1) La présente invention concerne un dispositif intermédiaire réglable en hauteur et en largeur et/ou latéralement pour chaises empilées en position normale ou couchée et/ou chaises pliantes ou charges hautes ou tabourets.

2) Dispositif inférieur pour chaises empilées, face contre terre les pieds en l'air.

Les piles sont plus ou moins droites, voir carrément en arc de cercle, ce qui a pour effet de déplacer le centre de gravité de façon importante.

Les deux fourches inférieures sont réglables latéralement pour répartir la charge sur les deux roues.

Les diables traditionnels ont un plateau fixe ou sur charnière pour le transport de différents matériels.

Il est risqué de transporter des chaises, le plateau n'étant pas prévu à cet effet, la pile pouvant chavirer à tout instant, avec les risques qui en résultent.

Il existe un autre diable spécifique pour porter des chevalets au moyen de deux dents réglables en hauteur. Ce diable n'est pas adapté au transport de chaises car les dents ne sont pas réglables en largeur et le plateau n'est pas rétractable.

Le dispositif selon l'invention permet de remédier à ces inconvénients.

II comporte en effet selon une première caractéristique : une structure principale formée par un cadre rectangulaire composé de deux tubes verticaux et parallèles pourvus de poignées, reliés en haut par un profilé horizontal, servant de renfort et d'appui aux différents matériels, reliés à la base par un profilé plat horizontal (couché). Posées sur ce profilé plat, à l'intérieur des tubes verticaux, deux plaques supportent les roues et un autre profilé plat horizontal (debout) muni d'encoches.

Il comporte selon une seconde caractéristique un plateau porte charge coulissant entre les plaques supportant les roues et reposant et coulissant sur le profilé plat horizontal (couché). Il est maintenu au-dessus par un autre profilé plat horizontal, (debout), muni d'encoches et en retrait par rapport au plateau.

A l'arrière une poignée permet de manier le plateau comme un tiroir, un tube de renfort dépasse de chaque côté du plateau pour le maintenir en position : - ouverte, une ou plusieurs encoches dans la partie basse des plaques permettent de régler la profondeur du plateau, - fermée, les prolongements du tube de renfort viennent se loger dans des ergots fixés à l'arrière des plaques.

Dans cette position le tube de renfort permet d'appuyer le pied pour lever des chaises.

Le plateau dépasse du profilé plat à encoches de quelques centimètres, pour permettre l'appui du bras de force développé dans la quatrième caractéristique.

Rentré de la sorte il permet l'utilisation des deux autres moyens de transport ainsi que le rangement.

II comporte selon une troisième caractéristique : sur les deux tubes verticaux de la structure principale un support transversal intermédiaire réglable en hauteur qui permet

aux deux bras montés sur un tube pivotant de la verticale à l'horizontal et coulissant latéralement sur leurs axes, de régler l'écartement convenable.

Les bras baissés arrivent automatiquement en butée à l'horizontale afin de se glisser par l'arrière sous le siège de la pile de chaises se trouvant en position normale.

Il ne reste qu'à tirer sur les poignées, les bras soulèvent les chaises et le transport en est aisé.

Après le transport on remonte les bras à la verticale et on les maintient par un moyen de blocage tel qu'une manette de serrage afin de permettre l'utilisation des deux autres moyens de transport, ou le rangement.

Les bras pourront aussi être utilisés pour porter des charges en hauteur et dans la première caractéristique < plateau porte charge > pour caler du matériel.

Il comporte selon une quatrième caractéristique : une fourche en deux parties superposées l'une et l'autre montées sur pivot et coulissant latéralement sur leurs axes pour répartir la charge sur les deux roues.

La fourche du bas comporte trois branches, deux à l'intérieur de la structure principale, une à l'extérieur.

Elles sont soudées à l'équerre par rapport à leurs axes de rotation et dans le même plan, au tube coulissant latéralement sur un tube de moindre diamètre, soudé d'un seul côté, sur la plaque de maintien d'une des roues.

A l'autre extrémité le tube coulisse et pivote dans un orifice percé dans la plaque maintenant l'autre roue.

En position ouverte les deux branches internes prennent appui dans les encoches du profilé plat correspondant au centre de gravité des différentes piles de chaises.

Les trois branches sont à une hauteur de 1 à 20 cm (et de préférence à 3 cm du sol ) et dépassent du plateau de 2 cm. à 50 cm (et de préférence 6 cm).

La branche supérieure en position ouverte est à l'horizontale, de 10 à 30 cm du sol (et de préférence à 18 cm) et soudée à l'équerre sur un tube pivotant et coulissant latéralement sur un tube soudé à chaque extrémité sur les tubes verticaux de la structure principale.

La dite branche est pourvue en son milieu d'un bras de force monté sur un axe.

A l'autre extrémité le bras de force vient se positionner automatiquement et simultanément en appui sur le plateau coulissant et le profilé plat à encoche, tous deux formant un angle servant de butée.

La prise en charge de la pile s'effectue par le côté des chaises en respectent le sens de chargement.

La branche extérieure à la structure principale de la fourche du bas vient se placer sur la partie haute du pied avant, celle du milieu, sous la partie avant du siège et la troisième sous le dossier.

La branche supérieure d'une longueur de 30 à 60 cm (et de préférence 46 cm), traverse la pile. Elle vient se loger dans l'angle formé par le dossier et le siège.

A titre indicatif, un certain modèle de chaises atteint 95 kg pour une pile de 15 chaises.

Un autre exemple de piles, presque droites, peut atteindre 20 à 25 chaises empilées.

En tirant sur les poignées, un pied en appui sur le plateau, les branches soulèvent aisément les chaises parfaitement équilibrées.

En position fermée, la branche supérieure remonte à la verticale, l'axe entraîne le bras de force contre la branche.

L'ensemble coulisse latéralement afin que la butée se loge dans l'encoche qui maintient le tout en position verticale.

La fourche inférieure pivote à la verticale et coulisse vers l'intérieur pour caler la branche coudée intérieure ou extérieure entre le tube principal et la butée fixée sur la plaque supportant la roue.

Les fourches inférieures et supérieures étant repliées, on peut utiliser les deux autres moyens de transport ou faciliter le rangement.

Selon des modes particuliers de réalisation : Non illustrées les quatre branches inférieures ne se décalent pas latéralement mais pivotent sur leur axe dans une des positions intermédiaires par rapport au centre de gravité.

Autre variante non illustrée : plateau fixe dans une position intermédiaire. Les bords du plateau remplacent les deux branches internes à la structure principale, la branche extérieure montée sur pivot se déplace ou non latéralement.

Le plateau peut aussi remplacer les trois branches, l'une par un côté du plateau et les deux autres par les deux bords d'une encoche pratiquée à l'autre extrémité du plateau.

Dans tous ces cas de figure un des bras de la structure intermédiaire peut remplacer la branche supérieure de la fourche du bas, ce bras servant aux deux sortes de piles de chaises, couchées ou debout et pourra être réglable éventuellement en longueur.

Un ou plusieurs tubes verticaux non illustrés peuvent prendre place dans l'axe de la structure principale pour servir d'appui aux différents produits transportés. Sur ce ou ces tubes, un ou deux ergots permettent de maintenir à la verticale les deux bras de la structure intermédiaire et remplace les moyens de blocage tels que les manettes de serrage.

Pour chacune des trois caractéristiques, la structure supérieure est réglable en hauteur, la barre transversale servant d'appui et comportant deux cales montées sur deux tubes pivotants et réglables latéralement pour maintenir les chaises ou charges hautes.

Autre variante non illustrée : la structure supérieure peut être supprimée et les cales peuvent être montées directement sur le tube supérieur de la structure principale.

Dans ce cas de figure, les tubes principaux peuvent être coudés pour servir de poignées.

En desserrant les moyens de blocage tels que les manettes de serrage, les cales se mettent à la verticale afin de faciliter le rangement Dans toutes les formes de réalisation les branches, les cales et les poignées peuvent être recouvertes de manchons antidérapants, et/ou protecteurs.

Les dessins annexés illustrent l'invention.

Les dispositifs selon l'invention comportent trois systèmes de transport La figure 1 page 1, montre le diable en position de rangement.

La figure 2 page 1, montre la structure principale avec le plateau porte charge ouvert La figure 3 page 1 vue de face, simplifiée, montre le bas de la structure principale Les figures 4 et 5 page 1, vues de profil montrent les plaques de maintien des roues.

Les figures 6 et 7 page 2, représentent la structure intermédiaire en position ouverte ainsi que la partie supérieure télescopique qui sert d'appui et de cale aux chaises transportées en position normale ou au transport de paquets en hauteur.

Les figures 8 page 3,9 etl0 page 4, représentent le chariot de transport pour des chaises empilées face contre terre avec le décalage latéral des fourches pour régler le centre de gravité.

Les figures 11 et 12 page 5 montrent le diable simplifié.

En référence à ces dessins : Les figures 1,2, 3,4, 5 page 1, représentent la structure principale et le plateau porte charge à tiroir.

La structure est composée d'un équipement rectangulaire : figure l, page 1.

Deux tubes verticaux et parallèles (1) et (2) munies de deux poignées (1A) et (2A), les tubes (1) et (2) peuvent être coudés pour servir de poignée, une partie supérieure horizontale (3) et deux parties inférieures (4) et (5) horizontales, sur le profilé plat (4) et contre le profilé plat (5) munis d'encoches (SA), (SB), (SX) ; deux plaques distinctes l'une de l'autre (1B) et (2B) fixées respectivement à l'intérieur des tubes principaux.

La plaque (1B) sur le tube (1) et la plaque (2B) sur le tube (2).

A l'arrière de ces plaques, deux orifices dans lesquels passe un tube (6) soudé à celles-ci, qui dépasse de chaque côté pour fixer les roues (7) par un système de maintien tel que des goupilles (8), deux ergots (9) permettent de maintenir le plateau porte charge (13) en position de rangement. Une ou plusieurs encoches (10) et (10A) sur chaque plaque (1B) et (2B) permettent de régler l'avancée du plateau (I3), 1'encoche avant (10) peut être simple, les autres (10A) en forme d'ergot ou tout autre système de maintien du tube (14) dépassant du plateau (13) et fixé à celui-ci.

La poignée (15) peut être fixée sur le plateau (13) ou faire partie intégrante du tube (14). Le plateau (13) fonctionne comme un tiroir entre les plaques (1B) et (2B) et coulisse à l'avant entre les profilés plats (4) et (5).

Distinction entre les plaques (1B) et (2B). Figure (4) page 1, la plaque (1B) comporte un orifice (11) légèrement plus grand que le tube (25) lui permettant de pivoter et de coulisser. La plaque (2B) figure (5) page l, vue de l'intérieur (simplifiée), comporte une butée de maintien (12) pour la branche (28) et ne comporte pas l'orifice (11) mais, soudé dans le même axe, un tube rond (24) coulissant dans le tube (25).

La figure (2) page 1 nous montre le plateau en position ouverte. On peut voir les structures intermédiaires (16) et supérieures (37) un bras fermé, un bras ouvert (23) et (42) pour maintenir des charges hautes.

Nous allons détailler ces deux structures.

Les figures (6) et (7) page 2, montrent la structure intermédiaire (16) et supérieure (37) en position ouverte pour le transport de chaises empilées en position normale ou de chaises pliantes ou tabourets ou charges hautes.

Deux tubes (16) de diamètre légèrement supérieur aux tubes (1) et (2) de la structure principale coulissent afin d'en régler la hauteur par un moyen de blocage tel que manette de serrage (17). Les plaques (18) fixées aux tubes (16) comportent deux tubes (19) et (20). Le tube (19) est fixé à l'arrière et vers le haut de façon à servir d'appui aux bras (23).

Le tube (20) est fixé à l'avant, en retrait du tube (16) afin de laisser le passage à la fourche (31) en position verticale.

Sur le tube (20) coulissent et pivotent deux tubes (21) de diamètre légèrement supérieur.

Les branches (23) sont soudées au tube (21) légèrement décalées d'un côté pour installer un moyen de blocage tel qu'une manette de serrage (22) de l'autre côté.

Le moyen de blocage (22) n'est pas obligatoire car il peut être auto bloquant par simple mise en charge des branches (23).

L'écart en hauteur entre le tube (19) et les tubes (20) et (21) sera en rapport avec le diamètre de la branche (23) de façon à ce que les branches (23) soient presque à l'horizontal, les pointes légèrement inclinées vers le bas.

Structure supérieure : fig 6 et 7 page 2.

Deux tubes (37) de moindre diamètre coulissent dans les tubes principaux (1) et (2) réglables en hauteur grâce à un moyen de blocage tel que manettes de serrage (38).

Les tubes (37) sont soudés à l'équerre au tube (39). Sur celui-ci deux tubes (40) de diamètre légèrement supérieur coulissent et pivotent. Sur chaque tube (40), une cale (42) est fixée à l'équerre sur le bord extérieur afin d'avoir un réglage le plus large possible.

Les cales (42) sont maintenues dans le plan choisi grâce à un moyen de blocage tel que des manettes de serrage (41).

Non illustrée, la structure supérieure peut être supprimée et les cales (42) montées sur le tube (3) de la structure principale.

Les figures (8,9, 10,3, 4,5) page 3, 4 et 1, montrent la structure inférieure en position ouverte pour le transport de chaises empilées face contre terre.

Cette structure est composée de deux fourches (25) et (30) superposées.

La fourche du bas (25) comporte trois branches plus un repère de réglage (25A) : les deux branches (27) et (28) à l'intérieur de la structure principale (1) et (2), la (26) à l'extérieur.

Les branches (26) et (28) sont coudées de façon à les ramener devant les tubes (1) et (2), la branche (27) est munie d'une cale d'appui (27A) à l'aplomb du plateau (13).

Elles sont soudées dans le même plan et perpendiculaires au tube (25), pivotent et coulissent sur un tube (24) soudé d'un seul côté sur la plaque (2B), fig 5 page 1, et libre de l'autre côté dans le tube (25).

Sur la plaque (1B), fig 4 page 1, un orifice (11) légèrement plus grand que le tube (25) lui permet de pivoter et coulisse pour ramener le centre de gravité entre les deux roues.

L'ensemble de cette structure peut être inversée, la droite devenant la gauche et vice et versa. Elle peut être réalisée en profilé avec ou sans glissière ; elle peut aussi être équipée de deux organes de roulage destiné à monter des marches.

Plusieurs réglages des fourches (25) et (30) sont possibles, en calant les branches (27) et (28) dans les encoches (5A), (5B) ou (5X) figure 3 page 1 et 8 page 3, (5X n'étant pas limité en nombre), le repère (25A) vient à l'aplomb du profilé plat (5) afin de régler la fourche supérieure (30).

La fourche supérieure (30) est composée d'une branche (31) soudée perpendiculairement au tube (30) de diamètre légèrement supérieur au tube (29) lui permettant de pivoter et coulisser latéralement. Le tube (29) est soudé à l'arrière des tubes (1) et (2) de façon à ramener lors du repli le bras de force (34) en léger retrait de la structure principale (1) et (2).

Sur le tube (30) une encoche (35) pénétrée par la butée (36) fixée sur le tube (29), maintient la branche (31) à la verticale ainsi que le bras de force (34).

En position ouverte, la branche (31) est à l'horizontal, la pointe légèrement inclinée vers le bas. Sont soudées en son milieu, deux pattes (32) qui maintiennent le bras de force (34) grâce à un axe (33) faisant charnière. Le bras de force vient se positionner automatiquement et simultanément en appui sur l'angle formé par le plateau (13) et le profilé plat (5).

Le réglage de la fourche (30) est dépendant de la fourche (25). Une fois celle-ci réglée, on amène le bras de force (34) face au repère (25A) fixé sur la fourche (25).

Les figures 9 et 10 page 4, nous montrent les deux réglages extrêmes selon la courbe de la pile de chaises : Pile presque droite figure 9 page 4 : les branches (26) et (28) sont dans l'axe des tubes (1) et (2) et les branches (27) et (28) calées dans les encoches (5A).

Pile très courbée figure 10 page 4 : la branche (26) est sortie carrément à l'extérieur du tube (1) et les branches (27) et (28) sont dans les encoches (5B).

La fourche (25) décalée de la sorte est dessinée en pointillés (fig. 8) page3, dimension de décalage entre SA et 5B, de 1 à 30 cm (et de préférence 13 cm).

Dimension des fourches (25) et (30). Les branches (26) (27) (28) sont à une hauteur de 1 à 20 cm du sol (et de préférence à 3 cm), et dépassent du plateau de 2 à 50 cm (et de préférence 6 cm). A leur extrémité, la distance entre les branches (26) (27) est entre 1 et 40 cm (et de préférence 21 cm.). Celle entre les branches (26) et (28) est de 45 à 70 cm (et de préférence 56,5 cm. ). La distance aux soudures entre Ses branches (26) (27) est de 5 à 45 cm (et de préférence 26 cm), celle entre les branches (26) (28) de 45à 70 cm (et de préférence 56,5 cm).

Le repère de réglage (25A) est à une distance de la soudure (27), de 10 à 30 cm, (et de préférence 17 cm).

La branche (31) est à une hauteur de 10 à 30 cm du sol (et de préférence à 18 cm), et dépasse les montants principaux (1) et (2) de 30 à 60 cm, (et de préférence 46 cm.).

Le dispositif peut être simplifié tant pour son utilisation que pour son prix de revient.

Les figures (11) et (12) page 5, nous montrent la structure intermédiaire, renforcée et autobloquante, appelée (16A). Sur les tubes (l) et (2) de la structure principale, coulissent deux fers plats (16A), légèrement plus grands que les tubes (1) et (2).

Les tubes (17A), (19) et (19A), sont soudés aux plaques (16A) en dépassant de quelques centimètres afin de servir d'appui et de guide sur les tubes (1) et (2), des tubes de renfort (19B) sont soudés aux tubes (19) et (19A).

Les deux fers plats (18A) sont percés de deux trous, l'un légèrement plus grand que le tube (19), afm de servir de charnière ; le second est traversé par le tube (20), soudé à la plaque (18A), et dépasse de quelques centimètres pour prendre appui sur les tubes (l) et (2).

Le réglage en hauteur s'effectue en soulevant le tube (20). En le relâchant le serrage autobloquant s'effectue par l'effet arc-boutant, grâce au bras de levier exercé par la ou les branches (23) entre les tubes (19) et (20), ces derniers pouvant être recouverts de manchons antidérapants ; ils prennent appui sur les tubes (1) et (2) et les serrent d'autant plus fort que la charge est importante.

Cette structure peut descendre jusqu'à terre et les branches (23) peuvent remplacer le plateau porte charge, ainsi que le bras (31) de la fourche inférieure.

Pour le rangement, les branches (23) seront maintenues à la verticale entre le tube (19A) et le tube (17A). Le tube (17A) dépasse de quelques centimètres à l'intérieur de la structure le fer plat (16A). Dans ce cas de figure, les plaques supportant les roues seront soudées à l'extérieur des tubes (1) et (2) afin de laisser le passage aux tubes (19) et (20).

La fourche du bas peut être fixe et réduite à un tube (26) ou (28), ou deux tubes (26) et (28).

Non représentée, une branche (27) peut être fixée de chaque côté afin de prendre les chaises dans un sens ou dans l'autre.

Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné au transport de chaises empilées.