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Title:
TOE-BAR SANDAL WITH DETACHABLE STRAPS AT THE FRONT OF THE FOOT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/225221
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a toe-bar sandal comprising a sole, a toe-bar (105) secured to the sole and with a free end above the sole, V-shaped straps (152) of which the point of the V is attached removably to the free end of the toe-bar (105) and each branch of which is attached removably to the rear part, and a fastening system (700) which allows said point to be attached to the toe-bar (105) by a quarter-turn rotation in a first direction of rotation and allows said point to be released from the toe-bar (105) by a quarter-turn rotation in a second direction of rotation, in which the fastening system (700) comprises, at the level of the free end of the toe-bar (105), a bar (706) which is secured to the toe-bar (105) and raised up above the toe-bar (105), in which the fastening system (700) comprises, at the level of the point of the straps (152), an opening (710), in which in a first position, the bar (706) is free to pass through the opening (710), and in which, in a second position, the bar (706) is prevented from passing through the opening (710), and in which the transition from the first position to the second position consists in a rotation by quarter of a turn. Such a toe-bar sandal thus equipped with removable straps can easily be modified to suit the wishes and the needs of the user.

Inventors:
TROTEL MARY ELISABETH (FR)
Application Number:
PCT/EP2020/062338
Publication Date:
November 12, 2020
Filing Date:
May 04, 2020
Export Citation:
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Assignee:
KASTINE (FR)
International Classes:
A43B3/10; A43B3/24
Foreign References:
US20110056091A12011-03-10
EP2810578A22014-12-10
US20110214311A12011-09-08
BRMU8702350U22009-07-07
US4864736A1989-09-12
US20110005609A12011-01-13
EP2810578A22014-12-10
Attorney, Agent or Firm:
LE GUEN MAILLET (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1) Tong (100) comportant :

- une semelle (103) avec une partie avant destinée à supporter des orteils d’un pied et une partie arrière destinée à supporter un talon du pied,

- un entre-doigt (105) dont la base est solidaire de la partie avant de la semelle (103) et qui présente une extrémité libre au-dessus de la semelle (103),

- des lanières (152) en V dont la pointe est fixée de manière amovible au niveau de l’extrémité libre de G entre-doigt (105) et dont chaque branche est fixée de manière amovible au niveau de la partie arrière, et

- un système d’accrochage (700, 900) qui permet de fixer ladite pointe à l’entre-doigt (105) par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt (105) par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation,

où le système d’accrochage (700, 900) comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre- doigt (105), une barrette (706, 906) qui est solidaire de l’entre-doigt (105) et surélevée par rapport à l’entre-doigt (105) afin de laisser un espace libre entre la barrette (706, 906) et l’entre- doigt (105), où le système d’accrochage (700, 900) comporte également au niveau de la pointe des lanières (152), une fenêtre (710, 910), où dans une première position de la fenêtre (710, 910) par rapport à la barrette (706, 906), la barrette (706, 906) est libre de traverser la fenêtre (710, 910), et où dans une deuxième position de la fenêtre (710, 910) par rapport à la barrette (706, 906), la barrette (706, 906) est empêchée de traverser la fenêtre (710, 910), et où le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour.

2) Tong (100) selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite semelle (103) est constituée d’une semelle d’usure (102) en contact avec le sol et d’une semelle supérieure (104) solidaire de la semelle d’usure (102) et disposée au-dessus de la semelle d’usure (102), en ce que la tong (100) comporte une semelle de confort (62) amovible, en ce que la semelle supérieure (104) comporte un enfoncement (60) dans lequel vient se loger la semelle de confort (62), et en ce que la semelle de confort (62) présente un trou (63) pour le passage de l’entre- doigt (105). 3) Tong (100) selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que le système d’accrochage (700) comporte également un fût (708) solidaire des lanières (152) et dont le fond présente une fenêtre qui prolonge la fenêtre (710) des lanières (152).

4) Tong (100) selon la revendication 3, caractérisée en ce que le système d’accrochage (700) comporte un capuchon (712) qui ferme le fût (708) à l’opposé du fond.

5) Tong (100) selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que le système d’accrochage (900) comporte un premier moyen de fixation (916) solidaire des lanières (152) et un élément de blocage (912) qui comporte une ouverture (914) qui permet le passage de la barrette (906) et un deuxième moyen de fixation (918) qui se solidarise avec le premier moyen de fixation (916) pour fixer l’élément de blocage (912) sur les lanières (152).

6) Tong (100) selon l'une des revendications 3 à 5 et de la revendication 2, caractérisée en ce que chaque branche des lanières (152) est fixée à la partie arrière par l’intermédiaire d’un renfort latéral (150) destiné à se positionner sous une malléole (50) du pied, en ce que pour chaque renfort latéral (450a-b, 550a-b, 650a-b), la tong (100) comporte une base (452, 552a-b, 652a-b) solidaire dudit renfort latéral (450a-b, 550a-b, 650a-b), où ladite base (452, 552a-b, 652a-b) est horizontale et fixée entre la semelle d’usure (102) et la semelle supérieure (104).

7) Tong (100) selon la revendication 6, caractérisée en ce que la base (452) est commune aux deux renforts latéraux (450a-b).

8) Tong (100) selon la revendication 6, caractérisée en ce qu’il y a une base (552a-b) par renfort latéral (550a-b) et en ce que chacune s’étend vers l’autre base (552a-b).

9) Tong (100) selon la revendication 6, caractérisée en ce qu’il y a une base (652a-b) par renfort latéral (650a-b), en ce que l’une des bases (652a) est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base (652b), en ce que les deux bases (652a-b) sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à Taxe du pied, et en ce que le long de la zone de contact, chaque base (652a-b) comporte des dents qui s’enclenchent avec les dents de l’autre base (652b -a).

Description:
DESCRIPTION

TITRE : TONG AVEC DES LANIERES DETACHABLES AU NIVEAU DE L’AVANT

DU PIED

DOMAINE TECHNIQUE

La présente invention concerne une tong qui présente des lanières en V dont la pointe est fixée de manière amovible à l’avant de la semelle.

ETAT DE LA TECHNIQUE ANTERIEURE

Une tong de l’état de la technique comporte classiquement une semelle et des lanières en V dont la pointe est solidaire d’un entre-doigt qui présente un socle à sa base.

Le socle est introduit dans un trou de la semelle pour venir en appui contre une face inférieure de la semelle tandis que l’ entre-doigt déborde au-dessus de la semelle. Le trou de la semelle est disposé à l’avant de la semelle et l’entre-doigt se positionne classiquement entre le gros orteil et le secundus, tandis que les branches sont fixées à la semelle de part et d’autre du talon.

Pour améliorer l’utilisation de la tong, il est intéressant de pouvoir échanger les lanières de manière simple et sans abîmer la tong.

Le document US-A-2011/05609 et le document EP-A-2 810 578 divulguent des tongs de l’état de la technique. Dans chacun de ces documents, les lanières sont fixées à un entre-doigt par un système d’accrochage. Dans aucun de ces documents, la fixation n’est effectuée par un quart de tour. Au contraire, la constitution de chacun des systèmes d’accrochage empêche une rotation par quart de tour et la mise en place s’effectue à l’aide d’une boutonnière.

EXPOSE DE L'INVENTION

Un objet de la présente invention est de proposer une tong qui présente des lanières dont la pointe en V est fixée de manière amovible au niveau de l’avant du pied.

A cet effet, est proposée une tong comportant :

- une semelle avec une partie avant destinée à supporter des orteils d’un pied et une partie arrière destinée à supporter un talon du pied,

- un entre-doigt dont la base est solidaire de la partie avant de la semelle et qui présente une extrémité libre au-dessus de la semelle, - des lanières en V dont la pointe est fixée de manière amovible au niveau de G extrémité libre de G entre-doigt et dont chaque branche est fixée de manière amovible au niveau de la partie arrière, et

- un système d’accrochage qui permet de fixer ladite pointe à G entre-doigt par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation,

où le système d’accrochage comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt, une barrette (706, 906) qui est solidaire de l’entre-doigt et surélevée par rapport à l’entre-doigt afin de laisser un espace libre entre la barrette et l’entre-doigt, où le système d’accrochage comporte également au niveau de la pointe des lanières, une fenêtre, où dans une première position de la fenêtre par rapport à la barrette, la barrette est libre de traverser la fenêtre, et où dans une deuxième position de la fenêtre par rapport à la barrette, la barrette est empêchée de traverser la fenêtre, et où le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour.

Une telle tong ainsi équipée de lanières amovibles peut être modifiée facilement selon les envies et les besoins de l’utilisateur. En outre, dans certains modes de réalisation, la tong présente une semelle de confort amovible et le retrait des lanières facilite le retrait et le changement de la semelle de confort.

Avantageusement, ladite semelle est constituée d’une semelle d’usure en contact avec le sol et d’une semelle supérieure solidaire de la semelle d’usure et disposée au-dessus de la semelle d’usure, la tong comporte une semelle de confort amovible, la semelle supérieure comporte un enfoncement dans lequel vient se loger la semelle de confort, et la semelle de confort présente un trou pour le passage de l’entre-doigt.

Selon un mode de réalisation particulier, le système d’accrochage comporte également un fût solidaire des lanières et dont le fond présente une fenêtre qui prolonge la fenêtre des lanières.

Avantageusement, le système d’accrochage comporte un capuchon qui ferme le fût à l’opposé du fond.

Selon un mode de réalisation particulier, le système d’accrochage comporte un premier moyen de fixation solidaire des lanières et un élément de blocage qui comporte une ouverture qui permet le passage de la barrette et un deuxième moyen de fixation qui se solidarise avec le premier moyen de fixation pour fixer l’élément de blocage sur les lanières.

Avantageusement, chaque branche des lanières est fixée à la partie arrière par l’intermédiaire d’un renfort latéral destiné à se positionner sous une malléole du pied, pour chaque renfort latéral, la tong comporte une base solidaire dudit renfort latéral, où ladite base est horizontale et fixée entre la semelle d’usure et la semelle supérieure.

Avantageusement, la base est commune aux deux renforts latéraux.

Avantageusement, il y a une base par renfort latéral et chacune s’étend vers l’autre base.

Avantageusement, il y a une base par renfort latéral, l’une des bases est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base, les deux bases sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à l’axe du pied, et le long de la zone de contact, chaque base comporte des dents qui s’enclenchent avec les dents de l’autre base.

BREVE DESCRIPTION DES DESSINS

Les caractéristiques de l'invention mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un exemple de réalisation, ladite description étant faite en relation avec les dessins joints, parmi lesquels :

[Fig. 1] est une représentation schématique en vue de côté d'une tong selon Tinvention,

[Fig. 2] est une vue en perspective d’un système d’accrochage d’une lanière de tong selon un premier mode de réalisation,

[Fig. 3] est une vue en perspective d’un entre-doigt utilisé dans le système d’accrochage de la Fig. 2,

[Fig. 4] est une vue en perspective d’un système d’accrochage d’une lanière de tong selon un deuxième mode de réalisation,

[Fig. 5] est une vue en perspective d’une tong selon une première variante de réalisation,

[Fig. 6] est une vue en perspective d’une tong selon une deuxième variante de réalisation, et

[Fig. 7] est une vue en perspective d’une tong selon une troisième variante de réalisation.

EXPOSE DETAILLE DE MODES DE REALISATION

Dans la description qui suit, les termes relatifs à une position sont pris en référence à une tong en position d’utilisation, c'est-à-dire comme elle est représentée sur la Fig. 1.

La Fig. 1 montre une tong 100 qui comporte une semelle 103 avec une partie avant sur laquelle repose les orteils du pied et une partie arrière sur laquelle repose le talon du pied.

Dans le mode de réalisation de l’invention présenté ici, la semelle 103 comporte une semelle d’usure 102 qui vient en contact avec le sol et une semelle supérieure 104 qui est solidaire de la semelle d’usure 102 et qui est disposée au-dessus de la semelle d’usure 102. La semelle supérieure 104 peut supporter directement le pied ou une semelle de confort 62 par exemple du type semelle anatomique qui est conformée au pied et sur laquelle se positionne ledit pied. Pour s’adapter au pied, la semelle de confort 62 est préférentiellement amovible et peut donc être remplacée ou retirée en cas de besoin.

Comme le montrent les Figs. 5 à 7, la partie supérieure de la semelle supérieure 104 présente un enfoncement 60 dans lequel vient se loger la semelle de confort 62 ce qui assure un minimum de maintien de la semelle de confort 62.

Sur la Fig. 1, l’enfoncement 60 et la semelle de confort 62 apparaissent en traits pointillés.

Dans le cas de la présence d’une semelle de confort 62 amovible, celle-ci présente un trou 63 qui permet le passage de F entre-doigt 105.

La tong 100 comporte également un entre-doigt 105 dont la base est solidaire de la partie avant de la semelle 103 et qui présente une extrémité libre au-dessus de la semelle 103. Classiquement, l’entre-doigt 105 est disposé entre le gros orteil et le secundus.

La tong 100 comporte également des lanières 152 en V dont la pointe est fixée de manière amovible au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt 105 et dont chaque branche est fixée de manière amovible au niveau de la partie arrière de part et d’autre du talon du pied.

La fixation entre la pointe et l’entre-doigt 105 s’effectue grâce à un système d’accrochage qui permet de fixer ladite pointe à l’entre-doigt 105 par une rotation d’un quart de tour dans un premier sens de rotation et de libérer ladite pointe de l’entre-doigt 105 par une rotation d’un quart de tour dans un deuxième sens de rotation opposé au premier sens de rotation.

Les Figs. 2 à 4 montrent un système d’accrochage 700, 900 de la pointe en V des lanières 152 de la tong 100 à l’entre-doigt 105.

Dans les modes de réalisation des Figs. 2 à 4, l’entre-doigt 105 comporte un socle 107 à sa base. Dans ce mode de réalisation, l’entre-doigt 105 traverse un alésage de la semelle 103 de manière à amener le socle 107 contre la face inférieure de la semelle 103.

Dans les modes de réalisation des Figs. 2 à 4, le système d’accrochage 700, 900 comporte au niveau de l’extrémité libre de l’entre-doigt 105, une barrette 706, 906 qui est solidaire de l’entre-doigt 105 et surélevée par rapport à l’entre-doigt 105 afin de laisser un espace libre entre la barrette 706, 906 et l’entre-doigt 105. Ici, la barrette 706, 906 est fixée à l’entre-doigt 105 par un plot et la barrette 706, 906 déborde par rapport à ce plot afin de former des crochets.

Le système d’accrochage 700, 900 comporte également au niveau de la pointe des lanières 152, une fenêtre 710, 910 adaptée aux dimensions de la barrette 706, 906, c'est-à-dire que selon une première position de la fenêtre 710, 910 par rapport à la barrette 706, 906, la barrette 706, 906 est libre de traverser la fenêtre 710, 910, et selon une deuxième position de la fenêtre 710, 910 par rapport à la barrette 706, 906, la barrette 706, 906 est empêchée de traverser la fenêtre 710, 910. Le passage de la première position à la deuxième position consiste en une rotation d’un quart de tour autour d’un axe globalement vertical dans un sens ou dans l’autre et ici les deux positions sont perpendiculaires entre elles.

Le fait que les branches des lanières 152 soient amovibles facilite la rotation au niveau de G entre-doigt 105.

La pointe des lanières 152 se positionne alors dans l’espace libre entre la barrette 706, 906 et G entre-doigt 105 pour être maintenue.

Le système d’accrochage 700, 900 est donc relativement simple et facile à réaliser et permet un remplacement aisé des lanières 152. En outre, dans le cas d’une semelle de confort 62 amovible, celle-ci peut être facilement retirée et remplacée.

La mise en place des lanières 152 consiste à placer la fenêtre 710, 910 selon la première position, c'est-à-dire parallèle à la barrette 706, 906, à introduire la barrette 706, 906 dans la fenêtre 710, 910, puis à pivoter d’un quart de tour les lanières 152 de manière à placer la fenêtre 710, 910 selon la deuxième position, c'est-à-dire perpendiculaire à la barrette 706, 906 pour verrouiller la barrette 706, 906 par rapport aux contours de la fenêtre 710, 910.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 2 et de la Fig. 3, le système d’accrochage 700 comporte également un fût 708 qui est solidaire des lanières 152 et dont le fond présente également une fenêtre qui prolonge la fenêtre 710 des lanières 152.

Dans ce cas, les lanières 152 et le fond du fût 708 logent dans l’espace libre entre la barrette 706 et l’entre-doigt 105.

Afin de cacher la barrette 706, le système d’accrochage 700 comporte ici un capuchon 712 qui ferme le fût 708 à l’opposé du fond.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 4, et afin de tenir au mieux les lanières 152 en place, le système d’accrochage 900 comporte un premier moyen de fixation 916 solidaire des lanières 152 et un élément de blocage 912 qui comporte une ouverture 914 qui permet le passage de la barrette 906 et un deuxième moyen de fixation 918 qui se solidarise avec le premier moyen de fixation 916 pour fixer l’élément de blocage 912 sur les lanières 152.

Lorsque le premier moyen de fixation 916 et le deuxième moyen de fixation 918 sont fixés l’un à l’autre, l’élément de blocage 912 se positionne dans l’espace libre entre les lanières 152 et la barrette 906. Pour ce faire, l’élément de blocage 912 est reculé pour venir sous la barrette 906.

Le premier moyen de fixation 916 et le deuxième moyen de fixation 918 prennent par exemple la forme d’une partie mâle et d’une partie femelle d’un bouton pression. Dans le cas d’une semelle 103 comportant la semelle d’usure 102 et la semelle supérieure 104, l’alésage traversant la semelle 103 est constitué d’un alésage 402 de la semelle d’usure 102 et d’un alésage 404 de la semelle supérieure 104, et le socle 107 est en appui contre la face inférieure de la semelle d’usure 102.

Dans le mode de réalisation de l’invention présenté ici, les branches sont fixées à la partie arrière par l’intermédiaire de renforts latéraux 150 qui seront décrits ci-dessous, mais dans un autre mode de réalisation, il est possible de prévoir que les branches soient fixées directement à la semelle 103.

La fixation amovible des lanières 152 à la semelle 103 ou aux renforts latéraux 150 peut prendre différentes formes comme par exemple des boutons pression.

De part et d’autre de la partie arrière, la tong 100 comporte un renfort latéral 150 dont un seul est vu sur la Fig. 1 et qui prend la forme d’une paroi s’étendant dans un plan vertical et parallèle à l’axe du pied. Chaque renfort latéral 150 se positionne sous la malléole 50 du pied.

Les Figs. 5 à 7 montrent différents types de renforts latéraux avec un renfort latéral gauche 450a, 550a, 650a et un renfort latéral droit 450b, 550b, 650b. Pour ces différents modes de réalisation, la semelle 103 présente une semelle d’usure 102 et une semelle supérieure 104 solidaire de la semelle d’usure 102.

Chaque renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b est solidaire d’une base 452, 552a-b, 652a- b qui prend la forme d’une paroi horizontale et qui se fixe entre la semelle d’usure 102 et la semelle supérieure 104 en se présentant sous le talon du pied.

Dans un autre mode de réalisation non représenté, il est possible de prévoir que chaque base 452, 552a-b, 652a-b est fixée au-dessus de la semelle supérieure 104.

Le renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b et sa base 452, 552a-b, 652a-b sont rigides et réalisés par exemple en plastique ou en métal et le renfort latéral 450a-b, 550a-b, 650a-b ne se déforme pas lors de la marche.

La présence des renforts latéraux 450a-b, 550a-b, 650a-b permet un maintien du talon lors de la marche et le fait que les bases 452, 552a-b, 652a-b soient placées sous le talon du pied renforce la rigidité des renforts latéraux 450a-b, 550a-b, 650a-b du fait de l’appui du pied sur les bases.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 5, la base 452 est commune aux deux renforts latéraux 450a-b.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 6, il y a une base 552a-b par renfort latéral 550a-b et chacune s’étend vers l’autre base 552a-b. Dans le mode de réalisation de l’invention présenté à la Fig. 6, chaque base 552a-b s’étend globalement sur la moitié de la largeur de la chaussure ouverte 100 pour rejoindre l’autre base 552a-b, mais une longueur différente des bases est possible.

Dans le mode de réalisation de la Fig. 7, il y a une base 652a-b par renfort latéral 650a-b. L’une des bases 652a est disposée à l’arrière par rapport à l’autre base 652b et les deux bases 652a-b sont en contact l’une avec l’autre le long d’une zone de contact qui s’étend transversalement par rapport à l’axe du pied. Le long de la zone de contact, chaque base 652a- b comporte des dents. Ainsi, les dents d’une base 652a s’enclenchent avec les dents de l’autre base 652b lorsque les renforts latéraux 650a-b sont mis en place.