, qui comporte : un corps (6 ou 7) qui comporte un trou taraudé (22, 23), des moyens (12, 13, 16, 17, 19) de fixation dudit corps à ladite paroi, un élément de déplacement et de support (8 ou 9) dudit tableau, qui comporte : une partie centrale filetée (20, 21, 50) qui est apte à être montée rotative dans ledit trou taraudé, pour être vissée ou dévissée, une première partie d'extrémité (49) qui comporte un moyen (48) d'actionnement en rotation de ladite partie centrale filetée, une deuxième partie d'extrémité qui comporte un élément de console (24, 25, 51).
3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2 dans lequel ledit élément formant console comporte des moyens (31 , 47, 62) de friction aptes à coopérer avec une face (45) de pose dudit tableau pour empêcher son glissement par rapport audit élément formant console, lesquels moyens de friction comportent de préférence un(e) ou plusieurs picot(s) ou pointe(s) (31 , 47) aptes à s'enfoncer en partie au moins dans ladite face (45) de pose.
4. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3 dans lequel ledit corps ou élément intermédiaire de fixation comporte au moins un trou (10, 1 1) ou une fente (14, 15) traversant(e), s'étendant entre une face avant (56) et une face arrière (57) dudit corps, apte à recevoir une lame courbe (16, 17) essentiellement constituée par un tronçon de plaque métallique pliée ou roulée, lequel trou traversant ou fente est sensiblement cylindrique d'axe longitudinal (100, 110, 140, 150).
5. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 4 dans lequel ledit corps ou élément intermédiaire de fixation comporte au moins deux trous ou fentes traversantes, aptes à recevoir au moins deux moyens différents de fixation dudit corps à ladite paroi.
6. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5 dans lequel ledit corps ou élément intermédiaire de fixation (6, 7) comporte plusieurs trous ou fentes (10, 1 1, 14, 15) inclinées par rapport à la normale (59) à une face arrière (57) d'appui du corps contre ladite paroi, d'un angle (44) compris entre 5 et 45 degrés, lesquels trous ou fentes sont de préférence parallèles entre eux.
7. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6 qui comporte une face (57, 68) d'appui contre ladite paroi, qui est intégrée audit corps ou élément intermédiaire de fixation ou bien à un socle (66), qui est adhésive.
8. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7 qui comporte un socle ou un adaptateur (66) intercalaire de forme aplatie, qui comporte des moyens intégrés de fixation ou solidarisation mécanique avec ledit corps ou élément intermédiaire de fixation (6, 7), qui comporte une face arrière (68) de contact avec ladite paroi qui est revêtue d'un adhésif, et ladite pièce intercalaire ou adaptateur comporte en outre de préférence au moins un orifice (661) traversant de guidage de moyens accessoires de fixation dudit adaptateur à ladite paroi, lesquels moyens de solidarisation mécanique comportent de préférence au moins un élément de glissière (65) (mâle ou femelle respectivement) apte à coopérer avec un élément de glissière (64) (femelle ou mâle respectivement) dont est muni ledit corps ou élément intermédiaire de fixation, lequel adaptateur comporte en outre au moins une butée (76) inférieure de coulissement (77).
9. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 8 dans lequel : ledit corps ou élément intermédiaire de fixation est en matière plastique, ledit élément de positionnement ou de déplacement et de support est essentiellement constitué par une vis, en matière plastique ou en métal munie d'une pointe effilée, ledit corps comporte au moins deux (par exemple quatre) logements sensiblement cylindriques aptes à recevoir chacun une pointe ou un clou, et comporte en outre au moins deux logements aptes à recevoir chacun une lame de fixation, et comporte au moins un logement apte à recevoir la tête d'une vis de fixation.
10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 9 dans lequel : ledit corps ou élément intermédiaire de fixation est en forme de tronçon cylindrique, de section par exemple rectangulaire arrondie, de préférence oblique c'est à dire dont l'axe du cylindre est incliné par rapport à la base, lequel axe est de préférence parallèle aux axes desdits logements de pointe, de lame et de vis, et le dispositif comporte au moins deux lames de même section (ou profil) et de longueur différente, et/ou comporte au moins deux lames de section de même forme (ou profil) et de largeur différente.
11. Système de fixation qui comporte au moins un dispositif, de préférence deux dispositifs identiques, conforme(s) à l'une quelconque des revendications 1 à 10 et qui comporte en outre un outil de réglage (38).
12. Système de fixation qui comporte au moins un dispositif, de préférence deux dispositifs identiques, conforme(s) à l'une quelconque des revendications 1 à 10 et qui comporte en outre une réglette de positionnement (33) rectiligne, amovible, munie sur une face inférieure d'au moins deux logements (34, 35, 36, 37) d'insertion des extrémités supérieures des tiges filetées (20, 21).
13. Organe de fixation d'un objet à une paroi (1) de faible dureté telle qu'une paroi de plâtre, sensiblement verticale, caractérisé en ce qu'il est essentiellement constitué par une lame (16) métallique de forme allongée et de section transversale courbe.
14. Organe selon la revendication 13 dans lequel ladite lame est obtenue par découpe et déformation (pliage ou roulage de préférence) d'une plaque métallique mince, c'est à dire dont l'épaisseur (162) est comprise entre (10"4) et 7 ( 10 ) mètres, de préférence de 2( 10"4) à 4( 10"4) mètres.
15. Organe selon l'une quelconque des revendications 13 ou 14 dans lequel le rapport du plus petit rayon de courbure (163) à l'épaisseur (162) de la lame est supérieure à 3, et dans lequel le rapport de la plus grande dimension transversale (168, 169) à l'épaisseur (162) est au moins égale à 10 et de préférence inférieure à 150, et dans lequel le rapport de la longueur (161) de ladite lame à sa plus grande dimension transversale (168, 169) est au moins égale à 1,5 de préférence de l'ordre de 2 à 5 environ.
16. Outil de pose et d'aide à la fixation d'un objet plat tel qu'un tableau contre une paroi verticale par des moyens de fixation tels que clous, vis ou lames, caractérisé en ce qu'il comporte un premier barreau (81) allongé selon un axe longitudinal (82), lequel premier barreau comporte : une face arrière (88) sensiblement plane apte à être plaquée contre la face externe (59) de ladite paroi, au moins une deuxième cavité (85) apte à recevoir une partie d'un élément de positionnement et de support (8, 9) du tableau qui est vissé dans un élément (6, 7) intermédiaire de fixation, et s'étend de préférence selon un axe longitudinal (84) perpendiculaire audit axe longitudinal (82) du premier barreau, laquelle deuxième cavité (85) débouche sur une face inférieure (90) ainsi que sur une face supérieure (89) dudit premier barreau.
17. Outil selon la revendication 16 dans lequel : ledit barreau comporte au moins une première cavité (86) apte à recevoir une partie au moins d'un élément intermédiaire de fixation (6, 7) du tableau, et d'une épaisseur ou profondeur (99) telle que ledit corps (6, 7) peut être logé en partie au moins dans ladite première cavité avec sa face arrière sensiblement affleurante à la face arrière (88) du premier barreau, laquelle première cavité (86) débouche sur une face avant (87) du premier barreau par un orifice (98) permettant un libre passage et un coulissement desdits moyens de fixation (12, 13, 16, 17, 19) du corps, et ladite deuxième cavité communique avec ladite première cavité.
Description:
ORGANE DE SUPPORT ET DISPOSITIF DE SUPPORT ET DE POSITIONNEMENT DE TABLEAUX

L'invention concerne un organe de support et un dispositif de support et de positionnement d'un tableau sur un mur. Lorsque l'on désire accrocher un tableau ou un objet plat similaire tel qu'un miroir sur un mur, on doit tout d'abord généralement fixer une corde reliant les deux montants du cadre du tableau, ou bien fixer un ou plusieurs anneaux au dos des tableau. On suspend ensuite le tableau par cette corde ou bien par ce ou ces anneau(x) à un ou plusieurs éléments de supports fixés dans le mur, par exemple des clous, des chevilles ou des crochets tels que celui décrit dans le brevet US2940712. Ce document décrit un crochet muni d'un clou doté d'un corps en forme de "V" qui comporte une fente crantée, ainsi qu'une pointe effilée et une tête ; un deuxième clou fileté (ou vis) d'ancrage s'étend au travers de la fente crantée ; le premier clou est incliné vers le haut d'un angle allant de 35 à 45° par rapport à l'horizontale, tandis que le deuxième clou (d'ancrage) est incliné vers le bas.

Il est difficile de parvenir à positionner le tableau de manière précise. En effet, lorsque l'on utilise plusieurs éléments de support, des variations de l'alignement peu importantes peuvent néanmoins provoquer une position inclinée du tableau préjudiciable à son aspect esthétique et à la présentation générale du mur. Lorsque l'on utilise un élément de support unique, le tableau se trouve alors en équilibre encore plus précaire, et peut pivoter accidentellement par glissement de la corde autour de son point de support unique pour prendre une position fortement inclinée.

Par ailleurs, si l'on souhaite modifier la position du tableau en hauteur, il est nécessaire, soit de fixer un nouvel élément de support dans le mur, soit de modifier la longueur de la corde, ce qui est fastidieux.

On connaît par le brevet US2791388 un dispositif de support et de positionnement d'un tableau qui comporte :

- un support comportant deux oreilles, pour être fixé au mur par des clous, des vis ou un adhésif, et comportant une ouverture filetée ; - un corps comportant également deux oreilles pour être fixé au cadre par des organes de fixation tel que des clous, vis ou adhésif,

- deux tiges filetées fixées au corps et munies d'un écrou,

- une base qui peut coulisser horizontalement par rapport au support pour permettre un déplacement horizontal du cadre.

Un objectif de l'invention est de proposer un système pour accrocher aux murs le tableau par son cadre qui soit amélioré. Un autre objectif de l'invention est de proposer un système de fixation de tableau très simple et très facile à utiliser.

Un but de l'invention est de proposer un organe de support et un dispositif de support et de positionnement d'un tableau sur un mur qui élimine les inconvénients mentionnés ci-dessus et permette une installation facile et rapide sur le mur quelque soit le matériau dont ce mur est constitué, un positionnement aisé et précis du tableau sur le mur, ainsi qu'un maintien efficace de ce tableau sans abîmer le mur.

Un but de l'invention est de proposer un organe de support et un dispositif de support et de positionnement qui permette de modifier la position du tableau aussi bien horizontalement que verticalement, de façon que le tableau s'intègre parfaitement dans son environnement visuel.

Selon un premier aspect l'invention consiste à proposer un support d'accrochage d'un tableau, qui comporte un organe formant support intermédiaire à fixer au mur (par un ou plusieurs moyens tels que clous ou vis), et un élément formant une console réglable en hauteur par rapport audit organe et fixé à celui-ci ; lorsque l'élément formant console est fixé à l'organe support intermédiaire qui est fixé au mur, la console fait saillie sur le mur et supporte l'objet (tel que le cadre du tableau) par une de ses faces ou parties (dite de pose) sensiblement horizontale du tableau, qui est proéminente par rapport à la face arrière du tableau, et qui s'étend dans une zone du tableau située au dessus du centre de gravité du tableau ; le tableau est ainsi pendu par sadite face de pose (faisant par exemple partie d'une traverse supérieure de son cadre) qui s'appuie sur la console ; des moyens anti glissement sont nécessaires généralement pour éviter un mouvement de glissement de la face de pose du cadre sur la face correspondante d'appui de la console.

Un avantage important de l'invention est qu'aucun élément de fixation n'est rajouté au tableau puisqu'on utilise une face de pose intégrée à celui-ci. Selon des modes préférés de réalisation :

- ledit dispositif de support et de positionnement (pour accrocher ou suspendre) un objet plat muni d'un élément proéminent sur sa face arrière, sur une paroi sensiblement verticale, comporte :

- un corps ou élément intermédiaire de fixation, qui comporte un passage fileté (ou trou taraudé),

- des moyens de fixation audit mur (à ladite paroi) dudit corps ou élément intermédiaire de fixation,

- un élément de positionnement (ou réglage) ou déplacement vertical et de support dudit objet ou tableau, qui comporte : - une partie centrale (ou tige) filetée qui est apte à s'étendre au travers dudit (et à coopérer avec ledit) passage fileté, pour être vissée ou dévissée sur une course d'au moins 10 millimètres (par exemple de 20 à 30 mm),

- une première partie d'extrémité (ou extrémité inférieure) qui comporte un moyen d'actionnement en rotation de ladite partie centrale filetée, c'est à dire de vissage ou dévissage dans ledit passage fileté

- une deuxième partie d'extrémité (ou extrémité supérieure) qui comporte un élément de console (sur lequel peut prendre appui une zone ou face plane sensiblement horizontale dudit élément proéminent dudit cadre dudit objet ou tableau, qui est disposée en partie supérieure dudit objet, lesquelles première et deuxième parties d'extrémité sont disposées de part et d'autre de ladite partie centrale) ;

- ledit élément formant console (de ladite deuxième partie d'extrémité) comporte sur une face supérieure horizontale d'appui, sur laquelle ledit cadre peut être posé par sa dite face ou zone plane horizontale, qui comporte des moyens de friction ou frottement ou adhésion aptes à coopérer avec ladite face de pose dudit cadre, lesquels moyens comportent de préférence un(e) ou plusieurs picot(s) ou pointe(s) (de préférence conique ou pyramidal(e) effilé(e)) apte(s) à s'enfoncer en partie au moins (en marquant ou poinçonnant) dans ladite face de pose dudit cadre réalisé dans un matériau de faible dureté tel que du bois ou une matière plastique ;

- ledit corps comporte au moins un (de préférence deux) trou ou une fente traversant(e), s'étendant entre face avant et face arrière du bloc, apte à recevoir une lame métallique courbe formant un desdits moyens de fixation dudit corps à ladite paroi, laquelle lame est de préférence essentiellement constituée par un tronçon de plaque (ou

5 feuille ou profilé mince) métallique pliée ou roulée, lequel trou traversant ou fente est sensiblement cylindrique de section circulaire ou non.

- ledit corps comporte au moins deux (de préférence au moins quatre) trous ou fentes de guidage traversantes, s'étendant entre face avant et face arrière du bloc, apte(s) à recevoir au moins deux moyens différents (par exemple trois moyens o différents) de fixation dudit corps à ladite paroi ;

- ledit corps est muni de deux grandes faces principales parallèles : une face arrière de contact avec la paroi et une face avant par laquelle les moyens de fixation sont introduits dans lesdits trous ou fentes ;

- lesdits trous ou fentes, ainsi que les faces inférieure et supérieure du corps, sont 5 inclinés par rapport à la normale à une face arrière d ' appui du corps contre ladite paroi. d'un angle compris entre 5 et 45 degrés, de préférence allant de 15 à 35 degrés, par exemple voisin de 20 à 30 degrés ;

- ledit dispositif comporte une face d'appui contre ladite paroi par exemple intégrée audit corps ou élément intermédiaire de fixation, qui est adhésive ; 0 - ledit dispositif comporte en outre un socle ou un adaptateur intercalaire de forme aplatie, par exemple en forme générale de sabot, qui comporte des moyens intégrés de fixation ou solidarisation mécanique avec ledit corps ou élément intermédiaire de fixation, qui comporte une face arrière de contact avec ladite paroi (dont la surface est supérieure aux diverses surfaces des faces dudit corps), qui est 5 revêtue d'un adhésif, et ladite pièce intercalaire ou adaptateur comporte en outre de préférence au moins un et de préférence au moins deux orifice(s) traversant de guidage de moyens accessoires (tels que pointes ou clous) de fixation dudit adaptateur à ladite paroi, lesquels moyens de solidarisation mécanique avec ledit corps ou élément intermédiaire de fixation comportent de préférence au moins un élément de glissière 0 (mâle ou femelle respectivement) apte à coopérer avec un élément de glissière (femelle

ou mâle respectivement) dont est muni ledit corps ou élément intermédiaire de fixation, lequel adaptateur comporte en outre au moins une butée ;

- ledit corps ou élément intermédiaire de fixation est en matière plastique ;

- ledit élément de positionnement ou de déplacement et de support est essentiellement constitué par une vis, en matière plastique ou en métal, munie d'une pointe effilée ;

- ledit corps ou élément intermédiaire de fixation est en forme de tronçon cylindrique, de section par exemple rectangulaire arrondie, de préférence oblique c'est à dire dont l'axe du cylindre est incliné par rapport à la base, lequel axe est de préférence parallèle aux axes desdits logements de pointe, de lame et de vis ;

- le dispositif comporte au moins deux lames de même section (ou profil) et de longueur différente, et/ou comporte au moins deux lames de section de même forme (ou profil) et de largeur différente.

L'élément de positionnement et de support est avantageusement constitué par une tige filetée traversant un alésage fileté de l'élément intermédiaire de fixation de part en part, la tige filetée étant de longueur supérieure à la hauteur de l'élément de fixation, et étant munie à son extrémité inférieure d'un moyen d'actionnement ; la tige filetée peut être équipée à son extrémité supérieure d'une pièce de support formant console, qui est alors avantageusement montée libre en rotation sur la tige filetée dans un plan parallèle au mur.

Un avantage de l'invention est de proposer un système de fixation de tableau qui soit adapté aux cadres ou tableaux de petites dimensions, par exemple de longueur de l'ordre de 20 cm ainsi qu'aux cadres, tableaux ou objets de grande dimensions, par exemple de longueur supérieure ou égale à un mètre ; Un avantage de l'invention est de proposer un système pour suspendre au mur des objets tels que des tableaux de masse élevée, notamment de masse supérieure à dix kilos.

Un avantage de l'invention est de proposer un système pour suspendre des tableaux qui soit adapté à des murs ou parois de différente nature (bois, plâtre, brique, pierre, béton notamment) et de différentes épaisseurs.

Un avantage de l'invention est de proposer un système de suspension de tableau qui permette d'incliner (dans une certaine mesure) le tableau par rapport au mur.

L'invention procure également un système composé d'un ou plusieurs dispositifs) selon l'invention au(x)quel(s) peuvent s'ajouter un ou plusieurs des outils ou accessoires de pose suivants :

- un outil de réglage par vissage ou dévissage de la vis portant la console ;

- une réglette de positionnement rectiligne, amovible, munie sur une face inférieure d'au moins deux logements d'insertion des extrémités supérieures des tiges filetées, ces logements étant de même profondeur, en vue du réglage à l'horizontale des extrémités des tiges filetées ; ces logements sont alésés et présentent un filetage correspondant à celui des tiges filetées.

L'outil de réglage formé d'une tige comportant à une de ses extrémités une poignée, et à une deuxième extrémité un moyen d'actionnement complémentaire de celui de l'élément de positionnement et de support. La tige de l'outil de réglage est alors avantageusement en un matériau flexible.

L'extrémité de la tige de l'outil de réglage comportant le moyen d'actionnement comprend de préférence également deux mâchoires élastiques pour maintenir provisoirement les moyens d'actionnement complémentaires de l'outil de réglage et de l'élément de positionnement et de support en prise l'un avec l'autre. L'invention procure également un outil de pose et/ou d'aide à la fixation d'un objet plat tel qu'un tableau contre une paroi verticale telle qu'un mur par des moyens de fixation tels que clous, vis ou lames qui comporte :

- un premier barreau allongé selon un premier axe longitudinal,

- le cas échéant un deuxième barreau allongé selon un deuxième axe longitudinal perpendiculaire audit premier axe, de préférence monté coulissant selon son axe longitudinal par rapport audit premier barreau, et comportant des graduations de mesure de distance, lequel premier barreau comporte :

- une face arrière sensiblement plane apte à être plaquée contre la face externe de ladite paroi,

- au moins une (de préférence plusieurs) première(s) cavité(s) apte(s) à recevoir une partie au moins d'un corps ou élément intermédiaire de fixation (du tableau), et d'une épaisseur ou profondeur telle que ledit corps peut être logé en partie au moins dans ladite première cavité avec sa face arrière sensiblement affleurante à la face arrière du premier barreau, laquelle première cavité débouche sur une face avant du premier barreau par un orifice permettant un libre passage et un coulissement desdits moyens de fixation du corps, pour leur impactage dans ladite paroi,

- au moins une (de préférence plusieurs) deuxième(s) cavité(s) apte(s) à recevoir une partie au moins d'un élément (tel qu'une vis) de positionnement et de support (du tableau) qui est vissé dans ledit élément intermédiaire de fixation, laquelle deuxième cavité communique avec ladite première cavité et s'étend de préférence selon un axe longitudinal perpendiculaire audit axe longitudinal du premier barreau, laquelle deuxième cavité débouche sur une face inférieure ainsi que sur une face supérieure dudit premier barreau. Un autre objectif de l'invention est de proposer un système de fixation d'objets sur des murs en plâtre plus particulièrement, ou en matériaux de faible résistance à la pénétration ; actuellement, il n'existe pas de moyen rapide, n'abîmant pas les murs, pour fixer un objet comme un tableau relativement lourd sur un mur en plâtre dont l'épaisseur serait inférieure à 10 mm. De plus tous les systèmes existants laissent des traces importantes dans le mur ; hors les gens répugnent à abîmer leur murs.

Selon un autre aspect, l'invention procure un organe de fixation d'un objet à une paroi de faible dureté, constitué par une lame métallique incurvée transversalement, de préférence pliée, pour augmenter sa rigidité.

Une ou plusieurs lame(s) métalliques ser(ven)t à fixer sur le mur une ou plusieurs pièce(s) qui ser(ven)t elle(s)-même(s) à supporter un objet. Les pièces fixées sur le mur à l'aide de lame(s) métallique(s) comportent une ou plusieurs fentes. Ces fentes ont la même forme que les lames métalliques. Les lames métalliques formant un genre de clou sans tête, coulissent dans les fentes lorsqu'on les enfonce dans le mur notamment à l'aide d'un marteau. Ces lames permettent d'assurer une résistance importante à l'arrachement tout en évitant d'abîmer les murs dans lesquels elles sont plantées. Pour ce faire, ces lames sont

en acier et d'épaisseur très faible, soit généralement de 0,1 mm à 0,7 mm, de préférence de 0.2 à 0.4 mm.

Ainsi dans ces épaisseurs, ces lames lorsqu'elles sont retirées d'un mur ne laissent pas de trace visibles. Toutefois, pour qu'une lame d'une telle finesse puisse présenter une résistance en cisaillement et/ou en flexion importante, il est indispensable qu'elle ait une forme qui lui confère cette aptitude.

D'autre part, il faut aussi que cette lame ait des caractéristiques mécaniques et notamment de rigidité qui permettent de l'enfoncer à l'aide d'un marteau dans le mur où on veut la fixer. Afin d'augmenter considérablement sa rigidité, la forme incurvée pourra être obtenue par le pliage de la lame avec un angle de préférence voisin de 90° selon une ligne parallèle à son axe longitudinal. Le sommet de l'angle de pliage aura un rayon de courbure suffisant pour éviter de casser la lame lors du pliage ; en effet, dans le cas préféré où le métal employé est de la tôle d'acier bleuie, celle-ci casserait au pliage si l'angle au sommet était trop vif. Cette technique est employée pour diminuer les coûts de fabrication, qui seraient engendrés par l'utilisation d'un métal qu'il faudrait tremper après pliage pour augmenter la dureté.

La lame pourra adopter toutes sortes de formes propres à augmenter sa rigidité.

Cette forme pourra être circulaire en partie ou en totalité, ou éventuellement ondulée. Pour que cette lame, malgré son pliage décrit ci-dessus, résiste aux efforts résultant des impacts du marteau utilisé pour l'enfoncer dans le mur, elle sera de préférence guidée, par la pièce qu'elle sert à fixer sur le mur ou par un outil de guidage. En effet, la pièce que la lame sert à fixer contre le mur pourra servir en quelque sorte de canon de perçage ou de guidage ; la lame glissera à l'intérieur de cette pièce qui aura des logements de même forme que la lame, en section transversale, et lui permettra de glisser à l'intérieur tout en étant parfaitement guidée. Lorsque la lame pénétrera dans le mur. en s'enfonçant, elle réalisera elle même son logement, qui ne sera que le prolongement du logement de guidage, dans lequel elle coulisse, qui est prévu dans la pièce qu'elle fixe au mur. Du fait que le rayon et l'angle de courbure de la section transversale du logement seront respectivement identiques au rayon et à l'angle de courbure de la section

transversale de la lame, il sera possible de glisser dans le logement une lame dont la largeur est inférieure à la largeur du logement (fente), la lame étant guidée par son sommet (ou partie courbe) coopérant avec la partie courbe correspondante du logement (ou fente). Ainsi la résistance mécanique maximale au cisaillement pourra être obtenue à la fois par la forme de la lame et par le fait que cette forme sera répercutée à la fois dans la pièce de fixation et dans le mur ; la rigidité obtenue de par la forme de la lame, et de par le guidage de la lame à l'intérieur de la pièce de fixation sur le mur, facilitera la pénétration de ladite lame dans le mur lorsqu'on l'enfoncera à coups de marteaux. Le pliage de la lame en angle permettra à celle-ci d'être guidée par son sommet ; de même, si la lame a une forme ondulée, elle sera aussi guidée et rigidifiée. Ceci permettra de proposer des lames de différentes dimensions en fonction du poids à supporter.

La lame n'aura pas à pénétrer de beaucoup dans le mur pour assurer une grande résistance en cisaillement. Cette résistance sera assurée par la surface d'ancrage dans le mur, engendrée par la forme de la lame.

En effet, une lame présentant une largeur d'environ 10 mm (déployée) et pénétrant dans le mur de 4 mm de profondeur, permet d'obtenir une surface d'ancrage de 40 mm 2 , ce qui est important et permet de supporter un poids conséquent. Evidemment, si la lame est plus large et pénètre encore plus profondément dans le mur, elle permettra de supporter des charges encore beaucoup plus importantes.

Ladite lame est obtenue par découpe et déformation (pliage ou roulage de préférence) d'une plaque métallique mince, c'est à dire dont l'épaisseur est comprise entre (10 4 ) et 7 (IO *4 ) mètres, de préférence de 2(10 "4 ) à 4(10 "4 ) mètres. De préférence le rapport du plus petit rayon de courbure à l'épaisseur de la lame est supérieure à 3, de préférence allant de 5 à 50 ; le rapport de la plus grande dimension transversale (ou largeur) à l'épaisseur est au moins égale à 10 et de préférence inférieur à 150, par exemple voisin de 50 ; le rapport de la longueur de ladite lame à sa plus grande dimension transversale (ou largeur) est au moins égale à 1,5, de préférence de l'ordre de 2 à 5 environ.

On comprendra mieux l'invention à la lecture de la description d'un exemple de réalisation d'un dispositif de support et de positionnement de tableau selon l'invention, effectuée en référence aux dessins accompagnants parmi lesquels :

- la figure 1 est une vue frontale du dispositif selon l'invention supportant un cadre de tableau ;

- la figure 2 est une vue frontale d'un organe de support du dispositif de la figure

1 ;

- la figure 3 est une vue latérale en coupe d'un élément de fixation de l'organe de support selon la ligne III-III de la figure 2, montrant un premier mode de fixation ; - la figure 4 est une vue latérale en coupe de l'élément de fixation selon la ligne

IV-IV de la figure 2, montrant un second mode de fixation ;

- la figure 5 est une vue latérale en coupe de l'élément de fixation selon la ligne V-V de la figure 2. montrant un troisième mode de fixation ;

- la figure 6 est une vue frontale du dispositif selon l'invention supportant une branche d'un cadre de tableau, dans une première variante de réalisation ;

- la figure 7 est une vue frontale en coupe d'une pièce de support du dispositif de la figure 6, selon la ligne VII-VII de la figure 8 ;

- la figure 8 est une vue latérale en coupe de la pièce de support selon la ligne VIII-VIII de la figure 7 ; - la figure 9 est une vue frontale du dispositif selon l'invention dans une seconde variante de réalisation ;

- la figure 10 est une vue frontale en coupe partielle d'une réglette utilisée pour la pose d'un dispositif selon une variante de réalisation de l'invention ;

- la figure 11 est une vue frontale d'un outil de réglage adapté au positionnement et au réglage du dispositif des figures 1 à 9 notamment ;

- les figures 12 à 15A illustrent quatre modes de réalisation de lames conformes à l'un des aspects de l'invention et servant d'organe de fixation d'objet à un mur, lesquelles lames peuvent rentrer dans la constitution des dispositifs pour suspendre un tableau tels que décrit aux figures 1 à 10 et 16 à 20 ;

- les figures 12, 13, 14, 15 sont des vues en coupe transversale respectives des figures 12A, 13 A, 14A, 15A qui illustrent en vue en perspective schématique des modes préférés de réalisation de lames conformes à l'invention ;

- la figure 16 illustre en vue en coupe par un plan vertical un mode d'utilisation d'une lame conforme à l'une des figures 12 à 15 A pour fixer un module ou pièce 6, 7,

33 apte à supporter un objet tel qu'un cadre;

- la figure 17 illustre en vue de face un mode préféré de réalisation d'un bloc servant de support intermédiaire et d'une vis de déplacement et formant console pour la suspension d'un cadre d'un tableau ; - la figure 19 est une vue latérale selon XIX de la figure 17 ;

- les figures 18 et 20 illustrent respectivement en vue de dessus et en vue en perspective un autre mode de réalisation d'un dispositif support de tableau qui intègre un adaptateur en forme de sabot ;

- les figures 21 et 22 illustrent en vue en perspective schématique, deux variantes de réalisation d'une règle servant d'outil de pose d'un dispositif support de tableau conforme à l'un des figures 2 à 5, ou 17 ou 20.

Sauf indication contraire, des éléments structurellement ou fonctionnellement identiques ou similaires sons désignés dans les figures par des repères identiques.

Sauf indication contraire, les termes "avant", "arrière", "supérieur(e)", "inférieur(e)" sont utilisés par référence à un utilisateur observant les dispositifs de l'invention dans leur situation d'utilisation;

Le système de support de tableau sur un mur 1 représenté sur les figures 1 à 5 comprend deux dispositifs de support gauche 2 et droit 3 supportant un cadre 4 de tableau, lequel cadre est essentiellement constituée par une branche horizontale supérieure 5 (par exemple constituée par un tasseau de bois de section rectangulaire comme illustré figure 19), une branche horizontale inférieure 401 et deux branches verticales 400 et 402 reliant les branches 5 et 401.

On précise que le cadre du tableau est représenté dépourvu de toile aux figures 1 , 6 et 17, afin de montrer les dispositifs de support et de positionnement.

Chaque dispositif de support 2 ou 3 est composé d'un élément intermédiaire de fixation 6, 7 sur le mur, et d'un élément de positionnement et de support 8, 9 qui est monté mobile sur l'élément de fixation 6, 7 et qui est réglable en hauteur.

Dans la réalisation illustrée figures 1 à 5, l'élément 8, 9 est constitué par une vis sans tête à filet cylindrique dans sa partie centrale 50, c'est à dire une tige filetée 20, 21 dont l'extrémité inférieure 49. comporte une empreinte en creux 48 pour l'entraînement en rotation de la vis selon son axe longitudinal 52 qui, en position d'utilisation, est sensiblement vertical, laquelle vis comporte à son extrémité supérieure 51 une partie conique d'axe 52 se terminant par une pointe 47 formant une console d'appui de la face inférieure 45 (dite face de pose) de la traverse 5 du cadre 4.

L'élément de fixation 6, 7 est constitué par un bloc de forme générale parallèlépipédique, et est muni de moyens de fixation pour pouvoir le fixer sur le mur 1 , qui sont ici constitués à la fois par des perçage 10, 1 1 pour le passage de clous 12, 13 ou de vis, par des fentes 14, 15 pour le passage de lames 16, 17, ainsi que par un trou (ou cavité) 18 pour le passage d'une vis 19, qui est destiné à être vissée dans une cheville 46 insérée préalablement dans le mur 1 au travers de l'élément 6.

Le corps (ou élément intermédiaire) 6, 7 et muni de deux faces principales parallèles entre elles : une face arrière 57 qui est plaquée contre la face externe 59 du mur. et une face avant 56 par laquelle des moyens de fixation (vis. lame, clou) sont introduits dans leur logement respectif (10, 11, 14. 15. 18).

Le trou 18 présente un diamètre plus faible à son extrémité débouchant sur la face arrière 57, adjacente au mur, qu'à son extrémité débouchant sur la face avant 56 opposée au mur ; cette partie rétrécie du trou 18 sert de butée ou épaulement à la tête de la vis 19. On remarquera sur la figure 3 que les perçages 10, 11 (d'axe longitudinal respectif 100, 110) pour les clous 12, 13 ou les vis ne sont pas parallèles, ce qui permet d'empêcher l'arrachage de l'élément de fixation 6, 7 une fois qu'il a été mis en place.

Cependant, de préférence, les fentes 14, 15 (d'axe longitudinal respectif 140 et 150) pour les lames 16, 17 sont inclinées vers le bas dans le sens d'enfoncement des lames 16, 17 d'un angle 44 par rapport à l'horizontale, c'est à dire par rapport à la normale 60 à la face 59 externe du mur 1 (figure 4). qui est de préférence commun (et

identique) aux fentes et aux perçages 10, 11 (qui sont donc parallèles) et par exemple voisin de 15 degrés. Ainsi, les lames et les clous assurent une prise et une résistance à l'arrachement très satisfaisante.

Par référence aux figures 2 et 5 particulièrement, le bloc ou corps formant support intermédiaire 6 est en outre percé d'un trou taraudé 22 d'axe 53 (vertical lorsque le bloc 6 est en position d'utilisation), qui est traversant et débouche à la fois sur la face supérieure 72 du bloc 6 et sur sa face inférieure 71 ; du fait que le trou taraudé 22 traverse le trou (ou cavité) 18 servant au passage de la vis 19, celle-ci doit être insérée dans le trou 18 avant la mise en place de la vis de positionnement et de support 8, 9 dans l'élément de fixation intermédiaire 6, 7 ; lorsque l'on fixe ledit élément 6, 7 par ladite vis 19 qui occupe une partie sensiblement centrale du bloc 6 comme représenté figure 2 notamment, il est souhaitable de prévoir sur la face arrière 57 du bloc destinée à être plaqué contre la face 59 du mur, un adhésif ou un autre moyen anti glissement tel qu'une partie rugueuse par exemple constituée par une portion d'un papier revêtu d'abrasif, pour empêcher la rotation selon l'axe de la vis 19 du bloc 6 par rapport au mur, lors du serrage de ladite vis 19.

Chaque élément de positionnement et de support 8, 9 est donc constitué par une tige filetée 20. 21, qui est insérée dans un alésage fileté 22, 23 percé dans la face supérieure de l'élément de fixation 6, 7, et qui est munie d'un moyen d'actionnement en rotation qui peut être par exemple une molette, en vue d'un actionnement manuel, ou bien une fente diamétrale, ou encore un plot, en vue d'un actionnement par un outil de réglage comme un tournevis, une clé ; l'alésage fileté 22, 23 et la tige filetée 20, 21 traversent l'élément de fixation 6, 7 de part en part.

L'extrémité supérieure conique (pointue) de chaque tige filetée 20, 21 constitue un point de support du cadre 4 du tableau.

Lorsque l'on désire accrocher un tableau sur le mur, on fixe d'abord les deux éléments de fixation 6, 7 sur le mur 1, à l'aide d'un ou plusieurs des moyens de fixation comme les clous 12, 13, les lames 16, 17, la vis 19. Un positionnement précis des éléments de fixation 6, 7 sur le mur n'est pas essentiel. Leur écartement horizontal (96 figure 1 ) doit toutefois être inférieur à la largeur (97 figure 1) du tableau, et la différence de leurs positions en hauteur (repère 58 figure 6) ne doit pas être supérieure à l'étendue

du réglage en hauteur des vis de positionnement et de support 8, 9, pour permettre ensuite un réglage à une cote identique des points ou faces (47 et 28 figures 7 et 8) formant console de support ; ceci est rendu possible dans le cas où la vis 20, 21 de réglage vertical traverse le corps 6, 7 intermédiaire de fixation (comme dans le cas des figures 1 à 5 et 17 particulièrement), en prévoyant que la longueur 54 de la partie centrale filetée 50 de la vis 20, 21 est nettement supérieure à (par exemple voisine du double au moins de) la hauteur 55 du bloc 6, 7 mesurée entre ses faces inférieure et supérieure 71 et 72 respectivement, de manière à ce que la différence entre ces cotes définisse une course en translation verticale selon l'axe 52 de la vis 20, 21 par rapport au bloc, suffisante pour permettre ce réglage.

Cette caractéristique permet de fixer très rapidement les éléments de fixation 6, 7, sans devoir auparavant vérifier l'horizontalité par des mesures fastidieuses et longues. Elle permet également de s'accommoder de murs inégaux ou hétérogènes.

On pose ensuite le cadre 4 du tableau par la face inférieure 45 de sa branche horizontale supérieure 5 sur les extrémités pointues 47 des tiges filetées 20, 21. Si le tableau n'est pas horizontal, c'est à dire si les extrémités supérieures des tiges filetées 20, 21 ne se trouvent pas sur une ligne horizontale on peut alors faire tourner l'une ou l'autre tige filetée 20, 21 jusqu'à obtenir l'horizontalité désirée. On utilise pour cela, le cas échéant, un outil à tige allongée permettant d'atteindre le moyen d'actionnement à l'extrémité inférieure des tiges filetées à partir du bas du tableau (en passant derrière celui-ci comme illustré figure 19), par exemple un tournevis à lame allongée.

Le dispositif selon l ' invention, peut être utilisé pour le support et le positionnement de tableaux de forme rectangulaire ou non, par exemple en losange, circulaires, etc. Les figures 6 à 8 représentent le dispositif de support selon l'invention dans une variante de réalisation, dans laquelle les éléments de positionnement et de support 8, 9 comprennent une pièce supplémentaire de support 24, 25 en console du cadre de tableau, qui est montée sur l'extrémité supérieure de la tige filetée 20, 21 ; cette pièce 24 ou 25 présente une face inférieure 26 munie d'un orifice de réception 27 de l'extrémité supérieure de la tige filetée 20 ou 21, et une face supérieure 28 faisant fonction de console support pour la branche horizontale supérieure 5 du cadre 4 du tableau.

La pièce de support 24 ou 25 présente un rebord 29, 30 en saillie du coté opposé au mur. Ainsi, on peut, en déposant la branche supérieure 5 du cadre 4 sur les rebords 29. 30, écarter quelque peu le haut du tableau du mur, de façon à lui donner une inclinaison ( repère 70 figure 19) par rapport à la face verticale 59 du mur. L'orifice de réception 27 pour la tige filetée 20 ou 21 présente une forme évasée vers le bas, au moins dans la direction parallèle au mur. comme représenté sur la figure 7, afin que les pièces de support 24, 25 soient inclinables dans un plan parallèle au mur. Ainsi, les faces supérieures 28 des deux pièces de support 24, 25 peuvent rester alignées au cours du réglage et du positionnement ; ladite face supérieure 28 est munie de picots 31 et/ou d'une bande adhésive 62 facilitant le support et le maintien du cadre 4 de tableau. Ces picots sont destinés à s'enfoncer dans la branche supérieure du cadre du tableau, qui est généralement en bois en provoquant une petite déformation (repère 73 figure 19) de la face de pose 45 de la traverse 5 ; ces moyens 31, 62 anti glissement permettent un meilleur maintien du tableau. La figure 9 représente le dispositif de support et de positionnement selon l'invention dans une autre variante de réalisation, dans laquelle les éléments de fixation 6, 7 sont réunis en un élément de fixation unique 32 de forme allongée ; les deux éléments de positionnement et de support 8. 9 sont monté mobiles sur un barreau 320 de cet élément de fixation 32, et sont réglables en hauteur par rapport à cet élément de fixation 32.

La figure 10 représente le dispositif de support et de positionnement dans une variante de réalisation, dans laquelle il comporte un élément amovible de réglage qui est une réglette de positionnement 33 rectiligne, de section rectangulaire, munie sur une face inférieure de logements 34, 35, 36, 37 de même profondeur, pour l'insertion des extrémités supérieures des tiges filetées 20, 21, de façon à pouvoir adapter l'écartement des éléments de fixation 6, 7 à différentes dimensions de tableaux, ces logements étant régulièrement espacés.

La présence des logements 34, 35, 36, 37 permet de s'adapter à différents écartements des éléments de fixation 6, 7. La longueur de la réglette rectiligne 33 permet de visualiser l'horizontalité facilement. On enlève alors la réglette 33, et on dépose le cadre 4 du tableau sur les éléments de positionnement de support 8, 9.

De préférence, les logement 34, 35, 36, 37 sont alésés, de façon que les tiges filetées 20, 21 puisse y être vissées. Il suffit alors, lorsque l'on fixe les éléments de fixation 6, 7 sur le mur 1, de tenir la réglette 33 pour maintenir en place les organes de support 2, 3. Après avoir fixé les éléments de fixation 6, 7, on dévisse les tiges filetées 20, 21 pour pouvoir retirer la réglette de positionnement 33 ; un léger défaut d'horizontalité sera compensé en vissant ou dévissant les tiges 20, 21.

La réglette 33 pourrait en variante être équipée en outre d'un niveau 93 à bulle 94 (comme illustré figure 21), destiné à visualiser encore plus facilement l'horizontalité de la réglette 33. La mise en place et le réglage du dispositif de support et de positiormement de tableau sont facilités par l'utilisation d'un outil de réglage 38 décrit en référence aux figures 1 1 et 19. qui comprend une tige allongée 39, qui est avantageusement en matériau flexible, munie à une de ses extrémités, d'une poignée 40, et à une autre extrémité, d'un moyen d'actionnement 41 (par exemple une lame de tournevis) complémentaire du moyen d'actionnement (empreinte) des éléments de positionnement et de support 8, 9.

L'outil 38 comprend également des mâchoires élastiques 42, 43 destinées à maintenir provisoirement la lame 41 de l'outil de réglage 38 et l'empreinte de la tête 49 de la vis 20, 21 en prise l'un avec l'autre. L'outil de réglage 38 à tige 39 allongée permet déplacer verticalement par vissage et dévissage l'élément de support formant console alors que' le cadre du tableau est déjà en place. En effet, du fait de la longueur de la tige 39. la poignée 40 dépasse au dessous du tableau (figure 19), et peut être actionnée en rotation( (380 figure 19) et en translation (381 figure 19). Ainsi, on peut tout d'abord, par rotation de la poignée 40, positionner en hauteur chaque élément de positionnement et de support 8, 9. L'utilisateur à en outre la possibilité d'évaluer la position du tableau en reculant de quelques pas, puis d'ajuster encore si nécessaire le réglage du dispositif.

Il est ensuite aisé de retirer l'outil de réglage 38, par simple traction, de manière à ouvrir les mâchoires élastiques 42, 43 et désolidariser la lame 41 de la tête 49 de vis 20, 21.

Par référence aux figures 12A à 15 A, une lame métallique 16 conforme à l'invention s'étend selon un axe longitudinal 160 et est dotée d'une longueur 161 par exemple de l'ordre de 20 à 30 mm ; la lame illustrée aux figure 12 et 12A est obtenue par découpe d'une feuille métallique d'épaisseur 162 par exemple voisine de 3 dixième de millimètre, qui est pliée selon une ligne parallèle à l'axe longitudinal 160, selon un rayon de courbure 163, par exemple de l'ordre de 2 à 3 mm, de manière à définir deux nervures 170 et 171 de largeur (168 respectivement 169) par exemple de l'ordre de 3 à 5 mm ; l'angle 172 de pliage peut être notamment voisin de 90° ; les lames illustrées aux figures 13 à 15A peuvent être obtenues par pliage ou cintrage ou roulage de portions (de forme rectangulaire par exemple) de tôle d'acier trempé, pour former comme illustré figures 13 et 13A une lame de forme ondulée régulièrement dans sa section transversale, ou bien comme illustré figure 14, une lame en forme de portion de cylindre d'axe 160 et de rayon égal au rayon de courbure 163 de la lame ; dans la cas de la lame illustrée aux figures 15 et 15A on est en présence d'une lame de forme tubulaire d'axe 160, de rayon interne égal au rayon de courbure 163 et d'épaisseur 162 égal à l'épaisseur de la lame.

Par référence à la figure 16 illustrant l'utilisation d'une des lames telles que notamment représentées aux figures 12 à 15 A, on voit que l'enfoncement de la lame 16 selon son axe longitudinal 160 dans une paroi 1 dont la face 59 est sensiblement verticale, s'effectue de préférence à l'aide d'un corps 6, 7, 33 faisant partie soit d'un outil de pose de la lame, soit d'un objet à fixer à l'aide de ladite lame 16 ; la lame peut coulisser dans une fente 14 cylindrique prévue dans le corps 6, 7, 33 dont la section transversale épouse la section transversale de la lame, et à l'intérieur de laquelle celle-ci peut coulisser lors de son enfoncement par impactage (à l'aide d'un marteau) appliqué sur un bord avant 165 d'une de ses extrémités longitudinales ; le bord arrière 164 de sa deuxième extrémité longitudinale s'enfonçant dans la paroi 1 en la perforant sous l'effet des chocs appliqués, et grâce à la faible épaisseur de ladite lame qui notamment ne nécessite pas de biseautage de celle-ci ; comme illustré figure 16, les angles de coupe 173, 174 des bords d'extrémité arrière 164 et avant 165 de la lame sont de préférence supplémentaires, et respectivement par exemple voisins de 110° et 70° environ, de sorte que l'axe longitudinal 160 de la lame 16 ainsi que la fente 14 prévue dans le bloc 6 sont

inclinés par rapport à la normale à la paroi d'un angle (repère 44 figures 4 et 19) voisin de 20°.

A titre d'exemple, un bloc fixé par quatre clous et deux lames en V telles que représentées figures 12 et 12a. lesquelles lames ont une largeur à plat (correspondant à la somme des largeurs 168 et 169 des deux nervures) de l'ordre de 13 mm, une épaisseur de 0,3 mm, qui sont enfoncées de 8 mm dans une paroi de plâtre, permet de supporter une charge de 15 kg environ.

Dans un mode de réalisation illustré figure 12a, la nervure 171 est prolongée par un pli 175 à 90° ; le pli 175 est effectué selon un bord avant 165 de la lame et de la nervure 171, et s'étend dans un plan perpendiculaire à l'axe 160 : ce pli 175 permet, lorsque la lame est enfoncée dans une paroi, de retenir le corps (repères 6, 7, 33 figure 16 notamment) qu'elle fixe à la paroi, en servant de butée.

Enfin, dans certains cas, la lame pourra être utilisée seule et remplacer avantageusement, un clou, une vis, un piton, ou un crochet. Dans ce cas, la pièce qui aura servi au guidage de la lame pendant la phase de pénétration dans le mur sera retirée. La partie sortante de la lame sera utilisée pour la fixation d'objets comme par exemple la ficelle qui sert à suspendre un tableau. Dans ce cas, la position inclinée de la lame vers le haut, soit un angle positif, augmentera la stabilité d'accrochage de la ficelle reposant sur la zone de pli longitudinal (176 figure 12 A) de la lame faisant saillie sur le mur.

Les figures 17 à 20 illustrent un mode préférentiel de réalisation d'un dispositif support d'objet tel qu'un tableau et sa mise en oeuvre pour la fixation de l'objet à la paroi 1 verticale ; par référence à ces figures particulièrement, la vis 20, 21 est munie à son extrémité inférieure d'une tête 49 comportant une empreinte 48 par exemple à 6 pans creux, pour son entraînement par un tournevis 38 muni d 'une tige 39 souple et longue terminée à une extrémité par le manche 40, et terminée à sa deuxième extrémité par une tête 390 munie, d'une part d'une lame 41 de forme complémentaire à l'empreinte 48 prévue dans la tête 49 de la vis, et munie par ailleurs de mâchoires 42, 43 ou doigts flexibles et/ou élastiques (par exemple réalisés en matière plastique), qui s'étendent à partir de ladite tête 390 et qui sont munis au voisinage de leur extrémité libre et sur une partie interne de celle-ci de rampes inclinées 74 et 75 ; la rampe 74 facilite (lors d'un

mouvement de rapprochement de la tête 390 de l'outil par rapport à la tête 49 de la vis) l'écartement des branches 42, 43, de sorte que celles-ci peuvent coulisser autour de la tête 49 jusqu'à ce qu'elles se resserrent au-dessus de la tête 49 dont le diamètre est supérieur au diamètre de la partie centrale 50, pour enserrer la tête de la vis et permettre de maintenir l'outil en position suspendue à la tête par ses dits doigts ou mâchoires ; les rampes 75 facilitent l'écartement des mâchoires et la dessolidarisation de l'outil par rapport à la vis 20, 21 lors d'une traction selon la flèche 381 sur le manche 40 du tournevis 38.

Le bloc 6, 7 ou corps formant un support intermédiaire du tableau a une forme préférée de cylindre de section rectangulaire d'axe 600 incliné par rapport aux bases constituant les faces arrière 57 et avant 56 parallèles entre elles du bloc ; le bloc comporte quatre trous traversants 10 dont les axes sont parallèles à l'axe 600 du bloc et comporte deux fentes 14 et 15 permettant le coulissement de deux lames telles que celles illustrées figures 12A et 12B, pour la fixation du bloc à la paroi 1. Ledit bloc 6, 7 est ainsi limité par une paroi supérieure 72 et une paroi inférieure

71 parallèles à l'angle 600 et inclinées selon l'angle 44, et est limité par ailleurs par des faces latérales 603 et 604 ; au voisinage de la face arrière 57, les parois latérales 603 et 604 sont évasées et délimitent deux parties proéminentes 64 en forme d'oreille s'étendant selon un axe parallèle à l'axe 52 de la vis 20, 21 ; comme illustré figures 18 et 20. ces oreilles permettent le coulissement du bloc 6, 7 dans des glissières 65 prévues dans un adaptateur ou support intermédiaire 66 en forme de sabot apte à servir de réceptacle pour le bloc 6, 7 ; à cet effet, les oreilles ou lèvres 64 coopérant avec les glissières femelles 65 (en forme de queue d'aronde) s'étendant selon un axe 660 de l'adaptateur 66, permettent le coulissement (selon la flèche 77) relatif des deux pièces jusqu'à une butée 76 servant d'arrêt à la pièce 6 ; ainsi, le bloc adaptateur 66 dont la surface de la face arrière 68 est notablement plus importante que la surface des faces avant et arrière (57 et 56) du bloc 6, peut être fixé à la paroi par ladite face arrière 68 munie d'un adhésif, ainsi que par des accessoires de fixation tels que des clous s'étendant au travers d'orifices 661 prévus dans l'adaptateur 66 ; ledit adaptateur est de forme aplati et comporte une face avant 67 parallèle à la face arrière 68 de fixation de l'adaptateur au mur ; l'adaptateur peut ainsi soutenir le bloc 6.

Par référence à la figure 17, l'extrémité supérieure 51 de la vis 20. 21 comporte un téton ou élément allongé 510 selon l'axe 52 de la vis. terminé par une pointe 47 sur laquelle repose la face 45 de la traverse 5 du tableau.

Par référence à la figure 19, le dispositif selon l'invention est utilisé pour suspendre un objet qui comporte sur sa face arrière 690 un renfoncement ou cavité 692 à l'intérieur de laquelle peut s'étendre le bloc 6, 7 et la vis 20, 21 de support et de réglage ; dans le cas d'un tableau 69, ce renfoncement 692 résulte de la présence des traverses 5, 401 du cadre, qui sont proéminentes par rapport à ladite face arrière 690, d'une valeur qui doit être au moins légèrement supérieure à la distance entre l'axe 52 des vis 20 et 21 et le prolongement de la face avant 56 des pièces 6 et 7, par exemple au moins égale à l'épaisseur (repère 79 figure 20) du bloc, qui est de préférence de l'ordre de 10 à 20 mm.

Par référence à la figure 21, l'outil de pose et d'aide à la fixation d'un objet plat tel qu'un tableau contre une paroi par des moyens de fixation tels que clous vis ou lames, comporte un premier barreau 81 allongé selon un axe longitudinal 82, et un deuxième barreau 91 allongé selon un axe longitudinal 83 perpendiculaire audit axe 82, et monté coulissant selon son axe longitudinal 83 par rapport audit premier barreau, et comportant des graduations 92 de mesure de distance ; le premier barreau comporte :

- une face arrière 88 sensiblement plane apte à être plaquée contre la face externe (repéré 59 figure 19) de ladite paroi, - plusieurs premières cavités 86, par exemple régulièrement espacées le long du barreau, aptes à recevoir une partie au moins d'un élément intermédiaire de fixation 6, 7 du tableau, et d'une épaisseur ou profondeur 99 telle que ledit corps 6, 7 peut être logé en partie au moins dans ladite première cavité avec sa face arrière sensiblement affleurante à la face arrière 88 du premier barreau ; la première cavité 86 débouche sur une face avant 87 du premier barreau par un orifice 98 permettant un libre passage et un coulissement desdits moyens de fixation 12, 13, 16, 17, 19 du corps, pour leur impactage dans ladite paroi.

Le barreau 81 comporte plusieurs deuxièmes cavités 85 aptes à recevoir un élément de positionnement et de support 8. 9 du tableau qui est vissé dans ledit élément 6, 7 intermédiaire de fixation ; la deuxième cavité communique avec ladite première cavité et s'étend de préférence selon un axe longitudinal 84 perpendiculaire audit axe

longitudinal 82 du premier barreau, laquelle deuxième cavité 85 débouche sur une face inférieure 90 ainsi que sur une face supérieure 89 dudit premier barreau.

Dans un mode simplifié de réalisation illustré figure 22, le barreau 81 allongé selon son axe 82 (qui est horizontal en position d'utilisation) comporte seulement des cavités cylindriques traversantes 85, d'axe vertical et de section épousant la section d'une tête 49 d'une vis de réglage ; la face supérieure 89 du barreau est inclinée de manière à ce que le corps 6, 7 reposant par sa face inférieure 71 sur la face 89, a sa face arrière 57 plaquée contre la paroi lorsque la face arrière 88 du barreau est également plaquée contre cette paroi. Les outils illustrés figure 10, 21 et 22 facilitent le maintien des dispositifs par l'utilisateur pendant l'enfoncement des clous ou lames, et facilitent également le positionnement des supports aux emplacements souhaités de fixation à la paroi.