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Title:
WORK TABLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1994/018867
Kind Code:
A1
Abstract:
A work table, particularly for the disabled, including a tiltable table top mounted on an underframe consisting of a gantry-like frame with at least two vertically adjustable legs (12, 14) supporting the table top (10), and a cross member (16) joining the legs. The table top (10) has at least one armrest (74, 76) on its front longitudinal edge. Said table further comprises at least one fixture mounting member (46, 48) coupled to the underframe and extending over the table top (10).

Inventors:
BENYAMINE MONIQUE (FR)
Application Number:
PCT/FR1994/000206
Publication Date:
September 01, 1994
Filing Date:
February 25, 1994
Export Citation:
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Assignee:
BENYAMINE MONIQUE (FR)
International Classes:
A47B9/04; A47B23/06; A47B37/00; (IPC1-7): A47B37/00; A47B9/04; A47B23/06
Foreign References:
FR2620316A11989-03-17
DE139421C
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Table de travail, notamment pour personnes handicapées, du type comprenant un plateau inclinable monté sur un piétement, caractérisée en ce que ledit piétement est constitué d'un portique formé d'au moins deux montants (12, 14) supportant le plateau (10), d'une traverse (16) reliant lesdits montants, ceuxci étant réglables en hauteur, ledit plateau (10) présentant au moins un accoudoir (74, 76) situé sur le bord longitudinal avant du plateau, ladite table comprenant en outre au moins un arceau de suspension (46, 48) accouplé au piétement et s'étendant au dessus du plateau (10).
2. Table selon la revendication 1, caractérisée en ce que les montants (12, 14) sont télescopiques avec des moyens de réglage (100, 102) à action simultanée. 3 Table selon la revendication 2, caractérisée en ce que les moyens de réglage (100, 102) comprennent des mécanismes à vis et écrous (100) pour les montants respectifs (12, 14) et un arbre (102) à engrenages coniques (118), cet arbre s'étendant sous le plateau (10) pour actionner simultanément les mécanismes (100) .
3. 4 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que les montants (12, 14) incluent des parties supérieures (18, 20) supportant le plateau et des parties inférieures (22, 24) solidaires des socles (26, 28) et supportant télescopiquement lesdites parties supérieures (18, 20), les mécanismes à vis et écrous (100) incluant chacun une vis (108) à engrenage conique (104) montée dans un plan orthogonal à celui dudit arbre (102) sur ladite partie supérieure (18, 20) et engrenant avec la denture de l'engrenage correspondant (118) dudit arbre (102) et un contreécrou (112) solidaire de ladite partie inférieure (22, 24) de sorte que la rotation dudit arbre (102) règle la position en rotation de la vis (108) et par conséquent l'ajustement par coulissement, de ladite partie supérieure (18, 20) par rapport à ladite partie inférieure (22, 24). Table selon l'une quelconque des revendications 3 ou 4 caractérisée en ce que le piétement inclut un mécanisme de blocage (130, 132) de la position inclinée du plateau (10) par rapport à chacun des montants (12, 14) à l'aide d'un arbre (130) s'étendant d'un montant à l'autre pour blocage simultané des côtés latéraux du plateau (10) . Table selon l'une des revendications 3, 4 ou 5, caractérisée en ce qu'une même manivelle assure la rotation des arbres de réglage en hauteur (102) et de blocage (130) de position du plateau (10) . Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que le plateau (10) présente une surface supérieure magnétisable, la table recevant des accessoires d'écriture ou de dessin aimantés de façon à permettre leur adhésion à la surface du plateau (10) même quand celuici est en position inclinée. 8 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que 1 'accoudoir (74, 76) est amovible. 9 Table selon la revendication 8, caractérisée en ce que l'accoudoir (74, 76) est lié au plateau (10) par une glissière (80, 82) et des moyens de blocage. 10 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que le plateau (10) présente deux accoudoirs (74, 76), en saillie de chaque côté du bord avant du plateau, et définissent un renfoncement pour le logement du corps de l'usager. 11 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisée en ce qu'elle inclut des moyens (62) de soutien des bras de l'usager, constitués de sangles (62) en forme de bracelets ouverts, suspendues aux arceaux (46, 48) audessus du plateau (10) . 12 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 11, caractérisée en ce que la table inclut un lutrin ou autre accessoire de lecture (68) suspendu sous l'un des arceaux (58, 60) audessus du plateau (10) . 13 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisée en ce que le piétement comporte des supports (38, 40, 42, 44) dudit arceau (46, 48) de chaque côté du plateau (10) . 14 Table selon la revendication 12 caractérisée en ce que lesdits supports (38, 40, 42, 44) sont formés de tronçons de tubes soudés aux socles (26, 28) et s'étendent verticalement pour permettre, par enfoncement, l'accouplement desdits arceaux (46, 48) avec lesdits socles tout en autorisant leur rotatipn autour d'un axe vertical. 15 Table selon l'une quelconque des revendications 13 ou 14, caractérisée en ce qu'elle comporte au moins deux arceaux et des moyens de liaison pour relier leurs extrémités libres horizontales (58, 60) . 16 Table selon l'une quelconque des revendications 1 à 15, caractérisée en ce que le piétement est monté sur des moyens de roulement au sol, permettant le déplacement de la table et son immobilisation.
Description:
Table de travail

L'invention concerne une table de travail notamment pour personnes handicapées, du type comprenant un plateau inclinable monté sur un piétement.

Les tables de travail classiques de ce type sont conçues pour des personnes n'ayant pas de handicap physique et pouvant par conséquent se déplacer aisément autour de la table, s'asseoir ou se pencher, ou encore qui n'ont pas de besoin particulier quant au soutien de leurs membres.

Par contre, il en va tout autrement pour une personne handicapée qui peut être astreinte à une position assise ou allongée sur une chaise ou un lit. En effet celle-ci ne pourra que difficilement adapter sa position assise à la position de la table et aura besoin, le plus souvent, d'un soutien de ses membres, bras notamment.

Un objectif de la présente invention est d'adapter une table du type précité à l'utilisation d'une personne handicapée.

La présente invention concerne une table de travail, notamment pour personnes handicapées, du type comprenant un plateau inclinable monté sur un piétement, caractérisée en ce que ledit piétement est constitué d'un portique formé d'au moins deux montants supportant le plateau, ceux-ci étant réglables en hauteur, ledit plateau présentant au moins une saillie latérale formant accoudoir pour un utilisateur assis devant la table, ladite table comprenant en outre au moins un arceau de suspension accouplé au piétement et s'étendant au dessus du plateau.

De préférence les montants sont télescopiques avec des moyens de réglage à action simultanée. Les moyens de réglage peuvent comprendre des mécanismes à vis et écrous pour les montants respectifs et un arbre à engrenages coniques, cet arbre s'étendant

sous le plateau pour actionner simultanément les mécanismes.

Le piétement inclut, de préférence un mécanisme de verrouillage de la position inclinée du plateau par rapport à chacun des montants à l'aide d'un arbre s'étendant d'un montant à l'autre pour blocage simultané des deux côtés latéraux du plateau.

Dans une réalisation préférée, le plateau présente une surface supérieure métallique et que la table inclut des accessoires d'écriture ou de dessin aimantés de façon à permettre leur adhésion à la surface du plateau même quand celui-ci est en position inclinée, voire verticale.

Avantageusement, le plateau présente deux accoudoirs, modulables et amovibles en saillie de chaque côté du bord avant du plateau, définissant un renfoncement pour le logement adaptable au corps de

1 'usager.

Selon une caractéristique préférentielle, la table comporte des supports d'arceaux de chaque côté du plateau, ceux-ci s'étendant verticalement pour permettre, par enfoncement, l'accouplement desdits arceaux avec les socles, tout en autorisant la rotation des arceaux autour d'un axe vertical. II est utile que le piétement soit monté sur des moyens de roulement au sol, permettant le déplacement de la table.

D'autres caractéristiques et avantages de

1 • invention ressortiront de la description suivante qui se réfère aux dessins annexés dans lesquels :

- la figure 1 est une vue en perspective d'une table de travail pour personnes handicapées selon un mode de réalisation préféré de l'invention, et

- la figure 2 est une vue partielle en coupe d'un montant de la table de la figure 1.

Comme le montre la figure 1, la table comprend un plateau 10 monté sur un piétement comprenant deux

montants 12 et 14 reliés entre eux par une traverse 16, ces montants et traverse formant ensemble un portique.

Les montants 12 et 14 sont télescopiques et comprennent respectivement des parties supérieures 18 et 20, et des parties inférieures 22 et 24 coulissant à l'intérieur des parties supérieures 18, 20 afin de permettre l'ajustement de la hauteur du plateau 10. Les parties inférieures 22, 24 sont montées sur des socles 26, 28 qui s'étendent transversalement au plateau 10 afin de maintenir la stabilité de la table.

Des roulettes pivotantes 30, 32, 34 et 36 sont montées sur les extrémités des socles 26 et 28 afin de permettre le déplacement de la table par roulement sur le sol. Des freins sont prévus sur les roulettes 30 à 36 pour actionnement au pied.

Des fourreaux 38, 40, 42 et 44 sont montés verticalement sur les socles 26 et 28 devant et derrière les montants 12 et 14. Ces fourreaux 38 à 44, formés de tronçons de tubes soudés, servent de support pour l'accouplement, par coulissement, des arceaux de suspension 46, 48 avec les socles 26, 28, dans des orientations différentes, avec possibilité de rotation des arceaux autour d'un axe vertical.

Les côtés transversaux du plateau 10 s'étendent au-delà des montants 12, 14 et des socles 26, 28 afin de présenter une surface de travail maximale.

Les arceaux de suspension 46 et 48 comprennent des parties inférieures 50 et 52 et des parties supérieures 54 et 56 décalées en quinconce par rapport aux parties 50 et 52 correspondantes, afin que les arceaux soient dégagés des côtés latéraux du plateau 10.

Les extrémités supérieures des parties 54 et

56 des arceaux se prolongent horizontalement par des bras 58 et 60 qui s'étendent au dessus du plateau 10. La longueur des bras 58, 60 est suffisante pour que les extrémités libres des bras soient à proximité l'une de l'autre, au-dessus du milieu du plateau aussi bien en

position parallèle que diagonale , comme le montre la figure 1. un manchon (non représenté) permet de joindre les extrémités des deux bras par coulissement et des vis de blocage permettent de le solidariser avec lesdits bras, renforçant ainsi le support

Les arceaux 46 et 48 peuvent supporter différents objets ou accessoires de soutien. Comme le représente la figure 1, l'arceau 46 porte une sangle 62 liée à un manchon 64 qui coulisse sur le bras 58 et est immobilisé par une vis de blocage 66.

La sangle 62 forme un bracelet constitué de deux parties détachables afin de permettre le passage du bras de l'usager et comporte une attache susceptible d'être facilement fermée ou ouverte, du type à bouclette et crochet, (connu sous la marque VELCRO) , par exemple. La sangle 62 permet donc de soutenir le bras de l'utilisateur tout en permettant son déplacement dans le plan horizontal grâce à la rotation de la partie inférieure 50 dans son fourreau respectif 38. La figure 1 représente l'arceau 48 supportant un lutrin ou un tourne page 68 suspendu à un manchon 70 qui coulisse sur le bras 60, avec immobilisation par vis de blocage 72. Le lutrin 68 permet de disposer un document dans une bonne position de lecture tout en laissant la surface du plateau 10 dégagée pour le mouvement des bras de l'utilisateur.

Il est possible d'utiliser les fourreaux 38 à 44 pour l'accouplement d'autres accessoires, s'ils ne sont pas occupés par les arceaux. Par exemple, un rangement (non représenté) en forme de casier ouvert, monté sur pied peut être prévu en glissant ce pied dans un des fourreaux vides, tel le fourreau 40 de la figure 1, par exemple.

Des accoudoirs 74 et 76 sont montés en saillie latérale sur le devant du plateau 10 et définissent entre eux, avec le bord avant du plateau 10, un renfoncement 78 qui reçoit le corps de l'utilisateur

alors que ses coudes viennent reposer sur les accoudoirs 74 et 76.

Ces accoudoirs 74 et 76 sont modifiables selon la corpulence de 1'individu et à sa demande et sont fixés au plateau 10 par des glissières 80 et 82 fixées sous le plateau 10. Des vis de blocage (non représentées) permettent de verrouiller la position des accoudoirs 74 et 76. Au besoin, l'un ou les deux accoudoirs peuvent être supprimés, sans laisser subsister de saillie dangereuse au-delà du bord du plateau 10. Les chants du plateau 10 et des accoudoirs 74 et 76 sont rembourrés afin de mieux protéger l'utilisateur.

Le plateau 10 est inclinable de la position verticale avant à la position verticale arrière. Pour que les accessoires, (non représentés) , posés sur le plateau 10 ne glissent pas, la surface supérieure du plateau 10 est revêtue d'une plaque de tôle d'acier laquée permettant l'adhésion magnétique des accessoires, dont les dessous sont aimantés à cet effet. Les accessoires incluent une règle, et des portes-objets par exemple.

La figure 2 montre les mécanismes de réglages en hauteur et en inclinaison du plateau 10. Les mécanismes comprenant des parties similaires pour les montants respectifs 12 et 14, seules celles de la partie correspondante au montant 14 sont représentées.

Pour le réglage en hauteur, chaque montant comprend un mécanisme à vis et écrous 100 monté à l'intérieur du montant. Les deux mécanismes 100 sont reliés entre eux par un arbre à engrenages 102, monté à l'intérieur de la traverse 16, sous le plateau 10.

Chaque mécanisme 100 comprend une vis comprenant une tête à engrenage conique 104, un fut 106 et une tige à filetage trapézoïdale 108. La vis est montée verticalement à 1'intérieur de la partie supérieure 20 du montant 14 par un coussinet 110 qui

maintient la vis en position verticale, le coussinet étant solidaire de la partie supérieure 20 et portant le poids du plateau 10 transmis à travers la vis 20. La tige filetée 108 est vissée dans un écrou 112 qui est solidaire de la partie inférieure 24 du montant 14.

L'écrou 112 présente une collerette 114 qui déborde de l'extrémité de la partie inférieure 24 afin de transmettre l'effort, appliqué par la vis sur 1'écrou, à la partie inférieure 24. La collerette 114 coulisse dans la partie supérieure 20 afin de guider l'extrémité de la partie inférieure 24. Une bague 116 est montée sur l'extrémité inférieure de la partie supérieure et présente une ouverture dans laquelle coulisse la partie inférieure 24 du montant 14 afin de guider 1 'extrémité de la partie supérieure 20 sur la partie inférieure 24. Les parties 20 et 24 du montant 14 ainsi que l 'écrou 112 avec sa collerette 114 et la bague 116 sont tous de section rectangulaire, ce qui immobilise les pièces en rotation les unes par rapport aux autres.

L'arbre 102 s'étend entre les deux montants 12 et 14 sous le plateau 10 (non représenté en figure 2) . Il porte à chacune de ses extrémités un engrenage conique 118 qui engrène avec la denture du pignon à renvoi d'angle 104, afin de le solliciter en rotation et de relier les deux mécanismes à vis et écrous. L'arbre

102 se termine par une tête à six pans creux, située dans les montants 12 et 14, comme le montre la figure 2.

La tête à six pans creux 120 est accessible au travers d'un orifice 122, ménagé dans la partie- supérieure 20 du montant, par une manivelle (non représentée) permettant de tourner manuellement l'arbre 102 et ainsi d'ajuster ainsi simultanément, la hauteur des montants 12 et 14. Le plateau 10 (non représenté en figure 2) est monté sur un croisillon 124 qui est monté à son tour sur le montant 14 pour pivotement autour d'un axe formé par

un ensemble vis et écrou 126, le montant 12 comportant un dispositif analogue. Les axes 126 permettent la rotation du croisillon 24 et donc l'inclinaison du plateau 10 autour d'un axe parallèle et au-dessus de la traverse 16.

Un arbre 130 s'étend à l'intérieur de la traverse 16 entre les deux montants 12 et 14 et passe à travers une encoche (non représentée) dans le segment 128, en forme d'arc de cercle, centré sur l'axe 126. Une plaque 132 coulisse sur l'axe 126 et présente une partie munie d'un filetage femelle dans laquelle est vissée une section de l'arbre 130 munie d'un filetage mâle. Le bout de l'arbre 130 présente une collerette 134 d'appui pour le segment 128 et une tête 136, à six pans creux, accessible à l'aide de la manivelle utilisée pour tourner l'axe 102 au travers d'une ouverture 138 pratiquée dans la partie supérieure 20 des montants 12 et 14.

En tournant l'arbre 130 dans le sens des aiguilles d'une montre, la plaque 132 appuie le segment 128 contre la collerette 134, bloquant le mouvement en inclinaison du plateau 10. L'axe 130 peut ensuite être tourné dans l'autre sens pour libérer l'inclinaison du plateau. L'utilisation de la table décrite est la suivante. L'utilisateur peut être assis dans une chaise roulante ou sur un lit d'hôpital, par exemple et dans l'un ou l'autre cas ou bien la chaise roulante est approchée de la table stationnaire, ou bien la table est glissée au dessus du lit. Dans les deux cas, la forme de portique du piétement lui permet d'enjamber le mobilier.

Le renfoncement 78 permet au corps de l'utilisateur de venir se loger entre les deux accoudoirs 74 et 76, qui sont alors en la bonne position pour favoriser 1 'appui des coudes.

La sangle 62 permet de mieux maîtriser le mouvement d'un bras de l'utilisateur au dessus du

plateau 10 en le soutenant. Le fait qu'il soit en deux parties permet de faciliter l'insertion et la libération du bras par rapport à la sangle.

Le réglage en hauteur de la table peut être fait par la manivelle avec un mouvement démultiplié, les deux côtés étant réglés en même temps, ce qui facilite la tâche et évite tout coincement mécanique dû à des mouvements dissymétriques. Cette manivelle peut être remplacée par un moteur rentrant dans le contrôle d*environnement.

La même manivelle, ou moteur, permet de bloquer ou de débloquer l'inclinaison de la table.

Cette configuration permet de faciliter grandement le soutien du corps de la personne handicapée en position de travail, sans qu'elle ait besoin de se pencher au dessus de la table et tout en autorisant l'apport de soutiens supplémentaires, ou le positionnement d'accessoires de travail ou documents.




 
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