Login| Sign Up| Help| Contact|

Patent Searching and Data


Title:
TIMEPIECE COMPRISING A DIAL ATTACHMENT DEVICE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2019/121116
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a timepiece comprising a drive module (10), a dial (12) comprising a central opening (13), an hours wheel (14) passing through the central opening (13) of the dial (12) and rotationally driven by the drive module (10), and a dial attachment device. The attachment device comprises a retaining tube (15) arranged around the hours wheel (14) and mechanically connected to the drive module (10). The retaining tube (15) is configured to come to bear against the dial (12) or against a dial support (17) to which the dial is fixed.

Inventors:
BALMER RAPHAËL (CH)
Application Number:
PCT/EP2018/084210
Publication Date:
June 27, 2019
Filing Date:
December 10, 2018
Export Citation:
Click for automatic bibliography generation   Help
Assignee:
ETA SA MFT HORLOGERE SUISSE (CH)
International Classes:
G04B19/14
Foreign References:
CH315646A1956-08-31
JP2013096818A2013-05-20
FR1491555A1967-08-11
Other References:
None
Attorney, Agent or Firm:
ICB SA (CH)
Download PDF:
Claims:
REVENDICATIONS

1. Pièce d’horlogerie comportant un module moteur (10), un cadran (12) comportant une ouverture centrale (13), un canon des heures (14) traversant l’ouverture centrale (13) du cadran (12) et entraîné en rotation par le module moteur (10), et un dispositif de fixation du cadran, caractérisée en ce que ledit dispositif de fixation comporte : un tube de maintien (15) agencé autour du canon des heures (14) et relié mécaniquement au module moteur (10), et

un organe de retenue (20a, 20b, 20c) agencé entre le tube de maintien (15) et le cadran (12) et/ou un support de cadran (17) sur lequel est fixé le cadran. 2. Pièce d’horlogerie selon la revendication 1 , caractérisée en ce que l’organe de retenue (20a, 20b, 20c) est agencé entre le tube de maintien (15) et le cadran (12) et/ou un support de cadran (17) en étant en appui contre une partie du cadran adjacente à l’ouverture centrale (13) du cadran (12) et/ou contre le support de cadran (17).

3. Pièce d’horlogerie selon la revendication 2, caractérisée en ce que la partie du cadran adjacente à l’ouverture centrale (13) du cadran (12) définit une zone annulaire d’appui en retrait par rapport à la surface du cadran (12) de sorte à ce qu’une surface de la partie supérieure du tube de maintien (15) soit au même niveau que la surface du cadran (12).

4. Pièce d’horlogerie selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que le tube de maintien (15) comporte une première partie cylindrique (15a) possédant un premier diamètre (D1 ) et une seconde partie cylindrique (15b) possédant un second diamètre (D2) inférieur au premier diamètre (D1 ), et en ce que l’organe de retenue est une rondelle (20a) agencée sur la circonférence de la seconde partie cylindrique (15b) et en appui contre la zone annulaire du cadran (12) ou contre le support de cadran (16) de sorte à exercer une force axiale sur le cadran (12) ou le support de cadran (17).

5. Pièce d’horlogerie selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que l’organe de retenue est un anneau élastique (20b), de préférence de type circlip, agencé à l’intérieur d’une gorge (22) réalisée sur au moins une partie de la circonférence externe du tube de maintien (15) de sorte à ce que l’anneau élastique (20b) soit en appui contre la zone annulaire du cadran (12) ou contre le support de cadran (17)

6. Pièce d’horlogerie selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que le tube de maintien (15) comprend, d’une part, un premier tube (16a) relié mécaniquement au module moteur (10) et comportant une partie filetée sur sa circonférence interne, et d’autre part, un second tube (16b) sous la forme d’une vis vissée dans la partie filetée du premier tube (16a), la vis (16b) comportant une extension radiale (24) afin de former une surface d’appui circulaire (24b) et en ce que l’organe de retenue est sous la forme d’un joint (20c), de préférence de type O-ring, agencé contre la surface d’appui circulaire (24b) de la vis (16b) et la zone annulaire du cadran (12) ou le support le support de cadran (17) de sorte à exercer une force axiale sur le cadran (12) ou le support de cadran (17).

7. Pièce d’horlogerie selon la revendication 6, caractérisée en ce que la vis (16b) est noyée dans l’ouverture centrale (13) du cadran (12).

8. Pièce d’horlogerie selon la revendication 6, caractérisée en ce que la vis (16b) comporte une partie surélevée (32) par rapport au cadran et qui s’étend radialement afin de recouvrir l’ouverture centrale (13) du cadran (12).

9. Pièce d’horlogerie selon l’une quelconque des revendications précédentes, comportant en outre un support de mouvement (26) et un support de circuit (28), agencés entre le support de cadran (17) et le module moteur (10), l’empilement de chaque support (17, 26, 28) formant une base rigide empêchant la déformation du cadran (12) en cas de choc axial.

10. Pièce d’horlogerie selon la revendication 9, caractérisée en ce que chaque support (17, 26, 28) comporte une ouverture centrale afin de former un logement à l’intérieur duquel est ajusté, du moins en partie, le tube de maintien (15).

11. Pièce d’horlogerie selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le cadran comporte ou est constitué d’au moins une cellule solaire.

Description:
P5626 - extension PCT

PIÈCE D’HORLOGERIE COMPORTANT UN DISPOSITIF DE FIXATION

D’UN CADRAN

Domaine technique

La présente invention se rapporte au domaine de l’horlogerie et plus particulièrement à une pièce d’horlogerie comportant un dispositif de fixation d’un cadran de type classique ou de type comportant une cellule solaire.

Arrière-plan technologique

De manière conventionnelle, un cadran d’une pièce d’horlogerie comporte du côté de la face inférieure, c'est-à-dire du côté mouvement, des pieds métalliques agencés pour être chassés en partie dans des trous usinés dans la platine du mouvement. Ces pieds métalliques servent notamment à maintenir en place le cadran par rapport au mouvement de la montre lors de l'assemblage de cette dernière. La fixation du cadran dans la platine de mouvement selon le procédé susvisé à l’inconvénient d’impliquer des opérations d'usinage relativement complexes, le cadran devant être percé plusieurs fois avec précision avant montage des pieds métalliques. Par ailleurs, en cas de chocs importants, il y a toujours un risque de rupture des pieds du cadran. L'utilisation de tels cadrans dans les montres de type squelette se révèle de surcroît peu esthétique. Résumé de l’invention

La présente invention a par conséquent pour but de pallier les différents inconvénients susvisés. Plus précisément, un objectif de l'invention est de proposer une pièce d’horlogerie comportant un dispositif de fixation du cadran qui soit simple à mettre en œuvre et qui assure un bon maintien du cadran tout en garantissant une résistance mécanique notamment en cas de chocs selon l’axe des aiguilles.

A cet effet, il est proposé une pièce d’horlogerie comportant un module moteur, un cadran comportant une ouverture centrale, un canon des heures traversant l’ouverture centrale du cadran et entraîné en rotation par le module moteur et un dispositif de fixation du cadran. Le dispositif de fixation comporte I :

- un tube de maintien agencé autour du canon des heures et relié mécaniquement/solidaire au module moteur, et

- un organe de retenue agencé entre le tube de maintien et le cadran et/ou un support de cadran sur lequel est fixé le cadran.

Selon une forme de réalisation, l’organe de retenue est agencé/disposé/situé entre le tube de maintien, et le cadran et/ou un support de cadran en étant en appui contre une partie du cadran adjacente à l’ouverture centrale du cadran et/ou contre le support de cadran. De préférence, l’organe de retenue est configuré pour être en appui ou pour exercer une contrainte axiale repartie soit sur une zone annulaire du cadran qui est adjacente et concentrique à l’ouverture centrale du cadran, soit sur une zone annulaire du support de cadran.

Selon une forme de réalisation, la partie du cadran adjacente à l’ouverture centrale du cadran définit une zone annulaire, de préférence en retrait par rapport à la surface du cadran, de sorte à ce qu’une surface de la partie supérieure du tube de maintien soit au même niveau que le cadran.

Selon une forme de réalisation, le tube de maintien comporte une première partie cylindrique possédant un premier diamètre et une seconde partie cylindrique possédant un second diamètre inférieur au premier diamètre. L’organe de retenue est une rondelle agencée sur la circonférence de la seconde partie cylindrique et en appui contre la zone annulaire du cadran ou contre le support de cadran de sorte à exercer une force axiale sur le cadran ou le support de cadran.

Selon une forme de réalisation, l’organe de retenue est un anneau élastique, de préférence de type circlip, agencé à l’intérieur d’une gorge réalisée sur au moins une partie de la circonférence externe du tube de maintien de sorte à ce que l’anneau élastique soit en appui contre la zone annulaire du cadran ou contre le support de cadran.

Selon une forme de réalisation, le tube de maintien comprend, d’une part, un premier tube relié mécaniquement au module moteur et comportant une partie filetée sur sa circonférence interne, et d’autre part, un second tube sous la forme d’une vis vissée dans la partie filetée du premier tube. La vis comporte une extension radiale afin de former une surface d’appui circulaire. L’organe de retenue est sous la forme d’un joint, de préférence de type O- ring, agencé contre la surface d’appui circulaire de la vis et la zone annulaire du cadran ou le support le support de cadran de sorte à exercer une force axiale sur le cadran ou le support de cadran.

Selon une forme de réalisation, la vis est noyée dans l’ouverture centrale du cadran.

Selon une forme de réalisation, la vis comporte une partie surélevée par rapport au cadran et qui s’étend radialement afin de recouvrir l’ouverture centrale du cadran.

Selon une forme de réalisation, la pièce d’horlogerie comporte en outre un support de mouvement et un support de circuit agencés entre le support de cadran et le module moteur. L’empilement de chaque support forme une base rigide empêchant la déformation du cadran en cas de choc axial. Selon une forme de réalisation, chaque support comporte une ouverture centrale afin de former un logement à l’intérieur duquel est ajusté, du moins en partie, le tube de maintien.

Selon une forme de réalisation, le cadran comporte ou est constitué d’au moins une cellule solaire.

Brève description des figures

D’autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtrons à la lecture de plusieurs formes de réalisation données uniquement à titre d’exemples non limitatifs et faites en référence aux dessins annexés dans lesquels :

- la figure 1 représente une vue en coupe partielle de la pièce d’horlogerie illustrant le dispositif de fixation du cadran selon une première forme de réalisation de l’invention;

- la figure 2 représente une vue en coupe partielle de la pièce d’horlogerie illustrant le dispositif de fixation du cadran selon une deuxième forme de réalisation de l’invention;

- la figure 3 représente une vue en coupe partielle de la pièce d’horlogerie illustrant le dispositif de fixation du cadran selon une troisième forme de réalisation de l’invention, et

- la figure 4 représente une vue en coupe partielle de la pièce d’horlogerie illustrant le dispositif de fixation du cadran selon une quatrième forme de réalisation de l’invention;

Description détaillée de l’invention

De manière générale, le dispositif de fixation d’un cadran selon l’invention décrit ci-après, selon différentes formes de réalisation, peut être mis en œuvre dans des montres mécaniques ou à quartz comportant un cadran de type conventionnel/ classique, c’est-à-dire un cadran comportant par exemple des indexes répartis à intervalles réguliers autour de la périphérique du cadran, des chiffres pour représenter les heures, par exemple sous la forme d’appliques fixées sur le cadran et, selon le calibre, d’un ou plusieurs guichets pour indiquer par exemple la date ou d’autres informations. Le dispositif de fixation d’un cadran selon l’invention peut également être mis en œuvre dans des montres comportant un cadran de type non-conventionnel. Le dispositif de fixation selon l’invention est par exemple particulièrement bien adapté pour la fixation d’un cadran comportant ou constitué d’une cellule solaire pour alimenter par exemple une batterie et/ou un module électronique d’une montre dite intelligente.

Dans les différents modes de réalisation illustrés sur les figures 1 à 4, le dispositif de fixation du cadran 12 comporte un tube de maintien 15 agencé autour du canon des heures 14b et est relié mécaniquement au module moteur 10 par exemple par crochetage et ce par l’intermédiaire d’une extension radiale 18. De plus ce dispositif de fixation comprend aussi un organe de retenue 20a à 20c. Cet organe de retenue 20a à 20c est de préférence une pièce rapportée. Un tel organe de retenue 20a à 20c est une pièce qui est de préférence souple et/ou déformable prévue pour être agencée entre une seconde partie cylindrique 15b d’un tube de maintien 15, et le cadran 12 ou le support de cadran 17 de la montre. En effet, sous l’action de cette seconde partie du cylindrique 15b, cet organe de retenue 20a à 20c est apte à prendre appui contre une partie du cadran adjacente à une ouverture centrale 13 de ce cadran 12 et/ou contre le support de cadran 17.

En référence à la figure 1 , qui illustre une première forme de réalisation de l’invention, la pièce d’horlogerie comporte notamment un module moteur 10, le cadran 12 pourvu d’une ouverture centrale 13, une chaussée 14a et un canon des heures 14b traversant l’ouverture centrale 13 du cadran 12 et entraînés en rotation par le module moteur 10. Le cadran 12 est fixé sur un support de cadran 17 par exemple au moyen d’un adhésif double-face 30a. La forme du support de cadran 17 est sensiblement identique à la forme du cadran 12. Le support de cadran 17 est monté sur un support de mouvement 26, lequel est fixé à sur support de circuit, de préférence un support de circuit imprimé 28, par exemple au moyen d’un adhésif double-face 30b. L’empilement des différents supports 17, 26, 28 forment une base rigide sur lequel repose le cadran 12, ce qui a pour avantage d’éviter une déformation du cadran 12 en cas de choc axial.

Cette base rigide est particulièrement bien adaptée pour un cadran 12 formé notamment d’une cellule solaire afin d’éviter une éventuelle rupture du substrat en verre de la cellule en cas de choc axial important.

La pièce d’horlogerie comporte le dispositif de fixation du cadran 12 comportant l’organe de retenue 20a, le tube de maintien 15 agencé autour du canon des heures 14b et relié mécaniquement au module moteur 10 ainsi. Le tube de maintien 15 comporte une première partie cylindrique 15a possédant un premier diamètre D1 et une seconde partie cylindrique 15b possédant un second diamètre D2 inférieur au premier diamètre D1. La première partie cylindrique 15a est logée dans une portion tubulaire formée par l’empilement des ouvertures centrales du support de cadran 17, du support de mouvement 26 et du support du circuit imprimé 28. Cet organe de retenue 20a comprend une rondelle de retenue 20a et est agencé sur la circonférence de la seconde partie cylindrique 15b. Cette rondelle de retenue 20a s’étend radialement de sorte à ce que sa périphérie prenne appuie contre le support de cadran 17 afin d’exercer une force axiale sur le support de cadran 17. Une extrémité de la première partie cylindrique 15a comporte l’extension radiale 18, par exemple de forme annulaire, qui est fixée ou reliée mécaniquement à un pont 10a du module moteur 10. En référence à la figure 2, qui illustre une deuxième forme de réalisation de l’invention, l’organe de retenue 20b comprend un anneau élastique 20b. Cet anneau élastique 20b est agencé à l’intérieur d’une gorge 22 réalisée sur la circonférence externe du tube de maintien 15 de sorte à ce que l’anneau élastique 20b soit en appui contre le support de cadran 17. L’anneau élastique peut par exemple être de type circlip afin de faciliter le démontage du dispositif de fixation. A l’instar de la première forme de réalisation, le tube de maintien 15 est logé dans la portion tubulaire formée par l’empilement des différents supports 17, 26, 28 afin de réaliser cette base rigide adaptée pour un cadran 12 comportant ou constitué d’une cellule solaire. Une extrémité du tube de maintien 15 comporte l’extension radiale 18, par exemple de forme annulaire, qui est fixée à un pont 10a du module moteur 10.

Selon la figure 3, qui illustre une troisième forme de réalisation de l’invention, le tube de maintien 15 comprend un premier tube 16a comportant, d’une part, une extension radiale fixée à un pont 10a du module moteur 10, et d’autre part, une partie filetée sur sa circonférence interne. Le premier tube 16a est logé dans la portion tubulaire formée par l’empilement des différents supports 17, 26, 28 réalisant cette base rigide. Le tube de maintien 15 comporte en outre un second tube 16b sous la forme d’une vis vissée dans la partie filetée du premier tube 16a. La vis 16b comporte à une extrémité une extension radiale 24 afin de former une surface d’appui circulaire 24a. Dans le dispositif de fixation, l’organe de retenue 20c comprend un joint 20c, par exemple de type O-ring. Ce joint 20c est agencé contre la surface d’appui circulaire 24a de la vis 16b et le support de cadran 17 de sorte à exercer une force axiale sur le support de cadran 17. La vis 16b est noyée dans l’ouverture centrale 13 du cadran 12. Pour la fixation d’un cadran classique, le diamètre de l’extension radiale 24 est de préférence sensiblement identique au diamètre de l’ouverture centrale 13 du cadran afin d’avoir un aspect esthétique avantageux. Dans une variante, l’organe de retenue 20c du dispositif de fixation comprend joint 20c qui est agencé contre la surface d’appui circulaire 24a de la vis 16b et le support de cadran 17. Dans ces conditions l’extension radiale 24 formant une surface d’appui circulaire 24a définie à l’extrémité de ladite vis 16b est alors apte à exercer directement une force axiale sur le support de cadran 17 par l’intermédiaire de l’organe de retenue 20c.

Selon la figure 4, qui illustre une quatrième forme de réalisation de l’invention, le dispositif de fixation du cadran comporte un tube de maintien de construction similaire à la troisième forme de réalisation à la différence que la vis 16b comporte une partie surélevée 32 par rapport au cadran 12 qui s’étend radialement afin de recouvrir l’ouverture centrale 13 du cadran 12. Cette forme de réalisation est particulièrement adaptée pour un cadran comportant ou constitué d’une cellule solaire puisque la partie surélevée 32 à l’avantage de cacher les défauts de découpe de la cellule solaire.

La rondelle de retenue 20a selon la figure 1 , le circlip 20b selon la figure 2 ainsi que le second tube 16b sous la forme d’une vis vissée dans la partie filetée du premier tube 16a selon les figures 3 et 4 ont tous l’avantage d’empêcher un déchassage des aiguilles lors d’un choc axial important.

Naturellement, l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation décrites en référence aux figures et des variantes pourraient être implémentées sans sortir du cadre de l'invention. Par exemple, le tube de maintien 15 selon l’une quelconque des formes de réalisation qui viennent d’être décrites, peut être adapté pour être en appui ou exercer une contrainte axiale non pas sur le support de cadran 17 mais directement sur le cadran 12 lui-même voire directement à la fois sur le support de cadran 17 et le cadran 12. A cet effet, le cadran 12 peut par exemple comporter une partie de cadran adjacente à l’ouverture centrale 13 du cadran contre laquelle est en appui l’organe de retenue tel que la rondelle de retenue 20a, le circlip 20b ou le joint 20c selon la forme de réalisation choisie parmi celles décrites précédemment. La partie de cadran adjacente à l’ouverture centrale 13 peut définir une zone annulaire en retrait par rapport à la plus grande partie de la surface du cadran de sorte à ce qu’une surface de la partie supérieure du tube de maintien soit au même niveau que le cadran.

Le dispositif de fixation selon l’invention à l’avantage de permettre de réaliser des cadrans dans différentes matières qui ne sont pas compatible pour la fabrication de cadrans à pieds. Ces cadrans peuvent être obtenus notamment par des procédés d’injection de plastique, de métal ou de verre.